Élise libertine 53 L’accident 1/6 Ma libido prend le dessus
Récit érotique écrit par Jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Élise libertine 53 L’accident 1/6 Ma libido prend le dessus
Voici la suite des aventures de notre couple : en 2005 mon époux Alan candauliste et moi Élise hypersexuelle sommes mariés depuis 32ans. Vous pouvez suivre nos aventures dans l'ordre chronologiques sous le titre d’Élise libertine. Pour mieux comprendre cette aventure lire les récits précédents. Je suis moins habituée qu'Alan pour raconter nos aventures je demande votre indulgence. Le récit de cette aventure qui a entrainé un changement de vie et de région fait l’objet de six chapitres. Je rappelle les noms sont modifés.
Ce lundi matin 13 juin 2005 Alan mon mari est parti à cinq heures pour se rendre au siège du groupe à une réunion stratégique avec le PDG, les directeurs régionaux et tous les directeurs de sites. Cette réunion a lieu cet après-midi et en fonction de l’heure de fin il revient ce soir ou demain matin.
Vers onze heures trente je suis dans la cuisine je reçois un appel du téléphone de mon mari : « Madame Élise….. Bonjour je suis le major Laurent de gendarmerie d’autoroute de P……. vous êtes l’épouse d’Alan ….. Il a eu un accident»Je tombe assise sur une chaise en pleurs : « il n’est pas….. ? »Le major : « non madame il est transporté à l’hôpital de la Salpetrière dans un état sérieux il est dans le Coma le pronostic vital est peut être engagé»Moi : « comment c’est arrivé ? »Le major : « il ne semble pas en faute un poids lourd l’a heurté et il a fait de tonneaux, vous pouvez vous rapprocher de l’hôpital pour avoir plus d’informations sur son état de santé, bon courage madame.»Dès que je reprends mes esprits je téléphone au secrétariat du siège la secrétaire me passe le directeur Gérard Moreau (voir récits 46et 47). C’est en pleurs que je l’informe de l’accident d’Alan et lui dit que je monte à l’hôpital parisien en voiture.
Gérard Moreau : « n’en fait rien je me charge de ton voyage, prépare ta valise je te rappelle dans une heure pour te donner les modalités du voyage.»Plus tard je téléphone à l’hôpital qui complète le diagnostic : traumatisme crânien, suspicion de lésion vertébrale.
J’appelle nos enfants je leurs promets des nouvelles dès mon arrivée à Paris. Je préviens mon amie Céline (récit 39) de mon départ pour qu’elle récupère mes clés. Je fais ma valise j’y place quelques vêtements la trousse de toilette les papiers (assurance mutuelle) et l’ordinateur portable. Je prends mes cartes bancaires. Céline arrive rapidement elle me réconforte et me promet de s’occuper de la maison.
Un peu avant treize heures le PDG m’appelle : « Élise tu prends un vol à Mérignac à quatorze heures trente un taxi passe te prendre dans dix minutes pour te conduire à l’aéroport je t’attends à Orly vers 16h50 il me donne les références du vol. Je laisse mes clés à Céline pour qu’elle ferme la maison et cinq minutes plus tard ma valise à la main je prends le taxi qui me conduit à l’aéroport.
Je récupère mon billet fait les formalités d’usage, au salon privé l’attente me semble longue avant l’embarquement finalement nous décollons à l’heure et atterrissons à Orly à dix-sept heures. Monsieur Moreau m’accueille il m’embrasse prend ma valise et nous rejoignons sa voiture.
« Je te conduis à la Salpêtrière voir Alan et les médecins. Ensuite je te dépose à l’hôtel, une chambre t’est réservée pour deux jours Inès ma secrétaire cherche un meublé pour que tu puisses, si besoin, rester près de ton mari plus longtemps dans de bonne conditions »Moi : « Je te remercie de tout ce que tu fais, pour l’instant j’ai surtout hâte de le voir et de connaitre son état » A l’hôpital les soignants nous expliquent la situation : le pronostic vital n’est plus engagé, Alan est toujours dans le coma en soins intensif il a une plaie à la tête, fêlure des vertèbres L1 L2 avec une anomalie discale à surveiller il faut attendre la sortie du coma pour voir s’il y a des anomalies fonctionnelles.
Aux soins intensifs je découvre mon homme branché de toute part (respirateur, contrôleur des constantes, les perfusions…) il a le crâne enveloppé d’un bandage imposant, des hématomes sur le visage, le torse et les bras. Le bas de son corps est maintenu par un corset. Des larmes coulent sur mon visage à la vue de son corps meurtri.
Je l’embrasse sur la joue et lui tiens la main: « je t’aime chéri, je suis là, bats toi reviens vite. »A dix-neuf heures Gérard me conduit à l’hôtel, même si je n’ai pas très faim il reste diner avec moi avant de me laisser, il me donne le numéro de téléphone d’Ali le chauffeur qu’il met à ma disposition pour mes déplacements.
Le lendemain mardi vers 10h costume cravate Ali (1m75 type nord-africain) me dépose à l’hôpital et je lui demande de revenir me chercher à dix-huit heures. A mon arrivée l’infirmière me dit qu’Alan est sorti du coma, après de nouveaux examens rassurants il est sorti de soins intensifs elle me donne son numéro de chambre.
En entrant dans la chambre je vois mon chéri débarrassé de toutes les machines il ne reste que la perfusion, un bandage moins imposant qu’hier sur la tête et son corset. Il me sourit légèrement. Larmes aux yeux je me précipite sur lui et l’embrasse.
