Élise libertine 47 - passage de relais 2/4 Le PDG s’en mêle
Récit érotique écrit par Jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Élise libertine 47 - passage de relais 2/4 Le PDG s’en mêle
Voici la suite des aventures de notre couple : en 2004 mon épouse Élise hypersexuelle et moi Alan candauliste sommes mariés depuis 31ans. Vous pouvez suivre notre évolution libertine dans nos récits précédents d’Élise libertineAprès avoir terminé la prise des consignes pour le remplacement du directeur régional qui part en retraite (voir partie 1) lui et moi assistons à son pot de départ où j’ai la surprise de découvrir la présence du PDG et de mon épouse Élise en compagnie de la femme du nouveau retraité au cours du cocktail je cherche le PDG et ne le trouve pas dans la salle. Finalement je le vois réapparaitre avec un large sourire il suit Élise qui revient des toilettes.
Elise s’approche de moi m’entraine un peu à l’écart et me raconte : -[Je vais aux toilettes Moreau me suit, il entre dans les WC dames derrière moi et attend que je sorte de la cabine. Il s’approche de moi en me fixant du regard avec un sourire carnassier, je ne sais pas quoi faire je suis paralysée je rends un sourire timide, il saisit l’occasion pour m’embrasser sur la bouche en me serrant contre lui et en profite pour me peloter.
Je sens sa bite bandée contre mon ventre je suis toute chose et réponds à son baiser, sa langue qui me fouille la bouche me fait mouiller je suis toute molle abandonnée dans ses bras. Il recule me regarde et me dit : « tu sais quand je t’ai vue en septembre au séminaire avec cette belle robe noire qui mettais ta poitrine en exergue ainsi que cette fente pleine de promesse sur ta cuisse découverte, j’ai tout de suite pensé c’est une bonne salope et l’envie de te baiser me tient depuis ce jour. » je lui réponds «monsieur vous ne devriez pas avoir de telles idées ».
Mettant son doigt sur ses lèvres : « tss tss chuuuut je sais tout de ta baise avec Max et Odile hier, ce soir ce sera avec moi, file maintenant»]-Élise ajoute : « Son objectif est clair voilà pourquoi Odile est venue me chercher, comment va t’il va faire ? »]Le reste du pot de départ se déroule sans encombre. Les personnels invités partent peu à peuIl est 18h30 les invités partis le traiteur débarrasse. Gérard, Max, Odile, Élise et moi sommes les derniers-Gérard : « Max nous faisons notre dernier diner de travail ce soir pour faire le point vous rentrerez tard. Odile vous m’excuserez de retenir Max une dernière fois, nous nous voyons demain.
Max demande à sa femme de rentrer avec la voiture lui promettant de rentrer le plus vite possible. Gérard précise « je le ferai ramener par mon chauffeur». Odile dit au revoir, Élise et moi prenons également congé dehors nous embrassons Odile près de sa voiture avant de rejoindre la nôtre qui est au fond du parking. Alors que la BM d’Odile disparait le PDG nous appelle et s’approche de moi-Gérard: « votre épouse nous recevrait-elle pour diner à la villa si je fais livrer le repas pour 19h30 ?»Je me tourne vers Élise : « chérie c’est à toi de répondre ? »-Élise : « à une condition sans manière et quelque chose de simple et rapide italien ou chinois»-Gérard : « si chinois vous convient je m’en occupe»Élise et moi nous regagnons la villa sur la route je profite des bouchons pour faire le plein, finalement nous arrivons à la villa vers 19h10 -Élise : « vu ce que Moreau a en tête il est préférable que j’aille me doucher et me changer avant qu’ils n’arrivent. » -Moi : « OK ma chérie fait toi belle éblouis les, je m’occupe du reste »Elle monte à l’étage, je dresse la table lorsque la sonnerie retentie. C’est le livreur, je récupère le sac contenant le repas et vais déballer le tout dans la cuisine. Nouveau coup de sonnette j’ouvre c’est Max suivi de Gérard qui me tendent chacun deux bouteilles de champagne déjà fraiches je les conduis dans la salle à manger et j’appelle Élise. Le claquement du talon de ses escarpins dans l’escalier annonce son arrivée.
Lorsqu’elle entre dans la pièce Je constate que ma chérie n’a pas fait dans la demie mesure : elle porte sa dernière création une mini robe moulante blanche fermée par une attache dans le cou, ras la chatte avec un décolleté vertigineux qui descend presqu’au nombril et un dos nu jusqu’à la taille et bien évidemment sans sous-vêtement.
