Élise libertine 41 - La panne de voiture

- Par l'auteur HDS Jacanas -
Récit érotique écrit par Jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Élise  libertine 41 - La panne de voiture Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élise libertine 41 - La panne de voiture
Bonjour Je suis Élise mariée à Alan depuis 1973. Je vous raconte avec son aide un dépannage particulier arrivé au début de juin 2004. Pour mieux nous connaître retrouvez notre évolution de libertins dans nos autres aventures sur le site dans la série : Élise libertineCe matin comme les températures sont douces pour le travail j’ai un tailleur d’été vert amande jupe droite et courte avec une veste cintrée sur un corsage blanc soutien-gorge push-up blanc et string blanc en dentelleEn fin de matinée Agnès ma collègue de travail n’est pas très bien elle est pâle et a de la fièvre. Ce matin elle est venue avec son mari qui devait la récupérer après sa journée. Elle est donc sans voiture pour rentrer. Comme je ne travaille pas cet après-midi vers 11h30 la patronne, me demande si je peux la ramener à son domicile. J’accepte volontiers Agnès et moi prenons ma Clio et direction Salleboeuf à une vingtaine de kilomètres de BordeauxUne fois arrivées ma collègue insiste pour que je déjeune avec elle. À 13h15 je prends le chemin du retour pour rentrer chez moi.
Peu après Fargues un voyant rouge s’allume sur le tableau de bord. Un peu affolée je m’arrête sur le bas-côté et je ne sais pas pourquoi je lève le capot (si par hasard j’étais devenu mécano la nuit dernière) je regarde les niveaux des différent bocaux sans rien comprendre et je ne suis pas plus avancée sauf que je tache ma jupe. Je ne sais pas quoi faire. C’est alors qu’une dépanneuse qui passe sur la route s’arrête à coté de mon véhicule. L’homme côté passager m’interpelle « on peut vous aider ma p’tite dame »Moi : « volontiers j’ai un voyant qui s’est allumé je ne sais ce que c’est » (dans ma tête je pense : journée de merde)L’homme dans la cinquantaine descend, pendant que l’autre gare la dépanneuse devant ma voiture, il regarde mon tableau de bord puis vient vers moi « c’est un problème de refroidissement je vais regarder de quoi il retourne» il plonge sous le capot. Pendant qu’il farfouille dans le moteur je l’observe il est grand 1m80 environ cheveux grisonnants le petit ventre (le coussin d’amour comme dirait Alan) je me place à côté de lui et regarde ses mains (des vrais battoirs) tripoter les différentes pièces de la voiture contrôler les fils électriques.
Le chauffeur est descendu il se met prêt de moi et interroge « papa verdict ?» le père se redresse et en me regardant « rien de bien grave, le ventilateur est HS donc le moteur n’est plus assez refroidi, vous avez bien fait de vous arrêter sinon cela aurait pu devenir grave. » Moi : « je vous remercie je vais appeler mon mari pour qu’il récupère la voiture ce soir »Le fils, environ 20/25 ans un visage d’ange aussi grand que son père mais plus svelte, me demande : « vous habitez loin » Je donne mon adresseLe fils : « papa c’est pas loin du garage, on peut emmener la voiture et changer le ventilo au garage comme cela elle n’aura pas à déranger son mari et elle pourra récupérer sa voiture dès ce soir»Moi : « non merci ! Cela risque de me coûter trop cher ! »Le père : « c’est mon jour de bonté je ne vous fais pas payer l’enlèvement je ne facturerai que l’échange du ventilateur, ça vous vas ? »Moi : « je ne voudrais pas abuser monsieur vous êtes trop aimable. Finalement c’est mon jour de chance»Le père : « Fabien on monte la voiture sur le plateau ». le fils sort les rampes pendant que son père s’installe dans la voiture.
Je demande : « pardon monsieur je peux me rendre utile »Lui : « Je m’appelle Georges mais ne bougez pas vous risquez de vous blesser et vous allez voir c’est très rapide » En effet un vrai travail d’équipe en un rien de temps la voiture est montée et attachée sur la dépanneuse.
