Éducation d’Elodie -14 - histoire érotique

- Oui, elles sont adorables et comme je disais à Pierre elles se connaissent depuis le CP, elles sont inséparables.

À ce moment là elles sortent de la maison en riant, se mettent à courir et saute dans la piscine

- Nath riant, bon on va se prendre un rafraîchissement pendant ce temps là

- Monique regarde sa sœur, bien volontiers, un jus de fruit

- Pierre se lève, jus de pomme, orange, mangue

- Mangue , volontiers, Pierre fait le service et se mettent à discuter, Nath ne quitte pas des yeux Élodie et Sophie, finalement elles sortent de la piscine, se prennent par la taille en riant et viennent rejoindre tout le monde

- Élodie s’adressant à Sophie, tu veux un jus de fruit

- Oui volontiers, tu as à l’abricot

- Oui, rempli son verre et lui tend

- Monique s’adressant à Sophie, alors vous partez entre filles

- Oui, on va passer une semaine dans la maison familiale, on va avoir la maison pour nous, la mer à côté, on va s’éclater

- J’espère que vous m’appellerez quand vous serez arrivées et me donner de vos nouvelles

- Bien sûr, ne vous inquiétez pas

- Vous déjeunez avec nous avant de partir

- Si cela ne vous dérange pas

- Nath, ce sera avec plaisir, vous êtes adorables toutes les deux

- Merci répond Sophie, vous êtes bien ici, au calme

- Oui très bien, Élodie en a bien profité

- Élodie, oh que oui, se lève, je vais prendre une douche, maman je vais dans ta chambre
- Pas de problème ma puce

- Élodie se lève suivie de Sophie en se dirigeant vers la maison

- Monique s’adressant à Nath, je suis un peu inquiète seules toutes les deux

- Ne t’inquiète pas, elles sont grandes et que veux-tu qu’il leur arrive, je te comprends, elles sont magnifiques toutes les deux, mais elles savent gérer, non ?

- Oui tu as raison, je m’inquiète pour un rien, Claude me le dit souvent, je suis une mère poule on ne me changera pas,
Élodie arrive, tatie tu peux venir stp

- Nath se lève, oui ma puce, il y a un problème

- Non pas du tout, Sophie a un problème avec une jupe, la pression a lâché et je n’ai rien pour la recoudre

- Pas de problème, elles entrent dans la chambre, elle est en culotte et sg blanc, Nath la détaille avec plaisir, Sophie la regarde

- Je suis désolée, la pression de ma jupe a lâché

- Fait voir, ne t’inquiète pas on va l’arranger, se dirige vers sa chambre et revient quelques minutes plus tard avec une trousse et commence à recoudre la pression, une fois terminé lui tend la jupe

- Oh merci beaucoup, lui saute au cou et l’embrasse

- Pas de problème, se retire suivi d’Élodie
merci tatie, elle est toute contente
Tu sais qu’elle est magnifique, je la mangerais bien tu sais

- Je n’en doute pas

- Elle a une belle poitrine, dis-moi sa fente elle est comment

- Je ne sais pas, mais elle a une petite toison comme moi

- Je suppose que tu vas essayer de vous faire plaisir

- Oui, mais je ne veux pas la choquer, je te raconterai et va rejoindre Sophie, Nath va rejoindre Pierre et Monique

- Ça y est, j’ai fait un peu de couture sur la jupe de Sophie, sa pression avait lâché, bon on dresse le buffet avant qu’elles partent.
Tout le monde se met à dresser la table tout en discutant, arrivent Élodie et Sophie, toutes les deux en jupe, chemisier noué à la taille, sans sg, Nath en profite pour détailler la poitrine de Sophie, bien ferme, ses mamelons un peu tendus que l’on découvre sous son chemisier

- Tout le monde passe à table, Nath s’adressant aux filles, je vous propose pas d’alcool, vous allez prendre la route, Monique et toi que veux-tu

- Un gin tonic avec de la glace

- Nath fait le service, s’assoit et discute avec l’assemblée, déguste le buffet, à la fin du repas, Élodie se lève

- Bon on va y aller, on a un peu de route et on ne veut pas arriver de nuit

- Tu as raison ma puce, soyez prudente et tu me téléphone quand vous êtes arrivées

