Diane raconte ses aventures... Multiples.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2016 dans la catégorie Plus on est
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Diane raconte ses aventures... Multiples.
Mon Matou chéri,
Cela fait plus de trois mois que tu es passé me voir à ton retour de vacances et je me languis de tes caresses inventives et de ta fougue amoureuse. Nos bavardages coquins sur la toile ne suffisent plus ! Quand te reverrai-je ? Je sais que tu publies désormais nos échanges sur un site coquin, donc pour ceux qui ne me connaissent pas, je vais rapidement me décrire et en même temps tu vas découvrir la dernière aventure vécue avec mon copain Hervé.
Agée de 35 ans, j’ai pratiquement tout expérimenté en matière de sexe. Mariée à 18 ans entre lycée et faculté, avec un copain dont j’étais follement amoureuse, je me suis rapidement aperçue que je m’étais fourvoyée. Alexis s’est révélé être un cavaleur et un ivrogne. En plus, quand il avait bu, il devenait violent. Quand j’en ai eu assez de prendre des trempes, j’ai demandé le divorce et retrouvé ma liberté après moins d’un an de vie commune et quitté mes études. Tout au long de mon adolescence, en plus de l’équitation, j’avais pratiqué la danse classique et modern jazz, j’ai passé un casting et j’ai été embauchée pour une durée de quinze mois dans une petite troupe d’une douzaine de danseurs et danseuses.
Nous avons ainsi fait le tour de France, de l’Outre Mer et de quelques pays d’Europe. Avant Alexis, j’avais eu plusieurs amants, tous des copains de lycée. Durant la tournée, j’ai découvert le libertinage avec Vanessa, Giorgio et Vincent. Avec eux, j’ai découvert l’amour saphique, retrouvé une certaine attirance pour la sodomie que j’avais peu pratiquée avant mon mariage raté. J’ai expérimenté aussi les parties carrées qui nous réunissaient parfois les soirs de relâche pendant lesquelles nous nous partagions entre Giorgio et Vincent.
De retour à Paris, Vanessa et moi, nous avons été engagées pour quelques mois dans une boîte de la butte Montmartre qui présentait des spectacles érotiques et de striptease. En fait, nous dansions en duo tout en nous effeuillant et en simulant divers attouchements (parfois bien réels) pour exciter les hommes présents en majorité dans la petite salle de spectacle où seule la scène était éclairée violemment. Mes trois compères de la tournée m’avaient quelque peu rendue exhibitionniste et c’est sans retenue que je m’offrais dans les poses les plus lascives lors de nos prestations.
Grande blonde aux yeux verts et à la peau laiteuse avec des cheveux longs, des seins volumineux, j’ai des hanches pleines et des fesses rondes dominées par une taille fine et cambrée avec deux petites fossettes au creux des reins. Le contraste avec Vanessa était sa couleur de cheveux d’un châtain foncé avec des reflets dorés, elle avait la peau ambrée des filles qui aiment le soleil sans le craindre et des formes à peine moins généreuses que les miennes. Nous avions beaucoup de succès et nous étions très courtisées. Tous ces messieurs ignoraient que Vanessa et moi, nous vivions ensemble pour l'instant une passion folle dans laquelle les hommes n’avaient pas de place.
Puis, notre engagement s’est terminé et nos chemins se sont séparés. Après quelques semaines, j’ai retrouvé un court engagement à Londres pour le même genre de show. C’est au cours de ce séjour de quelques semaines en Angleterre que j’ai rencontré Hervé qui effectuait un stage dans une banque de la City. Son stage et mon engagement se terminaient à quelques jours d’intervalle. Nous nous sommes retrouvés à Paris.
J’ai quitté le minuscule studio qui me servait de pied à terre et nous nous sommes installés dans son appartement dans le 13ème arrondissement. Nous vivions paisiblement et confortablement. Je n’avais pas retrouvé de contrat mais je ne me laissais pas aller. Pour conserver la forme, je faisais du sport dans une salle de fitness proche de notre domicile et le dimanche matin, nous allions ensemble à la piscine où nous enchainions des longueurs de bassin.
Un samedi soir, Hervé m’a entrainé dans une « sortie surprise ». En fait, il m’a emmené dans un club libertin du centre de Paris. Oulla ! Qu’avait t’il fait. Moi, danseuse érotique, exhibitionniste, je retrouvais la chaude ambiance des nos parties à quatre. Et nous avons visité quelques uns de ces clubs où chacun est libre de baiser avec qui il veut, homme, femme, en trio ou quatuor ou même tout simplement avec son compagnon du moment.
