Diane raconte ses aventures... A la piscine.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Diane raconte ses aventures... A la piscine.
A la piscine.
Samedi dernier, je ne suis rendue à la piscine de mon quartier pour entretenir ma forme en faisant des longueurs de bassin. Nous le faisons très souvent avec Hervé mon copain lorsque nous restons sur Paris pour le week-end, Hélas, il était en déplacement professionnel et j’étais seule jusqu’au milieu de la semaine suivante.
J’ai toujours aimé la natation et c’est avec délices que je me plonge dans cette eau tiède et transparente. Même si après 1000 mètres, je ressens la fatigue, je peux ensuite me délasser dans le jacuzzi ou le sauna.
Agée de 35 ans, grande blonde aux yeux verts et à la peau laiteuse avec des cheveux longs, des seins volumineux, j’ai des hanches pleines et des fesses rondes dominées par une taille fine et cambrée avec deux petites fossettes au creux des reins.
Avec une telle silhouette, j’attire les regards concupiscents des hommes qui voudraient bien me mettre dans leur lit ou me sauter brièvement dans un coin discret. Mais j’ai ce qu’il me faut : mon copain Hervé, une belle série de godes pour me contenter quand il n’est pas là, et aussi, la possibilité d’avoir des aventures sans lendemain et sans attachement que je dois ensuite lui raconter. J’ai aussi un amant de cœur (TOI, mon Matou coquin !) avec qui j’ai vécu des aventures érotiques savoureuses.
Après une douche alternant le chaud et le froid, je suis passée dans le local des jacuzzis. Dans un des bassins, il y avait une fille de mon âge, très typée, le teint cuivré des asiatiques, avec de grands yeux marron en amande, des pommettes très peu marquées, une bouche aux lèvres étroites, des cheveux d’un noir de geai et, pour ce que je pouvais deviner dans l’eau bouillonnante, des seins plutôt menus. Nous avons commencé à bavarder en français mais nous sommes rapidement passées à l’anglais, langue que l’une et l’autre, nous maîtrisons bien.
Aï ko était en stage à l’UNESCO pour deux mois et elle venait d’arriver à Paris où elle logeait provisoirement dans un hôtel du XIIème arrondissement. Ceux qui me connaissent déjà savent que je suis exhibitionniste et légèrement bisexuelle.
Cela faisait déjà pas mal de temps que je n’avais pas eu une aventure féminine et je dois avouer que cette jeune japonaise me faisait très envie. Je n’avais jamais eu de relation avec une asiatique. J’ai abaissé les bretelles de mon maillot une pièce et j’ai dévoilé mes seins opulents pour qu’ils ressentent mieux le bouillonnement du jacuzzi. Le massage qu’ils subissaient ainsi a rapidement fait son effet. Mes tétons se sont dressés, comme s’ils étaient aspirés par deux bouches goulues.
Aï ko s’est approché de moi pour voir mes seins de plus près en me félicitant d’avoir une aussi belle poitrine. Elle m’expliqua que presque toutes les japonaises ont des poitrines menues et que le rêve des jeunes filles, c’est d’avoir naturellement des seins plus développés. Beaucoup, pour satisfaire leur mari ou amant, ont recourt à des implants mammaires. Elle a tendu la main droite et elle a pris un de mes seins pour le palper, pinçant légèrement le téton entre deux doigts. Etait-ce une invitation ?
A mon tour j’ai caressé ses seins par-dessus le maillot puis, j’ai fait sauter l’agrafe du soutien gorge pour avoir le contact direct au creux de mes paumes. Les mains à plat sur ses seins, j’ai commencé un mouvement tournant qui, contre ma paume massait doucement ses tétons.
Elle me dit en agaçant toujours les pointes de mes seins d’une main :• Continuez ! C’est très bon !
L’autre main avait disparu entre ses cuisses. Cela devenait de plus en plus chaud. J’ai pris sa bouche pour des baisers légers puis nos langues se sont unies et mélangées.
Pour éviter d’être surprises (cela ne m’aurait pas gênée car je suis passablement exhibitionniste) nous sommes allées dans le sauna. A cette heure de la matinée, il n’est jamais occupé. Dans la chaleur moite, j’ai fais glisser mon maillot et Aï ko en a fait autant avec le sien. Son pubis était garni d’une toison peu dense, très noire et taillée en triangle. Nous nous sommes enlacées en nous embrassant à nouveau à pleine bouche.