Moi « Mon chéri j’ai eu si peur, comment te sens tu ? Tu dois souffrir ! Comment ça s’est passé »Lui : « ça va, je suis un peu en compote mais ça va, dans quelques jours on n’en parlera plus. Un camion a déboité alors que j’étais à hauteur de sa cabine, il m’a projeté sur une voiture qui m’a percuté je suis parti en tonneaux le bruit et le trou noir je me suis réveillé ici dans la nuit »Moi : « et tes jambes ? Ça va »Lui : « pour l’instant je les sens à peine mais il faut attendre quelques jours pour voir, le neurochirurgien est optimiste, il ne voit pas de lésion irrémédiable il pense que ce n’est qu’une question de temps. Mais toi comment es-tu venu si vite? L’infirmière m’a dit que tu étais passée hier au soir. »Moi : « ta boite a été géniale, c’est un accident du travail, hier Moreau s’est occupé de me trouver un avion et m’a réservé une chambre pour deux nuits. Il m’attendait à Orly pour me conduire ici directement, ensuite il m’a déposé à l’hôtel. Ce matin un chauffeur de la société m’a déposé ici. Il me ramènera à l’hôtel ce soir »Lui : « quand rentres-tu à bordeaux ?»Moi : « je ne sais pas la secrétaire de Moreau cherche un meublé pour me loger le temps que tu puisses rentrer à la maison. J’ai récupéré tes affaires hier soir je te laisse ton téléphone tu pourras rassurer les enfants »Lui : « merci chérie, tu remercieras Gérard pour tout ce qu’il fait »Moi : « il va passer cet après-midi avec Sean. Je vois que tu fatigues repose toi je vais à la cafeteria je te rapporte quelque gâteaux secs pour grignoter si tu as une petite faim.»Vers quinze heures Gérard Moreau et Sean (notre ami et amant) directeur technique arrivent. Gérard a eu le chirurgien et fait des propositions.
Gérard : « ton chirurgien dit qu’après une dizaine de jour alité tu pourras sortir, tu devras porter un corset et suivre une rééducation à l’hôpital pendant un à deux mois, j’ai décidé de louer un meublé près du siège au deuxième avec ascenseur pour vous loger le temps nécessaire. Sean m’a suggéré, si vous le voulez, d’embaucher Élise en CDD à temps partiel (de deux à quatre heures) avec la souplesse nécessaire pour qu’elle s’occupe de toi tant que c’est nécessaire, ça lui changera les idées et lui fera un revenu en plus, bien sûr la société continue de verser ton salaire»Elise : « je vous remercie de tout ce que vous faites mais je ne suis pas secrétaire que pourrai-je faire ? »Sean : « Pour récupérer deux bureaux nous regroupons les archives de tous les services. Il faut classer ces archives, l’entretien a déjà aménagé le local tu peux venir visiter ensuite tu vois avec Alan ce que vous décidez »Gérard : « Alan reposes-toi, remets-toi vite nous comptons sur toi ! Élise demain le chauffeur te conduira voir le meublé, s’il te convient tu récupères les clés et poses votre valise avant de venir à l’hôpital soutenir ton mari. Sean vous aidera pour les formalités Assurance et administratives. Nous vous laissons, Élise ! Ali sera là à dix-huit heures»Dans l’après-midi Alan reçoit la visite des gendarmes pour être entendu sur l’accidentLe mercredi matin Sean m’emmène au siège voir quel serait mon travail. Je lui fournis les infos pour la déclaration d’accident. Dans la foulée le chauffeur me conduit au meublé, dont je fais le tour rapidement après avoir déposé ma valise, puis me dépose à l’hôpital.
Je retrouve mon homme de bonne humeur on lui a retiré la perfusion il commence la kiné cet après-midi il dit ressentir un picotement dans les pieds le docteur dit que c’est bon signe pour la suite. Je lui décris le meublé (une grande cuisine, un petit salon et une grande chambre avec un grand et un petit lit et une salle d’eau avec WC.) ce n’est pas immense mais suffisant.
Moi : « chéri avec Sean j’ai vu la salle d’archive elle est au 1er étage au fond du couloir, le bureau de Moreau est au milieu face à l’escalier celui de Sean est au 2ème. Le classement je suis capable de le faire mais je n’ai pas envie de t’abandonner »Lui : « tu ne m’abandonnes pas tu viens me voir tous les jours et tu ne vas pas rester ici à tourner en rond, tu peux travailler ça ne me gêne pas au contraire tu verras et penseras à autre chose »Moi : « Bien que depuis lundi soir Gérard soit plus que correct, j’ai peur qu’il veuille me baiser au travail pendant que tu es là couché tout seul et que je ne sache pas lui refuser. (Voir récit Élise libertine 46 Passage de relais 2/4)»Alan : « si c’est à cause de ça tu fais comme tu l’entends mais sache que je suis avec toi quelle que soit ta décision »Moi : « c’est vrai qu’en même temps ça m’occupera l’esprit et je trouverai le temps moins long.»Avant midi j’appelle le PDG : « Monsieur Moreau ! J’ai parlé avec Alan j’accepte le travail »Je me tourne vers Alan : « ce soir avant de me déposer à l’hôtel le chauffeur m’emmène signer le contrat dans le bureau de Moreau à 17h30 »Alan : « voilà qui est bien si tu en profitais pour inviter Sean et le remercier cela lui fera plaisir et il te fera du bien »Moi : « vieux cochon tu crois qu’en ce moment je pense à ça »Lui : « non mais je connais tes besoins et Sean saura combler ce manque »L’après-midi Alan profite de mon absence pendant sa séance kiné pour appeler Sean il lui parle de ma décision et en profite pour lui glisser de diner avec moi ce soir.
A seize heures retour en chambre d’Alan, même s’il y a peu d’évolution, il reste confiant. Dans l’après-midi il a reçu la visite des gendarmes pour finir la rédaction d'un procès-verbal d’accident et le signer. Un peu plus tard j’ai un appel de Sean qui demande si je suis bien installé le meublé, je réponds qu’il est bien et que je m’installerai ce soir.
Sean (d’un ton ne souffrant d’aucune discussion) : « Élise je viens te chercher dans une heure je te donne un coup de main et on dine ensemble, j’annule le chauffeur» et il raccroche.
Je regarde Alan : « toi tu as appelé Sean si je comprends bien il ne va pas me donner qu’un coup de main.» Une heure plus tard Sean est là il me dépose au bureau de Moreau. Inès la secrétaire m’accueille avec gentillesse, « je souhaite bon rétablissement à votre mari », et m’introduit dans le bureau du Boss puis referme la porte.
