Elise libertine 40 Week-end à la ville rose
Récit érotique écrit par Jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2021 dans la catégorie Plus on est
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Elise libertine 40 Week-end à la ville rose
Nous continuons le récit de nos aventures. Élise mon épouse est hypersexuelle et moi Alan candauliste. Dans ce récit à la demande de notre partenaire son prénom est changé en Éric Mi-avril 2004 Élise et moi décidons d’aller passer le WE de pâques dans la ville rose. Le vendredi 16 avril matin nous chargeons ma voiture je conduis Élise à son travail puis je vais à mon bureau. Vers 16h30 je passe chercher mon épouse et nous partons direction Toulouse. Vers 20 heures nous arrivons à notre hôtel rue Pauilhac nous y déposons nos bagages et partons à pieds diner à l’Entrecôte. A l’issue du diner nous rentrons à l’hôtel non sans faire un détour par un sexshop quartier de la gare mais il n’y a rien d’intéressant. Nous rentrons à l’hôtel nous en discutons avec le réceptionniste il nous montre sur le plan l’itinéraire pour rejoindre la place du capitole et note d’une croix l’adresse d’un magasin de vêtements sexy et érotiques dans une petite rue.
Après une nuit réparatrice nous descendons prendre le petit déjeuner vers 8h00 après je sors de l’hôtel et constate qu’en ce début d’avril même si le soleil est présent la température est encore fraiche j’en fais part à Elise pour qu’elle adapte sa tenue. Pour moi un pantalon noir une chemise blanche et un pull gris feront l’affaire.
Élise décide d’abandonner l’idée d’une robe légère et opte pour un pull blanc maille fine col en V, qui dessine fort bien sa poitrine, et un tailleur pied de poule en laine la jupe est droite et courte, la veste cintrée est très décolletée. Elle s’abstient de porter des sous-vêtements mais enfile des bas autofixants voile noir et des escarpins noirs. Le tout la rend à la fois sexy et classe.
Vers 10h00 nous rejoignons la place du Capitole pour prendre un café avant de faire quelques achats dans les magasins des rues adjacentes. A midi nous déjeunons en terrasse en bordure de la place du capitole Élise attire les regards sa veste ouverte laisse jaillir ses seins arrogants sous le lainage blanc, sa jupe est remontée haut sur ses cuisses à la limite de la bordure de ses bas. Elle s’en amuse beaucoup.
Vers 14h00 pour rentrer à l’hôtel je regroupe nos achats dans un seul sac. Sur le chemin du retour Élise suggère : « Alan ! Si nous passions à la boutique sexy que le réceptionniste nous a conseillé. » Connaissant son goût pour tout ce qui est vêtements coquins et étant le premier à en profiter je ne peux qu’être d’accord. Nous faisons le petit détour et découvrons une boutique isolée dans cette petite rue. A l’intérieur de la boutique tenue par un homme il y a un large choix de vêtements sexy aussi bien pour homme que pour femme.
Ma chérie ne sait où donner de la tête elle choisit plusieurs articles tous plus hot les uns que les autres elle demande à les essayer l’homme indique une large cabine d’essayage. Elle y pénètre et laisse le rideau ouvert pour s’exhiber mais aussi afin que je puisse la voir. Elle retire sa veste son pull et sa jupe et se retrouve nue avec seulement ses bas et escarpins. Elle enfile la première une minirobe moulante bleu électrique brillant un décolleté s’arrêtant à la limite des tétons avec un laçage de chaque côté la robe s’arrête au ras du pli des fesses. Après s’être admirée dans le miroir elle la retire. A aucun moment l’homme ne quitte sa caisse sur le comptoir près de l’entrée Un homme type latin, brun à la peau mate environ 35 ans 1m90 avec une carrure de rugbyman, vient d’entrer dans le magasin et cherche parmi les vêtements masculins tout en regardant Élise qui vient de retirer la robe et ne cache rien de son anatomie. Elle enfile une seconde robe courte noire en voile avec des bandes en diagonale plus opaques, laissant bien visible un sein est une partie de sa chatte le dos est totalement en voile.
Tout en regardant ma femme l’homme prend à la main trois articles sur cintre Il s’adresse à moi :« Votre amie est ravissante je suppose que ce genre de robe, qui lui va si bien, est pour des soirées libertines. »Moi : «c’est mon épouse et effectivement c’est pour des soirées chez nous, chez des amis ou en club. » Lui : «Bonjour madame ! Cette robe vous va très bien vous êtes très belle. »Elle : « c’est gentil à vous je m’appelle Élise vous resterez bien pour donner votre avis n’est-ce pas Alan ? »Moi : « pourquoi pas, un avis n’est jamais de trop. »Lui : « avec joie, je m’appelle Éric. J’ai également trouvé quelques articles pour moi pour aller en club »Élise tout en retirant sa robe: « enchantée Éric ! » Lui : « quand vous aurez fini je prendrai votre place dans la cabineÉlise : « venez la cabine est suffisamment grande pour deux, vous me donnez votre avis et moi je vous donne le mien»Lui : « merci mais je ne veux pas déranger j’ai tout mon temps je peux attendre»Élise : « si je vous le propose vous ne nous dérangez pas, venez ne faisons pas de manières »Lui : « si vous insistez ».
Il entre dans la cabine se déshabille à son tour pendant qu’Élise enfile une tunique filet de pêche rouge avec un short en simili noir. Éric tourne le dos à mon épouse pour passer un le short en voile et un teeshirt en maille mais le miroir est du côté de ma coquine.
Elle : « regardez-vous dans le miroir je vous dis ce que j’en pense et vous faites de même pour moi »Éric se retourne son regard se pose sur ma moitié « Élise un rien vous habille »Élise a le regard comme hypnotisée sur le shorty en voile qui laisse voir au repos le sexe hors norme d’Éric.