-Gérard ne peut retenir un petit sifflet d’admiration « vous êtes charmante et très jolie c’est pour nous torturer».
-Élise : « comme vous me l’avez dit aux toilettes avec ce que vous avez en tête n’est-ce pas ce que vous espériez ? »-Gérard : « en plus d’être jolie vous êtes sexy, il est impossible d’être insensible à votre charme » Élise met un CD de slow en fond sonore pendant que j’ouvre la première bouteille de champagne et sers quatre verres. Nous trinquons à la retraite de Max et à la soirée puis je pars dans la cuisine réchauffer les nems et le porc caramel.
A mon retour Gérard et Élise dansent sur « A wither shade of pale » elle les bras autour de son cou, lui les mains caressant les fesses de ma belle. Je pose le plat sur la table les danseurs nous rejoignent Élise se place entre Max et Gérard. Les mains indiscrètes trainent sous la table, les plats défilent, l’impatience de nos invités fait que nous sommes vite au dessert puis nous passons au salon pour le café. Le tu as remplacé le vous depuis la deuxième bouteille de champagne. Pendant que je débarrasse Élise fait face aux mains baladeuses des deux hommes finalement elle ne résiste pas longtemps et devient active elle caresse l’entrejambe des deux hommes et offre sa bouche à l’un puis à l’autre.
Peu à peu Élise se retrouve dépoitraillée et la robe remontée à la taille, Max lui suce les seins alors que Gérard visite la moule baveuse de ses gros doigts-Gérard : « Alan merci de nous permettre de découvrir les trésors de ta charmante épouse il semble que tu aimes l’offrir à d’autres hommes nous ferons ce qu’il faut pour vous satisfaire tous les deux»Sans attendre de réponse devant mon accord implicite Gérard et Max se mettent nus et lui présente leurs bijoux de famille. Élise retrouve la bite de Max dont elle a déjà profité la nuit passée, Gérard est doté d’un sexe nettement plus gros (plus de 4,5 cm de diamètre) et long d’au moins 20 cm. La bouche de ma gourmande passe de l’une à l’autre elle se régale suçote les glands puis avale les tiges avant de descendre lécher les couilles des deux hommes.
Je propose de passer dans la chambre. Je devance le trio avec le plateau sur lequel repose le seau à champagne et les verres. Derrière moi j’entends Élise pousser de petits cris je me retourne et vois mon épouse mutine qui essaie d’échapper aux mains baladeuses des vicieux. Elle se réfugie sur le lit faisant face aux deux hommes elle provoque les deux coquins s’en amusent.
-Elle : « êtes-vous sûr de pouvoir me baiser et me donner du plaisir les petits vieux ? »-Gérard : « tu vas voir petite allumeuse les deux papis sont encore vert et vont te le prouver en te possédant par tous les trous, ta chatte ton cul et ta bouche s’en souviendrons. »Max se jette sur le lit et après un corps à corps inégal il s’assied sur le torse de la belle en lui tenant les bras au-dessus de la tête ce qui lui permet de venir poser sa bite sur la bouche fermée de la malicieuse. Gérard intervient en lui tenant la tête et pinçant le nez.
Élise ne peut que céder sa bouche s’ouvre et est immédiatement investie par le braquemard de Max qui commence à baiser cette bouche gourmande pendant que Gérard se place aux pieds de l’aguicheuse il dépose des baisers sur les jambes qui s’ouvrent peu à peu. En arrivant au triangle fraichement toiletté son pouce et son index dégage le bouton d’amour de son capuchon il le suce et le mordille. L’amatrice lève son bassin pour mieux s’offrir, le galant glisse ses doigts dans la crevasse d’où suinte déjà la cyprine. Sous l’effet conjugué de la bite dans sa bouche et des doigts de Gérard elle ne tarde pas à ressentir sa première jouissance exprimée par un long gémissement en raison de la queue qui lui remplit la bouche.
-Gérard : « Alan regarde ta pute jouir et je ne lui ai pas encore mis ma queue, la soirée va te plaire cocu»Je suis assis sur le sofa encore habillé je bande ma braguette est tendue. Je regarde les deux hommes sur mon épouse, Max se branle en baisant la bouche de ma bergère et dans un râle sourd il éjacule au fond de sa gorge, la gourmande peine à avaler l’abondante liqueur dont le trop plein coule à la commissure de ses lèvres.
