Deux anglaises et une française (suite)

- Par l'auteur HDS Florence27 -
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Deux anglaises et une française (suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Deux anglaises et une française (suite)
DEUX ANGLAISES (3)
Nous sommes arrivées au super marché en riant comme des folles, nous faisant siffler par un groupe de jeunes en pleine "inactivité". Nos œufs ne s'étaient pas manifestés mais la sensation était quand même curieuse de marcher en sentant un objet dans le vagin, sans qu'elle soit désagréable.

Nous faisions les rayons ensemble, liste en main, à l'un deux Chely s'est attardée pour examiner je ne sais plus quel produit. Brusquement elle a poussé un cri en se pliant en deux et en s'accroupissant, la main entre les cuisses. J'ai cru qu'elle avait un malaise et suis allé précipitamment vers elle pour lui porter secours, d'autres clients faisaient de même. Elle avait le souffle coupé et ne pouvait prononcer un son. Aidant Chely à se relever, Peach, un peu en retrait est partie d'un grand éclat de rire, je l'ai regardé et compris ce qui venait de se passer. Elle avait actionné la télécommande de l'œuf à sa puissance maximum. Allant vers elle pour lui demander si elle était folle, je fut prise des mêmes symptômes. Les clients n'y comprenaient rien d'autant plus qu'en me relevant je l'abreuvais d'injures en anglais.

- Tu es folle, lui dit Chely, et en plus je sens que je commence à mouiller et ne portant pas de culotte, comme tu sais les gens vont croire que j'ai des fuites urinaires!
- Il en est de même pour moi! Dis-je.

Chely s'est précipitée vers le rayon cosmétiques et autres pour trouver une boite de protège slip qu'elle a ouvert prestement pour en mettre un dans son jeans et j'ai fait de même.

Peach continuait à rire et a mis la puissance la plus faible. Cela provoquait des sensations curieuses mais pas désagréables mais les protège slip étaient bien utiles. Nous avons terminé les courses pour tenir au moins trois jours sans avoir à ressortir.

En passant pour payer la caissière me dit:
- Madame vous savez que le paquet de protège slips est ouvert, voulez vous aller n prendre un autre?
- Non c'est mon amie qui en a eu brusquement besoin. Comme elle ne voulait pas que l'on voit qu'elle mouillait, elle en a eu besoin.

La caissière nous a regardé avec des yeux ronds ainsi que les autres personnes dans la file. Nous sommes parties d'un grand éclat de rire!

Arrivées au parking le groupe des "inactifs" et toujours là et nous siffle de nouveaux; l'un deux ajoute même que c'est un crime de laisser des "meufs" conduire une Jaguar. Je lui rétorque en riant que s'il nous aidait, la prochaine fois je lui ferai faire un tour. Il est resté la bouche ouverte sans savoir quoi répondre.

Arrivées à la maison j'ai constaté que mon entre-jambes ainsi que celui de Chely s'ornait d'une belle auréole sur le tissu clair de nos jeans.

- Peach je te laisse vider le coffre, ce sera ta punition, mais je dois tout de suite aller prendre ne douche- La même chose pour moi dit Chely.

Nous avons foncé vers nos salles de bain respectives. Vite déshabillée mes vêtements sont allés valser dans la chambre. Ma toison était poisseuse de mouille, ce qui n'était pas pour me déplaire, j'ai ouvert le jet de la douchière à la puissance maximum en jet alternatif. Je savais très bien qu'ainsi je me provoquerai un orgasme mais j'en avais trop envie. J'ai extrait l'œuf vibrant de son logement intime et ai dirigé le jet sur mes seins qui commencèrent à durcir et dont je massais doucement les pointes. L'eau ruisselait sur mon corps entraînant la cyprine. J'ai lentement fait descendre le jet sur mon ventre pour atteindre le triangle des félicités, le jet puissant a ouvert les lèvres de ma fleur et je l'ai dirigé vers le pistil sachant qu'une nouvelle inondation de mouille allait se produire. La sensation était divine et je fermais les yeux, en m'appuyant sur le carrelage, pour savourer pleinement la montée de l'orgasme qui se profilait.