Elle : « je peux dire que le shorty te va et je constate qu’il est plutôt bien rempli » Lui : « merci passons au suivant »Pendant qu’Éric passe un short en latex, Élise passe une minirobe de mousseline blanche avec un large décolleté et fendue sur chaque cuisse jusqu’à la taille. Lorsqu’ils se font face les yeux d’Élise se posent sur le service trois pièces d’Éric. Lui regarde la coquine dont la robe tient plus de la nuisette que de la robe de soirée.
J’observe Élise qui est comme une lionne qui meurt de faim. Elle le fixe dans les yeux, elle s’approche de sa proie et pose ses mains sur le sexe qui commence à grossir et se redresser sous le latex.
Elle : « quelle belle promesse que cette bite de taille inhabituelle je peux» elle tend la mainEn baissant son short: « bien sûr 25 cm par 5.5 pour vous servir »Elle s’agenouille et en soupesant les couilles elle prend en bouche le gland qui continue de grossir.
Élise se redresse : « si j’ai bien compris tu as du temps que dirais tu de venir à notre hôtel ? N’est-ce pas chéri ? »Moi : « bien sûr je vois que tu en as très envie, Éric si cela vous dit d’honorer cette gourmande ! » Éric : « ce sera un plaisir de lui faire goûter à ma queue »Cette décision met fin aux essayages ils se rhabillent tous les deux Élise prend la robe bleu que je règle en sortant et c’est accompagnés d’Éric que nous rejoignons notre hôtel. En marchant il nous confesse avoir remarqué Élise et soupçonnait qu’elle ne portait pas de culotte. Nous voyant avec le plan il nous a suivis depuis la place du capitole espérant trouver un prétexte pour aider deux touristes. Finalement cela fut plus simple qu’il ne l’avait pensé.
Arrivés dans notre chambre Élise disparait dans la salle d’eau pour se rafraichir, il est un peu plus de 15h00 Éric : « cela ne vous pose pas de problème que je m’occupe de votre dame ? »Moi : « non, au contraire j’adore voir ma femme jouir avec d’autres partenaires »Lui : « est-ce que vous participez ou êtes-vous seulement spectateur »Moi : « je participe rarement sauf à la demande d’Élise et du partenaire, le plus souvent je regarde et si vous l’acceptez je prends quelques photos »Lui : « pour moi pas de problème si c’est pour votre seul usage. Votre épouse a-t-elle des préférences. »Moi : « elle aime pratiquement tout sauf la violence excessive elle adore les rapports virils quand un homme lui donne du plaisir et elle sait se faire comprendre si cela va trop ou pas assez loin.
C’est à ce moment qu’Élise apparait dans la chambre nue chaussée de ses escarpins, elle s’approche du lit dégage la couverture et le drap s’assied, attire notre invité et elle défait la ceinture du pantalon qu’elle descend en même temps que le caleçon libérant ainsi le membre convoité.
Éric retire son pull exhibant son torse musclé puis son pantalon dont il extrait plusieurs préservatifs qu’il pose sur la tablette près de la tête de lit, la coquine se colle à lui et sa bouche et sa langue vienne lécher les tétons et le torse de celui qui va être son amant cet après-midi. Le rugbyman la prend dans ses bras et la lève comme un fétu de paille, elle parait si fragile entre les bras musclés elle s’accroche à son cou leurs bouches se joignent pour un baiser fougueux.
Il la pose sur le lit puis se place entre les jambes ouvertes de la coquine, sa bouche se pose sur le sexe féminin et butine la fleur qui commence à libérer son nectar.
Les mains de ma femme caressent les cheveux de son amant et lui demande de se mettre en 69 afin de pouvoir le sucer. L’homme pivote lui offrant ainsi une verge bien bandée arquée vers le bas dont la grosseur et surtout la longueur sont si exceptionnelles que la gourmande à bien du mal à la sucer. Cependant, bien qu’elle ne puisse l’avaler en entier, elle ne laisse pas sa part et se délecte de cette gourmandise dont elle attend beaucoup.
Les mains d’Éric écartent les grandes et petites lèvres de la vulve pour glisser sa langue dans le vagin puis va lécher le petit anneau brun avant de revenir suçoter le clitoris. Il se redresse pivote sur le côté privant la gourmande de sa sucette. Mais il en profite pour introduire plusieurs doigts dans le vagin sa paume venant frapper le bouton dressé à chaque pénétration de ses doigts dans la chatte trempée de désir.
Élise apprécie la caresse et encourage son partenaire : « oui branle moi plus fort »Éric embrasse mon épouse puis tout en continuant de lui doigter la chatte sa bouche s’empare d’un sein et son autre main malaxe le second en pinçant le téton dressé il conduit ainsi ma belle vers la jouissance.
Élise : « ouiiiiiiiiiii je jouiiiiiii…oooohlala ! c’est bon ! »Éric retire sa main du sexe qui vient de laisser jaillir la liqueur de plaisir et la porte à sa bouche pour y goûter tout en caressant la joue d’Élise. Il lui demande : « cela t’a plu ? Prête à prendre ma queue ? »Élise toujours couchée: « bien sûr j’ai hâte de te sentir en moi, mets-moi ta queue j’en ai envie depuis que je l’ai vue »Éric prend les chevilles d’Élise les pose en appui sur son torse, les jambes se plient d’une main il guide sa mentule couverte vers la crevasse humide. Lentement il plonge dans le sexe jusqu’à s’y loger presqu’en entier.
La libertine exulte de plaisir être ainsi remplie la comble de bonheur « oooh ! oui ! oh ! Quelle bite ! Baise-moi»Le gars se lance, tel le marteau piqueur son braquemard frappe dans le vagin distendu. Surveillant les réactions de ma femme il est attentif à ses gémissements, ses onomatopées il est à la fois fougueux et tendre il l’embrasse soucieux de son plaisir il lui demande : « tu aimes ? Tu veux plus fort ? Dis-moi ce que tu veux ».