-Max : « voilà ma belle avale le bon jus de papi pour prendre des forces ça ne fait que commencer »-Max retourne la gourmande sur le ventre : « Élise met toi en position lève ton cul que Gérard te baise »Elle se met à quatre pattes Gérard se positionne derrière elle une main sur chaque cuisse avec les pouces il ouvre la fente et d’un coup de rein il plante profondément son chahuteur dans la boite à mouille de ma femme-Gérard : « tu vois je baise ta femme comme une chienne ! Tu bandes de voir ma matraque lui écarteler la chatte ? Hé le cocu met- toi à poil qu’on voit ta petite quéquette ! »-Gérard : « Madame est servie, tient cochonne comme promis je te laboure la minette comme dans mes rêves »-Élise : « Ne te gêne pas vieux vicelard, fait moi voir si ta grosse bite est capable de me donner du plaisir c’est tout ce qui m’intéresse. »Max de nouveau en forme se place face à Élise se fait sucer le poireau au bout de quelques minutes il propose : - « Gérard on prend cette catin en double pour lui remplir les trous »Gérard acquiesce et se met sur le dos :- « salope vient t’empaler sur mon goupillon pour que Max t’encule »Élise en prenant appui sur les hanches de Gérard vient se mettre au-dessus du priape et se laisse descendre jusqu’au pubis du boss, Max se glisse derrière elle et vient crever l’œil de bronze. Lentement et surement la bite du retraité s’insinue dans l’intestin de ma poupée qui adore se faire prendre en double.
Quand les deux queutards se mettent en mouvement elle éprouve de plus en plus de plaisir et le fait savoir, ses cris de bonheur résonnent dans la chambre. Je bande tellement devant le spectacle que je suis au bord de l’éjaculation. C’est une lapalissade de dire qu’Élise aime le sexe, elle le montre encore ce soir.
Soudain un long cri entre douleur et plaisir, témoigne de sa jouissance, accompagnée par les grognements des deux mâles qui se répandent au fond du vagin et de l’intestin de mon épouse. Cet orgasme général ne m’épargne pas j’éjacule sur le sol. Je m’empresse de nettoyer le sperme sur le plancher avec de l’essuie-tout.
Silencieux les trois amants récupèrent sur le lit il est à peine plus de vingt-trois heuresLe premier à briser le silence est Max : « je dois rentrer Odile m’attend je ne veux pas rentrer trop tard sinon elle va râler surtout quelle doit se douter qu’on baise Élise »-Gérard : «j’appelle Ali, tu préviens Odile que je passe demain je pense qu’elle appréciera que je la baise un petit coup s’il me reste des forces. »Max prend une douche rapide sans produit parfumé pour plus de discrétion il s’habille rapidement et boit une dernière coupe de champagne. Ali le chauffeur arrive une vingtaine de minutes plus tard. Max embrasse Élise il la remercie et salue Gérard en lui disant : « à demain vers quelle heure ? »-Gérard : « vers midi il faut que je récupère car la nuit va être courte avec Élise, cette salope je vais la défoncer toute la nuit »Nous descendons et J’accompagne Max jusqu’à la porte d’entrée le chauffeur est arrivé. Max me remercie pour ces deux soirées et nous souhaite un bon retour en région bordelaise. Je regarde la voiture s’éloigner puis je remonte tranquillement à l’étage. Déjà depuis le couloir j’entends que mon épouse et Gérard baisent de nouveau. La porte de la chambre étant entrouverte je décide de rester dans le couloir pour les épier. Comme je sais que je vais encore jouir je récupère un peu de sopalin dans la salle d’eau sur le palier. Je retourne discrètement à mon poste d’observation.
Je découvre Gérard en position du missionnaire sur ma femme. Élise les cuisses relevées les pieds crochetés sur les fesses de son amant se fait prendre avec une lenteur et amplitude montrant le désir de bien ressentir les sensations de ces sexes qui s’adaptent l’un à l’autre. Gérard, en appui sur ses bras tendus, plonge son regard dans celui ma moitié. Il laboure en cadence le ventre de sa maitresse. De temps en temps sa bouche va fouiller celle de ma belle.