Gérard se lève s’approche me tend la main : « chère Élise je suis heureux de ta décision j’ai grand plaisir à te faire signer ce CDD, assieds» Il tire une chaise à droite de son fauteuil je prends place. Il vient s’assoir près de moi et me tend le contrat, je le lis. Toutes les particularités (souplesse des horaires, temps maxi quatre heures) toutes les conditions sont conformes à ce qui était prévu. Je signe les deux exemplaires il m’en remet un.
Gérard : « J’aurai plaisir à te rencontrer dans notre grande maison. J’appelle Ali, il va te ramener au meublé. » Moi : « je te remercie ce n’est pas la peine Sean m’attend pour m’y conduire » Gérard : « Bonne soirée, je te dis à demain et bon courage à Alan»J’appelle mon homme pour lui annoncer la nouvelle : « Bonsoir mon amour j’ai signé mon contrat c’est exactement ce qu’avait dit Moreau et je commence demain » Alan : « tu as choisi les horaires que tu comptes faire ? »Moi : « je pense faire le matin de 08h à 10h comme tu as la visite des médecins et les soins, pour l’après-midi de 13h30 à 14h30, 15h pendant ta sieste et ta kiné qu’en pense tu ? » Alan : « ça me semble pas mal tu pourras toujours changer si besoin »J’en informe de suite Inès qui prévient Moreau et me demande de passer au bureau demain en arrivant.
À 17h50 je suis au meublé avec Sean qui m’aide à défaire ma valise tout est rapidement rangé. Il est surpris du peu de chose que j’ai apporté.
Sean : « dit donc tu vas devoir faire des emplettes si c’est tout ce que tu as comme fringues pour un mois »C’est vrai que je ne pensais pas rester longtemps. Pendant que Sean s’occupe du repas j’appelle Céline et lui demande si elle peut m’envoyer par UPS une de mes valises avec quelques affaires dont je lui envoie la liste par mail avec comme adresse celle de la société.
Nous dinons rapidement avant de nous coucher tout impatient que nous sommes de baiser. Cette nuit de baise intense m’a détendue le stress emmagasiné depuis l’accident est un peu retombé.
Le jeudi matin nous nous levons vers sept heures, Sean me conduit dans le bureau du PDG qui nous salue.
Gérard : « merci Sean tu peux y aller, Inès va s’occuper des formalités » Sean part dans son bureau à l’étage supérieur. Seul avec moi, Gérard me regarde s’adresse à moi avec un sourire au coin des lèvres.
Gérard : « Je savais qu’Alan et Sean se connaissaient mais j’ignorais que vous étiez si proches.»Moi : « vous savez ils se connaissent depuis 1969 et moi depuis 1980 c’est un très bon ami »Lui : « c’est ce que j’ai cru comprendre puisqu’il est passé te chercher ce matin tout comme hier matin et hier soir puisqu’il a annulé le chauffeur »Moi : « j’espère que cela ne pose pas de problème je ne veux pas qu’il ait des ennuis à cause de moi »Lui : « mais non ma belle j’ai souvenir que nous aussi avons été très proche à Lyon. Bien sûr je te tutoie mais je veux que tu me vouvoies»Je me sens prise au piège. Je suis soulagé quand il appelle Inès pour me donner mon badge d’accès, qui sert aussi pour le pointage, et les clés de la nouvelle salle des archives. Il décide de m’accompagner pour me donner des précisions sur le travail. Nous prenons le couloir et nous arrivons à la salle j’ouvre et là surprise des piles de cartons et de dossiers ont été déposées dans l’allée.
Gérard : « tu disposes d’un escabeau, un chariot avec le plateau amovible dont tu peux régler la hauteur pour limiter le port de charge quand tu tries, tu as de quoi faire, si tu as des besoins vois avec Inès. Ha j’oubliais ! J’aimerais que tu travailles en jupe courte quand je passe te voir et ne laisse pas la clé à l’extérieur tu te ferais enfermer»Dès qu’il est parti je fais le tour pour voir par où commencer et je délimite les secteurs de rangement puis je me lance dans la recherche des dossiers les plus anciens. Je mange un peu de poussière et quand Ali arrive à 10h00 je n’ai classé qu’une petite année de comptabilité soit deux plateaux d’étagère. Je ferme la porte et je pars en laissant la clé au secrétariat je badge et direction l’hôpital.
En arrivant dans la chambre je file me laver les mains qui sont encore pleine de poussière avant de venir vers mon homme. Alan me prend dans ses bras m’embrasse me demande comment ça s’est passé si cela n’est pas trop dur.
Moi : « ça va j’ai bouffé un peu de poussière mais je bosse tranquillement.» Je lui raconte ma soirée avec Sean je glisse ma main sous le drap pour voir s’il est excité. Mais rien, sa verge est endormie il met cela sur le compte du traitement. Je lui dis que Sean propose de m’emmener au travail le matin. Une infirmière arrive dans la chambre pour refaire son pansement ce qui me permet de voir la plaie avec les douze points de suture et le drain, je taquine Alan et dit à l’infirmière : « vous devriez mettre une fermeture éclair que je puisse voir les idées qu’il a derrière la tête »Elle me répond en riant qu’il n’est pas toujours bon de savoir ce que les hommes ont en têteLes soins terminés je peux embrasser mon chéri, je reçois un sms de Céline elle a tout mis dans une grosse valise qui me sera livrée UPS vendredi dans la matinée, j’explique tout ça à Alan.
Moi : « j’ai trop peu de vêtements pour un mois, j’ai fait une liste de fringues à Céline elle me les envoie.»Nous parlons des enfants Alan leur a téléphoné hier soir pour les rassurer. Je prends le repas de midi avec lui, ça me fait plaisir de voir qu’il a de l’appétit.
