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Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Odette a presque dix-sept ans, elle va être pensionnaire car dans la petite ville où elle habite il n'existe pas de lycée. Ses parents l'ont inscrite dans une institution religieuse où, pensent-ils, elle sera mieux protégée des tentations de la chair qu'au lycée qui est mixte.
Odette est très innocente, certes en regardant dans le dictionnaire elle a vu des planches anatomiques qui montrent que les hommes et les femmes ne sont pas exactement faits pareil mais elle n'a jamais osé poser de question. Quand elle a eu ses règles sa mère lui a simplement dit que c'était normal car tous les mois le sang se purifiait et les toxines s'évacuaient comme l'urine et par le même conduit. Certes chez ses grands-parents, à la campagne, elle avait vu des chiens monter sur le dos des chiennes, une drôle de chose rouge entre les jambes mais les grands-parents ont expliqué que c'était des animaux et que les humaines ne faisaient pas de "bestialité". A la télévision elle a vu aussi des gens s'embrasser sur la bouche mais sa mère mit les choses au point en disant que c'était du cinéma qui montrait des gens de "mauvaise vie" et qu'il ne fallait jamais faire comme eux.
Bref Odette était une oie blanche au sens le plus total du terme, même au bal du 14 juillet ses parents lui permettaient de danser avec d'autres filles mais jamais avec un garçon surtout les slow où les corps se touchent ce qui est parfaitement indécent! Il faut savoir que nous étions au milieu des années 60 et que mai 68 était encore loin.
Pour son pensionnat sa mère lui avait acheté ces sortes de "cabines de plage" en tissus éponge qui permettaient de se déshabiller et de se changer sans que le corps soit visible. "Comme cela tu pourras enlever tes vêtements le soir et mettre ta chemise de nuit sans que l'on te voit!". Une chemise de nuit boutonnée au col et tombant jusqu'aux chevilles.
Odette rangeait ses affaires dans l'une des quatre armoires de la chambre dont le mobilier se composait en outre de quatre bureaux avec chaises et de quatre lits. Elle aurait donc trois autres camarades qui ne semblaient pas être encore arrivées.
Brusquement la porte s'est ouverte et une ravissante fille est entrée; grande à la peau cuivrée, sûrement métissée, avec de grands yeux verts et des cheveux bouclés mi-longs.
-Bonjour je suis Sophie, je suppose que tu es la nouvelle?
-Oui mon nom est Odette.
-Il ne manque plus qu'Anne dite Anne sans culotte.
-Pourquoi Anne sans culotte?
Sophie regarda Odette et lui trouva un air passablement godiche avec sa petite robe bleu marine, son col Claudine et ses chaussures plates, ses cheveux tirés en queue de cheval bien sage.
-Henry Bosco a écrit un livre dont le titre est L'âne culotte, elle c'est Anne sans culotte car elle est toujours en jeans et ne porte jamais ni string, ni slip pas plus que de sous tif, mais comme elle a des œufs sur le plat elle n'en a pas besoin.
Odette ouvrait la bouche comme une carpe sortie de l'eau; elle n'avait pas bien compris ce que venait de dire Sophie. Des jeans elle n'en avait pas, à la rigueur un pantalon de velours l'hiver par grands froids. Un string elle ignorait ce que cela était.
Elle fût tirée de ses réflexions par la porte qui s'ouvrait à nouveau.
-Ah! Voilà Ingrid dit Sophie, comme tu peux le voir elle a des origines nordiques avec un tel prénom et des cheveux aussi blonds. Le reste aussi est blond je te le garantie.
Que voulait dire Sophie, elle pensait être tombée chez des folles ne comprenant pas ce qu'on lui disait.
Ingrid s'est pendue au cou de Sophie et à la grande surprise d'Odette elle a fait comme dans certains films, elle a posé ses lèvres sur celles de Sophie et elles sont restées lèvres contre lèvres au moins une minute.
-Ta langue est toujours aussi mutine ma Sophie.
-La tienne a toujours aussi bon goût.
Odette était complètement perdue! Comment deux filles peuvent-elles s'embrasser comme le fond les hommes et les femmes débauchés des films que sa mère lui conseillait de ne pas regarder?
Pourquoi Sophie avait-elle une langue mutine, comment Ingrid le savait-elle et que voulait dire exactement mutine? Un dictionnaire s'imposait.
Mais la pauvre Odette n'était pas au bout de ses surprises avec l'arrivée d'Anne qui à peine la porte refermée s'est écriée :
-Ca y est les filles je me suis fait enfoncer la chatte par le loup pendant les vacances.
