ELLE EST DEVENUE MA FEMELLE
Récit érotique écrit par Noyo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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ELLE EST DEVENUE MA FEMELLE
DEVIENDRAIS-JE SA FEMELLE ?
RACHEL :Je me prénomme Rachel 40 ans et Hervé mon mari 42 ans. Nous nous sommes connus jeunes et avons eu deux enfants très tôt. Ils sont maintenant étudiants et ont quitté le foyer.
Pour des raisons professionnelles d’Hervé nous avons déménagé et son employeur nous a mis à disposition une maison de ville dans une petite copropriété. Je ne cherche pas forcément du travail dans cette nouvelle région. Sexuellement je n’ai connu qu’Hervé.
Nous faisons l’amour de moins en moins et ce n’est qu’en missionnaire ou levrette. Etant originaire d’une famille bourgeoise et catholique, je suis peut-être coincée mais Hervé n’a rien fait pour me faire connaître autre chose.
Nous avons assez vite sympathisé avec nos voisins directs. Ils sont de notre tranche d’âge. Entre apéros de bienvenue chez les uns et autres, j’ai remarqué Qu’Antoine n’arrêtait pas de me reluquer ou trouver un prétexte pour me toucher telle ou telle partie de mon corps. Je ne comprenais pas pourquoi car son épouse Justine est vraiment belle et est toujours bien maquillée et habillée tandis que moi simple queue de cheval, pas de maquillage et côté fringue bof pas de quoi réveiller un mort. Lors du dernier barbecue chez eux, il y a 3 mois environs Justine était habillée d’une simple tunique transparente arrivant au-dessus des genoux et d’un tanga comme sous-vêtement. Hervé ne la quittait pas des yeux. Antoine lui caressait les fesses tout en me fixant. Les hommes se sont occupés du feu. Justine et moi des salades à la cuisine.
-je peux te poser une question indiscrète Justine.
-mais oui vas-y me répondit-elle-tu n’es pas gênée par le regard d’Hervé sur toi ?
-non pas du tout. Au début de ma relation avec Antoine, quand il m’ordonnait de m’habiller ainsi oui mais je voulais aussi être prise en main de cette manière. Voilà tu sais tout Au retour sur la terrasse j’ai vu Antoine serrer la main à Hervé et j’ai trouvé cela étonnant. La soirée se termina bien.
De retour à la maison, Hervé m’a fait l’amour comme jamais. La vue de Justine et Antoine pensais-je. Et chez moi tout se basculait dans ma tête : le regard dominateur d’Antoine sur moi avec ses mains baladeuses sur Justine, mes fantasmes inavoués, Hervé, mon éducation, ma conscience… j’ai mis du mal à m’endormir, mon corps réclamait du plaisir.
Hervé est parti pour la semaine et ne le verrai que vendredi.
Après le départ d’Hervé le lundi matin je prenais mon petit-déjeuner simplement habillée d’une chemise d’Hervé et d’une culotte (ma façon à moi de penser à Hervé) quand on toqua à la porte. C’était Antoine qui prétextait un besoin d’imprimer une feuille.
-Attends-moi là je vais m’habiller lui dis-je-surtout pas me rétorqua t’il sur un ton sans équivoque.
Antoine :Nous habitons Antoine et Justine, dans une petite copropriété de maisons de ville et nous avons 38 ans tous les deux et pas d’enfants encore. Je suis prof dans un lycée et Justine travaille dans une administration. Il y a 6 mois de nouveaux locataires ont emménagé dans la maison d’à côté. Un couple, elle effacée mais belle et lui je dirai le cadre supérieur dans son cliché. Nous avons assez vite sympathisé. Lors de différents apéros pris chez les uns et autres, nous nous découvrions.
Lors du dernier barbecue, il y 3 mois, j’ai décidé de franchir un palier dans la relation avec nos voisins. Justine portait une tunique transparente et un tanga et en accessoire une ceinture. Vous auriez vu la tête de nos voisins. Hervé avait les yeux rivés sur Justine et Rachel était gênée. J’avais également prévu assez d’alcool. Pendant que nous les hommes nous nous occupions du feu, les femmes préparaient quelques salades.
Hervé me fit quelques confidences sur leur couple, et après plusieurs échanges nous nous serrions la main.
Le repas et la fin de soirée se passa au mieux. Il y avait de la tension sexuelle en l’air. J’attendis le départ des invités pour récompenser Justine en la baisant comme elle le méritait.
Lundi matin. A moi de convaincre Rachel.
Je prétextais un document à imprimer pour me rendre chez elle. Je toque et Rachel vint m’ouvrir la porte. Je fus scotché devant cette femme.
-Bonjour Rachel, tu es toute en beauté ce matin -merci Antoine. Attends-moi je vais m’habiller.
