Encore une histoire de plage ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2013 dans la catégorie Plus on est
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Encore une histoire de plage ...
Encore une histoire de plage ou le mari veut faire baiser sa femme ? Peut- être mais celle ci est corsée …
C’était fin juin juste avant que le gros des estivants n’arrive, un après midi Jordan me tourne autour d’une façon qui ne laisse aucun doute sur ses intentions, il veut me sauter, oui mais où et comment ?
- Béa, si nous allions a la plage cet aprèm ?
- Pourquoi pas mais où ?
- Aux aiguillettes … - Cette plage mal famée ? ou il y a un labyrinthe de canisses qui abrite des gens lubriques ?
- Tu vois le mal partout, y’a personne a cette saison, c’est un coin tranquille, nous resterons sur la plage ne craint rien - Bon d’accord je vais me changer - Attend ! je vais choisir ton maillot, ont ne se charge pas de parasol, emmène juste ta serviette et ta crème solaire ça suffira, le soleil ne pique pas encore trop
Là j’aurais dût me méfier, le maillot qu’il a choisi est évidemment celui qui cache le moins de peau possible, deux triangles réglables pour cacher les tétons, tenus par un gallon facile a dénouer, le bas est assorti, même bien épilée y’a toujours un poil ou deux qui passent a coté, pas de parasol ? Ça veux dire que l’ont est sujet a se déplacer, bien que réticente je me fais une joie de me faire câliner sur la plage Nous nous somment baladés sur le sable avant de choisir comme je le pressentais une place prés des canisses, effectivement, personne aux alentours je me réjouie a l’idée de me faire culbuter en plein- air, mais avant j’aimerais bien bronzer un peu, je m’empare du tube de protection solaire
- Que fais-tu ?
- Hé bien je vais me passer de la crème - Ha bon ? j’avais une autre idée en tête, ben puisque c’est comme ça je vais faire un tour, tu peux faire ce que tu veux, à tout à l’heure !
Il a pété un câble ou quoi ? Pas le temps de dire ouf qu’il a disparut dans les canisses, et si c’était un stratagème pour qu’il aille se défouler seul dans ce dédale propice aux rencontres douteuse ?
Boff je m’en fout, j’ai des magazines pour passer le temps, finalement j’ai dût m’assoupir un peu car entre temps un homme plutôt jeune, enfin plus jeune que moi, s’est installé a quelques mètres comme si la plage était bondée et mon mec n’est pas réapparu, ça m’énerve !
Et ce n’est pas pour bronzer qu’il s’est mis là car il est simplement accroupis et son regard dévie souvent sur moi …je me plonge dans mon magazine et j’en profite pour le surveiller en douce …merde ! Il m’a repérée car il sourie….
Après tout c’est plutôt flatteur pour une femme de se faire admirer sans que d’autre personnes puisse médire … et ma crème ? Bon- sang je commence à rougir, je commence par les bras, le ventre, le cou et je bataille avec les omoplates quand soudain je sens une présence …
- Permettez ?
Avant que je n’ai pus ouvrir la bouche il saisit le tube et en fait couler une noix au creux de sa main, si mon mec arrive ça risque de chauffer, la fraicheur de la crème et l’imposition d’une main étrangère me fais frissonner de la tête aux pieds, mes poils s’hérissent
- Hooouuuua vous êtes très réceptive … - Excusez moi c’est involontaire - Vous devriez vous allonger sur le ventre ce serait plus facile a étaler
Comme une conne j’obéis, ça n’a pas tardé …les galons de mon soutien-gorge sont défaits et gisent sur la serviette
- Ce serait dommage de le tacher …. Relevez vos cheveux ….
C’est dingue, il a une sacrée assurance ce jeune homme, il me domine et je me laisse faire Les deux mains remontent de ma taille à mes épaules en larges cercles effleurant la base de mes seins
- Vous venez seule ici ?
- Oui - Vous pourriez faire de mauvaises rencontres …- Vous êtes là pour me protéger - Je ne laisserais personne vous importuner … vous avez une chouette cambrure de reins ….
- Merci...
- Simon, merci Simon !
