De délicieuses vacances (partie 2)

- Par l'auteur HDS DXD -
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : De délicieuses vacances (partie 2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2017 dans la catégorie Plus on est
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De délicieuses vacances (partie 2)
Bonjours à tous, je précise que ce récit est la suite du récit « De délicieuses vacances partie 1 », mais il n’est pas nécessaire d’avoir lu la partie 1 pour lire la partie 2.


J’entrai dans notre bungalow en titubant. La belle Suédoise m’avait poussé à l’intérieur si soudainement que j’avais failli tomber. Ses beaux yeux bleus brillant de désir, elle me rejoignit, et se jeta à nouveau sur moi, enroulant ses longs bras blancs autour de mon cou, et m’embrassant sensuellement. Je lui rendis son baiser, et la saisissant par ses fesses rebondies, me colla contre elle, pressant mon torse musclé contre sa volumineuse poitrine. Nous restâmes un long moment à nous embrasser ainsi, de plus en plus furieusement, jusqu’à ce que je la pousse jusqu’à la table du salon, la soulève, et l’étale dessus. Elle eut un petit gémissement d’excitation, m’attira vers elle avec ses jambes.

Je profitai d’être au-dessus d’elle pour l’admirer : elle était tellement sexy ! Elle était vêtue d’un simple débardeur blanc, et d’un jean, mais le débardeur était assez léger, et très décolleté, si bien qu’il mettait parfaitement en valeur son corps de déesse, notamment son énorme poitrine qui me faisait tellement envie. Et son visage ! Il était angélique, agrémenté de deux yeux bleus clairs, et encadré par ses longs cheveux blonds dorés. Son physique ravageur m’avait captivé dés notre première rencontre au ski, six mois plus tôt, et j’avais eu la très agréable surprise de la retrouver ici, au bord de l’Atlantique, pour les vacances d’été.

Je m’apprêtai à me pencher et embrasser la belle Blonde, lorsque soudain, la porte d’entrée derrière moi s’ouvrit à la volée.

Katherine, mon plan cul régulier, entra dans le bungalow d’un air décidé, ses beaux yeux marrons brûlant de désir. J’étais surpris de la voir : elle était censée passer la nuit avec Hans, notre voisin de bungalow, un allemand venu en vacances avec la belle Suédoise. Aussi je lui demandai :
« Qu’est ce que tu fais là ? »
« J’en pouvais plus de Hans, dés les préliminaires il était mauvais et maladroit. Et j’avais trop envie de vous deux. »
Sans plus de paroles inutiles, elle marcha sur moi d’un pas décidé, et me tirant par le t-shirt, m’attira contre elle et m’embrassa sauvagement. Puis, elle me repoussa, et se dirigea droit vers la Blonde. Katherine lui posa une question en suédois, et la belle lui répondit par l’affirmative. Alors, Katherine la plaqua contre la table, et l’embrassa avec avidité, tandis que la Suédoise enroulant ses jambes autour de sa taille, l’attira contre elle dans une étreinte torride.

Je profitai un peu du spectacle : une bombe brune qui partageait un baiser torride avec une blonde ultra-sexy. Katherine portait un débardeur bleu foncé, et un mini-short très moulant… Et justement, je la voyais de derrière, penchée par dessus la belle Blonde qu’elle embrassait comme une morte de faim, et j’avais une vue parfaite sur son merveilleux postérieur, si rond et si ferme. J’avais beau l’avoir vu un millier de fois, je ne m’en lassais jamais. Les deux belles s’embrassèrent pendant de longues minutes, Katherine embrassant aussi le cou et le décolleté de la Blonde, qui aimait passer ses mains dans les cheveux noirs de son amante, la pressant contre elle. Leur souffle à toutes les deux s’accéléraient, elles semblaient déjà très excitées. Tout comme moi ! Je bandais si fort que ça en était douloureux.

Katherine finit par interrompre son baiser, et se tourner vers moi :
« Tu nous rejoins pas mon grand ? »
« Je profite du paysage, répondis-je avec un sourire. »
« Allez, viens ! »
Je marchai vers elle, et elle me tira pour se coller à moi. Elle m’embrassa avec passion, tandis que la Blonde se redressait. J’embrassai Katherine, un bon moment, frissonnant de plaisir, avant de me pencher sur la Suédoise, et de l’embrasser à son tour. Je passais ainsi un petit moment, allant de l’une à l’autre, multipliant les délicieux baisers. De temps à autres, elles s’embrassaient entre elles, et alors j’admirais le spectacle. Cet échange dura une bonne dizaine de d’exquises minutes, puis nous décidâmes qu’il était temps d’aller dans la chambre.

Elles me poussèrent sur le lit, et je m’y étalai comme une masse. Je me redressai, pour les admirer pendant qu’elles s’embrassaient. Elles se pressaient l’une contre l’autre avec passion, et, Katherine étant plus petite, elle embrassait régulièrement le cou et le buste de la Suédoise. Au bout d’un moment, la brune jeta sur le lit la Blonde, qui s’étala à côté de moi. J’en profitai alors pour venir sur elle, et l’embrasser comme un fou, massant ses seins avec force, la faisant gémir. Katherine pendant ce temps, vint derrière moi, et m’embrassa la nuque. Elle finit par m’obliger à me redresser, et me retira mon t-shirt, poussant la Suédoise à se redresser et à me lécher le corps, pour mon plus grand plaisir. Elles finirent par me renverser toutes les deux, m’étalant sur le matelas. Puis, la Blonde se rua sur Katherine, et toutes les deux s’embrassèrent comme des folles. La Suédoise plaqua la française contre le lit, s’installa à califourchon sur elle, pressant son corps contre le sien. Elles s’embrassaient à fond, et gémissaient d’excitation, Katherine avait enroulé ses jambes autour de la taille de la Suédoise, et celle-ci lui tenait les mains plaquées contre le matelas. C’était terriblement excitant à observer.

Katherine finit par renverser la Blonde en se servant de ses jambes, et à repasser au-dessus d’elle. Elle retira son débardeur, et retira ensuite celui de la Suédoise. Puis elle se pencha sur elle, et lui embrassa le bassin puis le buste, puis le cou, puis la bouche. Elle me tournait le dos, alors je pouvais à nouveau admirer son postérieur, et je ne privais pas de mâter ces deux bombes occupées à mener leurs préliminaires. Cependant, lorsque Katherine retira son short, puis son shorty, et dénuda à son tour la belle Blonde, avant de se jeter sur son intimité et de lui administrer un féroce cuni, je ne pus me retenir : je me joignis à la danse. Je saisis Katherine par les fesses, et lui fis un délicieux anulingus faisant tournoyer ma langue avec délice au milieu de son cul rond et ferme. Katherine frémit mais ne ralentit pas pourtant le rythme du cuni qu’elle administrait à la Suédoise, qui se tortillait de plaisir. Nous restâmes un moment ainsi, nous entre-dévorant avec passion, jusqu’à ce que le plaisir qu’éprouvaient mes deux charmantes compagnes ne leur suffisent plus : elles désiraient passer à la suite.

