DECOUVERTES - 4
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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DECOUVERTES - 4
Odette fut la première réveillée le lendemain, elle a regardé ses trois condisciples et repensant à ce qui s'était passé la veille, elle sentit sa fente s'humidifier et ne put retenir son doigt d'aller caresser ses lèvres, maintenant bien accessibles puisque débarrassées de la toison qui les cachait.
Avec délice son doigt parcourait les lèvres roses et son bouton d'amour grossissait réclamant des caresses qu'elle ne souhaitait pas lui donner tout de suite sachant que ce lui déclencherait immédiatement un orgasme qu'elle savait être dévastateur.
Petit à petit les autres se sont réveillées et Ingrid, en venant l'embrasser, lui a dit :
- Toi tu fais des progrès, tu as la tête de celle qui vient de se faire jouir !
Rouge de confusion Odette n'a pas démenti. Les trois autres, un peu en retard, n'avaient pas eu la possibilité d'en faire autant.
- Vivement le cours que je puisse demander d'aller aux toilettes. Dit l'une d'elles.
- J'aimerais bien comprendre ce qu'est cette histoire que certaines ont toutes à demander d'aller aux toilettes pendant les cours ?
- Odette ! Tu n'as pas encore compris ! Quand un cours nous emmerde nous demandons à aller aux toilettes pour avoir la paix afin de chatouiller nos clitos.
- Mais vous le faites souvent en une journée.
- Bien sure, mais se masturber plusieurs fois par jour c'est très sain pour la santé !
- Il y a une autre chose que je ne pige pas. En arrivant dans la chambre Anne a dit "Je me suis fait enfoncer la chatte par le loup !". S'il vous plait expliquez-moi.
- Pour le moment on va en cours mais si tu es sage, à la récréation, tu auras les explications mais à la condition que pendant un cours tu ailles aussi aux toilettes et y restes assez longtemps pour te faire jouir. Ne triche pas, nous sentirons et sucerons tes doigts à ton retour pour être sures qu'ils ont bien un goût de mouille.
Toutes quatre partirent en cours en riant. Odette avait hâte que la récréation arrive, mais avant elle devait se plier au rite des WC. Et sans tricher, car elle était certaine que l'une de ses condisciples ferait les vérifications nécessaires à son retour. Au milieu du premier cours Odette levant la main demandât à sortir.
- Vous vous y mettez aussi, allez-y mais vite ! Réponds le professeur.
Odette devint rouge jusqu'à la racine des cheveux d'autant plus que les adeptes de ces sorties riaient sous cape.
Arrivée aux toilettes, elle ferma la porte en vérifiant le verrou. Elle sentait son slip humide mais savait, maintenant, que ce n'était pas une fuite urinaire ! Elle le baissa rapidement impatiente de pouvoir introduire un doigt dans sa fente juteuse. Elle se sentait excitée d'autant plus que c'était la première fois qu'elle allait se caresser ailleurs que dans l'intimité de son lit ; rien que cette pensée lui faisait durcir le clitoris à qui elle ne refusa pas une attention immédiate. Elle sentait sa mouille ruisseler sur ses doigts et dès qu'elle porta son index sur ce petit bouton si sensible un violent orgasme l'inonda à tel point qu'elle était obligée de se mordre les lèvres pour étouffer le cri qu'elle avait envie de pousser.
Encore chancelante du plaisir indicible qu'elle venait de se donner, elle retourna en classe, sans se laver les mains pour apporter, à ses amies, la preuve gluante et odorante de ce qu'elle venait de se faire.
- Enfin un début prometteur lui dit Ingrid à côté de laquelle elle était assise.
Elle en était très contente, car elle les trouvait toutes les trois jolies et désirables, elle avait un faible pour Ingrid et la blondeur de son pubis parfaitement entretenu et coiffé chaque matin.
Enfin l'heure de la récréation était arrivée ; elle espérait bien que les trois autres allaient réaliser leur promesse !