- Pas de problème maman, elle embrasse Nath et Pierre, en les remerciant, puis vient se blottir contre sa mère, fait un câlin et dépose un baiser sur ses lèvres, je t’aime maman

- Moi aussi ma puce, Sophie vient lui faire la bise ainsi qu’a Nath et Pierre, puis elles se dirigent vers la voiture et filent, Pierre leur ouvre le portail

- Nath regarde Monique, bon elles vont en profiter, ne t’inquiète pas elle va téléphoner, elle commence à débarrasser la table, Monique et Pierre lui donnent un coup de main, une fois terminé Monique s’adressant à Nath

- Je vais vous laisser, je vais faire une petite sieste, la fatigue du voyage et l’alcool à tout à l’heure

- A tout à l’heure, repose toi, Pierre va s’absenter pour l’après midi, moi je vais faire de la bronzette.
Nath se déshabille entièrement, Monique la regarde, puis va s’allonger sur un grand matelas posé au sol, se met sur le dos, les jambes légèrement écartées ainsi que les bras et se laisse aller aux rayons du soleil, Monique la détaille longuement et au bout d’un instant Pierre sort de la piscine, nu comme un ver, il n’a pas vu Monique qui la détaille, découvre son sexe de bonne taille pendant elle se retire discrètement avant d’être vue, file dans sa chambre, se met à la fenêtre ouverte, les volets sont entrebâillés et elle voit Pierre se diriger vers Nath, il se met face à elle cachant le soleil, elle ouvre les yeux

- Ah c’est toi, l’eau est bonne

- Délicieuse, tu veux me faire plaisir

- Oui, pourquoi

- Écarte tes jambes et montre moi ta fente

- Gros cochon, tu n’as pas honte tout en écartant ses jambes

- Alors il se met à genoux devant elle, ses doigts effleurent sa fente, l’ouvre légèrement, se penche, pose ses lèvres sur celle-ci, elle commence à gémir, se laisse aller, alors il lui gobe son bouton, elle se cambre, ses doigts se plantent dans le matelas, pousse un petit cri et se laisse retomber, alors Pierre se lève, se penche sur les lèvres de Nath et l’embrasse longuement, la main de Nath saisit le sexe de Pierre, le décalotte fortement, quitte ses lèvres et le prend en bouche le suce énergiquement, longuement

- Ma chérie pas maintenant, ce n’est pas sérieux

- Elle se retire, le regarde, donne moi ton sperme, le reprend en bouche, elle lui caresse les seins, elle le suce longuement, il lève la tête se tend et se libère dans la bouche de Nath, puis se retire, Nath se lève et vide sa bouche dans un parterre de fleurs, regarde Pierre

- Ce fut délicieux

- Oh que oui, je suis bien, je vais m’habiller

- Nath se remet sur le dos, Monique a assisté à cette partie de plaisir

- Monique se déshabille entièrement et s’affale sur le lit une main entre ses cuisses serrées, se laisse aller et s’endort.

- Vers 16h Nath quitte son matelas, se dirige vers la piscine descend doucement dans l’eau, se met sur le dos, puis fait quelques brasses et sort, se dirige vers la maison, saisit son paréo le noue à la taille, entre dans la maison, se sert un verre d’eau fraîche qu’elle déguste avec plaisir, se dirige vers sa chambre et remarque que la porte de la chambre de Monique est entrebâillée, elle pousse légèrement la porte, passe la tête et voit sa sœur dans la pénombre de la chambre, nue sur le lit, sur le dos, une jambe plié découvrant son pubis, elle sourit, entre discrètement, s’approche du lit, détaille sa sœur, une belle poitrine, se penche un peu, regarde la toison de celle-ci, légère et découvre ses grandes lèvres, alors elle pose son verre sur la table et vient s’assoir doucement sur le bord du lit et détaille sa sœur longuement, alors elle mouille un doigt et vient le poser sur un mamelon de Monique, elle le caresse doucement, il commence à réagir, mais elle ne bouge pas, elle dort profondément, alors elle quitte le sein, remouille son doigt et vient caresser délicatement les grandes lèvres de sa sœur, elle sent que celles-ci commencent à s’ouvrir, entre délicatement, les frotte doucement, elle sent son humidité arriver, elle commence à bouger, alors Nath pose ses lèvres sur un mamelon de sa sœur, sa langue le titille, Monique commence à gémir, elle ouvre les yeux, voit Nath, sursaute ferme ses cuisses emprisonnant la main de sa sœur