« Ca c’était de vrais préliminaires, souffla Katherine ravie en s’adossant contre le mur. »
Je voulus la prendre sur le champ, mais elle m’arrêta d’un geste :
« Non, occupe toi de notre amie, qu’elle profite de ta bite la première. »
« Comme tu veux. »
La Suédoise se redressa, et nous nous embrassâmes, d’abord lentement, puis sauvagement. Je descendis sur son cou, puis prenant ses énormes seins à pleines mains, enfonçai ma tête au milieu d’eux, profitant de ces deux merveilleuses collines. Puis, je la saisis par les hanches, et la fis s’allonger sur le côté. Je m’installai devant elle, et après avoir pris sa jambe, et l’avoir mise sur ma hanche, la pénétrai vigoureusement, lui arrachant un petit cri. Je me mis à la baiser ainsi, on était comme en cuillère, sauf que je la prenais de face, et non de dos. Ses seins se pressaient contre mon torse, je la tenais par la nuque, pour pouvoir voir son regard chavirer sous mes coups de reins de plus en plus sauvages, je l'embrassais aussi de temps à autres, goûtant la douceur de ses lèvres. La Blonde participait en bougeant ses hanches d'avant en arrière, ce qui rendait les choses encore plus délicieuses. Katherine nous observa un moment, avant de nous rejoindre. Elle vint se mettre dans le dos de la Suédoise, et lui embrassa la nuque, massant ses seins, et se frottant contre elle. C'était une vision très excitante, et elle me dopa littéralement : j'accélérai le rythme de mes coups de reins, limant la Blonde avec plus de vigueur et de force que jamais la culbutant contre Katherine, qui l'enserrait de plus en plus étroitement. On était dans un cercle vicieux : plus je baisais la Suédoise vigoureusement, plus Katherine était motivée pour l'embrasser et l'enlacer sensuellement, et alors ça me donnait envie de la baiser encore plus fort. Pire, la "pauvre" Blonde prise entre nous deux se tortillait, et gémissait sous ce plaisir insupportable, ce qui nous motivait, Katherine et moi pour lui faire encore plus de bien... Bref, nous étions dans une situation impossible, aucun de nous n'en n'avait jamais assez. Katherine finit par faire quelque chose de terrible : elle glissa son doigt dans l'anus de la Suédoise, et se mit ainsi à lui doigter l'anus avec vigueur. La belle nordique poussa un cri de plaisir, et je la sentis frémir de tout son être. Je me dis qu'il était temps de lui porter le coup de grâce : je repris mes va-et-vient, encore plus vite et fort, cognant le fond de son intimité, tandis que Katherine passait par sa porte arrière. Prise par nous deux, la Blonde se débattait, gémissait, et même me mordit l'épaule, ce qui m'excita tellement que je vis rouge littéralement, et, me collant contre elle jusqu'à ce qu'on semble soudés l'un à l'autre, je m'attachai à lui administrer de gros coups de reins qui la firent crier à chaque aller-retour. Katherine se colla à son tour contre elle étroitement, de façon si étroite qu'elle put m'embrasser sensuellement par-dessus l'épaule de la Blonde. Le plaisir montait en moi, et augmentait encore et encore à chacun de mes coups de reins. Je finis par avoir un énorme orgasme, qui me fit crier, tandis que la Blonde avait le sien également, qui la fit se secouer violemment pendant quelques secondes.

Je m'écartai d'elle, vidé et sonné par le plaisir. Mais Katherine elle, n'avait pas joui. Elle se remit à embrasser la nuque de la Blonde avec vigueur et avidité, avant de la mettre sur le dos, et de s'asseoir sur son visage. La Suédoise se mit à la lécher, et Katherine se déhancha sur son visage, pour augmenter son plaisir.

Désireux de mieux profiter du spectacle, je me levai et allai m'asseoir sur l'autre lit de la chambre, histoire d'admirer ces deux bombes de plus loin, et de ne pas les gêner.

La Suédoise léchait Katherine consciencieusement, et celle-ci gémissait en se tenant les cheveux, visiblement en proie à un intense plaisir. La Blonde en profita pour reprendre le dessus. Elle renversa Katherine, l'étalant sur le dos, et se remit à lui dévorer l'intimité, mais cette fois-ci en position de dominante. Connaissant Katherine, je savais que les choses allaient se corser... La brune se laissa faire un moment, gémissant et se tortillant avec délice. Puis, soudainement, elle enroula ses jambes autour de la nuque de la Blonde pour tenter de la renverser. Mais celle-ci était vigilante, et saisissant les jambes de Katherine, les plaqua contre le lit. Alors celle-ci se redressa et repoussa la Suédoise, avant de se jeter sur elle et de l'embrasser avec passion et fureur. Elles étaient toutes les deux à genoux sur le lit, l'une contre l'autre, et s'embrassaient comme des mortes de faim, leurs poitrines s'entrechoquant merveilleusement. La Blonde tenait Katherine par la nuque, et celle-ci la tenait par les hanches. Je dois dire que je m'estimais le plus chanceux des hommes de pouvoir assister à ce spectacle. Ce fut la Suédoise qui tenta la première de prendre le dessus. Elle fourra la tête de Katherine dans sa poitrine, qui dévora ses seins avec un plaisir évident. Puis, la Suédoise tira Katherine par les cheveux et la plaqua contre le matelas. Elle voulut s'installer sur le visage de Katherine, mais elle n'était pas du genre à se laisser faire : à peine la Suédoise assise sur son visage, que Katherine la renversait déjà, et l'étalait sur le matelas. J'étais bien placé pour savoir que Katherine était très très douée avec sa langue et sa bouche, aussi je ne fus pas surpris de voir que sitôt qu'elle commença son cuni, la Suédoise se mit aussitôt à pousser de grands cris et de grands gémissements. Katherine devait y mettre toute son adresse, vu comme la Blonde se tortillait de plaisir. Tout cela m'avait redonné une trique d'enfer, et je décidai de retourner dans la danse.