Je frottais mes seins contre ceux d’Aï ko et j’avais glissé une jambe entre les siennes pour exercer des pressions contre son pubis avec ma hanche. Mes bras enserraient sa taille et mes mains étaient plaquées sur ses fesses. Le destin nous avait fait nous rencontrer. Nous étions toutes les deux des bisexuelles, aimant indifféremment les femmes et les hommes. La chaleur nous faisait transpirer, nos mains glissaient facilement sur notre peau. Quand nous avons été bien chaudes toutes les deux, une des banquettes nous a accueilli pour un 69 des plus savoureux qui nous a conduit à l’extase.
Une douche froide et un bain froid au sortir du sauna nous a calmées quelque peu. Mais l’une et l’autre, nous étions prêtes à d’autres folies. J’interrogeai Aï ko sur d’éventuels projets : Elle aussi n’avait rien de prévu et elle a accepté mon invitation à venir finir la journée chez moi.
Dès notre arrivée, le grand lit de la chambre nous a accueillies pour une nouvelle étreinte saphique. Mais là, coquine au possible, j’avais au préalable averti discrètement Hervé pour qu’il branche son ordinateur portable et j’avais mis en route les trois caméras qui sont cachées discrètement dans la chambre. Ainsi, il pourrait à distance se rincer l’œil et en plus, nos ébats seraient enregistrés !
Lentement pour qu’Hervé n’en perde pas une miette, nous nous sommes déshabillées mutuellement en échangeant baisers et caresses sur les endroits sensibles que nous avions découverts dans le jacuzzi et le sauna. Une fois nues, nous nous sommes allongées sur le lit, les fourches de nos cuisses en contact pour frotter nos vulves l’une contre l’autre. Une nouvelle fois bien excitée par la situation, j’ai glissé une main sous le traversin pour aller chercher mon gode à deux têtes. Je n’ai pas eu besoin de l’imprégner de salive ou de gel. Nous étions toutes les deux tellement humides que je suis entrée sans difficulté aucune dans la chatte d’Aï ko et dans la mienne. Et nous avons repris nos mouvements pour agiter le gode dans notre chatte jusqu’à ce que le plaisir nous emporte une nouvelle fois.
Après quelques temps de récupération, allongées dans les bras l’une de l’autre, les jambes emmêlées, nous avons continué de bavarder. Aï ko me racontait qu’à 15 ans elle avait été violée par un de ses oncles qui n’avait cependant pas été sanctionné par la justice. Depuis et pendant de longues années, elle avait fui le contact des hommes en recherchant celui des femmes. Ce n’est que depuis deux ans qu’elle avait fait l’amour avec un copain qui avait su la mettre en confiance et lui donner l’envie d’étreintes viriles. Malheureusement ce copain s’était tué dans un accident d’automobile. C’était le seul homme qu’elle ait connu. Elle expliquait aussi que c’est à la suite de cet accident qu’elle avait demandé à venir faire ce stage en France.
Je ai raconté brièvement ma vie et je ne lui ai rien caché de mon passé de danseuse érotique, de mon penchant pour l’exhibition et de mes aventures en club libertin avec mon copain Hervé. Vers 15 heures, nous nous sommes rendu compte que nous avions faim. Dans mon réfrigérateur, j’ai trouvé de quoi nous faire un léger en-cas.
Pendant que nous mangions, j’ai lancé un DVD sur la télévision. Au début, on m’y voit danser sur une petite scène brillamment éclairée. C’est un peu ma carte de visite lorsque je vais passer une audition pour un contrat éventuel. Mais la suite, c’était nettement plus chaud ! C’étaient des séquences enregistrées lorsque je baisais avec Hervé ou avec un deuxième homme. Aï ko était surprise de me voir baiser ainsi avec deux partenaires et intéressée.
Elle me demandait quelles étaient mes sensations. Je ne lui cachais rien de l’immense jouissance d’être bien baisée de la sorte. Je lui racontai même comment je m’étais livrée à cinq hommes plus Hervé lors d’une soirée en club.
L’après-midi s’est achevé calmement. Quand Aï ko a pris congé, elle m’a demandé si elle pourrait venir me revoir quand Hervé serait là. Elle avait envie de le connaitre.
J’étais plutôt convaincue qu’elle avait découvert en elle l’envie de baiser avec lui. Je n’avais rien contre et je pense qu’Hervé serait enchanté de baiser cette belle fleur exotique.
Dès qu’elle est partie, j’ai rappelé Hervé sur son ordinateur et nous avons échangé nos impressions sur le spectacle que nous lui avons offert. Il en était enchanté au point qu’il conserverait l’excitation ressentie jusqu’à son retour mardi soir « pour bien me sauter comme une salope ». Quel programme ! Çà me convient tout à fait.
