épouse de fermier
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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épouse de fermier
Je m’appelle Vanessa, fille de la ville, a vingt sept ans je suis devenue régisseuse d’une grande propriété, enceinte d’une petite fille, comment en suis-je arrivée là ? Patience je vais vous le raconter:
Il y a un an j’ai rencontré un garçon charmant, Alain, trente ans, agriculteur… agriculteur, moi qui aime la nature tout m’attirais chez ce garçon et pourtant ….
Tout a été très vite j’ai dis oui quand il m’a demandée en mariage et de venir habiter chez lui, enfin, chez ses parents… la ferme ? Une vielle bâtisse, et pourtant ça pue le fric dans cette maison, ses parents ? Sa mère Madeleine complètement effacée, soumise, je suis même sure qu’il il y a un bail qu’elle n’a pas vue la bitte de son mari Eugene, moustachu autoritaire à l’ extreme c’est tout juste si le fils ne se protège pas le visage quand le patriarche parle, je suis reçue comme une chienne dans un jeu de quilles car pour la ferme il faillait une belle femme, comprenez, femme aux larges épaules et large bassin pas une gringalette taillée comme une speakerine de télé
Les conditions de vie ?, évidement nous vivons ensemble, une cuisine rustique, l’évier taillé dans la pierre, une grande table en chêne, un banc de chaque cotés, notre chambre ? Juste a coté de celle des parents, je l’entends ronfler a travers la cloison, donc il doit nous entendre baiser alors je m’abstiens
Aussi, dés que nous avons finis de déjeuner j’entraine Alain parmi les bottes de paille ou je pourrais m’exprimer bruyamment comme j’adore le faire, mais la aussi je suis déçue, avec ses quinze centimètres et son manque d’expérience je reste sur ma faim, quasiment nue dans la paille il me caresse quand soudain …
- Alain ! Je viens de voir quelqu’un là juste au dessus !
- Tu as rêvé ! Sans doute un chat il y en a partout ici
Un chat ? Je veux bien, je suis certaine d’avoir vue une silhouette
Le lendemain au même endroit je reste vigilante …OUAIS ! Cette fois je ne rêve pas, c’est bien son père que je viens de vois debout la queue a la main, et quelle queue ! À coté le fils est un petit garçon, une verge noueuse de plus de vingt centimètres, un gland cramoisi gros comme un œuf, il sait que je l’ai vu mais il ne bouge pas, il veut voir ? Hé bien soit !
- Que fait tu chérie ?
- J’ai chaud je me déshabille, personne ne peut nous voir ici c’est bien ce que tu m’as dit ? Si tu ne bande pas lèche-moi au moins …
- Ha toi alors quelle exigence !
La tête enfouie entre mes cuisses il ne peut voir son père qui s’est avancé, les yeux lui sortent de la tête, des jets puissants giclent dans notre direction, il s’essuie le bout sur une botte de paille en me fixant de ses yeux perçants, tourne les talons, je pousse un grand cri, cette scène a suffit à me faire jouir non la léchouille maladroite de mon mari
- Ça suffis Alain on s’en va !
Le soir a table règne une drôle d’ambiance, le père prend soudain la parole
- Alain demain tu va aller dans les marais commencer à couper les foins avant la pluie, ta mère préparera ton panier pour midi
- J’en ai pour huit jours, Vanessa vient avec moi ?
- Surement pas, tu peux te débrouiller seul, pas de faignasse ici, j’ai besoin d’elle nous allons dans ‘ les bas’ refaire les clôtures, Madeleine tu prépare aussi pour nous, nous ne rentrerons pas a midi
- Il faut que je mette un pantalon ?
- Les pantalons c’est réservé aux hommes chez moi
Le lendemain montée a ses cotés dans la cabine exigüe de l’imposant tracteur mes genoux frottent son avant bras, nous allons dans les bas, un long chemin forestier débouche sur des prés, il peut me violer personne ne m’entendras si je crie, et puis est-ce que je crierais ? Cet homme m’attire autant qu’il me repousse, la matinée est harassante il ne me fait pas de cadeaux, enfin arrive midi !