- Que fais-tu

- Je te regarde, tu es très belle, j’avais envie de te toucher, te découvrir

- Tu es ma sœur

- Oui et alors, il n’y a rien de mal entre sœur et nous sommes des adultes, tu n’aimes pas, une femme t’a déjà touché

- Non jamais, je ne suis pas lesbienne, c’est agréable

- Moi non plus je ne suis pas lesbienne, mais j’aime donner du plaisir à une femme et réciproquement et toi tu es ma petite sœur, j’aimerais te découvrir, te toucher, découvrir ton intimité, la fouiller, te donner du plaisir, elle se penche vers elle dépose ses lèvres sur celles de sa sœur, qui les garde fermées, elle sent la langue de Nath qui lui demande le passage, finalement cède à la demande, elle s’infiltre entre ses lèvres, leur langue se trouvent un long baiser les unis, la main de Nath force la fente de sa sœur, elle résiste sa main se pose sur celle-ci, Nath la regarde, laisse toi faire, laisse toi aller, alors elle gobe un mamelon, l’aspire, il pointe, elle enlève sa main de celle de Nath et s’offre à elle, elle sent ses doigts s’infiltrer dans son intimité, se détend et se laisse aller, Nath la fouille avec douceur, lui suce le mamelon tendu, elle prend la main de sa sœur et la glisse entre ses cuisses

- Monique sent la petite toison de sa sœur, s’enhardit, ses doigts se promène sur ses grandes lèvres, les caresse et commence à s’infiltrer en imitant sa sœur

- Nath lève la tête, regarde sa sœur, lui sourit, je t’adore, j’aime tes doigts en moi, tu mouilles bien, je vais aller te goûter, te boire, laisse toi aller surtout, vit ton plaisir, elle se lève enlève son paréo, monte sur le lit, se met à genoux entre les jambes écartées de sa sœur en lui disant, tu sais que tu as une belle fente, alors elle lui écarte au maximum ses jambes et vient poser sa bouches sur les grandes lèvres de cette fente, sa langue la pénètre, elle l’aspire, ses lèvres remontent un peu, sa langue taquine le capuchon de son clitoris ce qui la fait gémir, Monique plaque ses main sur la tête de sa sœur, oh oui que s’est bon, oui, oui, Nath saisit entre ses lèvres son clitoris, l’aspire, il gonfle de plus en plus, elle pousse des cris, gémit, puis se cambre fortement, sa jouissance est là, crie de plus en plus, Nath la boit, la suce de plus en plus fort, brusquement Monique pousse un grand cri et s’affaisse, Nath ne la lâche pas, elle est trempée, elle passe un doigt entre les fesses de sa sœur, frotte sa rondelle et force légèrement, elle s’ouvre alors elle la pénètre, ce qui lui fait pousser un cri
son doigt la fouille, recommence à la sucer longuement, boit cette cyprine abondante, saisit son clitoris entre ses lèves, l’aspire, il est sorti, gonflé, Monique crie de plus en plus, gesticule, soulève son bassin, elle est trempée, elle est prise des deux côtés, oh oui, encore, encore, s’affaisse et ne bouge plus, Nath retire son doigt de ses fesses, se retire de sa fente, écarte ses grandes lèvres, regarde avec plaisir le clitoris de sa sœur, le saisit ente deux doigts, le décalotte de plus en plus, il est là, brillant, elle lui donne des coups de langue, ce qui la fait sursauter, gémit, se laisse aller, alors Nath force au maximum le décrottage, près de trois centimètre est sorti, alors elle le suce longuement, comme un sexe, Monique gémit de plus en plus, sent encore un orgasme qui arrive, se laisse aller, ses seins sont tendus et gonflés de plaisir, pousse un cri et ne bouge plus, elle est en sueur, Nath se retire, se met sur le côté et regarde sa sœur, lui sourit, je ne te savais pas aussi jouisseuse, tu as une belle vulve, Claude doit l’apprécier, non ?

