Emois et jeux dédiés à nos maris...
Récit érotique écrit par Muse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Emois et jeux dédiés à nos maris...
Naturellement, simplement, on se retrouve après deux mois. Depuis que nous ayons passé
une nuit de folie où les couples ont changé de partenaire. D’abord entre femmes, puis
mon mari a pris Graciela, je me suis donnée à Alberto, les deux couples dans le même
lit. Alors, non, les retrouvailles ne sont pas les mêmes, pas de gène mais une plus
grande connivence, une retenue. Ou l’inverse.
On parle voyages, vins, amis, famille. La vie atténue les souvenirs. On passe au
présent.
Nos regards s’échangent avec Graciela, nous ne sommes pas au terme de nos envies. On
se frôle, on pétille. Frivoles pour ne pas dire, joueuses, pour tenter. Sourire à nos
hommes, sourires encore, pour gommer, ne pas dire, juste ressentir.
La musique, la douceur du soir, l’une et l’autre en robe légère, nue dessous pour moi,
jolie dentelle pour Graciela, on danse, on flirt, entre femmes amies.
Une coupe, un refrain, un baiser aux maris. Nos mains glissent sur les tissus, les
bras, jusqu’au bout des doigts qui s’échappent. Tournez, retournez les refrains. Maris
attendris, envoûtés de nos voluptés. Souffle du soir, vent léger entre les fenêtres
ouvertes sur le jardin, les robes flottent aussi plus haut, vers les cuisses bronzées.
Rires, bises, effleurements des doigts, regards aux hommes, les pouls s’accélèrent. La
chaleur gagne les corps, tous les corps. Les souffles se perçoivent quand les mains de
Graciela étreignent ma taille, sa bouche sur la mienne.
Volte encore, éloignement rapprochement, les boutons se défont. Robe ouverte je danse
encore, ma nudité au gré des tours.
J’ai osé Graciela, ses seins libres, soutient- gorge jeté sur le piano.
Je sais l’admiration de JF pour sa poitrine imposante. Les yeux des hommes pétillent,
disent encore. Nues, entièrement, l’une et l’autre nous dansons enserrées ou détachées
pour aguicher nos hommes et profiter de nos caresses. Le haut des cuisses luit des
désirs naissants, brillent les ventres, le dessous des seins et les lèvres humides des
langues caressantes. Enlacements, resserrements, tendresses, caresses pour la
frivolité des corps qui se cherchent et se trouvent.
Éloignements rapprochements, vivre le désir et le transmettre. Nous transmettons sans
équivoque, nous échangeons sans retenue.
Mains hardies qui caressent puis fouillent dans nos gémissements. On se couche se
relève se dresse ou s’allonge. Soumise aux plaisirs des corps mélangés. Vues
impudiques sur nos sexes ouverts fouillés trempés roses, rouges ouverts ruisselants.
Nos gémissements en harmonie, nos plaisirs se nourrissent de celui de l’autre et des
autres. Nos imaginations, nos ressentis, nos extases, nos dons, s’expriment sans
retenue. Nous profitons l’une de l’autre et nos maris profitent de nous rivés a leur
siège, souffle court, proéminence du sexe. Nos doigts et nos langues, nos sexes et nos
seins, nos peaux sensibles, nos bouches avides, lèchent caressent boivent dégustent.
Je suis la première a jouir, brillamment, librement, intensément, totalement. Sueur
frissons tremblements cris larmes visage crispé, muscles tétanisés, follement emportée
par l’orgasme total. Graciela me fait jouir en femme avec ses armes sublimes. D’un
orgasme profond insoupçonné, que je crie hurle pleure tremble inonde.
Hors norme, hors toute pudeur, j’offre à tous mon total abandon aux démons du plaisir
immaîtrisable...
Parana Argentine 22 octobre 2011
une nuit de folie où les couples ont changé de partenaire. D’abord entre femmes, puis
mon mari a pris Graciela, je me suis donnée à Alberto, les deux couples dans le même
lit. Alors, non, les retrouvailles ne sont pas les mêmes, pas de gène mais une plus
grande connivence, une retenue. Ou l’inverse.
On parle voyages, vins, amis, famille. La vie atténue les souvenirs. On passe au
présent.
Nos regards s’échangent avec Graciela, nous ne sommes pas au terme de nos envies. On
se frôle, on pétille. Frivoles pour ne pas dire, joueuses, pour tenter. Sourire à nos
hommes, sourires encore, pour gommer, ne pas dire, juste ressentir.
La musique, la douceur du soir, l’une et l’autre en robe légère, nue dessous pour moi,
jolie dentelle pour Graciela, on danse, on flirt, entre femmes amies.
Une coupe, un refrain, un baiser aux maris. Nos mains glissent sur les tissus, les
bras, jusqu’au bout des doigts qui s’échappent. Tournez, retournez les refrains. Maris
attendris, envoûtés de nos voluptés. Souffle du soir, vent léger entre les fenêtres
ouvertes sur le jardin, les robes flottent aussi plus haut, vers les cuisses bronzées.
Rires, bises, effleurements des doigts, regards aux hommes, les pouls s’accélèrent. La
chaleur gagne les corps, tous les corps. Les souffles se perçoivent quand les mains de
Graciela étreignent ma taille, sa bouche sur la mienne.
Volte encore, éloignement rapprochement, les boutons se défont. Robe ouverte je danse
encore, ma nudité au gré des tours.
J’ai osé Graciela, ses seins libres, soutient- gorge jeté sur le piano.
Je sais l’admiration de JF pour sa poitrine imposante. Les yeux des hommes pétillent,
disent encore. Nues, entièrement, l’une et l’autre nous dansons enserrées ou détachées
pour aguicher nos hommes et profiter de nos caresses. Le haut des cuisses luit des
désirs naissants, brillent les ventres, le dessous des seins et les lèvres humides des
langues caressantes. Enlacements, resserrements, tendresses, caresses pour la
frivolité des corps qui se cherchent et se trouvent.
Éloignements rapprochements, vivre le désir et le transmettre. Nous transmettons sans
équivoque, nous échangeons sans retenue.
Mains hardies qui caressent puis fouillent dans nos gémissements. On se couche se
relève se dresse ou s’allonge. Soumise aux plaisirs des corps mélangés. Vues
impudiques sur nos sexes ouverts fouillés trempés roses, rouges ouverts ruisselants.
Nos gémissements en harmonie, nos plaisirs se nourrissent de celui de l’autre et des
autres. Nos imaginations, nos ressentis, nos extases, nos dons, s’expriment sans
retenue. Nous profitons l’une de l’autre et nos maris profitent de nous rivés a leur
siège, souffle court, proéminence du sexe. Nos doigts et nos langues, nos sexes et nos
seins, nos peaux sensibles, nos bouches avides, lèchent caressent boivent dégustent.
Je suis la première a jouir, brillamment, librement, intensément, totalement. Sueur
frissons tremblements cris larmes visage crispé, muscles tétanisés, follement emportée
par l’orgasme total. Graciela me fait jouir en femme avec ses armes sublimes. D’un
orgasme profond insoupçonné, que je crie hurle pleure tremble inonde.
Hors norme, hors toute pudeur, j’offre à tous mon total abandon aux démons du plaisir
immaîtrisable...
Parana Argentine 22 octobre 2011
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Les avis des lecteurs
Merci Muriel, c'est toujours un bonheur de Vous lire. Au plaisir de Vous lire encore, Madame.