Élise libertine 48 -passage de relais 3/4 Le PDG part, la directrice arrive
Récit érotique écrit par Jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Élise libertine 48 -passage de relais 3/4 Le PDG part, la directrice arrive
Voici la suite des aventures de notre couple : en 2004 mon épouse Élise hypersexuelle et moi Alan candauliste sommes mariés depuis 31ans. Vous pouvez suivre notre évolution libertine dans nos récits précédents d’Élise libertineA la suite d’une manigance avec l’aide directeur régional qui prend sa retraite le PDG est en train de baiser ma femme qui me suce (voir partie 1 et 2) Élise prend autant de plaisir que moi et cela s’entend dans ses gémissements. Le rythme est parfois perturbé par les claques que le PDG assène sur les fesses féminines qui commencent à rosir. Le clac clac des mains frappant la croupe ainsi que les propos dominateurs que tient le fornicateur, rendent l’instant encore plus torride.
Je ne peux me retenir et ma merguez (comme dit ma femme) crache son jus au fond de cette bouche si douce.
-Gérard : « quelle belle chienne tu fais ! Tu aimes qu’on te brutalise vicieuse, mon chibre te défonce ta chatte de dévergondée, tu es toute à moi. Avale vite le sperme de ton mec ! Tu veux encore de la bite salope ? »-Élise : « ouiiii continue traite moi de tout ce que tu veux, fait moi mal mais fait moi jouir j’adore»-Gérard : « catin tu aimes le sexe viril tu vas être servie trainée, tu es ma pute, je vais te casser le cul tu es prête»-Élise : « oui je suis ta chienne fait moi ce que tu veux, tant que tu me donnes du plaisir»Le maitre frappe généreusement le joufflu cramoisi qui s’agite. Il crache sur la pastille brune et son pouce s’introduit dans l’anneau ridé, sans attendre il rajoute un puis deux doigt et commence à les remuer. Au bout de quelques instants jugeant la cible suffisamment détendue il vient poser son gros gland sur l’objectif et pousse. Élise respire profondément et va d’elle-même au-devant du gros calibre qui pénètre l’entrée de service.
-Elle : « ooooh continue encule moi plus fort fait de moi une enculée, une pute heureuse aaaaaah ouiii c’est bon » Excité par ces paroles Gérard saisit les hanches de la belle et lime avec rapidité et violence le conduit intestinal. Elle exprime son bonheur par des onomatopées, lui lance des mots crus et insultants accompagnés de claques qui résonnent dans la chambre. Je suis de nouveau spectateur, je caresse le dos de ma moitié ainsi que ses seins dont les tétons bandé roulent entre mes doigts. Son corps tout entier réagit elle frisonne respire plus viteDes «mmhmmm,des aaaaahooooooh » s’échappent de ses lèvres suivis de quelques semblant de phrases saccadés : -« que c’est bon ! Encore ne t’arrête pas, plus vite oui plus profond………. » -Gérard : « tu vois qu’il est bon mon braquemard je tiens ma promesse de te donner du plaisir tu es ma pute préférée, ça te plais d’être mienne ? »Il s’est penché pour lui glisser ces mots à l’oreille, ses mains ont quitté les hanches pour attraper les deux seins auxquels il s’accroche pour s’enfoncer profondément dans l’anus accueillant.
-Élise : «oui je à toi j’aime que tu m’encules que ta bite me ramone l’intestin ouiii défonce moi le cul ! »-Gérard : « tu es ma femelle et je fais de toi ce que je veux je te baise le fion la chatte ou la bouche comme je veux »-Élise : « hummmmm oui ouiiiii fais-moi jouir je te veux, envoie-moi ton foutre au fond aaaahh ooooooh je viens » Elle se tend les yeux fermés elle pose sa tête sur l’oreiller qu’elle mord, ses mains crispées sur le drap elle pousse son corps à la rencontre de la queue de son amant qui la sodomise il n’en faut pas plus pour qu’à son tour il grogne et éjacule abondamment dans le confortable étui. Il s’écroule sur elle, lui suce le lobe de l’oreille puis lui tourne le visage pour l’embrasser sur la bouche. Ils restent sur le côté enlacés -Gérard la regarde dans les yeux : « tu es ma femelle et tu aimes ça n’est-ce pas »-Elle : « oui ! j’aime ta queue ta façon de me baiser et le plaisir que tu me donnes » Il est plus de deux heures du matin Élise remonte le drap je rejoins le couple dans notre lit ma chérie me donne un baiser plein d’amour puis souhaite bonne nuit à ses hommes. Je m’endors, dans de la nuit je suis réveillé par des secousses je tends le bras mon épouse guide ma main entre ses cuisses afin que je branle son bouton pendant que Gérard la sodomise. Sa chatte est trempée de cyprine elle est très excitée. Tout en s’approchant de moi elle bouge pour mieux offrir son cul aux assauts du gourdin de son amant. Je jette un œil sur le réveil il est quatre heures.
