Education d'Elodie 9 - histoire érotique

Education d’Elodie -9- Au bout d’un moment Suzanne relève les jambes d’Elodie, Nath saisit ses chevilles pour lui maintenir ses jambes, alors Suzanne a une belle vue sur cette petite chatte, passe sa langue sur ses grandes lèvres tout en lui écartant les fesses, sa langue descend sur sa rosette, la titille, puis remonte à sa fente, puis revient à sa rosette, sa langue, force un peu le passage, elle la sent réagir, puis remonte vers sa fente, sa langue la pénètre pui son doigt force sa rosette qui s’ouvre, Nath se relève de la bouche d’Elodie, alors elle reprend son souffle, se met à crier doucement puis de plus en plus fort, les deux femmes sentent sa tension, Suzanne boit sa cyprine, tout en la suçant, brusquement Elodie relève son bassin, Nath a compris sa jouissance est là, la laisse faire, puis elle pousse un grand cri et se détend, Suzanne s’arrête, puis retire son doigt de sa rosette, lui fait baisser ses jambes, puis la fait tourner pour qu’elle puisse s’allonger sur le lit, les deux femmes la regarde, elle est en sueur, la respiration est rapide et profonde, alors Nath lui glisse à l’oreille « on te laisse te remettre, après viens nous rejoindre sur la terrasse », puis lui dépose un baiser sur ses lèvres, puis toutes les deux l’abandonne et sorte de la chambre …….
Les deux femmes s’installent à l’ombre, sirotent un jus de fruit, elles sont toujours nues et profitent de cet instant de repos- Nath ta nièce est vraiment délicieuse- Oui, je sais, une petite jeune pour nous et je sais qu’elle est heureuse avec nous, elle apprend vite et aime le plaisir du sexe, nos hommes ont des idées avec elle, Marc t’en a parlé ?
- Non, il ne m’a rien dit, mais ce que je sais, il aimerait bien qu’elle passe la nuit avec nous, tu en penses quoi- Tu devrais lui proposer, tu verras, je ne pense pas qu’elle refuse, elle vous apprécie énormément- Merci, je lui proposerai, au fait, tu as déjà regardé son clito- Oui, il est petit, pourquoi- Il faudrait lui apprendre à le décalotter pour qu’il prenne l’air, en riant- Tu as tout a fait raison, il y a longtemps que je n’ai vu le tien- Ne te gène pas viens le voir, je te le donne, je sais que tu en feras bon usage- Nath se lève, déplace sa chaise et vient s’installer face à Suzanne, écarte bien tes jambes, ce qu’elle fait, tu as toujours une aussi belle chatte avec ta petite toison, il va falloir que je vienne la manger, tout en parlant elle pose ses doigts sur ses grandes lèvres, les ouvre, puis les petites et regarde avec attention cet intérieur déjà humide, elle se penche, sa langue vient frotter le bord des lèvres, remonte vers le haut et se déplace vers son clito, donne quelques coup de langue, puis se retire, deux doigts maintiennent le haut de ses lèvres, deux doigts de la main droite saisissent délicatement le capuchon de son clito, le caresse, le pince légèrement, un doigt frotte le bout du capuchon, puis redescendent vers son entrée, les humecte et revient à la charge du clito, saisit le capuchon, le tire en arrière avec douceur, Suzanne gémit doucement « oh oui ce que tu fais est toujours aussi efficace, tu es toujours aussi experte, je le sens gonfler, oh que c’est bon », Nath tire un peu plus, il apparaît, brillant, oui, le voilà, il arrive, il brille, elle lui donne quelques coup de langue, puis entre deux doigts dans son vagin, les retourne et viennent se positionner au niveau de son clitoris, la caresse de l’intérieur tout en le décalottant de plus en plus, il est là, alors elle le saisit entre ses lèvres, l’aspire, sa langue le titille, alors Suzanne commence à pousser de petits cris - Oh oui, continue, tu es merveilleuse, fait moi jouir, tes doigts me plaisent, oui vas y, encore, oui, oui, elle se cambre, Nath sent son vagin plein de cyprine, y va de plus en plus vite, sa bouche ne la lâche pas, elle se cambre, pousse des cris et se libère dans la bouche de Nath et s’affaisse, ne bouge plus, alors délicatement Nath retire ses doigts et sa bouche et la regarde, ses seins sont tendus, les tétons pointent, alors NAth se lève et dépose un baiser sur les lèvres de Suzane, puis lui glisse à l’oreille- Tu es toujours aussi bonne à sucer, aspirer et à te goûter, un bon petit goût, Suzanne lui sourit en lui disant- Heureusement que ta nièce n’était pas là- Pourquoi- Qu’aurait elle pensée- Je suis sure que du bien- Qu’elle heure est-il- Attends, se retourne, regarde la pendule, 18 heures- Tu sais que j’aimerais bien un whisky avant que nos hommes arrivent- Pas de problème, ça les fera arriver, on enfile une robe ?