Les deux autres s'écrièrent: tu vas nous raconter quand on sera au calme, mais au moins c'était bien?
-Oui c'était bien mais différents d'avec vous mais rassurez-vous je vous raconterai.
On te présente Odette notre nouvelle camarade de chambre. Bonjour dit Anne en ajoutant pour ses deux amies:
-Mais on dirait une véritable enfant de Marie, je suis sure que toute son éducation est à faire et que l'on va avoir un sacré boulot!
Les deux autres éclatèrent de rire en approuvant tandis que la pauvre Odette comprenait de moins en moins et ne savait que dire. Elle était d'autant plus perplexe qu'a sa connaissance il n'y avait plus de loup en France(à cette époque).
Les trois filles installaient leurs affaires et Odette, installée sur son lit, les regardait faire en se demandant où et avec qui elle était tombée?
Vers 18 heures la surveillante générale a passé sa tête dans la porte.
-Ca va les filles? Vous avez fait connaissance avec votre nouvelle camarade?
-Oui Mademoiselle
-J'espère que vous serez gentilles avec elle?
-Oui Mademoiselle.
-N'oubliez pas la cloche du dîner à 19 heures.
-Non Mademoiselle.
Dans le collège mis à part la Supérieure, l'infirmière et deux ou trois professeurs qui étaient des
sœurs l'ensemble des enseignants étaient des laïques. La surveillante générale, mis à part son tailleur noir et ses cheveux coiffés en chignon strict, avait un sourire avenant et ne semblait pas trop sévère.
A peine la porte refermée l'une des filles dit à la cantonade:
-Elle a l'air bien souriante! Son mec a du bien la ramoner pendant les vacances!
Odette ne comprenait rien à ce qui venait de se dire. Elle avait l'impression d'entendre parler une langue étrangère; ce qui était partiellement vrai car le vocabulaire employé par ses camarades de chambres était pour elle de l'hébreu.
La cloche du dîner a teinté et elles sont parties pour la salle à manger.
-Tu ne dis rien, tu es fâchée Odette?
-Pas du tout, mais je n'ai pas très bien compris tout ce que vous disiez.
Les trois autres partirent d'un grand éclat de rire.
-Tu sais au lycée il y a beaucoup de choses à apprendre et tout n'est pas dans les manuels!
La salle à manger comportait des tables de huit, elles s'installèrent avec quatre autres filles qui semblaient être leurs amies. L'une d'elle, Catherine, dit à Françoise:
-Et ta chatte toujours aussi belle?
-Toujours très câline et en manque d'affection.
Voulant prendre part à la conversation Odette demandât:
-Tu as une chatte avec toi, mais c'est permis au lycée? j'adore les chats mais mes parents non jamais voulu avoir d'animaux à la maison.
-Je te la montrerai mais tu seras surprise!!!
Les sept convives se regardèrent estomaquées! Comment pouvait-on être aussi naïve, innocente ou bête?
Le dîner fini toutes les filles regagnèrent leurs chambres respectives.
-Je suis crevée, dit Sophie, vite au lit avec un bon bouquin puis dodo.
Les autres approuvèrent et commencèrent à se déshabiller. Odette enfila sa cloche en éponge pour mettre sa chemise de nuit, boutonnée jusqu'au cou et traînant sur ses pieds afin que le corps soit entièrement caché.
Elle est restée la bouche ouverte, muette de stupéfaction en constatant que les trois autres enlevaient leurs vêtements sans se dissimuler et continuaient à deviser, nues, entre elles comme si cela était la chose la plus naturelle du monde. Odette était très choquée, elle a qui sa mère avait toujours dit que l'on ne doit jamais se montrer toute nue et même se regarder en entier dans la glace de la salle de bain. Elle s'est vite tournée vers le mur pour fuir ce spectacle horrible.
La lumière n' a pas tardé à être éteinte mais une certaine clarté éclairait la chambre à cause de la fenêtre sans volet et du manque d'épaisseur des rideaux.
Dans cette obscurité relative Odette restait les yeux ouverts, troublée par ce qu'elle avait vu et entendu. Comment allait-elle faire pour s'intégrer au groupe?
Perdue dans ses pensées elle vit qu'Anne quittait son lit et allait se glisser dans celui de Sophie.
Était-elle malade? D'autant plus que peu après elle a commencé à entendre une respiration s'accélérer et l'une des deux geindre doucement. Elle était très intriguée et même inquiète pour sa camarade mais le sommeil fût le plus fort et elle est partie dans des rêves troubles….
