Education d'une bourgeoise BCBG
Récit érotique écrit par Sir Steph [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Education d'une bourgeoise BCBG
Ce vendredi matin il fait beau. C'est une belle journée de printemps qui s'annonce.
… le train en provenance de Mulhouse arrive en gare de Colmar et s'arrête au quai n° 2.
Les wagons cachent les passagers qui sortent du train… mais pas pour longtemps, car il redémarre rapidement. Sur le quai, de nombreux passagers se dirigent d'un pas décidé vers la sortie dans un bruit soutenu. Quelques minutes s'écoulent avant que le silence s'installe.
Quant à moi, je suis discrètement installé sur un banc, quai n° 1. Mon regard balaye la totalité du quai n° 2… il n'y a plus personne à l'exception de S…
Elle est bien là, sur ce quai n° 2, elle s'y trouve encore, debout, sans bouger, et je constate que son regard balaye tous les espaces jusqu'au moment ou elle m'aperçoit sur l'autre quai. Je constate immédiatement un léger sourire sur ses lèvres.
Mais qui est S…, que fait-elle là ?, qu'attend-t-elle ?
S… est une belle femme, d'allure BCBG, la cinquantaine, en fait, une belle bourgeoise mariée à un homme, chef d'entreprise, très pris par son métier et de fait, très éloigné des souhaits et des préoccupations de sa femme.
J'ai fait la connaissance de S… lors d'une soirée VIP. Elle était belle et rayonnante dans sa petite robe rouge qui mettait son corps bien en valeur. Durant le cocktail nous avons fait plus ample connaissance et nous avons commencé à parler de nos vies de couple, puis un peu plus tard, l’alcool aidant, de nos plaisirs et de nos fantasmes respectifs.
S… m'expliquait qu'elle n'était pas malheureuse dans sa vie de couple mais délaissée et frustrée dans sa vie sexuelle. De mon coté je lui disais que moi aussi j'étais heureux de mon mariage mais, comme elle, frustré.
Je lui expliquais que j'adore les relations, librement consenties, entre une personne soumise et son dominateur, et que mon épouse ne partageait pas ces plaisirs. Je lui indiquais que j'avais eu quelques expériences dans ce domaine… dans une première vie… et que j'étais à la recherche d'une personne complice souhaitant découvrir ces plaisirs si particuliers et tellement sulfureux ou, une personne ayant déjà goûté à ce type de relations et voulant y revenir.
Le fait de lui dévoiler mes fantasmes et plaisirs « secrets » n'ont pas laissé S… insensible du tout.
J'ai remarqué que le visage de S… avait commencé à rougir. Très vite elle m'expliquait qu'elle aussi avait ce genre de fantasme et qu'elle rêvait de découvrir les plaisirs et les sensations de la soumission. Immédiatement elle m'indiquait qu'elle n'avait aucune expérience et qu'elle ne souhaitait, en aucun cas, mettre en danger sa vie de couple… Nous avons échangé nos n° de téléphone puis nous nous sommes quittés. Par la suite nous avons beaucoup échangé par téléphone, et nous nous sommes retrouvés plusieurs fois pour apprendre à mieux nous connaître avant de décider de franchir une étape.
… cette étape se concrétise par la présence de S… sur le quai de la gare…Quatre jours avant, je lui ai envoyé un courrier dans lequel il y avait un billet de train, aller simple de Mulhouse à Colmar, et un courrier.
Ce dernier précisait, non seulement, le jour et l'horaire du train à prendre, mais également donnait certaines consignes quant à la tenue à porter. Il faut précisé que ce courrier ne contenait aucun ordre… mais une injection forte à répondre à l'attente de son interlocuteur. Il était précisé qu'elle était libre de se déplacer ou pas, avait également la consigne de ne plus m'appeler et que la suite de notre histoire, ou non, était liée à cette rencontre..
Autant vous dire que, même si j'étais assez confiant, je me demandais, quand même, si elle allait répondre à mon « invitation »…
Inutile de vous dire que j'étais rassuré et heureux d'apercevoir S…, debout sur le quai d'en face. Elle ne bougeait pas, sa silhouette était superbe. Elle portait un imperméable en vinyle noir qui s’arrêtait juste au dessus de ses genoux, ses jambes étaient gainées d'une paire de bas coutures et rehaussées par le port d'une paire d'escarpins à talons hauts.
Sans tarder je me suis levé et j'ai changé de quai pour rejoindre S… qui était toujours debout et qui n'avait pas bougé. En m'approchant j’aperçus avec satisfaction que S… portait autour de son cou un foulard rouge. Nul doute, elle avait respecté les consignes écrites dans le courrier. Elle semblait radieuse, heureuse d’être là maintenant à mes cotés… mais également légèrement tendue.
