Dure, la vie d'une bite...
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Dure, la vie d'une bite...
Je vous vois déjà riant, mais oui, j'ai une vie dure et rude.
Souvenez vous messieurs!
Ca commence dès la naissance, sortant nue, on me lange, m'enserrant dans des linges. Des têtes se penchent sur moi. On me frotte et déjà je réagis en durcissant ce qui fait sourire mes géniteurs et j'arrive même à leur pisser au nez certaines fois, cela les amuse mais pas tout le temps.
Puis la vie commence, c'est vrai que ma principale fonction est d'uriner, mais souvent, je ne sais pas pourquoi au lieu d'être molle, bien repliée, je me redresse fièrement.
Et, en grandissant cela ne s'atténue pas. Le garnement qui me tient souvent dans la main doit se faire des réflexions, car c'est bizarre, à chaque fois que je deviens dure, sa main arrive dans son slip, pour me triturer, me tirer dessus. Cela a l'air de le gêner.
Mais cela me prend de plus en plus souvent de raidir, et surtout le soir quand je suis libre dans le pyjama, que mes deux boules roulent, je m'agrandis rapidement et je deviens de plus en plus dure. Il y a quelques temps mon garnement semblait gêné, mais là, le soir, dans le lit, la conceptrice ayant fait son bisou sur les joues, la main vient me rejoindre. Elle est plus tendre, douce même, me touche, me serre dans la main, mais lentement. Il tire sur la peau, ça me fait un peu mal quand la peau essaie de partir du gland et deux doigts viennent le serrer. Et qu'est ce qui leur prend à ses doigts de s'agiter comme ça sur mon bout. Je le sens durcir encore plus. La chaleur m'envahit et en peu de temps, une douce sensation s'empare de moi, semblant venir de mon gland et se répand dans tout le corps. Le cœur du garnement bat la chamade. Je bande encore quelques instants et mon garnement s'endort!
Au réveil je suis toujours prêt, mais je n'ai droit à aucune attention de la main, juste me tenant pour pisser, alors je me résigne et j'attends le soir.
C'est le rituel tous les soirs dans le lit. La main arrive et enlève la peau du gland, cela coulisse bien maintenant et quand les doigts touchent mon gland nu, là je sursaute, je me tends et la douce sensation revient. Je trouve qu'elle est de plus en plus forte en grandissant et dès fois, mon garnement recommence pour retrouver une nouvelle fois la bonne sensation.
Les classes d'école se succèdent, je suis toujours renfermée toute la journée et je n'ai droit au plaisir que le soir dans le lit.
Et, un soir j'ai fait une surprise à mon garnement.
Ah, il avait le coup maintenant pour m'agiter et faire venir la sensation que j'adorais lui procurer. Mais ce soir là, je ne sais pas si cela en a été la cause, mais mon garnement au lieu de rester coucher sur le côté, s'est mis sur le dos et tout en agitant sa main sur moi, s'est mis à me caresser mes deux petites boules qui ne demandaient rien. Je ne sais pas ce que cela m'a fait mes deux petites sacoches caressées, serrées dans sa main douce. J'ai senti que je durcissais encore plus, le gland rougissait comme jamais et j'avais l'impression d'avoir nettement grandi dans sa main. J'ai senti la sensation arriver, maintenant je savais quand le moment allait poindre..
Cette bonne sensation est arrivée mais en même temps pour la première fois mon gland a craché du liquide et tombait sur son ventre. Mon grand garnement s'est bloqué, m'a regardé, s'est levé. Il avait l'air catastrophé. Il a pris mon jus sur un doigt pour l'approcher de ses yeux, le regarder bizarrement et ce qui a été le plus bizarre a mis la pointe de sa langue dessus, a goûté, a trouvé cela bizarre et l'a jeté dans l'évier. IL m'a passé un coup de gant sur mon gland, me faisant frémir et est revenu se coucher. Il paraissait quand même inquiet!
Il n'a été inquiet que cette fois là car les suivantes, remarquant que maintenant je crachais chaque fois et avec de plus en plus de jus. Cela l'a amusé et je devais cracher plusieurs fois de suite le soir, la nuit était la bienvenue.
Il m'arrivait de devenir dure dans la journée, surtout quand mon garnement, devenu ado maintenant avait les yeux qui trainaient sur les poitrines des filles, je savais ce que pensait le cerveau qui me transmettait les infos, qu'il aurait bien aimé y mettre ses mains et moi ça m'excitait!! Alors souvent j'avait droit à une séance de crache dans les toilettes du Collège.
Il allait m'user avant l'heure ce chenapan!
Il a bien eu les mains baladeuses, mais les nanas ne se laissaient pas faire, pourtant il était beau mon ado!
Alors j'avais droit à de l'agitation le soir.
Puis son géniteur a voulu qu'il fasse un sport Co. Il a choisi le foot.
Et, là je peux vous dire que j'ai été plus d'une fois, très mal. Je ne sais pas pourquoi mais quand on allait, nus, sous la douche il fallait que je me fasse remarquer. Enfin je n'étais pas la seule et j'ai enfin pu détailler les copines de toutes sortes, de toutes grosseurs, des qui n'avaient pas de capuchons sur le gland, deux étaient noires, mais alors complètement noires et étaient bien deux fois plus grande que moi!
