Dîner en amoureux - histoire érotique

Comme vous l’avez compris, je suis très fidèle. Je ne fais jamais rien sans que mon homme soit ok. Je m’offre à d’autres, il m’offre à d’autres mais c’est toujours une décision prise ensemble ou par l’un et acceptée par l’autre. Et presque toujours, il est là pour regarder, participer, sinon je lui raconte en détail, après… Le regard de mon homme me fait jouir, me libère… Il me comprend comme personne et son amour me permet de réaliser tous mes fantasmes.
Ce soir, dîner en amoureux dans un restaurant assez haut de gamme. Je me / lui fais plaisir en enfilant ma combinaison en résille, ouverte à l’entrejambe, une mini robe en maille argentée (j’adore la mode de cette année avec du brillant partout), mes bottes noires, des Docks Martins, genre motarde, et mon collier de chien en cuir noir, ultra simple, très rock, très sexy, un peu trop sexy pour le restau où l’on a réservé mais j’aime que l’on me regarde et mon mec adore voir le désir des autres hommes dans leurs regards.
Quand on entre, lui très sobre : jean foncé, chemise blanche, blazer, il est beau mon mec, viril ; moi, une liane sûre de sa féminité, les regards se tournent vers nous quelques secondes, les femmes regardent mon cavalier avec envie et me jettent des regards envieux (j’ai l’habitude), les hommes me déshabillent du regard… Je remarque tout de suite un très bel homme, la cinquantaine, ses yeux se promènent sur moi depuis la pointe de mes seins en passant par la résille sur mes cuisses et mon collier… J’en suis déjà toute humide.
Installés à notre table, nous choisissons notre menu. Je suis assisse en face de cet homme… il dîne avec sa femme et un autre couple. Sa femme est très belle. Je ne peux pas m’empêcher de le dévorer du regard… il s’en rend compte et me le rend bien. Mon homme qui pensait passer un dîner tranquille et qui, il me l’a dit, m’a préparé une fin de soirée très chaude à la maison, est un peu pris de court… Mais il s’adapte toujours très vite à la situation et ne rate jamais une occasion de me faire plaisir. « Il te plait ? » « Oui » « Tu veux te le faire ? » « Oui » « On lui propose de venir à la maison ? » « Euh. Non. J’ai envie de lui, là, maintenant, et je ne veux pas rater la soirée que tu as prévu » « Ok. Vas-y, fais ce que tu veux. » « Merci mon amour » Je me penche vers lui, l’embrasse à pleine bouche, le regard planté dans celui du bel homme. Toujours les yeux dans les yeux, il est hypnotisé, je caresse mes lèvres du bout des doigts, descends le long de mon cou, caresse mon collier, continue la descente lentement et passe sur la pointe de mon sein, titille mon téton jusqu’à le faire durcir et que l’homme le voit pointer, ma main continue son chemin j’effleure ma hanche et alors que son regard suis le mouvement, j’écarte lentement les cuisses dans sa direction, il a une belle vue sur mon sexe offert mis en valeur par la résille qui l’entoure. Je lui laisse le temps de profiter de la vue puis resserre les cuisses. Ses yeux remontent vers mon visage, je lui souris ouvertement, et un tout petit mouvement de tête l’incite à me suivre. Je me lève, fais quelques pas en direction des toilettes, me retourne pour l’encourager, il a l’air figé sur sa chaise…
Ce restaurant parisien est mythique et ce, en partie pour ses toilettes au sous-sol : magnifiques, style Art Déco, ultra raffinés, pas du tout glauques. Quand j’arrive dans cet endroit si cosy, la porte se referme à peine derrière moi qu’elle se rouvre et qu’il entre, timide, plein d’espoir, incertain… « Je… enfin… euh… » « Oui » « Mais votre mari ? » « Il va bien, il est d’accord. » « Je peux ? » « Faites ce dont vous avez envie, je suis à vous, là maintenant » Il s’approche rapidement et ses mains se glissent sous ma robe, ses mains me couvrent de caresses, il prend mes seins en main, les pince un peu, il est délicat et puissant en même temps… Il m’attrape par la taille, me soulève et me pose sur le bord du lavabo, il m’explore déjà l’entrejambe d’une main pendant qu’il sort son sexe de l’autre, pas de temps pour les préliminaires, il s’enfonce déjà en moi, et commence à me baiser en cadence quand on entend des rires dans l’escalier, des voix de femmes qui se rapprochent… Il me soulève sans effort et m’emporte dans l’un des cabinets, je repousse la porte derrière nous, il me cale contre le mur et continue ses va et vient avec force mais avec des mouvements lents qui me permettent de sentir son sexe qui me prend encore et encore… Les femmes entrent et se