Deux Anglaises, une Française, cela fait un brelan de trois vicieuses.
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Deux Anglaises, une Française, cela fait un brelan de trois vicieuses.
Mon mari avait décidé de partir en Grèce pour le week-end afin de faire mettre le bateau à l'eau et de voir comment la maison avait passé l'hiver. Je n'avais pas envie d'y aller, l'eau n'est pas assez chaude pour se baigner et en cette saison il souffle, souvent un vent très froid. Je serai bien mieux seule à Paris. De temps à autres il est très agréable d'être seule quelques jours. On a un sentiment de totale liberté. Manger ce que l'on veut quand on veut, sortir ou pas, voir le film dont on a envie et qui le fait grimacer.
Rester nue toute la journée pour traîner dans l'appartement, soyons honnête traîner nue m'arrive fréquemment, la pudeur étant une chose qui m'est totalement étrangère et sans être exhibitionniste, aller ouvrir nue comme Eve au facteur ne me dérange nullement.
Michel a donc décidé de partir vendredi en fin d'après midi pour arriver directement à Léros pour l'heure de l'apéritif. Je n'ai pas demandé si le copilote était Clémentine mais le commandant me le dira, (c'est une vieille chamaillerie entre Michel et moi: la dite Clémentine, j'expliquerai un jour pourquoi).
Je me préparai à passer une soirée très sage en grignotant ce qui me plaira tout en regardant un film, pas forcément de Q, je n'ai pas besoin de stimuli externes pour avoir des idées cochonnes….
Vers vingt heures le téléphone sonne. Quel peut être l'emmerdeur? Je regarde le numéro affiché, c'est l'Angleterre!
- Allo?
- My sweet you'r at home! (Ma chérie tu es là!)
J'ai tout de suite reconnu la voix, c'est Chely.
(La conversation se poursuit en anglais mais comme tous les lecteurs et lectrices ne sont pas forcément anglophones, tous les dialogues seront écrits en français).
Chely est une fille délicieuse que j'ai connue grâce à Alice car les maris ont fait leurs études ensemble. Celui de Chely est anglais et gynéco mais exerce en libéral et ils habitent Harley street comme il se doit. Alice avec qui j'ai eu une aventure, que j'ai déjà racontée, connaissant mon attirance pour les filles m'a présenté Chely qui partage ce coupable penchant. Mais nous n'avons pas eu encore le temps de mettre en pratique nos goûts communs.
- J'ai envie de venir faire des courses à Paris et d'y passer deux ou trois jours. Pourrait-on se voir?
- Bien sure, Quand arrives-tu?
- Demain en fin de matinée par l'Eurostar.
- Ok. Je vais envoyer la voiture te chercher, évidemment tu couches à la maison!
- Je ne voudrais pas te déranger! (Tu parles si tu me déranges! On va peut être pouvoir enfin aller plus loin que le baiser que tu m'as donné à Hawaï en murmurant "It's an early cup of tea") plein de sous-entendus).
Revoir son sourire radieux, ses yeux si expressifs, sa petite poitrine et les longues pointes de ses seins, qu'il doit être si bon d'y laisser traîner la langue!!!
Je suis partie me coucher la tête pleine de rêves pas sages du tout et l'entre cuisses qui s'humidifiait à vue d'œil!!!
Le samedi matin je me réveille en pleine forme, Chely m'a envoyé un courriel avec le n° et l'heure de son train. J'appel le chauffeur pour le lui communiquer en lui précisant qu'il rentre directement à la maison.
Comment allais-je m'habiller pour la recevoir dignement?
Un pantalon pour cacher les cicatrices de ma jambe droite, elle aura bien le temps de les découvrir! Un chemisier blanc, largement ouvert jusqu'au milieu de ma poitrine qui bouge sans entrave. Un petit string transparent serait du meilleur effet me semble-t-il.
Vers dix heures le téléphone sonne à nouveau. C'est Michel qui me dit être bien arrivé et que d'autre part il restera à Athènes toute la semaine car il a un problème avec le directeur de la filiale grecque.
Je réponds que cela ne me dérange pas car une amie anglaise vient me voir et que nous irons dans la maison près de Paris pendant quelques jours.
Peu après Chely sonnait à la porte.