Il est déjà l’heure pour moi de partir au travail Ali est là, j’embrasse mon amour et lui glisse à l’oreille : « Au fait Moreau m’a demandé de mettre une jupe courte au travail je pense que je vais passer à la casserole »En arrivant Inès me met en garde sur le côté dragueur de Moreau j’ai cru comprendre qu’elle avait eu une liaison avec lui. Cet après-midi je suis plus efficace dans mon tri.
A 15h je suis à l’hôpital je préviens Alan que je dois faire quelques achats qu’Ali vient me chercher plus tôt.
A 17h Ali est là, il accepte de tomber la veste pour me conduire et m’accompagner pour mes achats dans les boutiques de prêt à porter. Dans la première boutique j’essaie quelques jupes courtes Ali trouve que pour la saison la minijupe fluide me va bien j’en prends une bleu et une rouge. Dans la seconde boutique je flashe sur deux tops en dentelle un noir un blanc et une robe courte à fleurs avec un large décolleté. Je passe en cabine essaie la robe Ali trouve que le soutien-gorge gâche le décolleté j’entre à nouveau dans la cabine et retire le sous vêtement j’aperçois dans le miroir Ali qui en se caressant l’entrejambe me regarde par l’ouverture du rideau mal fermé. Je sors lui souris « comme ça c’est mieux » Lui : « oui vous êtes canon » je lui dis : « je passe aux tops » j’entre dans la cabine, pour l’exciter un peu je laisse le rideau entrouvert, je retire la robe je suis avec ma petite culotte en dentelle sous son regard j’enfile les tops l’un après l’autre, à la vue de la déformation de sa braguette ce qu’il voit semble lui convenir. Je me rhabille, à 18h30 nous repartons au meublé. Ali monte mes achats, je lui offre à boire il me demande de mettre la robe ce que je fais sans manière, j’aime sentir son regard sur moi. Il s’approche, tend la main et la passe dans le décolleté il me caresse le sein je bloque sa main je l’embrasse sur la joue.
Moi : « on va s’arrêter là ! Je crois que je t’ai donné un bon pourboire »Ali déçu : «t’as tout fais pour m’exciter, laisse-moi toucher. Si tu mets ça pour le boulot Moreau va te sauter dessus » Finalement je cède il me caresse le sein ses doigts pincent mon téton, il passe derrière moi il me serre contre lui je sens sa virilité exacerbée. Je mouille et quand son autre main relève ma robe pour caresser mon sexe je craque. je me retourne et lui offre mes lèvres, sa langue fouille ma bouche. Il recule ouvre et extrait une belle verge (environ 20 x 4,5 cm) de son pantalon. Je ne me contrôle plus je l’entraine dans la chambre lui donne un préservatif pour qu’il me baise. Il est pressé et brutal à la fois ce qui est loin de me déplaire. Il faut peu de temps pour que nous jouissions tous les deux. Je me rhabille, lui aussi.
Moi : « tu m’as eu ! Le pourboire te suffit, maintenant tu me laisses » je le raccompagne il est 19h30.
Le vendredi matin Sean me prend au passage j’ai mis des sous-vêtements en voile blanc sous la minijupe rouge et le top blanc et dessus ma veste noire. Sean me dit « c’est mignon tout ça ». Arrivés au travail il me laisse devant le secrétariat il est 8h. Je prends ma clé au secrétariat et vais me mettre au travail. Une bonne heure plus tard Moreau vient voir où j’en suis. Il verrouille la porte derrière lui et s’approche, je vois son œil qui frise quand il découvre ma tenue.
Gérard : « c’est bien tu m’as écouté monte sur l’escabeau que je vois ça de plus prêt »Élise : « j’ai entendu le souhait que tu as formulé hier »Je monte deux marches il glisse sa main sous ma jupe remonte entre mes cuisses il grogne un peu puis tire ma culotte vers le bas. Il me fait pivoter remonte ma jupe et pose ses lèvres sur ma chatte il me suce, je me laisse faire je mouille, en même temps il me doigte le trou d’amour je ne tarde pas à jouir il se redresse fier de sa victoire.
Gérard : « tu n’attendais que ça ma salope, en remerciement tu me donnes ta culotte et son soutien-gorge allez ! »Je lui donne ma lingerie en descendant les marches. Il ajoute : « Maintenant tu seras sans tous les jours c’est clair et tu m’obéiras »Il m’attire à lui et me donne sa bite à sucer et il baise ma bouche et crache son jus au fond de ma gorge. Il est l’heure d’aller retrouver mon homme.
Moi : «rends moi ma culotte je ne peux pas aller à l’hôpital comme ça » Lui : « Si ! Tu diras à Alan pourquoi tu es cul et seins nus et ce que je t’ai fait, il en sera très excité. Ne te rince pas la bouche il doit sentir mon sperme quand tu vas l’embrasser. Je t’appelle dans une demi-heure ! Vas-y Ali t’attend »En arrivant j’embrasse alain sur la bouche il est plus surpris pas ma tenue que par le goût du sperme.
Alan : « C’est nouveau tout ça, et la pipe c’est Ali ?
Moi : «Chéri ce sont les vêtements que j’ai acheté hier, au départ j’avais des sous-vêtements en voile mais Gérard est venu me voir au travail il me les a confisqués après m’avoir fait jouir en me suçant et ensuite il m’a baisé la bouche d’où le goût du sperme. Tu m’en veux ? »Alan : « non j’aime bien les fringues pour le reste si ça t’as plu ça me va »Mon téléphone sonne je décroche c’est Moreau il me demande de mettre le haut-parleur et de donner le tél à AlanGérard : « bonjour Alan comment vas-tu ? Tu aimes la tenue de ta bourgeoise elle t’a raconté ce qu’on a fait ? Tu m’autorise à la traiter en chienne, la baiser et l’utiliser comme je l’entends»Alan : « j’adore sa tenue pour le reste tant qu’elle accepte et me raconte pas de problème »L’après-midi Gérard est de nouveau passé par le local d’archive il m’a rempli le vagin de son sperme par deux fois me donnant l’ordre de l’appeler maitre, il m’a invité à diner pour samedi soir.