Fabien reprend sa place au volant et Georges m’aide à monter dans la cabine, il faut reconnaitre qu’une jupe droite n’est pas ce qu’il y a de plus pratique pour ce genre d’exercice. Ma jupe remonte un peu permettant à Georges de se rincer l’œil et d’un coup de main au cul il me projette en hauteur je n’ai plus qu’à me pousser au milieu pour permettre à mon chevalier servant de s’assoir près de moi. Il fait si chaud dans la cabine que j’ouvre ma veste. Chacun met sa ceinture, en mettant la mienne je ne peux que constater que ma jupe est remontée sur mes cuisses, plus haut que la décence le permet et que mes dépanneurs doivent être aux premières loges pour découvrir mon string blanc.
L’air de rien Georges donne une petite tape sur mon genou qui disparait sous la paluche du mécano : « voilà une affaire rondement menée ! Direction la bastide »Nous arrivons au garage il est 14h10 les deux hommes déposent la voiture dans l’atelier. Georges vas dans son bureau un instant puis revient : « Fabien regarde le ventilo de la Clio accidentée si il est bon prend le, et monte le sur la celle de la dame, je la raccompagne chez elle. »Il m’entraine vers un Citroën C15 bien dans son jus et me raccompagne chez moi. Il arrête le C15 devant la maison et me dit : « on vous ramène votre voiture dans l’après-midi dès qu’elle est prête. »Moi: «Georges je vous remercie c’est très gentil, vous prendrez bien un café »Georges : « ce n’est pas de refus ma p’tite dame ce sera avec plaisir»Je le devance, pendant qu’il verrouille sa camionnette, j’ouvre la porte de la maison. Il me rejoint je ferme la porte il est bientôt 14h30.
Moi : « entrez dans le salon je vais faire le café en cuisine»Lui : « la cuisine ira très bien si cela ne vous gêne pas heu c’est quoi votre prénom »En partant dans la cuisine « mon prénom c’est Élise »Je tire une chaise pour mon invité puis je fais les cafés. Il me demande s’il peut se laver les mains je le guide à la salle de bain et lui donne une serviette lorsqu’il a terminé je lui dis : « allez dans la cuisine je vous rejoins »Dès qu’il est parti je retire ma veste et ma jupe pour nettoyer la tache de graisse. C’est à cet instant qu’il arrive je suis en string et mon corsage n’est pas assez long pour cacher mes trésors.
Lui : « Excusez-moi j’ai laissé ma montre sur l’étagère »Moi : « désolée, j’aurais dû fermer la porte pour me changer »Il récupère rapidement sa montre et repart dans la cuisine. J’enfile une minijupe portefeuille rouge avant de le rejoindre pour servir les cafés.
Lui me regarde en souriant, il me détaille de la tête au pied avant d’ajouter : « je m’excuse pour tout à l’heure ».
Moi : « ce n’est pas grave il n’y a pas mort d’homme. Vous êtes tout excusé »Lui : « je m’excuse mais ne regrette pas, la vue était fort agréable, vous êtes si belle que j’ai dû me retenir »Moi : « ha ! Vous retenir de quoi ? »Lui : « de vous prendre dans mes bras pour vous embrasser et peut être plus »Moi avec un sourire et le regard coquin : « qui sait après tout vous m’avez dépannée je vous suis redevable ! » Nous commençons à boire notre café, je sors mon téléphone prends un selfie m’assurant que Georges est bien sur la photo. Puis j’envoie un sms avec le cliché à Alan (peut-être mon amant cet après-midi ?).
Entre deux gorgées Georges me regarde interrogatif. Je le rassure : « c’est un deal entre mon mari et moi je l’informe d’un éventuel amant s’il téléphone il dit non s’il répond par texto c’est ok » mon téléphone vibre je souris en lisant le message à haute voix (amuse toi bien tu me raconteras ce soir je suis en réunion).
Georges : « si j’ai bien compris c’est mon jour de chance à moi aussi »Je m’approche de lui et m’assieds sur ses genoux. Je passe un bras autour de son cou dans l’autre main mon café que je bois d’une traite afin me débarrasser de la tasse. J’enlace le garagiste puis l’embrasse à pleine bouche. Sa main droite me caresse les fesses tout en me tenant alors que sa main gauche caresse ma poitrine. Nos langues s’agitent nos salives se mélangent.
Je me lève tire Georges par la main : « Allons dans la chambre nous serons plus à l’aise. »Dans la chambre d’amis je me déshabille, Georges fait de même. J’ouvre le lit, il me prend dans ses bras et m’allonge sur le drap puis me rejoint en m’embrassant sur tout le corps.