Je vins derrière Katherine, toujours occupée à donner à la Suédoise le cuni de sa vie, et décidant de ne pas y aller par quatre chemins, je la sodomisai. Katherine poussa un gémissement, qui se transforma en cri de plaisir lorsque je me mis à la limer avec vigueur, sur-excité par ce que je venais de voir, et par son fessier de rêve. J’y allai fort, frissonnant de plaisir, ravi de sentir mon sexe enserré étroitement à l’intérieur. Katherine fut momentanément paralysée par le plaisir, et je décidai de ne pas lui faciliter la tâche en accélérant le rythme progressivement. Elle finit néanmoins par réussir à se remettre, et à retourner à son cuni, refaisant tournoyer sa langue sur l’intimité de la Blonde. Nous continuâmes à nous baiser ainsi pendant de longues minutes, je limais le cul de Katherine avec toujours plus de vigueur et de passion, tandis qu’elle faisait hurler la Blonde avec sa langue. Il arriva ce qui devait arriver : Katherine finit par avoir un gros orgasme, quelques secondes après la Blonde. Toutes deux hurlèrent sous l’effet du plaisir, et s’écroulèrent sur le lit. Elles avaient joui mais pas moi. Alors je présentai ma bite devant leur visage, et comprenant le message, se mirent à me sucer toutes les deux, chacune à tour de rôle. L’une me dévorait la hampe du sexe, me le léchant de bas en haut, s’attardant sur mon gland, tandis que l’autre me dévorait les boules. C’était si bon que ma vue se brouillait sous le plaisir qu’elle me procurait, et voir ces deux bombes, me dévorer la bite à elles deux avait quelque chose de jouissif en soit. Je ne tins pas longtemps, avant d’exploser dans un orgasme merveilleux. Je jouis à grands jets sur leur merveilleux visage à tous les deux, m’en donnant à coeur joie. Puis, épuisé et comblé, je m’écroulais sur le lit. Nous nous y assoupîmes rapidement et paisiblement.

Je me réveillai le lendemain matin, un peu étourdi par la nuit rythmée que j’avais eue, mais pressé de remettre le couvert. Les deux filles s’étaient déjà levées, je les rejoignis sur la terrasse de notre bungalow, pour prendre le petit déjeuner. Les deux belles me saluèrent avec chaleur, puis nous discutâmes de ce que nous allions faire ce matin. Ou du moins, Katherine en discutait avec moi, avant d’en discuter avec la Blonde. Je ne parlais pas suédois, et la Blonde ne parlait pas français, nous ne pouvions donc pas communiquer entre nous… sauf par des regards incendiaires, et des sourires coquins. Katherine et elle était en pleine discussion, visiblement, la Suédoise essayait de la convaincre de quelque chose. Katherine finit par accepter, l’air mécontente.

« Qu’est ce qu’il y a ? Demandai-je, un peu surpris de son air contrarié. »
« Elle me dit que c’est à moi d’aller baiser Hans. Hier c’était à mon tour, mais j’ai préféré vous rejoindre. »
« Je crois pas qu’elle s’en plaigne, hein. »
« Non… mais Hans a pas dû apprécier. »
« Ah oui… le pauvre. Donc tu vas le consoler ? »
« Oui… mais je veux pas ! Il est nul ! »
« Alors reste avec nous. »
« Non. Je vais lui donner une chance… j’espère qu’il assurera. »
Elle avait l’air un boudeuse. Je voulus la consoler.

« Dis toi qu’à ton retour, je m’occuperais de te satisfaire. »
« Si t’es encore en forme. Notre amie va vouloir que vous baisiez. »
« Qui te dit qu’on va forcément niquer ? »
« Ose me dire que si je te laisse seul avec elle, vous allez pas baiser... »
Je jetai un furtif coup d’oeil à la Suédoise. Elle était entrain de se faire une tartine de confiture. Lorsqu’elle s’aperçut que je la regardai, elle s’empressa de sucer lentement et sensuellement la cuillère. J’eus la soudaine et nette impression que je chauffais à blanc… La bouche un peu pateuse je répondis à Katherine :
« Non, non, je t’assure on baisera pas. »
Même à moi, ma phrase parut fausse. Elle eut un ricanement sceptique, et insista :
« Ah oui ? Tu sais qu’elle va aller à sa danse matinale ? »
« Oui, et alors ? »
« Elle sera en brassière et mini-short… t’es sûr que tu craqueras pas ? »
Je jetai un nouveau coup d’oeil à la Suédoise, elle était entrain de lécher la cuillère avec avidité.

« Euh… non… je suis pas sûr. »
Katherine secoua la tête d’un air contrarié, je m’empressai d’ajouter :
« Mais je te garantis que je serai quand même prêt à te combler tout à l’heure, promis ! »
« T’es sûr ? »
« Oui. »
« T’as pas intérêt à me décevoir. »
« Je t’ai déjà déçu ? Une seule fois ? »
Katherine eut un petit sourire.

« Non. C’est vrai ! »
Elle eut l’air un peu plus heureuse. Après le petit déjeuner, Katherine alla donc voir Hans, tandis que la Suédoise et moi partîmes à sa danse. Le camping dans lequel nous étions en vacances, organisait de multiples activités, y compris sportives, et particulièrement Pendant le trajet, nous nous jetions des petits coups d’oeil intéressés, et son sourire coquin, valait toutes les discussions du monde…
Arrivé à la salle de sport, nous nous séparâmes, elle allant dans les vestiaires des filles, moi dans ceux des garçons. Je fus particulièrement fier d’entendre les autres garçons discuter entre eux des filles qu’ils avaient vues arriver, et être unanimes pour dire que la Blonde était la plus sexy de toutes. C’était plaisant d’entendre ça d’une de ses conquêtes.

Je quittai rapidement les vestiaires, et attendis les autres sur le terrain. Les mecs arrivèrent les premiers, puis les filles suivirent les unes après les autres. Il y en avait de très jolies, mais lorsque la belle Suédoise fit son entrée, en mini-short noir, et en brassière de la même couleur, il fut évident qu’elle était la plus sexy de toutes.

L’animateur de l’acitivté, tout en tâchant de ne pas trop reluquer la Blonde, nous rappela rapidement les règles du badminton, puis nous fit nous échauffer. D’abord nous courûmes autour du terrain, et alors je me mis derrière la Blonde, histoire voir son petit postérieur en plein mouvement. Après, on dut se mettre par deux, et faire des échanges en guise d’échauffement. Je me mis avec la Suédoise, et nous fîmes plusieurs échanges. La voir courir après le volant, admirer son corps de rêve, sa poitrine rebondir, son fessier s’activait, se perdre dans la contemplation de son ventre plat était quelque chose de délicieux.

Autant dire qu’une fois la séance d’échauffement terminé, j’étais bien plus chaud que ce qui était prévu… L’animateur nous expliqua la suite de la séance : il voulait l’organiser sous la forme des « montantes-descendantes ». Nous devions aller chacun sur un terrain, disputer un match contre notre adversaire. Le gagnant passait au terrain supérieur, le perdant passait au terrain inférieur.

La Suédoise eut un peu de mal à comprendre les règles, mais elle finit par y arriver. Visiblement sûre d’elle, elle se dirigea vers le premier terrain. Pour y rester, elle devrait gagner tous ses matchs. Moi, j’étais moins sûr de moi, aussi j’allais sur le dernier terrain.