Mais c'est pas de voir des copines qui me faisait me redresser, mais tous ces petits culs. Je ne sais pas pourquoi cela me mettait dans des états pareils.
Mais on ne restait pas longtemps sous la douche, le coach veillait. Tiens je n'ai jamais vu la sienne, il ne venait pas sous la douche avec nous, on était qu'entre joueurs et ça blaguait, des mains étaient baladeuses, les corps nus se touchaient et ça ne m'arrangeait pas!
Quand mon ado se couchait les soirs d'entrainement c'était ma fête! j'avais intérêt à tenir le choc et juter plusieurs fois. Les images de culs et de bites passaient dans son cerveau et j'en profitais pour lui donner toutes mes meilleurs sensations en jutant un maximum et, ce gourmand maintenant avait pris l'habitude d'en avaler!
Mon ado s'est fait un bon copain au foot, je l'aimais bien aussi, enfin j'aimais surtout ma collègue, je trouvais qu'elle me ressemblait. Elle avait plus de cheveux que moi, mais je l'aimais bien mais ce que je préférais regarder c'était sa paire de fesses. J'en garde un très bon souvenir.
Voilà que mes ados se sont fréquentés, faisant les devoirs chez l'un ou chez l'autre. Il est même arrivé qu'ils dorment ensemble. Là je passais une nuit complète tranquille, mais le réveil ben on voyait que j'étais réveillé et ma copine était pareille. Ils se moquaient d'eux en riant. J'aurais bien aimé que le pote vienne me toucher… mais non!
Par contre ils se sont mis à parler sexe, filles. Ils n'avaient pas l'air emballé sur les filles, plutôt torturés par ce qu'ils avaient entre les jambes et quand j'ai entendu le pote dire qu'il jutait plein de jus, je me suis redressée pour écouter cela de toutes mes oreilles et les conseils venaient des deux, moi je fais comme ci, moi je fais comme ça.
Ils ont fini par nous sortir, ma collègue et moi pour se montrer comment ils se décalottaient et se branlaient, cela les faisait beaucoup rire. Je ne sais pas quelle était la température du pote, mais mon ado frôlait la surdose et les voilà parti à se branler face à face, chacun sur une chaise, sans se toucher. Oh ça n'a pas duré longtemps et ma copine et moi avons craché. J'ai voulu donner tout ce que j'avais pour épater la copine mais elle aussi avait de la ressource.
Du bruit dans la maison nous a fait nous cacher coulant encore dans les slips.
Les ados étaient morts de rire.
Mais le soir en rentrant, quelle séance j'ai eu droit. J'avais aimé voir une copine cracher mais mon ado, cela semblait l'avoir mis dans tous ces états et il s'est appliqué sur moi. J'ai eu droits à des caresses mouillées avec sa salive sur le gland, une main qui tripotait agréablement mes petites sacoches qui avaient quand même pris du volume et l'autre qui prenait son temps à me faire durcir en faisant de lents va-et-vient.
Il avait l'air de se rendre compte de ce qu'il tenait dans ses mains. Ce n'était plus l'agitation des jours derniers, c'était comme la recherche de cette bonne sensation et, quand il la sentait arriver, que j'allais préparer le bon jus à sortir, il ralentissait pour se calmer et reprenait, je savais quelles images il avait dans sa petite tête. La main de son pote sur sa bite qui s'agitait. J'entendais mon ado haleter, la langue de sortie qui léchait ses lèvres et la sensation est arrivée plus vite qu'il ne pensait! mais qui c'est qui commande! et la sauce a été servie en même temps qu'il revoyait les images de la bite de son pote cracher à terre. Cela m'a motivé également et j'ai donné tout ce que j'avais en réserve.
J'ai eu droit à un bon lavage et nous avons bien dormi.
La vie a continué. Mon ado grandissait et je trouvais qu'il ne matait plus les seins des filles comme avant. Non, ses yeux maintenant se portaient sur les entre jambes des garçons et les culs! ah les culs mon péché mignon et pourtant je n'y avais pas encore gouté!
Il voyait toujours son pote, ils se branlaient sans jamais se toucher. J'étais déçue.
Je ne sais pas où il a appris ça, mais il s'est mis à fréquenter le square de la ville. C'est bizarre toutes ces personnes mâles qui se promènent à cet endroit, en se fixant dans les yeux. Certains ne m'excitaient pas mais d'autres. Et mon grand ado, qui avait la voix qui changeait encore et le poil qui poussait encore plus est allé dans les toilettes publiques. C'est vrai qu'il fallait que je vidange. Je reconnais que ce qui allait se passer, c'est bien de ma faute.
Il a fallu patienter pour avoir une place, et c'était bizarre les mains ne tenaient pas forcément leur bite!
Quand une place s'est libérée, que j'ai été mis à l'air libre moi aussi je me suis libéré! un bon jet puissant qui a duré.
