Elise libertine 55 L’accident 3/6 ça dégénère
Récit érotique écrit par Jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Elise libertine 55 L’accident 3/6 ça dégénère
Voir les parties précédentesSuite à l’accident d’Alan hospitalisé en région parisienne je me retrouve à Paris pour me soutenir dans un premier temps j’ai Sean notre ami et amant qui s’occupe de moi dans tous les sens du terme puis Gérard le PDG qui m’embauche et fait de moi sa chienne avec la bénédiction d’Alan, la semaine dernière se sont ajoutés Ali le chauffeur puis Cédric et David du service de dépannage (voir partie 2). Je dois reconnaitre qu’ils me font tous beaucoup jouir et que j’aime ça. Le mardi de cette 3ème semaine le Maître me baise dans la salle de réunion pour tester le système vidéo et montrer le film à Alan.
Sans que je m’en aperçoive il allume l’interphone, la porte donnant sur le couloir s’ouvre sur Ali, Cédric et David. Je veux me redresser mais il m’en empêche. Il coupe l’interphone et demande à David de verrouiller la porte derrière lui pour ne pas être dérangé.
Lui : « allons ma jolie les trois t’ont déjà baisée, cette fois il y aura les images pour ton petit mari, pense à Alan»Je me dis qu’il a raison et je suis bien décidée à jouir un max pour satisfaire le candaulisme de mon mari. Pendant une bonne heure les quatre gaillards me baisent par tous les trous en me traitant de pute de chienne ou de salope je connais orgasme sur orgasme un vrai plaisir. Gérard et Ali éjaculent dans ma chatte et mon cul David et Cédric déversent leur semence au fond de ma gorge ou de leurs préservatifs après m’avoir prise en double. Gérard me félicite et m’entraine dans son bureau pour visionner les vidéos pendant que les images défilent sur les écrans face à son bureau il en profite et me baise encore. Il enregistre le film sur un ordinateur portable qu’il me confie pour montrer la vidéo à AlanLorsque j’arrive à l’hôpital je montre la vidéo à Alan qui est très excité en la regardant il me fouille la chattes qui ruisselle encore du foutre de mon maitre. Même si son érection n’est pas totale et son sexe un peu mou j’arrive à le faire jouir en le branlant.
Alan : « ma chérie j’aime voir quand tu jouis sous les coups de bites de ces hommes qui sont bien équipés. Que tu es belle c’est très excitant. Dis-moi tu as aimé te faire baiser ainsi. »Moi : « bien sûr, tu sais que je suis souvent réticente au début mais une fois lancée je prends et me donne à fond »La fin de semaine se déroule normalement outre la visite du boss pour me sauter j’ai eu le jeudi la visite d’Inès venue me mettre en garde.
Inès : « Élise depuis le début j’ai remarqué les visites que Moreau te rend aux archives. Je sais ce que c’est, je suis passée par là, mais j’ai entendu Gérard et Ali parler de profiter de toi je ne sais pas pourquoi. Fais attention à eux ce sont des obsédés du sexe et ils se fichent de ton mariage et Moreau a su repérer dans la société les hommes bien montés et prêt à tout pour baiser et les femmes cibles potentielles»Moi : « tu n’es pas jalouse au moins si tu veux la place je te la laisse »Elle : « non merci j’ai réussi à sortir de leurs griffes je ne tiens pas à y retourner. Je veux juste te dire que tu peux compter sur moi si besoin »Je la remercie et dès qu’elle est partie je reprends mon travail Le vendredi matin lors de ma visite à l’hôpital Alan m’annonce qu’il va sortir lundi mais qu’il devra continuer sa rééducation à l’hôpital pendant au moins une semaine voir quinze jours. Je suis heureuse nous allons pouvoir passer plus de temps ensemble.
Le vendredi en début d’après-midi le patron m’informe qu’Inès est partie en catalogne jusqu’à mercredi suite à un décès dans sa famille, il veut que je participe à sa place au déplacement de lundi sur le site de Chartres.
Moi : « Maître je ne peux pas Alan sort lundi en fin de matinée »Moreau : « Élise c’est important que tu sois là, je vais prendre les mesures nécessaires pour que quelqu’un s’occupe de la sortie d’Alan et déjeune au restaurant avec lui avant de le raccompagner chez vous. Nous passerons te prendre à 8h00 et n’oublie pas tu t’habilles comme d’habitude».
En rejoignant mon homme à la Salpetrière je me demande comment il va prendre ce contre temps. Finalement il ne se fâche pas il comprend l’impératif professionnel.
Alan : « Du moment que je quitte cette chambre que je me fasse un bon resto je peux t’attendre un peu »Le samedi notre ami Sean vient vers dix-neuf heures pour m’aider à aménager l’appartement afin qu’Alan puisse circuler sans risque et nous déplaçons le lit une place pour qu’il puisse l’utiliser s’il le souhaite. Nous commandons ensuite des pizzas avec des salades italienne qui nous sont livrée pour 21h. Nous dinons dans la cuisine avant de passer au salon dans la banquette devant la télé. Je suis bien dans les bras de notre ami. Je sais que nous allons passer une nuit de plaisir et de tendresse grâce à l’amour qui nous uni Sean Alan et moi. Le dimanche matin c’est tous les deux que nous allons retrouver Alan pour sa dernière journée à l’hôpital il sort lundi matin.