Elle : « baise moi plus fort défonce moi je suis une salope qui aime se faire bourrer et jouir avec des grosses queues »Éric se laisse emporté par les suppliques de sa partenaire il la perfore de plus en plus fort il a compris que la tendresse n’est plus de mise il se redresse un peu prenant la dissolue par les hanches il l’empale de plus en plus violemment sur son mandrin. Au fur et à mesure ma femme sent venir le plaisir.
Il n’hésite plus et lui dit : « T’aimes ça petite salope ! ça te plait de te faire défoncer par mon gros zob ? »Elle : « oui plus fort j’aime que ta bite me défonce la chatte ouiii je viens ! Je jouis ouah ouiiiii ouiiiii ! »Devant cette jouissance dans un ouiii guttural Éric éjacule dans son préservatif avant de sortir du douillet étui et je peux constater que la quantité de sperme est importante. Il retire le préservatif le pose dans le cendrier et s’allonge à coté de mon épouse tout en caressant son corps. Les deux amants s’embrassent et récupèrent de l’intensité de cette jouissance commune.
Élise se remet peu à peu et tend le bras pour se saisir de la verge à peine ramollie. Elle entreprend de branler son amant pour lui redonner vigueur avant de lui prodiguer une fellation qui donne une rigidité nouvelle à cette bite de fort gabarit. Une fois le mât dressé elle enjambe le corps de son amant pour se placer au-dessus de l’énorme appendice et lentement elle se laisse glisser sur ce pic qui finit par disparaitre lorsqu’elle arrive au contact des cuisses de son partenaire. Elle se baise elle-même sur le braquemard de son amant.
Éric la désarçonne et en un mouvement de bras la positionne à quatre pattes, il se redresse se met derrière elle et la prend en levrette son chibre entre facilement dans la chatte encore toute lubrifiée. Il la baise longuement. Élise enchaine deux orgasmes avant que son amant éjacule pour la seconde fois.
Élise s’écroule et se retrouve sur le dos les jambes écartées offerte, elle regarde son amant qui change de préservatif. Il se place à genou entre les cuisses ouverte saisit les jambes posent sur ses épaules pour approcher la chatte de sa verge qui bien que manquant encore de rigidité trouve sa place dans grotte intime de mon épouse. Il reprend lentement le va et vient dans le fourreau jusqu’à ce qu’il ait retrouvé sa vigueur maximale. Il la baise ainsi pendant quelques minutes ce qui a pour effet de réveiller les sens de la coquine.
Élise : « oui baise moi encore et encore, j’aime sentir ta bite aller et venir en moi »Lui : « et maintenant veux-tu que je t’encule ? Je te promets de faire doucement si tu as trop mal tu m’arrêtes, toutes les femmes n’acceptent pas un morceau comme le mien.
Elle : « si tu savais tout ce que mon cul a pris ! Tu peux y aller mais prépare moi bien »Éric ne se fait pas prier il pousse du bout des doigts un peu de liqueur qui coule de la chatte vers les fesses d’Élise. Il en badigeonne le petit œillet qui lentement se détend et s’offre à l’investigation des doigts. Lorsqu’il estime sa cible prête il retire sa bite du con brûlant et humide, posa le gland face au petit anneau brun. Lentement il pousse guidant son braquemard de la main. Élise grimace un peu en sentant l’orifice étroit s’ouvrir sous la pression.
« Ça va tu as mal tu veux que j’arrête »Elle : « non continue doucement laisse mon petit trou s’habituer »Le chibre poursuit sa progression et lentement s’enfonce dans le conduit intestinal centimètre par centimètre mais dans cette position ils ne se sentent pas très à l’aise. Éric se retire et avec une facilité déconcertante ses bras soulèvent Élise comme une plume pour la positionner à quatre pattes. Il se redresse place ses pieds à coté de chaque genou de mon épouse et lentement il plie ses jambes pour que son braquemard retrouve sa place dans l’entrée des artistes. Sa queue est presque verticale elle disparait entièrement dans le fondement de ma cochonne. Son amant l’encule à présent lentement avec douceur Élise apprécie le traitement : « oh qu’elle est grosse et longue défonce moi le cul avec ton pieu n’hésite pas plus fort »Lui : « salope tu aimes te faire ramoner le cul par ma grosse queue comme une chienne »En conservant un pied de chaque côté il monte et descend de plus en plus vite son chibre entre et sort totalement à une cadence infernale à chaque coup de bite ses couilles s’écrasent sur le périnée de ma femme.
Elle : « oui j’aime sentir ta bite entrer et sortir de mon cul continue je vais jouir ! Alan vient m’astiquer le clito » Je me place à coté et glisse ma main sous le ventre de ma chérie et je lui branle le bouton. Elle est déjà tellement près de la jouissance avec la matraque d’Éric qu’il suffit que je la branle une trentaine de secondes pour qu’elle soit emportée par un violent orgasme qui se déclenche simultanément dans son cul et sa chatte. Elle coule littéralement le long de ses cuisses et sur le drap.
La jouissance a été tellement forte qu’Élise est comme apathique, son corps est comme inerte elle est en état de semi conscience. Elle reste sur ses genoux uniquement grâce à Éric qui la tient par les hanches.
Éric en me regardant : « hé bien quand elle jouit elle ne fait pas semblant » Après quelques instants elle tourne la tête vers moi et semble sortir de sa torpeur.
Moi : « je crois que tu vas pouvoir reprendre elle revient parmi nous cela va la réveiller et relancer la machine.
