Deux jumelles coquines (pure fiction écrite en 08.2011).

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
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Récit libertin : Deux jumelles coquines (pure fiction écrite en 08.2011). Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2016 dans la catégorie Plus on est
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Deux jumelles coquines (pure fiction écrite en 08.2011).
Depuis notre adolescence nous nous sommes toujours entendues pour faire de blagues à ceux qui nous côtoyaient. Ce n’était jamais bien méchant mais nous nous arrangions pour faire marcher les copains et les copines qui tombaient régulièrement dans le panneau.

Parfois même, lors d’épreuves sportives, nous échangions nos dossards pour favoriser celle qui était la plus forte dans une discipline et inversement.

A 18 ans, nous sommes entrées toutes les deux à l’université, et là, c’était encore plus facile de duper nos condisciples en raison du nombre d’étudiants dans les amphithéâtres. Vraies jumelles, il a toujours été difficile de nous différencier.

Grandes blondes à l’allure sportive, adeptes de la course à pied, de la gymnastique et de l’athlétisme, nous figurions honorablement dans les épreuves du sport au lycée. Encore actuellement, nous pratiquons régulièrement la course à pied le samedi matin généralement. Un long footing de deux heures autour des lacs du bois de Boulogne ne nous fait pas peur.

Les cheveux coupés courts, le visage à peine maquillé, nous attirons les regards de ces messieurs. Le sport nous a fait une silhouette longiligne avec des muscles légèrement marqués, un bassin resté étroit et des seins assez peu volumineux mais bien ronds.

Notre grand jeu, c’était de se faire passer l’une pour l’autre, On attendait Régine, c’était Rébecca qui arrivait. Quand nous avions des rendez-vous avec des garçons, de temps à autre, nous échangions ainsi les rôles. Nos petits amis n’y voyaient que du feu.

Lors de la fête de fin d’année, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans l’appartement que nos parents louent pour nous. Nous y avons chacune une chambre et le séjour nous est commun. Nous avions pas mal bu et nous étions tous bien chauds. L’une comme l’autre nous n’avions pas baisé depuis plus de deux semaines pour être bien en forme pour les examens partiels et là, l’envie de jouir nous tenaillait.

Les garçons étaient eux aussi entreprenants. Loïc m’avait coincée dans un coin de l’ascenseur et avait commencé à me peloter les seins par dessus mon sweet-shirt. Jérôme de son côté, faisait des allusions grivoises à Régine :• Tu vas voir comment je vais te sauter. Je vais te faire grimper !

Quand nous sommes entrés dans l’appartement, nous nous sommes sciemment trompées de chambres après avoir dit à Loïc et Jérôme de nous attendre dans le séjour.

Peu de temps auparavant, nous nous étions rendu toutes les deux dans un sex-shop pour acheter une combinaison en dentelle qui nous couvrait presque entièrement. Seules la tête et les mains n’était pas couvertes. Nous avions également acheté des loups assortis et des chaussures à très hauts talons avec une semelle épaisse qui allongeait encore notre silhouette.

Lorsque nous sommes revenues dans le séjour, les deux garçons sont tout de suite tombés sous le charme de notre tenue. Je me suis installée sur les genoux de Jérôme et Régine sur ceux de Loïc pour les embrasser et nous livrer à eux : nous étions tombées d’accord et nous avions prévu de changer et retrouver notre partenaire habituel en cours de soirée.

Jérôme a commencé à me peloter les seins au travers de la dentelle, réussissant même à faire passer un téton au travers et ayant trouvé l’entrée de la combinaison, de son autre main il massait mon entrejambes.

Collée contre lui, je sentais sa bite s’ériger dans son pantalon. Je me suis levée et me suis agenouillée devant lui après avoir fait glisser son pantalon et son slip jusque sur les talons.

Je retrouvais face à moi sa belle queue vigoureuse et généreuse qui m’avait fait fantasmer lorsque Régine m’en avait parlé. Je l’ai prise en bouche le plus loin possible et en la ressortant plusieurs fois, je l’ai copieusement enduite de salive. Je masturbais sa bite d’une main et je suçais l’extrémité en me concentrant sur le gland. Du coin de l’œil je voyais ma sœur Régine et Loïc.

Elle était en levrette sur un des fauteuils et ce coquin lui mangeait la chatte en écartant ses fesses. Loïc était entièrement nu et il masturbait doucement sa bite tout en faisant minette à ma jumelle. Je le savais plutôt adepte des positions par l’arrière et je ne serais pas surprise s’il prenait ma sœur dans cette position.

Entretemps Jérôme s’était débarrassé des ses vêtements avec mon aide. Entièrement nu, je lui ai dit de s’allonger sur le tapis. Sa bite était dressée comme un « I » au milieu de son pubis poilu. Je l’ai enjambé et je suis venue m’empaler sur ce sceptre dressé. Face à lui, je montais et descendais, sa queue entrant par la fente de la combinaison. Tantôt il me caressait les seins, tantôt il me tenait par les hanches pour m’aider dans mes mouvements mais comme je l’ai dit, mes jambes de sportive me facilitaient les allers-retours.