Il y a environ un mois, un groupe de jeunes d’une vingtaine d’années est arrivé. Ils venaient fêter les 20 ans d’une des filles du groupe qui avait fait le pari d’être honorée d’une manière ou d’une autre par le même nombre de partenaires. Elle a gagné son pari car en fin de soirée elle était couverte des sécrétions de ceux, hommes ou femmes, qui l’avaient aidée dans cette performance. Sans vouloir l’égaler, j’ai eu envie de me livrer aussi à plusieurs partenaires en même temps. C’est arrivé lors de notre sortie suivante.
Ce coquin d’Hervé avait prévenu le patron du club où nous étions devenus des habitués. Après nous être débarrassé de nos vêtements superflus au vestiaire, nous avons gagné le bar où une serveuse aux seins nus nous a servi la coupe de champagne de l’accueil. Ce jour-là, je portais seulement une robe courte plissée de couleur fauve, très largement échancrée et simplement nouée au col. Mes seins étaient libres et balançaient doucement quand je marchais et mon pubis était rasé de frais et légèrement parfumé. Après avoir dansé et flirté avec trois partenaires, Hervé m'a prise par la main et nous avons gagné un des salons où nous avons été rapidement rejoints par cinq hommes entre 30 et 40 ans qui ont achevé de me déshabiller en dénouant les cordons de ma robe qui a glissé à mes pieds. Ils devaient nous attendre car eux étaient déjà nus, si bien que je ne savais plus où poser mes yeux : six bites à ma disposition et certaines de belle taille. Cà allait être un régal !
A genoux sur un pouf bas, j’ai caressé tour à tour ces bâtons d’amour pour achever de les faire dresser. J’en ai conservé deux en mains tout en offrant ma bouche à deux autres que je suçais successivement ou en même temps. Hervé agaçait de ses lèvres mes seins opulents, croquait les tétons avant d’y placer des pinces douces. Le sixième de nos complices s’était glissé entre mes cuisses et me léchait la chatte et titillait de sa langue mon anus qui ne demandait qu’à s’ouvrir en écartant mes fesses. Avec toutes ses caresses, ma chatte n’a pas tardé à dégouliner. J’étais prête à aller plus loin.
Hervé m’a relevée et m’a guidée vers le lit rond au centre du salon. Prenant la position en 69 sous moi, il présentait ma bouche et mes orifices à mes partenaires. Ayant de nouveau deux bites à sucer, j’ai senti le sexe long et fin d’un des hommes que j’avais sucés auparavant investir ma chatte et me copuler rapidement en profondeur avant de jouir sur mes fesses après avoir retiré le préservatif. Le second, qui possédait une bite longue et assez grosse, s’est introduit facilement dans ma chatte encore ouverte et noyée de cyprine. Il prit son temps malgré l’ambiance très chaude et il me fit jouir en même temps que lui.
Dans le même moment une de mes fellations s’est terminée par une belle giclée dans ma bouche et sur le visage. L’autre homme que je suçais est venu se mettre derrière moi (j’avais déjà baisé une fois avec lui il y a quelques mois) et plaçant son gland à l’entrée de mon petit trou, il s’y est introduit lentement et profondément jusqu’à coller son pubis contre mes fesses. Sa bite d’une taille moyenne, mais assez longue, est entrée facilement : j’ai tellement travaillé mes muscles que je suis très ouverte du cul. Lorsqu’il m’arrive de me fister, j’y introduis ma main en entier.
Notre groupe était entouré de voyeurs comme cela arrive lors de ce genre de performance. Les hommes qui avaient déjà éjaculé se faisaient sucer par des curieuses. De mon côté, je partageais une fellation de la bite d’Hervé et un de ses complices. Je masturbais lentement la sixième bite : elle n’aurait pas pu entrer dans ma bouche (et tu sais qu’elle peut s’ouvrir…) ! Lorsque mon sodomite a craché dans ma gaine, il a été remplacé aussitôt au même endroit par l’homme que je masturbais. Là, je l’ai sentie passer. Heureusement qu’un complice venait d’ouvrir le passage. Une vraie bite de cheval, et d’après ce que j’avais eu en mains, au moins 30 cm de longueur pour un diamètre de la taille d’une petite canette de boisson.