- OuiElodie arrive, petit short blanc, chemisier noir noué à la taille- Alors ma chérie, tu es remise, tu es superbe- Oui, ça va, merci, vous allez où- On va passer une tenue plus décente avant que nos maris arrivent et on va commencer à boire l’apéritif, tu en veux un- Volontiers- Tu peux commencer à dresser la table pendant que l’on va enfiler une robe- Pas de problème, alors chacune vaque à ses activités, une fois terminé, les trois femmes se retrouvent autour de la table, pomponnée, souriantes, Nath s’adressant à Elodie- Alors ma chérie, heureuse,- Pas trop fatiguée- Heureuse, oui, fatiguée oui un peu, je suis très détendue, un peu fébrile- Normal ma chérie, tu as eu beaucoup d’orgasmes et nous aussi, alors il faut te remettre et prendre des forces, la soirée risque de t’amener des surprises, si tu te sens, naturellement- Des surprises ?, en riant- Oui, on attend les hommes, espérons qu’ils ne seront pas trop fatigués, en riant, que désires-tu ?
- Si maman savait, un whisky avec des glaçons- Ta mère ne saura rien, je sais que ma sœur est un peu coincé, on ne la changera pas, mais j’aimerais bien qu’elle se décoince, un peu, on pourrait l’inviter et la décoincer un peu- Tatie, tu exagères- Je plaisante ma chérie, au fait tu l’as déjà vue nue ta mère- Non, enfin si, une fois, dans la salle de bain- Et- Elle m’a dit on frappe avant d’entrer et elle avait mis sa main sur sa poitrine et sa toison- Tu vois, elle est prude et je suppose qu’elle ne t’a pas vue nue- Si, mais ça ne me gène pas, je suis sa fille- Oui ma chérie, donc un whisky pour ma nièce adorée, que je dévergonde.
- Tatie, tu es terrible, je t’adore- Les trois femmes dégustent leur apéritif, tout en discutant, rient, vers 19h, Nath entend le portail s’ouvrir- Je crois que nos maris arrivent, effectivement, ils sortent de la voiture, Pierre s’adressant à Marc- Regarde nos femmes, elles ne se laissent pas aller- Tout à fait d’accord- Bonjour mesdames, en forme- Nath, nous allons bien, nous vous attendions, trois belles femmes- Je suis d’accord avec toi, vous avez été sage,- Naturellement, bon vous souhaitez vous changer et venir avec nous boire l’apéritif- On va prendre une douche pour se rafraîchir et on vous retrouve- Pas de problèmeles femmes continuent leur discussion, arrivent Pierre et Marc- Alors les beautés, bonne journée- Nath, oui très bonne, vous avez été sage- Pierre, comme d’habitude, vous êtes superbes, toutes les trois, nous sommes comblés, je prendrais bien un bourbon et toi Marc, aussi- Elodie se lève et les sert- Nath, vous avait pu faire ce que vous vouliez- Pierre, presque, mais nous sommes satisfait, nous avons quoi pour ce soir- Nath, un buffet ou grillades avec des légumes- Je suis pour les grillades, d’accord ?, je m’occupe du feuentendu pour tout le monde- Marc, Elodie, je te trouve superbe avec ton short et ton chemisier- Merci, heureuse de vous plaire- Et dessous en riant- Elodie, c’est une surprise en riant- J’adore les surprises- Moi aussi- Nath, bon les surprises on verra, on va préparer le repas, Pierre, je te laisse t’occuper de préparer le feu- Bien mon amour, les femmes partent à la cuisine, il se lève- Marc, Elodie a vraiment un beau petit cul- Pierre, oui, il a 19 ans, il te plait vraiment- Oui, pas toi- Si, c’est ma nièce, elle est adorable, ne dis pas le contraire, tu l’as déjà touché, sucé et plus- Oh que oui, je commence à bander- Bon, calme toi, je vais préparer le feu, viens, ils se dirigent vers le barbecue, s(affaire, lance le feu, au bout d’un bon