Après le travail Ali me conduit à l’hôpital, j’informe Alan de l’invitation il me dit : « profite et prends du plaisir ». A 18h Sean, qui a récupéré ma valise reçu par UPS, vient me chercher pour que nous passions la soirée ensemble avec la bénédiction d’Alan………………………à suivre
Ce lundi matin 13 juin 2005 Alan mon mari est parti à cinq heures pour se rendre au siège du groupe à une réunion stratégique avec le PDG, les directeurs régionaux et tous les directeurs de sites. Cette réunion a lieu cet après-midi et en fonction de l’heure de fin il revient ce soir ou demain matin.
Vers onze heures trente je suis dans la cuisine je reçois un appel du téléphone de mon mari : « Madame Élise….. Bonjour je suis le major Laurent de gendarmerie d’autoroute de P……. vous êtes l’épouse d’Alan ….. Il a eu un accident»Je tombe assise sur une chaise en pleurs : « il n’est pas….. ? »Le major : « non madame il est transporté à l’hôpital de la Salpetrière dans un état sérieux il est dans le Coma le pronostic vital est peut être engagé»Moi : « comment c’est arrivé ? »Le major : « il ne semble pas en faute un poids lourd l’a heurté et il a fait de tonneaux, vous pouvez vous rapprocher de l’hôpital pour avoir plus d’informations sur son état de santé, bon courage madame.»Dès que je reprends mes esprits je téléphone au secrétariat du siège la secrétaire me passe le directeur Gérard Moreau (voir récits 46et 47). C’est en pleurs que je l’informe de l’accident d’Alan et lui dit que je monte à l’hôpital parisien en voiture.
Gérard Moreau : « n’en fait rien je me charge de ton voyage, prépare ta valise je te rappelle dans une heure pour te donner les modalités du voyage.»Plus tard je téléphone à l’hôpital qui complète le diagnostic : traumatisme crânien, suspicion de lésion vertébrale.
J’appelle nos enfants je leurs promets des nouvelles dès mon arrivée à Paris. Je préviens mon amie Céline (récit 39) de mon départ pour qu’elle récupère mes clés. Je fais ma valise j’y place quelques vêtements la trousse de toilette les papiers (assurance mutuelle) et l’ordinateur portable. Je prends mes cartes bancaires. Céline arrive rapidement elle me réconforte et me promet de s’occuper de la maison.
Un peu avant treize heures le PDG m’appelle : « Élise tu prends un vol à Mérignac à quatorze heures trente un taxi passe te prendre dans dix minutes pour te conduire à l’aéroport je t’attends à Orly vers 16h50 il me donne les références du vol. Je laisse mes clés à Céline pour qu’elle ferme la maison et cinq minutes plus tard ma valise à la main je prends le taxi qui me conduit à l’aéroport.
Je récupère mon billet fait les formalités d’usage, au salon privé l’attente me semble longue avant l’embarquement finalement nous décollons à l’heure et atterrissons à Orly à dix-sept heures. Monsieur Moreau m’accueille il m’embrasse prend ma valise et nous rejoignons sa voiture.
« Je te conduis à la Salpêtrière voir Alan et les médecins. Ensuite je te dépose à l’hôtel, une chambre t’est réservée pour deux jours Inès ma secrétaire cherche un meublé pour que tu puisses, si besoin, rester près de ton mari plus longtemps dans de bonne conditions »Moi : « Je te remercie de tout ce que tu fais, pour l’instant j’ai surtout hâte de le voir et de connaitre son état » A l’hôpital les soignants nous expliquent la situation : le pronostic vital n’est plus engagé, Alan est toujours dans le coma en soins intensif il a une plaie à la tête, fêlure des vertèbres L1 L2 avec une anomalie discale à surveiller il faut attendre la sortie du coma pour voir s’il y a des anomalies fonctionnelles.
Aux soins intensifs je découvre mon homme branché de toute part (respirateur, contrôleur des constantes, les perfusions…) il a le crâne enveloppé d’un bandage imposant, des hématomes sur le visage, le torse et les bras. Le bas de son corps est maintenu par un corset. Des larmes coulent sur mon visage à la vue de son corps meurtri.
Je l’embrasse sur la joue et lui tiens la main: « je t’aime chéri, je suis là, bats toi reviens vite. »A dix-neuf heures Gérard me conduit à l’hôtel, même si je n’ai pas très faim il reste diner avec moi avant de me laisser, il me donne le numéro de téléphone d’Ali le chauffeur qu’il met à ma disposition pour mes déplacements.
Le lendemain mardi vers 10h costume cravate Ali (1m75 type nord-africain) me dépose à l’hôpital et je lui demande de revenir me chercher à dix-huit heures. A mon arrivée l’infirmière me dit qu’Alan est sorti du coma, après de nouveaux examens rassurants il est sorti de soins intensifs elle me donne son numéro de chambre.
En entrant dans la chambre je vois mon chéri débarrassé de toutes les machines il ne reste que la perfusion, un bandage moins imposant qu’hier sur la tête et son corset. Il me sourit légèrement. Larmes aux yeux je me précipite sur lui et l’embrasse.