Rachel :La manière dont il m’a répondu et son emprise de sa langue dans ma bouche ont eu raison de mon éducation. J’aurais dû le gifler et non j’ai encore plus ouvert ma bouche et participais activement au jeu de langue. Je mouillais et n’avais qu’une envie qu’il me prenne. Il n’avait l’air pressé de me prendre se contentant de m’embrasser et tripoter.
-prends-moi, j’en ai trop envie Antoine suppliai-je-non, on me dit baises-moi entendis-jeJe rougis, n’osant pas dire ce genre de phrase.
-alors ?
-j’ai envie de te sentir en moi Antoine-et ?
-baise-moi lui dis-je d’une petite voix -enlèves ta culotte, poses-toi au bord de la table et ouvres tes cuisses.
J’ai pu enlever ma culotte, mais le reste fut difficile à faire.
Antoine m’a dit d’arrêter et m’a annoncé :-Rachel, je ne te baiserai pas. C’est moi qui décide quand tu dois être prise dans un de tes trous. Pour cela il faut que tu me demandes d’être ma femelle et que tu acceptes les contraintes ou plaisirs que cela engendre. Je te conseille de consulter des blogs sur la soumission avant de te prononcer.
Mes fantasmes inavoués, mon corps et sexe voulaient que je me plie aux exigences d’Antoine. J’allais lui dire oui de suite mais il a sans doute compris ce que j’allais lui dire-je te donne quelques jours de réflexion et surtout l’accord d’Hervé pour que je te dresse en bonne femelle. On se reverra fin de semaine si tu veux aller plus loin.
J’attends ton message. Si tu ne te manifestes pas, on oubliera tout çà et Hervé n’en saura jamais rien.
Sur ce, il fourra un doigt dans ma chatte me tendit ce doigt pour que je le lèche. Mes interrogations se sont envolées et je j’ai léché ce doigt. Enfin quelqu’un a mis en lumière mes envies secrètes et je devais me le réaliser. Et ma chatte en feu, je me suis masturbée mais il me manquait quelque chose. Mon corps réclamait plus et mon esprit aussi (enfin). Heureusement qu’Hervé rentrait le soir. Je me devais lui relater mon écart du matin et ma décision de vivre mon besoin de soumission.
Au retour, Hervé a senti que je n’étais pas comme d’habitude. Tout d’abord au niveau vestimentaire. Je n’ai pas quitté la chemise, simplement changée de culotte, et à lui poser pleins de questions sur sa journée de travail, chose que je faisais pas souvent.
Ensuite, au lit j’étais plus caline.
-que se passe t’il Rachel ? Tu as fumé de l’herbe aujourd’hui me lança t’il -pas de l’herbe chéri mais autre chose qui risque de te déplaire-dis-moi car tu en as trop dit ou pas assez-Antoine est venu ce matin pour un problème d’imprimante chez lui. Je lui ai ouvert la porte habillée comme tu m’a vu ce soir. Je lui a dit de m’attendre le temps de s’habiller et là sur un ton autoritaire il m’a dit non et m’a attrapée et a cherché à m’embrasser.
J’aurais dû le gifler. Eh non, j’ai ouvert ma bouche et nos langues se sont amusées mélangeant nos salives. J’avais envie qu’il me prenne tout de suite. Je l’ai supplié. Il a refusé. Ne souris pas trop vite.
-pourquoi ? Je suis content qu’Antoine ne veuille pas casser les couples. Je le remercierai dès que je le verrai.
-je ne crois pas. Il m’a fait une autre proposition. Il ne veut me baiser que si j’accepte d’être sa femelle. Il a compris que je suis faite pour çà et qu’i ne m’importunera plus si je ne donnais pas suite à sa condition. Et avoir ton accord aussi.
Je me suis forcée à t’avouer mon incartade de ce matin car je t’aime, ne veut pas te perdre et en plus j’ai besoin de devenir une femelle d’Antoine si possible. Depuis tout jeune j’ai ce fantasme enfoui après la lecture de « histoire d’O » et lors de nos ébats j’en rêve pur stimuler ma libido.
-tu m’en bouches un coin Rachel. Moi qui pensais que tu ne voulais pas autre chose que ce que nous pratiquions et je ne voulais pas te choquer de peur de te perdre. Osa avouer Hervé-Antoine m’a conseillé de consulter sur le net des blogs de soumises et cela m’a bouleversé. Enfin connaître les plaisirs charnels dans la soumission avec un type habitant à côté, quel pied. Fais-moi l’amour de suite Hervé je n’en peux plus il me faut un engin en moi.
Pendant l’acte, Rachel était particulièrement active. Elle avait enfin pu libérée ses désirs au grand jour. Elle implora Hervé d’accepter qu’Antoine l’éduque dans cette relation de plaisir.