-Elle m’embrasse et me susurre à l’oreille : « il est insatiable il ne débande pas j’aime sentir sa grosse queue en moi il me rend folle de plaisir je n’arrête pas de jouir de partout j’aime qu’il me baise il vient de me graisser la moule maintenant c’est mon cul j’adore »-Je lui réponds doucement : « profite en, prend du plaisir tu te reposeras demain »Elle m’embrasse à nouveau tout en caressant ma petite queue toute molle et me dit: « merci mon amour je t’aime »Ensuite elle passe une jambe au-dessus de son amant afin de pivoter légèrement pour lui fouiller la bouche. Elle lui demande de changer de position. Ma femme se met sur le dos, le queutard se place à genou entre ses cuisses et pose les jambes d’Élise sur ses épaules il place ses bras de chaque côté du corps féminin décollant suffisamment le bassin de l’aventureuse pour replanter son énorme bite dans le cul bien ouvert et il la pine à nouveau.
-Gérard : « ma petite pute tu ne te lasses pas de ma bite, elle te plait ma mentule tu ne peux pas t’en passer, t’es heureuse d’être ma femelle pour en profiter. »Je me retourne et replonge dans les bras de Morphée. Je me réveille vers 7h00 le lit est vide mais j’entends les sons étouffés de gémissements, je me redresse et découvre Élise penchée sur l’accoudoir du sofa le visage dans un coussin pour étouffer ses cris, derrière elle Gérard besogne inlassablement la boite à plaisir de mon insatiable épouse qui enchaine le énième orgasme de la nuit. Je me lève et embrasse mon épouse en passant.
-Gérard me regarde : « c’est vrai qu’il ne faut pas lui en promettre à ta salope, elle est faite pour le plaisir, elle est avide de bite et moi je commence à avoir mal à la queue » -Élise : « chérie je suis crevée il ne m’a pas laissé dormir lorsqu’il ne bandait plus il se servait de sa bouche je suis incapable de te dire combien de fois j’ai joui »-Moi : « je descends faire le petit déjeuner car vous devez avoir faim »-Gérard : « et soif car le reste de champagne est chaud »Le temps de faire le café, de griller du pain et de sortir jus de fruit ils arrivent bras dessus bras dessous. Nous prenons notre petit déjeuner pratiquement sans parler puis Gérard se lève caresse la joue d’Élise l’embrasse sur le bouche.
-Gérard : « ma petite pute on remet ça quand tu veux mais maintenant je dois aller me reposer pour Odile »Il appelle son chauffeur et monte prendre une douche vingt minutes plus tard Ali arrive Gérard est prêt.
Lui : « merci à vous deux au revoir car je pense que l’on se reverra ! N’est-ce pas ma petite chienne ? »Dès qu’il est parti Élise se jette dans mes bras « merci mon amour j’ai passé une merveilleuse nuit mais il faut que je me repose tu me réveilles à midi. Elle monte rapidement à l’étage pour se coucher. Moi je range et fait le ménage dans la cuisine et le salon puis je vais faire quelques courses en prévision de l’arrivée de Carole Dubois le lendemain.
Je prépare le repas de midi puis je monte réveiller mon épouse adorée. Élise se lève péniblement et passe sous la douche pour se réveiller. Elle arrive dans la cuisine vêtue d’une robe de chambre. Après le repas Élise est en pleine forme nous déménageons nos affaires dans une autre chambre afin de laisser la suite parentale propre et accueillante à Carole la nouvelle directrice et son mari. Le soir nous c’est plateau télé avant de gagner notre nouvelle chambre nous avons fait l’amour avec tendresses.
Le dimanche vers onze heures Carole arrive au volant d’une Mercedes Cls neuve avec une fiat 500 sur sa remorque, suivie d’un fourgon de location conduit par son mari. Nous faisons connaissance de Bilal petit-fils de harki un mètre quatre-vingt Ingénieur (IEF) dans la défense. Il a obtenu sa mutation à Lyon à compter du premier novembre, leur fils de 19 ans est resté, dans l’appartement dont ils sont propriétaires, à Orléans pour son cursus universitaire. Nous les accueillons avec un petit apéritif (Bilal est non pratiquant) avant de passer à table pour un repas simple.
Après le repas Élise et moi avons préparé nous proposons de les aider à emménager. Carole accepte, nous organisons la répartition des tâches, Bilal et moi déchargeons les cartons et les valises pour les déposer dans les pièces selon le contenu, les femmes déballent et rangent à l’étage, les hommes au rez de chaussée. Du côté homme à dix-neuf heures tous les cartons sont vidés le matériel rangé nous montons pour narguer les femmes qui n’ont pas terminé il semble qu’elles papotent beaucoup. Elles nous envoient préparer le repas. Avec Bilal nous préférons commander des pizzas. A vingt heures les pizzas arrivent les femmes descendent rapidement pour diner. Toute la soirée nous parlons de nos vies respectives, de nos familles, de nos enfants et de nos carrières avant d’aller nous coucher vers vingt-trois heures.