Moi « Mon chéri j’ai eu si peur, comment te sens tu ? Tu dois souffrir ! Comment ça s’est passé »Lui : « ça va, je suis un peu en compote mais ça va, dans quelques jours on n’en parlera plus. Un camion a déboité alors que j’étais à hauteur de sa cabine, il m’a projeté sur une voiture qui m’a percuté je suis parti en tonneaux le bruit et le trou noir je me suis réveillé ici dans la nuit »Moi : « et tes jambes ? Ça va »Lui : « pour l’instant je les sens à peine mais il faut attendre quelques jours pour voir, le neurochirurgien est optimiste, il ne voit pas de lésion irrémédiable il pense que ce n’est qu’une question de temps. Mais toi comment es-tu venu si vite? L’infirmière m’a dit que tu étais passée hier au soir. »Moi : « ta boite a été géniale, c’est un accident du travail, hier Moreau s’est occupé de me trouver un avion et m’a réservé une chambre pour deux nuits. Il m’attendait à Orly pour me conduire ici directement, ensuite il m’a déposé à l’hôtel. Ce matin un chauffeur de la société m’a déposé ici. Il me ramènera à l’hôtel ce soir »Lui : « quand rentres-tu à bordeaux ?»Moi : « je ne sais pas la secrétaire de Moreau cherche un meublé pour me loger le temps que tu puisses rentrer à la maison. J’ai récupéré tes affaires hier soir je te laisse ton téléphone tu pourras rassurer les enfants »Lui : « merci chérie, tu remercieras Gérard pour tout ce qu’il fait »Moi : « il va passer cet après-midi avec Sean. Je vois que tu fatigues repose toi je vais à la cafeteria je te rapporte quelque gâteaux secs pour grignoter si tu as une petite faim.»Vers quinze heures Gérard Moreau et Sean (notre ami et amant) directeur technique arrivent. Gérard a eu le chirurgien et fait des propositions.
Gérard : « ton chirurgien dit qu’après une dizaine de jour alité tu pourras sortir, tu devras porter un corset et suivre une rééducation à l’hôpital pendant un à deux mois, j’ai décidé de louer un meublé près du siège au deuxième avec ascenseur pour vous loger le temps nécessaire. Sean m’a suggéré, si vous le voulez, d’embaucher Élise en CDD à temps partiel (de deux à quatre heures) avec la souplesse nécessaire pour qu’elle s’occupe de toi tant que c’est nécessaire, ça lui changera les idées et lui fera un revenu en plus, bien sûr la société continue de verser ton salaire»Elise : « je vous remercie de tout ce que vous faites mais je ne suis pas secrétaire que pourrai-je faire ? »Sean : « Pour récupérer deux bureaux nous regroupons les archives de tous les services. Il faut classer ces archives, l’entretien a déjà aménagé le local tu peux venir visiter ensuite tu vois avec Alan ce que vous décidez »Gérard : « Alan reposes-toi, remets-toi vite nous comptons sur toi ! Élise demain le chauffeur te conduira voir le meublé, s’il te convient tu récupères les clés et poses votre valise avant de venir à l’hôpital soutenir ton mari. Sean vous aidera pour les formalités Assurance et administratives. Nous vous laissons, Élise ! Ali sera là à dix-huit heures»Dans l’après-midi Alan reçoit la visite des gendarmes pour être entendu sur l’accidentLe mercredi matin Sean m’emmène au siège voir quel serait mon travail. Je lui fournis les infos pour la déclaration d’accident. Dans la foulée le chauffeur me conduit au meublé, dont je fais le tour rapidement après avoir déposé ma valise, puis me dépose à l’hôpital.
Je retrouve mon homme de bonne humeur on lui a retiré la perfusion il commence la kiné cet après-midi il dit ressentir un picotement dans les pieds le docteur dit que c’est bon signe pour la suite. Je lui décris le meublé (une grande cuisine, un petit salon et une grande chambre avec un grand et un petit lit et une salle d’eau avec WC.) ce n’est pas immense mais suffisant.
Moi : « chéri avec Sean j’ai vu la salle d’archive elle est au 1er étage au fond du couloir, le bureau de Moreau est au milieu face à l’escalier celui de Sean est au 2ème. Le classement je suis capable de le faire mais je n’ai pas envie de t’abandonner »Lui : « tu ne m’abandonnes pas tu viens me voir tous les jours et tu ne vas pas rester ici à tourner en rond, tu peux travailler ça ne me gêne pas au contraire tu verras et penseras à autre chose »Moi : « Bien que depuis lundi soir Gérard soit plus que correct, j’ai peur qu’il veuille me baiser au travail pendant que tu es là couché tout seul et que je ne sache pas lui refuser. (Voir récit Élise libertine 46 Passage de relais 2/4)»Alan : « si c’est à cause de ça tu fais comme tu l’entends mais sache que je suis avec toi quelle que soit ta décision »Moi : « c’est vrai qu’en même temps ça m’occupera l’esprit et je trouverai le temps moins long.»Avant midi j’appelle le PDG : « Monsieur Moreau ! J’ai parlé avec Alan j’accepte le travail »Je me tourne vers Alan : « ce soir avant de me déposer à l’hôtel le chauffeur m’emmène signer le contrat dans le bureau de Moreau à 17h30 »Alan : « voilà qui est bien si tu en profitais pour inviter Sean et le remercier cela lui fera plaisir et il te fera du bien »Moi : « vieux cochon tu crois qu’en ce moment je pense à ça »Lui : « non mais je connais tes besoins et Sean saura combler ce manque »L’après-midi Alan profite de mon absence pendant sa séance kiné pour appeler Sean il lui parle de ma décision et en profite pour lui glisser de diner avec moi ce soir.
A seize heures retour en chambre d’Alan, même s’il y a peu d’évolution, il reste confiant. Dans l’après-midi il a reçu la visite des gendarmes pour finir la rédaction d'un procès-verbal d’accident et le signer. Un peu plus tard j’ai un appel de Sean qui demande si je suis bien installé le meublé, je réponds qu’il est bien et que je m’installerai ce soir.
Sean (d’un ton ne souffrant d’aucune discussion) : « Élise je viens te chercher dans une heure je te donne un coup de main et on dine ensemble, j’annule le chauffeur» et il raccroche.
Je regarde Alan : « toi tu as appelé Sean si je comprends bien il ne va pas me donner qu’un coup de main.» Une heure plus tard Sean est là il me dépose au bureau de Moreau. Inès la secrétaire m’accueille avec gentillesse, « je souhaite bon rétablissement à votre mari », et m’introduit dans le bureau du Boss puis referme la porte.