- Oui, il l’aime bien, comme moi j’aime bien son sexe, il a ce qu’il faut

- Je n’en doute pas, il n’est jamais passé entre tes fesses

- Non jamais, j’ai un peu peur, c’est étroit et toi

- Oui, Pierre aime bien, il aime les passages étroits, en riant et j’y trouve du plaisir, tu sais que tu as un beau bouton d’amour, j’ai pu l’admirer, il pointait fièrement et je sais que tu as bien aimé

- Oh oui, j’ai adoré, il y avait longtemps que je n’avais pas joui comme ça, je ne pensais pas entre femme, c’est une découverte pour moi, tout en parlant sa main se glisse entre les cuisses de sa sœur, qui écarte les cuisses pour lui laisser le passage, elle regarde cette vulve offerte, regarde sa sœur

- Elle est à toi si tu veux et j’aimerais que tu me donnes du plaisir

- Je peux essayer

- Nath se lève, enjambe le visage de sa sœur, montrant sa fente à celle-ci

- Monique regarde cette vulve qui lui est offerte, alors elle commence à promener sa langue sur ces grandes lèvre, ses pouces les écarte et découvre ses petites lèvres et voit le capuchon de son clitoris, elle regarde longuement cette vulve, finalement ses lèvres se pose sur celle-ci, sa langue la fouille, la suce ce qui fait gémir sa sœur, elle la goûte longuement, découvre le goût de la cyprine, Nath gémit doucement, oh oui, j’aime bien, tu me fais du bien, oui mage moi, ses mains se posent sur ses fesses, les écartent, un doigt se pose sur sa rondelle, la caresse et la pénètre fortement, Nath sursaute, oh que c’est bon, fait moi jouir ma chérie, vas y, que c’est bon, Monique s’excite de plus en plus sur cette vulve et ses entrailles, Nath pousse des cris, son orgasme la terrasse, elle se tend, sa cyprine envahit la bouche de sa sœur, puis se détend, Monique retire son doigt des entrailles de sa sœur qui se laisse tomber sur le côté, respire, regarde sa sœur et vient poser ses lèvres sur celles de sa sœur, un long baiser les unis tout en goutant son plaisir, Puis Nath s’allonge, elles sont côte à côte, détendu.

- Finalement Monique rompt le silence, tu te rends compte de ce que nous venons de faire

- Nous nous sommes fait plaisir, tu n’as pas aimé

- Si, beaucoup, mais nous sommes des sœurs

- Ce n’est pas grave, j’aurais voulu voir la tête de Pierre s’il nous avait vu et de Claude

- Tu ne vas pas lui dire, c’est entre nous

- Ne t’inquiète pas, je ne vais pas le crier sur les toits, tu as déjà trompé Claude

- Une fois, lors d’un séminaire, j’avais un peu trop bu, un seul rapport avec plus âgé que moi

- Il avait quel âge

- 65 ans et un petit sexe, je n’ai même pas eu d’orgasme, je ne suis pas fière de moi, mais pourquoi je te dis ça

- Car je suis ta sœur et qu’on s’aime bien, je vais te faire une proposition, te faire découvrir un plaisir que tu m’en diras tant

- Comment

- Tu veux essayer

- Tu m’inquiètes, tu es vraiment porté sur le sexe

- Oui, j’aime, disons que nous aimons bien, pas toi

- Si, mais quand même

- Partante, nous avons tout l’après midi pour nous

- Pourquoi pas, mais tu m’inquiètes, il faut que j’aille aux toilettes

- Pas de problème, lui prend la main, file dans sa chambre, prend son téléphone et revient dans la chambre de Monique, la fait assoir sur le bidet, jambes écartées, ne bouge pas et retient toi un peu, prend son téléphone, envoi un SMS, en moins d’une minute, une réponse, elle sourit, elle présente son téléphone face à la vulve de sa sœur, vas y ma puce, soulage toi, alors elle ouvre ses grandes lèvres et se laisse aller, un jet puissant sort de son urètre, puis s’estompe, alors Nath ouvre le robinet et Monique rince sa vulve et s’essuie longuement.
Nath envoi un SMS, la réponse ne tarde pas, elle regarde sa sœur, ma surprise trouve ta chatte bien belle