- Viens Odette, allons dans un coin tranquille, nous allons t'expliquer. Tu sais ce qu'est faire l'amour ?
- Maman m'a dit que quand on était marié, il était normal d'avoir des enfants et que pour y arriver, il fallait qu'un homme et une femme s'aiment et se le prouvent en se serrant, très fort, quand ils étaient dans un lit. Mais que certaine personne, que Dieu les pardonne, ne le faisait que par plaisir, ce qui était très mal. Enfin une fille ne devait jamais le faire avant son mariage pour rester pure pour son mari.
- Ta mère t'a raconté des conneries. D'une part il n'est pas nécessaire d'être marié pour faire l'amour; d'autre part, on peut faire l'amour entre filles ou entre garçons et il ne suffit pas de se mettre dans un lit et de se serrer très fort pour faire l'amour.
- Mais alors c'est quoi ? Vite, j'ai hâte de savoir et l'heure tourne.
- Tu sais quand même qu'il existe une différence entre un garçon et une fille au niveau de l'entrejambes.
- Oui les garçons ont quelque chose qui pend et qui leur permet de faire pipi debout.
- C'est exact, mais pas uniquement. Ce qui pend, cette sorte de saucisse, de taille différente, est entourée par deux boules l'ensemble et parfois nommé le "costumes trois pièces" ; quant à la saucisse les noms sont variés, comme pour la chatte des filles. On dit une bite ou bitte les deux sont admis.
- Ah ! Je sais ce que c'est, papa amarre son bateau sur le quai à une bitte.
- Oui parce que ce pieu ressemble à un zob, autre nom pour le pénis qui est le terme anatomique pour désigner la dite saucisse, mais on peut dire aussi le vit, le braquermart, la queue et bien d'autres… Quand une fille est excitée et qu'elle se caresse tu sais maintenant qu'elle coule et que c'est de la mouille au délicieux goût iodé. Pour un garçon, c'est presque la même chose. Quand il est stimulé par des images "cochonnes" ou qu'une fille lui fait envie son zob gonfle, se dresse, devient dur et il a envie de le mettre dans la fente de la fille qui, s'il elle est aussi attirée par le garçon, se met à couler car la mouille est un lubrifiant qui permet à la bite de coulisser dans le vagin facilement.
C'est ça faire l'amour. La fille ressent un vif plaisir à sentir cet engin pénétrer au fond d'elle et l'orgasme n'est pas loin. C'est la même chose pour le mec, mais lui quand il a un orgasme, il décharge des giclées de sperme dans le vagin de la fille.
Mais attention, car certains jours du mois, elle peut se retrouver enceinte, c'est pourquoi il est préférable de prendre la pilule.
De plus sans pénétrer dans le trou de la fille un garçon peut aussi éjaculer, il suffit qu'il se branle, c'est comme tu te caresses ou bien, c'est la fille qui le lui fait soit avec la main soit avec la bouche en le suçant.
- Mais c'est très sale ! ! !
- Non c'est délicieux, mais tu peux aussi le retirer de ta bouche avant que cela ne jaillisse et tout recevoir sur le visage, sur tes seins, sur tes poils ; c'est très agréable aussi.
Odette commençait à réaliser que ses parents lui avaient caché bien des choses ou pour le moins ne lui avaient pas dit ce qu'était réellement la sexualité, empêtrés qu'ils étaient dans leur morale religieuse. Ils auraient des surprises !
Pour le moment, ma petite Odette, retournons en cours mais ce soir promis nous allons te faire jouir comme jamais !
Ne voulant pas se faire remarquer, elle n'a pas demandé à aller aux toilettes malgré l'envie qu'elle avait de se caresser. Elle serrait fortement ses cuisses l'une contre l'autre et a constaté que cela lui procurait, quand même des sensations bien agréables…
Le soir venu, elle était surprise de voir ses trois amies sagement assises, studieusement, à leur table de travail. Bien sure l'une avait la main dans son chemisier et devait se masser la pointe d'un sein ; l'autre passait distraitement sa main sur sa cuisse en remontant, certes, un peu haut; la troisième avait déboutonné son jeans et avait une main dans sa culotte. Mais l'ambiance était tellement calme que l'on aurait entendu une mouche voler.