(A suivre, si vous le souhaitez)
Odette est très innocente, certes en regardant dans le dictionnaire elle a vu des planches anatomiques qui montrent que les hommes et les femmes ne sont pas exactement faits pareil mais elle n'a jamais osé poser de question. Quand elle a eu ses règles sa mère lui a simplement dit que c'était normal car tous les mois le sang se purifiait et les toxines s'évacuaient comme l'urine et par le même conduit. Certes chez ses grands-parents, à la campagne, elle avait vu des chiens monter sur le dos des chiennes, une drôle de chose rouge entre les jambes mais les grands-parents ont expliqué que c'était des animaux et que les humaines ne faisaient pas de "bestialité". A la télévision elle a vu aussi des gens s'embrasser sur la bouche mais sa mère mit les choses au point en disant que c'était du cinéma qui montrait des gens de "mauvaise vie" et qu'il ne fallait jamais faire comme eux.
Bref Odette était une oie blanche au sens le plus total du terme, même au bal du 14 juillet ses parents lui permettaient de danser avec d'autres filles mais jamais avec un garçon surtout les slow où les corps se touchent ce qui est parfaitement indécent! Il faut savoir que nous étions au milieu des années 60 et que mai 68 était encore loin.
Pour son pensionnat sa mère lui avait acheté ces sortes de "cabines de plage" en tissus éponge qui permettaient de se déshabiller et de se changer sans que le corps soit visible. "Comme cela tu pourras enlever tes vêtements le soir et mettre ta chemise de nuit sans que l'on te voit!". Une chemise de nuit boutonnée au col et tombant jusqu'aux chevilles.
Odette rangeait ses affaires dans l'une des quatre armoires de la chambre dont le mobilier se composait en outre de quatre bureaux avec chaises et de quatre lits. Elle aurait donc trois autres camarades qui ne semblaient pas être encore arrivées.
Brusquement la porte s'est ouverte et une ravissante fille est entrée; grande à la peau cuivrée, sûrement métissée, avec de grands yeux verts et des cheveux bouclés mi-longs.
-Bonjour je suis Sophie, je suppose que tu es la nouvelle?
-Oui mon nom est Odette.
-Il ne manque plus qu'Anne dite Anne sans culotte.
-Pourquoi Anne sans culotte?
Sophie regarda Odette et lui trouva un air passablement godiche avec sa petite robe bleu marine, son col Claudine et ses chaussures plates, ses cheveux tirés en queue de cheval bien sage.
-Henry Bosco a écrit un livre dont le titre est L'âne culotte, elle c'est Anne sans culotte car elle est toujours en jeans et ne porte jamais ni string, ni slip pas plus que de sous tif, mais comme elle a des œufs sur le plat elle n'en a pas besoin.
Odette ouvrait la bouche comme une carpe sortie de l'eau; elle n'avait pas bien compris ce que venait de dire Sophie. Des jeans elle n'en avait pas, à la rigueur un pantalon de velours l'hiver par grands froids. Un string elle ignorait ce que cela était.
Elle fût tirée de ses réflexions par la porte qui s'ouvrait à nouveau.
-Ah! Voilà Ingrid dit Sophie, comme tu peux le voir elle a des origines nordiques avec un tel prénom et des cheveux aussi blonds. Le reste aussi est blond je te le garantie.
Que voulait dire Sophie, elle pensait être tombée chez des folles ne comprenant pas ce qu'on lui disait.
Ingrid s'est pendue au cou de Sophie et à la grande surprise d'Odette elle a fait comme dans certains films, elle a posé ses lèvres sur celles de Sophie et elles sont restées lèvres contre lèvres au moins une minute.
-Ta langue est toujours aussi mutine ma Sophie.
-La tienne a toujours aussi bon goût.
Odette était complètement perdue! Comment deux filles peuvent-elles s'embrasser comme le fond les hommes et les femmes débauchés des films que sa mère lui conseillait de ne pas regarder?
Pourquoi Sophie avait-elle une langue mutine, comment Ingrid le savait-elle et que voulait dire exactement mutine? Un dictionnaire s'imposait.
Mais la pauvre Odette n'était pas au bout de ses surprises avec l'arrivée d'Anne qui à peine la porte refermée s'est écriée :
-Ca y est les filles je me suis fait enfoncer la chatte par le loup pendant les vacances.
Les deux autres s'écrièrent: tu vas nous raconter quand on sera au calme, mais au moins c'était bien?
-Oui c'était bien mais différents d'avec vous mais rassurez-vous je vous raconterai.