Son sourire à illuminé l'atmosphère. Nous nous sommes embrassées du bout des lèvres et lui ai dit:
- J'espère que ce ne sera pas seulement une tasse de thé matinale ?
- L'avenir nous le dira, répondit-elle d'un air espiègle.
Je l'ai conduite à sa chambre où elle a défait sa valise, profusion de jolies robes "peu sages" et de dessous ravissants ayant pour point commun la transparence.
Elle s'est déshabillée, sans fausse pudeur pour filer sous la douche.
De toutes façons, elle savait que je savais et je savais qu'elle savait. Son voyage à Paris et son shoping n'était qu'un bon prétexte à nous retrouver. Elle a quand même manifesté l'envie d'aller faire les boutiques dans l'après-midi.
Pour prendre des forces, installées au salon, assises en tailleur devant la table basse nous picorions des sandwichs mais nos bras, nos mains, nos jambes se frôlaient à la moindre occasion, fortuite ou provoquée. Sa peau avait la douceur du satin et je ne pouvais détacher mon regard de ses lèvres, sans écouter ce qu'elle disait, n'ayant comme seule idée que de pouvoir y écraser ma bouche afin d'en goûter toute la saveur, début de jeux beaucoup moins sages.
Ce bref repas fini nous sommes parties faire les boutiques, Champs Elysées, Saint Germain. Assises à l'arrière de la voiture nous parlions de tout et de rien, bien sure chiffon comme toutes les femmes. Ma main reposait sur la banquette et la sienne est venue sur la mienne, je l'ai regardé d'un air interrogatif.
- Tu n'aimes pas?
- Si bien sûre lui dis-je en serrant ses doigts.
La première halte était une boutique de lingerie; elle m'a demandé de venir l'aider à choisir, devinant ses goûts en la matière je n'avais aucun mal car les miens étaient identiques. La transparence était l'un des premiers critères, pour laisser deviner la pilosité qu'elle conservait comme moi au-dessus de la fente.
Le soutien gorge était plus délicat, sa petite poitrine aux longues pointes pouvant s'en passer aisément. Ces séances d'essayage donnèrent lieu, dans la cabine, à de multiples frôlements, caresses à peine voilées, de sa part comme de la mienne et ne parlons pas des regards, si éloquents.
- Tu voudras que je refasse des essais chez toi quand nous serons au calme ?
- Avec grand plaisir d'autant plus que j'aimerais voir leur effet quand tu les ôtes!
- Oh! Oui super.
Ses emplettes faites nous sommes allées prendre un verre dans un de mes cafés favoris. Tout en bavardant nos jambes se touchaient, sa main s'est posée sur ma cuisse, la mienne est allée remettre une mèche de cheveux sur son oreille et est descendue sur le cou pour l'attirer à moi.
Elle a tourné la tête et nos lèvres se sont rencontrées, presque par hasard, sa langue a ouvert mes lèvres, la mienne est allée à la rencontre de la sienne, lentement doucement, comme une danse au ralenti elles se sont entortillées l'une à l'autre dans un ballet très érotique. Je ne portais pas de dessous avec mon jeans et souhaitant qu'il ne soit pas interprété que j'avais des fuites urinaires. Nous nous sommes engouffrées dans la voiture pour rentrer à la maison.
Dans le calme de l'habitacle elle a passé son bras sur mon cou et ma tête est allée se poser sur son épaule. Sa main s'est insinuée dans mon chemisier largement ouvert. Son index a commencé à titiller la pointe d'un sein. Mon ventre était contracté et frustré de ne pas subir le même traitement en revanche mon jeans, bleu ciel, se parait d'une auréole plus foncée ne laissant aucun doute sur ma production de cyprine. Mais j'étais bien, nous ne parlions pas laissant nos corps le faire pour nous.
Le téléphone de Chely a sonné, elle était prête à ne pas répondre mais le fît en voyant que l'appelante était Peach. Une amie commune que j'avais d'ailleurs présentée à Chely.
- Bonjour ma chérie, que me vaut le plaisir de ton appel?
- Je suis seule à Londres et ai pensé que nous pourrions faire quelque chose ensemble?
- Désolée, mais je ne suis pas à Londres et je te donne en mille avec qui je passe mon temps.
- ???? Ma langue au chat!
- Je suis chez Florence.
Un whaoooo! Dans l'appareil me fit croire que le haut parleur allait éclater.