- Que se passe-t-il demanda Odette ?
- Chut ! On attend le signal.
- Mais quel signal ?
Juste à ce moment là, deux ou trois coups furent frappés sur le mur mitoyen de l'autre chambre. Immédiatement les trois diablesses prirent un air encore plus studieux et concentré, mais l'une d'elles frappa deux coups sur l'autre mur; quelques secondes plus tard la porte s'ouvrit sur une surveillante.
- C'est bien les filles, vous êtes sages et vous travaillez, bonne nuit.
Dès la porte refermée, elles fermèrent les manuels pour se déshabiller. Ingrid dit à Odette de s'allonger sur le lit afin qu'elle lui fasse un massage décontractant. Ingrid s'est allongée de tout son long sur Odette et a commencé de petits mouvements d'ondulation de tout son corps tout en ayant pris la bouche d'Odette sur la sienne. Alternativement, elle augmentait sa pression sur les seins, le sexe, le ventre, les jambes. Délaissant les lèvres elle a commencé un mouvement de reptation vers le bas couvrant Odette de baisers derrière l'oreille, dans le cou puis sur les seins. Sa langue frétillait comme celle d'un serpent, faisant le tour des aréoles puis faisant durcir les pointes. Ses propres pointes étaient arrivées au niveau du pubis et comme elle les avait très longues elle en fit passer une tout au long de la fente d'Odette qui commençait à se tordre de ces plaisirs inédits. Délaissant les seins et continuant sa reptation descendante, ses doigts remplacèrent sa langue qui elle vint prendre la place de la pointe de sein. De deux doigts elle écarta les pétales formés par les lèvres de la vulve d'Odette afin que sa langue puisse plus facilement aller chercher le pistil qui, elle en était certaine, allait ouvrir en durcissant les vannes de la fontaine à cyprine qu'elle boirait avec avidité.
Le corps d'Odette semblait parcouru par un courant électrique tellement il bondissait à chaque passage de la langue de son amante sur ce bouton si sensible et un râle continu filtrait de ses lèvres preuve du vif plaisir qu'elle éprouvait. Elle parvenait quand même à prononcer des phrases désordonnées.
- Oh ! Oui c'est bon, n'arrête pas, encorrrrrrrrrrrrreeeeeeeee !
Pendant ces ébats Anne et Sophie contemplaient la scène, assises côte à côte sur un lit et se masturbant mutuellement, ne s'interrompant de temps à autres que pour sucer, avec délectation, leurs doigts emplis de mouille.
Après avoir procuré à Odette, plusieurs orgasmes Ingrid lui dit.
- Maintenant, tu sais comment on suce une fille pour la faire jouir, je vais donc venir poser ma minette sur ta bouche et tu me feras ce que je viens de te faire.
- Crois-tu que je saurais ? Et tu couleras dans ma bouche aussi ?
- Bien sûr ! Et puis je te guiderai si tu n'y arrive pas bien.
Elles se mirent en position de 69. Odette se délectait de l'odeur de la toison d'Ingrid, qui vaporisait toujours un peu de parfum sur ses poils, lequel venait se mélanger à l'odeur propre du sexe qui évoquait la mer. Timidement, sa langue est partie à la découverte de ce fruit dont le jus, si bon et nouveau pour elle, commençait à inonder sa bouche. Ingrid faisait de même mais avec plus de déterminations. Cela permettait à Odette de calquer ses mouvements sur ceux de son amante qui faisait tourner son clitoris dans sa bouche tout en aspirant la cyprine qui coulait d'abondance.
