Diane raconte ses aventures... suite à un incident technique.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 285 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Le Matou libertin ont reçu un total de 2 151 031 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 357 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Diane raconte ses aventures... suite à un incident technique.
Mon Matou chéri !
Récemment, je me suis souvenue d’une aventure survenue au temps où j’étais danseuse érotique. Je m’empresse de te la conter. Je crois qu’elle te fera plaisir (chose promise, chose due) car je t’en avais déjà parlé sans vraiment entrer dans les détails.
Ce matin-là, ma copine Marie et moi, nous sommes en partance pour la Guyane où nous sommes attendues pour un spectacle en duo. Nous sommes d’excellentes amies, très proches mais pas vraiment bisexuelles, l’une et l’autre, nous préférons les hommes.
Depuis un an déjà, au hasard de nos contrats, nous faisons les 400 coups ensemble ! Installées dans l’avion, nous sommes prêtes à tout comme d’habitude ! Hélas au bout d’un moment, une voix nous annonce au micro qu’un problème technique interdit le décollage de notre avion. Nous sommes invitées, comme tous les autres passagers, à rejoindre le guichet d’embarquement où des solutions de remplacement nous serons proposées… pfft !!!
Bref notre voyage commence par une galère !
Nous sommes tellement enthousiasmées par notre nouveau voyage, que ce contretemps ne suffit pas à entacher notre bonne humeur d’autant que nous disposons encore de 48 h avant notre premier show. Pas de panique donc ! Nos chambres sont retenues pour la durée du contrat, elles nous attendront. Nous apprenons rapidement que la solution de remplacement proposée est un vol dans six heures. Nous avons donc six heures à tuer à l’aéroport ! Ok !, nous décidons donc d’aller nous restaurer, il est 13h et nous n’avons pas déjeuné.
Nous voilà installées au restaurant. Tout à coup un homme s’approche de notre table :
• Marie !
Le visage de ma copine s’éclaire aussitôt d’un grand sourire.
Waaouuuh ! Je la connais bien et devine aussitôt à son visage légèrement empourpré qu’il s’agit d’un de ses amants (passé ou présent ?).
Humm, intéressant. D’autant que l’homme en question se trouve être un beau mec, de haute taille, le visage halé sous des cheveux blonds et des yeux d’un bleu foncé ! Après de courtes présentations polies, je m’éclipse discrètement aux toilettes afin de les laisser converser librement. Je traîne un peu pour leur laisser le temps.
Et un coup de fil surprise me retient encore un peu d’avantage. Quand je retourne à la table, ils ne sont plus là ! Petit moment d’inquiétude, mais aussitôt le serveur s’approche de moi en disant :
• Votre amie a dû partir, mais elle vous a laissé un message !
Je prends ce papier qu’il me tend, assez surprise tout de même. Je te le donne en mille : le message dit : “Ma belle, rejoins-nous au Mercure, chambre 244. Je compte sur toi !”
Waaouuuh ! J’ai beau la connaître (et me connaître aussi d’ailleurs !) je suis un peu soufflée… Je demande rapidement au serveur ou se trouve le Mercure. Son demi-sourire lors de la réponse m’agace un tantinet, mais tant pis !
J’arrive au Mercure. J’ai à peine le temps de me demander à qui je vais m’adresser pour trouver la fameuse chambre que le visage souriant du copain de mon amie apparaît. Très poliment, il me salue à nouveau et me dit qu’il m’attendait pendant que Marie prenait une douche…
Nous arrivons à la chambre 244. Humm, l’ambiance est chaude et je me sens y adhérer progressivement. D’autant que j’entends la voix de ma copine m’encourager à me mettre à l’aise et le regard de ce monsieur décidément sexy s’attarder sur mes tétons qui pointent au travers de mon chemisier en lin. C’est sûr ! Ça va être chaud !
Je suis quand même un peu intimidée. Je n’envisageais pas une partie à trois lorsque nous l’avons rencontré au restaurant. Thomas semble lui de plus en plus excité sous les caresses de Marie qui lui a déjà ôté sa chemise et dégrafé le pantalon. La vue de ces deux corps qui se frôlent et s’excitent est d’une sensualité torride !
