Elise libertine 1 – (les prémisses) - histoire érotique

Moi c’est Alan je propose de vous narrer les aventures de mon épouse et sa transformation en libertine.
En 1972 mon premier poste professionnel me conduit en Lorraine et me contraint à prendre une chambre sur place et pour occuper mes soirées je fréquente assidument le cinéma local où la placeuse Elise jeune fille d’un an ma cadette (1m55 Yeux rond marron cheveux châtain-clair Belle poitrine 85B) coquette au regard espiègle attire mon attention. Elle prend l’habitude de me placer dans un coin discret au fond de la salle où elle me rejoint pendant le film. A la fin de la séance je la raccompagne chez elle. Un an plus tard nous sommes mariés. Nous vivons pleinement notre union, une vie sexuelle normale et deux enfants viennent agrandir la famille.

Quelques années plus tard une mutation professionnelle doit nous envoyer dans le centre de la France. Peu avant notre départ nous avons invité à diner un collègue black antillais J-C et son épouse Grace grande brune italienne. Après un apéritif prolongé le repas arrosé se termine vers 23h. Nous passons au salon pour le café les femmes décident de finir la soirée par l’essayage de vêtements. A l’époque des minijupes cela devient rapidement de l’exhibition lors du défilé devant deux males très excités dans le salon les sifflets et commentaires vicieux fusent puis des caresses de plus en plus précises. J’attire Grace sur mes genoux et l’embrasse sur la bouche. Elise enlace J-C et l’entraine dans la chambre pour baiser. Sur la banquette Grace et moi sommes rapidement nus. Elle suce longuement ma verge tendue pendant que je lui suce et lui doigte la chatte. Je ne peux me retenir plus longtemps et me vide dans cette bouche qui se régale de ma liqueur. La Milanaise redonne rapidement de la vigueur à mon appendice puis se positionne au bord du canapé pour que je l’enfile tout en lui astiquant le clito elle jouit bruyamment Alors que nous allions nous diriger vers la chambre Elise et J-C revenaient le sourire aux lèvres pleinement satisfaits de leurs étreintes.
J’avoue à ma bienaimée que cette première aventure me laisse un peu frustré car je ne l’ai pas vu prendre son pied.
En arrivant en région centre nous logeons dans une petite maison près de mon nouveau lieu de travail, Patrick un Collègue passe de temps en temps prendre un verre.
Un soir en rentrant à la maison je trouve Elise d’humeur coquine et vêtue d’une minijupe à carreaux et d’un corsage léger sans sous vêtement. Mon collègue Patrick arrive à l’improviste pour me laisser un dossier. Ma femme l’accueille et l’invite à me rejoindre sur la large banquette du salon. En me rejoignant il flatte Elise sur sa tenue, je remarque qu’il dévore et déshabille mon épouse du regard. Elle dépose sur la table basse trois verres que je remplis généreusement puis elle s’assied entre nous pour trinquer. Après plusieurs apéritifs bien servis l’euphorie s’installe, nous devenons plus tactiles et l’ambiance devient plus érotique.
Tout en discutant ma compagne pivote et s’allonge la tête sur mes cuisses, les jambes légèrement pliées et les pieds nus sur les genoux du visiteur. Celui-ci qui raconte un récent fait divers commence machinalement à masser les pieds posés sur ses genoux. Peu à peu son regard court sur les cuisses largement découvertes de l’allumeuse .les massages deviennent plus insistants les mains remontent des pieds vers les mollets puis les cuisses qui progressivement s’ouvrent. Il ne peut que constater l’absence de sous vêtement et apercevoir la chatte poilue. De ma main posée sur sa poitrine je caresse les seins fermes et fait saillir les tétons sous le tissu léger du corsage. Nous sommes tous les trois excités par la situation.
-La coquine, qui de son pied tâte la bosse qui se forme dans le pantalon de Patrick, me regarde en souriant : Alan Je sens comme une raideur !
-Lui : ce doit être la chaleur de tes pieds !
-moi : tu prends des risques !
-Elle : j’espère bienPatrick comprend le signal il glisse ses mains vers l’entrejambe de la belle.
Il commente : « Elle mouille la salope » ses doigts glissent sur les lèvres humides et stimulent le clito de la coquine. Ses doigts inquisiteurs pénètrent la boite à plaisir pour la branler.
Ma main glisse sous le corsage le retire et offre la poitrine provoquante aux regards et aux caresses.
Ma chérie sort ma bite tendue de mon short et tourne la tête pour poser ses lèvres sur le gland, sa langue lèche la tête de mon dard sa bouche gourmande avale et suce la tige entière. Les cuisses écartées elle expose son intimité humide comme un appel.
Le collègue vient brouter le minou généreusement offert puis il sort son sexe bien raide à l’étroit dans son pantalon. Elise attrape le membre entre ses pieds commence à le branler.
Après quelques minutes la belle très excitée mouille de plus en plus, elle se redresse et dit : je n’en peux plus venez dans la chambre éteindre l’incendie que vous avez allumé mes salops.
La gourmande s’assied sur le bord du lit saisit la trique de mon pote. De la langue elle parcourt la verge bandée suce le gland puis l’engin tout entier avec gourmandise. Le copain la couche sur le dos t lui branle la chatte avec deux doigts le pouce jouant avec le bouton turgescent de l’audacieuse. Il prend la direction des opérations la positionne à quatre pattes et lui lance: - suce Alan je m’occupe de ta fente petite salope De la main il guide son chibre vers le trou humide de la petite excitée qui attend de se faire prendre. Il l’enfile d’un coup et la lime avec vigueurElle prend ma queue au fond de la gorge à chaque poussée.
Elle soupire d’aise et encourage son baiseur à chaque coup de boutoir : plus fort bourre moi bien à fond j’aime sentir ton ventre frapper mes fesses.
Patrick laboure longuement la vicieuse. « Je vais jouir et t’envoyer ma purée au fond de la chatte petite pute ». Le limeur se vide de sa semence en même temps qu’elle se met à jouir en criant : « ouiiiii remplis moi de ton jus mon salop» Élise s’écroule se met sur le dos et me dit « vient ». Je plante ma queue toujours raide dans la moule dégoulinante de sperme et de cyprine et je pilonne à mon tour la boite à plaisir en pivotant pour faire passer ma compagne au-dessus de moi. Elle se met à frotter son clito sur mon pubis j’éjacule à mon tour et elle part dans une nouvelle jouissance.
Elle se soulève, ma queue quitte la moule et le mélange des deux spermes et de la cyprine s’écoule sur mon bas ventre. Après un passage à la salle d’eau pour un nettoyage rapide nous prenons un verre avant de libérer notre visiteur.
En partant Patrick me dit : Elise est un sacrée cochonne et elle est gourmande on recommence quand vous voulez.
Nous l’avons reçu deux ou trois fois pour des soirées torrides. Ayant découvert mon côté candauliste c’est depuis que j’encourage mon épouse au libertinage avec l’aide de complices c’est une histoire à suivre…….