Odette ne savait plus ce qui était le meilleur, sucer Ingrid ou sentir la langue de cette dernière fouiller son intimité ?
Toujours est-il que la pointe de ses seins durcissait douloureusement. Elle sentit qu'un puissant orgasme allait la submerger d'autant plus qu'Ingrid, tout en la suçant, avait passé un doigt dans la raie de ses fesses et caressait la rondelle plissée dont elle était ornée. Elle est restée pantelante ainsi qu'Ingrid dont le visage était couvert de la liqueur d'Odette.
Les deux autres avaient assisté à cette scène, puissamment érotique, et l'auréole sur leur drap était la preuve visuelle du plaisir qu'elles s'étaient donné.
Les quatre filles regagnèrent leur lit et la lumière fut éteinte, seul le bruit du clapotis de la mouille dans laquelle les doigts se plongeaient ainsi que le bruit des halètements qu'elles ne pouvaient retenir.
Les jours passèrent, ponctués de baisers, de caresses, d'orgasmes jusqu'à la fin du mois qui marquait le week-end mensuel pendant lequel les élèves pouvaient aller dans leur famille.
Ingrid dit à Odette :
- Présente-moi à tes parents pour que je leur demande, si le mois prochain ils acceptent que tu viennes chez moi, car c'est mon anniversaire.
- Avec plaisir, mais je doute qu'ils acceptent.
Le jour venu, Ingrid s'était habillée en jeune fille "sage", jupe plissée bleu marine, socquettes blanches, talons plats, chemisier blanc et cardigan bleu marine aussi.
Elle fit très bonne impression sur les parents d'Odette qui, contre toute attente, acceptèrent que le mois suivant Odette aille chez Ingrid.
- Tu vois que j'ai eu raison de me déguiser. Ils ont accepté !
Odette était impatiente d'être le mois suivant, se demandant comment aller se dérouler l'anniversaire d'Ingrid ?
À suivre
Avec délice son doigt parcourait les lèvres roses et son bouton d'amour grossissait réclamant des caresses qu'elle ne souhaitait pas lui donner tout de suite sachant que ce lui déclencherait immédiatement un orgasme qu'elle savait être dévastateur.
Petit à petit les autres se sont réveillées et Ingrid, en venant l'embrasser, lui a dit :
- Toi tu fais des progrès, tu as la tête de celle qui vient de se faire jouir !
Rouge de confusion Odette n'a pas démenti. Les trois autres, un peu en retard, n'avaient pas eu la possibilité d'en faire autant.
- Vivement le cours que je puisse demander d'aller aux toilettes. Dit l'une d'elles.
- J'aimerais bien comprendre ce qu'est cette histoire que certaines ont toutes à demander d'aller aux toilettes pendant les cours ?
- Odette ! Tu n'as pas encore compris ! Quand un cours nous emmerde nous demandons à aller aux toilettes pour avoir la paix afin de chatouiller nos clitos.
- Mais vous le faites souvent en une journée.
- Bien sure, mais se masturber plusieurs fois par jour c'est très sain pour la santé !
- Il y a une autre chose que je ne pige pas. En arrivant dans la chambre Anne a dit "Je me suis fait enfoncer la chatte par le loup !". S'il vous plait expliquez-moi.
- Pour le moment on va en cours mais si tu es sage, à la récréation, tu auras les explications mais à la condition que pendant un cours tu ailles aussi aux toilettes et y restes assez longtemps pour te faire jouir. Ne triche pas, nous sentirons et sucerons tes doigts à ton retour pour être sures qu'ils ont bien un goût de mouille.
Toutes quatre partirent en cours en riant. Odette avait hâte que la récréation arrive, mais avant elle devait se plier au rite des WC. Et sans tricher, car elle était certaine que l'une de ses condisciples ferait les vérifications nécessaires à son retour. Au milieu du premier cours Odette levant la main demandât à sortir.
- Vous vous y mettez aussi, allez-y mais vite ! Réponds le professeur.