Gérard se lève s’approche me tend la main : « chère Élise je suis heureux de ta décision j’ai grand plaisir à te faire signer ce CDD, assieds» Il tire une chaise à droite de son fauteuil je prends place. Il vient s’assoir près de moi et me tend le contrat, je le lis. Toutes les particularités (souplesse des horaires, temps maxi quatre heures) toutes les conditions sont conformes à ce qui était prévu. Je signe les deux exemplaires il m’en remet un.
Gérard : « J’aurai plaisir à te rencontrer dans notre grande maison. J’appelle Ali, il va te ramener au meublé. » Moi : « je te remercie ce n’est pas la peine Sean m’attend pour m’y conduire » Gérard : « Bonne soirée, je te dis à demain et bon courage à Alan»J’appelle mon homme pour lui annoncer la nouvelle : « Bonsoir mon amour j’ai signé mon contrat c’est exactement ce qu’avait dit Moreau et je commence demain » Alan : « tu as choisi les horaires que tu comptes faire ? »Moi : « je pense faire le matin de 08h à 10h comme tu as la visite des médecins et les soins, pour l’après-midi de 13h30 à 14h30, 15h pendant ta sieste et ta kiné qu’en pense tu ? » Alan : « ça me semble pas mal tu pourras toujours changer si besoin »J’en informe de suite Inès qui prévient Moreau et me demande de passer au bureau demain en arrivant.
À 17h50 je suis au meublé avec Sean qui m’aide à défaire ma valise tout est rapidement rangé. Il est surpris du peu de chose que j’ai apporté.
Sean : « dit donc tu vas devoir faire des emplettes si c’est tout ce que tu as comme fringues pour un mois »C’est vrai que je ne pensais pas rester longtemps. Pendant que Sean s’occupe du repas j’appelle Céline et lui demande si elle peut m’envoyer par UPS une de mes valises avec quelques affaires dont je lui envoie la liste par mail avec comme adresse celle de la société.
Nous dinons rapidement avant de nous coucher tout impatient que nous sommes de baiser. Cette nuit de baise intense m’a détendue le stress emmagasiné depuis l’accident est un peu retombé.
Le jeudi matin nous nous levons vers sept heures, Sean me conduit dans le bureau du PDG qui nous salue.
Gérard : « merci Sean tu peux y aller, Inès va s’occuper des formalités » Sean part dans son bureau à l’étage supérieur. Seul avec moi, Gérard me regarde s’adresse à moi avec un sourire au coin des lèvres.
Gérard : « Je savais qu’Alan et Sean se connaissaient mais j’ignorais que vous étiez si proches.»Moi : « vous savez ils se connaissent depuis 1969 et moi depuis 1980 c’est un très bon ami »Lui : « c’est ce que j’ai cru comprendre puisqu’il est passé te chercher ce matin tout comme hier matin et hier soir puisqu’il a annulé le chauffeur »Moi : « j’espère que cela ne pose pas de problème je ne veux pas qu’il ait des ennuis à cause de moi »Lui : « mais non ma belle j’ai souvenir que nous aussi avons été très proche à Lyon. Bien sûr je te tutoie mais je veux que tu me vouvoies»Je me sens prise au piège. Je suis soulagé quand il appelle Inès pour me donner mon badge d’accès, qui sert aussi pour le pointage, et les clés de la nouvelle salle des archives. Il décide de m’accompagner pour me donner des précisions sur le travail. Nous prenons le couloir et nous arrivons à la salle j’ouvre et là surprise des piles de cartons et de dossiers ont été déposées dans l’allée.
Gérard : « tu disposes d’un escabeau, un chariot avec le plateau amovible dont tu peux régler la hauteur pour limiter le port de charge quand tu tries, tu as de quoi faire, si tu as des besoins vois avec Inès. Ha j’oubliais ! J’aimerais que tu travailles en jupe courte quand je passe te voir et ne laisse pas la clé à l’extérieur tu te ferais enfermer»Dès qu’il est parti je fais le tour pour voir par où commencer et je délimite les secteurs de rangement puis je me lance dans la recherche des dossiers les plus anciens. Je mange un peu de poussière et quand Ali arrive à 10h00 je n’ai classé qu’une petite année de comptabilité soit deux plateaux d’étagère. Je ferme la porte et je pars en laissant la clé au secrétariat je badge et direction l’hôpital.
En arrivant dans la chambre je file me laver les mains qui sont encore pleine de poussière avant de venir vers mon homme. Alan me prend dans ses bras m’embrasse me demande comment ça s’est passé si cela n’est pas trop dur.
Moi : « ça va j’ai bouffé un peu de poussière mais je bosse tranquillement.» Je lui raconte ma soirée avec Sean je glisse ma main sous le drap pour voir s’il est excité. Mais rien, sa verge est endormie il met cela sur le compte du traitement. Je lui dis que Sean propose de m’emmener au travail le matin. Une infirmière arrive dans la chambre pour refaire son pansement ce qui me permet de voir la plaie avec les douze points de suture et le drain, je taquine Alan et dit à l’infirmière : « vous devriez mettre une fermeture éclair que je puisse voir les idées qu’il a derrière la tête »Elle me répond en riant qu’il n’est pas toujours bon de savoir ce que les hommes ont en têteLes soins terminés je peux embrasser mon chéri, je reçois un sms de Céline elle a tout mis dans une grosse valise qui me sera livrée UPS vendredi dans la matinée, j’explique tout ça à Alan.
Moi : « j’ai trop peu de vêtements pour un mois, j’ai fait une liste de fringues à Céline elle me les envoie.»Nous parlons des enfants Alan leur a téléphoné hier soir pour les rassurer. Je prends le repas de midi avec lui, ça me fait plaisir de voir qu’il a de l’appétit.
Il est déjà l’heure pour moi de partir au travail Ali est là, j’embrasse mon amour et lui glisse à l’oreille : « Au fait Moreau m’a demandé de mettre une jupe courte au travail je pense que je vais passer à la casserole »En arrivant Inès me met en garde sur le côté dragueur de Moreau j’ai cru comprendre qu’elle avait eu une liaison avec lui. Cet après-midi je suis plus efficace dans mon tri.
