Du fantasme a la dépravation ....1
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Du fantasme a la dépravation ....1
Il vient de partir me laissant pantelante, j’ai mal partout, aux reins, aux cuisses, a
la mâchoire, a la chatte, a mon petit trou, je suis passée sous un véritable rouleau
compresseur ,une vraie machine a baiser , je suis devenue son esclave sexuelle
‘ Il’ c’est Jean-Luc mon beau père, le copain de ma mère, cela a commencé un dimanche
lord d’une réunion de famille ou sortant de la salle de bain d’où je venais de me
laver les mains après avoir fait pipi, quand je suis repassée devant les w c mon beau
père posté de coté urinait sans avoir fermé la porte, j’ai pus voir son sexe,
stupéfaite j’ai marqué un temps d’arrêt, il tenait entre ses mains un sexe énorme,
comme une grosse andouillette brune, m’ayant vue il a eu un mouvement de recul puis se
ravisant il s’est posté face a moi et tirant sur la peau de son membre a dévoilé un
gland monstrueux ,un rictus étrange déformait son visage, je me suis précipitée dans
le salon rejoindre les autres invités le feu aux joues
- Que t’arrive t il Mélodie ? tu as vu le diable ?
- Oui !! non !!... ce n’est rien un simple étourdissement !
- Tu n’es pas enceinte au moins ?
- Ne parle pas de malheur ce n’est pas prévu au programme n’est pas chéri ?
- Il faut attendre encore que j’ai un travail prés de chez nous, peut être dans
six mois
Mon beau père revenu des WC prend part à la conversation …
- Ah c’est vrai tu ne rentre que le weekend, dit moi Alain pourrait tu me prêter
ta remorque cette semaine ?
- Bien sur Jean -Luc vient la cherchez a la maison Mélodie sera là
Jean- Luc m’a regardée d’un air étrange
- Je téléphonerai avant de passer afin que d’être sûr qu’elle soit là…
A partir de ce instant là je me suis mise à fantasmer… il va a nouveau me la montrer,
je lui sucerais sa grosse bitte s’il me le demande, a coté Alain fait figure de petit
garçon … cette grosse bitte doit faire du bien au vagin de maman, elle y fait allusion
quelquefois avec ses copines…. Tu es folle ma fille réagis ! tu es mariée, Alain est
un bon mari son salaire t’évite de travailler…..
Le lundi matin vers neuf heures une voiture entre dans la cour, c’est Jean-Luc ! Il
devait téléphoner avant de venir …je suis encore en robe de chambre, il frappe et sans
attendre de réponse entre carrément dans le couloir
- Mélodie ! tu es là ?
- Oui, oui je suis à la cuisine
- Tu n’es pas encore habillée à l’heure qu’il est ?
- Il est a peine neuf heures je sors de la douche !
- Muuuuuummmmm tu es donc nue là dessous ?
- Euuuuhhh….. servez vous un café je vais m’habiller
Je file dans la chambre et ferme la porte, je fouille dans la penderie pour prendre
des sous-vêtements, j’ote ma robe de chambre pour enfiler le soutient gorge quand la
porte s’ouvre, mon beau père entre d’un coup, la fermeture éclair de sa combinaison de
travail est ouverte de haut en bas, son sexe dépasse encore plus gros et plus long que
dimanche, il bande monstrueusement
- Regarde ma fille tu ne l’a pas bien vue dimanche approche vient la caresser,
laisse tomber tes vêtements tu es si belle a poil, tu as de beaux seins dit donc,
Alain doit se faire un plaisir de mettre sa queue entre les deux !
- Sortez ! et puis d’abord il ne me fait pas ça
- Alors je vais te le faire tu m’en diras des nouvelles
Il vient vers moi et me pousse sur le lit, je tombe les bras écartés les jambes
pendantes ouvertes dans une position qui laisse à penser que je suis consentante,
l’homme ôte en un éclair son seul vêtement et se jette a cheval sur moi, sa carrure et
sa puissance empêchent tous mouvements de ma part, je ne peux que battre des jambes
désespérément, sans doute pour faire illusion et donner le change…
- Arrêtez ! arrêtez ! je le dirais a maman
- Tu ne lui ferais pas de mal tout de même ! elle serait trop malheureuse, cesse
de résister, depuis que tu as vue ma queue tu meures d’envie de te la prendre, je me
trompe ? pose tes mains sur elle et tâte sa raideur avant que je te la mette entre
les seins, ALLEZ ! FAIS-LE !!