Lentement Éric reprend la sodomie Élise se redresse peu à peu et d’elle-même va à la rencontre du pieu qui s’introduit en elle toujours aussi profondément. La cadence s’accélère les deux amants ont retrouvés l’énergie du début de cette sodomie.
Ma moitié me sourit en hochant la tête signe de son approbation et du plaisir qu’elle prend elle m’adresse un baiser avant de fermer les yeux et dit : « Éric continue plus fort comme tout à l’heure je sens que je vais partir encore. » Éric : « c’est OK je te préviens je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps comme ça. »Le queutard sort et entre de plus en plus vite par l’entrée des artiste et à ce régime ma bien aimée est emportée par un nouvel orgasme « ouiiiiii Éric vient oooohh ouiiiiiiiii »L’étalon qui se retenait depuis un moment se libère enfin dans son préservatif en poussant un ouaiaiais guttural. Les deux amants basculent sur le côté tout en restant soudés.
Blottie entre les bras d’Éric qui la caresse tendrement Élise les yeux fermés savoure ce moment de plénitude puis tourne la tête pour embrasser son amant. Au bout de quelques minutes Éric retire sa queue ramollie du fondement de l’intrépide baiseuse et se débarrasse du préservatif garni.
Élise me sourit en me faisant un clin d’œil puis se tourne face à son beau brun. Elle l’embrasse en le caressant et sa bouche descend sur son torse en l’embrassant jusqu’à la queue ramollie. La gourmande embouche l’organe pour lui redonner vigueur Éric apprécie la caresse sa queue retrouve vite sa taille et sa rigidité maximales. La gourmande est heureuse de l’efficacité de sa fellation.
Elle demande : « Éric ça te plairais qu’Alan vienne te sucer avec moi »Lui : « pas de souci pour moi si ça vous plait » Je rejoins mon épouse pour partager sa gourmandise tour à tour nous suçons et léchons la verge gonflée et les joyeuses ne sont pas oubliées. Après plusieurs minutes de ce traitement nous sentons le bandeur se tendre en le regardant nous le voyons fermé les yeux pour mieux profiter des caresses que nous lui prodiguons il n’est pas loin de ses limites. Il se redresse et se met à genoux.
Éric : « je ne vais pas tarder à jouir j’ai envie d’arroser le visage d’Élise je peux ? »Moi : « ne te gêne pas elle adore cela »Je laisse ma moitié finir le travail, sa bouche se montre très efficace car moins de 30 secondes plus tard Éric prend son sexe à pleine main, sort le grand chauve de la cavité buccale et crache son jus sur le visage d’Élise, la première giclée s’écrase sur son front et ses cheveux la seconde arrose sa face du nez au menton. Éric termine en plongeant son gland dans la bouche ouverte de la goulue pour y déverser le reste de son sperme.
Élise se fait un devoir d’extraire les dernières gouttes et de tout avaler avant de nettoyer de la langue le chibre de son amant.
Elle : « merci pour l’offrande, tu avais de sacrées réserves. Alan veux-tu m’aider à nettoyer mon visage de cette liqueur d’amour ? »Je commence à lui lécher le front, de son côté avec ses doigts elle récupère ce qu’elle peut avant de sucer ses doigts avec gourmandise. Je fini en lui léchant le visage avant que nos bouches se soude dans un baiser.
Je vais dans la salle d’eau me rafraichir avant de m’habiller pour descendre chercher des boissons au bar de l’hôtel. A mon retour je trouve mon épouse blottie entre les bras musclés de son étalon. Les deux amants discutent en échangeant des caresses.
Nous buvons nos rafraichissements et parlons d’Élise, d’Éric, de moi et de Toulouse pendant un long moment.
Élise : « ce n’est pas le tout de papoter mais il faudrait peut-être s’occuper de moi maintenant ! »Éric me regarde : « elle sait ce qu’elle veut la mignonne ! À vos ordres madame ! » Éric se penche sur l’entrejambe sa bouche se délecte de la chatte de l’impatiente moi de ses seins et sa bouche. Ma dulcinée ne tarde pas à nous faire savoir qu’elle est de nouveau opérationnelle.
« Éric tu te sent prêt à me baiser une nouvelle fois »Lui : « « il te suffit de regarder ma bite, le cobra est dressé prêt à donner l’estocade vient t’assoir dessus»L’audacieuse enjambe le corps du coquin et se laisse glisser sur le mât dressé et se baise elle-même l’ondulation de ses hanches lui permet de stimuler son clitoris déjà durci suites aux caresses de son amant du jour. Entre ses ondulations elle monte et descend sur le pivot de la joie. Parfois elle se penche pour embrasser le plaisant avant de s’activer à nouveau sur le braquemard qui la possède.
Quand elle se sent suffisamment excitée sur le chemin de la jouissance et consciente de ma difficulté à retenir ma jouissance elle me demande : « Chéri viens me prendre par derrière »Elle se penche sur le buste de son amant et l’embrasse avec passion afin de me faciliter l’accès à sa rondelle. Son cul ayant eu la visite du braquemard d’Éric Je n’ai aucune difficulté à la sodomiser avec ma petite queue. Je n’ai pratiquement pas besoin de bouger car Éric s’est mis en mouvement tout en serrant la moitié dans ses bras. Par de violents coups de reins il baise la charnelle qui peu à peu annonce l’arrivée de son plaisir. Nous arrivons pratiquement tous les trois simultanément Je me retire, Élise reste un moment allongée sur Éric dont la queue n’a pas quittée sa chatte mais quand elle bascule sur le côté pour libérer son amant il se lève et demande : « je peux prendre une douche avant de partir ? »Élise : « bien sûr mais tu veux déjà partir il n’est que 18h30»Éric : « je resterais bien mais j’ai rendez-vous avec des amis et je dois les prendre chez eux à 19h00 »Élise : « c’est dommage mais merci quand même pour cet après-midi tu me laisseras ton 06 »Il prend sa douche s’habille et échange son numéro avec celui d’Élise avant de partir. Il nous quitte en nous remerciant et dit à Élise combien il a aimé la baiser.