moment, Elodie vient voir Pierre et Marc- Je vous apporte votre bourbon, tout va bien, elle se met entre eux deux en leur tendant leur verre- Pierre, oui très bien, la grillade c’est quoi- Côte de bœuf- Hum, on va se régaler, il lui dépose un baiser dans le cou, tu es adorable- Merci, ça fait plaisir- Il la prend par la taille et lui glisse à l’oreille, tu es nue dessous- Chut, surprise, Pierre pose sa main sur les fesses d’Elodie- Nath, bon les hommes, vous pouvez retirez vos mains et vous occuper de faire cuire la viande- Pierre, oui ma chérie, il retire sa main, libère Elodie, elle lui fait un bisou et va rejoindre Nath, en riant- Nath, tu es terrible- Je sais- Tu es bien ma nièce adorée, Suzanne porte la côte de bœuf aux hommes et revient en souriant- Je crois que nos hommes ont une poussée de température entre les jambes en riant- Nath, je n’en doute pas, bon je crois que tout est prêt, viens avec moi ma Puce, Suzanne, nous revenons dans 5 minutes- Suzanne, entenduNath et Elodie disparaisse, arrive Marc- Nath et Elodie ne sont pas là, la viande va être prête- Elles vont revenir dans 5 minutes, tu veux encore un whisky ?
- Volontiers, Pierre tu veux encore un whisky, oui stp, Marc va chercher son verre- Arrivent Nath et Elodie, je remarque que nous arrivons au bon moment, ma Puce encre un petit whisky- Oui, stp, arrive Pierre avec la côte, tout le monde passe à table, Nath glisse un objet dans la main de Suzanne, lui glisse un mot à l’oreille et vient s’assoir à côté d’Elodie, avec un petit sourireLa soirée se passe bien, rires, tout le monde est bien détendu- A un moment donné, Nath voit Elodie mettre sa main entre ses cuisses, discrètement, elle lui sourit, ça va ma Puce- Oui en lui souriant, c’est toi là en ce moment- Non, devine qui - Tu l’as donné à qui- Devine- Elodie, regarde Marc et Pierre, ils discutent, puis regarde Suzanne, qui lui fait un petit sourire, regarde Nah, c’est Suzanne- Oui ma Puce, tu aimes- L’œuf vibre en moi, tu es terrible tatie- Oui ma Puce, il est bien au chaud en toi, tu vas voir tu vas mouiller terriblement, tu auras des orgasmes légers et qui sait plus et tu seras prête à faire l’amour, laisse toi aller- Il faut dire que les sensations sont bizarres, mais je ne sais pas le temps que je vais tenir- Regarde Suzanne, elle te souritSuzanne se lève vient vers Nath et Elodie et lui glisse à l’oreille- Je te vois souriante, tu apprécies ce qui est en toi, veux-tu venir avec moi- Elodie, la regarde, puis Nath qui lui sourit, oui, elle se lève lui prend la main et disparaissent dans la maison, Marc se lève, à demain, j’ai un rendez-vous et disparait à l’intérieur- Pierre, tu étais au courant- Oui, pas de problème, notre Puce est partante, je crois qu’elle va passer une bonne nuit- Je n’en doute pas, bon si on allait se coucher aussi- On débarrasse- Oui, bien sûr- Elodie, main dans la main avec Suzanne, suivi de Marc entrent dans leur chambre- Suzanne, tu n’as pas peur avec nous- Non pourquoi- pour savoir, tout en parlant elle augmente les vibrations de son œuf, lui sourit- Elodie, c’est très excitant, je vibre de partout, je suis toute mouillée- Suzanne pose la télécommande tout en laissant vibrer l’œuf, s’approche d’Elodie, tu es très belle, dépose ses lèvres sur celles d’Elodie, elle sent Marc derrière elle, ses mains se posent sur sa poitrine, la caresse, l’embrasse dans le cou, ses mains ses boutons de son chemisier, l’ouvre, libère sa poitrine, retire son chemisier, puis lui caresse les seins, les tétons tendus, elle gémit, Suzanne