Sa voix m’abasourdis, ses yeux expriment la colère oserait-il me frapper ? Mis
constante mis peureuse je saisi la queue dont mes doigts sont loin d’en faire le tour,
l’œil menaçant de son gland pleure d’une énorme larme lubrifiante
- Décalotte moi salope, et presse tes nichons très fort sur ma bitte, je vais
mettre un oreiller sous ta tête a chaque coup de rein tu avaleras mon gland
J’oublie toute pudeur et presse mes seins sur le membre qui commence à coulisser
librement grâce a son liquide séminal, au premier coup le gland butte sur mon menton
- Relève ta tête encore plus trainée !
Il donne des coups de reins puissant la queue pénètre de plus en plus loin dans ma
bouche a chaque poussée, je salive de bonheur, l’homme râle longuement avant de lâcher
son foutre j’en prends plein la figure et la gorge j’ai même un œil bouché, ça le fait
rire a gorge déployée
- Excuse moi je vise mal, la prochaine fois tu l’auras si profond dans la gorge
que tu ne rateras pas une giclée, maintenant montre moi ce que tu as entre les
cuisses, expose ton bijou avant que je ne l’explose ha ! ha ! ha ! ha !
Je suis dans un état d’excitation tel que je refuse plus rien je veux être sa chose,
je veux cette queue dans le ventre, je remonte mes talons au plus prés de mes fesses
avec mes doigts je finis d’ouvrir ma moule qui baille d’envie
- Putain quelle chatte ! tu dois être plus serrée que ta chaudasse de mère ….
Ahhhh oui ! j’arrive à peine à planter deux doigts, fait voir ce clitoris ? …….
Huuuuummmmmm il bande, je vais te le bouffer ….
- Oui bouffez moi léchez moi la chatte avant que vous ne me baisiez
- Ahhhh te voilà raisonnable ! c’est bien nous perdrons moins de temps la
prochaine fois ! bon j’y vais …..
Il se jette sur ma vulve comme un affamé, je soulève mon bassin pour que sa langue
soit le plus efficace possible, ce salaud me plante aussi deux doigts dans le cul, je
pousse des mugissements à faire trembler les murs, des jets puissant fusent de mon
vagin le dessus de lit est trempé
- Je crois que t’es prête je vais te bourrer a quatre patte, cambre toi a fond,
je ne veux voir que tes trous, écarte bien les genoux que je m’approche au plus prés
de ton cul
Le nœud écartèle mon vagin, m’arrachant des ondes de plaisir intenses il commence des
vas et vient de plus en plus amples
- Écarte bien les cuisses je vais te l’enfoncer jusqu’aux amygdales, tu es
serrée tu va la sentir passer décontracte toi bien
- Ouvre-moi ! défonce-moi, personne n’a encore été au fond
- Alors je vais t’agrandir la chatte a tout jamais, demande a ta mère comment je
l’ai déformée…..
- Je sais, moi aussi je veux me faire saillir comme une pute
- J’aime quand tu parles comme ça… hooouuuuummmmmm que c’est bon une matrice de
jeune femme !
- Wooooouuuuuaaaaaahhhhhh va yyyyyyyyyyyy !!!!!!! je te sens bien ! c’est
énooooooorrrme, ça frotte partoooooouuuut je vais jouir encore
- Tu va jouir encore et encore ma fille ! c’est trop tentant je vais enfoncer
mon pouce dans ton boyau
- NOOOOONNNN !
- Trop tard ! il est entré jusqu’a la fourche
- Hhooooooooh baise moi à fond
- C’est parti ……
Les deux mains accrochées a mes hanches menues il me secoue comme un prunier, la tête
dans les mains je couine et lance mon cul a sa rencontre, ses couilles frappent
violement ma chair, un jus glaireux glisse entre mes cuisses, mes poils sont collés,
mes lèvres sont boursouflées, nous somment en sueur tous les deux, je sens le point de
non retour arriver sa verge se contracte régulièrement , il me bloque sur lui pour
s’épancher au fond de mon ventre , les jets qui percutent ma matrice déclenche un
dernier orgasme , je me laisse tombe sur le coté complètement anéantie, mon souffle
redevient peu a peu normal , il s’éclipse en douce, j’ai dormis le reste de la journée
Le lendemain mon portable sonne ……
- Léo ? c’est toi ? tu es partit sans me dire si nous pouvons nous revoir ….
- Tu y tiens vraiment ?
- Je suis a- croc de ta queue
- Tu es prête à faire tout ce que je te demanderais ?
- OUI ! OUI ! tout ce que tu voudras
- Alors rend toi dans la pinède cet après midi a quinze heures, évidement nue
sous une robe courte
- La pinède ? ce n’est pas là ou des voyeurs viennent se rincer l’œil ?
- Oui ça te gêne ?