Je tends la main pour me saisir de son sexe. Son pénis est bandé et dur. Le coquin se soustrait en venant entre mes cuisses pour lécher ma chatte, ses mains ne cessent de caresser mon corps mes sein mes hanches mes cuisses pendant plusieurs minutes tout y passe il veut me prouver que c’est lui qui mène la danse. Après une dizaine de minutes de ce traitement ses caresses me conduisent jusqu’à la jouissance. Mes mains cherchent à l’attirer vers le haut jusqu’à ce qu’enfin sa bouche remonte en embrassant mon ventre, mon nombril, mes seins mon cou pour s’arrêter sur ma bouche.
Georges : « tu as la peau douce, j’aime ton parfum et le goût de tes lèvres. J’aime sentir ton corps vibrer de plaisir»Moi : « laisse-moi te sucer à mon tour, j’ai envie de faire jaillir ta source» Tout en douceur il me pousse vers son membre dressé. Ma bouche s’ouvre pour accueillir le membre turgescent mes lèvres se referment sur le gland ma langue joue avec ce sexe qui déjà libère un filet de liquide pré-séminal preuve de l’excitation de mon garagiste. Ma bouche va et vient le long de sa tige puis se retire pour venir honorer ses deux grosses couilles avant de revenir pour mieux le sucer. Ses mains continuent de me caresser ses doigts prennent possession de ma chatte trempée de désir. Sa bouche embrasse la moindre parcelle de ma peau à sa portée.
Georges : « Élise ta bouche est douce et chaude tu suces comme une reine je ne vais pas pouvoir tenir longtemps »Moi : « laisse toi aller ne t’inquiète pas j’adore ça. » lorsque je le sens près de la jouissance je tempère ma succion. Après plusieurs arrêts je me décide à mener ma fellation à son termeGeorges : « tu es diabolique, attention je viens ! »Je sens sa queue tressauter dans ma bouche les jets de sperme s’écrasent sur mon palais et au fond de ma gorge. Je m’efforce d’avaler le précieux nectar tout en suçant la lance pour en extraire les derniers jus.
Georges m’attire entre ses bras et me roule un patin digne d’une scène de grand film. Je me blottis entre ses bras si rassurants en caressant sa nuque.
Lui : « merci pour cette pipe de compétition, c’était très bon »Je sens ses doigts courir sur mon corps ses mains remonte sur mon cou, il saisit mon visage et me regarde dans les yeux il me bascule à côté de lui et sans me quitter du regard Nous discutons un bon moment histoire de recharger les batteries.
Enfin sa main caressante descend vers mon sexe ses doigts glissent dans ma chatte humide il me baise avec ses doigts. Nous échangeons un baiser je sens son membre durci contre ma hanche.
Je tends la main, saisis un préservatif sur la table de nuit je me redresse pour extraire la capote de son étui. Je me penche sur sa queue je la coiffe du préservatif que je déroule avec la bouche sur le sexe tendu. Je m’allonge à côté de lui et lui demande : « tu veux bien me baiser j’ai envie d’être à toi maintenant je veux te sentir en moi. »Lui : « Tu es sûre de ne pas le regretter», Moi : « non tu as entendu le message de mon mari je lui raconterai tout ce soir il n’en sera que plus aimant, maintenant nous allons baiser pour le plaisir il ne peut y avoir que du sexe plaisir entre nous. »Lui : « tu es une drôle de bonne femme alors soit, faisons nous plaisir »Il se déplace et avec assurance se glisse entre mes cuisses. Sans avoir besoin de le guider son chibre prend possession de ma chatte. Il se met sur les coudes et tout en m’embrassant il me baise avec ardeur. Je sens son sexe me pénétrer avec force, son pubis vient frotter mon clito. Il me besogne pendant près d’un quart d’heure variant sa cadence et la façon de me pénétrer. La sueur commence à couler sur ses tempes il me regarde avec tendresse prêt à me donner du plaisir. J’essaie de tenir face aux assauts de mon amant mais mon corps commence à me trahir je suis prise de petits tremblements incontrôlables annonciateurs de ma jouissance.
Moi : « george hoooouiiiii je jouiiiiiis »Lui : « vas-y moi aussi je viens aaarrh »Je sens encore sa queue se contracter plusieurs fois avant qu’il se retire. Il est essoufflé et tout comme moi il cherche à récupérer. Il retire son préservatif rempli de sperme, il en noue l’extrémité et le pose dans le cendrier.