Je sens ma culotte s’humidifier et je ne résiste pas à caresser au travers du tissu mes tétons qui sont déjà bien durs et dardés. Le couple s’est rapproché de moi et, tandis que Marie s’intéresse de plus en plus près au barreau qui déforme le caleçon de Thomas, celui-ci, avec une douceur délicieuse, entreprend de caresser mes seins à travers mon chemisier puis glisse une main en dessous et finalement me l’enlève et libère mes seins opulents (que tu aimes tant).
Je m’empresse de défaire mon pantalon de toile souple qui descend tout de suite sur mes chevilles. Oh, cette vue sur ce sexe raide ! Thomas glisse une main à mon entrejambe qui mouille déjà bien. Marie pendant ce temps, lèche goulûment, avale, lèche encore, caresse ce bâton d’amour et je peux constater l’efficacité de ma copine au souffle de Thomas et à ses yeux qui par moment se ferment quelques secondes alors que sa bouche s’entrouvre et laisse échapper un râle sourd.
J’ai moi aussi un instant fermé les yeux. Humm, voilà que je sens sa langue lécher délicatement mes lèvres entrouvertes puis envahir ma bouche avec une générosité douce.
Waaouuuh, quel délice !
J’adooore ! Marie est remontée et viens se mêler à nous pour une série de léchouilles gourmandes et baveuses.
Abandonnant ses lèvres, je vais explorer de ma bouche gourmande ce corps magnifique. Je glisse sur les épaules, m’attarde sur des tétons bien durs, traîne sur ses abdos musclés et descend progressivement vers son sexe tellement dur que je suis obligée de l’écarter de la main pour lécher son bas ventre.
Humm ! Et puis je n’y tiens plus, une lèche discrète d’abord sur ce gland archi-gonflé, gorgé de sang. Humm ! J’en veux plus encore, j’enfourne cette superbe statue de chair dans ma bouche, avec une gourmandise que je ne peux plus contenir et l’enfonce au fond de ma gorge. J’entends à nouveau ce râle sourd. Je suis de plus en plus excitée et ma timidité (?) première n’est plus qu’un lointain souvenir.
Quand je relève la tête, je vois que Marie s’est éloignée de nous et s’est installée sur le lit immense. Elle ondule et se caresse la chatte en nous regardant ! Humm, quelle coquine, ses jambes écartées laissent voir son sexe et je vois qu’il est bien gonflé. Alors je me relève et en gardant son bâton bien dur dans ma main, j’emmène Thomas vers le lit. Je crois qu’il est très excité de se faire promener comme ça par la queue et pour dire vrai, moi aussi ça m’excite. Je m’arrête, il s’arrête. Mon Dieu ! Il bande comme un cheval. J’arrive à peine à faire le tour de sa bite. Humm, je repars, il se laisse guider. Et là, je ne sais ce qui me prend, j’ai envie de les diriger tous deux. J’invite Marie à se mettre en levrette…
Elle sourit, adresse une langue gourmande à Thomas et s’exécute ! Je lui caresse les fesses d’une main sans lâcher la queue de monsieur dont je branle délicatement le gland. Son sexe appelle la caresse de façon insolente. Je lèche un de mes doigts et le promène sur sa chatte. J’agace son bourgeon d’amour qui est sorti de son capuchon et se dresse comme une bite minuscule. Du coin de l’œil, je surveille l’effet de mon manège sur Thomas.
Waaouuuh ! Il garde les yeux fixés sur mes doigts qui s’introduisent maintenant délicatement entre les lèvres humides de cette chatte inondée de cyprine.
Humm ! Je crois qu’il n’en peut plus !
Il crève d’envie de la pénétrer.
Alors, je retire mes doigts, crache abondamment sur le gland survolté, je le couvre et le frotte moi-même contre la chatte de Marie qui se cambre en gémissant.
Thomas craque et enfourne d’un coup toute la longueur de sa bite (et elle est longue !) dans le vagin de mon amie.