Même si ils ne parlent pas très fort j’entends ce qu’ils se disent-Élise : « c’est bon Gérard continue je sens ta grosse queue aller et venir en moi tu me remplis fait moi jouir »-Lui : « ça te change de la petite bite de ton cocu, je vais te baiser toute la nuit mignonne »-Elle : « tout ce que tu veux tant que je jouis je suis à toi hoooo ouiiiiiiiiiii je viens hummm ouiiihaaa waouhhhh»-Lui : « ça va tu aimes tu veux faire une pause »-Elle : « non continue j’adore, tu me fais tellement jouir ! Je ne veux pas que tu arrêtes »-Lui : « t’es une adorable garce, une vraie salope qui m’ensorcèle. Si tu veux venir au siège je t’embauche »-Élise : « mais tu es fou qu’est-ce que j’y ferai ? On se connait à peine. »-Gérard : « tu auras une place de choix près de moi, bien payé peu de travail beaucoup de plaisir » -Élise : « Tu sais je suis marié ! Et Alan dans tout ça ? »-Gérard : « je le transfère au siège ou si tu veux tu viens seule, tu m’aide pour conclure certains contrats »-Élise : « Pour qui me prends-tu je ne suis pas une femme vénale ? J’aime mon mari et il n’est pas question que je le quitte ni pour de l’argent ni pour du sexe, je ne confonds pas le sexe et l’amour, je préfère me passer de sexe que de mon mari. Il n’est pas question que je te suive ! Si c’est ce que tu penses tu peux dégager »Je suis heureux et fier d’entendre la réponse de mon épouse, j’en bande encore plus-Gérard : « ne te fâche pas je retire ce que j’ai dit ! On se contente de baiser si tu veux bien » -Élise : « je veux que ce soit clair entre nous que du sexe ! D’accord ?»-Lui : « OK, je m’excuse si je t’ai blessé ce n’était pas mon intention pour me faire pardonner je vais te donner du plaisir toute la nuit »-Elle : « d’accord on oublie tout ça et tu me donnes du plaisir. Et ne remets jamais ça sur le tapis »-Lui : « on n’en parle plus je te promets mais tu restes ma chienne »-Elle : « Je me demande ce que fait mon homme ? Je ne l’ai entendu remonter » -Lui : « te sachant entre de bonnes mains il fait peut être la vaisselle pour nous laisser un peu d’intimité » Sur ces mots il se penche sur le triangle des Bermudes et se met à sucer le bouton tout en plongeant deux doigts dans l’intimité de ma femme. Cette fois cela semble un peu plus long pour remettre Élise dans l’ambiance de recherche du plaisir. Finalement au bout de longues minutes elle commence à pousser de petits gémissements.
-Gérard : « voilà ça vient, je sens que tu mouilles de plus en plus mets-toi en position je te prends en levrette »Elle se met à quatre pattes, derrière elle le queutard embroche et tronche sèchement ma libertine il donne de violents coups de bite, son braquemard sort et rentre rapidement dans son étui.
-lui : « tu aimes que je te défonce la matrice espèce de chienne tu ne veux que du sexe alors je te baise, tu me sers de vide couille comme une pute »-Élise : « oui vas-y plus fort, tu me remplis la chatte, j’aime comme tu me pilonnes la matrice je vais jouir ! Crache-moi ton jus dans le ventre ouiii viens »-Lui : « hooo oui j’envoie la purée au fond ahrgaarrrr »A mon tour j’éjacule dans l’essuie-tout Sans se désunir les deux amants basculent sur le côté je m’éloigne et descends rapidement ranger la salle à manger puis je remonte en faisant suffisamment de bruit pour être entendu. Quand j’entre dans la chambre Moreau est debout à côté du lit la bite dans la bouche d’Élise les mains sur sa tête il baise cette bouche accueillante.
-Élise se dégage : « enfin te voilà où étais tu chéri j’ai cru que tu étais parti avec Max pour baiser Céline »-Moi : « non je mettais juste un peu d’ordre en bas, je vois que pour vous tout va bien »-Elise : « on va dire çà….. Regarde ce mec doit utiliser des piles spéciale il ne débande pas. »-Gérard : « je dois le reconnaitre en prévision de la soirée avant de venir j’ai pris ce qu’il faut pour bien bander »-Moi : « chérie je peux espérer une petite pipe moi aussi ? »-Gérard : « prend ma place je vais la baiser en levrette »En montant sur le lit Élise m’invite :- « donne-moi ta queue mon amour que je te suce la merguez comme tu aimes » Je m’approche du lit et glisse ma queue tendue dans la bouche de ma bienaimée. Elle me suce avec amour, accrochée par un bras derrière mes fesses elle me tire vers elle son autre main me masse les joyeuses, ma chérie absorbe complètement mon dardillon, sa langue virevolte autour de mon gland elle me connait et sait que j’adore cette caresse. Derrière elle Gérard trempe son calibre dans la boite à mouille de ma suceuse. Le queutard met son marteau à boule en mouvement et frappe tel un métronome dans l’atelier de vénus, les coups violents projettent vers l’avant mon épouse dont le visage s’écrase sur les poils de mon pubis.