Hervé ne pouvait que se réjouir. Il accepterait par amour et en tirerait aussi des nouveaux plaisirs et jeux sexuels. Restait à tout faire pour en profiter et ne pas la perdre.
RACHEL :Je me prénomme Rachel 40 ans et Hervé mon mari 42 ans. Nous nous sommes connus jeunes et avons eu deux enfants très tôt. Ils sont maintenant étudiants et ont quitté le foyer.
Pour des raisons professionnelles d’Hervé nous avons déménagé et son employeur nous a mis à disposition une maison de ville dans une petite copropriété. Je ne cherche pas forcément du travail dans cette nouvelle région. Sexuellement je n’ai connu qu’Hervé.
Nous faisons l’amour de moins en moins et ce n’est qu’en missionnaire ou levrette. Etant originaire d’une famille bourgeoise et catholique, je suis peut-être coincée mais Hervé n’a rien fait pour me faire connaître autre chose.
Nous avons assez vite sympathisé avec nos voisins directs. Ils sont de notre tranche d’âge. Entre apéros de bienvenue chez les uns et autres, j’ai remarqué Qu’Antoine n’arrêtait pas de me reluquer ou trouver un prétexte pour me toucher telle ou telle partie de mon corps. Je ne comprenais pas pourquoi car son épouse Justine est vraiment belle et est toujours bien maquillée et habillée tandis que moi simple queue de cheval, pas de maquillage et côté fringue bof pas de quoi réveiller un mort. Lors du dernier barbecue chez eux, il y a 3 mois environs Justine était habillée d’une simple tunique transparente arrivant au-dessus des genoux et d’un tanga comme sous-vêtement. Hervé ne la quittait pas des yeux. Antoine lui caressait les fesses tout en me fixant. Les hommes se sont occupés du feu. Justine et moi des salades à la cuisine.
-je peux te poser une question indiscrète Justine.
-mais oui vas-y me répondit-elle-tu n’es pas gênée par le regard d’Hervé sur toi ?
-non pas du tout. Au début de ma relation avec Antoine, quand il m’ordonnait de m’habiller ainsi oui mais je voulais aussi être prise en main de cette manière. Voilà tu sais tout Au retour sur la terrasse j’ai vu Antoine serrer la main à Hervé et j’ai trouvé cela étonnant. La soirée se termina bien.
De retour à la maison, Hervé m’a fait l’amour comme jamais. La vue de Justine et Antoine pensais-je. Et chez moi tout se basculait dans ma tête : le regard dominateur d’Antoine sur moi avec ses mains baladeuses sur Justine, mes fantasmes inavoués, Hervé, mon éducation, ma conscience… j’ai mis du mal à m’endormir, mon corps réclamait du plaisir.
Hervé est parti pour la semaine et ne le verrai que vendredi.
Après le départ d’Hervé le lundi matin je prenais mon petit-déjeuner simplement habillée d’une chemise d’Hervé et d’une culotte (ma façon à moi de penser à Hervé) quand on toqua à la porte. C’était Antoine qui prétextait un besoin d’imprimer une feuille.
-Attends-moi là je vais m’habiller lui dis-je-surtout pas me rétorqua t’il sur un ton sans équivoque.
Antoine :Nous habitons Antoine et Justine, dans une petite copropriété de maisons de ville et nous avons 38 ans tous les deux et pas d’enfants encore. Je suis prof dans un lycée et Justine travaille dans une administration. Il y a 6 mois de nouveaux locataires ont emménagé dans la maison d’à côté. Un couple, elle effacée mais belle et lui je dirai le cadre supérieur dans son cliché. Nous avons assez vite sympathisé. Lors de différents apéros pris chez les uns et autres, nous nous découvrions.
Lors du dernier barbecue, il y 3 mois, j’ai décidé de franchir un palier dans la relation avec nos voisins. Justine portait une tunique transparente et un tanga et en accessoire une ceinture. Vous auriez vu la tête de nos voisins. Hervé avait les yeux rivés sur Justine et Rachel était gênée. J’avais également prévu assez d’alcool. Pendant que nous les hommes nous nous occupions du feu, les femmes préparaient quelques salades.
Hervé me fit quelques confidences sur leur couple, et après plusieurs échanges nous nous serrions la main.
Le repas et la fin de soirée se passa au mieux. Il y avait de la tension sexuelle en l’air. J’attendis le départ des invités pour récompenser Justine en la baisant comme elle le méritait.
Lundi matin. A moi de convaincre Rachel.
Je prétextais un document à imprimer pour me rendre chez elle. Je toque et Rachel vint m’ouvrir la porte. Je fus scotché devant cette femme.
-Bonjour Rachel, tu es toute en beauté ce matin -merci Antoine. Attends-moi je vais m’habiller.