Mais d'un seul coup j'ai été inquiet de voir des yeux que je ne connaissais pas me regarder, j'avais fini et mon petit homme aurait dû me ranger, mais non. J'ai été content qu'on me regarde et bien sûr j'ai fait la fière en durcissant sous les deux regards inconnus et j'ai vu la main de celui qui avait les plus beaux yeux, un bleu clair au milieu d'un visage jeune, certes plus vieux que mon petit homme qui a enlevé la sienne pour que cette main inconnue vienne me toucher, en plus il s'est légèrement tourné vers le mec.
La main était douce, chaude et m'a enveloppé complètement me faisant me raidir encore plus en m'allongeant du plus que je pouvais. La main de l'inconnu a enlevé la peau qui recouvrait mon gland et avec son pouce me l'a caressé. J'ai sursauté et une goutte est sortie du méat pourtant je n'avais pas juté. Plus il me caressait, plus ça sortait. Il m'a branlé doucement, je sentais bien que mon petit homme était content qu'une nouvelle main s'occupe de moi.
L'inconnu s'est penché sur lui et lui a parlé à l'oreille. Sans répondre j'ai été rangé et les voilà qu'ils rentrent tous les deux dans une toilette. Il allait m'arriver plein de choses, j'étais sûre.
La porte bien refermée, l'inconnu a baissé son pantalon et slip, libérant une copine plus âgée! et quel morceau cette copine, le gland déjà bien décalotté laissait couler du liquide du petit trou, tiens! comme moi à l'instant et cette tige bien raide!! J'avais envie de me frotter à elle.
Il s'est assis, baissant le pantalon et le slip de mon petit homme, je lui ai sauté au visage, je le voyais de plus près avec ses beaux yeux! ses belles lèvres et sa main qui est revenue s'occuper de moi. Ah je n'avais jamais été aussi raide dans la main d'un inconnu. J'étais heureuse d'être caressée, branlée doucement avec une paire d'yeux qui m'observaient de près! et, quand il a sorti sa langue, l'approchant de mon gland décalotté, passant la pointe sur mon frein, j'ai cru que j'allais défaillir en jutant sur cette langue. Je me suis ressaisie quand même pour sentir la langue passer partout sur mon gland. J'étais si heureuse que j'envoyais des frissons dans tout le corps de mon petit homme qui poussait de petits cris.
Les lèvres sont entrées en action, aspirant le gland et le jus qui sortait en abondance et elles sont descendues sur ma tige. Quelle nouvelle sensation j'avais. Mon gland glissait sur un palais chaud pour toucher quelque chose qui bougeait au fond de la gorge, ah oui la luette. Il s'est arrêté, a reculé en me serrant bien avec ses lèvres, la langue m'entourait en donnant sa salive et il a recommencé à avancer, mon gland a bousculé sa luette et j'étais devant un grand trou noir. Il voulait que j'aille jusqu'où ?
Je n'avais pas trop de questions à me poser, une main tenait mes sacoches pleines et les martyrisaient. Ah c'était pas la main douce de mon petit homme! Et ses lèvres qui glissaient sur moi, m'inondant de salive chaude, à chaque fois il aspirait le gland et repartait le faire glisser au fond de sa gorge. Moi je commençais à être vraiment excitée de cette situation, d'autant que je me raidissais de plus en plus. Je n'avais jamais tenue une forme pareille!
Quand sa main a serré fortement mes sacoches, j'ai eu un sursaut et je me suis vidée dans cette bouche accueillante. J'ai entendu mon petit homme gémir comme jamais, au moment où je lâchais la première salve. Le gland se trouvant à l'entrée de ce trou noir pour que tout coule dedans et je vois le jus partir et mes giclées se suivent, j'ai l'impression de battre un record dans la bouche de l'inconnu. En fait c'est bien meilleur que la main de mon petit homme. La chaleur, la moiteur, la langue, les lèvres et quand j'ai fini, l'inconnu me nettoie avec ses lèvres et sa langue et je ressorts aussi propre que quand mon petit homme me lave.
L'inconnu se relève et voudrait bien que mon petit homme le suce, il essaie pourtant mais je sens qu'il a des hauts le cœur. Alors il suce juste le gland de l'inconnu qui doit être bien excité car il jute dans la bouche de mon petit homme qui recrache tout par terre. Je vois ma copine couler encore. L'inconnu se finit à la main et, sans un mot, ils nous rangent bien au chaud.
Mon petit homme sort comme un voleur des toilettes et on rentre à la maison!
Je le sens inquiet mais moi pourtant je suis aux anges d'avoir vécu une telle aventure. Alors je me manifeste et on revient à nos jeux quotidiens.
La vie continue, mon petit homme devient un jeune homme. Il va de plus en plus souvent aux toilettes du square où j'ai fait la connaissance de nombreuses copines, qu'il suce du bout des lèvres mais moi j'aime me faire avaler et cracher mon bon venin au fond des gorges qui s'offrent à moi.
Je n'avais pas eu vraiment l'occasion de voir et d'admirer des culs. Ils se suçaient rapidement, se caressant, s'embrassant et quand j'avais craché il partait rapidement.
Jusqu'au jour, où mon jeune homme est tombé sur un inconnu de son âge qui semblait en connaitre plus que lui. Ah ils se sont matés, se sont suivis dans les allées, se regardant, se souriant. On a été attiré derrière un grand buisson et le jeune inconnu a embrassé mon jeune homme directement, se collant à lui. J'étais écrasée sur ma copine qui tenait la même forme que moi. Ah si on pouvait se caresser ensemble. la main du jeune inconnu est venue me caresser, me tâter comme s'il voulait savoir comment j'étais? m'a pétri, malaxé.