Samedi dernier, je ne suis rendue à la piscine de mon quartier pour entretenir ma forme en faisant des longueurs de bassin. Nous le faisons très souvent avec Hervé mon copain lorsque nous restons sur Paris pour le week-end, Hélas, il était en déplacement professionnel et j’étais seule jusqu’au milieu de la semaine suivante.
J’ai toujours aimé la natation et c’est avec délices que je me plonge dans cette eau tiède et transparente. Même si après 1000 mètres, je ressens la fatigue, je peux ensuite me délasser dans le jacuzzi ou le sauna.
Agée de 35 ans, grande blonde aux yeux verts et à la peau laiteuse avec des cheveux longs, des seins volumineux, j’ai des hanches pleines et des fesses rondes dominées par une taille fine et cambrée avec deux petites fossettes au creux des reins.
Avec une telle silhouette, j’attire les regards concupiscents des hommes qui voudraient bien me mettre dans leur lit ou me sauter brièvement dans un coin discret. Mais j’ai ce qu’il me faut : mon copain Hervé, une belle série de godes pour me contenter quand il n’est pas là, et aussi, la possibilité d’avoir des aventures sans lendemain et sans attachement que je dois ensuite lui raconter. J’ai aussi un amant de cœur (TOI, mon Matou coquin !) avec qui j’ai vécu des aventures érotiques savoureuses.
Après une douche alternant le chaud et le froid, je suis passée dans le local des jacuzzis. Dans un des bassins, il y avait une fille de mon âge, très typée, le teint cuivré des asiatiques, avec de grands yeux marron en amande, des pommettes très peu marquées, une bouche aux lèvres étroites, des cheveux d’un noir de geai et, pour ce que je pouvais deviner dans l’eau bouillonnante, des seins plutôt menus. Nous avons commencé à bavarder en français mais nous sommes rapidement passées à l’anglais, langue que l’une et l’autre, nous maîtrisons bien.
Aï ko était en stage à l’UNESCO pour deux mois et elle venait d’arriver à Paris où elle logeait provisoirement dans un hôtel du XIIème arrondissement. Ceux qui me connaissent déjà savent que je suis exhibitionniste et légèrement bisexuelle.
Cela faisait déjà pas mal de temps que je n’avais pas eu une aventure féminine et je dois avouer que cette jeune japonaise me faisait très envie. Je n’avais jamais eu de relation avec une asiatique. J’ai abaissé les bretelles de mon maillot une pièce et j’ai dévoilé mes seins opulents pour qu’ils ressentent mieux le bouillonnement du jacuzzi. Le massage qu’ils subissaient ainsi a rapidement fait son effet. Mes tétons se sont dressés, comme s’ils étaient aspirés par deux bouches goulues.
Aï ko s’est approché de moi pour voir mes seins de plus près en me félicitant d’avoir une aussi belle poitrine. Elle m’expliqua que presque toutes les japonaises ont des poitrines menues et que le rêve des jeunes filles, c’est d’avoir naturellement des seins plus développés. Beaucoup, pour satisfaire leur mari ou amant, ont recourt à des implants mammaires. Elle a tendu la main droite et elle a pris un de mes seins pour le palper, pinçant légèrement le téton entre deux doigts. Etait-ce une invitation ?
A mon tour j’ai caressé ses seins par-dessus le maillot puis, j’ai fait sauter l’agrafe du soutien gorge pour avoir le contact direct au creux de mes paumes. Les mains à plat sur ses seins, j’ai commencé un mouvement tournant qui, contre ma paume massait doucement ses tétons.
Elle me dit en agaçant toujours les pointes de mes seins d’une main :• Continuez ! C’est très bon !
L’autre main avait disparu entre ses cuisses. Cela devenait de plus en plus chaud. J’ai pris sa bouche pour des baisers légers puis nos langues se sont unies et mélangées.
Pour éviter d’être surprises (cela ne m’aurait pas gênée car je suis passablement exhibitionniste) nous sommes allées dans le sauna. A cette heure de la matinée, il n’est jamais occupé. Dans la chaleur moite, j’ai fais glisser mon maillot et Aï ko en a fait autant avec le sien. Son pubis était garni d’une toison peu dense, très noire et taillée en triangle. Nous nous sommes enlacées en nous embrassant à nouveau à pleine bouche.