Rachel :La manière dont il m’a répondu et son emprise de sa langue dans ma bouche ont eu raison de mon éducation. J’aurais dû le gifler et non j’ai encore plus ouvert ma bouche et participais activement au jeu de langue. Je mouillais et n’avais qu’une envie qu’il me prenne. Il n’avait l’air pressé de me prendre se contentant de m’embrasser et tripoter.
-prends-moi, j’en ai trop envie Antoine suppliai-je-non, on me dit baises-moi entendis-jeJe rougis, n’osant pas dire ce genre de phrase.
-alors ?
-j’ai envie de te sentir en moi Antoine-et ?
-baise-moi lui dis-je d’une petite voix -enlèves ta culotte, poses-toi au bord de la table et ouvres tes cuisses.
J’ai pu enlever ma culotte, mais le reste fut difficile à faire.
Antoine m’a dit d’arrêter et m’a annoncé :-Rachel, je ne te baiserai pas. C’est moi qui décide quand tu dois être prise dans un de tes trous. Pour cela il faut que tu me demandes d’être ma femelle et que tu acceptes les contraintes ou plaisirs que cela engendre. Je te conseille de consulter des blogs sur la soumission avant de te prononcer.
Mes fantasmes inavoués, mon corps et sexe voulaient que je me plie aux exigences d’Antoine. J’allais lui dire oui de suite mais il a sans doute compris ce que j’allais lui dire-je te donne quelques jours de réflexion et surtout l’accord d’Hervé pour que je te dresse en bonne femelle. On se reverra fin de semaine si tu veux aller plus loin.
J’attends ton message. Si tu ne te manifestes pas, on oubliera tout çà et Hervé n’en saura jamais rien.
Sur ce, il fourra un doigt dans ma chatte me tendit ce doigt pour que je le lèche. Mes interrogations se sont envolées et je j’ai léché ce doigt. Enfin quelqu’un a mis en lumière mes envies secrètes et je devais me le réaliser. Et ma chatte en feu, je me suis masturbée mais il me manquait quelque chose. Mon corps réclamait plus et mon esprit aussi (enfin). Heureusement qu’Hervé rentrait le soir. Je me devais lui relater mon écart du matin et ma décision de vivre mon besoin de soumission.
Au retour, Hervé a senti que je n’étais pas comme d’habitude. Tout d’abord au niveau vestimentaire. Je n’ai pas quitté la chemise, simplement changée de culotte, et à lui poser pleins de questions sur sa journée de travail, chose que je faisais pas souvent.
Ensuite, au lit j’étais plus caline.
-que se passe t’il Rachel ? Tu as fumé de l’herbe aujourd’hui me lança t’il -pas de l’herbe chéri mais autre chose qui risque de te déplaire-dis-moi car tu en as trop dit ou pas assez-Antoine est venu ce matin pour un problème d’imprimante chez lui. Je lui ai ouvert la porte habillée comme tu m’a vu ce soir. Je lui a dit de m’attendre le temps de s’habiller et là sur un ton autoritaire il m’a dit non et m’a attrapée et a cherché à m’embrasser.
J’aurais dû le gifler. Eh non, j’ai ouvert ma bouche et nos langues se sont amusées mélangeant nos salives. J’avais envie qu’il me prenne tout de suite. Je l’ai supplié. Il a refusé. Ne souris pas trop vite.
-pourquoi ? Je suis content qu’Antoine ne veuille pas casser les couples. Je le remercierai dès que je le verrai.
-je ne crois pas. Il m’a fait une autre proposition. Il ne veut me baiser que si j’accepte d’être sa femelle. Il a compris que je suis faite pour çà et qu’i ne m’importunera plus si je ne donnais pas suite à sa condition. Et avoir ton accord aussi.
Je me suis forcée à t’avouer mon incartade de ce matin car je t’aime, ne veut pas te perdre et en plus j’ai besoin de devenir une femelle d’Antoine si possible. Depuis tout jeune j’ai ce fantasme enfoui après la lecture de « histoire d’O » et lors de nos ébats j’en rêve pur stimuler ma libido.
-tu m’en bouches un coin Rachel. Moi qui pensais que tu ne voulais pas autre chose que ce que nous pratiquions et je ne voulais pas te choquer de peur de te perdre. Osa avouer Hervé-Antoine m’a conseillé de consulter sur le net des blogs de soumises et cela m’a bouleversé. Enfin connaître les plaisirs charnels dans la soumission avec un type habitant à côté, quel pied. Fais-moi l’amour de suite Hervé je n’en peux plus il me faut un engin en moi.
Pendant l’acte, Rachel était particulièrement active. Elle avait enfin pu libérée ses désirs au grand jour. Elle implora Hervé d’accepter qu’Antoine l’éduque dans cette relation de plaisir.
Hervé ne pouvait que se réjouir. Il accepterait par amour et en tirerait aussi des nouveaux plaisirs et jeux sexuels. Restait à tout faire pour en profiter et ne pas la perdre.
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