Dés le dernière bouchée avalée je m’allonge dans l’herbe les mains sous ma tête en prenant bien soin de tirer sur ma jupe et de resserrer les jambes, combien de temps ai- je dormis ? L’air frais qui monte entre mes cuisses me réveille … y a-t-il eu du vent ?, ma jupe est remontée au dessus de mes genoux mes jambes ses sont écartées pendant mon sommeil ? Bizarrement mon beau père a subitement tournés les talons pour se cacher derrière un gros arbre comme s’il urinait
Quand il refait surface la chose qui pend dans sa jambière, a a peine diminué de volume …. Je pense avoir compris, il a relevé ma jupe et écartés mes talons pour pouvoir mater entre mes cuisses
Le lendemain même programme, même fatigue, mais cette fois je feins le sommeil ….effectivement cinq minutes plus tard ma jupe remonte doucement sur mes cuisses, mes jambes se séparèrent, les yeux mis clos je vois mon beau père allongé sur le coté en face de moi il a sortit sa bitte et se branle allégrement le regard fixé entre mes jambes
Il veut du spectacle ? Je vais lui en donner, mes talons remontent lentement vers mes cuisses ce qui fait chuter ma jupe sur mon ventre, mes genoux se séparent, il doit voir ma motte dessinée sous le mince tissus de mon string, il souffle comme un bœuf en astiquant son poireau, a cet instant précis ma décision est prise
- Ça va beau papa la vue vous plait ?
- Comment ça ? Comment ça ?
- Vous aimeriez bien la toucher n’est-ce pas ?
- Heuuuuuuu Beeennn oui !
- Un écran plasma et un ordinateur dans ma chambre et j’ôte ma petite culotte
- ….. Chiche !
- La monnaie d’abord …..
- Ça fait combien tout ça ?
- Disons trois milles pour faire un compte rond
- Trois mille euros ? Tu veux ma ruine ?
- Arrêtez vous allez me faire pleurer, alors ?
- Voilà ! Voilà... Tient…mais surtout pas un mot a Alain
- Ce sera notre secret vous direz que c’est pour me récompenser de mon travail
- Booouuuh ! Personne ne me croira mais je m’en fous ! Mais pour cette somme là je veux te voir nue
Il fouille rapidement dans une poche invisible et sort une liasse énorme, je me débarrasse rapidement de mes vêtements, s’il savait que je l’aurais fait pour rien tellement sa queue me fait envie …
Il en bave à genoux devant moi sa main s’approche timidement entre mes cuisses jusqu’a ma toison blonde, je suis hypnotisée par sa queue qui bat la mesure de haut en bas
- Enfoncez vos doigts je vais caresser votre verge …
- HOOOO Ouiiiii, suce moi, avec madeleine on ne se touche plus depuis belle lurette, que tu es belle dire que mon con de fils ne sait pas profiter d’un tel bonheur
Lorsque j’approche mon visage de cette hampe veineuse une forte odeur d’urine monte à mon nez
- Désolée beau papa je ne peux avaler une queue mal lavée, ni par la bouche ni par ailleurs, jamais vous ne prenez de douche ?
- De temps en temps, j’ai autre chose à faire que de me pomponner comme toi, bon on verra ça demain, mes mains sont propres je te branle ?
- Oui allez y ….
Le soir tout le monde s’inquiète de ne pas voir arriver le patriarche à table, enfin il arrive puant l’eau de Cologne rasé de frais les cheveux bien coiffés
- Hé bien Eugene tu va à une noce ?
- Non, occupe-toi de ce qui te regarde
Un regard vers moi qui veut dire : alors ça t’iras comme ça ?
Le lendemain même boulot que les autres jours, harassée a midi
- Dis Vanessa si on mangeait nus ? Il fait chaud …sans répondre j’ôte mes vêtements, il en fait autant, moi qui m’attendais a voir un corps de presque vieillard je découvre un homme musclé par le travail fournit a faire pâlir un jeune homme ne serais-ce que son fils ….
Sa queue vient très vite à l’horizontale, une goute translucide perle au bout du champignon, je me traine vers ce pieux la bouche ouverte, il rugit quand je décalotte et gobe son gland qui sent le propre, sa queue est secoué de spasmes, quelques allers retours sur la hampe et de formidables giclées fouette ma luette, heureusement que nous somment isolés car il beugle tel un bœuf en saisissant ma tète entre ses mains pour m’enfoncer sa verge a me faire vomir
- HAAAaaaaaa ça soulage …..Tu suce mieux qu’une pute ma parole !
- Merci pour la comparaison ! Bon on mange maintenant ?
- J’n’ai pas faim ou plutôt si, je vais te bouffer la cramouille avant de te sauter, tu peux grignoter un morceau en même temps
- Ça c’est de la poésie ! Mais avant de me sauter il faut que nous parlions affaire
- Qu’est ce que tu veux encore ?
- Un voiture, personne ne peux se déplacer, madeleine ne peut pas aller faire de courses, avec une voiture je pourrais l’emmener a la ville, ce n’est pas négociable ou bien je remets mes fringues
- Putain tu exagère mais j’ai trop envie de ta chatte, bon je vais te donner un cheque le concessionnaire le rempliras, je vais te dérouiller le minou croit moi !
