Du bol à La Baule

- Par l'auteur HDS Humoureux -
Récit érotique écrit par Humoureux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Du bol à La Baule Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2007 dans la catégorie Plus on est
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Du bol à La Baule
Virginie, la collègue de ma femme, venait de se faire plaquer par son copain et ma femme se désespérait de la voir si
triste, ne sachant comment lui changer les idées. Le week-end s'annonçait ensoleillé et je proposais à ma femme
Véronique que nous emmenions Virginie à La Baule où nous avons un petit appartement. " Tu crois ? tu accepterais
qu'elle nous accompagne ? Tu sais, elle n'est pas très drôle actuellement . Hé puis, nous n'avons qu'une chambre " .
" De te voir triste également pour ta collègue me peine. Aussi je maintiens cette idée. De toutes façons, elle pourra
dormir sur la canapé du séjour "
Le vendredi après - midi, nous sommes donc passés prendre Virginie chez elle. Je ne la connaissais pas encore .
Taille moyenne, blonde avec une queue de cheval .Elle avait revêtu un pantalon jeans et un pull marin, lequel
laissait deviner une opulente poîtrine. Je dois vous dire que ma femme a de petits seins. Pour rien au monde , je
n'aurais accepté qu'elle fasse appel à la chirurgie esthétique. Mais elle n'ignorait rien de mes fantasmes sur les fortes
poîtrines ...
Le voyage se passa à échanger des banalités. Une fois installés à l'appartement, nous sommes allés dîner sur la
plage, un plateau de fruits de mer arrosé d'un excellent vin blanc. Puis nous sommes allés prendre quelques
cocktails au casino. Vers 2 heures du matin, Virginie tombant de sommeil, nous rentrâmes à l'appartement , Virginie
se coucha sur la canapé et nous allâmes nous coucher dans la chambre.
" Je trouve que tu as vraiment été sympa avec ma collègue " me complimenta Véronique. " Tu as aperçu la poîtrine
qu'elle a . Ah si je pouvais avoir la même pour te faire plaisir ". " Mais je t'aime comme tu es, ma chérie" répondis-je
un peu faux-cul. Et nous partîmes dans de grands échanges. Sachant comment sy' prendre avec moi, Véronique
commença par me lécher les tétons puis le nombril. Elle descendit jusqu'à mon sexe , gratifiant mon gland de doux
bisous de plus en plus intenses, tout en malaxant les bourses . Elle entreprit de m'avaler le sexe au maximum dans
son immense bouche, tout en ma lapant avidement. Comme elle avait eu la gentillesse de se mettre à cheval sur moi,
je pus lui entreprendre son intimité, en embrassant d'abord ses lèvres tout en la pénétrant d'un puis deux puis trois
doigts . Ainsi je pouvais la titiller, l'exciter , ce qui augmentait l'intensité de son "activité" sur mon sexe. Sentant son
clitoris s'exciter, grossir, je le pris d'abord entre mes doigts puis je commençai à le lécher, le mordiller, le sucer
avidement. Véronique ne pouvait s'empêcher de manifester son excitation à haute voix, par des cris , des râles à
réveiller tout l'immeuble . J'aurais aimé la pénétrer avec mon sexe, la violenter. Mais elle avait décidé de me faire
jouir dans sa bouche. Aussi, afin de ne pas être en reste, j'intensifiais mon action sur son clitoris , lorsque, soudain,
Véronique se mit à jouir violemment et à m'arroser le visage de sa jouissance. Je ne pus alors résister et m' éclatais
dans la bouche de ma femme. Ayant repris nos esprits, nous échangeâmes des baisers langoureux et échangèrent
nos jouissances .