- Tu as montré la vidéo

- Non, tu étais en direct, maintenant on va préparer la surprise, si tu veux prendre une douche, je vais faire de même, on se retrouve sur la terrasse et nue, à tout à l’heure et se séparent.
Monique est inquiète, mais curieuse

- Nath, s’installe sur un transat et attend sa sœur, qui arrive cinq minutes plus tard, tu es magnifique, une belle femme, pas trop inquiète

- Un peu, en s’allongeant sur le transat à côté de sa sœur

- Ne t’inquiète pas, tu vas voir, je suis sûre que tu vas apprécier, son téléphone se met à sonner, répond, discute deux minutes, Monique voit arriver une voiture, se gare sous un arbre, elle veut se lever, ne bouge pas la surprise est là, laisse toi aller.
Un homme d’un certain âge en sort, pantalon noir, chemise blanche, se dirigeant vers les deux femmes

- Nath l’accueille, bonjour Marcel, comment vas-tu ?

- Bien et toi

- Très bien, je te présente ma petite sœur, Monique

- Enchanté en la détaillant, Monique est rouge de honte, vous êtes très belle

- Merci en posant sa main sur son pubis et son autre sur sa poitrine

- Monique, je te présente Marcel, un ami de longue date, la surprise, tu vas voir il va s’occuper de nous, mais en priorité de toi, laisse le faire, laisse toi aller, je suis là

- Marcel retire sa chemise, un homme relativement mince, un peu d’embonpoint, un torse velu, tout blanc comme ses cheveux, courts, défait sa ceinture et fait tomber son pantalon et se retrouve en caleçon blanc, qui laisse deviner un sexe pendant, il s’approche du transat de Monique, la regarde de haut en bas, lui sourit, vous êtes belle, vous devriez retirer vos mains et me montrer vos trésors, Monique regarde sa sœur qui lui sourit, finalement retire ses mains de sa poitrine et de son pubis, très joli, une belle poitrine bien ferme, 90B

- Oui

- J’adore, une belle fente j’en ai vu un peu tout à l’heure, je suppose un beau jardin, j’aime bien votre fente fermée, vous êtes bien faite, comme votre sœur, je vous sens tendu, laisser vous aller, il saisit les chevilles de Monique, remonte ses pieds vers ses fesses et s’assoit sur le transat, jambes écartées, saisit les jambes de Monique, les écarte, la fait glisser plus bas et les pose sur ses cuisses, elle est ouverte devant lui, la regarde en lui souriant, ses mains se posent sur ses cuisses, la caresse avec douceur, ses pouces se promène de chaque côté de sa vulve, ce qui la fait réagir, ses mains remontent sur son ventre, arrive à sa poitrine, remarque que ses mamelons se tendent doucement, ses mains saisissent ses seins, les malaxe tendrement, puis les saisissent entre le pouce et l’index, ses mamelons qui se tendent, les roule entre ses doigts, ce qui la fait gémir en fermant les yeux, alors il se penche, gobe un sein, puis l’autre en promenant sa langue sur ses mamelons, alors ses mains se font plus ferme sur sa poitrine, elle a un peu mal, doucement svp, doucement, insiste pendant plusieurs minutes, ses seins sont gonflés, tendus à lui faire mal de plaisir, alors sa bouche vient se poser sur les lèvres fermées de Monique, sa langue se promène sur les lèvres de celle-ci, finalement lui laisse le passage, sa langue la fouille, aspire sa langue, la suce tout en la fouillant, il est puissant, ses mains se posent sur ses bras, ses ongles le griffe, ce qui l’excite de plus en plus, puis se retire, ses pouces écarte ses grandes lèvres, ses petites lèvres apparaissent brillantes d’humidité, hum vous commencez à bien mouiller, c’est bien, laisser vous aller, alors avec un doigt la pénètre lentement, la fouille, ça passe tout seul, un vrai bonheur, puis un deuxième doigt, hum, je vous sens étroite, j’adore, la libère, se lève, baisse son caleçon et laissant apparaître un sexe très conséquent, pendant, trapu, pas l’air très long, le prépuce recouvrant son gland, Monique est inquiète de ce sexe, il saisit ses jambes, la fait glisser au bas du transat, se met à genoux, lui écarte les jambes, découvrant sa fente, vous êtes très belle, se penche pose sa bouche sur ses grandes lèvres, ce qui la fait sursauter, sa langue la pénètre, la fouille, la suce fortement, aspire son bouton, elle pousse des cris, pendant ce temps là Nath a saisit son sexe, le masturbe fermement ce qui le fait gémir en unions avec Monique, Nath sait y faire, le décalotte ferment, son sexe se tend de plus en plus, gonflé de plaisir, Monique se cambre en poussant un cri, son orgasme la terrasse, se laisse aller