Alan : j’ai hâte d’être à demain pour quitter cet endroit » Moi : « je te rappelle que je ne peux pas venir te chercher demain mais que Gérard t’enverra quelqu’un. »Sean : « si tu veux Alan je m’arrange avec Moreau et je viens demain matin pour les formalités de sortie ensuite nous irons déjeuner et je te ramène au meublé.»Alan : « ça me va, je préfère que ce soit toi plutôt qu’un inconnu »Nous passons l’après-midi à refaire le monde à rire et à discuter de l’avenir, vers dix-huit heures Sean me ramène au meublé avant de rentrer chez lui. Je me couche de bonne heure mais j’ai du mal à m’endormir excitée par le retour de mon mari demain.
La 4ème semaine débute. Le lundi 4 juillet matin après le petit déjeuner je me dépêche de prendre ma douche puis j’enfile ma minijupe rouge et mon top blanc en dentelle mes escarpins un soupçon de parfum et me voilà prête. À huit heures on frappe à ma porte ce doit être Ali le chauffeurMoi : « entre la porte est ouverte » la porte s’ouvre sur un grand noir inconnu, je suis surprise : « vous êtes »Il sourit : « je m’excuse je suis Habib je remplace Ali qui est malade, la voiture est devant la porte de l’immeuble Monsieur Moreau nous attend. »Je prends mon sac, ferme la porte et descends rapidement en compagnie d’Habib. Je monte à coté de mon maître et l’embrasseMaître : « tu as fait connaissance d’Habib, il te plait ?» Moi : « Je ne sais pas Monsieur ! Je m’excuse je ne le connais pas assez pour dire ça » Lui : « c’est quoi ça, ne me dis pas que tu as oublié mes ordres il te plait et tu m’appelle maitre »Moi : « pardon maitre je ne pensais pas que c’était un ordre »Lui : « on reparlera de cela plus tard, Habib on y va »La voiture démarre, le trajet se passe sans en encombre, hormis las caresses de mon maitre qui a retroussé ma jupette, en une heure trente nous atteignons le site de Chartre.
Le maitre, Habib et moi sommes accueillis par le directeur du site Georges la bonne cinquantaine vieil ami de Gérard (ils sont entrés ensemble dans l’entreprise) il y a également son adjoint Sébastien l’ingénieur de 35ans (venu récemment de Toulouse) avec qui j’ai baisé lors du séminaire et enfin le chef d’atelier Daniel près de la cinquantaine.
Il est 9h45 nous rejoignons la salle de réunion où nous attend une femme qui a préparé un café avec des viennoiseries. Le directeur demande à la femme de nous laisser. Puis discrètement il s’adresse à Moreau.
Georges : « Excuse-moi Gérard mais il me semble reconnaitre Élise, ce n’est pas la femme à Alan ? » Moreau : «Si mais actuellement c’est ma chienne elle est folle de sexe tu verras cet après-midi que c’est une salope.» Il se tourne vers moi : « Élise tu fais le service »Moi : « Oui maitre »Habib donne au PDG le dossier de travail sur le site de Chartres, tout en buvant le café que je leurs sers. La réunion professionnelle démarre avec les personnes présentes. Au cours de la matinée mon maitre demande un autre café, lorsque je le sers il me caresse les fesses sous ma jupe levant ostensiblement cette dernière ce qui permet à ceux qui sont sur la gauche de voir que je n’ai pas de culotte. Je sers ceux qui veulent du café et quand j’arrive près de Sébastien celui-ci passe discrètement sa main sous ma jupe pour me toucher la chatte. Ignorant le coté pervers du PDG et ce qu’il a entête Sébastien me chuchote : « il faut qu’on trouve un moment nous deux » Moi : « oui mais ce ne sera pas facile »La réunion se termine il est près de treize heures, nous rejoignons tous les six le restaurant d’entreprise où une salle nous est réservée pour le déjeuner. Nous passons à table je suis placée entre mon maitre et Georges (le directeur de site) qui a très bien compris mon rôle. Les conversations auxquelles je ne comprends rien sont souvent techniques je tiens la chandelle. Je m’ennuie un peu malgré les tentatives pour m’intégrer dans la conversation. Si les plats sont bons le repas me semble long surtout que mes deux voisins ne cessent de me caresser je danse d’une fesse sur l’autre tant leurs doigts me fouillent, je suis trempée, la chaise va s’en souvenir. Heureusement que j’ai levé ma jupe avant de m’assoir sinon bonjour les dégâts. Enfin le dessert et le café arrivent.
Le PDG se lève sonnant ainsi la fin du déjeuner il est 14h30 le chef d’atelier retourne à son travail. Gérard s’approche de moi me prend sous son bras la main posée sur non sein: « direction la salle de réunion pour trinquer à la réussite de cette journée ». Le top départ étant donné nous rejoignons la salle à pieds. En arrivant nous trouvons une salle rangée et la table où se trouve la machine à café est recouverte de coupes et de sceaux à glace avec des bouteilles de champagne Sébastien ouvre deux bouteilles. Pendant que sur l’ordre de mon maitre je sers le champagne ils se regroupent tous près de la table autour de Monsieur Moreau qui prend la parole.