Une fois dans la chambre ma chère et tendre me raconte ses échanges avec sa nouvelle amie :[ -Carole : « je peux te demander de ne pas parler de ma liaison avec Sean pendant le séminaire devant mon mari il n’est pas au courant »-Élise : « bien sûr ne craint rien nous savons ménager nos amis, au fait comment trouves-tu Sean. »- « Sean baise super bien, il m’a dit qu’il est votre amant depuis 1980 c’est vrai ? »- « oui, mais Alan et lui se connaissent depuis 1969 ils sont comme des frères incestueux »- « tu n’étais pas fâchée que je couche avec lui le mois dernier. » - « non juste un peu déçue, que tu n’aies pas voulu coucher avec nous »-Carole : « j’avais peur c’était la première fois que je trompais Bilal et je ne savais pas si j’en étais capable »-Élise : « et finalement tu en penses quoi ? »-« j’ai adoré et pris beaucoup de plaisir mais quand je suis avec Bilal et que j’y pense je ne suis pas à l’aise »- « tu as peur qu’il le découvre ou de sa réaction »-« Les deux, je crois qu’il m’est fidèle et qu’il n’acceptera pas d’être cocu » ]Élise me confie qu’en rangeant les vêtements elle a vu plusieurs tenues sexy que son mari lui a achetées carole a avoué ne pas les mettre car elle les trouvait trop osées. Après le récit de ces confidences, fatigués nous nous sommes endormis.
Le lundi matin six heures je me lève, j’enfile un short un tee-shirt et descends dans la cuisine j’y trouve Carole qui est en train de préparer le café. Les cheveux en bataille elle est en chemise de nuit parme courte avec un peignoir, au-dessous du genou, assorti. Finalement même comme cela elle est très jolie je la salue en l’embrassant je m’assieds rapidement pour dissimuler un début d’érection. Elle me sert gentiment mon café pendant que je coupe le pain qu’elle fait griller. Nous commençons à prendre le petit déjeuner lorsque Bilal arrive lui est déjà douché il est en costume cravate mais avec la veste à la main. Après avoir embrassé sa femme Il me serre la main et s’assied à côté de moi pour petit déjeuner avec nous.
-Bilal : « alors prêt pour le passage de témoin »-moi : « cela devrai aller Carole connait bien les procédures et le fonctionnement mais elle va quand même découvrir les particularités du boulot de directrice régionale, on va démarrer fort pour être cool en fin de semaine »-Carole : « Pour ne pas prendre de retard on va commencer avant huit heures et prendre la pause de midi sur place on se fera livrer quelque chose et toi chéri qu’as-tu prévu aujourd’hui» -Bilal : « Ce matin je dois rendre le fourgon chez Europcar à Lyon avant huit heures je vais partir vers sept heures pour être pénard, ensuite je vais prendre contact avec mon futur boss. Cet après-midi si je peux j’irai voir mon futur bureau et mes futurs collègues. »6h40 Carole se lève de table : « Je monte me doucher et me préparer, Alan on se retrouve ici à 7h15! » -Bilal : « Attention Alan ne te laisse pas faire elle a du caractère la miss »-moi : « Pas de souci j’en connais d’autres et je suis sûr d’être prêt avant elle, je ne me maquille pas et ne rase pas»Je reste quelques minutes avec Bilal puis je monte prendre ma douche dans la salle d’eau du couloir. Un quart d’heure plus tard je suis prêt j‘embrasse Élise qui se lève. Elle enfile son déshabillé sur sa nuisette rouge l’ensemble cache à peine sa chatte et son cul elle descend un peu derrière moi. Au milieu des escaliers elle croise Bilal ils s’embrassent pour se dire bonjour.
Elise arrive en cuisine je lui sers son café elle me sourit m’embrasse et dit : « Bilal s’est rincé l’œil dans l’escalier. » Elle déjeune quand Carole en tailleur velours bordeaux et corsage blanc redescend avec Bilal et vient l’embrasser.
-Carole « Ma pauvre Élise nous t’abandonnons tous aujourd’hui ! Alan et moi déjeunerons au travail et Bilal va à son nouveau bureau tu vas être seule nous essaierons de ne pas renter tard. »-Élise : « Pas de soucis je vais faire un peu de ménage puis j’irai en ville déjeuner et faire quelques courses pour ce soir si vous voulez ! Avez-vous des préférences pour le diner. »-Carole : « Fait comme tu veux nous ne sommes pas difficiles »-Élise : « Soupe de potiron, gratin de légumes à la provençale et crème caramel ça vous va ? »-Bilal : « Excellent, j’ai hâte d’être à ce soir ! bien maintenant j’y vais, bonne journée à tous» Nous entendons le fourgon partir, Carole et moi embrassons Élise et partons au bureau avec la Mercedes. A 7h45 nous arrivons les premiers au bureau le secrétariat n’ouvre qu’à huit heures, seuls quelques bureaux des services sont éclairés. J’en profite pour laisser à Carole le temps de s’installer à son bureau, puis je lui passe les premiers dossiers. Vers huit heures Nadia la secrétaire de direction arrive et voyant le bureau du directeur allumé elle s‘en inquiète et vient voir.