Quelle ne fut pas notre surprise d'entendre des pleurs venant du salon. Virginie avait dû être réveillée par nos ébats
bruyants. Cela lui avait rappelé certainement de merveilleux souvenirs et l' avait rendue triste à pleurer
Je proposais donc à Véronique d'aller la consoler
" Tu crois ? "
" Oui, bien sûr. C'est notre faute. Il faut nous excuser. Vas-y "
Véronique, encore nue, et ayant encore le goût de nos ébats dans la bouche et sur le corps, alla s'allonger auprès de
Virginie. Elle lui caressa le visage, lui passa la main dans les cheveux, serra son corps contre celui de sa collègue et
commença à l' embrasser gentiment dans le cou, sur les oreilles, le nez, les joues, ... Vous vous doutez bien que je
ne voulais rien manquer du spectacle, bien qu'ignorant ce que serait la suite. Surprise par tant d 'élan, Virginie prit le
visage de ma femme à deux mains et l'embrassa sur la bouche avec vigueur. Surprise elle-même par sa hardiesse,
Virginie eut un bref moment de recul, puis reprit un long baiser langoureux, pénétrant la bouche de ma femme avec
fougue. Véronique, prise dans le rythme, entreprit de déshabiller sa collègue. Ce fut d'abord la veste de pyjama qui
disparut, laissant apparaître une paire de seins de rêve. Bien faits, droits, voluminueux, deux aréoles foncées
surmontées de deux tétons en érection. A cette vue surperbe, je ne pus m' empêcher de commencer à me
masturber. Véronique se précipita sur les seins de sa collègue, elle les caressa longuement de plus en plus
fermement, avec l'index elle titilla les tétons qui ne firent que s 'ériger plus encore, puis elle les embrassa avidement,
les aspira, les mordilla. Entre-temps, Virginie avait discrètement fait glisser le pantalon de son pyjama, laissant
apparaître un sexe gonflé par l'excitation, surmonté d'un mont de venus parfaitement épilé. Véronique glissa alors la
main droite vers le sexe de sa collègue, elle lui écarta les lèvres et la pénétra avec force, ce qui la fit crier de joie .
Ma femme finit par s' apercevoir de ma présence . D'un petit clin d'oeil, elle me fit comprendre que cela ne la génait
pas du tout. Un foulard trainait sur la commode. Je le lui lançais avec un clin d'oeil et ma femme banda les yeux de
sa collègue. Puis elle vint s' installer sur son visage tout en lui maintenant les mains fermement. Son sexe plein de
notre jouissance puis de la l jouissance naissante de sa relation lesbienne vint se plaquer comme une ventouse sur
la bouche de Virginie qui ne pouvait plus parler. J' en profitais donc pour venir me positionner derrière ma femme et
caresser, peloter, lécher, les seins de rêve de Virginie, comme je n'en avais jamais connu . A l' évidence, Virginie ,
emportée par l'ambiance érotique, ne s' était pas aperçue de ma présence. Je descendais donc ma main libre le long
de son sexe, caressait ses lèvres toutes mouillées par l'excitation , découvrait le clitoris tout en chaleur, qui ne
demandait qu'à jouir. Après de multiples caresses, comme je n'avais pu pénétrer ma femmeavant de jouir, je
décidais le tout pour le tout et pénétrais discrètement Virginie. Je sentis alors les muscles de cette dernière se serrer
contre mon sexe, cependant que tout son coprs était agité, et qu'elle tentait vainement de crier, empéchée par le sexe
ma femme. L'ayant bien profondément pénétrée, je me mis à caresser, puis pincer les seins de Virginie. Cela
semblait lui plaire. Aussi, je m 'aventurais à lui pincer de plus en plus fortement les tétons en pleine érection. Ce qui
enclencha chez Virginie un violent orgasme brûlant sur mon sexe . Autant vous dire que je ne pus résister et je me
mis à jouir violemment dans le ventre de Virginie, à la grande joie de ma femme dont le sexe avait bénéficié de la
superbe jouissance de sa collègue.
Une fois que nous avions repris notre souffle, ma femme m'accorda un baiser langoureux d'acceptation et elle
dégagea les liens de sa collègue
Virginie ouvrit les yeux, déposa un chaste baiser sur le nez de ma femme puis me regarda : " C'était donc vous ?
Comme c' était bon. Merci "
Un tel compliment ne donnait qu'une seule envie , celle de recommencer ...
A suivre

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