-j'aimerais que tu me baises a dit le jeune inconnu, t'as l'air d'avoir une belle queue ! tu jutes beaucoup ? j'adore quand il y a plein de jus.
Je l'ai trouvé excitant dans ses paroles depuis le temps que je regardais les petits culs je risquais d'en voir un de l'intérieur, fallait pas rater ça! Hein mon jeune homme?
-je veux bien a t-il dit mais on va où ?
-je connais un endroit tranquille, tu me suis ?
Et, nous voilà partis jusqu'au bord de la rivière, c'est vrai qu'il connaissait un endroit tranquille, pas facile d'accès? mais on s'est retrouvé dans une sorte de très petite clairière, entourée de petits arbustes qui nous protégeaient des regards.
L'inconnu a baissé son jean, son boxer libérant une copine magnifique. ben oui elle me ressemblait énormément!! mon petit homme m'a libérée et pendant qu'ils s'embrassaient tendrement, nous on se frottait l'une contre l'autre. C'était la première fois que je touchais vraiment une copine, on était contente toutes les deux et nos méats se sont libérés, ça nous coulait dessus.
D'un seul coup, la main de l'inconnu est venue me caresser, qu'il était doux ce mec.
Il s'est accroupi devant moi, je l'ai vu fouiller dans sa poche, il a sorti un petit carré en plastique qu'il a déchiré de ses dents. Mais c'est quoi ce truc rond qu'il en sort et, après m'avoir fait un bisou sur le gland, me l'enveloppe dedans et le déroule sur ma hampe!! mais je vais étouffer la dedans! et comment je vais faire pour cracher!
Il se relève, me tourne le dos, se penche en écartant ses belles fesses en disant :
-tu peux y aller comme tu veux, j'ai mis du gel.
Je sens bien que mon petit homme est inquiet, c'est la première fois qu'il va me mettre dans un endroit pareil.
Je vois les mains bien écarter les fesses, l'anus apparaitre. Bon j'en ai jamais vu de si près mais je croyais que c'était plus fermé que ça, par capote interposée je me colle à cet anus et dans l'instant je vois les fesses venir l'avaler et je me retrouve dans le noir. J'observe comme je peux, tout est tactile, je sens la paroi me serrer, me comprimer et j'avance dans le tunnel, jusqu'à ne pas pouvoir aller plus loin. J'entends le mec inconnu gémir et mon petit homme semble savoir ce qu'il a à faire.
En fin de compte je suis branlée dans le conduit, c'est la paroi qui me pétrie et je voyage, certes des allers retours rapides, de plus en plus d'ailleurs. C'est pas comme avec une main, ni comme avec une bouche, pas les mêmes sensations mais la bonne sensation arrive. Je la reconnais, elle me durcit les bourses et d'un seul coup bien au fond du conduit je lâche mon jus qui en fin de compte m'enveloppe dans la capote.
Je me retire doucement, toujours raide et je vois le liquide qui pend dans la capote. Le mec inconnu revient devant moi, enlève la capote et m'avale au fond de sa bouche. Sa langue est chaude et très humide, je suis léchée, sucée, aspirée et la grande forme revient, mon jeune homme tient la tête du mec, et gémit, alors j'honore cette bouche accueillante.
Ils s'embrassent de nouveau, se caressant et mon petit homme vient le sucer. Il s'applique cette fois, la bite de l'inconnu va plus loin et lui baise la bouche en cadence jusqu'à donner son bon jus et, cette fois il avale tout sans en recracher.
Ils s'embrassent encore, et encore, des caresses partout si bien que je reprends la forme comme ma copine.
-j'aimerais bien passer une nuit avec toi dit l'inconnu.
Mon petit homme n'a pas répondu de suite mais ils se sont revus rapidement. Ah ils s'occupaient de nous, mais ils parlaient souvent longtemps se disant des petits mots doux puis les je t'aime sont arrivés, les bisous étaient de plus en plus tendres. On s'est retrouvé pour la première fois dans un lit avec un inconnu qui n'en était plus un.
J'adore ma copine, elle crache beaucoup et est toujours prête et maintenant on ne me met plus de capote pour visiter le cul de l'amant de mon jeune homme!
Ils ont l'air d'être heureux, en tout cas nous on l'est!
La vie a passé, le bel inconnu que j'avais visité en premier a disparu de la circulation, d'autres sont passés et je suis toujours aussi vaillante, fière de mon homme qui me fait rencontrer de nombreux petits culs de jeunes minets qu'il préfère, des petits culs dont je suis la première à visiter et c'est un plaisir car il n'y a pas de capote! j'aime aussi les nouvelles bouches, les différentes façons qu'elles me font juter.
La vie est belle!
Mais il parait qu'il faut bien prendre soin de moi si on veut que je donne encore plus de plaisir, de sensations à mon homme. Mais je lui fais confiance et tout va bien!...
Souvenez vous messieurs!