Élise prend autant sinon plus de plaisir que moi et cela s’entend dans ses gémissements …………………….à suivr
Elise s’approche de moi m’entraine un peu à l’écart et me raconte : -[Je vais aux toilettes Moreau me suit, il entre dans les WC dames derrière moi et attend que je sorte de la cabine. Il s’approche de moi en me fixant du regard avec un sourire carnassier, je ne sais pas quoi faire je suis paralysée je rends un sourire timide, il saisit l’occasion pour m’embrasser sur la bouche en me serrant contre lui et en profite pour me peloter.
Je sens sa bite bandée contre mon ventre je suis toute chose et réponds à son baiser, sa langue qui me fouille la bouche me fait mouiller je suis toute molle abandonnée dans ses bras. Il recule me regarde et me dit : « tu sais quand je t’ai vue en septembre au séminaire avec cette belle robe noire qui mettais ta poitrine en exergue ainsi que cette fente pleine de promesse sur ta cuisse découverte, j’ai tout de suite pensé c’est une bonne salope et l’envie de te baiser me tient depuis ce jour. » je lui réponds «monsieur vous ne devriez pas avoir de telles idées ».
Mettant son doigt sur ses lèvres : « tss tss chuuuut je sais tout de ta baise avec Max et Odile hier, ce soir ce sera avec moi, file maintenant»]-Élise ajoute : « Son objectif est clair voilà pourquoi Odile est venue me chercher, comment va t’il va faire ? »]Le reste du pot de départ se déroule sans encombre. Les personnels invités partent peu à peuIl est 18h30 les invités partis le traiteur débarrasse. Gérard, Max, Odile, Élise et moi sommes les derniers-Gérard : « Max nous faisons notre dernier diner de travail ce soir pour faire le point vous rentrerez tard. Odile vous m’excuserez de retenir Max une dernière fois, nous nous voyons demain.
Max demande à sa femme de rentrer avec la voiture lui promettant de rentrer le plus vite possible. Gérard précise « je le ferai ramener par mon chauffeur». Odile dit au revoir, Élise et moi prenons également congé dehors nous embrassons Odile près de sa voiture avant de rejoindre la nôtre qui est au fond du parking. Alors que la BM d’Odile disparait le PDG nous appelle et s’approche de moi-Gérard: « votre épouse nous recevrait-elle pour diner à la villa si je fais livrer le repas pour 19h30 ?»Je me tourne vers Élise : « chérie c’est à toi de répondre ? »-Élise : « à une condition sans manière et quelque chose de simple et rapide italien ou chinois»-Gérard : « si chinois vous convient je m’en occupe»Élise et moi nous regagnons la villa sur la route je profite des bouchons pour faire le plein, finalement nous arrivons à la villa vers 19h10 -Élise : « vu ce que Moreau a en tête il est préférable que j’aille me doucher et me changer avant qu’ils n’arrivent. » -Moi : « OK ma chérie fait toi belle éblouis les, je m’occupe du reste »Elle monte à l’étage, je dresse la table lorsque la sonnerie retentie. C’est le livreur, je récupère le sac contenant le repas et vais déballer le tout dans la cuisine. Nouveau coup de sonnette j’ouvre c’est Max suivi de Gérard qui me tendent chacun deux bouteilles de champagne déjà fraiches je les conduis dans la salle à manger et j’appelle Élise. Le claquement du talon de ses escarpins dans l’escalier annonce son arrivée.
Lorsqu’elle entre dans la pièce Je constate que ma chérie n’a pas fait dans la demie mesure : elle porte sa dernière création une mini robe moulante blanche fermée par une attache dans le cou, ras la chatte avec un décolleté vertigineux qui descend presqu’au nombril et un dos nu jusqu’à la taille et bien évidemment sans sous-vêtement.
-Gérard ne peut retenir un petit sifflet d’admiration « vous êtes charmante et très jolie c’est pour nous torturer».
-Élise : « comme vous me l’avez dit aux toilettes avec ce que vous avez en tête n’est-ce pas ce que vous espériez ? »-Gérard : « en plus d’être jolie vous êtes sexy, il est impossible d’être insensible à votre charme » Élise met un CD de slow en fond sonore pendant que j’ouvre la première bouteille de champagne et sers quatre verres. Nous trinquons à la retraite de Max et à la soirée puis je pars dans la cuisine réchauffer les nems et le porc caramel.