Je frottais mes seins contre ceux d’Aï ko et j’avais glissé une jambe entre les siennes pour exercer des pressions contre son pubis avec ma hanche. Mes bras enserraient sa taille et mes mains étaient plaquées sur ses fesses. Le destin nous avait fait nous rencontrer. Nous étions toutes les deux des bisexuelles, aimant indifféremment les femmes et les hommes. La chaleur nous faisait transpirer, nos mains glissaient facilement sur notre peau. Quand nous avons été bien chaudes toutes les deux, une des banquettes nous a accueilli pour un 69 des plus savoureux qui nous a conduit à l’extase.
Une douche froide et un bain froid au sortir du sauna nous a calmées quelque peu. Mais l’une et l’autre, nous étions prêtes à d’autres folies. J’interrogeai Aï ko sur d’éventuels projets : Elle aussi n’avait rien de prévu et elle a accepté mon invitation à venir finir la journée chez moi.
Dès notre arrivée, le grand lit de la chambre nous a accueillies pour une nouvelle étreinte saphique. Mais là, coquine au possible, j’avais au préalable averti discrètement Hervé pour qu’il branche son ordinateur portable et j’avais mis en route les trois caméras qui sont cachées discrètement dans la chambre. Ainsi, il pourrait à distance se rincer l’œil et en plus, nos ébats seraient enregistrés !
Lentement pour qu’Hervé n’en perde pas une miette, nous nous sommes déshabillées mutuellement en échangeant baisers et caresses sur les endroits sensibles que nous avions découverts dans le jacuzzi et le sauna. Une fois nues, nous nous sommes allongées sur le lit, les fourches de nos cuisses en contact pour frotter nos vulves l’une contre l’autre. Une nouvelle fois bien excitée par la situation, j’ai glissé une main sous le traversin pour aller chercher mon gode à deux têtes. Je n’ai pas eu besoin de l’imprégner de salive ou de gel. Nous étions toutes les deux tellement humides que je suis entrée sans difficulté aucune dans la chatte d’Aï ko et dans la mienne. Et nous avons repris nos mouvements pour agiter le gode dans notre chatte jusqu’à ce que le plaisir nous emporte une nouvelle fois.
Après quelques temps de récupération, allongées dans les bras l’une de l’autre, les jambes emmêlées, nous avons continué de bavarder. Aï ko me racontait qu’à 15 ans elle avait été violée par un de ses oncles qui n’avait cependant pas été sanctionné par la justice. Depuis et pendant de longues années, elle avait fui le contact des hommes en recherchant celui des femmes. Ce n’est que depuis deux ans qu’elle avait fait l’amour avec un copain qui avait su la mettre en confiance et lui donner l’envie d’étreintes viriles. Malheureusement ce copain s’était tué dans un accident d’automobile. C’était le seul homme qu’elle ait connu. Elle expliquait aussi que c’est à la suite de cet accident qu’elle avait demandé à venir faire ce stage en France.
Je ai raconté brièvement ma vie et je ne lui ai rien caché de mon passé de danseuse érotique, de mon penchant pour l’exhibition et de mes aventures en club libertin avec mon copain Hervé. Vers 15 heures, nous nous sommes rendu compte que nous avions faim. Dans mon réfrigérateur, j’ai trouvé de quoi nous faire un léger en-cas.
Pendant que nous mangions, j’ai lancé un DVD sur la télévision. Au début, on m’y voit danser sur une petite scène brillamment éclairée. C’est un peu ma carte de visite lorsque je vais passer une audition pour un contrat éventuel. Mais la suite, c’était nettement plus chaud ! C’étaient des séquences enregistrées lorsque je baisais avec Hervé ou avec un deuxième homme. Aï ko était surprise de me voir baiser ainsi avec deux partenaires et intéressée.
Elle me demandait quelles étaient mes sensations. Je ne lui cachais rien de l’immense jouissance d’être bien baisée de la sorte. Je lui racontai même comment je m’étais livrée à cinq hommes plus Hervé lors d’une soirée en club.
L’après-midi s’est achevé calmement. Quand Aï ko a pris congé, elle m’a demandé si elle pourrait venir me revoir quand Hervé serait là. Elle avait envie de le connaitre.
J’étais plutôt convaincue qu’elle avait découvert en elle l’envie de baiser avec lui. Je n’avais rien contre et je pense qu’Hervé serait enchanté de baiser cette belle fleur exotique.
Dès qu’elle est partie, j’ai rappelé Hervé sur son ordinateur et nous avons échangé nos impressions sur le spectacle que nous lui avons offert. Il en était enchanté au point qu’il conserverait l’excitation ressentie jusqu’à son retour mardi soir « pour bien me sauter comme une salope ». Quel programme ! Çà me convient tout à fait.
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