A 15h je suis à l’hôpital je préviens Alan que je dois faire quelques achats qu’Ali vient me chercher plus tôt.
A 17h Ali est là, il accepte de tomber la veste pour me conduire et m’accompagner pour mes achats dans les boutiques de prêt à porter. Dans la première boutique j’essaie quelques jupes courtes Ali trouve que pour la saison la minijupe fluide me va bien j’en prends une bleu et une rouge. Dans la seconde boutique je flashe sur deux tops en dentelle un noir un blanc et une robe courte à fleurs avec un large décolleté. Je passe en cabine essaie la robe Ali trouve que le soutien-gorge gâche le décolleté j’entre à nouveau dans la cabine et retire le sous vêtement j’aperçois dans le miroir Ali qui en se caressant l’entrejambe me regarde par l’ouverture du rideau mal fermé. Je sors lui souris « comme ça c’est mieux » Lui : « oui vous êtes canon » je lui dis : « je passe aux tops » j’entre dans la cabine, pour l’exciter un peu je laisse le rideau entrouvert, je retire la robe je suis avec ma petite culotte en dentelle sous son regard j’enfile les tops l’un après l’autre, à la vue de la déformation de sa braguette ce qu’il voit semble lui convenir. Je me rhabille, à 18h30 nous repartons au meublé. Ali monte mes achats, je lui offre à boire il me demande de mettre la robe ce que je fais sans manière, j’aime sentir son regard sur moi. Il s’approche, tend la main et la passe dans le décolleté il me caresse le sein je bloque sa main je l’embrasse sur la joue.
Moi : « on va s’arrêter là ! Je crois que je t’ai donné un bon pourboire »Ali déçu : «t’as tout fais pour m’exciter, laisse-moi toucher. Si tu mets ça pour le boulot Moreau va te sauter dessus » Finalement je cède il me caresse le sein ses doigts pincent mon téton, il passe derrière moi il me serre contre lui je sens sa virilité exacerbée. Je mouille et quand son autre main relève ma robe pour caresser mon sexe je craque. je me retourne et lui offre mes lèvres, sa langue fouille ma bouche. Il recule ouvre et extrait une belle verge (environ 20 x 4,5 cm) de son pantalon. Je ne me contrôle plus je l’entraine dans la chambre lui donne un préservatif pour qu’il me baise. Il est pressé et brutal à la fois ce qui est loin de me déplaire. Il faut peu de temps pour que nous jouissions tous les deux. Je me rhabille, lui aussi.
Moi : « tu m’as eu ! Le pourboire te suffit, maintenant tu me laisses » je le raccompagne il est 19h30.
Le vendredi matin Sean me prend au passage j’ai mis des sous-vêtements en voile blanc sous la minijupe rouge et le top blanc et dessus ma veste noire. Sean me dit « c’est mignon tout ça ». Arrivés au travail il me laisse devant le secrétariat il est 8h. Je prends ma clé au secrétariat et vais me mettre au travail. Une bonne heure plus tard Moreau vient voir où j’en suis. Il verrouille la porte derrière lui et s’approche, je vois son œil qui frise quand il découvre ma tenue.
Gérard : « c’est bien tu m’as écouté monte sur l’escabeau que je vois ça de plus prêt »Élise : « j’ai entendu le souhait que tu as formulé hier »Je monte deux marches il glisse sa main sous ma jupe remonte entre mes cuisses il grogne un peu puis tire ma culotte vers le bas. Il me fait pivoter remonte ma jupe et pose ses lèvres sur ma chatte il me suce, je me laisse faire je mouille, en même temps il me doigte le trou d’amour je ne tarde pas à jouir il se redresse fier de sa victoire.
Gérard : « tu n’attendais que ça ma salope, en remerciement tu me donnes ta culotte et son soutien-gorge allez ! »Je lui donne ma lingerie en descendant les marches. Il ajoute : « Maintenant tu seras sans tous les jours c’est clair et tu m’obéiras »Il m’attire à lui et me donne sa bite à sucer et il baise ma bouche et crache son jus au fond de ma gorge. Il est l’heure d’aller retrouver mon homme.
Moi : «rends moi ma culotte je ne peux pas aller à l’hôpital comme ça » Lui : « Si ! Tu diras à Alan pourquoi tu es cul et seins nus et ce que je t’ai fait, il en sera très excité. Ne te rince pas la bouche il doit sentir mon sperme quand tu vas l’embrasser. Je t’appelle dans une demi-heure ! Vas-y Ali t’attend »En arrivant j’embrasse alain sur la bouche il est plus surpris pas ma tenue que par le goût du sperme.
Alan : « C’est nouveau tout ça, et la pipe c’est Ali ?
Moi : «Chéri ce sont les vêtements que j’ai acheté hier, au départ j’avais des sous-vêtements en voile mais Gérard est venu me voir au travail il me les a confisqués après m’avoir fait jouir en me suçant et ensuite il m’a baisé la bouche d’où le goût du sperme. Tu m’en veux ? »Alan : « non j’aime bien les fringues pour le reste si ça t’as plu ça me va »Mon téléphone sonne je décroche c’est Moreau il me demande de mettre le haut-parleur et de donner le tél à AlanGérard : « bonjour Alan comment vas-tu ? Tu aimes la tenue de ta bourgeoise elle t’a raconté ce qu’on a fait ? Tu m’autorise à la traiter en chienne, la baiser et l’utiliser comme je l’entends»Alan : « j’adore sa tenue pour le reste tant qu’elle accepte et me raconte pas de problème »L’après-midi Gérard est de nouveau passé par le local d’archive il m’a rempli le vagin de son sperme par deux fois me donnant l’ordre de l’appeler maitre, il m’a invité à diner pour samedi soir.
Après le travail Ali me conduit à l’hôpital, j’informe Alan de l’invitation il me dit : « profite et prends du plaisir ». A 18h Sean, qui a récupéré ma valise reçu par UPS, vient me chercher pour que nous passions la soirée ensemble avec la bénédiction d’Alan………………………à suivre
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