- Moi c’est Béa, un diminutif …- Il vous va bien, pendant que j’y suis je vous fais les cuisses- Je viens de les faire - Humm ce n’est pas bien étalé derrière, vous pouvez les séparer un peu ?
Ses mains qui me tripotent plus qu’elles n’étalent et sa cuisse accolée a la mienne me procurent une sensation bizarre, comme des préliminaires, ma chatte l’a bien compris et ne se gêne pas pour laisser échapper ma cyprine, par dessous mon bras je risque un œil, pile poil sur son entrejambes, ma parole son maillot va craquerMes jambes se sont séparées il va surement s’apercevoir de l’humidité qui traverse le tissu, je m’en moque, ses mains me font trop de bien lorsqu’elles effleurent le fond, ce qui devait arriver arriva … les deux galons du maillot sont tirés …Je n’ai même pas envie de protester lorsqu’il le retire carrément, des doigts viennent de plus en plus souvent percuter mes lèvres entrouvertesSa voix devenue rauque m’ordonne de me retourner, ce que je fais comme une automate, néanmoins dans un réflexe de pudeur je garde mes mains sur mes seins, réalisant que j’ai la chatte a l’air je les pose le long de mon corps, mon regard est caché par mes lunette de soleil me donne une sorte de rempart, une main vient s’emparer de mon sein tandis qu’une autre se faufile entre mes cuisses, pour faciliter l’accès a ma vulve je m’écarte sans aucune retenue Il se positionne de façon a ce que je puisse trouver sa queue qu’il a sortie du maillot, le gros gland décalotté pleure d’une grosse perle que j’étale avec ma paume, il râle de plaisir
- Haaaaaaaoooouuuuu tu me fais du bien …branle moi
Ma main n’en finit pas de retrousser la peau, quelle longueur fait elle ? Je n’ose pas relever la tête, soudain des voix d’adultes et des rires d’enfants nous font réagir, des gens vont surgir d’un moment a l’autre et nous surprendre dans une posture plutôt délicate
- Vite ! Enroule toi dans ta serviette et suis moi, je prends tes affaires - Où va-t-ont ?
- Là dans les canisses
Je trottine derrière lui sans penser que mon mari va peu être me chercher … Nous débouchons dans un endroit où les joncs ont étés fauchés et forment une couche protégée des regards indiscrets, ma serviette tombe ….je sui nue devant Simon qui quitte lentement son maillot remonté précipitamment, un phallus magnifique le précède, je jette ma serviette a ses pieds et m’agenouille … je fais rouler les bourses dans leur sac, la queue entre dans mon profondément dans ma gorge, Simon mime le coït et se sert de ma bouche comme d’une chatte , mon index dévie et trouve son œillet qui se resserre dans un réflexe de protection mais désireuse de le surprendre je force le passage
- HAAAAAAAA salope ! Tu me fais joooouuuuiiiiirrrrrrrrrrrrr - Muuuuuuuuuummmmmmmmmm !!!!!!
J’aspire jusqu’à ce qu’il se retire de lui-même, je suis déchainée, ma chatte a des contractions, je veux de la bitte !
- Retourne-toi à genoux …..
- Baise-moi comme une chienne, regarde ma moule comme elle baille - Salope … TIIIIEEEEENNNNNNNN - WOOOOOOOOUUUUUH !!!!!
Le cul en l’air, cambrée outrageusement, le jeune homme, les jambes fléchies, les mains sur mes fesses, tape dans ma lune à toute vitesse, sa queue chasse l’air de mon vagin en faisant des bruits singuliers
- Je te fais péter la chatte ! C’est de la bitte que tu es venue chercher cet après midi ? nous allons t’en donner - NOUS ??????
- Relève la tête y’a une queue prête à être sucée
Je lève les yeux pour voir une bitte qui se balance à hauteur de mon nez … mais ….. Cette queue, je la reconnaitrais entre mille …
- JORDAN ??????
- AVALE ! nous allons te faire ta fête- Tu es là depuis longtemps ??
- J’ai tout prémédité et tout vu de A à Z ta fidélité est édifiante - Vous vous connaissez ?