-Nadia : « bonjour madame excusez-moi, je suis Nadia la secrétaire je ne pensais pas que vous seriez là si tôt. Bonjour monsieur Alan »-Carole : « bonjour Nadia il n’y a pas de mal. Nous avons commencé de bonne heure afin d’avancer avant que la ruche ne bourdonne. Entrez faisons connaissance »Carole se présente et interroge la secrétaire sur sa formation, son CV professionnel, son ancienneté dans la société et à son poste. Elle lui demande si cela ne lui pose pas de problème d’être sous les ordres d’une femme.
-Sonia : « non au contraire Monsieur Max était un peu dragueur ce n’était pas toujours facile».
-Carole : « s’il vous a gardé c’est que vous devez faire du bon travail j’espère que nous allons nous entendre »-Nadia : « j’espère madame la directrice, comment dois-je vous appeler ? »-Carole : « vous appeliez mon prédécesseur Monsieur Max, appelez-moi Madame Carole. Vous pouvez y aller aujourd’hui je travaille avec Alan et nous ferons le tour des bureaux de la direction en début d’après-midi vous nous accompagnerez. » La journée est chargée mais prolifique nous avançons à grand pas il est plus de dix-huit heures trente quand nous quittons le bureau en remerciant Nadia d’être restée avec nous aussi tard. Nous sommes arrivés à la villa peu après dix-neuf heures quinze à cause des bouchons et de nos erreurs de trajet.
A notre arrivée Élise et Bilal discutent dans le salon nous échangeons le bonsoir je tombe la veste Carole monte se rafraichir et mettre une tenue plus décontractée. Un quart d’heure plus tard chacun raconte sa journée. Bilal raconte sa prise de contact avec son nouveau patron, pour ne pas laisser Élise seule il est rentré déjeuner avec elle à midi puis l’après-midi il est allé avec boulot en fiat rencontrer ses collègues. Élise a fait un peu de ménage et lambiné jusqu’au retour de Bilal pour déjeuner, cet après-midi elle a fait les courses pour le repas qu’elle nous a concocté. Carole et moi avouons que nous n’avons pas levé le nez de nos dossiers heureusement Nadia nous a apporté des sandwichs.
Nous prenons un petit apéro et dinons tranquillement Carole et Bilal donnent leurs impressions de la journée ensuite pendant que Bilal et moi prenons le café et le pousse les femmes s’affairent dans la cuisine. A vingt-deux heures Carole fatiguée souhaite aller se coucher et nous dit bonsoir suivi de Bilal. Élise et moi montons à notre tour.
Une fois couché Élise vient se blottir dans mes bras m’embrasse en me caresse et susurre : « je n’ai pas tout dit il faut que je te raconte :[« Après votre départ je suis retourné au lit jusqu’à neuf heures puis comme j’étais seule pour la journée je prends ma douche sans fermer la porte du palier quand je sors de la douche je m’essuie dans le miroir je vois Bilal la queue à la main il se branle en me regardant il devait me voir sous la douche.
Nos regard se croisent mais nous ne bougeons ni l’un ni l’autre. Sans le quitter du regard je me retourne je quitte ses yeux pour regarder son sexe. Mon dieu quelle queue (plus grosse et aussi longue que Gérard), sa verge énorme sortie d’un buisson de poils noirs m’hypnotise. Il se caresse lentement en dégageant bien le gland le regard toujours fixé sur moi.
Il s’approche doucement de moi ses yeux regardent mes seins puis ma chatte. Il me demande s’il peut me toucher je ne réponds pas mais ne recule pas il pose sa main sur le triangle bien taillée de ma toison. Il me dit qu’il aime puis s’approche encore il prend ma main et la pose sur sa bite, je ferme les doigts ils ne font pas le tour.
A ce moment-là je dis « mais tu ne devais pas aller voir ton boss ? » Il me répond « en te voyant dans l’escalier ce matin j’ai eu envie de venir te voir et tenter ma chance, au pire j’irais voir mon chef un peu plus tard que prévu, reconnait que c’est mieux comme ça. » Je lui demande « et ta femme dans tout ça ? » « Je l’aime mais elle est un peu coincée côté sexe. » Il s’avance me prend dans ses bras et m’embrasse. Il me demande « et ton mari ? »« Pour lui ce n’est pas un problème nous sommes libertins et si lui ne cherche pas d’autres femmes, il connait mon appétit pour le sexe et aime me voir avec d’autres hommes. » Les mains du coquin parcourent mon corps je l’entraine dans notre chambre, je l’ai sucé il m’a baisé pendant une heure puis est parti avant onze heure et revenu à midi et demi nous sommes allés au resto italien puis il est allé à son bureau, moi j’ai fait mes courses. Nous nous sommes retrouvés ensuite dans notre chambre où nous avons de nouveau baisé plus d’une heure avant de nous doucher pour effacer les traces et odeurs avant de cuisiner. Il baise bien mais un peu primaire pas de préliminaires, il ne suce jamais sa femme ni l’inverse. ]Moi : « et tu as aimé sa bite ? »Elle : « elle est super grosse il m’a bien bourrée et longtemps j’ai joui plusieurs fois quand il a éjaculé dans ma bouche il a voulu se retirer mais je l’ai maintenu pour goûter son jus un peu acre et légèrement salé. »Moi : « maintenant vous allez baiser toute le semaine »Elle : « probablement mais j’aimerai bien que l’on décoince un peu Carole et pousser Bilal a plus de préliminaire »Moi : « si je comprends bien tu veux que je t’aide à les convertir en libertins et donc que je chauffe Carole» …………………………….à suivre
Je ne peux me retenir et ma merguez (comme dit ma femme) crache son jus au fond de cette bouche si douce.