Aïe aïe aïe mon cul ! Mais l’introduction s’est faite en douceur tellement j’étais mouillée de là aussi. Il me limait lentement, ne sortant pas entièrement de ma gaine anale pour éviter qu’elle ne se referme. Quand il arrivait au fond, j’avais l’impression de manquer d’air. Je sentais monter une nouvelle jouissance dans mes entrailles.
Elle allait me déchirer comme c’est le cas quand je suis bien sodomisée. Elle arrivée, soudaine, au moment où j’ai senti que mon sodomite crachait son sperme dans le préservatif. Une giclée de cyprine est venue inonder le bas ventre de mon enculeur et a dégouliné entre mes cuisses.
Pas le temps de récupérer un peu mes esprits. Hervé, s’est allongé sur le dos, la bite dressée. Il me fit mettre en amazone, son sexe dans mon cul où il nageait un peu. Il me coucha le dos sur son torse, présentant ma chatte pour une double pénétration. La bite du sixième homme entra et mes deux partenaires accordèrent leurs mouvements jusqu’à nous conduire à une jouissance commune.
Dans le même temps, les quatre premiers compères, remis en forme par les spectatrices vinrent cracher leur sperme sur mon visage et sur mes seins dont les tétons étaient toujours pris dans les pinces. Je les retirai pour les masser avec le sperme qui m’avait inondée. Seul Hervé a lâché son sperme dans mon cul.
J’allai prendre une douche rapide avant de rejoindre mes six compagnons au bar où m’attendait une bouteille de champagne.
Je remerciai mes partenaires et c’est là que j’appris qu’Hervé les avait choisis à mon intention avec le patron du club. Ils avaient tous des bites différentes. MERCI Hervé ! C’était très bon.
Nous nous séparâmes et Hervé me conduisit dans une alcôve un peu retirée où il me fit l’amour avec beaucoup de douceur et de tendresse. Cette soirée coquine a été merveilleuse de sensations.
Voila mon Matou chéri ma dernière aventure sexuelle. J’ai bien joui et je t’attends avec impatience pour que tu me donnes beaucoup de plaisir comme tu as su si bien le faire lors de nos rencontres.
Je t’embrasse partout là où tu aimes.
Diane ta coquine.
Cela fait plus de trois mois que tu es passé me voir à ton retour de vacances et je me languis de tes caresses inventives et de ta fougue amoureuse. Nos bavardages coquins sur la toile ne suffisent plus ! Quand te reverrai-je ? Je sais que tu publies désormais nos échanges sur un site coquin, donc pour ceux qui ne me connaissent pas, je vais rapidement me décrire et en même temps tu vas découvrir la dernière aventure vécue avec mon copain Hervé.
Agée de 35 ans, j’ai pratiquement tout expérimenté en matière de sexe. Mariée à 18 ans entre lycée et faculté, avec un copain dont j’étais follement amoureuse, je me suis rapidement aperçue que je m’étais fourvoyée. Alexis s’est révélé être un cavaleur et un ivrogne. En plus, quand il avait bu, il devenait violent. Quand j’en ai eu assez de prendre des trempes, j’ai demandé le divorce et retrouvé ma liberté après moins d’un an de vie commune et quitté mes études. Tout au long de mon adolescence, en plus de l’équitation, j’avais pratiqué la danse classique et modern jazz, j’ai passé un casting et j’ai été embauchée pour une durée de quinze mois dans une petite troupe d’une douzaine de danseurs et danseuses.
Nous avons ainsi fait le tour de France, de l’Outre Mer et de quelques pays d’Europe. Avant Alexis, j’avais eu plusieurs amants, tous des copains de lycée. Durant la tournée, j’ai découvert le libertinage avec Vanessa, Giorgio et Vincent. Avec eux, j’ai découvert l’amour saphique, retrouvé une certaine attirance pour la sodomie que j’avais peu pratiquée avant mon mariage raté. J’ai expérimenté aussi les parties carrées qui nous réunissaient parfois les soirs de relâche pendant lesquelles nous nous partagions entre Giorgio et Vincent.