Pendant l’heure et demie qui suivit, je remportai chacun de mes matchs. C’était plutôt facile face aux filles, plus difficile parfois face aux mecs. Mais petit à petit, je montai, me rapprochant inexorablement du premier terrain. A un moment, après avoir battu un nouvel adversaire, je surpris une conversation entre mon dernier adversaire, et un de ses amis :
« Alors ? Demandait celui qui je venais de battre. »
« Elle m’a complètement latté, elle est super forte cette meuf, répondit son ami. »
Curieux, je tournais la tête pour voir de qui ils parlaient, et compris aussitôt : ma belle Suédoise était toujours sur le premier terrain, ce qui voulait dire que comme moi, elle avait remporté tous ses matchs. Visiblement, elle était une virtuose du badminton. Elle rattrapait tous les volants envoyés par l’adversaire, frappait avec force et rapidité, enchaînant les points spectaculaires. Elle était magnifique à voir, ses cheveux dorés attachés en queue de cheval, son corps de déesse mis en valeur par sa tenue indécente, ses courbes se balançant au rythme de sa course… Elle était plus chaude que l’Enfer ! L’idée de me retrouver contre elle, me plut au plus haut point, aussi je redoublais d’ardeur dans chacun de mes matchs, espérant me hisser jusqu’au premier terrain qu’elle occupait.

A la fin de la séance, je finis par y arriver. Je vins sur le premier terrain, face à la belle Suédoise, qui l’occupait toujours. Elle me fit un grand sourire en me voyant arriver, visiblement ravie de me retrouver face à elle. L’animateur nous dit à tous de commencer le commencer nos matchs, en nous précisant que ce serait les derniers. Je finissais donc contre la Blonde… c’est ce qui s’appelait finir en beauté !

Le match démarra, et je me lançai aussitôt dans la bataille. Je courais après chaque volant, tâchant de frapper suffisamment fort et de façons suffisamment précise pour faire courir ma belle adversaire… mais rien n’y fit. Presque à chaque fois, elle parvenait, par un coup puissant et rapide, à me déplacer sur le terrain, et à prendre l’ascendant. Les points s’enchaînaient, et elle en gagnait toujours plus, creusant l’écart. En la voyant courir à grande allure, sa volumineuse poitrine se secouant agréablement, en la voyant arborer un petit sourire coquin de triomphe à chaque point, en la voyant se pencher pour ramasser le volant, mettant en valeur son superbe fessier, et en sentant mon sexe devenir de plus en plus dur devant ce spectacle, je compris le calvaire qu’avait vécu les garçons avant moi : non seulement elle était très forte, mais en plus, il était impossible de se concentrer face à une telle bombe !

Le match dura un bon quart d’heure. En dépit de mes efforts, je ne parvins pas à revenir au score, et finis lourdement battu. La belle Suédoise abordait un petit sourire coquin, ravie de sa victoire, et me provoquait du regard. 
Autant vous dire qu’en retournant dans les vestiaires, une fois la séance terminée, j’étais partagé entre la déception d’avoir perdu, un léger sentiment d’humiliation devant cette défaite, et surtout un très fort sentiment d’excitation. J’entrai dans les vestiaires des garçons, et soudain, quelqu’un me dépassa assez brusquement. C’était la belle Blonde, qui se dirigeait vers les vestiaires des filles. Juste avant d’y entrer, elle se tourna vers moi, et me servit un sourire encore plus moqueur que les précédents. J’en fus échauffé au possible.

Je pris tout mon temps pour me changer. Une intuition, sans doute… Je traînai si bien, que les autres garçons étaient déjà partis quand je n’avais fait qu’enlever mon t-shirt. Puis, les vestiaires des filles se vidèrent à leur tour, ses occupantes en sortant les unes après les autres. Moi j’attendais, toujours torse nu sur le banc des vestiaires des garçons. Je fus flatté de voir que toutes les filles ou presque me jetèrent des coups d’oeil intéressés en sortant. Mais ce qui me plaisait surtout, c’est que la belle Suédoise ne se montrait toujours pas : elle aussi devait traîner.

L’animateur de la séance sortit à son tour. En passant il me dit :
« Je vous laisserai fermer. »
« Ok, pas de problème lui répondis-je. »
Après qu’il fut sorti, une fille quitta à son tour le vestiaire des filles. Elle jeta elle aussi un coup d’oeil à mon torse nu, et l’interpellant, je lui demandai si il restait quelqu’un dans les vestiaires. Elle me répondit qu’il ne restait plus qu’une seule fille : ma belle Suédoise bien évidemment. Je la remerciai, et lui souhaitai une bonne journée, et elle parti, l’air un peu déçu. J’attendis encore un peu, quand, enfin, la belle Suédoise sortit.

Elle aussi avait traîné : elle était toujours dans sa tenue de sport, en brassière noir, et mini-short de la même couleur. Elle avait encore sa queue de cheval, ce qui dégageait son visage d’ange. Son corps de rêve était toujours trempé de sueur, ce qui était assez excitant. Mais surtout, elle me dévisageait avec ses beaux yeux bleus, d’un air insolent, un sourire narquois et coquin, toujours sur ses lèvres. Elle me narguait encore pour la défaite qu’elle venait de m’infliger ! L’heure de la correction était venue.

Je me levai d’un air brusque, et claquai la porte du gymnase, la fermant à clé : on ne nous dérangerait pas ! Puis, d’un pas décidé, je fonçai sur la belle Blonde, qui m’attendait avec son sourire moqueur et coquin, que j’avais bien l’intention d’effacer.

Je la saisis par les hanches, et l’attirai contre moi. Je l’embrassai furieusement, pressant mon corps contre le sien et la poussant vers le mur. Elle me rendait mon baiser avec fièvre, enroulant ses bras autour de mon cou.

Je la soulevai, et la plaquai contre le mur, elle eut un léger gémissement d’excitation. J’embrassai son cou avec force, tandis qu’elle enroulait ses jambes autour de ma taille pour me coller contre elle. Après son cou, je descendis sur son décolleté, que j’embrassais avec avidité. Sa peau était chaude et humide après l’effort du sport, mais elle ne sentait pas mauvais, malgré la transpiration qui perlait sa peau, elle ne sentait pas mauvais. Je voulus lui retirer sa brassière, mais elle m’arrêta en plein geste. Visiblement, elle aimait être baisée à moitié habillée. Alors, je lui retirai son short, et après avoir enlevé mon pantalon et caleçon, je la pénétrai avec force.

J’allais et venais en elle, la culbutant contre le mur, littéralement dopé par la vision de son corps de rêve, et par le souvenir de ma défaite de tout à l’heure. D’autant que régulièrement, la Blonde me regardait dans les yeux d’un air de défi, et me servait à nouveau son sourire provocateur. Elle me défiait de la baiser plus fort et plus vite, ce que je faisais avec de plus en plus d’agressivité et de vigueur. La belle Suédoise gémissait et même criait, mais ne s’arrêtait pas pour autant de me sortir son sourire narquois. Au bout d’une dizaine de minutes cependant, les choses avaient changé. Je la baisais toujours plaquée contre le mur, avec le même rythme, et la même intensité. En revanche, ma belle Blonde ne me souriait plus d’un air narquois. Ma queue la limait avec force et sans répit, mon torse musclé se pressait contre sa poitrine gonflée, et mes mains puissantes la tenaient immobilisée contre le mur, tandis que je la limais, encore et encore. Désormais, son visage était décomposé par le plaisir, et son sourie narquois avait disparu. J’avais en quelque sorte atteint mon but, j’étais fier de moi.