Ca commence dès la naissance, sortant nue, on me lange, m'enserrant dans des linges. Des têtes se penchent sur moi. On me frotte et déjà je réagis en durcissant ce qui fait sourire mes géniteurs et j'arrive même à leur pisser au nez certaines fois, cela les amuse mais pas tout le temps.
Puis la vie commence, c'est vrai que ma principale fonction est d'uriner, mais souvent, je ne sais pas pourquoi au lieu d'être molle, bien repliée, je me redresse fièrement.
Et, en grandissant cela ne s'atténue pas. Le garnement qui me tient souvent dans la main doit se faire des réflexions, car c'est bizarre, à chaque fois que je deviens dure, sa main arrive dans son slip, pour me triturer, me tirer dessus. Cela a l'air de le gêner.
Mais cela me prend de plus en plus souvent de raidir, et surtout le soir quand je suis libre dans le pyjama, que mes deux boules roulent, je m'agrandis rapidement et je deviens de plus en plus dure. Il y a quelques temps mon garnement semblait gêné, mais là, le soir, dans le lit, la conceptrice ayant fait son bisou sur les joues, la main vient me rejoindre. Elle est plus tendre, douce même, me touche, me serre dans la main, mais lentement. Il tire sur la peau, ça me fait un peu mal quand la peau essaie de partir du gland et deux doigts viennent le serrer. Et qu'est ce qui leur prend à ses doigts de s'agiter comme ça sur mon bout. Je le sens durcir encore plus. La chaleur m'envahit et en peu de temps, une douce sensation s'empare de moi, semblant venir de mon gland et se répand dans tout le corps. Le cœur du garnement bat la chamade. Je bande encore quelques instants et mon garnement s'endort!
Au réveil je suis toujours prêt, mais je n'ai droit à aucune attention de la main, juste me tenant pour pisser, alors je me résigne et j'attends le soir.
C'est le rituel tous les soirs dans le lit. La main arrive et enlève la peau du gland, cela coulisse bien maintenant et quand les doigts touchent mon gland nu, là je sursaute, je me tends et la douce sensation revient. Je trouve qu'elle est de plus en plus forte en grandissant et dès fois, mon garnement recommence pour retrouver une nouvelle fois la bonne sensation.
Les classes d'école se succèdent, je suis toujours renfermée toute la journée et je n'ai droit au plaisir que le soir dans le lit.
Et, un soir j'ai fait une surprise à mon garnement.
Ah, il avait le coup maintenant pour m'agiter et faire venir la sensation que j'adorais lui procurer. Mais ce soir là, je ne sais pas si cela en a été la cause, mais mon garnement au lieu de rester coucher sur le côté, s'est mis sur le dos et tout en agitant sa main sur moi, s'est mis à me caresser mes deux petites boules qui ne demandaient rien. Je ne sais pas ce que cela m'a fait mes deux petites sacoches caressées, serrées dans sa main douce. J'ai senti que je durcissais encore plus, le gland rougissait comme jamais et j'avais l'impression d'avoir nettement grandi dans sa main. J'ai senti la sensation arriver, maintenant je savais quand le moment allait poindre..
Cette bonne sensation est arrivée mais en même temps pour la première fois mon gland a craché du liquide et tombait sur son ventre. Mon grand garnement s'est bloqué, m'a regardé, s'est levé. Il avait l'air catastrophé. Il a pris mon jus sur un doigt pour l'approcher de ses yeux, le regarder bizarrement et ce qui a été le plus bizarre a mis la pointe de sa langue dessus, a goûté, a trouvé cela bizarre et l'a jeté dans l'évier. IL m'a passé un coup de gant sur mon gland, me faisant frémir et est revenu se coucher. Il paraissait quand même inquiet!
Il n'a été inquiet que cette fois là car les suivantes, remarquant que maintenant je crachais chaque fois et avec de plus en plus de jus. Cela l'a amusé et je devais cracher plusieurs fois de suite le soir, la nuit était la bienvenue.
Il m'arrivait de devenir dure dans la journée, surtout quand mon garnement, devenu ado maintenant avait les yeux qui trainaient sur les poitrines des filles, je savais ce que pensait le cerveau qui me transmettait les infos, qu'il aurait bien aimé y mettre ses mains et moi ça m'excitait!! Alors souvent j'avait droit à une séance de crache dans les toilettes du Collège.
Il allait m'user avant l'heure ce chenapan!
Il a bien eu les mains baladeuses, mais les nanas ne se laissaient pas faire, pourtant il était beau mon ado!
Alors j'avais droit à de l'agitation le soir.
Puis son géniteur a voulu qu'il fasse un sport Co. Il a choisi le foot.
Et, là je peux vous dire que j'ai été plus d'une fois, très mal. Je ne sais pas pourquoi mais quand on allait, nus, sous la douche il fallait que je me fasse remarquer. Enfin je n'étais pas la seule et j'ai enfin pu détailler les copines de toutes sortes, de toutes grosseurs, des qui n'avaient pas de capuchons sur le gland, deux étaient noires, mais alors complètement noires et étaient bien deux fois plus grande que moi!
Mais c'est pas de voir des copines qui me faisait me redresser, mais tous ces petits culs. Je ne sais pas pourquoi cela me mettait dans des états pareils.