« Chers amis je suis satisfait de cette journée, les résultats à six mois sont déjà supérieurs de 14% aux objectifs alors que juillet ne fait que commencer je vous félicite je sais que je peux compter sur votre esprit d’entreprise. Pour vous remercier outre la prime liée aux résultats sachez qu’Élise qui ne manque pas d’argument va également vous remercier.» En disant ces mots il se colle dans mon dos, m’embrasse dans le cou ses mains massent ma poitrine mes tétons durcissent et percent la dentelle, mon maitre remonte mon top puis le redescend je suis stupéfaite, mes seins ont été exposés à la vue de tous. Puis il me caresse les fesses sous ma minijupe et ajoute.
« Trinquons avant de passer aux réjouissances »Chacun prend une coupe et nous buvons. Les hommes discutent entre eux en me regardant avec gourmandise ils doivent parler de moi. Pour me donner une contenance je bois trois coupes coup sur coup c’est Sébastien qui vient m’empêcher d’en boire plus.
Séb : « si je comprends bien tu es là pour te faire baiser…., et ton mari il est où ?»Moi : « je ne savais rien du projet de Moreau lorsqu’il m’a dit que j’étais du voyage. Alan il est à Paris il a eu un accident et sors de l’hôpital aujourd’hui mais il sait où je suis »Séb : « et il sait que tu te fais baiser par Moreau qui t’offre à ses cadres »Moi : « il sait que Gérard me baise et me fait baiser par des mecs du siège, pour aujourd’hui il ne le sait pas encore »Séb : « tu vas lui dire !... Il n’aimerait pas être là ?»Moi : « bien sûr, il accepte et aime que je prenne du plaisir. Il préfère être présent pour me voir mais ce n’est pas toujours possible alors je lui raconte »Sébastien m’attire contre lui me serre dans ses bras et m’embrasse sur la bouche. Mon maitre s’approche en souriant « Élise tu fais connaissance de notre jeune directeur adjoint ? »Séb : « disons que nous avons déjà fait connaissance dans sa chambre au séminaire »Moreau : « bien alors lancez les festivités ne m’attendez pas je vais à l’atelier avec Daniel (le chef d’atelier) rencontrer les personnels. Demandez les capotes à Habib »Le boss part pour l’atelier. Habib qui a entendu dépose des préservatifs sur la table. Séb déboutonne ma jupe qui tombe au sol c’est le début de la curée. Georges ouvre son pantalon il en sort une bite bandée de taille moyenne (L16 Ø3,5). Le directeur s’empresse de me donner sa queue à sucer pendant que Séb se couvre la bite et me baise la chatte. Je suis lancée je ne pense plus qu’au plaisir, il me faut des bites je tends la main pour attirer Habib qui n’a pas encore sorti son service trois pièces.
Finalement Habib sort une queue gigantesque en érection au moins 25cm de long et plus de 5 de diamètre (une troisième jambe) je caresse sa queue avec l’envie d’en profiter. Cela m’excite tellement que je jouis sous les coups de bite de Séb qui jouit à son tour.
Habib se présente derrière moi il guide son gros boudin noir dans ma chatte lentement il enfonce 10 puis 20cm il pousse encore, je dois en avoir vingt-deux cm dans la boite à plaisir il est au fond et il en reste encore trois bon centimètres à l’extérieur, mon ventre est rempli comme rarement il se meut avec souplesse, entre, sort, revient plus vite plus fort cela dure je suis en délire je ne suis que jouissance, et Georges excité par le spectacle m’arrose les amygdales.
Habib me burine toujours le vagin je jouis bruyamment il me met la main sur la bouche pour m’empêcher de crier enfin je le sens envoyer son jus en de fortes giclées dans mon ventre quand il se retire le préservatif est bien rempli d’un sperme épais qu’il verse sur mon cul et étale sur mes fesses. Même si sa queue n’est pas dure comme de la pierre elle est encore suffisamment bandée pour qu’il me reprenne la chatte, il me baise longtemps il ne peut pas me mettre toute sa queue mais me fait jouir deux fois avant de venir éjaculer au fond de ma gorge. C’est alors que mon maître revient.
Maître: « Salope tu aimes la bite d’Habib, tu veux encore»Moi : « oui Maitre je n’arrête pas de jouir avec sa queue et j’en veux encore »Moreau s’adresse à Georges : « alors elle est bonne ma chienne ? » Georges : « cette salope est bien dressée ! On peut la sodomiser ? »Maître: «Tu lui fais ce que tu veux elle aime tout, plus elle en a plus elle en veut, elle peut baiser pendant des heures»Georges en regardant son adjoint: « dans ce cas Sébastien viens on la prend à deux»Georges : « m’encule violemment il est rejoint par Sébastien qui se met face à moi, il me redresse m’attrape sous les cuisses et m’enfile sa queue dans la chatte je m’accroche à son cou. Il me baise pendant de longues minutes pendant que Georges m’encule violemment.
Mes deux baiseurs éjaculent de concert, je le sens malgré la capote et l’orgasme m’emporte moi aussi. Séb me repose sur le sol.
Moreau demande à Habib de préparer la voiture pour rentre au siège. Mon maître ce salop ne me baise même pas et me demande de me rhabiller. A regret Habib se rhabille et sors de la salle, j’enfile mon top et ma minijupe.