De retour à Paris, Vanessa et moi, nous avons été engagées pour quelques mois dans une boîte de la butte Montmartre qui présentait des spectacles érotiques et de striptease. En fait, nous dansions en duo tout en nous effeuillant et en simulant divers attouchements (parfois bien réels) pour exciter les hommes présents en majorité dans la petite salle de spectacle où seule la scène était éclairée violemment. Mes trois compères de la tournée m’avaient quelque peu rendue exhibitionniste et c’est sans retenue que je m’offrais dans les poses les plus lascives lors de nos prestations.
Grande blonde aux yeux verts et à la peau laiteuse avec des cheveux longs, des seins volumineux, j’ai des hanches pleines et des fesses rondes dominées par une taille fine et cambrée avec deux petites fossettes au creux des reins. Le contraste avec Vanessa était sa couleur de cheveux d’un châtain foncé avec des reflets dorés, elle avait la peau ambrée des filles qui aiment le soleil sans le craindre et des formes à peine moins généreuses que les miennes. Nous avions beaucoup de succès et nous étions très courtisées. Tous ces messieurs ignoraient que Vanessa et moi, nous vivions ensemble pour l'instant une passion folle dans laquelle les hommes n’avaient pas de place.
Puis, notre engagement s’est terminé et nos chemins se sont séparés. Après quelques semaines, j’ai retrouvé un court engagement à Londres pour le même genre de show. C’est au cours de ce séjour de quelques semaines en Angleterre que j’ai rencontré Hervé qui effectuait un stage dans une banque de la City. Son stage et mon engagement se terminaient à quelques jours d’intervalle. Nous nous sommes retrouvés à Paris.
J’ai quitté le minuscule studio qui me servait de pied à terre et nous nous sommes installés dans son appartement dans le 13ème arrondissement. Nous vivions paisiblement et confortablement. Je n’avais pas retrouvé de contrat mais je ne me laissais pas aller. Pour conserver la forme, je faisais du sport dans une salle de fitness proche de notre domicile et le dimanche matin, nous allions ensemble à la piscine où nous enchainions des longueurs de bassin.
Un samedi soir, Hervé m’a entrainé dans une « sortie surprise ». En fait, il m’a emmené dans un club libertin du centre de Paris. Oulla ! Qu’avait t’il fait. Moi, danseuse érotique, exhibitionniste, je retrouvais la chaude ambiance des nos parties à quatre. Et nous avons visité quelques uns de ces clubs où chacun est libre de baiser avec qui il veut, homme, femme, en trio ou quatuor ou même tout simplement avec son compagnon du moment.
Il y a environ un mois, un groupe de jeunes d’une vingtaine d’années est arrivé. Ils venaient fêter les 20 ans d’une des filles du groupe qui avait fait le pari d’être honorée d’une manière ou d’une autre par le même nombre de partenaires. Elle a gagné son pari car en fin de soirée elle était couverte des sécrétions de ceux, hommes ou femmes, qui l’avaient aidée dans cette performance. Sans vouloir l’égaler, j’ai eu envie de me livrer aussi à plusieurs partenaires en même temps. C’est arrivé lors de notre sortie suivante.
Ce coquin d’Hervé avait prévenu le patron du club où nous étions devenus des habitués. Après nous être débarrassé de nos vêtements superflus au vestiaire, nous avons gagné le bar où une serveuse aux seins nus nous a servi la coupe de champagne de l’accueil. Ce jour-là, je portais seulement une robe courte plissée de couleur fauve, très largement échancrée et simplement nouée au col. Mes seins étaient libres et balançaient doucement quand je marchais et mon pubis était rasé de frais et légèrement parfumé. Après avoir dansé et flirté avec trois partenaires, Hervé m'a prise par la main et nous avons gagné un des salons où nous avons été rapidement rejoints par cinq hommes entre 30 et 40 ans qui ont achevé de me déshabiller en dénouant les cordons de ma robe qui a glissé à mes pieds. Ils devaient nous attendre car eux étaient déjà nus, si bien que je ne savais plus où poser mes yeux : six bites à ma disposition et certaines de belle taille. Cà allait être un régal !
A genoux sur un pouf bas, j’ai caressé tour à tour ces bâtons d’amour pour achever de les faire dresser. J’en ai conservé deux en mains tout en offrant ma bouche à deux autres que je suçais successivement ou en même temps. Hervé agaçait de ses lèvres mes seins opulents, croquait les tétons avant d’y placer des pinces douces. Le sixième de nos complices s’était glissé entre mes cuisses et me léchait la chatte et titillait de sa langue mon anus qui ne demandait qu’à s’ouvrir en écartant mes fesses. Avec toutes ses caresses, ma chatte n’a pas tardé à dégouliner. J’étais prête à aller plus loin.