Nous échangeons un tendre baiser et puis nous avons quittons le quai pour rejoindre le hall de la gare. Pour ce faire, nous descendant sous les voies... dans le passage souterrain. C'est le moment que je choisis pour demander à S… de s’arrêter et d'ouvrir les pans de son imper… S… s’arrête et je la sens hésitante. Celle-ci me demande si c'est un ordre… je lui réponds que oui et j'attends l'exécution immédiate de cet ordre. S...qui commence vraiment à rougir jette un coup d’œil autour d'elle. Elle constate qu'il n'y a personne et elle ouvre un à un les boutons de son imper… elle met du temps à écarter les pans de celui-ci… je lui rappelle que si elle est là c'est pour débuter, librement, son éducation de femme bourgeoise et BCBG soumise… et qu'elle peut encore refuser d'exécuter cet ordre… S… est maintenant toute rouge, elle écarte largement les pans de son imper…je constate à ce moment précis que S… a exécuté les consignes indiquées sur le courrier : elle se dresse devant moi, son corps et quasiment nu, il est orné, « recouvert » d'un ensemble de lingerie fine en dentelles noires : un soutien gorge, un string et un porte-jarretelles… je la félicite d'avoir répondu à mes attentes et je la complimente sur la beauté de son corps. Je l'autorise à refermer son imper et je lui demande de me donner son foulard rouge qui entoure encore son cou.
Nous quittons le hall de la gare et nous allons nous installer dans un salon de thé huppé.
Nous commandons nos boissons et je sens S… soulagée et rassurée. Il semble qu'elle prend conscience qu'elle vient de franchir une étape et que son éducation de femme soumise vient concrètement de débuter. Je sens qu'une réelle complicité s'installe et S… est un peu plus décontractée. Elle fait attention à ces attitudes et faits et gestes afin de ne pas dévoiler son corps superbement dévêtu… sous son imper. C'est le moment que je choisi pour lui donner un petit paquet que je pose sur la table. J'indique à S… que c'est un cadeau. Radieuse, elle ouvre le paquet et découvre dans celui-ci un collier en cuir, noir, avec un anneau central… il n'est pas extrêmement large mais il ne laisse aucune ambiguïté quand à son utilisation. L'ordre fuse immédiatement : je demande à S… de le placer autour de son cou… je sens S… déstabilisée, ce qui me plaît bien… c'est hésitante et le plus discrètement possible qu'elle le place autour de son cou… Cinq minutes plus tard, je donne à S… un nouvel ordre : je lui demande d'aller aux toilettes pour ôter son soutien gorge et son string et de me les ramener et les tenant dans sa main…S… à ce moment précis se rebelle et elle me dit qu'elle ne peut faire cela et qu'elle ne va pas obéir… Immédiatement je lui répond que je suis d'accord, que je vais régler la note et que je la ramène chez elle sachant que notre histoire va s’arrêter là… le regard de S… se fige. Elle me demande pardon et sans rien dire, elle se lève et se dirige vers les toilettes du salon de thé. De longues minutes s’égrainent avant que je n'aperçoive S… revenir vers notre table. Elle marche très rapidement, elle est toute rouge et essaie de cacher, dans sa main, les sous-vêtements qu'elle vient de retirer. Elle me demande d »accepter qu'elle les déposer dans son sac… ce que je refuse… et lui ordonne de les poser sur la table… S… s'exécute… je lui demande pourquoi elle a mis autant de temps pour revenir et là elle me dit que la situation la trouble énormément qu'elle se sent gênée et paradoxalement excitée par cette situation… elle m'avoue même qu'elle avait des papillons plein le ventre et qu'elle n'a pas pu s’empêcher de glisser deux doigts entre les lèvres de son sexe qu'elle a commencé à se caresser et que sa petite chatte est trempée…Je lui précise que je suis, partiellement, satisfait de son comportement de soumise débutante en précisant qu'a partir d'aujourd'hui elle n'aura pas le droit de se caresser sans mon autorisation.
En même temps je place son soutien gorge et son string bien en évidence sur la table et j'appelle la serveuse pour que S… règle l'addition… (une petite précision : c'est moi qui lui ai donné l'argent pour régler la note, mais j'ai souhaité que se soit elle qui paie la note…)Le regard de la serveuse, qui a vu la lingerie sur la table, est soutenu et à ma grande surprise cette dernière précise à S… qu'elle ne doit oublier ce qui est sur la table…Nous quittons le salon de thé et nous nous dirigeons vers ma voiture… pour une retour chaud...