Moi : « Maître puis je aller me rafraichir »Ayant l’autorisation du maître je vais dans les toilettes dames me nettoyer un peu, à mon retour tous ont revêtu leurs vêtements. Ils sont autour du boss et discutent.
Moreau : « petit chienne vient dire au revoir et remercier ces messieurs » Je m’approche, Georges et Séb pour me dire au revoir m’embrassent à pleine bouche tout en me tripotant.
Mon Maître salue les deux hommes, me prend par la taille et m’entraine vers la voiture il est plus de dix-huit heures.
Dans la voiture je me plains à Gérard du rôle qu’il m’a fait jouer. Son regard devient dur il me saisit par le menton: « Pardon ! Je fais ce que je veux. Tu es à moi, et tu obéis à ton Maître tu as bien compris, tu devrais me remercier du plaisir que te donnent les hommes à qui je t’offre»Rappelée à mon statut de chienne je sens que ma chatte ruisselle, j’acquiesce sans broncher.
Au bout d’une demi-heure de route je commence à avoir soif et aussi envie d’aller aux toilettes Moi : « Maître pouvons-nous faire un arrêt pipi j’ai besoin d’aller aux toilettes et je boirais bien quelque chose » Maître : « soit, Habib tu sors de l’autoroute on va trouver un routier, Élise appelle Alan pour le prévenir que tu rentres tard»J’appelle Alan qui est un peu déçu mais je lui promets une nuit torride à mon retour.
Habib sort de l’autoroute nous continuons le voyage retour par la nationale. Vers 19h nous passons près d’un restaurant routier le boss demande à Habib de s’arrêter près des camions. Nous sommes presque au fond du grand parking. Nous nous dirigeons vers le restaurant, mon maître lève ma jupe pour montrer mon cul aux routiers.
Dans la salle nous nous installons au bar. Mon maître commande deux whiskys et un soda pendant que je vais aux toilettes. A mon retour mon maitre raccroche son téléphone, je constate qu’Habib bois le soda je dois donc boire le whisky. Mon maître observe la salle de restaurant et se dirige vers une grande table de six personnes déjà occupée par deux routiers du même côté avec une place entre eux.
Maitre : « Bonsoir messieurs pouvons-nous nous assoir. Elise met toi entre ces messieurs Habib et moi nous mettrons en face »Les deux routiers me dévisagent, lorgnent mes seins et mes cuisses. Pendant que mon Maître et Habib prennent place face à nous. Maitre engage la conversation avec les routiers sur leur solitude sur la route. La serveuse apporte de suite les assiettes d’entrée (de la charcuterie) et la bouteille de gros rouge. Après avoir souhaité bon appétit j’attaque la charcuterieMaître s’adresse à moi : « hé bien ma cochonne tu aimes tant les cochons que tu en manges encore » Les routiers sourient en me regardant du coin de l’œil ce que mon maitre et Habib encouragent par leurs remarques.
Maître : « j’espère que tu as relevé ta jupe avant de t’assoir, oui messieurs cette salope n’a jamais de culotte En plus elle aime se faire tripoter et baiser comme cette après-midi dans une salle de réunion n’est-ce pas Habib»Habib : «oui Monsieur »Maître : « Vous pouvez contrôler elle ne dira rien, n’est-ce pas chienne ? Répond !»Moi : « Oui maitre vous pouvez compter sur ma coopération »Je suis tête basse plongée dans mon assiette je mange. Mes deux voisins me regardent plus franchement. Celui à ma gauche après une hésitation pose sa main sur ma cuisse et remonte lentement vers mon entrejambe. Je frissonne au contact de sa main froide, j’ouvre le compas de mes cuisses le laissant accéder à mon sexe. Il fait glisser son doigt sur mes lèvres humides et le plante dans ma vulve. Le coquin qui s’appelle Denis regarde mon maitreLui : « c’est vrai et en plus elle mouille, combien pour la baiser dans mon camion»Maitre : « c’est gratuit elle y pense déjà la salope, Élise répond à Denis » Moi : « Denis je me réjouis déjà de prendre votre bite dans la chatte ou le cul »Nous terminons le repas, seul Denis participe à la discussion l’autre routier écoute, regarde mais ne bouge pas. Mon maitre et le routier se lèvent pour aller au bar s’acquitter du prix des repas, en même temps le PDG téléphone longuement. Habib et moi attendons signe que le Maître nous fait de venir le rejoindre et nous sortons du restaurant suivi de Denis le routier. Les nombreux hommes présents dans la salle me regardent vicieusement. Je suis conduite dans la cabine de Denis qui me baise avec sa petite bite de 14cm et crache rapidement dans sa capote.
Mon maître Habib et moi regagnons la voiture pour reprendre le voyage retour, mon maitre donne une adresse que le chauffeur entre dans le GPS. Trois bons quart d’heure plus tard nous arrivons devant la grille d’un hôtel particulier parisien il fait encore jour il est vingt et une heure. Maître m’invite à descendre il donne des directives à Habib et passe un coup de fil. Il descend à son tour, la voiture s’éloigne, nous avançons vers l’imposant portail je pense être chez mon maitre mais il n’en est rien. Le portail s’ouvre à notre approche il y a une douzaine de voitures dans la cour.