A présent, cette petite victoire me donnait littéralement des ailes, et je la baisais avec une force et une vigueur totalement décuplées, massant en même temps ses merveilleux seins, frissonnant à leur contact. La Blonde me tira par la nuque, et m’attira contre elle, m’embrassant avec passion. Elle finit son baiser en me mordant la langue, et en réaction, je lui assénai un gros coup de rein, histoire de la punir. Elle poussa un gémissement, suivi d’un autre lorsque j’enchaînai avec un nouveau coup de reins. Elle était tremblante de plaisir, et j’étais fier de ce que je lui avais fait.

Au bout d’un moment, elle me tira les cheveux, comme pour me repousser du mur. Je compris qu’elle voulait me faire m’asseoir sur le blanc, proche de là, pour pouvoir me chevaucher et me baiser. Je n’en n’avais pas très envie : elle m’avait battu et ridiculisé tout à l’heure au badminton, je voulais maintenant ma revanche dans ce sport là… Mais je me dis après tout, que j’étais bien fatigué de porter une fille aussi grande, et que la laisser me chevaucher pourrait être délicieux… et la laisser croire qu’elle dominait pour ensuite reprendre le dessus pouvait être très bon aussi.

Tout en la portant toujours, je me dirigeai vers le banc, et m’assis dessus. La belle me saisit par les épaules, et me plaqua contre le mur. Elle se mit à aller et venir d’avant en arrière, me donnant des coups de reins qui déclenchèrent aussitôt de grandes vagues de plaisir en moi. Elle était toujours vêtue de sa brassière noire, et voir sa poitrine moulée ainsi à quelques centimètres de mon visage, et qui s’agitait au rythme de ses assauts me rendait fou. Sans parler de son ventre plat, ou de ses hanches, qui s’activaient et me procuraient tellement de plaisir. Elle se mit progressivement à me baiser plus vite, et plus fort me culbutant contre le mur derrière le banc. De temps en temps, elle m’embrassait furieusement, et parfois, pendant qu’elle me baisait, c’est moi qui penchais sur elle, et embrassais son décolleté ou son cou, ou ses épaules. Alors qu’elle augmentait progressivement le rythme de ses va-et-vient, je compris rapidement que j’avais fait une grosse erreur : je la laissais me baiser pour reprendre le dessus après, sauf qu’elle était tellement douée, et me baisait si bien, que reprendre le dessus allait vite ressembler à une mission impossible tant j’étais paralysé par le plaisir.

Je décidai de réagir maintenant : je la saisis par les hanches, et voulus la renverser. Mais elle me saisit les bras, m’empêchant de bouger, et se mit à bondir sur mon sexe de haut en bas, me faisant vibrer d’un tel plaisir, que je fus paralysé et ne pus que fermer les yeux, le temps que la vague de plaisir passe. La Suédoise me donna ensuite un coup de rein violent qui me fit frémir de la tête aux pieds. Elle me saisit par le menton, et m’obligea à la regarder. Elle me servit à nouveau son sourire narquois, et le sentiment de défaite et d’impuissance qui m’avait habité tout à l’heure, revint aussitôt. J’aurais bien réagi, mais à ce moment là, la Blonde se déchaîna littéralement sur moi. Elle se mit à aller et venir d’avant en arrière, de gauche à droite, de haut en bas, le tout à grande allure, et sans jamais mollir. Fréquemment, elle me griffait le torse, ou me mordait le menton, ou encore, me collait sa grosse poitrine (toujours recouverte par sa brassière) en plein visage, m’excitant encore plus. Nous gémissions tous les deux, nos corps se couvraient de sueur, son visage rougissait sous l’effort, mais pourtant, inlassablement, elle me baisait toujours plus fort, et toujours plus vite, son sourire narquois ne quittant pas ses lèvres. Je me sentais à nouveau dépassé, et dominé, incapable de réagir. Le plaisir montait très rapidement en moi, et je ne pensais pas pouvoir tenir bien plus longtemps, elle sentait que j’approchais de l’orgasme, et son sourire narquois s’agrandissait toujours plus. Mais elle avait sous estimé mon endurance, et sous estimé aussi le plaisir qu’elle s’infligeait elle même. Elle bondissait sur ma queue depuis quelques minutes, bougeant son corps de rêve, et notamment sa poitrine magnifiquement, lorsque soudain, son corps fut pris de convulsions de plaisir, et qu’après deux trois mouvements, elle eut un terrible orgasme, qui la fit crier, et s’écrouler sur moi, tremblante de plaisir.

C’était ma chance : je la renversai, et repris le dessus. Puis, je la retournai et la mis à quatre pattes sur le banc. Elle était trop faible pour me résister. Profitant de ce qu’elle était toujours sous le coup de son dernier orgasme, je la pénétrai, et me mis à la baiser vigoureusement en levrette. Je la tenais par les hanches, et allais et venais en elle, sur un rythme élevé, je voulais la baiser bien fort, histoire de prendre ma revanche. La Suédoise gémissait, et secouait son magnifique postérieur pour participer, augmentant le plaisir en moi. Elle se mit à aller si vite, que je fus momentanément paralysé, et poussai un gémissement. Elle tourna la tête pour me regarder, et me servit à nouveau son sourire coquin, fière d’arriver à prendre le contrôle dans cette position. Ce fut la provocation de trop. Je me ressaisis, et attrapant la Blonde par les cheveux, me mis à la baiser plus férocement que jamais, la culbutant si fort, que le banc se cognait contre le mur. Elle se mit à littéralement hurler, le corps cambré sous l’extase que je lui apportai, tandis que tirais sa tête en arrière pour l’obliger à me regarder. C’était mon tour de la toiser d’un air dominateur, et de lui sourire de façon narquoise, tandis qu’elle, paralysée par le plaisir, était impuissante. Ravi de pouvoir enfin me venger, je donnais tout ce que j’avais, lui assénant de puissants coups de reins qui cognaient à chaque fois le fond de son intimité. Je lui claquais les fesses, me penchais sur elle et lui massais ses seins à travers sa brassière, tirais sur sa queue de cheval pour bien lui faire sentir qui était le patron, et tout ça sans m’arrêter de la baiser avec toujours plus d’intensité. Le plaisir montait en nous deux, devenait insupportable, je me sentis me raidir… puis dans un frémissement, j’eus enfin un orgasme libérateur, qui me fit chanceler sur mes jambes. La Suédoise me rejoignit elle aussi, hurlant de plaisir au moment de la jouissance.