Il me remplissait bien et chaque fois qu’il arrivait au fond de mon vagin, je ressentais comme une décharge électrique qui montait de mes reins jusqu’à ma nuque. Je ne m’étais pas trompée : Loïc baisait ma sœur en levrette. J’entendais le claquement de son bas ventre contre les fesses de Régine. Soudain, je ne sais pas par quel miracle, la jouissance nous a emportés tous les quatre dans le même moment. Les deux garçons se sont vidés une première fois en nous (nous étions en confiance, il n’y avait pas besoin de préservatif et nous prenions la pilule). J’ai senti au fond de moi les puissantes giclées de sperme de Jérôme au moment où le spasme du plaisir m’emportait.

Quand les deux garçons sont sortis de nous, nous avons échangé nos partenaires. Je suis allée toiletter la bite de Loïc et Régine celle de Jérôme. Lorsque nous avons terminé, toutes les deux nous leur avons posé la question en ôtant notre loup :• Avez-vous vu ou senti une différence ?
Devant leur air surpris nous leur avons expliqué la supercherie et en riant les deux garçons se sont esclaffé :• Ah ! Les coquines ! On savait que vous vous faisiez passer l’une pour l’autre mais là vous avez fait fort ! Cela ne nous dérange pas !
La soirée s’est pour suivie jusque tard dans la nuit. Toujours vêtues de nos combinaisons, nous avons baisé tous les quatre une première fois avec nos copains respectifs. Nous étions allongées sur le tapis, les jambes relevées à la verticale et largement ouvertes en « V ». Loïc et Jérôme, les bras en appui de chaque côté de notre buste nous baisaient avec ardeur.
La queue longue et fine de mon copain entrait et sortait de ma chatte à une vitesse extraordinaire et il n’était point besoin de la guider pour qu’elle trouve le chemin entre mes lèvres vaginales. Jérôme avait un rythme plus lent mais en tournant la tête vers ma sœur, j’ai vu à son sourire extatique qu’elle éprouvait un plaisir intense qui l’a emportée au moment où lui-même jouissait aussi. Loïc m’a fait partir deux fois avant de se vider lui aussi lors de ma seconde jouissance.

Nous nous sommes déshabillées et, c’est entièrement nues que nous nous sommes livrées une troisième fois aux assauts virils de Loïc et Jérôme.

Ma sœur m’avait confié un jour qu’elle n’avait jamais été sodomisée et qu’elle avait envie de goûter à cette pratique. Loïc avait ouvert ma pastille froncée il ya quelques mois sans que j’y sois préparée. Il avait su être doux et après les premières douleurs de l’intromission, j’avais fini par avoir un peu de plaisir puis de plus en plus à chaque fois qu’il me prenait par le petit trou, il est vrai, aidés par un baume adoucissant ! Nous avions renouvelé cette expérience plusieurs fois au cours des mois passés et la dernière, j’avais joui autant que lorsque j’étais prise devant. J’allais offrir la bite de Loïc à ma sœur pour sa première enculade.

Sur mes conseils elle avait discrètement injecté du gel lubrifiant et légèrement anesthésiant dans son sphincter anal. Comme cela, les choses seraient plus aisées. Toutes les deux face à face sur le divan, le bassin en appui sur les accoudoirs, nous étions prêtes l’une comme l’autre. Je ne sais pas quel orifice choisira Jérôme ni s’il en changera en cours.

Loïc, lui, sait ce qu’il doit faire. Les jambes un peu fléchies, il se penche vers ma sœur, lui embrasse le bas du dos et remonte vers sa tête pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Il revient en arrière et en tenant sa queue bien raide dans sa main droite, il s’approche de la raie culière de Régine. Quand il est au contact, je vois les yeux de ma jumelle s’écarquiller et elle ouvre la bouche en grand mais aucun son ne sort. Loïc dit doucement :• Ça y est Régine, je suis au fond de ton cul, tu dois bien me sentir !
• Oui ! Vas-y doucement !
• Ne t’en fais pas, je ne vais pas te faire mal ! Et quand tu seras habituée, tu verras comme c’est bon ! Demande à ta sœur !

Jérôme a choisi ma chatte pour débuter mais il a enchainé rapidement par une sodomie en douceur. Heureusement je m’y étais préparée aussi car la taille de sa bite n’a rien à voir avec celle qui avait ouvert la voie. Il est doux, laisse ma gaine serrée s’habituer à sa queue avant de me prendre à fond. Quand ses hanches sont collées contre mes globes fessiers, il reste de longs moments sans bouger. Puis il recule et revient vers l’avant pour me limer. Heureusement le gel facilite les choses et cette enculade est bonne, je sens un plaisir encore diffus monter dans mes reins.

Brusquement je pars ! Je ne m’y attendais pas ! Et j’exhale bruyamment ma satisfaction. Quand j’ai fini de jouir, Jérôme sort de mon cul et ôte le préservatif et branlant rapidement sa bite de la main droite, il crache trois jets de sperme sur le bas de mes reins.

Loïc est toujours en train de sodomiser ma sœur. Ce coquin prend son temps comme il l’a fait avec moi lors de la première fois. Au moment où ma sœur se tétanise sous l’effet de son plaisir, Loïc lui donne une dernière estocade, violente cette fois et se vide dans la capote au fond de son cul.

Régine et moi nous avons fait une rapide toilette de la bite de nos partenaires et nous avons gagné nos chambres respectives. C’était la première fois que nos copains finiraient leur nuit dans le même lit que nous, chacun avec sa chacune. Les retrouverons-nous après les vacances ? Si oui, je pense que nous nous offrirons encore quelques bonnes parties à quatre.

Jumelles, nous sommes partageuses mais sous certaines conditions, vous devinez bien sur lesquelles !

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