A mon retour Gérard et Élise dansent sur « A wither shade of pale » elle les bras autour de son cou, lui les mains caressant les fesses de ma belle. Je pose le plat sur la table les danseurs nous rejoignent Élise se place entre Max et Gérard. Les mains indiscrètes trainent sous la table, les plats défilent, l’impatience de nos invités fait que nous sommes vite au dessert puis nous passons au salon pour le café. Le tu as remplacé le vous depuis la deuxième bouteille de champagne. Pendant que je débarrasse Élise fait face aux mains baladeuses des deux hommes finalement elle ne résiste pas longtemps et devient active elle caresse l’entrejambe des deux hommes et offre sa bouche à l’un puis à l’autre.
Peu à peu Élise se retrouve dépoitraillée et la robe remontée à la taille, Max lui suce les seins alors que Gérard visite la moule baveuse de ses gros doigts-Gérard : « Alan merci de nous permettre de découvrir les trésors de ta charmante épouse il semble que tu aimes l’offrir à d’autres hommes nous ferons ce qu’il faut pour vous satisfaire tous les deux»Sans attendre de réponse devant mon accord implicite Gérard et Max se mettent nus et lui présente leurs bijoux de famille. Élise retrouve la bite de Max dont elle a déjà profité la nuit passée, Gérard est doté d’un sexe nettement plus gros (plus de 4,5 cm de diamètre) et long d’au moins 20 cm. La bouche de ma gourmande passe de l’une à l’autre elle se régale suçote les glands puis avale les tiges avant de descendre lécher les couilles des deux hommes.
Je propose de passer dans la chambre. Je devance le trio avec le plateau sur lequel repose le seau à champagne et les verres. Derrière moi j’entends Élise pousser de petits cris je me retourne et vois mon épouse mutine qui essaie d’échapper aux mains baladeuses des vicieux. Elle se réfugie sur le lit faisant face aux deux hommes elle provoque les deux coquins s’en amusent.
-Elle : « êtes-vous sûr de pouvoir me baiser et me donner du plaisir les petits vieux ? »-Gérard : « tu vas voir petite allumeuse les deux papis sont encore vert et vont te le prouver en te possédant par tous les trous, ta chatte ton cul et ta bouche s’en souviendrons. »Max se jette sur le lit et après un corps à corps inégal il s’assied sur le torse de la belle en lui tenant les bras au-dessus de la tête ce qui lui permet de venir poser sa bite sur la bouche fermée de la malicieuse. Gérard intervient en lui tenant la tête et pinçant le nez.
Élise ne peut que céder sa bouche s’ouvre et est immédiatement investie par le braquemard de Max qui commence à baiser cette bouche gourmande pendant que Gérard se place aux pieds de l’aguicheuse il dépose des baisers sur les jambes qui s’ouvrent peu à peu. En arrivant au triangle fraichement toiletté son pouce et son index dégage le bouton d’amour de son capuchon il le suce et le mordille. L’amatrice lève son bassin pour mieux s’offrir, le galant glisse ses doigts dans la crevasse d’où suinte déjà la cyprine. Sous l’effet conjugué de la bite dans sa bouche et des doigts de Gérard elle ne tarde pas à ressentir sa première jouissance exprimée par un long gémissement en raison de la queue qui lui remplit la bouche.
-Gérard : « Alan regarde ta pute jouir et je ne lui ai pas encore mis ma queue, la soirée va te plaire cocu»Je suis assis sur le sofa encore habillé je bande ma braguette est tendue. Je regarde les deux hommes sur mon épouse, Max se branle en baisant la bouche de ma bergère et dans un râle sourd il éjacule au fond de sa gorge, la gourmande peine à avaler l’abondante liqueur dont le trop plein coule à la commissure de ses lèvres.