Odette devint rouge jusqu'à la racine des cheveux d'autant plus que les adeptes de ces sorties riaient sous cape.
Arrivée aux toilettes, elle ferma la porte en vérifiant le verrou. Elle sentait son slip humide mais savait, maintenant, que ce n'était pas une fuite urinaire ! Elle le baissa rapidement impatiente de pouvoir introduire un doigt dans sa fente juteuse. Elle se sentait excitée d'autant plus que c'était la première fois qu'elle allait se caresser ailleurs que dans l'intimité de son lit ; rien que cette pensée lui faisait durcir le clitoris à qui elle ne refusa pas une attention immédiate. Elle sentait sa mouille ruisseler sur ses doigts et dès qu'elle porta son index sur ce petit bouton si sensible un violent orgasme l'inonda à tel point qu'elle était obligée de se mordre les lèvres pour étouffer le cri qu'elle avait envie de pousser.
Encore chancelante du plaisir indicible qu'elle venait de se donner, elle retourna en classe, sans se laver les mains pour apporter, à ses amies, la preuve gluante et odorante de ce qu'elle venait de se faire.
- Enfin un début prometteur lui dit Ingrid à côté de laquelle elle était assise.
Elle en était très contente, car elle les trouvait toutes les trois jolies et désirables, elle avait un faible pour Ingrid et la blondeur de son pubis parfaitement entretenu et coiffé chaque matin.
Enfin l'heure de la récréation était arrivée ; elle espérait bien que les trois autres allaient réaliser leur promesse !
- Viens Odette, allons dans un coin tranquille, nous allons t'expliquer. Tu sais ce qu'est faire l'amour ?
- Maman m'a dit que quand on était marié, il était normal d'avoir des enfants et que pour y arriver, il fallait qu'un homme et une femme s'aiment et se le prouvent en se serrant, très fort, quand ils étaient dans un lit. Mais que certaine personne, que Dieu les pardonne, ne le faisait que par plaisir, ce qui était très mal. Enfin une fille ne devait jamais le faire avant son mariage pour rester pure pour son mari.
- Ta mère t'a raconté des conneries. D'une part il n'est pas nécessaire d'être marié pour faire l'amour; d'autre part, on peut faire l'amour entre filles ou entre garçons et il ne suffit pas de se mettre dans un lit et de se serrer très fort pour faire l'amour.
- Mais alors c'est quoi ? Vite, j'ai hâte de savoir et l'heure tourne.
- Tu sais quand même qu'il existe une différence entre un garçon et une fille au niveau de l'entrejambes.
- Oui les garçons ont quelque chose qui pend et qui leur permet de faire pipi debout.
- C'est exact, mais pas uniquement. Ce qui pend, cette sorte de saucisse, de taille différente, est entourée par deux boules l'ensemble et parfois nommé le "costumes trois pièces" ; quant à la saucisse les noms sont variés, comme pour la chatte des filles. On dit une bite ou bitte les deux sont admis.
- Ah ! Je sais ce que c'est, papa amarre son bateau sur le quai à une bitte.
- Oui parce que ce pieu ressemble à un zob, autre nom pour le pénis qui est le terme anatomique pour désigner la dite saucisse, mais on peut dire aussi le vit, le braquermart, la queue et bien d'autres… Quand une fille est excitée et qu'elle se caresse tu sais maintenant qu'elle coule et que c'est de la mouille au délicieux goût iodé. Pour un garçon, c'est presque la même chose. Quand il est stimulé par des images "cochonnes" ou qu'une fille lui fait envie son zob gonfle, se dresse, devient dur et il a envie de le mettre dans la fente de la fille qui, s'il elle est aussi attirée par le garçon, se met à couler car la mouille est un lubrifiant qui permet à la bite de coulisser dans le vagin facilement.