-Gérard : « quelle belle chienne tu fais ! Tu aimes qu’on te brutalise vicieuse, mon chibre te défonce ta chatte de dévergondée, tu es toute à moi. Avale vite le sperme de ton mec ! Tu veux encore de la bite salope ? »-Élise : « ouiiii continue traite moi de tout ce que tu veux, fait moi mal mais fait moi jouir j’adore»-Gérard : « catin tu aimes le sexe viril tu vas être servie trainée, tu es ma pute, je vais te casser le cul tu es prête»-Élise : « oui je suis ta chienne fait moi ce que tu veux, tant que tu me donnes du plaisir»Le maitre frappe généreusement le joufflu cramoisi qui s’agite. Il crache sur la pastille brune et son pouce s’introduit dans l’anneau ridé, sans attendre il rajoute un puis deux doigt et commence à les remuer. Au bout de quelques instants jugeant la cible suffisamment détendue il vient poser son gros gland sur l’objectif et pousse. Élise respire profondément et va d’elle-même au-devant du gros calibre qui pénètre l’entrée de service.
-Elle : « ooooh continue encule moi plus fort fait de moi une enculée, une pute heureuse aaaaaah ouiii c’est bon » Excité par ces paroles Gérard saisit les hanches de la belle et lime avec rapidité et violence le conduit intestinal. Elle exprime son bonheur par des onomatopées, lui lance des mots crus et insultants accompagnés de claques qui résonnent dans la chambre. Je suis de nouveau spectateur, je caresse le dos de ma moitié ainsi que ses seins dont les tétons bandé roulent entre mes doigts. Son corps tout entier réagit elle frisonne respire plus viteDes «mmhmmm,des aaaaahooooooh » s’échappent de ses lèvres suivis de quelques semblant de phrases saccadés : -« que c’est bon ! Encore ne t’arrête pas, plus vite oui plus profond………. » -Gérard : « tu vois qu’il est bon mon braquemard je tiens ma promesse de te donner du plaisir tu es ma pute préférée, ça te plais d’être mienne ? »Il s’est penché pour lui glisser ces mots à l’oreille, ses mains ont quitté les hanches pour attraper les deux seins auxquels il s’accroche pour s’enfoncer profondément dans l’anus accueillant.
-Élise : «oui je à toi j’aime que tu m’encules que ta bite me ramone l’intestin ouiii défonce moi le cul ! »-Gérard : « tu es ma femelle et je fais de toi ce que je veux je te baise le fion la chatte ou la bouche comme je veux »-Élise : « hummmmm oui ouiiiii fais-moi jouir je te veux, envoie-moi ton foutre au fond aaaahh ooooooh je viens » Elle se tend les yeux fermés elle pose sa tête sur l’oreiller qu’elle mord, ses mains crispées sur le drap elle pousse son corps à la rencontre de la queue de son amant qui la sodomise il n’en faut pas plus pour qu’à son tour il grogne et éjacule abondamment dans le confortable étui. Il s’écroule sur elle, lui suce le lobe de l’oreille puis lui tourne le visage pour l’embrasser sur la bouche. Ils restent sur le côté enlacés -Gérard la regarde dans les yeux : « tu es ma femelle et tu aimes ça n’est-ce pas »-Elle : « oui ! j’aime ta queue ta façon de me baiser et le plaisir que tu me donnes » Il est plus de deux heures du matin Élise remonte le drap je rejoins le couple dans notre lit ma chérie me donne un baiser plein d’amour puis souhaite bonne nuit à ses hommes. Je m’endors, dans de la nuit je suis réveillé par des secousses je tends le bras mon épouse guide ma main entre ses cuisses afin que je branle son bouton pendant que Gérard la sodomise. Sa chatte est trempée de cyprine elle est très excitée. Tout en s’approchant de moi elle bouge pour mieux offrir son cul aux assauts du gourdin de son amant. Je jette un œil sur le réveil il est quatre heures.
-Elle m’embrasse et me susurre à l’oreille : « il est insatiable il ne débande pas j’aime sentir sa grosse queue en moi il me rend folle de plaisir je n’arrête pas de jouir de partout j’aime qu’il me baise il vient de me graisser la moule maintenant c’est mon cul j’adore »-Je lui réponds doucement : « profite en, prend du plaisir tu te reposeras demain »Elle m’embrasse à nouveau tout en caressant ma petite queue toute molle et me dit: « merci mon amour je t’aime »Ensuite elle passe une jambe au-dessus de son amant afin de pivoter légèrement pour lui fouiller la bouche. Elle lui demande de changer de position. Ma femme se met sur le dos, le queutard se place à genou entre ses cuisses et pose les jambes d’Élise sur ses épaules il place ses bras de chaque côté du corps féminin décollant suffisamment le bassin de l’aventureuse pour replanter son énorme bite dans le cul bien ouvert et il la pine à nouveau.