Après son départ ma femme et moi prenons notre douche avant d’aller se faire un petit restaurant et avons terminé la soirée par une petite séance de cinéma avant de rentrer à l’hôtel pour la nuit.
Nous sommes rentrés la dimanche ravis de notre week-end prêt à vivre de nouvelles aventures………..
Après une nuit réparatrice nous descendons prendre le petit déjeuner vers 8h00 après je sors de l’hôtel et constate qu’en ce début d’avril même si le soleil est présent la température est encore fraiche j’en fais part à Elise pour qu’elle adapte sa tenue. Pour moi un pantalon noir une chemise blanche et un pull gris feront l’affaire.
Élise décide d’abandonner l’idée d’une robe légère et opte pour un pull blanc maille fine col en V, qui dessine fort bien sa poitrine, et un tailleur pied de poule en laine la jupe est droite et courte, la veste cintrée est très décolletée. Elle s’abstient de porter des sous-vêtements mais enfile des bas autofixants voile noir et des escarpins noirs. Le tout la rend à la fois sexy et classe.
Vers 10h00 nous rejoignons la place du Capitole pour prendre un café avant de faire quelques achats dans les magasins des rues adjacentes. A midi nous déjeunons en terrasse en bordure de la place du capitole Élise attire les regards sa veste ouverte laisse jaillir ses seins arrogants sous le lainage blanc, sa jupe est remontée haut sur ses cuisses à la limite de la bordure de ses bas. Elle s’en amuse beaucoup.
Vers 14h00 pour rentrer à l’hôtel je regroupe nos achats dans un seul sac. Sur le chemin du retour Élise suggère : « Alan ! Si nous passions à la boutique sexy que le réceptionniste nous a conseillé. » Connaissant son goût pour tout ce qui est vêtements coquins et étant le premier à en profiter je ne peux qu’être d’accord. Nous faisons le petit détour et découvrons une boutique isolée dans cette petite rue. A l’intérieur de la boutique tenue par un homme il y a un large choix de vêtements sexy aussi bien pour homme que pour femme.
Ma chérie ne sait où donner de la tête elle choisit plusieurs articles tous plus hot les uns que les autres elle demande à les essayer l’homme indique une large cabine d’essayage. Elle y pénètre et laisse le rideau ouvert pour s’exhiber mais aussi afin que je puisse la voir. Elle retire sa veste son pull et sa jupe et se retrouve nue avec seulement ses bas et escarpins. Elle enfile la première une minirobe moulante bleu électrique brillant un décolleté s’arrêtant à la limite des tétons avec un laçage de chaque côté la robe s’arrête au ras du pli des fesses. Après s’être admirée dans le miroir elle la retire. A aucun moment l’homme ne quitte sa caisse sur le comptoir près de l’entrée Un homme type latin, brun à la peau mate environ 35 ans 1m90 avec une carrure de rugbyman, vient d’entrer dans le magasin et cherche parmi les vêtements masculins tout en regardant Élise qui vient de retirer la robe et ne cache rien de son anatomie. Elle enfile une seconde robe courte noire en voile avec des bandes en diagonale plus opaques, laissant bien visible un sein est une partie de sa chatte le dos est totalement en voile.
Tout en regardant ma femme l’homme prend à la main trois articles sur cintre Il s’adresse à moi :« Votre amie est ravissante je suppose que ce genre de robe, qui lui va si bien, est pour des soirées libertines. »Moi : «c’est mon épouse et effectivement c’est pour des soirées chez nous, chez des amis ou en club. » Lui : «Bonjour madame ! Cette robe vous va très bien vous êtes très belle. »Elle : « c’est gentil à vous je m’appelle Élise vous resterez bien pour donner votre avis n’est-ce pas Alan ? »Moi : « pourquoi pas, un avis n’est jamais de trop. »Lui : « avec joie, je m’appelle Éric. J’ai également trouvé quelques articles pour moi pour aller en club »Élise tout en retirant sa robe: « enchantée Éric ! » Lui : « quand vous aurez fini je prendrai votre place dans la cabineÉlise : « venez la cabine est suffisamment grande pour deux, vous me donnez votre avis et moi je vous donne le mien»Lui : « merci mais je ne veux pas déranger j’ai tout mon temps je peux attendre»Élise : « si je vous le propose vous ne nous dérangez pas, venez ne faisons pas de manières »Lui : « si vous insistez ».
Il entre dans la cabine se déshabille à son tour pendant qu’Élise enfile une tunique filet de pêche rouge avec un short en simili noir. Éric tourne le dos à mon épouse pour passer un le short en voile et un teeshirt en maille mais le miroir est du côté de ma coquine.
Elle : « regardez-vous dans le miroir je vous dis ce que j’en pense et vous faites de même pour moi »Éric se retourne son regard se pose sur ma moitié « Élise un rien vous habille »Élise a le regard comme hypnotisée sur le shorty en voile qui laisse voir au repos le sexe hors norme d’Éric.
Elle : « je peux dire que le shorty te va et je constate qu’il est plutôt bien rempli » Lui : « merci passons au suivant »Pendant qu’Éric passe un short en latex, Élise passe une minirobe de mousseline blanche avec un large décolleté et fendue sur chaque cuisse jusqu’à la taille. Lorsqu’ils se font face les yeux d’Élise se posent sur le service trois pièces d’Éric. Lui regarde la coquine dont la robe tient plus de la nuisette que de la robe de soirée.