Mais on ne restait pas longtemps sous la douche, le coach veillait. Tiens je n'ai jamais vu la sienne, il ne venait pas sous la douche avec nous, on était qu'entre joueurs et ça blaguait, des mains étaient baladeuses, les corps nus se touchaient et ça ne m'arrangeait pas!
Quand mon ado se couchait les soirs d'entrainement c'était ma fête! j'avais intérêt à tenir le choc et juter plusieurs fois. Les images de culs et de bites passaient dans son cerveau et j'en profitais pour lui donner toutes mes meilleurs sensations en jutant un maximum et, ce gourmand maintenant avait pris l'habitude d'en avaler!
Mon ado s'est fait un bon copain au foot, je l'aimais bien aussi, enfin j'aimais surtout ma collègue, je trouvais qu'elle me ressemblait. Elle avait plus de cheveux que moi, mais je l'aimais bien mais ce que je préférais regarder c'était sa paire de fesses. J'en garde un très bon souvenir.
Voilà que mes ados se sont fréquentés, faisant les devoirs chez l'un ou chez l'autre. Il est même arrivé qu'ils dorment ensemble. Là je passais une nuit complète tranquille, mais le réveil ben on voyait que j'étais réveillé et ma copine était pareille. Ils se moquaient d'eux en riant. J'aurais bien aimé que le pote vienne me toucher… mais non!
Par contre ils se sont mis à parler sexe, filles. Ils n'avaient pas l'air emballé sur les filles, plutôt torturés par ce qu'ils avaient entre les jambes et quand j'ai entendu le pote dire qu'il jutait plein de jus, je me suis redressée pour écouter cela de toutes mes oreilles et les conseils venaient des deux, moi je fais comme ci, moi je fais comme ça.
Ils ont fini par nous sortir, ma collègue et moi pour se montrer comment ils se décalottaient et se branlaient, cela les faisait beaucoup rire. Je ne sais pas quelle était la température du pote, mais mon ado frôlait la surdose et les voilà parti à se branler face à face, chacun sur une chaise, sans se toucher. Oh ça n'a pas duré longtemps et ma copine et moi avons craché. J'ai voulu donner tout ce que j'avais pour épater la copine mais elle aussi avait de la ressource.
Du bruit dans la maison nous a fait nous cacher coulant encore dans les slips.
Les ados étaient morts de rire.
Mais le soir en rentrant, quelle séance j'ai eu droit. J'avais aimé voir une copine cracher mais mon ado, cela semblait l'avoir mis dans tous ces états et il s'est appliqué sur moi. J'ai eu droits à des caresses mouillées avec sa salive sur le gland, une main qui tripotait agréablement mes petites sacoches qui avaient quand même pris du volume et l'autre qui prenait son temps à me faire durcir en faisant de lents va-et-vient.
Il avait l'air de se rendre compte de ce qu'il tenait dans ses mains. Ce n'était plus l'agitation des jours derniers, c'était comme la recherche de cette bonne sensation et, quand il la sentait arriver, que j'allais préparer le bon jus à sortir, il ralentissait pour se calmer et reprenait, je savais quelles images il avait dans sa petite tête. La main de son pote sur sa bite qui s'agitait. J'entendais mon ado haleter, la langue de sortie qui léchait ses lèvres et la sensation est arrivée plus vite qu'il ne pensait! mais qui c'est qui commande! et la sauce a été servie en même temps qu'il revoyait les images de la bite de son pote cracher à terre. Cela m'a motivé également et j'ai donné tout ce que j'avais en réserve.
J'ai eu droit à un bon lavage et nous avons bien dormi.
La vie a continué. Mon ado grandissait et je trouvais qu'il ne matait plus les seins des filles comme avant. Non, ses yeux maintenant se portaient sur les entre jambes des garçons et les culs! ah les culs mon péché mignon et pourtant je n'y avais pas encore gouté!
Il voyait toujours son pote, ils se branlaient sans jamais se toucher. J'étais déçue.
Je ne sais pas où il a appris ça, mais il s'est mis à fréquenter le square de la ville. C'est bizarre toutes ces personnes mâles qui se promènent à cet endroit, en se fixant dans les yeux. Certains ne m'excitaient pas mais d'autres. Et mon grand ado, qui avait la voix qui changeait encore et le poil qui poussait encore plus est allé dans les toilettes publiques. C'est vrai qu'il fallait que je vidange. Je reconnais que ce qui allait se passer, c'est bien de ma faute.
Il a fallu patienter pour avoir une place, et c'était bizarre les mains ne tenaient pas forcément leur bite!
Quand une place s'est libérée, que j'ai été mis à l'air libre moi aussi je me suis libéré! un bon jet puissant qui a duré.
Mais d'un seul coup j'ai été inquiet de voir des yeux que je ne connaissais pas me regarder, j'avais fini et mon petit homme aurait dû me ranger, mais non. J'ai été content qu'on me regarde et bien sûr j'ai fait la fière en durcissant sous les deux regards inconnus et j'ai vu la main de celui qui avait les plus beaux yeux, un bleu clair au milieu d'un visage jeune, certes plus vieux que mon petit homme qui a enlevé la sienne pour que cette main inconnue vienne me toucher, en plus il s'est légèrement tourné vers le mec.