- J’espère, regarde ma chatte elle baille d’impatience ….ça vaut bien un petit cabriolet non ?
Dans une position indécente, les genoux sous les épaules je lui offre mon entre jambes, il se jette sur mon vagin ouvert, sa bouche aspire littéralement mon utérus tandis que ses doigts tirent exagérément mes grandes lèvres vers l’extérieur, par contre il n’est pas doué pour les cuni ! il me plus de mal que de bien
- Je vous en prie prenez moi j’ai envie de votre grosse queue
- Haaa ! Ça va te changer de la quéquette de mon fils, ne perdons pas de temps j’en veux pour mon argent ! Reste comme tu es ta craquette est à point
L’homme en appuis sur ses genoux et ses mains vise mon trou béant, l’épée de chair le précède je la prends en main pour la guider, un puissant coup de rein et me voilà embrochée jusqu'à la garde
- Voilà comme on embroche une salope de ton genre, TIENT !!!!!
J’en ai le souffle coupé, mais que c’est bon de se faire ramoner la chatte par un nœud puissant, je noue mes talons autour de sa taille pour le sentir encore plus profondément en moi, j’ai de la peine a suivre le rythme qu’il m’impose, il me ramone comme un dieu ma cyprine coule entre mes fesses, orgasmes sur orgasmes je vais tourner de l’œil
- Tu prends la pilule au moins ?
Mon dieu, j’ai oublié ça … je viens d’arrêter il y a cinq jours …Boff ça doit faire encore effet !
- Oui, oui ! Allez y donner moi tout je veux sentir votre purée dans mon ventre de salope
- Alors prend Càààààààààààà ! HAAAAAAAAAAAAA !!!
Le soir au diner sa bonne humeur ne passe pas inaperçue, moi c’est mes yeux cernés qui me trahissent, mais personne n’ose parler
Tard dans la nuit je me lève en nuisette pour aller à la cuisine boire, je suis penchée dans le frigo quand une main audacieuse me pelote le cul
- Chuuut, ça t’a donné soif nos galipettes ?
- Oufff vous m’avez fait une de ces peurs !
- Regarde comme je bande … assied toi sur le coin de la table les pieds sur le banc je vais t’en mettre une troussée, avec ce que j’ai laissé en fric tu me dois bien ça !
- Justement en parlant de fric vous avez vus dans quoi travaille madeleine ? Cette cuisine pourrie ?
- Elle ne s’en plaint pas ça fait un bail qu’elle cuisine avec ça !
- Hé bien c’est finit, demain vous convoquez l’artisan pour prendre les mesures d’une installation moderne, maintenant allez y j’ai les cuisses ouvertes …..
- Cette garce veut ma mort ….HUUUUUUMMMMM tu mouille salope
Pendant qu’il me lime j’ai aperçu une ombre dans le couloir…
- Arrêtez j’ai vus bouger …
- Boff surement un chat y’en a pleins ici …merde tu me déconcentre
Cette réflexion m’en rappelle une autre dans la paille …..Je repars me coucher la chatte remplie de sécrétions, tant pis pour les draps, dans le lit Alain est allongé sur le dos, il dort ? Une barre significative zèbre le drap il est en érection …..Je me couche en lui tournant le dos, sa main vient fouiller entre mes cuisses, il va découvrir ma chatte baveuse, je feint de ronfler et le laisse jouer avec le foutre de son père
Deux jours plus tard la cuisine est en travaux, madeleine me prend a part …..
- Je sais que c’est à toi que je dois cette cuisine moderne, et tout ce qui a changé dans cette maison, je sais aussi qu’Eugene ne lâche rien sans rien …. Quoique tu fasses avec lui cela ne m’enlève rien, aussi je te dis merci profite en ma fille je t’aime bien ….
Comme une coïncidence Alain tient a me parler lui aussi …..
- Vanessa je vous ai vus dans la cuisine, ne craint rien ça ne me fait ni chaud ni froid, au contraire ça m’excite de te voir prise par mon père, je ne peux pas rivaliser avec sa queue, mais je te demande une chose : c’est d’assister quelquefois a vos saillies ne lui dit rien bien sur
- Je suis touchée par tes paroles Alain, c’est oui et pardon pour tout mais je vais changer votre vie ici
Depuis nous baisons presque sans nous cacher, je me fais ramoner dans l’écurie, dans le pailler, dans la cuisine la nuit, je vois souvent mon mari se masturber en me voyant prendre mon pied, alors je laisse partir mon amant de beau père et dés qu’i a tournés les talons Alain vient déguster ma moule farcie du foutre paternel auquel il ajoute le sien en trente secondes
Nous voici fin juillet les moissons sont terminées le travail a la ferme se calme, mes rapports avec mon beau père sont familiaux
- Eugene, je trouve qu’Alain est fatigué ces temps ci aussi nous allons partir huit jours aux Baléares tous les deux, le pauvre mérite bien ça et puis il n’a jamais quitté son clocher, tu me donneras du liquide ?