Après un moment de calme blottis l’un contre l’autre il se tourne vers moi m’embrasse tendrement: « je te remercie pour ces instants magiques je resterais bien mais il faut que j’y aille, j’ai un garage à faire tourner et mon fils vas me croire perdu»Il se lève je lui propose de prendre une douche il refuse poliment en précisant qu’il la prendrait à l’atelier. Il se rhabille et me dit : « Élise si tu veux je te ramène ta voiture pour 18h00.»Moi : « Peut-être que ton fils apprécierait lui aussi d’être remercié de la même façon »Lui : « Dans ce cas pas de souci, je suis sûr que ça lui plaira mais tu veux peut être qu’il vienne plus tôt » Moi : « non non ! 18h00 c’est parfait »Il est à peine 15h30 quand Georges part, je m’imagine déjà avec le fils tout à l’heure et qu’Alan va rentrer et nous trouver dans la chambre. Je file dans mon armoire, que vais-je mettre ? Hé puis zut je mets juste mon déshabillé en voile blanc après tout il va savoir par son père qu’il va me baiser.
J’envoie un SMS à Alan :(mon, visiteur viens de partir mais vers 18h00 c’est son fils qui me ramène ma voiture et vient recevoir sa récompense). Je reçois aussitôt sa réponse : (OK je ne rentrerai pas avant, envoie moi une photo je rentrerai par le sous-sol)Je trouve la fin d’après-midi très longue, je range le lit en le laissant ouvert je vide le cendrier et maintenant je tourne en rond. Je mets un peu de musique et je vais boire un thé dans la cuisine.
Il est tout juste 17h45 quand la sonnette retentit il semble que le fils soit impatient de me rendre ma voiture. Je file vers la porte contrôle par le judas. C’est bien Fabien il a mis une combinaison de travail toute propre pour l’occasion. J’ouvre en restant derrière la porte afin que les voisins ne voient pas ma tenue. « Entre Fabien »Le jeune homme entre tourne la tête pour m’apercevoir, je referme la porte derrière lui, il me regarde les yeux écarquillés la bouche entrouverte. Je lui dis : « ça va ? Tu ne vas pas faire un malaise ? »Lui : « Non madame, heu c’est-à-dire que je n’ai pas trop cru mon père quand il m’a dit que vous vouliez me remercier en nature et quand je vous vois j’ai envie de me pincer pour être sûr de ne pas rêver »Moi : « pour commencer tu ne m’appelle plus madame mais Élise, ensuite tu viens m’embrasser »Fabien s’approche de moi et m’embrasse sur la bouche en me serrant dans ses bras. Je l’entraine vers le canapé et lui dis : « assied toi sur le canapé ! Veux-tu un café ou autre chose ? ».
Lui : « je préfère un coca si vous avez »Je vais chercher un coca, un verre et la tasse de thé que n’ai pas terminée, je pose le tout sur la table basse. Je m’assois près de lui, je sers le coca. Je prends mon téléphone, je me colle à lui et demande : « passe ton bras derrière moi » ce qu’il fait aussitôt. Je prends sa main, la pose sur mon sein. Il me regarde je tends le bras pour faire un selfie nous deux enlacés que j’envoie vite à Alan. Il m’interroge : « tu n’as pas peur que ton mari tombe dessus » Moi : « non au contraire c’est pour lui cela lui fera un souvenir » je fini mon théPour se donner une contenance il boit son coca lentement j’en profite pour venir caresser sa queue qui tend le tissu bleu du vêtement de travail. Je constate qu’il a retiré son sous vêtement car la queue est libre de toute entrave, je saisis la tirette du curseur et remonte la fermeture à glissière avec précaution pour ne pas mutiler le membre bandé.
Sitôt libéré le bel appendice se dresse fièrement, ma main s’en empare, un peu plus long que son père mais aussi épais sa toison est moins fournie. Je me penche sur ses cuisses et prends en bouche la belle gourmandise que je suce une ou deux fois avant de me redresser et d’entrainer ce jeune amant vers la chambre d’amis.