-Gérard : « ma petite pute tu ne te lasses pas de ma bite, elle te plait ma mentule tu ne peux pas t’en passer, t’es heureuse d’être ma femelle pour en profiter. »Je me retourne et replonge dans les bras de Morphée. Je me réveille vers 7h00 le lit est vide mais j’entends les sons étouffés de gémissements, je me redresse et découvre Élise penchée sur l’accoudoir du sofa le visage dans un coussin pour étouffer ses cris, derrière elle Gérard besogne inlassablement la boite à plaisir de mon insatiable épouse qui enchaine le énième orgasme de la nuit. Je me lève et embrasse mon épouse en passant.
-Gérard me regarde : « c’est vrai qu’il ne faut pas lui en promettre à ta salope, elle est faite pour le plaisir, elle est avide de bite et moi je commence à avoir mal à la queue » -Élise : « chérie je suis crevée il ne m’a pas laissé dormir lorsqu’il ne bandait plus il se servait de sa bouche je suis incapable de te dire combien de fois j’ai joui »-Moi : « je descends faire le petit déjeuner car vous devez avoir faim »-Gérard : « et soif car le reste de champagne est chaud »Le temps de faire le café, de griller du pain et de sortir jus de fruit ils arrivent bras dessus bras dessous. Nous prenons notre petit déjeuner pratiquement sans parler puis Gérard se lève caresse la joue d’Élise l’embrasse sur le bouche.
-Gérard : « ma petite pute on remet ça quand tu veux mais maintenant je dois aller me reposer pour Odile »Il appelle son chauffeur et monte prendre une douche vingt minutes plus tard Ali arrive Gérard est prêt.
Lui : « merci à vous deux au revoir car je pense que l’on se reverra ! N’est-ce pas ma petite chienne ? »Dès qu’il est parti Élise se jette dans mes bras « merci mon amour j’ai passé une merveilleuse nuit mais il faut que je me repose tu me réveilles à midi. Elle monte rapidement à l’étage pour se coucher. Moi je range et fait le ménage dans la cuisine et le salon puis je vais faire quelques courses en prévision de l’arrivée de Carole Dubois le lendemain.
Je prépare le repas de midi puis je monte réveiller mon épouse adorée. Élise se lève péniblement et passe sous la douche pour se réveiller. Elle arrive dans la cuisine vêtue d’une robe de chambre. Après le repas Élise est en pleine forme nous déménageons nos affaires dans une autre chambre afin de laisser la suite parentale propre et accueillante à Carole la nouvelle directrice et son mari. Le soir nous c’est plateau télé avant de gagner notre nouvelle chambre nous avons fait l’amour avec tendresses.
Le dimanche vers onze heures Carole arrive au volant d’une Mercedes Cls neuve avec une fiat 500 sur sa remorque, suivie d’un fourgon de location conduit par son mari. Nous faisons connaissance de Bilal petit-fils de harki un mètre quatre-vingt Ingénieur (IEF) dans la défense. Il a obtenu sa mutation à Lyon à compter du premier novembre, leur fils de 19 ans est resté, dans l’appartement dont ils sont propriétaires, à Orléans pour son cursus universitaire. Nous les accueillons avec un petit apéritif (Bilal est non pratiquant) avant de passer à table pour un repas simple.
Après le repas Élise et moi avons préparé nous proposons de les aider à emménager. Carole accepte, nous organisons la répartition des tâches, Bilal et moi déchargeons les cartons et les valises pour les déposer dans les pièces selon le contenu, les femmes déballent et rangent à l’étage, les hommes au rez de chaussée. Du côté homme à dix-neuf heures tous les cartons sont vidés le matériel rangé nous montons pour narguer les femmes qui n’ont pas terminé il semble qu’elles papotent beaucoup. Elles nous envoient préparer le repas. Avec Bilal nous préférons commander des pizzas. A vingt heures les pizzas arrivent les femmes descendent rapidement pour diner. Toute la soirée nous parlons de nos vies respectives, de nos familles, de nos enfants et de nos carrières avant d’aller nous coucher vers vingt-trois heures.