- Bondieu de bondieu comment je vais faire ? Huit jours sans te baiser ça va faire long !
- Alors qu’attends-tu pour me défoncer ? Regarde je ne porte plus de culotte !
A notre retour le beau père a l’air distant
- Alors tu t’es bien faite sauter cette semaine ?
- Muuuuumm un vrai bonheur, un petit peu par Alain mais le petit serveur de l’hôtel huuuuuummmmm quel étalon, d’ailleurs il a eu mon petit cul !!!
Il es passé par toutes les couleurs, c’est quand il est devenu violet que j’ai paniquée, tombé a terre il est secoué de spasmes, les secours sont arrivés très vite, mais depuis mon beau père a perdu la parole et un peu de ses capacités a se mouvoir, il communique en écrivant sur une ardoise, mais coté queue ça marche toujours alors de temps a autre je vais le ‘ soigner ‘ comme il ne peut plus hurler Alain vient assister et aussi a son tour me baiser devant lui , il devient rouge écarlate tant que je me fait brancher
Depuis je dirige la propriété, je viens de faire l’acquisition des trois chevaux, je cherche un palefrenier a la hauteur … dont je compte bien profiter dés que j’aurais accouché … qui est le père ?????????
Il y a un an j’ai rencontré un garçon charmant, Alain, trente ans, agriculteur… agriculteur, moi qui aime la nature tout m’attirais chez ce garçon et pourtant ….
Tout a été très vite j’ai dis oui quand il m’a demandée en mariage et de venir habiter chez lui, enfin, chez ses parents… la ferme ? Une vielle bâtisse, et pourtant ça pue le fric dans cette maison, ses parents ? Sa mère Madeleine complètement effacée, soumise, je suis même sure qu’il il y a un bail qu’elle n’a pas vue la bitte de son mari Eugene, moustachu autoritaire à l’ extreme c’est tout juste si le fils ne se protège pas le visage quand le patriarche parle, je suis reçue comme une chienne dans un jeu de quilles car pour la ferme il faillait une belle femme, comprenez, femme aux larges épaules et large bassin pas une gringalette taillée comme une speakerine de télé
Les conditions de vie ?, évidement nous vivons ensemble, une cuisine rustique, l’évier taillé dans la pierre, une grande table en chêne, un banc de chaque cotés, notre chambre ? Juste a coté de celle des parents, je l’entends ronfler a travers la cloison, donc il doit nous entendre baiser alors je m’abstiens
Aussi, dés que nous avons finis de déjeuner j’entraine Alain parmi les bottes de paille ou je pourrais m’exprimer bruyamment comme j’adore le faire, mais la aussi je suis déçue, avec ses quinze centimètres et son manque d’expérience je reste sur ma faim, quasiment nue dans la paille il me caresse quand soudain …
- Alain ! Je viens de voir quelqu’un là juste au dessus !
- Tu as rêvé ! Sans doute un chat il y en a partout ici
Un chat ? Je veux bien, je suis certaine d’avoir vue une silhouette
Le lendemain au même endroit je reste vigilante …OUAIS ! Cette fois je ne rêve pas, c’est bien son père que je viens de vois debout la queue a la main, et quelle queue ! À coté le fils est un petit garçon, une verge noueuse de plus de vingt centimètres, un gland cramoisi gros comme un œuf, il sait que je l’ai vu mais il ne bouge pas, il veut voir ? Hé bien soit !
- Que fait tu chérie ?
- J’ai chaud je me déshabille, personne ne peut nous voir ici c’est bien ce que tu m’as dit ? Si tu ne bande pas lèche-moi au moins …
- Ha toi alors quelle exigence !
La tête enfouie entre mes cuisses il ne peut voir son père qui s’est avancé, les yeux lui sortent de la tête, des jets puissants giclent dans notre direction, il s’essuie le bout sur une botte de paille en me fixant de ses yeux perçants, tourne les talons, je pousse un grand cri, cette scène a suffit à me faire jouir non la léchouille maladroite de mon mari
- Ça suffis Alain on s’en va !