- C’est ma femme mais continue à la bourrer, nous étions là pour ça !!!!!
- SALAUD !!!!!!
C’était fin juin juste avant que le gros des estivants n’arrive, un après midi Jordan me tourne autour d’une façon qui ne laisse aucun doute sur ses intentions, il veut me sauter, oui mais où et comment ?
- Béa, si nous allions a la plage cet aprèm ?
- Pourquoi pas mais où ?
- Aux aiguillettes … - Cette plage mal famée ? ou il y a un labyrinthe de canisses qui abrite des gens lubriques ?
- Tu vois le mal partout, y’a personne a cette saison, c’est un coin tranquille, nous resterons sur la plage ne craint rien - Bon d’accord je vais me changer - Attend ! je vais choisir ton maillot, ont ne se charge pas de parasol, emmène juste ta serviette et ta crème solaire ça suffira, le soleil ne pique pas encore trop
Là j’aurais dût me méfier, le maillot qu’il a choisi est évidemment celui qui cache le moins de peau possible, deux triangles réglables pour cacher les tétons, tenus par un gallon facile a dénouer, le bas est assorti, même bien épilée y’a toujours un poil ou deux qui passent a coté, pas de parasol ? Ça veux dire que l’ont est sujet a se déplacer, bien que réticente je me fais une joie de me faire câliner sur la plage Nous nous somment baladés sur le sable avant de choisir comme je le pressentais une place prés des canisses, effectivement, personne aux alentours je me réjouie a l’idée de me faire culbuter en plein- air, mais avant j’aimerais bien bronzer un peu, je m’empare du tube de protection solaire
- Que fais-tu ?
- Hé bien je vais me passer de la crème - Ha bon ? j’avais une autre idée en tête, ben puisque c’est comme ça je vais faire un tour, tu peux faire ce que tu veux, à tout à l’heure !
Il a pété un câble ou quoi ? Pas le temps de dire ouf qu’il a disparut dans les canisses, et si c’était un stratagème pour qu’il aille se défouler seul dans ce dédale propice aux rencontres douteuse ?
Boff je m’en fout, j’ai des magazines pour passer le temps, finalement j’ai dût m’assoupir un peu car entre temps un homme plutôt jeune, enfin plus jeune que moi, s’est installé a quelques mètres comme si la plage était bondée et mon mec n’est pas réapparu, ça m’énerve !
Et ce n’est pas pour bronzer qu’il s’est mis là car il est simplement accroupis et son regard dévie souvent sur moi …je me plonge dans mon magazine et j’en profite pour le surveiller en douce …merde ! Il m’a repérée car il sourie….
Après tout c’est plutôt flatteur pour une femme de se faire admirer sans que d’autre personnes puisse médire … et ma crème ? Bon- sang je commence à rougir, je commence par les bras, le ventre, le cou et je bataille avec les omoplates quand soudain je sens une présence …
- Permettez ?
Avant que je n’ai pus ouvrir la bouche il saisit le tube et en fait couler une noix au creux de sa main, si mon mec arrive ça risque de chauffer, la fraicheur de la crème et l’imposition d’une main étrangère me fais frissonner de la tête aux pieds, mes poils s’hérissent
- Hooouuuua vous êtes très réceptive … - Excusez moi c’est involontaire - Vous devriez vous allonger sur le ventre ce serait plus facile a étaler
Comme une conne j’obéis, ça n’a pas tardé …les galons de mon soutien-gorge sont défaits et gisent sur la serviette
- Ce serait dommage de le tacher …. Relevez vos cheveux ….
C’est dingue, il a une sacrée assurance ce jeune homme, il me domine et je me laisse faire Les deux mains remontent de ma taille à mes épaules en larges cercles effleurant la base de mes seins
- Vous venez seule ici ?
- Oui - Vous pourriez faire de mauvaises rencontres …- Vous êtes là pour me protéger - Je ne laisserais personne vous importuner … vous avez une chouette cambrure de reins ….
- Merci...
- Simon, merci Simon !
- Moi c’est Béa, un diminutif …- Il vous va bien, pendant que j’y suis je vous fais les cuisses- Je viens de les faire - Humm ce n’est pas bien étalé derrière, vous pouvez les séparer un peu ?