Hervé m’a relevée et m’a guidée vers le lit rond au centre du salon. Prenant la position en 69 sous moi, il présentait ma bouche et mes orifices à mes partenaires. Ayant de nouveau deux bites à sucer, j’ai senti le sexe long et fin d’un des hommes que j’avais sucés auparavant investir ma chatte et me copuler rapidement en profondeur avant de jouir sur mes fesses après avoir retiré le préservatif. Le second, qui possédait une bite longue et assez grosse, s’est introduit facilement dans ma chatte encore ouverte et noyée de cyprine. Il prit son temps malgré l’ambiance très chaude et il me fit jouir en même temps que lui.
Dans le même moment une de mes fellations s’est terminée par une belle giclée dans ma bouche et sur le visage. L’autre homme que je suçais est venu se mettre derrière moi (j’avais déjà baisé une fois avec lui il y a quelques mois) et plaçant son gland à l’entrée de mon petit trou, il s’y est introduit lentement et profondément jusqu’à coller son pubis contre mes fesses. Sa bite d’une taille moyenne, mais assez longue, est entrée facilement : j’ai tellement travaillé mes muscles que je suis très ouverte du cul. Lorsqu’il m’arrive de me fister, j’y introduis ma main en entier.
Notre groupe était entouré de voyeurs comme cela arrive lors de ce genre de performance. Les hommes qui avaient déjà éjaculé se faisaient sucer par des curieuses. De mon côté, je partageais une fellation de la bite d’Hervé et un de ses complices. Je masturbais lentement la sixième bite : elle n’aurait pas pu entrer dans ma bouche (et tu sais qu’elle peut s’ouvrir…) ! Lorsque mon sodomite a craché dans ma gaine, il a été remplacé aussitôt au même endroit par l’homme que je masturbais. Là, je l’ai sentie passer. Heureusement qu’un complice venait d’ouvrir le passage. Une vraie bite de cheval, et d’après ce que j’avais eu en mains, au moins 30 cm de longueur pour un diamètre de la taille d’une petite canette de boisson.
Aïe aïe aïe mon cul ! Mais l’introduction s’est faite en douceur tellement j’étais mouillée de là aussi. Il me limait lentement, ne sortant pas entièrement de ma gaine anale pour éviter qu’elle ne se referme. Quand il arrivait au fond, j’avais l’impression de manquer d’air. Je sentais monter une nouvelle jouissance dans mes entrailles.
Elle allait me déchirer comme c’est le cas quand je suis bien sodomisée. Elle arrivée, soudaine, au moment où j’ai senti que mon sodomite crachait son sperme dans le préservatif. Une giclée de cyprine est venue inonder le bas ventre de mon enculeur et a dégouliné entre mes cuisses.
Pas le temps de récupérer un peu mes esprits. Hervé, s’est allongé sur le dos, la bite dressée. Il me fit mettre en amazone, son sexe dans mon cul où il nageait un peu. Il me coucha le dos sur son torse, présentant ma chatte pour une double pénétration. La bite du sixième homme entra et mes deux partenaires accordèrent leurs mouvements jusqu’à nous conduire à une jouissance commune.
Dans le même temps, les quatre premiers compères, remis en forme par les spectatrices vinrent cracher leur sperme sur mon visage et sur mes seins dont les tétons étaient toujours pris dans les pinces. Je les retirai pour les masser avec le sperme qui m’avait inondée. Seul Hervé a lâché son sperme dans mon cul.
J’allai prendre une douche rapide avant de rejoindre mes six compagnons au bar où m’attendait une bouteille de champagne.
Je remerciai mes partenaires et c’est là que j’appris qu’Hervé les avait choisis à mon intention avec le patron du club. Ils avaient tous des bites différentes. MERCI Hervé ! C’était très bon.
Nous nous séparâmes et Hervé me conduisit dans une alcôve un peu retirée où il me fit l’amour avec beaucoup de douceur et de tendresse. Cette soirée coquine a été merveilleuse de sensations.
Voila mon Matou chéri ma dernière aventure sexuelle. J’ai bien joui et je t’attends avec impatience pour que tu me donnes beaucoup de plaisir comme tu as su si bien le faire lors de nos rencontres.
Je t’embrasse partout là où tu aimes.
Diane ta coquine.
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