J’avais peut être joui, mais je bandais encore. Aussi, je décidai de m’offrir un final délicieux. Je fis s’allonger la Blonde sur le banc, et vins au-dessus d’elle. Avec un peu de difficulté, tant sa brassière les serrait, j’insérai mon sexe dans sa poitrine. Je me mis à aller et venir dedans avec délice, ravi de sentir mon engin si étroitement enserré. La Blonde se mit à gémir doucement et à se tortiller sur le banc, rendant cette branlette encore plus délicieuse. J’accélérai doucement, heureux de baiser ces deux beaux obus. Je la regardai dans les yeux, et y lisais le plaisir que je lui procurai. Elle avait un petit sourire coquin, mais pas narquois, plutôt d’encouragement. Sentant le plaisir monter, je saisis ses seins, et les pressai, afin d’enserrer encore plus ma queue dans ses seins… J’accélérai alors le rythme une dernière fois, limant sa poitrine avec vigueur, jusqu’à ce que soudain, j’explosai dans un nouvel orgasme qui me fit inonder sa poitrine de ma semence.

Ravis de ce délicieux moment, nous rentrâmes au bungalow.

Katherine nous y rejoignit un peu plus tard, alors que nous préparions la table, l’air légèrement boudeuse.

« C’était bien avec Hans ? Lui demandai-je. »
« Bof. Il fait des efforts, mais il tient toujours pas assez longtemps. »
Je retins un petit sourire, ravi de ne toujours pas souffrir de la concurrence allemande. Nous nous mîmes à table tous les trois. Après le repas, la Suédoise s’en alla faire un tour, tandis que moi et Katherine, restâmes au bungalow. Tranquillement, je m’installai sur une chaise longue dans le jardin, profitant d’un bon moment de repos. Mais bien sûr, avec une fille comme Katherine, les moments de repos ne duraient guère longtemps…
Au bout d’un moment en effet, je sentis une présence derrière moi. Tournant la tête, je vis que Katherine était accoudée au dossier de ma chaise longue, et m’observais avec un sourire. Elle portait un débardeur bleu clair, et un jean moulant. Une tenue classique, mais très sexy sur elle.

« Qu’est ce que tu veux ? »
Elle fit un sourire coquin.

« A ton avis ? »
« Ah… mais le truc c’est que j’ai pas envie là… dis-je avec un sourire moqueur. »
Katherine contourna la chaise longue, et vins à califourchon sur moi. Elle approcha son visage à quelques centimètres du mien, et susurra :
« L’ennui, c’est que t’as pas le choix... »
Elle m’attrapa par le cou, et attira mon visage contre le sien. Elle se mit à m’embrasser langoureusement, enroulant ses bras autour de mon cou, pressant sa poitrine contre mon torse, et m’allongeant doucement, me poussant contre le dossier de la chaise longue. Elle augmenta progressivement le rythme de notre baiser, faisant monter la passion et l’envie, au fur et à mesure que ses baisers devenaient de plus en plus brûlants et agressifs. Au bout d’un moment, elle retira son jean, puis son shorty, et fit de même avec mon caleçon et mon jean.

Puis avec un sourire coquin, elle s’empala sur moi. Je poussais un gémissement de plaisir, qui se transforma en cri lorsque Katherine se mit à aller et venir sur moi à grand rythme d’avant en arrière. Elle me baisait sur un rythme élevé et soutenu, ses hanches s’activant avec force sur moi, me culbutant contre la chaise longue, qui elle même se mit à tanguer bien vite. Elle était merveilleusement sexy ainsi, se déhanchant sur moi sauvagement, me regardant dans les yeux avec son air de tigresse. J’étais un peu frustré qu’elle ne soit pas totalement nue, mais son débardeur bleu la mettait très bien en valeur, elle n’en n’était pas moins sexy ainsi. Elle me baisait avec son habilité habituelle, et me faisait frémir de plaisir, je ne fus pas très long à pousser des cris de plaisir, et à me tortiller sur la chaise longue. Au bout d’un temps, je décidai de participer moi aussi, et saisis Katherine par les hanches pour l’aider dans la baise. Chose rare, elle me laissa faire, et ensemble, nous allâmes à grande vitesse vers le septième ciel. Elle ne tarda pas à gémir elle aussi, frissonnante de plaisir, et j’adorais la sentir vibrer à chaque fois qu’elle me donnait un coup de rein, amplifié par mes mains sur ses hanches, qui me faisait aller jusqu’au fond d’elle. Au moment où je la sentis sur le point de jouir, Katherine décida de reprendre le plein contrôle des opérations, et me saisissant les mains, me les plaqua contre le dossier. Elle se mit alors à bondir sur ma queue de haut en bas comme une folle, jusqu’à exploser dans un orgasme qui la fit hurler et s’effondrer sur moi.

Cela lui prit quelques secondes pour se remettre, elle me sourit pour me complimenter, et voyant que je bandais toujours, et que je n’avais pas joui, elle se remit à l’ouvrage.

Elle se ré-empala sur moi, mais cette fois-ci en me tournant le dos. Elle se remit à me chevaucher avec vigueur et sauvagerie, comme si elle cherchait à me faire jouir immédiatement. Elle se déhanchait furieusement, secouant son beau postérieur, me procurant d’incroyables sensations de plaisir, et me faisant gémir fréquemment. Loin de vouloir participer, je mis au contraire mes mains derrière ma tête, m’installant confortablement pendant que Katherine faisait tout le boulot, accélérant progressivement le tempo de ses assauts, me faisant bouillir de plaisir. Des vagues brûlantes me submergeaient, ma vue se mit à se brouiller, et je criai « accélère vas-y tu vas me faire jouir ! », ce qui poussa à Katherine à me donner des coups de hanches plus marqués et plus vigoureux. Il arriva ce qui devait arriver, dans un sursaut de plaisir monumental, j’explosai dans un délicieux orgasme qui me procura des spasmes incontrôlables de plaisir, jusqu’à ce que je reste écroulé sur la chaise longue, sonné par l’extase qu’elle m’avait procurée. Katherine qui avait aussi joui, était tremblante de plaisir, et légèrement essoufflée.

« T’as aimé mon grand ? »
« J’ai adoré, t’es vraiment la meilleure. »
Elle eut un sourire ravi, transpirante d’auto-satisfaction.

« C’est vrai, c’est vrai. »
Je pouffai devant sa prétention, et elle ria elle aussi. Nous restâmes un moment étendus sur la chaise longue.

Un peu plus tard, alors que le soleil commençait à se coucher, nous eûmes envie de nous promener sur la plage au coucher du soleil. Nous prévînmes la Blonde, qui nous y rejoignit. Nous nous promenâmes un temps sur la plage, jusqu’à ce que la Suédoise décide d’aller se baigner. Elle retira ses vêtements, ne gardant que le bikini violet qu’elle portait en dessous, et courut jusqu’à la mer. Katherine retira son t-shirt noir et son jean moulant, révélant un bikini noir, et courut à l’eau elle aussi. Je les attendis sur la plage, n’ayant pas envie de me baigner par cette soirée assez fraîche.

Pendant qu’elle se baignait, je notais avec satisfaction que la plage se vidait… on allait bientôt être seuls tous les trois…
Katherine fut la première à sortir de l’eau. Elle s’essuya, et se rhabilla, ce que je trouvais un peu triste. Pendant ce temps, la Suédoise continuait de se baigner toute seule. Katherine elle s’assit tout à côté de moi. Elle vit que j’observais la Blonde qui nageait, et sautait dans les vagues. D’ici, on pouvait voir sa volumineuse poitrine se secouer quand elle faisait ça.