mettent à bavarder entre elles, il chuchote dans mon cou, entre deux baisers « c’est ma femme et son amie »… et ses coups de rein s’amplifie, sa queue s’enfonce encore plus, je prends vraiment mon pied, et petite vicieuse que je suis, savoir que sa femme est à coté m’excite encore plus ! La discussion à coté : « Ca va ma chérie ? » « Oui, bof…, c’est pas terrible avec Jean en ce moment, il ne me touche plus, je me demande s’il n’a pas des problèmes, à son âge, ce serait normal… » « Tu es sûre qu’il ne te trompe pas ? » « J’en sais rien… non, je ne crois pas… » « A ta place, j’essayerai de le surprendre, d’innover. » « Je ne suis pas contre, j’ai bien quelques idées mais… » « Mais quoi ? » Je suis toujours en train de me faire prendre par Jean (donc !) qui essaye de ne pas faire de bruit… ce qui est inutile car je suis envahie par un orgasme très profond, et comme je ne suis pas du tout discrète, mon cri de jouissance fait taire les deux amies. Elles rient doucement et sortent… La porte des Dames se referment alors que Jean balance la dernière giclée… bien au fond de moi. Il se dégage, j’essuie son jus qui coule entre mes jambes en le remerciant. Il s’appuie sur le mur en face de moi, reprends son souffle (il m’a quand même portée en me baisant pendant de longues minutes), sa verge se détend et commence à perdre de sa vigueur… Je m’agenouille devant lui, glisse une main dans son caleçon, dégage ses bourses et commence des caresses délicates pendant que je prends sa queue en bouche et le suce goulument, il me caresse les cheveux doucement et murmure « Merci, merci… ». Quand sa queue est bien raide dans ma bouche, je me relève, l’embrasse comme j’ai embrassé mon homme puis lui demande d’attendre là, en continuant à maintenir son érection, sans éjaculer… « Si tu gicles, tu vas rater une bonne occasion. Attends quelques minutes, tu te branles doucement et tu attends. ». Je sais exactement ce que je veux. Je remets ma robe en place, remonte dans la salle de restaurant, avance vers la table de Jean où les deux femmes sont revenues… je me penche vers sa femme, vraiment bandante et lui demande de m’accompagner « Madame, s’il vous plait, venez avec moi, votre mari vous demande, tout de suite » elle me suit, inquiète, mon homme ne comprend rien à ce qui se passe, je lui fais signe d’attendre…
Arrivées chez les Dames, elle me demande ce qui se passe, je la rassure « Ne vous inquiétez pas, faites-moi confiance. Votre mari vous attend. » « Quoi, que ? » « Chut… » Je me penche vers elle tout doucement, je pose mes lèvres sur sa bouche, glisse ma langue et l’embrasse doucement, mes mains la caresse, ses seins sont volumineux, doux et encore très fermes, je remonte sa jupe droite haut sur ses hanches, ma main dans sa culotte, mes doigts dans sa chatte, elle résiste à peine… A la fin de mon baiser, elle est soumise à mes désirs, très humide… Je lui demande d’enlever sa culotte, puis je la guide vers la cabine où son mari est prêt, la queue en l’air. Il a tout entendu et sait que sa femme va passer la porte, son sourire est parlant… il a l’air heureux mais il est stupéfait de voir sa femme le cul à l’air… « Ma chérie… » Elle ne dit rien, les yeux fixé sur le membre durci de son homme, elle me jette un regard puis avance, lève une jambe, il l’attrape comme il l’a fait avec moi plus tôt et la pénètre, elle gémit immédiatement de plaisir, il commence à lui faire l’amour contre le mur, ses jambes fines s’enroulent autour de lui, leur souffle se fait rauque… Je referme la porte et m’éclipse… satisfaite. Je rejoins mon chéri qui m’attend très patiemment. Nous reprenons le cours de notre dîner, je lui raconte dans le moindre détail chaque geste, chaque mot, chaque sensation, je sais qu’il bande sous la table… Le serveur nous regarde bizarrement. Quand le couple remonte ensemble des toilettes, elle a le rose aux joues, un sourire immense, lui a l’air fatigué mais très satisfait. Elle interpelle le garçon et commande du champagne… Il me lance un très beau sourire, elle se tourne et me fait un clin d’œil…
Le repas est fini, l’addition réglée, nous quittons cet endroit magique, électrisés… Nous rentrons chez nous, j’attends avec impatience que mon homme se fasse maître, qu’il me fasse esclave de ses désirs. A peine passée la porte, il attrape la laisse de cuir posée sur le meuble de l’entrée, commence par soulever ma robe et me fouette le cul d’un coup sec, il attache la laisse à mon collier et m’ordonne « à quatre pattes, chienne » Je mouille. C’est parti…