… le train en provenance de Mulhouse arrive en gare de Colmar et s'arrête au quai n° 2.
Les wagons cachent les passagers qui sortent du train… mais pas pour longtemps, car il redémarre rapidement. Sur le quai, de nombreux passagers se dirigent d'un pas décidé vers la sortie dans un bruit soutenu. Quelques minutes s'écoulent avant que le silence s'installe.
Quant à moi, je suis discrètement installé sur un banc, quai n° 1. Mon regard balaye la totalité du quai n° 2… il n'y a plus personne à l'exception de S…
Elle est bien là, sur ce quai n° 2, elle s'y trouve encore, debout, sans bouger, et je constate que son regard balaye tous les espaces jusqu'au moment ou elle m'aperçoit sur l'autre quai. Je constate immédiatement un léger sourire sur ses lèvres.
Mais qui est S…, que fait-elle là ?, qu'attend-t-elle ?
S… est une belle femme, d'allure BCBG, la cinquantaine, en fait, une belle bourgeoise mariée à un homme, chef d'entreprise, très pris par son métier et de fait, très éloigné des souhaits et des préoccupations de sa femme.
J'ai fait la connaissance de S… lors d'une soirée VIP. Elle était belle et rayonnante dans sa petite robe rouge qui mettait son corps bien en valeur. Durant le cocktail nous avons fait plus ample connaissance et nous avons commencé à parler de nos vies de couple, puis un peu plus tard, l’alcool aidant, de nos plaisirs et de nos fantasmes respectifs.
S… m'expliquait qu'elle n'était pas malheureuse dans sa vie de couple mais délaissée et frustrée dans sa vie sexuelle. De mon coté je lui disais que moi aussi j'étais heureux de mon mariage mais, comme elle, frustré.
Je lui expliquais que j'adore les relations, librement consenties, entre une personne soumise et son dominateur, et que mon épouse ne partageait pas ces plaisirs. Je lui indiquais que j'avais eu quelques expériences dans ce domaine… dans une première vie… et que j'étais à la recherche d'une personne complice souhaitant découvrir ces plaisirs si particuliers et tellement sulfureux ou, une personne ayant déjà goûté à ce type de relations et voulant y revenir.
Le fait de lui dévoiler mes fantasmes et plaisirs « secrets » n'ont pas laissé S… insensible du tout.
J'ai remarqué que le visage de S… avait commencé à rougir. Très vite elle m'expliquait qu'elle aussi avait ce genre de fantasme et qu'elle rêvait de découvrir les plaisirs et les sensations de la soumission. Immédiatement elle m'indiquait qu'elle n'avait aucune expérience et qu'elle ne souhaitait, en aucun cas, mettre en danger sa vie de couple… Nous avons échangé nos n° de téléphone puis nous nous sommes quittés. Par la suite nous avons beaucoup échangé par téléphone, et nous nous sommes retrouvés plusieurs fois pour apprendre à mieux nous connaître avant de décider de franchir une étape.
… cette étape se concrétise par la présence de S… sur le quai de la gare…Quatre jours avant, je lui ai envoyé un courrier dans lequel il y avait un billet de train, aller simple de Mulhouse à Colmar, et un courrier.
Ce dernier précisait, non seulement, le jour et l'horaire du train à prendre, mais également donnait certaines consignes quant à la tenue à porter. Il faut précisé que ce courrier ne contenait aucun ordre… mais une injection forte à répondre à l'attente de son interlocuteur. Il était précisé qu'elle était libre de se déplacer ou pas, avait également la consigne de ne plus m'appeler et que la suite de notre histoire, ou non, était liée à cette rencontre..
Autant vous dire que, même si j'étais assez confiant, je me demandais, quand même, si elle allait répondre à mon « invitation »…
Inutile de vous dire que j'étais rassuré et heureux d'apercevoir S…, debout sur le quai d'en face. Elle ne bougeait pas, sa silhouette était superbe. Elle portait un imperméable en vinyle noir qui s’arrêtait juste au dessus de ses genoux, ses jambes étaient gainées d'une paire de bas coutures et rehaussées par le port d'une paire d'escarpins à talons hauts.
Sans tarder je me suis levé et j'ai changé de quai pour rejoindre S… qui était toujours debout et qui n'avait pas bougé. En m'approchant j’aperçus avec satisfaction que S… portait autour de son cou un foulard rouge. Nul doute, elle avait respecté les consignes écrites dans le courrier. Elle semblait radieuse, heureuse d’être là maintenant à mes cotés… mais également légèrement tendue.