- Je vois ce qui doit se passer tel que je vous connais toutes les deux. Si vous êtes d'accord je saute dans le premier Eurostar et viens vous rejoindre.
- Ok avec grand plaisir lui dis-je, après avoir pris l'appareil des mains de Chely, et nous irons passer quelques jours dans la maison de campagne près de Paris.
Quelles que minutes plus tard Peach appel de nouveau pour nous dire qu'elle sera à Paris en fin de soirée et que l'on vienne la chercher.
- Chely je pense que nous allons passer quelques très bonnes journée à la campagne et même dès ce soir devant la cheminée illuminée par un grand feu de bois.
- Tu as raison et de plus connaissant Peach nous aurons droit à un cours de travaux pratiques sur la masturbation.
J'approuve connaissant le goût de Peach pour cet exercice surtout quand elle a des spectateurs. Je me pose même la question de savoir combien de fois par jour elle s'adonne à ce qui chez elle est une passion. De toutes façons ce sera pour notre plus grand plaisir à nous trois et nous l'accompagnerons avec délices dans ses extases.
Comment allons nous nous habiller pour aller la chercher. J'ai opté pour le jeans et ai conseillé à Chely d'en faire autant ce qui éviterai qu'au premier feu rouge elle soit déjà entrain d'aller se rendre compte de l'état de nos petites cerises. A l'heure dite nous étions au bout de quai et l'avons vu arriver de loin car elle est très grande, plus d'un 1,80 mètre, mais elle ne connaît sa taille exacte qu'en pieds et en pouces. Peach dit, avec une parfaite mauvaise foi, que le système métrique est impossible à comprendre elle pousse même le vice à regretter la belle époque où il y avait 12 pence dans 1 shilling et 20 shilling dans une livre et que dans les magasins de luxe, les seuls qu'elle doit fréquenter, les prix étaient en Guinées soit 1£et 1 shilling. C'est tellement plus évident!
Elle nous a embrasser langoureusement l'une et l'autre devant les regards des autres voyageurs et a pris le commandement des opérations en s'asseyant entre nous deux sur la banquette et en nous prenant par le cou pour laisser sa main aller vérifier si nous avions ou non un "soutif"..
- Vite à la maison, j'ai besoin d'une douche, j'ai faim, ensuite les choses sérieuses vont commencer, ce dont j'ai hâte ne m'étant même pas caressée pendant le voyage.
J'espère que vous êtes en forme les filles j'ai follement besoin de sexe.
La nuit semblait être prometteuse……
A suivre….
Rester nue toute la journée pour traîner dans l'appartement, soyons honnête traîner nue m'arrive fréquemment, la pudeur étant une chose qui m'est totalement étrangère et sans être exhibitionniste, aller ouvrir nue comme Eve au facteur ne me dérange nullement.
Michel a donc décidé de partir vendredi en fin d'après midi pour arriver directement à Léros pour l'heure de l'apéritif. Je n'ai pas demandé si le copilote était Clémentine mais le commandant me le dira, (c'est une vieille chamaillerie entre Michel et moi: la dite Clémentine, j'expliquerai un jour pourquoi).
Je me préparai à passer une soirée très sage en grignotant ce qui me plaira tout en regardant un film, pas forcément de Q, je n'ai pas besoin de stimuli externes pour avoir des idées cochonnes….
Vers vingt heures le téléphone sonne. Quel peut être l'emmerdeur? Je regarde le numéro affiché, c'est l'Angleterre!
- Allo?
- My sweet you'r at home! (Ma chérie tu es là!)
J'ai tout de suite reconnu la voix, c'est Chely.
(La conversation se poursuit en anglais mais comme tous les lecteurs et lectrices ne sont pas forcément anglophones, tous les dialogues seront écrits en français).
Chely est une fille délicieuse que j'ai connue grâce à Alice car les maris ont fait leurs études ensemble. Celui de Chely est anglais et gynéco mais exerce en libéral et ils habitent Harley street comme il se doit. Alice avec qui j'ai eu une aventure, que j'ai déjà racontée, connaissant mon attirance pour les filles m'a présenté Chely qui partage ce coupable penchant. Mais nous n'avons pas eu encore le temps de mettre en pratique nos goûts communs.
- J'ai envie de venir faire des courses à Paris et d'y passer deux ou trois jours. Pourrait-on se voir?