Waaouuuh ! Je suis moi-même hyper excitée de ce spectacle. Marie gémit de plus en plus fort, au rythme des coups de boutoir que lui assène Thomas. Je m’assois sur le lit et me caresse. La mouille dégouline entre mes fesses. J’essaie de contrôler, (tu sais mon angoisse par rapport aux jets de cyprine quand je ne connais pas les gens !) mais l’excitation est intense. Thomas ne perd rien de mon manège tout en pénétrant Marie avec une vigueur qui m’impressionne.
Je ne vois pas le visage de Marie, mais aux sons qu’elle émet, je crois qu’elle est aux anges. Puis Thomas m’attrape une jambe, me tire plus près d’eux et me fait mettre également en levrette (que j’aime cette position).
Je suis encore surprise par la douceur de sa force quand il introduit ses doigts dans ma chatte déjà trempée puis dans mon cul tout dilaté de désir et qui appelle la pénétration. Au diable les angoisses, je sens que je vais jouir et je ne suis plus en mesure d’y résister. Je m’abandonne avec volupté au plaisir, laissant partir un jet de cyprine qui inonde tout l’avant-bras de Thomas.
Comme une réaction en chaîne, Thomas râle et enfonce son sexe tellement profondément en Marie qu’elle-même jouit instantanément. Tous les trois nous gémissons de plaisir ! Thomas au fond de la chatte de Marie et moi avec sa main gauche enfoncée presque entièrement dans mon cul !
Waaouuuh ! Incroyable, je n’aurai pas cru cette jouissance en cascade parfaite possible comme ça !
Le tout s’est déroulé comme si nous avions un scénario. Incroyable !
Revenant doucement tous les trois à la réalité je me demande comment Thomas n’a pas été visiblement surpris par ma fontaine (je sais que ça surprend). Cette coquine de Marie connaît ce détail par rapport à ma sexualité. Je suis sûre qu’elle lui en a parlé, probable même qu’elle lui ait dit comment faire. Marie est une sacrée coquine, mais grâce à ses manigances, nous venons tous trois de prendre un pied d’enfer !
Merci Marie !!!
Voila, cela remonte déjà à pas mal d’années mais c’est un excellent souvenir.
Mon Matou chéri, je t’embrasse partout où tu aimes. À quand une nouvelle rencontre ?
Ta Diane coquine.
Récemment, je me suis souvenue d’une aventure survenue au temps où j’étais danseuse érotique. Je m’empresse de te la conter. Je crois qu’elle te fera plaisir (chose promise, chose due) car je t’en avais déjà parlé sans vraiment entrer dans les détails.
Ce matin-là, ma copine Marie et moi, nous sommes en partance pour la Guyane où nous sommes attendues pour un spectacle en duo. Nous sommes d’excellentes amies, très proches mais pas vraiment bisexuelles, l’une et l’autre, nous préférons les hommes.
Depuis un an déjà, au hasard de nos contrats, nous faisons les 400 coups ensemble ! Installées dans l’avion, nous sommes prêtes à tout comme d’habitude ! Hélas au bout d’un moment, une voix nous annonce au micro qu’un problème technique interdit le décollage de notre avion. Nous sommes invitées, comme tous les autres passagers, à rejoindre le guichet d’embarquement où des solutions de remplacement nous serons proposées… pfft !!!
Bref notre voyage commence par une galère !
Nous sommes tellement enthousiasmées par notre nouveau voyage, que ce contretemps ne suffit pas à entacher notre bonne humeur d’autant que nous disposons encore de 48 h avant notre premier show. Pas de panique donc ! Nos chambres sont retenues pour la durée du contrat, elles nous attendront. Nous apprenons rapidement que la solution de remplacement proposée est un vol dans six heures. Nous avons donc six heures à tuer à l’aéroport ! Ok !, nous décidons donc d’aller nous restaurer, il est 13h et nous n’avons pas déjeuné.
Nous voilà installées au restaurant. Tout à coup un homme s’approche de notre table :
• Marie !
Le visage de ma copine s’éclaire aussitôt d’un grand sourire.
Waaouuuh ! Je la connais bien et devine aussitôt à son visage légèrement empourpré qu’il s’agit d’un de ses amants (passé ou présent ?).