Nous échangeons un tendre baiser et puis nous avons quittons le quai pour rejoindre le hall de la gare. Pour ce faire, nous descendant sous les voies... dans le passage souterrain. C'est le moment que je choisis pour demander à S… de s’arrêter et d'ouvrir les pans de son imper… S… s’arrête et je la sens hésitante. Celle-ci me demande si c'est un ordre… je lui réponds que oui et j'attends l'exécution immédiate de cet ordre. S...qui commence vraiment à rougir jette un coup d’œil autour d'elle. Elle constate qu'il n'y a personne et elle ouvre un à un les boutons de son imper… elle met du temps à écarter les pans de celui-ci… je lui rappelle que si elle est là c'est pour débuter, librement, son éducation de femme bourgeoise et BCBG soumise… et qu'elle peut encore refuser d'exécuter cet ordre… S… est maintenant toute rouge, elle écarte largement les pans de son imper…je constate à ce moment précis que S… a exécuté les consignes indiquées sur le courrier : elle se dresse devant moi, son corps et quasiment nu, il est orné, « recouvert » d'un ensemble de lingerie fine en dentelles noires : un soutien gorge, un string et un porte-jarretelles… je la félicite d'avoir répondu à mes attentes et je la complimente sur la beauté de son corps. Je l'autorise à refermer son imper et je lui demande de me donner son foulard rouge qui entoure encore son cou.
Nous quittons le hall de la gare et nous allons nous installer dans un salon de thé huppé.
Nous commandons nos boissons et je sens S… soulagée et rassurée. Il semble qu'elle prend conscience qu'elle vient de franchir une étape et que son éducation de femme soumise vient concrètement de débuter. Je sens qu'une réelle complicité s'installe et S… est un peu plus décontractée. Elle fait attention à ces attitudes et faits et gestes afin de ne pas dévoiler son corps superbement dévêtu… sous son imper. C'est le moment que je choisi pour lui donner un petit paquet que je pose sur la table. J'indique à S… que c'est un cadeau. Radieuse, elle ouvre le paquet et découvre dans celui-ci un collier en cuir, noir, avec un anneau central… il n'est pas extrêmement large mais il ne laisse aucune ambiguïté quand à son utilisation. L'ordre fuse immédiatement : je demande à S… de le placer autour de son cou… je sens S… déstabilisée, ce qui me plaît bien… c'est hésitante et le plus discrètement possible qu'elle le place autour de son cou… Cinq minutes plus tard, je donne à S… un nouvel ordre : je lui demande d'aller aux toilettes pour ôter son soutien gorge et son string et de me les ramener et les tenant dans sa main…S… à ce moment précis se rebelle et elle me dit qu'elle ne peut faire cela et qu'elle ne va pas obéir… Immédiatement je lui répond que je suis d'accord, que je vais régler la note et que je la ramène chez elle sachant que notre histoire va s’arrêter là… le regard de S… se fige. Elle me demande pardon et sans rien dire, elle se lève et se dirige vers les toilettes du salon de thé. De longues minutes s’égrainent avant que je n'aperçoive S… revenir vers notre table. Elle marche très rapidement, elle est toute rouge et essaie de cacher, dans sa main, les sous-vêtements qu'elle vient de retirer. Elle me demande d »accepter qu'elle les déposer dans son sac… ce que je refuse… et lui ordonne de les poser sur la table… S… s'exécute… je lui demande pourquoi elle a mis autant de temps pour revenir et là elle me dit que la situation la trouble énormément qu'elle se sent gênée et paradoxalement excitée par cette situation… elle m'avoue même qu'elle avait des papillons plein le ventre et qu'elle n'a pas pu s’empêcher de glisser deux doigts entre les lèvres de son sexe qu'elle a commencé à se caresser et que sa petite chatte est trempée…Je lui précise que je suis, partiellement, satisfait de son comportement de soumise débutante en précisant qu'a partir d'aujourd'hui elle n'aura pas le droit de se caresser sans mon autorisation.
En même temps je place son soutien gorge et son string bien en évidence sur la table et j'appelle la serveuse pour que S… règle l'addition… (une petite précision : c'est moi qui lui ai donné l'argent pour régler la note, mais j'ai souhaité que se soit elle qui paie la note…)Le regard de la serveuse, qui a vu la lingerie sur la table, est soutenu et à ma grande surprise cette dernière précise à S… qu'elle ne doit oublier ce qui est sur la table…Nous quittons le salon de thé et nous nous dirigeons vers ma voiture… pour une retour chaud...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai lu toutes les douzes épisodes et je suis très content. Surtout, parce qu'il s'agit d'une vrai bourgeoise, comme on a rendez-vous avec, et le déroulement est réaliste.
La gare de Mulhouse, une trouvaille.
La gare de Mulhouse, une trouvaille.