Arrivés dans la chambre nous sommes vite nus et allongés sur le lit. Fabien me demande si j’ai un préservatif j’en attrape un il n’en est pas à sa première vu la vitesse avec laquelle il le déballe et l’enfile. Cette fois je crois que les préliminaires vont passer à la trappe, le jeune étalon piaffe d’impatience.
Il m’embrasse, sa main descend fouiller mon sexe, je mouille abondamment c’est pour lui le signal de la saillie. Effectivement il m’écarte les jambes et vient se loger entre mes cuisses. Sans hésitation il me plante son chibre dans la chatte. Il se lance dans une course effrénée il me laboure la chatte sans faiblesse. Puis soudain il se plante au fond de moi arrête de bouger il me fixe dans les yeux : « excuse moi je suis trop tendu et excité mais je vais t’attendre pour jouir»Il reprend ses mouvements avec douceur, me dit des mots gentils et maladroits comme souvent à cet âge. Par contre avec sa queue je trouve sa façon de faire de plus en plus agréable je commence ressentir des fourmillements dans le corps, et lâche mes premiers gémissements, il me fouille le vagin avec minutie sa bite va à droite à gauche dans chaque recoin tout en me couvrant de baisers, sur le visage, dans le cou.
C’est à ce moment que j’aperçois Alan dans l’encadrement de la porte qui me fait signe chut avec son doigt sur la bouche en souriant il regarde mon jeune amant s’activer sur moi. Je suis encore plus émoustillée j‘embrasse Fabien je l’encourage je lui dis : « Oui j’aime comme tu me baises continue fais-moi jouir je sens que je viens »Lui : « Élise que c’est bon de te baiser, ta chatte est chaude, je suis prêt à jouir avec toi »Moi : « baise-moi plus fort maintenant comme au début je n’en peux plus »Il me baise plus énergiquement et j’ai un premier orgasme qui arrive : « oh putain que c’est bon oh ouiiiiiiiiii »Lui accélère encore et lance dans un grand cri « je jouis ! Que tu es bonne » je sens sa bite éjaculer dans son latex.
Il s’écroule sur moi et m’embrasse avant de se laisser glisser sur le côté. Il fait un bond en voyant Alan qui se met à applaudir : « bravo ne bougez pas pour moi, je n’ai pas voulu vous interrompre. Je vous laisse continuer. Élise je descends dans mon bureau j’ai des papiers à classer et vous jeune homme faites comme si je n’étais pas venu.»Fabien va pour se lever je le retiens « reste avec moi tu as bien entendu Alan t’a dit de continuer » Le pauvre garçon regarde sa verge qui s’est recroquevillée avec le préservatif, garni de sperme, qui pendouille. Je récupère le latex et le pose dans le cendrier, puis je le regarde : « oublie Alan je m’occupe de toi et tu vas retrouver la forme »Je me penche sur le sexe ramolli je le prends en bouche tout en le branlant, sous mes caresses il n’est pas long à retrouver sa bandaison même si comme chantait Georges (ça n’se commande pas).
Le vit étant à nouveau dressé je lui demande : « que veux-tu maintenant je te suce, tu m’encule ou les deux»Lui : « Je veux bien les deux, enculer je l’ai jamais fait, mes copines n’ont jamais voulu»Je reprends son sexe en bouche et le gratifie d’une fellation en gorges profonde. Il prend bien du plaisir car maintenant il me tient la nuque afin de s’enfoncer plus encore dans ma gorge pendant que je lui malaxe les couilles. Il ne résiste pas autant que son père, rapidement il se vide au fond de ma gorge et est étonné que j’avale toute sa semence.
Après un petit moment je lui dis : « maintenant mon cul est à toi.» il retrouve la forme illico Je l’attire vers moi, avec ma bouche je lui enfile le préservatif ce qui le surprend et je me mets en levrette.
Je le guide : « trempes tes doigts dans ma chatte pour les mouiller puis après tu les mets progressivement dans mon anus pour préparer mon petit cul à ta visite. C’est bien baise moi un peu la chatte comme cela ta bite et le préservatif seront assez lubrifiés, maintenant tu m’encules avec moi pas de problème mais pour tes copines il faudra les préparer plus longtemps et ensuite pénétrer doucement quand ton gland est passé tu progresses doucement en tenant compte de la réaction de ta copine, il faut un peu de temps pour qu’elle s’habitue. Ne la force jamais mais reviens toujours avec patience et douceur. »Cette fois pas de doute il me sodomise, je l’encourage : « encule moi plus fort je suis habituée à me faire prendre le cul. » Le petit apprend vite il me baise avec beaucoup d’ardeur je sens que sa bite est de plus en plus grosse et raide il me dit : « ça fait bizarre c’est bien plus serré que ta chatte, j’aime t’enculer c’est bon ! » -« je suis heureuse que tu apprécies ton cadeau ».