- ….. J’y serai …
Je laisse le soin à Léo de raconter la suite ……
la mâchoire, a la chatte, a mon petit trou, je suis passée sous un véritable rouleau
compresseur ,une vraie machine a baiser , je suis devenue son esclave sexuelle
‘ Il’ c’est Jean-Luc mon beau père, le copain de ma mère, cela a commencé un dimanche
lord d’une réunion de famille ou sortant de la salle de bain d’où je venais de me
laver les mains après avoir fait pipi, quand je suis repassée devant les w c mon beau
père posté de coté urinait sans avoir fermé la porte, j’ai pus voir son sexe,
stupéfaite j’ai marqué un temps d’arrêt, il tenait entre ses mains un sexe énorme,
comme une grosse andouillette brune, m’ayant vue il a eu un mouvement de recul puis se
ravisant il s’est posté face a moi et tirant sur la peau de son membre a dévoilé un
gland monstrueux ,un rictus étrange déformait son visage, je me suis précipitée dans
le salon rejoindre les autres invités le feu aux joues
- Que t’arrive t il Mélodie ? tu as vu le diable ?
- Oui !! non !!... ce n’est rien un simple étourdissement !
- Tu n’es pas enceinte au moins ?
- Ne parle pas de malheur ce n’est pas prévu au programme n’est pas chéri ?
- Il faut attendre encore que j’ai un travail prés de chez nous, peut être dans
six mois
Mon beau père revenu des WC prend part à la conversation …
- Ah c’est vrai tu ne rentre que le weekend, dit moi Alain pourrait tu me prêter
ta remorque cette semaine ?
- Bien sur Jean -Luc vient la cherchez a la maison Mélodie sera là
Jean- Luc m’a regardée d’un air étrange
- Je téléphonerai avant de passer afin que d’être sûr qu’elle soit là…
A partir de ce instant là je me suis mise à fantasmer… il va a nouveau me la montrer,
je lui sucerais sa grosse bitte s’il me le demande, a coté Alain fait figure de petit
garçon … cette grosse bitte doit faire du bien au vagin de maman, elle y fait allusion
quelquefois avec ses copines…. Tu es folle ma fille réagis ! tu es mariée, Alain est
un bon mari son salaire t’évite de travailler…..
Le lundi matin vers neuf heures une voiture entre dans la cour, c’est Jean-Luc ! Il
devait téléphoner avant de venir …je suis encore en robe de chambre, il frappe et sans
attendre de réponse entre carrément dans le couloir
- Mélodie ! tu es là ?
- Oui, oui je suis à la cuisine
- Tu n’es pas encore habillée à l’heure qu’il est ?
- Il est a peine neuf heures je sors de la douche !
- Muuuuuummmmm tu es donc nue là dessous ?
- Euuuuhhh….. servez vous un café je vais m’habiller
Je file dans la chambre et ferme la porte, je fouille dans la penderie pour prendre
des sous-vêtements, j’ote ma robe de chambre pour enfiler le soutient gorge quand la
porte s’ouvre, mon beau père entre d’un coup, la fermeture éclair de sa combinaison de
travail est ouverte de haut en bas, son sexe dépasse encore plus gros et plus long que
dimanche, il bande monstrueusement
- Regarde ma fille tu ne l’a pas bien vue dimanche approche vient la caresser,
laisse tomber tes vêtements tu es si belle a poil, tu as de beaux seins dit donc,
Alain doit se faire un plaisir de mettre sa queue entre les deux !
- Sortez ! et puis d’abord il ne me fait pas ça
- Alors je vais te le faire tu m’en diras des nouvelles
Il vient vers moi et me pousse sur le lit, je tombe les bras écartés les jambes
pendantes ouvertes dans une position qui laisse à penser que je suis consentante,
l’homme ôte en un éclair son seul vêtement et se jette a cheval sur moi, sa carrure et
sa puissance empêchent tous mouvements de ma part, je ne peux que battre des jambes
désespérément, sans doute pour faire illusion et donner le change…
- Arrêtez ! arrêtez ! je le dirais a maman
- Tu ne lui ferais pas de mal tout de même ! elle serait trop malheureuse, cesse
de résister, depuis que tu as vue ma queue tu meures d’envie de te la prendre, je me
trompe ? pose tes mains sur elle et tâte sa raideur avant que je te la mette entre
les seins, ALLEZ ! FAIS-LE !!
Sa voix m’abasourdis, ses yeux expriment la colère oserait-il me frapper ? Mis
constante mis peureuse je saisi la queue dont mes doigts sont loin d’en faire le tour,
l’œil menaçant de son gland pleure d’une énorme larme lubrifiante
- Décalotte moi salope, et presse tes nichons très fort sur ma bitte, je vais
mettre un oreiller sous ta tête a chaque coup de rein tu avaleras mon gland
J’oublie toute pudeur et presse mes seins sur le membre qui commence à coulisser
librement grâce a son liquide séminal, au premier coup le gland butte sur mon menton
- Relève ta tête encore plus trainée !