J’observe Élise qui est comme une lionne qui meurt de faim. Elle le fixe dans les yeux, elle s’approche de sa proie et pose ses mains sur le sexe qui commence à grossir et se redresser sous le latex.
Elle : « quelle belle promesse que cette bite de taille inhabituelle je peux» elle tend la mainEn baissant son short: « bien sûr 25 cm par 5.5 pour vous servir »Elle s’agenouille et en soupesant les couilles elle prend en bouche le gland qui continue de grossir.
Élise se redresse : « si j’ai bien compris tu as du temps que dirais tu de venir à notre hôtel ? N’est-ce pas chéri ? »Moi : « bien sûr je vois que tu en as très envie, Éric si cela vous dit d’honorer cette gourmande ! » Éric : « ce sera un plaisir de lui faire goûter à ma queue »Cette décision met fin aux essayages ils se rhabillent tous les deux Élise prend la robe bleu que je règle en sortant et c’est accompagnés d’Éric que nous rejoignons notre hôtel. En marchant il nous confesse avoir remarqué Élise et soupçonnait qu’elle ne portait pas de culotte. Nous voyant avec le plan il nous a suivis depuis la place du capitole espérant trouver un prétexte pour aider deux touristes. Finalement cela fut plus simple qu’il ne l’avait pensé.
Arrivés dans notre chambre Élise disparait dans la salle d’eau pour se rafraichir, il est un peu plus de 15h00 Éric : « cela ne vous pose pas de problème que je m’occupe de votre dame ? »Moi : « non, au contraire j’adore voir ma femme jouir avec d’autres partenaires »Lui : « est-ce que vous participez ou êtes-vous seulement spectateur »Moi : « je participe rarement sauf à la demande d’Élise et du partenaire, le plus souvent je regarde et si vous l’acceptez je prends quelques photos »Lui : « pour moi pas de problème si c’est pour votre seul usage. Votre épouse a-t-elle des préférences. »Moi : « elle aime pratiquement tout sauf la violence excessive elle adore les rapports virils quand un homme lui donne du plaisir et elle sait se faire comprendre si cela va trop ou pas assez loin.
C’est à ce moment qu’Élise apparait dans la chambre nue chaussée de ses escarpins, elle s’approche du lit dégage la couverture et le drap s’assied, attire notre invité et elle défait la ceinture du pantalon qu’elle descend en même temps que le caleçon libérant ainsi le membre convoité.
Éric retire son pull exhibant son torse musclé puis son pantalon dont il extrait plusieurs préservatifs qu’il pose sur la tablette près de la tête de lit, la coquine se colle à lui et sa bouche et sa langue vienne lécher les tétons et le torse de celui qui va être son amant cet après-midi. Le rugbyman la prend dans ses bras et la lève comme un fétu de paille, elle parait si fragile entre les bras musclés elle s’accroche à son cou leurs bouches se joignent pour un baiser fougueux.
Il la pose sur le lit puis se place entre les jambes ouvertes de la coquine, sa bouche se pose sur le sexe féminin et butine la fleur qui commence à libérer son nectar.
Les mains de ma femme caressent les cheveux de son amant et lui demande de se mettre en 69 afin de pouvoir le sucer. L’homme pivote lui offrant ainsi une verge bien bandée arquée vers le bas dont la grosseur et surtout la longueur sont si exceptionnelles que la gourmande à bien du mal à la sucer. Cependant, bien qu’elle ne puisse l’avaler en entier, elle ne laisse pas sa part et se délecte de cette gourmandise dont elle attend beaucoup.
Les mains d’Éric écartent les grandes et petites lèvres de la vulve pour glisser sa langue dans le vagin puis va lécher le petit anneau brun avant de revenir suçoter le clitoris. Il se redresse pivote sur le côté privant la gourmande de sa sucette. Mais il en profite pour introduire plusieurs doigts dans le vagin sa paume venant frapper le bouton dressé à chaque pénétration de ses doigts dans la chatte trempée de désir.
Élise apprécie la caresse et encourage son partenaire : « oui branle moi plus fort »Éric embrasse mon épouse puis tout en continuant de lui doigter la chatte sa bouche s’empare d’un sein et son autre main malaxe le second en pinçant le téton dressé il conduit ainsi ma belle vers la jouissance.
Élise : « ouiiiiiiiiiii je jouiiiiiii…oooohlala ! c’est bon ! »Éric retire sa main du sexe qui vient de laisser jaillir la liqueur de plaisir et la porte à sa bouche pour y goûter tout en caressant la joue d’Élise. Il lui demande : « cela t’a plu ? Prête à prendre ma queue ? »Élise toujours couchée: « bien sûr j’ai hâte de te sentir en moi, mets-moi ta queue j’en ai envie depuis que je l’ai vue »Éric prend les chevilles d’Élise les pose en appui sur son torse, les jambes se plient d’une main il guide sa mentule couverte vers la crevasse humide. Lentement il plonge dans le sexe jusqu’à s’y loger presqu’en entier.
La libertine exulte de plaisir être ainsi remplie la comble de bonheur « oooh ! oui ! oh ! Quelle bite ! Baise-moi»Le gars se lance, tel le marteau piqueur son braquemard frappe dans le vagin distendu. Surveillant les réactions de ma femme il est attentif à ses gémissements, ses onomatopées il est à la fois fougueux et tendre il l’embrasse soucieux de son plaisir il lui demande : « tu aimes ? Tu veux plus fort ? Dis-moi ce que tu veux ».
Elle : « baise moi plus fort défonce moi je suis une salope qui aime se faire bourrer et jouir avec des grosses queues »Éric se laisse emporté par les suppliques de sa partenaire il la perfore de plus en plus fort il a compris que la tendresse n’est plus de mise il se redresse un peu prenant la dissolue par les hanches il l’empale de plus en plus violemment sur son mandrin. Au fur et à mesure ma femme sent venir le plaisir.