libère ses lèvres, Marc ne lui lâche pas ses seins, Suzanne défait son short, le fait glisser, le retire, puis sa culotte, apparaît le cordon de l’œuf, lui embrasse le ventre, sa toison, puis l’amène sur le lit, la fait s’allonger, Marc se déshabille rapidement ainsi que Suzanne, tous les trois sont nus, Elodie les regarde, Marc se couche à côté d’elle, pose sa main sur sa tête, l’embrasse, son autre lui caresse les seins, leur langue s’enroule, Suzanne lui écarte les jambes, saisit le cordon et tire doucement, Elodie se met à gémir et finalement l’œuf sort de son vagin, ce qui la fait se cambrer, Suzanne la regarde, puis s’allonge face à sa vulve, la regarde, elle est trempée, finalement lui ouvre ses lèvres et vient déposer ses lèvres sur celles-ci et commence à la sucer la pénétrer lui aspirer son bouton, sa respiration s’accélère, sa main se tend, cherche sexe de Marc, le saisit, le serre fortement puis le décalotte violement, ce qui le fait gémir en lui disant, oui, il est à toi, tu peux en faire ce que tu veux, alors elle le masturbe fortement Marc est au ange, Suzanne lui a ouvert ses fesses, un doigt lui titille sa rosette- Elodie, oh oui que c’est bon, encore- Suzanne force son entrée qui accueille son index, commence à la fouiller, elle pousse des petits cris, s’agite, mais elle est maintenu fermement par Suzanne et Marc, finalement pousse un cri, se cambre, serre avec force le sexe de Marc, il serre les dents, finalement elle se laisse tomber, elle transpire, ses seins sont gonflés, ses tétons tendus, une jouissance intense, finalement Suzanne libère Elodie, la regarde, sa respiration est saccadée- Au bout de quelques minutes, Elodie a retrouvé son calme, sourit à Suzanne et Marc, Marc dépose un baiser sur les lèvres d’Elodie, Suzanne laisse la place à Marc, il lui écarte les cuisses, pos ses lèvres sur sa vulve, sa langue la pénètre et aspire son bouton, Elodie saisit la tête de Marc et la plaque fortement contre sa vulve, gémit, il goute avec plaisir cette cyprine- Elodie, oh oui c’est bon, encore fait moi jouir, j’adore ta langue, oui encore- Finalement Marc se retire, se met à genoux entre les cuisses d’Elodie, lui lève les jambes, les pose sur ses épaules, Suzanne passe derrière lui, regarde cette vulve prête à accueillir Marc, alors elle saisit son sexe tendu, frotte délicatement son gland sur ses lèvres qui s’ouvrent, alors doucement pénètre Elodie, son intérieur se dilate pour accueillir ce sexe de bonne taille, il s’arrête, puis reprend son avancé dans cet intérieur lubrifié et accueillant, puis donne un coup de rein, se bloque au plus profond d’Elodie qui pousse un cri, il ne bouge plus, alors Suzanne, se faufile entre ses fesses, la pénètre, alors elle commence à gémir, Marc saisit ses seins, les malaxe, les tétons entre ses doigts, les roule, elle ne peu plus bougé, elle est prise elle sent ce sexe en elle qui vibre, elle ferme les yeux pour penser à son plaisir, alors Marc commence à se retirer doucement, puis s’arrête et replonge en elle, ce manège dure plusieurs minutes, Elodie gémit de plus en plus, Marc se retire presque entièrement, elle pense qu’il va se retirer, mais s’arrête au bord de ses lèvres et puis repart au plus profond de son vagin, ce manège dure plusieurs minutes, Suzanne fouille ses entrailles avec son doigt, elle sent son anneau réagir aux différents plaisirs, alors Marc commence ses va et vient, ne s’arrête plus, la fouille, Elodie pousse des cris, ses doigts s’enfonce dans les drap, son intérieur est de plus en