La main était douce, chaude et m'a enveloppé complètement me faisant me raidir encore plus en m'allongeant du plus que je pouvais. La main de l'inconnu a enlevé la peau qui recouvrait mon gland et avec son pouce me l'a caressé. J'ai sursauté et une goutte est sortie du méat pourtant je n'avais pas juté. Plus il me caressait, plus ça sortait. Il m'a branlé doucement, je sentais bien que mon petit homme était content qu'une nouvelle main s'occupe de moi.
L'inconnu s'est penché sur lui et lui a parlé à l'oreille. Sans répondre j'ai été rangé et les voilà qu'ils rentrent tous les deux dans une toilette. Il allait m'arriver plein de choses, j'étais sûre.
La porte bien refermée, l'inconnu a baissé son pantalon et slip, libérant une copine plus âgée! et quel morceau cette copine, le gland déjà bien décalotté laissait couler du liquide du petit trou, tiens! comme moi à l'instant et cette tige bien raide!! J'avais envie de me frotter à elle.
Il s'est assis, baissant le pantalon et le slip de mon petit homme, je lui ai sauté au visage, je le voyais de plus près avec ses beaux yeux! ses belles lèvres et sa main qui est revenue s'occuper de moi. Ah je n'avais jamais été aussi raide dans la main d'un inconnu. J'étais heureuse d'être caressée, branlée doucement avec une paire d'yeux qui m'observaient de près! et, quand il a sorti sa langue, l'approchant de mon gland décalotté, passant la pointe sur mon frein, j'ai cru que j'allais défaillir en jutant sur cette langue. Je me suis ressaisie quand même pour sentir la langue passer partout sur mon gland. J'étais si heureuse que j'envoyais des frissons dans tout le corps de mon petit homme qui poussait de petits cris.
Les lèvres sont entrées en action, aspirant le gland et le jus qui sortait en abondance et elles sont descendues sur ma tige. Quelle nouvelle sensation j'avais. Mon gland glissait sur un palais chaud pour toucher quelque chose qui bougeait au fond de la gorge, ah oui la luette. Il s'est arrêté, a reculé en me serrant bien avec ses lèvres, la langue m'entourait en donnant sa salive et il a recommencé à avancer, mon gland a bousculé sa luette et j'étais devant un grand trou noir. Il voulait que j'aille jusqu'où ?
Je n'avais pas trop de questions à me poser, une main tenait mes sacoches pleines et les martyrisaient. Ah c'était pas la main douce de mon petit homme! Et ses lèvres qui glissaient sur moi, m'inondant de salive chaude, à chaque fois il aspirait le gland et repartait le faire glisser au fond de sa gorge. Moi je commençais à être vraiment excitée de cette situation, d'autant que je me raidissais de plus en plus. Je n'avais jamais tenue une forme pareille!
Quand sa main a serré fortement mes sacoches, j'ai eu un sursaut et je me suis vidée dans cette bouche accueillante. J'ai entendu mon petit homme gémir comme jamais, au moment où je lâchais la première salve. Le gland se trouvant à l'entrée de ce trou noir pour que tout coule dedans et je vois le jus partir et mes giclées se suivent, j'ai l'impression de battre un record dans la bouche de l'inconnu. En fait c'est bien meilleur que la main de mon petit homme. La chaleur, la moiteur, la langue, les lèvres et quand j'ai fini, l'inconnu me nettoie avec ses lèvres et sa langue et je ressorts aussi propre que quand mon petit homme me lave.
L'inconnu se relève et voudrait bien que mon petit homme le suce, il essaie pourtant mais je sens qu'il a des hauts le cœur. Alors il suce juste le gland de l'inconnu qui doit être bien excité car il jute dans la bouche de mon petit homme qui recrache tout par terre. Je vois ma copine couler encore. L'inconnu se finit à la main et, sans un mot, ils nous rangent bien au chaud.
Mon petit homme sort comme un voleur des toilettes et on rentre à la maison!
Je le sens inquiet mais moi pourtant je suis aux anges d'avoir vécu une telle aventure. Alors je me manifeste et on revient à nos jeux quotidiens.
La vie continue, mon petit homme devient un jeune homme. Il va de plus en plus souvent aux toilettes du square où j'ai fait la connaissance de nombreuses copines, qu'il suce du bout des lèvres mais moi j'aime me faire avaler et cracher mon bon venin au fond des gorges qui s'offrent à moi.
Je n'avais pas eu vraiment l'occasion de voir et d'admirer des culs. Ils se suçaient rapidement, se caressant, s'embrassant et quand j'avais craché il partait rapidement.
Jusqu'au jour, où mon jeune homme est tombé sur un inconnu de son âge qui semblait en connaitre plus que lui. Ah ils se sont matés, se sont suivis dans les allées, se regardant, se souriant. On a été attiré derrière un grand buisson et le jeune inconnu a embrassé mon jeune homme directement, se collant à lui. J'étais écrasée sur ma copine qui tenait la même forme que moi. Ah si on pouvait se caresser ensemble. la main du jeune inconnu est venue me caresser, me tâter comme s'il voulait savoir comment j'étais? m'a pétri, malaxé.