Il n’hésite plus et lui dit : « T’aimes ça petite salope ! ça te plait de te faire défoncer par mon gros zob ? »Elle : « oui plus fort j’aime que ta bite me défonce la chatte ouiii je viens ! Je jouis ouah ouiiiii ouiiiii ! »Devant cette jouissance dans un ouiii guttural Éric éjacule dans son préservatif avant de sortir du douillet étui et je peux constater que la quantité de sperme est importante. Il retire le préservatif le pose dans le cendrier et s’allonge à coté de mon épouse tout en caressant son corps. Les deux amants s’embrassent et récupèrent de l’intensité de cette jouissance commune.
Élise se remet peu à peu et tend le bras pour se saisir de la verge à peine ramollie. Elle entreprend de branler son amant pour lui redonner vigueur avant de lui prodiguer une fellation qui donne une rigidité nouvelle à cette bite de fort gabarit. Une fois le mât dressé elle enjambe le corps de son amant pour se placer au-dessus de l’énorme appendice et lentement elle se laisse glisser sur ce pic qui finit par disparaitre lorsqu’elle arrive au contact des cuisses de son partenaire. Elle se baise elle-même sur le braquemard de son amant.
Éric la désarçonne et en un mouvement de bras la positionne à quatre pattes, il se redresse se met derrière elle et la prend en levrette son chibre entre facilement dans la chatte encore toute lubrifiée. Il la baise longuement. Élise enchaine deux orgasmes avant que son amant éjacule pour la seconde fois.
Élise s’écroule et se retrouve sur le dos les jambes écartées offerte, elle regarde son amant qui change de préservatif. Il se place à genou entre les cuisses ouverte saisit les jambes posent sur ses épaules pour approcher la chatte de sa verge qui bien que manquant encore de rigidité trouve sa place dans grotte intime de mon épouse. Il reprend lentement le va et vient dans le fourreau jusqu’à ce qu’il ait retrouvé sa vigueur maximale. Il la baise ainsi pendant quelques minutes ce qui a pour effet de réveiller les sens de la coquine.
Élise : « oui baise moi encore et encore, j’aime sentir ta bite aller et venir en moi »Lui : « et maintenant veux-tu que je t’encule ? Je te promets de faire doucement si tu as trop mal tu m’arrêtes, toutes les femmes n’acceptent pas un morceau comme le mien.
Elle : « si tu savais tout ce que mon cul a pris ! Tu peux y aller mais prépare moi bien »Éric ne se fait pas prier il pousse du bout des doigts un peu de liqueur qui coule de la chatte vers les fesses d’Élise. Il en badigeonne le petit œillet qui lentement se détend et s’offre à l’investigation des doigts. Lorsqu’il estime sa cible prête il retire sa bite du con brûlant et humide, posa le gland face au petit anneau brun. Lentement il pousse guidant son braquemard de la main. Élise grimace un peu en sentant l’orifice étroit s’ouvrir sous la pression.
« Ça va tu as mal tu veux que j’arrête »Elle : « non continue doucement laisse mon petit trou s’habituer »Le chibre poursuit sa progression et lentement s’enfonce dans le conduit intestinal centimètre par centimètre mais dans cette position ils ne se sentent pas très à l’aise. Éric se retire et avec une facilité déconcertante ses bras soulèvent Élise comme une plume pour la positionner à quatre pattes. Il se redresse place ses pieds à coté de chaque genou de mon épouse et lentement il plie ses jambes pour que son braquemard retrouve sa place dans l’entrée des artistes. Sa queue est presque verticale elle disparait entièrement dans le fondement de ma cochonne. Son amant l’encule à présent lentement avec douceur Élise apprécie le traitement : « oh qu’elle est grosse et longue défonce moi le cul avec ton pieu n’hésite pas plus fort »Lui : « salope tu aimes te faire ramoner le cul par ma grosse queue comme une chienne »En conservant un pied de chaque côté il monte et descend de plus en plus vite son chibre entre et sort totalement à une cadence infernale à chaque coup de bite ses couilles s’écrasent sur le périnée de ma femme.
Elle : « oui j’aime sentir ta bite entrer et sortir de mon cul continue je vais jouir ! Alan vient m’astiquer le clito » Je me place à coté et glisse ma main sous le ventre de ma chérie et je lui branle le bouton. Elle est déjà tellement près de la jouissance avec la matraque d’Éric qu’il suffit que je la branle une trentaine de secondes pour qu’elle soit emportée par un violent orgasme qui se déclenche simultanément dans son cul et sa chatte. Elle coule littéralement le long de ses cuisses et sur le drap.
La jouissance a été tellement forte qu’Élise est comme apathique, son corps est comme inerte elle est en état de semi conscience. Elle reste sur ses genoux uniquement grâce à Éric qui la tient par les hanches.
Éric en me regardant : « hé bien quand elle jouit elle ne fait pas semblant » Après quelques instants elle tourne la tête vers moi et semble sortir de sa torpeur.
Moi : « je crois que tu vas pouvoir reprendre elle revient parmi nous cela va la réveiller et relancer la machine.
Lentement Éric reprend la sodomie Élise se redresse peu à peu et d’elle-même va à la rencontre du pieu qui s’introduit en elle toujours aussi profondément. La cadence s’accélère les deux amants ont retrouvés l’énergie du début de cette sodomie.
Ma moitié me sourit en hochant la tête signe de son approbation et du plaisir qu’elle prend elle m’adresse un baiser avant de fermer les yeux et dit : « Éric continue plus fort comme tout à l’heure je sens que je vais partir encore. » Éric : « c’est OK je te préviens je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps comme ça. »Le queutard sort et entre de plus en plus vite par l’entrée des artiste et à ce régime ma bien aimée est emportée par un nouvel orgasme « ouiiiiii Éric vient oooohh ouiiiiiiiii »L’étalon qui se retenait depuis un moment se libère enfin dans son préservatif en poussant un ouaiaiais guttural. Les deux amants basculent sur le côté tout en restant soudés.