C'est ça faire l'amour. La fille ressent un vif plaisir à sentir cet engin pénétrer au fond d'elle et l'orgasme n'est pas loin. C'est la même chose pour le mec, mais lui quand il a un orgasme, il décharge des giclées de sperme dans le vagin de la fille.
Mais attention, car certains jours du mois, elle peut se retrouver enceinte, c'est pourquoi il est préférable de prendre la pilule.
De plus sans pénétrer dans le trou de la fille un garçon peut aussi éjaculer, il suffit qu'il se branle, c'est comme tu te caresses ou bien, c'est la fille qui le lui fait soit avec la main soit avec la bouche en le suçant.
- Mais c'est très sale ! ! !
- Non c'est délicieux, mais tu peux aussi le retirer de ta bouche avant que cela ne jaillisse et tout recevoir sur le visage, sur tes seins, sur tes poils ; c'est très agréable aussi.
Odette commençait à réaliser que ses parents lui avaient caché bien des choses ou pour le moins ne lui avaient pas dit ce qu'était réellement la sexualité, empêtrés qu'ils étaient dans leur morale religieuse. Ils auraient des surprises !
Pour le moment, ma petite Odette, retournons en cours mais ce soir promis nous allons te faire jouir comme jamais !
Ne voulant pas se faire remarquer, elle n'a pas demandé à aller aux toilettes malgré l'envie qu'elle avait de se caresser. Elle serrait fortement ses cuisses l'une contre l'autre et a constaté que cela lui procurait, quand même des sensations bien agréables…
Le soir venu, elle était surprise de voir ses trois amies sagement assises, studieusement, à leur table de travail. Bien sure l'une avait la main dans son chemisier et devait se masser la pointe d'un sein ; l'autre passait distraitement sa main sur sa cuisse en remontant, certes, un peu haut; la troisième avait déboutonné son jeans et avait une main dans sa culotte. Mais l'ambiance était tellement calme que l'on aurait entendu une mouche voler.
- Que se passe-t-il demanda Odette ?
- Chut ! On attend le signal.
- Mais quel signal ?
Juste à ce moment là, deux ou trois coups furent frappés sur le mur mitoyen de l'autre chambre. Immédiatement les trois diablesses prirent un air encore plus studieux et concentré, mais l'une d'elles frappa deux coups sur l'autre mur; quelques secondes plus tard la porte s'ouvrit sur une surveillante.
- C'est bien les filles, vous êtes sages et vous travaillez, bonne nuit.
Dès la porte refermée, elles fermèrent les manuels pour se déshabiller. Ingrid dit à Odette de s'allonger sur le lit afin qu'elle lui fasse un massage décontractant. Ingrid s'est allongée de tout son long sur Odette et a commencé de petits mouvements d'ondulation de tout son corps tout en ayant pris la bouche d'Odette sur la sienne. Alternativement, elle augmentait sa pression sur les seins, le sexe, le ventre, les jambes. Délaissant les lèvres elle a commencé un mouvement de reptation vers le bas couvrant Odette de baisers derrière l'oreille, dans le cou puis sur les seins. Sa langue frétillait comme celle d'un serpent, faisant le tour des aréoles puis faisant durcir les pointes. Ses propres pointes étaient arrivées au niveau du pubis et comme elle les avait très longues elle en fit passer une tout au long de la fente d'Odette qui commençait à se tordre de ces plaisirs inédits. Délaissant les seins et continuant sa reptation descendante, ses doigts remplacèrent sa langue qui elle vint prendre la place de la pointe de sein. De deux doigts elle écarta les pétales formés par les lèvres de la vulve d'Odette afin que sa langue puisse plus facilement aller chercher le pistil qui, elle en était certaine, allait ouvrir en durcissant les vannes de la fontaine à cyprine qu'elle boirait avec avidité.
Le corps d'Odette semblait parcouru par un courant électrique tellement il bondissait à chaque passage de la langue de son amante sur ce bouton si sensible et un râle continu filtrait de ses lèvres preuve du vif plaisir qu'elle éprouvait. Elle parvenait quand même à prononcer des phrases désordonnées.