- Bien sure, Quand arrives-tu?
- Demain en fin de matinée par l'Eurostar.
- Ok. Je vais envoyer la voiture te chercher, évidemment tu couches à la maison!
- Je ne voudrais pas te déranger! (Tu parles si tu me déranges! On va peut être pouvoir enfin aller plus loin que le baiser que tu m'as donné à Hawaï en murmurant "It's an early cup of tea") plein de sous-entendus).
Revoir son sourire radieux, ses yeux si expressifs, sa petite poitrine et les longues pointes de ses seins, qu'il doit être si bon d'y laisser traîner la langue!!!
Je suis partie me coucher la tête pleine de rêves pas sages du tout et l'entre cuisses qui s'humidifiait à vue d'œil!!!
Le samedi matin je me réveille en pleine forme, Chely m'a envoyé un courriel avec le n° et l'heure de son train. J'appel le chauffeur pour le lui communiquer en lui précisant qu'il rentre directement à la maison.
Comment allais-je m'habiller pour la recevoir dignement?
Un pantalon pour cacher les cicatrices de ma jambe droite, elle aura bien le temps de les découvrir! Un chemisier blanc, largement ouvert jusqu'au milieu de ma poitrine qui bouge sans entrave. Un petit string transparent serait du meilleur effet me semble-t-il.
Vers dix heures le téléphone sonne à nouveau. C'est Michel qui me dit être bien arrivé et que d'autre part il restera à Athènes toute la semaine car il a un problème avec le directeur de la filiale grecque.
Je réponds que cela ne me dérange pas car une amie anglaise vient me voir et que nous irons dans la maison près de Paris pendant quelques jours.
Peu après Chely sonnait à la porte.
Son sourire à illuminé l'atmosphère. Nous nous sommes embrassées du bout des lèvres et lui ai dit:
- J'espère que ce ne sera pas seulement une tasse de thé matinale ?
- L'avenir nous le dira, répondit-elle d'un air espiègle.
Je l'ai conduite à sa chambre où elle a défait sa valise, profusion de jolies robes "peu sages" et de dessous ravissants ayant pour point commun la transparence.
Elle s'est déshabillée, sans fausse pudeur pour filer sous la douche.
De toutes façons, elle savait que je savais et je savais qu'elle savait. Son voyage à Paris et son shoping n'était qu'un bon prétexte à nous retrouver. Elle a quand même manifesté l'envie d'aller faire les boutiques dans l'après-midi.
Pour prendre des forces, installées au salon, assises en tailleur devant la table basse nous picorions des sandwichs mais nos bras, nos mains, nos jambes se frôlaient à la moindre occasion, fortuite ou provoquée. Sa peau avait la douceur du satin et je ne pouvais détacher mon regard de ses lèvres, sans écouter ce qu'elle disait, n'ayant comme seule idée que de pouvoir y écraser ma bouche afin d'en goûter toute la saveur, début de jeux beaucoup moins sages.
Ce bref repas fini nous sommes parties faire les boutiques, Champs Elysées, Saint Germain. Assises à l'arrière de la voiture nous parlions de tout et de rien, bien sure chiffon comme toutes les femmes. Ma main reposait sur la banquette et la sienne est venue sur la mienne, je l'ai regardé d'un air interrogatif.
- Tu n'aimes pas?
- Si bien sûre lui dis-je en serrant ses doigts.
La première halte était une boutique de lingerie; elle m'a demandé de venir l'aider à choisir, devinant ses goûts en la matière je n'avais aucun mal car les miens étaient identiques. La transparence était l'un des premiers critères, pour laisser deviner la pilosité qu'elle conservait comme moi au-dessus de la fente.
Le soutien gorge était plus délicat, sa petite poitrine aux longues pointes pouvant s'en passer aisément. Ces séances d'essayage donnèrent lieu, dans la cabine, à de multiples frôlements, caresses à peine voilées, de sa part comme de la mienne et ne parlons pas des regards, si éloquents.
- Tu voudras que je refasse des essais chez toi quand nous serons au calme ?
- Avec grand plaisir d'autant plus que j'aimerais voir leur effet quand tu les ôtes!
- Oh! Oui super.