Blottie entre les bras d’Éric qui la caresse tendrement Élise les yeux fermés savoure ce moment de plénitude puis tourne la tête pour embrasser son amant. Au bout de quelques minutes Éric retire sa queue ramollie du fondement de l’intrépide baiseuse et se débarrasse du préservatif garni.
Élise me sourit en me faisant un clin d’œil puis se tourne face à son beau brun. Elle l’embrasse en le caressant et sa bouche descend sur son torse en l’embrassant jusqu’à la queue ramollie. La gourmande embouche l’organe pour lui redonner vigueur Éric apprécie la caresse sa queue retrouve vite sa taille et sa rigidité maximales. La gourmande est heureuse de l’efficacité de sa fellation.
Elle demande : « Éric ça te plairais qu’Alan vienne te sucer avec moi »Lui : « pas de souci pour moi si ça vous plait » Je rejoins mon épouse pour partager sa gourmandise tour à tour nous suçons et léchons la verge gonflée et les joyeuses ne sont pas oubliées. Après plusieurs minutes de ce traitement nous sentons le bandeur se tendre en le regardant nous le voyons fermé les yeux pour mieux profiter des caresses que nous lui prodiguons il n’est pas loin de ses limites. Il se redresse et se met à genoux.
Éric : « je ne vais pas tarder à jouir j’ai envie d’arroser le visage d’Élise je peux ? »Moi : « ne te gêne pas elle adore cela »Je laisse ma moitié finir le travail, sa bouche se montre très efficace car moins de 30 secondes plus tard Éric prend son sexe à pleine main, sort le grand chauve de la cavité buccale et crache son jus sur le visage d’Élise, la première giclée s’écrase sur son front et ses cheveux la seconde arrose sa face du nez au menton. Éric termine en plongeant son gland dans la bouche ouverte de la goulue pour y déverser le reste de son sperme.
Élise se fait un devoir d’extraire les dernières gouttes et de tout avaler avant de nettoyer de la langue le chibre de son amant.
Elle : « merci pour l’offrande, tu avais de sacrées réserves. Alan veux-tu m’aider à nettoyer mon visage de cette liqueur d’amour ? »Je commence à lui lécher le front, de son côté avec ses doigts elle récupère ce qu’elle peut avant de sucer ses doigts avec gourmandise. Je fini en lui léchant le visage avant que nos bouches se soude dans un baiser.
Je vais dans la salle d’eau me rafraichir avant de m’habiller pour descendre chercher des boissons au bar de l’hôtel. A mon retour je trouve mon épouse blottie entre les bras musclés de son étalon. Les deux amants discutent en échangeant des caresses.
Nous buvons nos rafraichissements et parlons d’Élise, d’Éric, de moi et de Toulouse pendant un long moment.
Élise : « ce n’est pas le tout de papoter mais il faudrait peut-être s’occuper de moi maintenant ! »Éric me regarde : « elle sait ce qu’elle veut la mignonne ! À vos ordres madame ! » Éric se penche sur l’entrejambe sa bouche se délecte de la chatte de l’impatiente moi de ses seins et sa bouche. Ma dulcinée ne tarde pas à nous faire savoir qu’elle est de nouveau opérationnelle.
« Éric tu te sent prêt à me baiser une nouvelle fois »Lui : « « il te suffit de regarder ma bite, le cobra est dressé prêt à donner l’estocade vient t’assoir dessus»L’audacieuse enjambe le corps du coquin et se laisse glisser sur le mât dressé et se baise elle-même l’ondulation de ses hanches lui permet de stimuler son clitoris déjà durci suites aux caresses de son amant du jour. Entre ses ondulations elle monte et descend sur le pivot de la joie. Parfois elle se penche pour embrasser le plaisant avant de s’activer à nouveau sur le braquemard qui la possède.
Quand elle se sent suffisamment excitée sur le chemin de la jouissance et consciente de ma difficulté à retenir ma jouissance elle me demande : « Chéri viens me prendre par derrière »Elle se penche sur le buste de son amant et l’embrasse avec passion afin de me faciliter l’accès à sa rondelle. Son cul ayant eu la visite du braquemard d’Éric Je n’ai aucune difficulté à la sodomiser avec ma petite queue. Je n’ai pratiquement pas besoin de bouger car Éric s’est mis en mouvement tout en serrant la moitié dans ses bras. Par de violents coups de reins il baise la charnelle qui peu à peu annonce l’arrivée de son plaisir. Nous arrivons pratiquement tous les trois simultanément Je me retire, Élise reste un moment allongée sur Éric dont la queue n’a pas quittée sa chatte mais quand elle bascule sur le côté pour libérer son amant il se lève et demande : « je peux prendre une douche avant de partir ? »Élise : « bien sûr mais tu veux déjà partir il n’est que 18h30»Éric : « je resterais bien mais j’ai rendez-vous avec des amis et je dois les prendre chez eux à 19h00 »Élise : « c’est dommage mais merci quand même pour cet après-midi tu me laisseras ton 06 »Il prend sa douche s’habille et échange son numéro avec celui d’Élise avant de partir. Il nous quitte en nous remerciant et dit à Élise combien il a aimé la baiser.
Après son départ ma femme et moi prenons notre douche avant d’aller se faire un petit restaurant et avons terminé la soirée par une petite séance de cinéma avant de rentrer à l’hôtel pour la nuit.
Nous sommes rentrés la dimanche ravis de notre week-end prêt à vivre de nouvelles aventures………..
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