On te présente Odette notre nouvelle camarade de chambre. Bonjour dit Anne en ajoutant pour ses deux amies:
-Mais on dirait une véritable enfant de Marie, je suis sure que toute son éducation est à faire et que l'on va avoir un sacré boulot!
Les deux autres éclatèrent de rire en approuvant tandis que la pauvre Odette comprenait de moins en moins et ne savait que dire. Elle était d'autant plus perplexe qu'a sa connaissance il n'y avait plus de loup en France(à cette époque).
Les trois filles installaient leurs affaires et Odette, installée sur son lit, les regardait faire en se demandant où et avec qui elle était tombée?
Vers 18 heures la surveillante générale a passé sa tête dans la porte.
-Ca va les filles? Vous avez fait connaissance avec votre nouvelle camarade?
-Oui Mademoiselle
-J'espère que vous serez gentilles avec elle?
-Oui Mademoiselle.
-N'oubliez pas la cloche du dîner à 19 heures.
-Non Mademoiselle.
Dans le collège mis à part la Supérieure, l'infirmière et deux ou trois professeurs qui étaient des
sœurs l'ensemble des enseignants étaient des laïques. La surveillante générale, mis à part son tailleur noir et ses cheveux coiffés en chignon strict, avait un sourire avenant et ne semblait pas trop sévère.
A peine la porte refermée l'une des filles dit à la cantonade:
-Elle a l'air bien souriante! Son mec a du bien la ramoner pendant les vacances!
Odette ne comprenait rien à ce qui venait de se dire. Elle avait l'impression d'entendre parler une langue étrangère; ce qui était partiellement vrai car le vocabulaire employé par ses camarades de chambres était pour elle de l'hébreu.
La cloche du dîner a teinté et elles sont parties pour la salle à manger.
-Tu ne dis rien, tu es fâchée Odette?
-Pas du tout, mais je n'ai pas très bien compris tout ce que vous disiez.
Les trois autres partirent d'un grand éclat de rire.
-Tu sais au lycée il y a beaucoup de choses à apprendre et tout n'est pas dans les manuels!
La salle à manger comportait des tables de huit, elles s'installèrent avec quatre autres filles qui semblaient être leurs amies. L'une d'elle, Catherine, dit à Françoise:
-Et ta chatte toujours aussi belle?
-Toujours très câline et en manque d'affection.
Voulant prendre part à la conversation Odette demandât:
-Tu as une chatte avec toi, mais c'est permis au lycée? j'adore les chats mais mes parents non jamais voulu avoir d'animaux à la maison.
-Je te la montrerai mais tu seras surprise!!!
Les sept convives se regardèrent estomaquées! Comment pouvait-on être aussi naïve, innocente ou bête?
Le dîner fini toutes les filles regagnèrent leurs chambres respectives.
-Je suis crevée, dit Sophie, vite au lit avec un bon bouquin puis dodo.
Les autres approuvèrent et commencèrent à se déshabiller. Odette enfila sa cloche en éponge pour mettre sa chemise de nuit, boutonnée jusqu'au cou et traînant sur ses pieds afin que le corps soit entièrement caché.
Elle est restée la bouche ouverte, muette de stupéfaction en constatant que les trois autres enlevaient leurs vêtements sans se dissimuler et continuaient à deviser, nues, entre elles comme si cela était la chose la plus naturelle du monde. Odette était très choquée, elle a qui sa mère avait toujours dit que l'on ne doit jamais se montrer toute nue et même se regarder en entier dans la glace de la salle de bain. Elle s'est vite tournée vers le mur pour fuir ce spectacle horrible.
La lumière n' a pas tardé à être éteinte mais une certaine clarté éclairait la chambre à cause de la fenêtre sans volet et du manque d'épaisseur des rideaux.
Dans cette obscurité relative Odette restait les yeux ouverts, troublée par ce qu'elle avait vu et entendu. Comment allait-elle faire pour s'intégrer au groupe?
Perdue dans ses pensées elle vit qu'Anne quittait son lit et allait se glisser dans celui de Sophie.
Était-elle malade? D'autant plus que peu après elle a commencé à entendre une respiration s'accélérer et l'une des deux geindre doucement. Elle était très intriguée et même inquiète pour sa camarade mais le sommeil fût le plus fort et elle est partie dans des rêves troubles….
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ça commence bien et c'est bien écrit!! vivement la suite !
Et comment Florence, il FAUT la suite. Ne nous laissez pas ainsi, pantelants, sans connaître toutes les turpitudes que cette pauvre Odette va découvrir.
Un peu court, mais assez bien écrit et prometteur...
Bien sûr que nous le souhaitons Florence, vite racontez-nous les émois d'Odette