-j'aimerais que tu me baises a dit le jeune inconnu, t'as l'air d'avoir une belle queue ! tu jutes beaucoup ? j'adore quand il y a plein de jus.
Je l'ai trouvé excitant dans ses paroles depuis le temps que je regardais les petits culs je risquais d'en voir un de l'intérieur, fallait pas rater ça! Hein mon jeune homme?
-je veux bien a t-il dit mais on va où ?
-je connais un endroit tranquille, tu me suis ?
Et, nous voilà partis jusqu'au bord de la rivière, c'est vrai qu'il connaissait un endroit tranquille, pas facile d'accès? mais on s'est retrouvé dans une sorte de très petite clairière, entourée de petits arbustes qui nous protégeaient des regards.
L'inconnu a baissé son jean, son boxer libérant une copine magnifique. ben oui elle me ressemblait énormément!! mon petit homme m'a libérée et pendant qu'ils s'embrassaient tendrement, nous on se frottait l'une contre l'autre. C'était la première fois que je touchais vraiment une copine, on était contente toutes les deux et nos méats se sont libérés, ça nous coulait dessus.
D'un seul coup, la main de l'inconnu est venue me caresser, qu'il était doux ce mec.
Il s'est accroupi devant moi, je l'ai vu fouiller dans sa poche, il a sorti un petit carré en plastique qu'il a déchiré de ses dents. Mais c'est quoi ce truc rond qu'il en sort et, après m'avoir fait un bisou sur le gland, me l'enveloppe dedans et le déroule sur ma hampe!! mais je vais étouffer la dedans! et comment je vais faire pour cracher!
Il se relève, me tourne le dos, se penche en écartant ses belles fesses en disant :
-tu peux y aller comme tu veux, j'ai mis du gel.
Je sens bien que mon petit homme est inquiet, c'est la première fois qu'il va me mettre dans un endroit pareil.
Je vois les mains bien écarter les fesses, l'anus apparaitre. Bon j'en ai jamais vu de si près mais je croyais que c'était plus fermé que ça, par capote interposée je me colle à cet anus et dans l'instant je vois les fesses venir l'avaler et je me retrouve dans le noir. J'observe comme je peux, tout est tactile, je sens la paroi me serrer, me comprimer et j'avance dans le tunnel, jusqu'à ne pas pouvoir aller plus loin. J'entends le mec inconnu gémir et mon petit homme semble savoir ce qu'il a à faire.
En fin de compte je suis branlée dans le conduit, c'est la paroi qui me pétrie et je voyage, certes des allers retours rapides, de plus en plus d'ailleurs. C'est pas comme avec une main, ni comme avec une bouche, pas les mêmes sensations mais la bonne sensation arrive. Je la reconnais, elle me durcit les bourses et d'un seul coup bien au fond du conduit je lâche mon jus qui en fin de compte m'enveloppe dans la capote.
Je me retire doucement, toujours raide et je vois le liquide qui pend dans la capote. Le mec inconnu revient devant moi, enlève la capote et m'avale au fond de sa bouche. Sa langue est chaude et très humide, je suis léchée, sucée, aspirée et la grande forme revient, mon jeune homme tient la tête du mec, et gémit, alors j'honore cette bouche accueillante.
Ils s'embrassent de nouveau, se caressant et mon petit homme vient le sucer. Il s'applique cette fois, la bite de l'inconnu va plus loin et lui baise la bouche en cadence jusqu'à donner son bon jus et, cette fois il avale tout sans en recracher.
Ils s'embrassent encore, et encore, des caresses partout si bien que je reprends la forme comme ma copine.
-j'aimerais bien passer une nuit avec toi dit l'inconnu.
Mon petit homme n'a pas répondu de suite mais ils se sont revus rapidement. Ah ils s'occupaient de nous, mais ils parlaient souvent longtemps se disant des petits mots doux puis les je t'aime sont arrivés, les bisous étaient de plus en plus tendres. On s'est retrouvé pour la première fois dans un lit avec un inconnu qui n'en était plus un.
J'adore ma copine, elle crache beaucoup et est toujours prête et maintenant on ne me met plus de capote pour visiter le cul de l'amant de mon jeune homme!
Ils ont l'air d'être heureux, en tout cas nous on l'est!
La vie a passé, le bel inconnu que j'avais visité en premier a disparu de la circulation, d'autres sont passés et je suis toujours aussi vaillante, fière de mon homme qui me fait rencontrer de nombreux petits culs de jeunes minets qu'il préfère, des petits culs dont je suis la première à visiter et c'est un plaisir car il n'y a pas de capote! j'aime aussi les nouvelles bouches, les différentes façons qu'elles me font juter.
La vie est belle!
Mais il parait qu'il faut bien prendre soin de moi si on veut que je donne encore plus de plaisir, de sensations à mon homme. Mais je lui fais confiance et tout va bien!...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci cher lecteur
Excellente histoire que j’ai envie de partager avec mes amis sexuels … merci
merci Gaston! eh oui il faut prendre soin de notre belle chose… ah ah
Très original. J'aime beaucoup ça me rappelle mes premières sensations avec mon cousin.