Ses mains qui me tripotent plus qu’elles n’étalent et sa cuisse accolée a la mienne me procurent une sensation bizarre, comme des préliminaires, ma chatte l’a bien compris et ne se gêne pas pour laisser échapper ma cyprine, par dessous mon bras je risque un œil, pile poil sur son entrejambes, ma parole son maillot va craquerMes jambes se sont séparées il va surement s’apercevoir de l’humidité qui traverse le tissu, je m’en moque, ses mains me font trop de bien lorsqu’elles effleurent le fond, ce qui devait arriver arriva … les deux galons du maillot sont tirés …Je n’ai même pas envie de protester lorsqu’il le retire carrément, des doigts viennent de plus en plus souvent percuter mes lèvres entrouvertesSa voix devenue rauque m’ordonne de me retourner, ce que je fais comme une automate, néanmoins dans un réflexe de pudeur je garde mes mains sur mes seins, réalisant que j’ai la chatte a l’air je les pose le long de mon corps, mon regard est caché par mes lunette de soleil me donne une sorte de rempart, une main vient s’emparer de mon sein tandis qu’une autre se faufile entre mes cuisses, pour faciliter l’accès a ma vulve je m’écarte sans aucune retenue Il se positionne de façon a ce que je puisse trouver sa queue qu’il a sortie du maillot, le gros gland décalotté pleure d’une grosse perle que j’étale avec ma paume, il râle de plaisir
- Haaaaaaaoooouuuuu tu me fais du bien …branle moi
Ma main n’en finit pas de retrousser la peau, quelle longueur fait elle ? Je n’ose pas relever la tête, soudain des voix d’adultes et des rires d’enfants nous font réagir, des gens vont surgir d’un moment a l’autre et nous surprendre dans une posture plutôt délicate
- Vite ! Enroule toi dans ta serviette et suis moi, je prends tes affaires - Où va-t-ont ?
- Là dans les canisses
Je trottine derrière lui sans penser que mon mari va peu être me chercher … Nous débouchons dans un endroit où les joncs ont étés fauchés et forment une couche protégée des regards indiscrets, ma serviette tombe ….je sui nue devant Simon qui quitte lentement son maillot remonté précipitamment, un phallus magnifique le précède, je jette ma serviette a ses pieds et m’agenouille … je fais rouler les bourses dans leur sac, la queue entre dans mon profondément dans ma gorge, Simon mime le coït et se sert de ma bouche comme d’une chatte , mon index dévie et trouve son œillet qui se resserre dans un réflexe de protection mais désireuse de le surprendre je force le passage
- HAAAAAAAA salope ! Tu me fais joooouuuuiiiiirrrrrrrrrrrrr - Muuuuuuuuuummmmmmmmmm !!!!!!
J’aspire jusqu’à ce qu’il se retire de lui-même, je suis déchainée, ma chatte a des contractions, je veux de la bitte !
- Retourne-toi à genoux …..
- Baise-moi comme une chienne, regarde ma moule comme elle baille - Salope … TIIIIEEEEENNNNNNNN - WOOOOOOOOUUUUUH !!!!!
Le cul en l’air, cambrée outrageusement, le jeune homme, les jambes fléchies, les mains sur mes fesses, tape dans ma lune à toute vitesse, sa queue chasse l’air de mon vagin en faisant des bruits singuliers
- Je te fais péter la chatte ! C’est de la bitte que tu es venue chercher cet après midi ? nous allons t’en donner - NOUS ??????
- Relève la tête y’a une queue prête à être sucée
Je lève les yeux pour voir une bitte qui se balance à hauteur de mon nez … mais ….. Cette queue, je la reconnaitrais entre mille …
- JORDAN ??????
- AVALE ! nous allons te faire ta fête- Tu es là depuis longtemps ??
- J’ai tout prémédité et tout vu de A à Z ta fidélité est édifiante - Vous vous connaissez ?
- C’est ma femme mais continue à la bourrer, nous étions là pour ça !!!!!
- SALAUD !!!!!!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Excellent