Maître : « j’espère que tu vas me faire honneur nous allons retrouver quelques amis pour le concours de celui qui amène la femme la plus salope, les professionnelles étant interdites. Je compte sur toi pour l’emporter cette année. » Moi : « Maître mon mari m’attend s’il vous plait peut-on remettre à plus tard »Maitre : « Certainement pas, déjà que le comte a organisé la soirée en moins de deux heures pour rassembler des gens de qualité ayant des bites au-dessus de la moyenne, tu ne vas pas te plaindre d’avoir de belles bites pour toi toute seule »……………….
………à suivre…………….
Sans que je m’en aperçoive il allume l’interphone, la porte donnant sur le couloir s’ouvre sur Ali, Cédric et David. Je veux me redresser mais il m’en empêche. Il coupe l’interphone et demande à David de verrouiller la porte derrière lui pour ne pas être dérangé.
Lui : « allons ma jolie les trois t’ont déjà baisée, cette fois il y aura les images pour ton petit mari, pense à Alan»Je me dis qu’il a raison et je suis bien décidée à jouir un max pour satisfaire le candaulisme de mon mari. Pendant une bonne heure les quatre gaillards me baisent par tous les trous en me traitant de pute de chienne ou de salope je connais orgasme sur orgasme un vrai plaisir. Gérard et Ali éjaculent dans ma chatte et mon cul David et Cédric déversent leur semence au fond de ma gorge ou de leurs préservatifs après m’avoir prise en double. Gérard me félicite et m’entraine dans son bureau pour visionner les vidéos pendant que les images défilent sur les écrans face à son bureau il en profite et me baise encore. Il enregistre le film sur un ordinateur portable qu’il me confie pour montrer la vidéo à AlanLorsque j’arrive à l’hôpital je montre la vidéo à Alan qui est très excité en la regardant il me fouille la chattes qui ruisselle encore du foutre de mon maitre. Même si son érection n’est pas totale et son sexe un peu mou j’arrive à le faire jouir en le branlant.
Alan : « ma chérie j’aime voir quand tu jouis sous les coups de bites de ces hommes qui sont bien équipés. Que tu es belle c’est très excitant. Dis-moi tu as aimé te faire baiser ainsi. »Moi : « bien sûr, tu sais que je suis souvent réticente au début mais une fois lancée je prends et me donne à fond »La fin de semaine se déroule normalement outre la visite du boss pour me sauter j’ai eu le jeudi la visite d’Inès venue me mettre en garde.
Inès : « Élise depuis le début j’ai remarqué les visites que Moreau te rend aux archives. Je sais ce que c’est, je suis passée par là, mais j’ai entendu Gérard et Ali parler de profiter de toi je ne sais pas pourquoi. Fais attention à eux ce sont des obsédés du sexe et ils se fichent de ton mariage et Moreau a su repérer dans la société les hommes bien montés et prêt à tout pour baiser et les femmes cibles potentielles»Moi : « tu n’es pas jalouse au moins si tu veux la place je te la laisse »Elle : « non merci j’ai réussi à sortir de leurs griffes je ne tiens pas à y retourner. Je veux juste te dire que tu peux compter sur moi si besoin »Je la remercie et dès qu’elle est partie je reprends mon travail Le vendredi matin lors de ma visite à l’hôpital Alan m’annonce qu’il va sortir lundi mais qu’il devra continuer sa rééducation à l’hôpital pendant au moins une semaine voir quinze jours. Je suis heureuse nous allons pouvoir passer plus de temps ensemble.
Le vendredi en début d’après-midi le patron m’informe qu’Inès est partie en catalogne jusqu’à mercredi suite à un décès dans sa famille, il veut que je participe à sa place au déplacement de lundi sur le site de Chartres.
Moi : « Maître je ne peux pas Alan sort lundi en fin de matinée »Moreau : « Élise c’est important que tu sois là, je vais prendre les mesures nécessaires pour que quelqu’un s’occupe de la sortie d’Alan et déjeune au restaurant avec lui avant de le raccompagner chez vous. Nous passerons te prendre à 8h00 et n’oublie pas tu t’habilles comme d’habitude».
En rejoignant mon homme à la Salpetrière je me demande comment il va prendre ce contre temps. Finalement il ne se fâche pas il comprend l’impératif professionnel.
Alan : « Du moment que je quitte cette chambre que je me fasse un bon resto je peux t’attendre un peu »Le samedi notre ami Sean vient vers dix-neuf heures pour m’aider à aménager l’appartement afin qu’Alan puisse circuler sans risque et nous déplaçons le lit une place pour qu’il puisse l’utiliser s’il le souhaite. Nous commandons ensuite des pizzas avec des salades italienne qui nous sont livrée pour 21h. Nous dinons dans la cuisine avant de passer au salon dans la banquette devant la télé. Je suis bien dans les bras de notre ami. Je sais que nous allons passer une nuit de plaisir et de tendresse grâce à l’amour qui nous uni Sean Alan et moi. Le dimanche matin c’est tous les deux que nous allons retrouver Alan pour sa dernière journée à l’hôpital il sort lundi matin.
Alan : j’ai hâte d’être à demain pour quitter cet endroit » Moi : « je te rappelle que je ne peux pas venir te chercher demain mais que Gérard t’enverra quelqu’un. »Sean : « si tu veux Alan je m’arrange avec Moreau et je viens demain matin pour les formalités de sortie ensuite nous irons déjeuner et je te ramène au meublé.»Alan : « ça me va, je préfère que ce soit toi plutôt qu’un inconnu »Nous passons l’après-midi à refaire le monde à rire et à discuter de l’avenir, vers dix-huit heures Sean me ramène au meublé avant de rentrer chez lui. Je me couche de bonne heure mais j’ai du mal à m’endormir excitée par le retour de mon mari demain.