Une fois dans la chambre ma chère et tendre me raconte ses échanges avec sa nouvelle amie :[ -Carole : « je peux te demander de ne pas parler de ma liaison avec Sean pendant le séminaire devant mon mari il n’est pas au courant »-Élise : « bien sûr ne craint rien nous savons ménager nos amis, au fait comment trouves-tu Sean. »- « Sean baise super bien, il m’a dit qu’il est votre amant depuis 1980 c’est vrai ? »- « oui, mais Alan et lui se connaissent depuis 1969 ils sont comme des frères incestueux »- « tu n’étais pas fâchée que je couche avec lui le mois dernier. » - « non juste un peu déçue, que tu n’aies pas voulu coucher avec nous »-Carole : « j’avais peur c’était la première fois que je trompais Bilal et je ne savais pas si j’en étais capable »-Élise : « et finalement tu en penses quoi ? »-« j’ai adoré et pris beaucoup de plaisir mais quand je suis avec Bilal et que j’y pense je ne suis pas à l’aise »- « tu as peur qu’il le découvre ou de sa réaction »-« Les deux, je crois qu’il m’est fidèle et qu’il n’acceptera pas d’être cocu » ]Élise me confie qu’en rangeant les vêtements elle a vu plusieurs tenues sexy que son mari lui a achetées carole a avoué ne pas les mettre car elle les trouvait trop osées. Après le récit de ces confidences, fatigués nous nous sommes endormis.
Le lundi matin six heures je me lève, j’enfile un short un tee-shirt et descends dans la cuisine j’y trouve Carole qui est en train de préparer le café. Les cheveux en bataille elle est en chemise de nuit parme courte avec un peignoir, au-dessous du genou, assorti. Finalement même comme cela elle est très jolie je la salue en l’embrassant je m’assieds rapidement pour dissimuler un début d’érection. Elle me sert gentiment mon café pendant que je coupe le pain qu’elle fait griller. Nous commençons à prendre le petit déjeuner lorsque Bilal arrive lui est déjà douché il est en costume cravate mais avec la veste à la main. Après avoir embrassé sa femme Il me serre la main et s’assied à côté de moi pour petit déjeuner avec nous.
-Bilal : « alors prêt pour le passage de témoin »-moi : « cela devrai aller Carole connait bien les procédures et le fonctionnement mais elle va quand même découvrir les particularités du boulot de directrice régionale, on va démarrer fort pour être cool en fin de semaine »-Carole : « Pour ne pas prendre de retard on va commencer avant huit heures et prendre la pause de midi sur place on se fera livrer quelque chose et toi chéri qu’as-tu prévu aujourd’hui» -Bilal : « Ce matin je dois rendre le fourgon chez Europcar à Lyon avant huit heures je vais partir vers sept heures pour être pénard, ensuite je vais prendre contact avec mon futur boss. Cet après-midi si je peux j’irai voir mon futur bureau et mes futurs collègues. »6h40 Carole se lève de table : « Je monte me doucher et me préparer, Alan on se retrouve ici à 7h15! » -Bilal : « Attention Alan ne te laisse pas faire elle a du caractère la miss »-moi : « Pas de souci j’en connais d’autres et je suis sûr d’être prêt avant elle, je ne me maquille pas et ne rase pas»Je reste quelques minutes avec Bilal puis je monte prendre ma douche dans la salle d’eau du couloir. Un quart d’heure plus tard je suis prêt j‘embrasse Élise qui se lève. Elle enfile son déshabillé sur sa nuisette rouge l’ensemble cache à peine sa chatte et son cul elle descend un peu derrière moi. Au milieu des escaliers elle croise Bilal ils s’embrassent pour se dire bonjour.
Elise arrive en cuisine je lui sers son café elle me sourit m’embrasse et dit : « Bilal s’est rincé l’œil dans l’escalier. » Elle déjeune quand Carole en tailleur velours bordeaux et corsage blanc redescend avec Bilal et vient l’embrasser.
-Carole « Ma pauvre Élise nous t’abandonnons tous aujourd’hui ! Alan et moi déjeunerons au travail et Bilal va à son nouveau bureau tu vas être seule nous essaierons de ne pas renter tard. »-Élise : « Pas de soucis je vais faire un peu de ménage puis j’irai en ville déjeuner et faire quelques courses pour ce soir si vous voulez ! Avez-vous des préférences pour le diner. »-Carole : « Fait comme tu veux nous ne sommes pas difficiles »-Élise : « Soupe de potiron, gratin de légumes à la provençale et crème caramel ça vous va ? »-Bilal : « Excellent, j’ai hâte d’être à ce soir ! bien maintenant j’y vais, bonne journée à tous» Nous entendons le fourgon partir, Carole et moi embrassons Élise et partons au bureau avec la Mercedes. A 7h45 nous arrivons les premiers au bureau le secrétariat n’ouvre qu’à huit heures, seuls quelques bureaux des services sont éclairés. J’en profite pour laisser à Carole le temps de s’installer à son bureau, puis je lui passe les premiers dossiers. Vers huit heures Nadia la secrétaire de direction arrive et voyant le bureau du directeur allumé elle s‘en inquiète et vient voir.
-Nadia : « bonjour madame excusez-moi, je suis Nadia la secrétaire je ne pensais pas que vous seriez là si tôt. Bonjour monsieur Alan »-Carole : « bonjour Nadia il n’y a pas de mal. Nous avons commencé de bonne heure afin d’avancer avant que la ruche ne bourdonne. Entrez faisons connaissance »Carole se présente et interroge la secrétaire sur sa formation, son CV professionnel, son ancienneté dans la société et à son poste. Elle lui demande si cela ne lui pose pas de problème d’être sous les ordres d’une femme.