Humm, intéressant. D’autant que l’homme en question se trouve être un beau mec, de haute taille, le visage halé sous des cheveux blonds et des yeux d’un bleu foncé ! Après de courtes présentations polies, je m’éclipse discrètement aux toilettes afin de les laisser converser librement. Je traîne un peu pour leur laisser le temps.
Et un coup de fil surprise me retient encore un peu d’avantage. Quand je retourne à la table, ils ne sont plus là ! Petit moment d’inquiétude, mais aussitôt le serveur s’approche de moi en disant :
• Votre amie a dû partir, mais elle vous a laissé un message !
Je prends ce papier qu’il me tend, assez surprise tout de même. Je te le donne en mille : le message dit : “Ma belle, rejoins-nous au Mercure, chambre 244. Je compte sur toi !”
Waaouuuh ! J’ai beau la connaître (et me connaître aussi d’ailleurs !) je suis un peu soufflée… Je demande rapidement au serveur ou se trouve le Mercure. Son demi-sourire lors de la réponse m’agace un tantinet, mais tant pis !
J’arrive au Mercure. J’ai à peine le temps de me demander à qui je vais m’adresser pour trouver la fameuse chambre que le visage souriant du copain de mon amie apparaît. Très poliment, il me salue à nouveau et me dit qu’il m’attendait pendant que Marie prenait une douche…
Nous arrivons à la chambre 244. Humm, l’ambiance est chaude et je me sens y adhérer progressivement. D’autant que j’entends la voix de ma copine m’encourager à me mettre à l’aise et le regard de ce monsieur décidément sexy s’attarder sur mes tétons qui pointent au travers de mon chemisier en lin. C’est sûr ! Ça va être chaud !
Je suis quand même un peu intimidée. Je n’envisageais pas une partie à trois lorsque nous l’avons rencontré au restaurant. Thomas semble lui de plus en plus excité sous les caresses de Marie qui lui a déjà ôté sa chemise et dégrafé le pantalon. La vue de ces deux corps qui se frôlent et s’excitent est d’une sensualité torride !
Je sens ma culotte s’humidifier et je ne résiste pas à caresser au travers du tissu mes tétons qui sont déjà bien durs et dardés. Le couple s’est rapproché de moi et, tandis que Marie s’intéresse de plus en plus près au barreau qui déforme le caleçon de Thomas, celui-ci, avec une douceur délicieuse, entreprend de caresser mes seins à travers mon chemisier puis glisse une main en dessous et finalement me l’enlève et libère mes seins opulents (que tu aimes tant).
Je m’empresse de défaire mon pantalon de toile souple qui descend tout de suite sur mes chevilles. Oh, cette vue sur ce sexe raide ! Thomas glisse une main à mon entrejambe qui mouille déjà bien. Marie pendant ce temps, lèche goulûment, avale, lèche encore, caresse ce bâton d’amour et je peux constater l’efficacité de ma copine au souffle de Thomas et à ses yeux qui par moment se ferment quelques secondes alors que sa bouche s’entrouvre et laisse échapper un râle sourd.
J’ai moi aussi un instant fermé les yeux. Humm, voilà que je sens sa langue lécher délicatement mes lèvres entrouvertes puis envahir ma bouche avec une générosité douce.
Waaouuuh, quel délice !
J’adooore ! Marie est remontée et viens se mêler à nous pour une série de léchouilles gourmandes et baveuses.
Abandonnant ses lèvres, je vais explorer de ma bouche gourmande ce corps magnifique. Je glisse sur les épaules, m’attarde sur des tétons bien durs, traîne sur ses abdos musclés et descend progressivement vers son sexe tellement dur que je suis obligée de l’écarter de la main pour lécher son bas ventre.
Humm ! Et puis je n’y tiens plus, une lèche discrète d’abord sur ce gland archi-gonflé, gorgé de sang. Humm ! J’en veux plus encore, j’enfourne cette superbe statue de chair dans ma bouche, avec une gourmandise que je ne peux plus contenir et l’enfonce au fond de ma gorge. J’entends à nouveau ce râle sourd. Je suis de plus en plus excitée et ma timidité (?) première n’est plus qu’un lointain souvenir.