plus glissant, trempée, elle commence à jouir, se cambre, jouit mais Marc la fouille de plus en plus, elle se cambre, ce qui donne encore plus de facilité à la pénétrer, Marc accélère de plus en plus, elle n’en peu plus, cri, sa tête bascule de gauche à droite, Marc sent son plaisir arriver, alors il se bloque au fond de son vagin et se libère, Elodie sent son sperme l’inonder, elle est effondré, sa respiration va de plus en plus vite, Suzanne son anneau qui serre son doigt, puis finalement se relâche, Marc ne bouge pas, puis au bout de quelques minutes, Suzanne retire son doigt, Marc se retire lentement de son vagin, Suzanne et Marc regarde cette vulve qui laisse s’écouler un peu de sperme, puis viennent se mettre à genoux à ses côté, la regarde, lui sourient, Elodie les regarde, elle est plus calme, alors en souriant elle tend un main vers le sexe de Marc, encore humide et gluant de son plaisir, de l’autre elle passe sa main entre les cuisses de Suzanne, herche son entrée, qu’elle caresse, elle est humide mais n’a pas eu de plaisir, alors Suzanne pose sa main sur la vulve d’Elodie d’où s’écoule le sperme de Marc, lui caresse cette petite poitrine bien ferme, tous les trois son heureux- Elodie, je crois que je vais aller faire ma toilette, se lève et se dirige vers la salle de bain les laissant tous les deux sur le lit, au bout de 10 minutes, revient vient s’allonger entre eux deux, Marc se lève et file à la salle bain, puis au bout d’un instant, revient Elodie le regarde, puis son sexe, dégonflé, pendant entre ses jambes, quand je pense, qu’il était en moi, bien loin, je l’ai sentit vibrer, ce fut délicieux, j’ai été inondé de sperme en riant, nous avons eu du plaisir tous les deux, mais pas Suzanne, il va falloir lui en donner- Marc, oui, tout à fait, mais il faut que je me remette un peu, mais tes paroles me donnent des idées, regarde, il commence à réagir, alors Elodie, s’approche de son sexe, dépose un baiser sur son gland, puis quelques coup de langue, puis le prend en bouche, sans le toucher, commence à le sucer, il reprend doucement vie, Elodie, tu es merveilleuse, attend, il se met sur le dos, Suzanne chevauche le visage de Marc, lui donne sa vulve, elle se penche, saisit son sexe, et le présente à Elodie qui le met en bouche et commence à le sucer, Marc s’active sur Suzanne, pour une fois Elodie s’occupe de Marc sans être touché, ni par l’un ni par l’autre, elle se sent dominatrice et prend plaisir à donner du plaisir avec ses lèvres et sa bouche, ce sexe commence à se tendre de plus en plus, alors elle saisit ses bourses, les malaxe, on l’entend gémir avec Suzanne- Suzanne se retire de la bouche de Marc, Elodie lache le sexe de Marc, Suzanne se en levrette, Marc passe derrière elle, Elodie saisit son sexe tendu, frotte le gland sur ses lèvres qui s’ouvrent, alors il entre en elle doucement, Elodie regarde ce sexe entrer, puis Marc s’arrête, saisit les fesses de Suzanne, donne un grand coup de rein et la pénètre fortement et ne bouge plus, alors Elodie vient se mettre en levrette face au visage de Suzanne, qui lui saisit les fesses, les écarte et lui titille sa rosette avec sa langue, descend entre ses lèvres et remonte, alors Marc à regarder cette scène commence ses va et vient, fouille Suzanne, comme elle fouille Elodie, puis dans cette chambre on entend que des gémissements des uns et des autres, jusqu’au plaisir final, dans des cris de jouissance et finalement les trois protagonistes s’écroulent sur le lit baignant de la jouissance de chacun.