« Elle te plaît grave, pas vrai ? Me lança Katherine. »
« Elle est hyper-bonne, c’est sûr, confirmai-je. »
« Une vraie bombe, renchérit-elle. »
Je l’observais, un peu amusé. Elle n’était plus jalouse du tout, c’était plutôt bien, mais en même temps ça me décevait.

« T’es pas mal non plus, tu sais. »
C’était l’euphémisme de l’année : avec son t-shirt moulant, légèrement mouillé, ses cheveux trempés qui dégageaient son magnifique visage, et le tout à la lumière du coucher de soleil, elle était bien plus que pas mal. Elle me fit un petit sourire et dit :
« C’est pas un scoop, j’ai des yeux pour me regarder, tu sais. »
Je souris devant sa prétention, mais en même temps, je trouvais ça tellement sexy que je ne pus m’empêcher de me jeter sur elle, et de l’embrasser sauvagement. Elle me rendit mon baiser avec passion, tandis que je l’approchais de moi en la tenant par la nuque. Nous accélérâmes progressivement le rythme de notre baiser, jusqu’à le rendre brûlant de passion et de sauvagerie. Katherine faisait durer les choses cependant. Chaque fois que j’essayais de nous faire aller un peu plus loin, elle me refoulait aussitôt, me forçant à continuer ce délicieux baiser.

Cela dura jusqu’à ce que je sentis quelque chose de doux et de mouillé se coller contre moi dans mon dos. Surpris, je rompis mon baiser avec Katherine et me retournai. La Blonde était sortie de l’eau et nous avait rejoints. Elle était hyper sexy, le corps ruisselant d’eau, les cheveux trempés qui dégageaient son visage, et son bikini qui mettait en valeur son corps de déesse.

Elle et Katherine me poussèrent et m’étalèrent sur le sable, et vinrent au-dessus de moi toutes les deux. Elles se mirent à m’embrasser, chacun d’un côté de mon cou, pressant leurs deux corps de rêve contre le mien. Autant dire que je ne fus pas long à bander comme un fou. J’avais envie de les prendre toutes les deux sur le champ, mais je savais que si je m’impatientais, elles en profiteraient pour me torturer, alors que je préférais me laisser aller. Katherine retira mon t-shirt, et elles se jetèrent toutes deux sur mes muscles, dévorant mes abdos et mes pectoraux, me faisant frissonner d’excitation. Elles s’interrompirent quelques secondes, le temps de s’embrasser toutes les deux suavement. Je savais bien qu’elles voulaient me rendre fou, mais voir cette belle brune et cette belle blonde s’embrasser, voir ces visages de déesse se coller l’un à l’autre, et leurs lèvres pulpeuses s’entre-mêler me rendit tout simplement dingue. Je me redressai d’un coup, et les saisissant toutes les deux par leur nuque, et les pressais l’une contre l’autre. Elles s’embrassèrent avec encore plus de passion et d’avidité, augmentant d’autant plus mon envie. Elles s’embrassèrent ainsi de longues minutes, jusqu’à ce qu’elles décident de se séparer.

Elles me poussèrent à nouveau sur le sable, et me retirèrent mon pantalon, puis mon caleçon, libérant enfin mon sexe tendu. Katherine commença à le branler doucement en me souriant de son air coquin, tandis que la Suédoise retirait son bas de maillot de bains, ne gardant que son haut de bikini. Elle vint s’asseoir sur mon visage, dans la même position que si elle se préparait à un 69. Elle pressa son minou contre ma bouche, pour me faire comprendre que je devais le lécher, et je m’exécutai docilement, activant ma langue comme jamais. Elle se tortilla sur mon visage, visiblement ravie de ce que je lui faisais. Pendant ce temps, je sentis Katherine se mettre à lécher mon sexe doucement, faisant courir sa langue du bas vers le haut, me faisant doucement frissonner de plaisir. Je n’étais pas au bout de mon plaisir : la Suédoise se joignit à Katherine pour me lécher à son tour. Leurs deux langues combinées s’enroulaient autour de mon sexe, l’asticotaient le faisaient vibrer. Par moments, Katherine léchait la base, tandis que la Blonde me léchait le gland, ou l’inverse. Ou encore, elles arrêtaient de me lécher, pour me prendre en main, et me branler vigoureusement. Moi pendant ce temps, je léchais la Suédoise avec autant d’entrain que possible, mais ce n’était pas facile, car elles me faisaient tant de bien, que j’avais du mal à me concentrer. Cependant, je devais bien faire mon travail, à en juger par les cris que poussaient la Suédoise…
Elles finirent par interrompre ce délicieux 69, pour passer à la suite.

La Suédoise saisit ma bite, et avec un gémissement, s’empala dessus. Me regardant droit dans les yeux, elle se mit à aller et venir sur moi, démarrant direct sur un rythme assez élevé, ses hanches me cognant avec vigueur, tandis que son imposante poitrine rebondissait sous son bikini. J’en frissonnai de plaisir, et ce frisson s’accentua lorsque Katherine vint derrière elle lui embrasser la nuque, les épaules, et lui masser les seins sous son bikini. On aurait pu croire qu’un tel traitement aurait gêné la Blonde, et qu’elle m’aurait baisé avec moins d’entrain, mais ce fut tout l’inverse : elle se mit au contraire à me baiser avec encore plus de vigueur et de force, comme si elle voulait m’enfoncer dans le sable. Tout en me baisant, elle se tortillait de plaisir sous les caresses et baisers de Katherine, et le spectacle de la belle brune, asticotant ainsi la belle Blonde, plus le plaisir que celle-ci me procurait, eurent rapidement raison de ma résistance : j’explosai dans un magnifique orgasme qui me fit pousser un grand cri de plaisir.

La Suédoise se retira de moi, et se retournant, se mit à embrasser Katherine avec fièvre. Elle lui retira son t-shirt noir, et s’empressa de dénouer le bikini de la même couleur que portait Katherine, libérant ses magnifiques seins, qu’elle dévora pendant un court, mais intense moment. Katherine finit par la repousser, et retirer son bikini violet, la mettant à nu, et dévoilant enfin son énorme poitrine, qu’elle massa avec vigueur.

Autant dire que je ne fus pas long devant ce spectacle à retrouver toute ma vigueur. Je me redressai aussitôt, prêt à les prendre toutes les deux, mais Katherine me plaqua contre le sable. Elle retira son short et son bas de bikini, pour s’empaler sur moi, mais en me tournant le dos. Elle se mit à se déhancher de gauche à droite, secouant son merveilleux cul, malmenant mon sexe, tant elle allait vite, et me procurant d’incroyables sensations de plaisir. De temps à autre, elle se retournait et me souriait d’un air coquin. La Suédoise se mêla à la danse, venant devant Katherine et lui léchant l’intimité. Bien que tremblante de plaisir sous les assauts de la langue de la Blonde, Katherine accéléra le rythme se déhanchant avec plus de vigueur qu’une danseuse, provoquant de véritables tsunamis de plaisir en moi. Elle continuait de se tourner vers moi, m’offrant la merveilleuse vision de son beau visage torturé par le plaisir qu’elle éprouvait. Je ne tardai pas à pousser de grands cris, mais Katherine hurlait encore plus fort que moi, du fait de mon sexe qu’elle malmenait délicieusement, et de la langue de la Suédoise, qui la faisait littéralement vibrer. Nous eûmes bien vite un délicieux orgasme, qui fit s’écrouler Katherine sur le sol, tremblante de plaisir, et me laissa sonné.