Quand je relève la tête, je vois que Marie s’est éloignée de nous et s’est installée sur le lit immense. Elle ondule et se caresse la chatte en nous regardant ! Humm, quelle coquine, ses jambes écartées laissent voir son sexe et je vois qu’il est bien gonflé. Alors je me relève et en gardant son bâton bien dur dans ma main, j’emmène Thomas vers le lit. Je crois qu’il est très excité de se faire promener comme ça par la queue et pour dire vrai, moi aussi ça m’excite. Je m’arrête, il s’arrête. Mon Dieu ! Il bande comme un cheval. J’arrive à peine à faire le tour de sa bite. Humm, je repars, il se laisse guider. Et là, je ne sais ce qui me prend, j’ai envie de les diriger tous deux. J’invite Marie à se mettre en levrette…
Elle sourit, adresse une langue gourmande à Thomas et s’exécute ! Je lui caresse les fesses d’une main sans lâcher la queue de monsieur dont je branle délicatement le gland. Son sexe appelle la caresse de façon insolente. Je lèche un de mes doigts et le promène sur sa chatte. J’agace son bourgeon d’amour qui est sorti de son capuchon et se dresse comme une bite minuscule. Du coin de l’œil, je surveille l’effet de mon manège sur Thomas.
Waaouuuh ! Il garde les yeux fixés sur mes doigts qui s’introduisent maintenant délicatement entre les lèvres humides de cette chatte inondée de cyprine.
Humm ! Je crois qu’il n’en peut plus !
Il crève d’envie de la pénétrer.
Alors, je retire mes doigts, crache abondamment sur le gland survolté, je le couvre et le frotte moi-même contre la chatte de Marie qui se cambre en gémissant.
Thomas craque et enfourne d’un coup toute la longueur de sa bite (et elle est longue !) dans le vagin de mon amie.
Waaouuuh ! Je suis moi-même hyper excitée de ce spectacle. Marie gémit de plus en plus fort, au rythme des coups de boutoir que lui assène Thomas. Je m’assois sur le lit et me caresse. La mouille dégouline entre mes fesses. J’essaie de contrôler, (tu sais mon angoisse par rapport aux jets de cyprine quand je ne connais pas les gens !) mais l’excitation est intense. Thomas ne perd rien de mon manège tout en pénétrant Marie avec une vigueur qui m’impressionne.
Je ne vois pas le visage de Marie, mais aux sons qu’elle émet, je crois qu’elle est aux anges. Puis Thomas m’attrape une jambe, me tire plus près d’eux et me fait mettre également en levrette (que j’aime cette position).
Je suis encore surprise par la douceur de sa force quand il introduit ses doigts dans ma chatte déjà trempée puis dans mon cul tout dilaté de désir et qui appelle la pénétration. Au diable les angoisses, je sens que je vais jouir et je ne suis plus en mesure d’y résister. Je m’abandonne avec volupté au plaisir, laissant partir un jet de cyprine qui inonde tout l’avant-bras de Thomas.
Comme une réaction en chaîne, Thomas râle et enfonce son sexe tellement profondément en Marie qu’elle-même jouit instantanément. Tous les trois nous gémissons de plaisir ! Thomas au fond de la chatte de Marie et moi avec sa main gauche enfoncée presque entièrement dans mon cul !
Waaouuuh ! Incroyable, je n’aurai pas cru cette jouissance en cascade parfaite possible comme ça !
Le tout s’est déroulé comme si nous avions un scénario. Incroyable !
Revenant doucement tous les trois à la réalité je me demande comment Thomas n’a pas été visiblement surpris par ma fontaine (je sais que ça surprend). Cette coquine de Marie connaît ce détail par rapport à ma sexualité. Je suis sûre qu’elle lui en a parlé, probable même qu’elle lui ait dit comment faire. Marie est une sacrée coquine, mais grâce à ses manigances, nous venons tous trois de prendre un pied d’enfer !
Merci Marie !!!
Voila, cela remonte déjà à pas mal d’années mais c’est un excellent souvenir.
Mon Matou chéri, je t’embrasse partout où tu aimes. À quand une nouvelle rencontre ?
Ta Diane coquine.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Le Matou libertin
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...