-Sonia : « non au contraire Monsieur Max était un peu dragueur ce n’était pas toujours facile».
-Carole : « s’il vous a gardé c’est que vous devez faire du bon travail j’espère que nous allons nous entendre »-Nadia : « j’espère madame la directrice, comment dois-je vous appeler ? »-Carole : « vous appeliez mon prédécesseur Monsieur Max, appelez-moi Madame Carole. Vous pouvez y aller aujourd’hui je travaille avec Alan et nous ferons le tour des bureaux de la direction en début d’après-midi vous nous accompagnerez. » La journée est chargée mais prolifique nous avançons à grand pas il est plus de dix-huit heures trente quand nous quittons le bureau en remerciant Nadia d’être restée avec nous aussi tard. Nous sommes arrivés à la villa peu après dix-neuf heures quinze à cause des bouchons et de nos erreurs de trajet.
A notre arrivée Élise et Bilal discutent dans le salon nous échangeons le bonsoir je tombe la veste Carole monte se rafraichir et mettre une tenue plus décontractée. Un quart d’heure plus tard chacun raconte sa journée. Bilal raconte sa prise de contact avec son nouveau patron, pour ne pas laisser Élise seule il est rentré déjeuner avec elle à midi puis l’après-midi il est allé avec boulot en fiat rencontrer ses collègues. Élise a fait un peu de ménage et lambiné jusqu’au retour de Bilal pour déjeuner, cet après-midi elle a fait les courses pour le repas qu’elle nous a concocté. Carole et moi avouons que nous n’avons pas levé le nez de nos dossiers heureusement Nadia nous a apporté des sandwichs.
Nous prenons un petit apéro et dinons tranquillement Carole et Bilal donnent leurs impressions de la journée ensuite pendant que Bilal et moi prenons le café et le pousse les femmes s’affairent dans la cuisine. A vingt-deux heures Carole fatiguée souhaite aller se coucher et nous dit bonsoir suivi de Bilal. Élise et moi montons à notre tour.
Une fois couché Élise vient se blottir dans mes bras m’embrasse en me caresse et susurre : « je n’ai pas tout dit il faut que je te raconte :[« Après votre départ je suis retourné au lit jusqu’à neuf heures puis comme j’étais seule pour la journée je prends ma douche sans fermer la porte du palier quand je sors de la douche je m’essuie dans le miroir je vois Bilal la queue à la main il se branle en me regardant il devait me voir sous la douche.
Nos regard se croisent mais nous ne bougeons ni l’un ni l’autre. Sans le quitter du regard je me retourne je quitte ses yeux pour regarder son sexe. Mon dieu quelle queue (plus grosse et aussi longue que Gérard), sa verge énorme sortie d’un buisson de poils noirs m’hypnotise. Il se caresse lentement en dégageant bien le gland le regard toujours fixé sur moi.
Il s’approche doucement de moi ses yeux regardent mes seins puis ma chatte. Il me demande s’il peut me toucher je ne réponds pas mais ne recule pas il pose sa main sur le triangle bien taillée de ma toison. Il me dit qu’il aime puis s’approche encore il prend ma main et la pose sur sa bite, je ferme les doigts ils ne font pas le tour.
A ce moment-là je dis « mais tu ne devais pas aller voir ton boss ? » Il me répond « en te voyant dans l’escalier ce matin j’ai eu envie de venir te voir et tenter ma chance, au pire j’irais voir mon chef un peu plus tard que prévu, reconnait que c’est mieux comme ça. » Je lui demande « et ta femme dans tout ça ? » « Je l’aime mais elle est un peu coincée côté sexe. » Il s’avance me prend dans ses bras et m’embrasse. Il me demande « et ton mari ? »« Pour lui ce n’est pas un problème nous sommes libertins et si lui ne cherche pas d’autres femmes, il connait mon appétit pour le sexe et aime me voir avec d’autres hommes. » Les mains du coquin parcourent mon corps je l’entraine dans notre chambre, je l’ai sucé il m’a baisé pendant une heure puis est parti avant onze heure et revenu à midi et demi nous sommes allés au resto italien puis il est allé à son bureau, moi j’ai fait mes courses. Nous nous sommes retrouvés ensuite dans notre chambre où nous avons de nouveau baisé plus d’une heure avant de nous doucher pour effacer les traces et odeurs avant de cuisiner. Il baise bien mais un peu primaire pas de préliminaires, il ne suce jamais sa femme ni l’inverse. ]Moi : « et tu as aimé sa bite ? »Elle : « elle est super grosse il m’a bien bourrée et longtemps j’ai joui plusieurs fois quand il a éjaculé dans ma bouche il a voulu se retirer mais je l’ai maintenu pour goûter son jus un peu acre et légèrement salé. »Moi : « maintenant vous allez baiser toute le semaine »Elle : « probablement mais j’aimerai bien que l’on décoince un peu Carole et pousser Bilal a plus de préliminaire »Moi : « si je comprends bien tu veux que je t’aide à les convertir en libertins et donc que je chauffe Carole» …………………………….à suivre
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