Katherine fut plus prompte à se remettre. Me voyant étendu sur le sable, elle en déduisit que je n’étais pas encore rétabli, et se jeta alors sur la Blonde. Elles s’embrassèrent avec passion, puis se séparèrent. Puis, chacune colla son intimité contre celle de l’autre, tout en s’unissant entre elles avec leurs jambes enroulées autour des hanches de l’autre dans une étreinte étroite et délicieuse. Elles se mirent à se caresser ainsi mutuellement, chacune gémissant de plaisir. Je ne pus me contenter de rester spectateur, et me joignis à elles. Je m’approchai de la Blonde, et insérai ma queue au milieu de ses magnifiques seins, et me mis à me branler avec. C’était un peu particulier, car je ne faisais pas cette branlette espagnole dans le sens « conventionnel ». En effet je ne passais pas par le bas de sa poitrine mais par le haut. C’était un peu plus difficile, et mais la poitrine de la Suédoise était si grosse que ça fonctionnait très bien malgré tout. Je baisais cette incroyable poitrine avec passion, frissonnant de plaisir, serrant à l’aide mes mains ses seins, pour comprimer mon sexe aux maximum. Le plaisir était grand, et l’excitation que j’éprouvais à baiser ces seins, et à écouter ces deux belles gémir comme des folles était telle, que les deux combinés me firent bien vite jouir. Je jouis une première fois sur les seins de la Blonde, puis, en gardant en réserve, je jouis sur son visage, l’aspergeant. Elle me sourit comme pour me remercier.

Je vins en suite au-dessus de Katherine, toujours occupée à se frotter contre la Suédoise, et lui présentant mon sexe, je le lui fis sucer. Elle l’avala goulûment, mais, comme j’étais au-dessus, c’était à moi de diriger. Je me mis donc à lui baiser la bouche avec pas mal de vigueur, frissonnant de plaisir. La tenant par la nuque, j’accélérai le rythme, dopé que j’étais, en voyant son regard chavirer sous le plaisir qu’elle éprouvait. Katherine avait vraiment un merveilleux visage, un visage d’ange, et le baiser sauvagement comme je le faisais était au-delà du délice. La belle usait en plus de sa langue pour rendre les choses plus exquises encore, et je ne tardai pas à jouir, me retirant juste à temps de sa bouche, pour pouvoir arroser son visage de ma semence. Peu de temps après, les filles eurent à leur tour un puissant orgasme, dû à leurs brûlantes caresses et gémirent à fond, s’écroulant sur le sable, ivres de plaisir.

On en avait pas fini cependant. J’étais toujours très affamé, et voyant la Suédoise me regarder dans les yeux avec un air coquin, je compris qu’elle espérait bien me voir reprendre rapidement toute ma vigueur. Je me redressai, et la plaquant contre le sable, je la pénétrai avec vigueur, tandis qu’elle enroulait ses jambes autour de ma taille. Avant même que je ne commence à la baiser, Katherine se joignit à nous, et s’assit sur le visage de la Suédoise, visiblement désireuse de reprendre du plaisir avec sa langue. Je démarrai de puissants va-et-vient, culbutant la Blonde avec vigueur, tandis que Katherine se déhanchait sur son visage, gémissant de plaisir sous ses coups de langue. Katherine me saisit ensuite par les cheveux, et tira dessus pour me faire comprendre que je devais aller plus vite. Docile et obéissant, je m’exécutai. Je me mis à accélérer le rythme, pilonnant la Blonde comme jamais, m’enfonçant loin en elle, vibrant de plaisir à chaque coup. Elle se mit à gémir, et c’était très excitant, même si ses gémissements étaient étouffés, vu qu’elle était sous Katherine. Celle-ci continuait de se déhancher sur son visage, vibrant de plaisir, tout en me dirigeant toujours par les cheveux, m’obligeant à la baiser toujours plus vite, toujours plus fort. Le plaisir que nous éprouvions tous les trois était trop fort, trop intense, il ne pouvait durer éternellement : nous eûmes tous les trois en même temps un monstrueux orgasme, qui nous fit nous écrouler hors d’haleine sur le sable.

On aurait pu croire qu’après une telle baise, on allait s’arrêter là. Sauf qu’on avait tous encore faim.

Katherine vint vers moi, et me plaqua contre le sable, me faisant redevenir dur. Elle s’empala sur moi, le regard brûlant de désir. La Suédoise, elle, vint s’asseoir sur mon visage, et se déhancha sur moi pour m’inciter à la lécher, ce que je fis aussitôt. Je fis tourbillonner ma langue sur son intimité, et eus la satisfaction de la sentir se raidir aussitôt, en proie à un grand plaisir visiblement. Pour ma part, j’éprouvais également beaucoup de plaisir, de la part de Katherine qui allait et venait sur moi, d’avant en arrière, me culbutant avec de plus en plus de férocité. Je saisis les cuisses de la Suédoise, et m’appliquai encore plus, me déchaînant littéralement, la faisant hurler de plaisir, et la paralysant tant c’était bon. Je la sentis se cambrer, et entendis sa respiration s’accélérer. Lorsque ma langue passa sur son clitoris, et tournoya dessus, elle explosa dans un magnifique orgasme, que je fis durer encore et encore, jusqu’à ce qu’elle s’écroule sur le sable, tremblante de bonheur. Katherine pendant ce temps, continuait de me baiser, toujours plus sauvagement. Ses hanches s’activaient comme jamais, sa poitrine se soulevait au rythme de ses mouvements, elle me faisait glisser sur le sable, encore et encore, tandis que le plaisir, brûlant et intense, montait toujours plus en nous deux. Elle se mit à bondir sur mon sexe de haut en bas, gémissant comme une folle, tandis que ma vue se brouillait sous l’extase qu’elle m’infligeait. Sous l’effet d’une brusque montée du plaisir, je me mis à planter mes doigts dans le sable, tentant de contenir la vague qui me submergeait, mais Katherine accéléra encore le rythme de ses assauts, me faisant chavirer une énième fois. J’explosai dans un orgasme dévastateur, que Katherine fit durer encore et encore, jusqu’à jouir elle aussi, avant de s’écrouler sur le sable.

Épuisés, nous restâmes tous les trois étendus sur le sable, jusqu’à ce que la nuit tombe. Alors nous nous rhabillâmes, et rentrâmes à notre bungalow, ravis de cette baise crépusculaire.

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