-Max : « voilà ma belle avale le bon jus de papi pour prendre des forces ça ne fait que commencer »-Max retourne la gourmande sur le ventre : « Élise met toi en position lève ton cul que Gérard te baise »Elle se met à quatre pattes Gérard se positionne derrière elle une main sur chaque cuisse avec les pouces il ouvre la fente et d’un coup de rein il plante profondément son chahuteur dans la boite à mouille de ma femme-Gérard : « tu vois je baise ta femme comme une chienne ! Tu bandes de voir ma matraque lui écarteler la chatte ? Hé le cocu met- toi à poil qu’on voit ta petite quéquette ! »-Gérard : « Madame est servie, tient cochonne comme promis je te laboure la minette comme dans mes rêves »-Élise : « Ne te gêne pas vieux vicelard, fait moi voir si ta grosse bite est capable de me donner du plaisir c’est tout ce qui m’intéresse. »Max de nouveau en forme se place face à Élise se fait sucer le poireau au bout de quelques minutes il propose : - « Gérard on prend cette catin en double pour lui remplir les trous »Gérard acquiesce et se met sur le dos :- « salope vient t’empaler sur mon goupillon pour que Max t’encule »Élise en prenant appui sur les hanches de Gérard vient se mettre au-dessus du priape et se laisse descendre jusqu’au pubis du boss, Max se glisse derrière elle et vient crever l’œil de bronze. Lentement et surement la bite du retraité s’insinue dans l’intestin de ma poupée qui adore se faire prendre en double.
Quand les deux queutards se mettent en mouvement elle éprouve de plus en plus de plaisir et le fait savoir, ses cris de bonheur résonnent dans la chambre. Je bande tellement devant le spectacle que je suis au bord de l’éjaculation. C’est une lapalissade de dire qu’Élise aime le sexe, elle le montre encore ce soir.
Soudain un long cri entre douleur et plaisir, témoigne de sa jouissance, accompagnée par les grognements des deux mâles qui se répandent au fond du vagin et de l’intestin de mon épouse. Cet orgasme général ne m’épargne pas j’éjacule sur le sol. Je m’empresse de nettoyer le sperme sur le plancher avec de l’essuie-tout.
Silencieux les trois amants récupèrent sur le lit il est à peine plus de vingt-trois heuresLe premier à briser le silence est Max : « je dois rentrer Odile m’attend je ne veux pas rentrer trop tard sinon elle va râler surtout quelle doit se douter qu’on baise Élise »-Gérard : «j’appelle Ali, tu préviens Odile que je passe demain je pense qu’elle appréciera que je la baise un petit coup s’il me reste des forces. »Max prend une douche rapide sans produit parfumé pour plus de discrétion il s’habille rapidement et boit une dernière coupe de champagne. Ali le chauffeur arrive une vingtaine de minutes plus tard. Max embrasse Élise il la remercie et salue Gérard en lui disant : « à demain vers quelle heure ? »-Gérard : « vers midi il faut que je récupère car la nuit va être courte avec Élise, cette salope je vais la défoncer toute la nuit »Nous descendons et J’accompagne Max jusqu’à la porte d’entrée le chauffeur est arrivé. Max me remercie pour ces deux soirées et nous souhaite un bon retour en région bordelaise. Je regarde la voiture s’éloigner puis je remonte tranquillement à l’étage. Déjà depuis le couloir j’entends que mon épouse et Gérard baisent de nouveau. La porte de la chambre étant entrouverte je décide de rester dans le couloir pour les épier. Comme je sais que je vais encore jouir je récupère un peu de sopalin dans la salle d’eau sur le palier. Je retourne discrètement à mon poste d’observation.
Je découvre Gérard en position du missionnaire sur ma femme. Élise les cuisses relevées les pieds crochetés sur les fesses de son amant se fait prendre avec une lenteur et amplitude montrant le désir de bien ressentir les sensations de ces sexes qui s’adaptent l’un à l’autre. Gérard, en appui sur ses bras tendus, plonge son regard dans celui ma moitié. Il laboure en cadence le ventre de sa maitresse. De temps en temps sa bouche va fouiller celle de ma belle.