Ses emplettes faites nous sommes allées prendre un verre dans un de mes cafés favoris. Tout en bavardant nos jambes se touchaient, sa main s'est posée sur ma cuisse, la mienne est allée remettre une mèche de cheveux sur son oreille et est descendue sur le cou pour l'attirer à moi.
Elle a tourné la tête et nos lèvres se sont rencontrées, presque par hasard, sa langue a ouvert mes lèvres, la mienne est allée à la rencontre de la sienne, lentement doucement, comme une danse au ralenti elles se sont entortillées l'une à l'autre dans un ballet très érotique. Je ne portais pas de dessous avec mon jeans et souhaitant qu'il ne soit pas interprété que j'avais des fuites urinaires. Nous nous sommes engouffrées dans la voiture pour rentrer à la maison.
Dans le calme de l'habitacle elle a passé son bras sur mon cou et ma tête est allée se poser sur son épaule. Sa main s'est insinuée dans mon chemisier largement ouvert. Son index a commencé à titiller la pointe d'un sein. Mon ventre était contracté et frustré de ne pas subir le même traitement en revanche mon jeans, bleu ciel, se parait d'une auréole plus foncée ne laissant aucun doute sur ma production de cyprine. Mais j'étais bien, nous ne parlions pas laissant nos corps le faire pour nous.
Le téléphone de Chely a sonné, elle était prête à ne pas répondre mais le fît en voyant que l'appelante était Peach. Une amie commune que j'avais d'ailleurs présentée à Chely.
- Bonjour ma chérie, que me vaut le plaisir de ton appel?
- Je suis seule à Londres et ai pensé que nous pourrions faire quelque chose ensemble?
- Désolée, mais je ne suis pas à Londres et je te donne en mille avec qui je passe mon temps.
- ???? Ma langue au chat!
- Je suis chez Florence.
Un whaoooo! Dans l'appareil me fit croire que le haut parleur allait éclater.
- Je vois ce qui doit se passer tel que je vous connais toutes les deux. Si vous êtes d'accord je saute dans le premier Eurostar et viens vous rejoindre.
- Ok avec grand plaisir lui dis-je, après avoir pris l'appareil des mains de Chely, et nous irons passer quelques jours dans la maison de campagne près de Paris.
Quelles que minutes plus tard Peach appel de nouveau pour nous dire qu'elle sera à Paris en fin de soirée et que l'on vienne la chercher.
- Chely je pense que nous allons passer quelques très bonnes journée à la campagne et même dès ce soir devant la cheminée illuminée par un grand feu de bois.
- Tu as raison et de plus connaissant Peach nous aurons droit à un cours de travaux pratiques sur la masturbation.
J'approuve connaissant le goût de Peach pour cet exercice surtout quand elle a des spectateurs. Je me pose même la question de savoir combien de fois par jour elle s'adonne à ce qui chez elle est une passion. De toutes façons ce sera pour notre plus grand plaisir à nous trois et nous l'accompagnerons avec délices dans ses extases.
Comment allons nous nous habiller pour aller la chercher. J'ai opté pour le jeans et ai conseillé à Chely d'en faire autant ce qui éviterai qu'au premier feu rouge elle soit déjà entrain d'aller se rendre compte de l'état de nos petites cerises. A l'heure dite nous étions au bout de quai et l'avons vu arriver de loin car elle est très grande, plus d'un 1,80 mètre, mais elle ne connaît sa taille exacte qu'en pieds et en pouces. Peach dit, avec une parfaite mauvaise foi, que le système métrique est impossible à comprendre elle pousse même le vice à regretter la belle époque où il y avait 12 pence dans 1 shilling et 20 shilling dans une livre et que dans les magasins de luxe, les seuls qu'elle doit fréquenter, les prix étaient en Guinées soit 1£et 1 shilling. C'est tellement plus évident!
Elle nous a embrasser langoureusement l'une et l'autre devant les regards des autres voyageurs et a pris le commandement des opérations en s'asseyant entre nous deux sur la banquette et en nous prenant par le cou pour laisser sa main aller vérifier si nous avions ou non un "soutif"..
- Vite à la maison, j'ai besoin d'une douche, j'ai faim, ensuite les choses sérieuses vont commencer, ce dont j'ai hâte ne m'étant même pas caressée pendant le voyage.
J'espère que vous êtes en forme les filles j'ai follement besoin de sexe.
La nuit semblait être prometteuse……
A suivre….
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