- Tu es belle quand tu te donnes du plaisir et que tu vas jouir!

J'ouvre les yeux, Chely et en face de moi et laisse tomber son peignoir.

- Fais moi une place je n'ai pas encore pris ma douche. Cela ne te dérange pas si nous la prenons ensemble?
- Bien sur que non! Viens contre moi je vais te doucher.

Elle est entrée dans la douchière et a collé son corps au mien; ses seins pressaient les miens, elle se cambrait pour que nos pubis se disent bonjour, je faisais couler l'eau sur ses épaules et dans son dos que je caressais de mon autre main. Elle m'a pris par le cou et nos bouches se sont collées, nos langues se sont trouvées. De délicieux fourmillements envahissaient mon bas ventre et je sentais ma cyprine se mélanger à sa mouille.
Du dos ma main s'est insinuée entre nous parcourant ses cuisses qui s'écartaient pour me faciliter l'accès à son abricot ruisselant d'eau et de liquide intime. Nos langues poursuivaient leur balai tandis que l'une de ses main partait à la recherche de ma fente et que l'autre parcourait ma raie des fesses.
Elle haletait me mordant la langue tout en disant: fais moi jouir, je sens que l'orgasme et proche. Il en était de même pour moi et nous nous sommes écroulées en même temps en éjaculant sur nos ventres comme deux femmes fontaine.
Nous avons réussi à nous extraire de la douchière pour aller nous écrouler, côte à côte sur mon lit. Allongées l'une contre l'autre nous caressions doucement nos corps pour les apaiser après l'immense plaisir ressenti avec nos orgasmes.

- Que fait Peach ?
- Florence il fait beau tu devrais deviner ce qu'elle fait!

J'avais oublié qu'un des grands plaisirs de Peach est de se masturber en plein air avec quelque fois un sex-toy, dont elle a une collection impressionnante.
Nous avons toutes les deux enfilé un maillot de bain minimaliste pour aller voir ce qui se passait dans le jardin. Chely avait raison, Peach était en pleine épectase, heureusement elle n'en est pas morte.
Je me suis avancée derrière son siège pour mettre la main sur ses seins afin d'en caresser les pointes.

- Continue Florence c'est bon!

Le god entrait et sortait d'elle, luisant, on ne savait si c'était à cause du lubrifiant ou de sa mouille?
Pendant que je faisais durcir ses tétons Chely avait enlevé son slip et baissé le mien pour frotter sa toison contre mes fesses en insinuant un doigt, mutin dans ma fente déjà coulante. Je me suis déplacée pour aller entre ses jambes. L'odeur était celle du sexe de femme, iodé ajouté à la senteur du parfum dont elle mettait une pression de vaporisateur sur sa toison que j'aimais tant.
Chely était passée derrière moi et sa langue allait de ma fente à la raie de mes fesses. Si elle avait soif elle allait être servie!!

Elle abandonnât ma raie du cul pour dire:
- Les filles ne pensez-vous pas que nous serions mieux, tranquillement installées sur un lit? J'ai une folle envie de frotter mon pubis contre un autre, qu'un clito vienne caresser le mien pendant que je vais chercher à en caresser un autre.

Toutes trois sommes tombées d'accord pour dire que la position d'hélice d'avion à trois pales serait idéale pour ce genre de jeu.

Suçant son god pleine de sa mouille Peach adit qu'elle était d'accord, Chely et moi, en nous tenant par les fesses, avons suivi jusque dans la maison

Les avis des lecteurs

Florence sait joindre l'image au texte, et l'on imagine bien le petit œuf la faisant dégouliner .....
J'aime surtout la 4ème photo ou l'on voit le plaisir ressenti
Merci Florence

La suite est aussi agréable que le début - la plaisanterie de la télécommande n'est pas réservée aux hommes puisque les filles s'y mettent aussi.



Texte coquin : Deux anglaises et une française (suite)
Histoire sexe : Une rose rouge
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