Je me mets à donner de coups de cul pour venir à la rencontre de sa bite, j’éprouve de plus en plus de plaisir de sentir ce jeune étalon me défoncer le petit et je sens sa bite durcir encore. Pour une première fois je crois que ce ne sera pas sa dernière tellement il prend du plaisir à me ramoner le conduit.
-« Que c’est bon de t’enculer ! Toutes les filles doivent le faire ou seul les salopes et les putes le font ?»Il n’arrête pas de parler et pose beaucoup de questions le garçon mais au moins en parlant il ne s’arrête pas de me perforer l’œillet et c’est plutôt bon. A cette cadence je ne vais pas tarder à jouir du cul j’essaie de lui répondre mais j’ai de plus en plus de mal à suivre la conversation.
-« Tu me classes dans quelle catégorie les salopes ou les putes ? »-« ce n’est pas ce que je voulais dire madame »-« on en reparle plus tard alors ramone moi plus fort défonce moi le cul je vais jouir »Fabien se tait et accroché à mes hanches il me pilonne plus fort encore. Son chibre va et vient à une vitesse surprenante parfois il sort totalement de son fourreau pour mieux y revenir. Dans cet effort pour le final il souffle grogne jusqu’à ce que je jouisse et là il jouit à son tour il crie « whouhaou quel pied.» Je me mets également à lâcher des onomatopées en jouissant longuement.
Mon étalon s’écroule sur mon dos et m’embrasse dans le cou en me disant « merci ! Que c’est bon.» Nous basculons sur le côté, son sexe sort de mon fondement, il attrape le préservatif garni et le pose avec l’autre puis se tourne vers moi me regarde : « je m’excuse pour ce que j’ai dit tout à l’heure.»-« ce n’est rien je te dirais qu’une pute le fait pour l’argent, moi je dis que je suis une salope qui aime beaucoup le sexe, je dis tout à mon mari et lui demande son autorisation d’où le sms que je lui ai envoyé avec notre selfie » -« Mais ton mari il ne dit rien ? » -«non parce qu’il sait que j’en ai besoin et qu’il en profite après ».
-«on pourra se revoir ? » -«non fin de la récompense et du doit être discret ne parle de cela à personne. Maintenant si tu veux prendre une douche c’est la porte à gauche»-« merci mais je vais rentrer à l’atelier prendre ma douche, là-bas j’ai mes habits de ville je dois retrouver des potes au Mac-Do»Il est presque 19h00 j’enfile mon déshabillé, il enfile son bleu de travail le voilà prêt à partir. Quand nous sortons de la chambre j’aperçois Alan qui s’active dans la cuisine il tourne la tête vers nous : « bonsoir jeune homme » Fabien « bonsoir monsieur »Arrivés à la porte je l’embrasse pour lui dire au revoir, avant d’ouvrir la porte aussi discrètement qu’à son arrivée. La porte refermée je vais dans la cuisine je me pends au cou de mon homme et l’embrasse amoureusement. Il me demande : « tu as passé un bon après-midi ?» -« Oui c’était plutôt agréable et marrant de comparer le père et le fils, le père avait le savoir-faire et l’assurance de son âge, le fils plus fougueux et baiseur en devenir je lui ai fait découvrir la sodomie mais je te raconte tout après le diner Je file sous la douche» Alan: « c’est prêt dans dix minutes »Après le diner nous allons dans notre chambre et je lui raconte mon après-midi en plusieurs épisodes nous sommes si excité que nous reproduisons en partie les actes sexuels de cet après-midi avec mes amants.
Deux jours plus tard j’ai reçu la facture acquittée du dépannage : Travaux : dépannage, échange ventilateur.
Main d’œuvre : 3h00 Pièce : super occasion Total : surprise très agréable Règlement : en nature ! Le garage vous remercie de votre confiance.

A bientôt pour de nouvelles aventures sous la plume d’Alan………

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Texte coquin : Élise  libertine 41 - La panne de voiture
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