- Marcel se relève, le sexe tendu, Monique le détaille longuement, il la regarde avec un petit sourire, ta sœur est délicieuse, très sucrée et une bonne odeur de plaisir, alors il lui relève les jambes, l’écarte fermement, Nath saisit son sexe, frotte son gland sur les grandes lèvres de sa sœur, qui s’ouvre, le gland disparait en elle, Nath le lâche, Marcel ne bouge plus

- Monique se prépare à cet assaut, regarde Marcel, alors doucement elle le sent entrer en elle, ses parois bien mouillées par sa cyprine, l’accueille, au dernier moment il donne un coup de rein, se fige en elle, pousse un petit cri, il ne bouge plus, sa respiration est rapide et profonde, elle sent en elle ce sexe tendu, ses bourses contre ses fesses, son clitoris écrasé, sa poitrine est gonflée, les mamelons tendus, son corps brille de sa sueur

- Marcel la regarde, maintenant je vais jardiner votre jardin, l’arroser de ma semence, vous pourrez crier, faire ce que voulez, vous êtes prise, alors il lui resserre les jambes, sa vulve emprisonne ce sexe, elle le sent de plus en plus en elle, alors Marcel se retire lentement, puis s’arrête à mi-chemin, la regarde, j’adore les chattes étroites, comme maintenant, lui sourit et donne un grand coup de rein en la pénétrant, pousse un cri, ne bouge plus, puis se retire à moitié, ne bouge plus et encore un grand coup de rein qui lui arrache quelques cris.

- Monique son intérieur lubrifié comme jamais, ses parois palpitent à chaque assaut, son clitoris lui fait mal, gonflé, elle sent son orgasme arrivé, oh oui, oui, se cambre en criant, ses ongles dans le coussin, elle reprend ses esprits, alors Marcel commence à la pénétrer avec force, lui arrachant des cris, elle gesticule, Nath s’approche, d’elle, lui saisit ses poignets d’une main, remonte se bras au-dessus de sa tête, de sa main libre, lui malaxe la poitrine, lui pince les mamelons, ce qui la fait crier de plus en plus, Nath la bâillonne de ses lèvres, sa langue fouille sa sœur qui se laisse aller, plusieurs orgasmes la saisissent, Marcel accélère de plus en plus, Nath libère les lèvres de sa sœur, la regarde jouir, pousser des cris, brusquement Marcel s’arrête à mi chemin, quelques secondes et d’un dernier grand coup de rein la pénètre, elle pousse un cri, alors Marcel se vide en elle, longuement, elle se sent remplir de ce sperme, ne bouge plus, Nath la lâche, au bout de quelques minutes se retire doucement, relâche les jambes de Monique qui pendent du transat, alors apparait un filet de sperme de sa vulve, Marcel et Nath admire celle-ci trempée.

- Nath se met à genoux, saisit le sexe de Marcel, le met en bouche et commence à le sucer longuement, ses mains saisissent ses fesses, les écarte, un doigt caresse sa rondelle et la pénètre ce qui le fait gémir longuement, ce manège dure plusieurs minutes alors Nath le libère en lui disant, j’ai pu gouter le mélange de votre plaisir, un délice, elle se lève et va embrasser sa sœur qui goutte cette langue qui la fouille, pendant ce temps, Marcel se dirige à la piscine et pique une tête, dis donc ma chérie, je ne savais pas que tu jouissais si bien et que tu aimais le sexe

- Oui, je te dis pas tout, là j’ai bien aimé ta surprise, il a un sacré sexe

- Si tu savais, il a 75 ans

- C’est pas vrai

- Si ma chérie, tu vas voir, après il va s’occuper de moi, allez vient avec moi on va plonger, tu pourras faire ta toilette, Monique se lève, le sperme coule le long de ses jambes et toutes les deux se dirigent vers la piscine ……..