Même si ils ne parlent pas très fort j’entends ce qu’ils se disent-Élise : « c’est bon Gérard continue je sens ta grosse queue aller et venir en moi tu me remplis fait moi jouir »-Lui : « ça te change de la petite bite de ton cocu, je vais te baiser toute la nuit mignonne »-Elle : « tout ce que tu veux tant que je jouis je suis à toi hoooo ouiiiiiiiiiii je viens hummm ouiiihaaa waouhhhh»-Lui : « ça va tu aimes tu veux faire une pause »-Elle : « non continue j’adore, tu me fais tellement jouir ! Je ne veux pas que tu arrêtes »-Lui : « t’es une adorable garce, une vraie salope qui m’ensorcèle. Si tu veux venir au siège je t’embauche »-Élise : « mais tu es fou qu’est-ce que j’y ferai ? On se connait à peine. »-Gérard : « tu auras une place de choix près de moi, bien payé peu de travail beaucoup de plaisir » -Élise : « Tu sais je suis marié ! Et Alan dans tout ça ? »-Gérard : « je le transfère au siège ou si tu veux tu viens seule, tu m’aide pour conclure certains contrats »-Élise : « Pour qui me prends-tu je ne suis pas une femme vénale ? J’aime mon mari et il n’est pas question que je le quitte ni pour de l’argent ni pour du sexe, je ne confonds pas le sexe et l’amour, je préfère me passer de sexe que de mon mari. Il n’est pas question que je te suive ! Si c’est ce que tu penses tu peux dégager »Je suis heureux et fier d’entendre la réponse de mon épouse, j’en bande encore plus-Gérard : « ne te fâche pas je retire ce que j’ai dit ! On se contente de baiser si tu veux bien » -Élise : « je veux que ce soit clair entre nous que du sexe ! D’accord ?»-Lui : « OK, je m’excuse si je t’ai blessé ce n’était pas mon intention pour me faire pardonner je vais te donner du plaisir toute la nuit »-Elle : « d’accord on oublie tout ça et tu me donnes du plaisir. Et ne remets jamais ça sur le tapis »-Lui : « on n’en parle plus je te promets mais tu restes ma chienne »-Elle : « Je me demande ce que fait mon homme ? Je ne l’ai entendu remonter » -Lui : « te sachant entre de bonnes mains il fait peut être la vaisselle pour nous laisser un peu d’intimité » Sur ces mots il se penche sur le triangle des Bermudes et se met à sucer le bouton tout en plongeant deux doigts dans l’intimité de ma femme. Cette fois cela semble un peu plus long pour remettre Élise dans l’ambiance de recherche du plaisir. Finalement au bout de longues minutes elle commence à pousser de petits gémissements.
-Gérard : « voilà ça vient, je sens que tu mouilles de plus en plus mets-toi en position je te prends en levrette »Elle se met à quatre pattes, derrière elle le queutard embroche et tronche sèchement ma libertine il donne de violents coups de bite, son braquemard sort et rentre rapidement dans son étui.
-lui : « tu aimes que je te défonce la matrice espèce de chienne tu ne veux que du sexe alors je te baise, tu me sers de vide couille comme une pute »-Élise : « oui vas-y plus fort, tu me remplis la chatte, j’aime comme tu me pilonnes la matrice je vais jouir ! Crache-moi ton jus dans le ventre ouiii viens »-Lui : « hooo oui j’envoie la purée au fond ahrgaarrrr »A mon tour j’éjacule dans l’essuie-tout Sans se désunir les deux amants basculent sur le côté je m’éloigne et descends rapidement ranger la salle à manger puis je remonte en faisant suffisamment de bruit pour être entendu. Quand j’entre dans la chambre Moreau est debout à côté du lit la bite dans la bouche d’Élise les mains sur sa tête il baise cette bouche accueillante.
-Élise se dégage : « enfin te voilà où étais tu chéri j’ai cru que tu étais parti avec Max pour baiser Céline »-Moi : « non je mettais juste un peu d’ordre en bas, je vois que pour vous tout va bien »-Elise : « on va dire çà….. Regarde ce mec doit utiliser des piles spéciale il ne débande pas. »-Gérard : « je dois le reconnaitre en prévision de la soirée avant de venir j’ai pris ce qu’il faut pour bien bander »-Moi : « chérie je peux espérer une petite pipe moi aussi ? »-Gérard : « prend ma place je vais la baiser en levrette »En montant sur le lit Élise m’invite :- « donne-moi ta queue mon amour que je te suce la merguez comme tu aimes » Je m’approche du lit et glisse ma queue tendue dans la bouche de ma bienaimée. Elle me suce avec amour, accrochée par un bras derrière mes fesses elle me tire vers elle son autre main me masse les joyeuses, ma chérie absorbe complètement mon dardillon, sa langue virevolte autour de mon gland elle me connait et sait que j’adore cette caresse. Derrière elle Gérard trempe son calibre dans la boite à mouille de ma suceuse. Le queutard met son marteau à boule en mouvement et frappe tel un métronome dans l’atelier de vénus, les coups violents projettent vers l’avant mon épouse dont le visage s’écrase sur les poils de mon pubis.
Élise prend autant sinon plus de plaisir que moi et cela s’entend dans ses gémissements …………………….à suivr
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