- Oh ! Oui c'est bon, n'arrête pas, encorrrrrrrrrrrrreeeeeeeee !
Pendant ces ébats Anne et Sophie contemplaient la scène, assises côte à côte sur un lit et se masturbant mutuellement, ne s'interrompant de temps à autres que pour sucer, avec délectation, leurs doigts emplis de mouille.
Après avoir procuré à Odette, plusieurs orgasmes Ingrid lui dit.
- Maintenant, tu sais comment on suce une fille pour la faire jouir, je vais donc venir poser ma minette sur ta bouche et tu me feras ce que je viens de te faire.
- Crois-tu que je saurais ? Et tu couleras dans ma bouche aussi ?
- Bien sûr ! Et puis je te guiderai si tu n'y arrive pas bien.
Elles se mirent en position de 69. Odette se délectait de l'odeur de la toison d'Ingrid, qui vaporisait toujours un peu de parfum sur ses poils, lequel venait se mélanger à l'odeur propre du sexe qui évoquait la mer. Timidement, sa langue est partie à la découverte de ce fruit dont le jus, si bon et nouveau pour elle, commençait à inonder sa bouche. Ingrid faisait de même mais avec plus de déterminations. Cela permettait à Odette de calquer ses mouvements sur ceux de son amante qui faisait tourner son clitoris dans sa bouche tout en aspirant la cyprine qui coulait d'abondance.
Odette ne savait plus ce qui était le meilleur, sucer Ingrid ou sentir la langue de cette dernière fouiller son intimité ?
Toujours est-il que la pointe de ses seins durcissait douloureusement. Elle sentit qu'un puissant orgasme allait la submerger d'autant plus qu'Ingrid, tout en la suçant, avait passé un doigt dans la raie de ses fesses et caressait la rondelle plissée dont elle était ornée. Elle est restée pantelante ainsi qu'Ingrid dont le visage était couvert de la liqueur d'Odette.
Les deux autres avaient assisté à cette scène, puissamment érotique, et l'auréole sur leur drap était la preuve visuelle du plaisir qu'elles s'étaient donné.
Les quatre filles regagnèrent leur lit et la lumière fut éteinte, seul le bruit du clapotis de la mouille dans laquelle les doigts se plongeaient ainsi que le bruit des halètements qu'elles ne pouvaient retenir.
Les jours passèrent, ponctués de baisers, de caresses, d'orgasmes jusqu'à la fin du mois qui marquait le week-end mensuel pendant lequel les élèves pouvaient aller dans leur famille.
Ingrid dit à Odette :
- Présente-moi à tes parents pour que je leur demande, si le mois prochain ils acceptent que tu viennes chez moi, car c'est mon anniversaire.
- Avec plaisir, mais je doute qu'ils acceptent.
Le jour venu, Ingrid s'était habillée en jeune fille "sage", jupe plissée bleu marine, socquettes blanches, talons plats, chemisier blanc et cardigan bleu marine aussi.
Elle fit très bonne impression sur les parents d'Odette qui, contre toute attente, acceptèrent que le mois suivant Odette aille chez Ingrid.
- Tu vois que j'ai eu raison de me déguiser. Ils ont accepté !
Odette était impatiente d'être le mois suivant, se demandant comment aller se dérouler l'anniversaire d'Ingrid ?
À suivre
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Florence pour cette série de récits très réussie. Vivement la suite !
Un délice à vous lire Florence, vous êtes dans le peloton de têtes des auteurs de HDS - femmes / hommes - confondus ..
La belle Odette a encore du chemin
vivement le prochain épisode
bisous
La belle Odette a encore du chemin
vivement le prochain épisode
bisous
Odette va de découvertes en découvertes, grâce à ses condisciples. Toujours aussi passionnants les émois de cette jeune fille racontée par Florence.