Il donne des coups de reins puissant la queue pénètre de plus en plus loin dans ma
bouche a chaque poussée, je salive de bonheur, l’homme râle longuement avant de lâcher
son foutre j’en prends plein la figure et la gorge j’ai même un œil bouché, ça le fait
rire a gorge déployée
- Excuse moi je vise mal, la prochaine fois tu l’auras si profond dans la gorge
que tu ne rateras pas une giclée, maintenant montre moi ce que tu as entre les
cuisses, expose ton bijou avant que je ne l’explose ha ! ha ! ha ! ha !
Je suis dans un état d’excitation tel que je refuse plus rien je veux être sa chose,
je veux cette queue dans le ventre, je remonte mes talons au plus prés de mes fesses
avec mes doigts je finis d’ouvrir ma moule qui baille d’envie
- Putain quelle chatte ! tu dois être plus serrée que ta chaudasse de mère ….
Ahhhh oui ! j’arrive à peine à planter deux doigts, fait voir ce clitoris ? …….
Huuuuummmmmm il bande, je vais te le bouffer ….
- Oui bouffez moi léchez moi la chatte avant que vous ne me baisiez
- Ahhhh te voilà raisonnable ! c’est bien nous perdrons moins de temps la
prochaine fois ! bon j’y vais …..
Il se jette sur ma vulve comme un affamé, je soulève mon bassin pour que sa langue
soit le plus efficace possible, ce salaud me plante aussi deux doigts dans le cul, je
pousse des mugissements à faire trembler les murs, des jets puissant fusent de mon
vagin le dessus de lit est trempé
- Je crois que t’es prête je vais te bourrer a quatre patte, cambre toi a fond,
je ne veux voir que tes trous, écarte bien les genoux que je m’approche au plus prés
de ton cul
Le nœud écartèle mon vagin, m’arrachant des ondes de plaisir intenses il commence des
vas et vient de plus en plus amples
- Écarte bien les cuisses je vais te l’enfoncer jusqu’aux amygdales, tu es
serrée tu va la sentir passer décontracte toi bien
- Ouvre-moi ! défonce-moi, personne n’a encore été au fond
- Alors je vais t’agrandir la chatte a tout jamais, demande a ta mère comment je
l’ai déformée…..
- Je sais, moi aussi je veux me faire saillir comme une pute
- J’aime quand tu parles comme ça… hooouuuuummmmmm que c’est bon une matrice de
jeune femme !
- Wooooouuuuuaaaaaahhhhhh va yyyyyyyyyyyy !!!!!!! je te sens bien ! c’est
énooooooorrrme, ça frotte partoooooouuuut je vais jouir encore
- Tu va jouir encore et encore ma fille ! c’est trop tentant je vais enfoncer
mon pouce dans ton boyau
- NOOOOONNNN !
- Trop tard ! il est entré jusqu’a la fourche
- Hhooooooooh baise moi à fond
- C’est parti ……
Les deux mains accrochées a mes hanches menues il me secoue comme un prunier, la tête
dans les mains je couine et lance mon cul a sa rencontre, ses couilles frappent
violement ma chair, un jus glaireux glisse entre mes cuisses, mes poils sont collés,
mes lèvres sont boursouflées, nous somment en sueur tous les deux, je sens le point de
non retour arriver sa verge se contracte régulièrement , il me bloque sur lui pour
s’épancher au fond de mon ventre , les jets qui percutent ma matrice déclenche un
dernier orgasme , je me laisse tombe sur le coté complètement anéantie, mon souffle
redevient peu a peu normal , il s’éclipse en douce, j’ai dormis le reste de la journée
Le lendemain mon portable sonne ……
- Léo ? c’est toi ? tu es partit sans me dire si nous pouvons nous revoir ….
- Tu y tiens vraiment ?
- Je suis a- croc de ta queue
- Tu es prête à faire tout ce que je te demanderais ?
- OUI ! OUI ! tout ce que tu voudras
- Alors rend toi dans la pinède cet après midi a quinze heures, évidement nue
sous une robe courte
- La pinède ? ce n’est pas là ou des voyeurs viennent se rincer l’œil ?
- Oui ça te gêne ?
- ….. J’y serai …
Je laisse le soin à Léo de raconter la suite ……
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai vraiment adoré et je me sens toute chose
Arrête , mon lit est trempé ! N'arrête pas d'écrire tu me fais trop de bien à ma chatte
j'ai aimé et mon entre-cuisse aussi, j'ai hâte de lire la suite. bise love_