La 4ème semaine débute. Le lundi 4 juillet matin après le petit déjeuner je me dépêche de prendre ma douche puis j’enfile ma minijupe rouge et mon top blanc en dentelle mes escarpins un soupçon de parfum et me voilà prête. À huit heures on frappe à ma porte ce doit être Ali le chauffeurMoi : « entre la porte est ouverte » la porte s’ouvre sur un grand noir inconnu, je suis surprise : « vous êtes »Il sourit : « je m’excuse je suis Habib je remplace Ali qui est malade, la voiture est devant la porte de l’immeuble Monsieur Moreau nous attend. »Je prends mon sac, ferme la porte et descends rapidement en compagnie d’Habib. Je monte à coté de mon maître et l’embrasseMaître : « tu as fait connaissance d’Habib, il te plait ?» Moi : « Je ne sais pas Monsieur ! Je m’excuse je ne le connais pas assez pour dire ça » Lui : « c’est quoi ça, ne me dis pas que tu as oublié mes ordres il te plait et tu m’appelle maitre »Moi : « pardon maitre je ne pensais pas que c’était un ordre »Lui : « on reparlera de cela plus tard, Habib on y va »La voiture démarre, le trajet se passe sans en encombre, hormis las caresses de mon maitre qui a retroussé ma jupette, en une heure trente nous atteignons le site de Chartre.
Le maitre, Habib et moi sommes accueillis par le directeur du site Georges la bonne cinquantaine vieil ami de Gérard (ils sont entrés ensemble dans l’entreprise) il y a également son adjoint Sébastien l’ingénieur de 35ans (venu récemment de Toulouse) avec qui j’ai baisé lors du séminaire et enfin le chef d’atelier Daniel près de la cinquantaine.
Il est 9h45 nous rejoignons la salle de réunion où nous attend une femme qui a préparé un café avec des viennoiseries. Le directeur demande à la femme de nous laisser. Puis discrètement il s’adresse à Moreau.
Georges : « Excuse-moi Gérard mais il me semble reconnaitre Élise, ce n’est pas la femme à Alan ? » Moreau : «Si mais actuellement c’est ma chienne elle est folle de sexe tu verras cet après-midi que c’est une salope.» Il se tourne vers moi : « Élise tu fais le service »Moi : « Oui maitre »Habib donne au PDG le dossier de travail sur le site de Chartres, tout en buvant le café que je leurs sers. La réunion professionnelle démarre avec les personnes présentes. Au cours de la matinée mon maitre demande un autre café, lorsque je le sers il me caresse les fesses sous ma jupe levant ostensiblement cette dernière ce qui permet à ceux qui sont sur la gauche de voir que je n’ai pas de culotte. Je sers ceux qui veulent du café et quand j’arrive près de Sébastien celui-ci passe discrètement sa main sous ma jupe pour me toucher la chatte. Ignorant le coté pervers du PDG et ce qu’il a entête Sébastien me chuchote : « il faut qu’on trouve un moment nous deux » Moi : « oui mais ce ne sera pas facile »La réunion se termine il est près de treize heures, nous rejoignons tous les six le restaurant d’entreprise où une salle nous est réservée pour le déjeuner. Nous passons à table je suis placée entre mon maitre et Georges (le directeur de site) qui a très bien compris mon rôle. Les conversations auxquelles je ne comprends rien sont souvent techniques je tiens la chandelle. Je m’ennuie un peu malgré les tentatives pour m’intégrer dans la conversation. Si les plats sont bons le repas me semble long surtout que mes deux voisins ne cessent de me caresser je danse d’une fesse sur l’autre tant leurs doigts me fouillent, je suis trempée, la chaise va s’en souvenir. Heureusement que j’ai levé ma jupe avant de m’assoir sinon bonjour les dégâts. Enfin le dessert et le café arrivent.
Le PDG se lève sonnant ainsi la fin du déjeuner il est 14h30 le chef d’atelier retourne à son travail. Gérard s’approche de moi me prend sous son bras la main posée sur non sein: « direction la salle de réunion pour trinquer à la réussite de cette journée ». Le top départ étant donné nous rejoignons la salle à pieds. En arrivant nous trouvons une salle rangée et la table où se trouve la machine à café est recouverte de coupes et de sceaux à glace avec des bouteilles de champagne Sébastien ouvre deux bouteilles. Pendant que sur l’ordre de mon maitre je sers le champagne ils se regroupent tous près de la table autour de Monsieur Moreau qui prend la parole.
« Chers amis je suis satisfait de cette journée, les résultats à six mois sont déjà supérieurs de 14% aux objectifs alors que juillet ne fait que commencer je vous félicite je sais que je peux compter sur votre esprit d’entreprise. Pour vous remercier outre la prime liée aux résultats sachez qu’Élise qui ne manque pas d’argument va également vous remercier.» En disant ces mots il se colle dans mon dos, m’embrasse dans le cou ses mains massent ma poitrine mes tétons durcissent et percent la dentelle, mon maitre remonte mon top puis le redescend je suis stupéfaite, mes seins ont été exposés à la vue de tous. Puis il me caresse les fesses sous ma minijupe et ajoute.
« Trinquons avant de passer aux réjouissances »Chacun prend une coupe et nous buvons. Les hommes discutent entre eux en me regardant avec gourmandise ils doivent parler de moi. Pour me donner une contenance je bois trois coupes coup sur coup c’est Sébastien qui vient m’empêcher d’en boire plus.
Séb : « si je comprends bien tu es là pour te faire baiser…., et ton mari il est où ?»Moi : « je ne savais rien du projet de Moreau lorsqu’il m’a dit que j’étais du voyage. Alan il est à Paris il a eu un accident et sors de l’hôpital aujourd’hui mais il sait où je suis »Séb : « et il sait que tu te fais baiser par Moreau qui t’offre à ses cadres »Moi : « il sait que Gérard me baise et me fait baiser par des mecs du siège, pour aujourd’hui il ne le sait pas encore »Séb : « tu vas lui dire !... Il n’aimerait pas être là ?»Moi : « bien sûr, il accepte et aime que je prenne du plaisir. Il préfère être présent pour me voir mais ce n’est pas toujours possible alors je lui raconte »Sébastien m’attire contre lui me serre dans ses bras et m’embrasse sur la bouche. Mon maitre s’approche en souriant « Élise tu fais connaissance de notre jeune directeur adjoint ? »Séb : « disons que nous avons déjà fait connaissance dans sa chambre au séminaire »Moreau : « bien alors lancez les festivités ne m’attendez pas je vais à l’atelier avec Daniel (le chef d’atelier) rencontrer les personnels. Demandez les capotes à Habib »Le boss part pour l’atelier. Habib qui a entendu dépose des préservatifs sur la table. Séb déboutonne ma jupe qui tombe au sol c’est le début de la curée. Georges ouvre son pantalon il en sort une bite bandée de taille moyenne (L16 Ø3,5). Le directeur s’empresse de me donner sa queue à sucer pendant que Séb se couvre la bite et me baise la chatte. Je suis lancée je ne pense plus qu’au plaisir, il me faut des bites je tends la main pour attirer Habib qui n’a pas encore sorti son service trois pièces.
Finalement Habib sort une queue gigantesque en érection au moins 25cm de long et plus de 5 de diamètre (une troisième jambe) je caresse sa queue avec l’envie d’en profiter. Cela m’excite tellement que je jouis sous les coups de bite de Séb qui jouit à son tour.
Habib se présente derrière moi il guide son gros boudin noir dans ma chatte lentement il enfonce 10 puis 20cm il pousse encore, je dois en avoir vingt-deux cm dans la boite à plaisir il est au fond et il en reste encore trois bon centimètres à l’extérieur, mon ventre est rempli comme rarement il se meut avec souplesse, entre, sort, revient plus vite plus fort cela dure je suis en délire je ne suis que jouissance, et Georges excité par le spectacle m’arrose les amygdales.
Habib me burine toujours le vagin je jouis bruyamment il me met la main sur la bouche pour m’empêcher de crier enfin je le sens envoyer son jus en de fortes giclées dans mon ventre quand il se retire le préservatif est bien rempli d’un sperme épais qu’il verse sur mon cul et étale sur mes fesses. Même si sa queue n’est pas dure comme de la pierre elle est encore suffisamment bandée pour qu’il me reprenne la chatte, il me baise longtemps il ne peut pas me mettre toute sa queue mais me fait jouir deux fois avant de venir éjaculer au fond de ma gorge. C’est alors que mon maître revient.
Maître: « Salope tu aimes la bite d’Habib, tu veux encore»Moi : « oui Maitre je n’arrête pas de jouir avec sa queue et j’en veux encore »Moreau s’adresse à Georges : « alors elle est bonne ma chienne ? » Georges : « cette salope est bien dressée ! On peut la sodomiser ? »Maître: «Tu lui fais ce que tu veux elle aime tout, plus elle en a plus elle en veut, elle peut baiser pendant des heures»Georges en regardant son adjoint: « dans ce cas Sébastien viens on la prend à deux»Georges : « m’encule violemment il est rejoint par Sébastien qui se met face à moi, il me redresse m’attrape sous les cuisses et m’enfile sa queue dans la chatte je m’accroche à son cou. Il me baise pendant de longues minutes pendant que Georges m’encule violemment.
Mes deux baiseurs éjaculent de concert, je le sens malgré la capote et l’orgasme m’emporte moi aussi. Séb me repose sur le sol.
Moreau demande à Habib de préparer la voiture pour rentre au siège. Mon maître ce salop ne me baise même pas et me demande de me rhabiller. A regret Habib se rhabille et sors de la salle, j’enfile mon top et ma minijupe.
Moi : « Maître puis je aller me rafraichir »Ayant l’autorisation du maître je vais dans les toilettes dames me nettoyer un peu, à mon retour tous ont revêtu leurs vêtements. Ils sont autour du boss et discutent.
Moreau : « petit chienne vient dire au revoir et remercier ces messieurs » Je m’approche, Georges et Séb pour me dire au revoir m’embrassent à pleine bouche tout en me tripotant.
Mon Maître salue les deux hommes, me prend par la taille et m’entraine vers la voiture il est plus de dix-huit heures.
Dans la voiture je me plains à Gérard du rôle qu’il m’a fait jouer. Son regard devient dur il me saisit par le menton: « Pardon ! Je fais ce que je veux. Tu es à moi, et tu obéis à ton Maître tu as bien compris, tu devrais me remercier du plaisir que te donnent les hommes à qui je t’offre»Rappelée à mon statut de chienne je sens que ma chatte ruisselle, j’acquiesce sans broncher.
Au bout d’une demi-heure de route je commence à avoir soif et aussi envie d’aller aux toilettes Moi : « Maître pouvons-nous faire un arrêt pipi j’ai besoin d’aller aux toilettes et je boirais bien quelque chose » Maître : « soit, Habib tu sors de l’autoroute on va trouver un routier, Élise appelle Alan pour le prévenir que tu rentres tard»J’appelle Alan qui est un peu déçu mais je lui promets une nuit torride à mon retour.
Habib sort de l’autoroute nous continuons le voyage retour par la nationale. Vers 19h nous passons près d’un restaurant routier le boss demande à Habib de s’arrêter près des camions. Nous sommes presque au fond du grand parking. Nous nous dirigeons vers le restaurant, mon maître lève ma jupe pour montrer mon cul aux routiers.
Dans la salle nous nous installons au bar. Mon maître commande deux whiskys et un soda pendant que je vais aux toilettes. A mon retour mon maitre raccroche son téléphone, je constate qu’Habib bois le soda je dois donc boire le whisky. Mon maître observe la salle de restaurant et se dirige vers une grande table de six personnes déjà occupée par deux routiers du même côté avec une place entre eux.
Maitre : « Bonsoir messieurs pouvons-nous nous assoir. Elise met toi entre ces messieurs Habib et moi nous mettrons en face »Les deux routiers me dévisagent, lorgnent mes seins et mes cuisses. Pendant que mon Maître et Habib prennent place face à nous. Maitre engage la conversation avec les routiers sur leur solitude sur la route. La serveuse apporte de suite les assiettes d’entrée (de la charcuterie) et la bouteille de gros rouge. Après avoir souhaité bon appétit j’attaque la charcuterieMaître s’adresse à moi : « hé bien ma cochonne tu aimes tant les cochons que tu en manges encore » Les routiers sourient en me regardant du coin de l’œil ce que mon maitre et Habib encouragent par leurs remarques.
Maître : « j’espère que tu as relevé ta jupe avant de t’assoir, oui messieurs cette salope n’a jamais de culotte En plus elle aime se faire tripoter et baiser comme cette après-midi dans une salle de réunion n’est-ce pas Habib»Habib : «oui Monsieur »Maître : « Vous pouvez contrôler elle ne dira rien, n’est-ce pas chienne ? Répond !»Moi : « Oui maitre vous pouvez compter sur ma coopération »Je suis tête basse plongée dans mon assiette je mange. Mes deux voisins me regardent plus franchement. Celui à ma gauche après une hésitation pose sa main sur ma cuisse et remonte lentement vers mon entrejambe. Je frissonne au contact de sa main froide, j’ouvre le compas de mes cuisses le laissant accéder à mon sexe. Il fait glisser son doigt sur mes lèvres humides et le plante dans ma vulve. Le coquin qui s’appelle Denis regarde mon maitreLui : « c’est vrai et en plus elle mouille, combien pour la baiser dans mon camion»Maitre : « c’est gratuit elle y pense déjà la salope, Élise répond à Denis » Moi : « Denis je me réjouis déjà de prendre votre bite dans la chatte ou le cul »Nous terminons le repas, seul Denis participe à la discussion l’autre routier écoute, regarde mais ne bouge pas. Mon maitre et le routier se lèvent pour aller au bar s’acquitter du prix des repas, en même temps le PDG téléphone longuement. Habib et moi attendons signe que le Maître nous fait de venir le rejoindre et nous sortons du restaurant suivi de Denis le routier. Les nombreux hommes présents dans la salle me regardent vicieusement. Je suis conduite dans la cabine de Denis qui me baise avec sa petite bite de 14cm et crache rapidement dans sa capote.
Mon maître Habib et moi regagnons la voiture pour reprendre le voyage retour, mon maitre donne une adresse que le chauffeur entre dans le GPS. Trois bons quart d’heure plus tard nous arrivons devant la grille d’un hôtel particulier parisien il fait encore jour il est vingt et une heure. Maître m’invite à descendre il donne des directives à Habib et passe un coup de fil. Il descend à son tour, la voiture s’éloigne, nous avançons vers l’imposant portail je pense être chez mon maitre mais il n’en est rien. Le portail s’ouvre à notre approche il y a une douzaine de voitures dans la cour.
Maître : « j’espère que tu vas me faire honneur nous allons retrouver quelques amis pour le concours de celui qui amène la femme la plus salope, les professionnelles étant interdites. Je compte sur toi pour l’emporter cette année. » Moi : « Maître mon mari m’attend s’il vous plait peut-on remettre à plus tard »Maitre : « Certainement pas, déjà que le comte a organisé la soirée en moins de deux heures pour rassembler des gens de qualité ayant des bites au-dessus de la moyenne, tu ne vas pas te plaindre d’avoir de belles bites pour toi toute seule »……………….
………à suivre…………….
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