Le soir a table règne une drôle d’ambiance, le père prend soudain la parole
- Alain demain tu va aller dans les marais commencer à couper les foins avant la pluie, ta mère préparera ton panier pour midi
- J’en ai pour huit jours, Vanessa vient avec moi ?
- Surement pas, tu peux te débrouiller seul, pas de faignasse ici, j’ai besoin d’elle nous allons dans ‘ les bas’ refaire les clôtures, Madeleine tu prépare aussi pour nous, nous ne rentrerons pas a midi
- Il faut que je mette un pantalon ?
- Les pantalons c’est réservé aux hommes chez moi
Le lendemain montée a ses cotés dans la cabine exigüe de l’imposant tracteur mes genoux frottent son avant bras, nous allons dans les bas, un long chemin forestier débouche sur des prés, il peut me violer personne ne m’entendras si je crie, et puis est-ce que je crierais ? Cet homme m’attire autant qu’il me repousse, la matinée est harassante il ne me fait pas de cadeaux, enfin arrive midi !
Dés le dernière bouchée avalée je m’allonge dans l’herbe les mains sous ma tête en prenant bien soin de tirer sur ma jupe et de resserrer les jambes, combien de temps ai- je dormis ? L’air frais qui monte entre mes cuisses me réveille … y a-t-il eu du vent ?, ma jupe est remontée au dessus de mes genoux mes jambes ses sont écartées pendant mon sommeil ? Bizarrement mon beau père a subitement tournés les talons pour se cacher derrière un gros arbre comme s’il urinait
Quand il refait surface la chose qui pend dans sa jambière, a a peine diminué de volume …. Je pense avoir compris, il a relevé ma jupe et écartés mes talons pour pouvoir mater entre mes cuisses
Le lendemain même programme, même fatigue, mais cette fois je feins le sommeil ….effectivement cinq minutes plus tard ma jupe remonte doucement sur mes cuisses, mes jambes se séparèrent, les yeux mis clos je vois mon beau père allongé sur le coté en face de moi il a sortit sa bitte et se branle allégrement le regard fixé entre mes jambes
Il veut du spectacle ? Je vais lui en donner, mes talons remontent lentement vers mes cuisses ce qui fait chuter ma jupe sur mon ventre, mes genoux se séparent, il doit voir ma motte dessinée sous le mince tissus de mon string, il souffle comme un bœuf en astiquant son poireau, a cet instant précis ma décision est prise
- Ça va beau papa la vue vous plait ?
- Comment ça ? Comment ça ?
- Vous aimeriez bien la toucher n’est-ce pas ?
- Heuuuuuuu Beeennn oui !
- Un écran plasma et un ordinateur dans ma chambre et j’ôte ma petite culotte
- ….. Chiche !
- La monnaie d’abord …..
- Ça fait combien tout ça ?
- Disons trois milles pour faire un compte rond
- Trois mille euros ? Tu veux ma ruine ?
- Arrêtez vous allez me faire pleurer, alors ?
- Voilà ! Voilà... Tient…mais surtout pas un mot a Alain
- Ce sera notre secret vous direz que c’est pour me récompenser de mon travail
- Booouuuh ! Personne ne me croira mais je m’en fous ! Mais pour cette somme là je veux te voir nue
Il fouille rapidement dans une poche invisible et sort une liasse énorme, je me débarrasse rapidement de mes vêtements, s’il savait que je l’aurais fait pour rien tellement sa queue me fait envie …
Il en bave à genoux devant moi sa main s’approche timidement entre mes cuisses jusqu’a ma toison blonde, je suis hypnotisée par sa queue qui bat la mesure de haut en bas
- Enfoncez vos doigts je vais caresser votre verge …
- HOOOO Ouiiiii, suce moi, avec madeleine on ne se touche plus depuis belle lurette, que tu es belle dire que mon con de fils ne sait pas profiter d’un tel bonheur
Lorsque j’approche mon visage de cette hampe veineuse une forte odeur d’urine monte à mon nez
- Désolée beau papa je ne peux avaler une queue mal lavée, ni par la bouche ni par ailleurs, jamais vous ne prenez de douche ?
- De temps en temps, j’ai autre chose à faire que de me pomponner comme toi, bon on verra ça demain, mes mains sont propres je te branle ?
- Oui allez y ….
Le soir tout le monde s’inquiète de ne pas voir arriver le patriarche à table, enfin il arrive puant l’eau de Cologne rasé de frais les cheveux bien coiffés
- Hé bien Eugene tu va à une noce ?
- Non, occupe-toi de ce qui te regarde
Un regard vers moi qui veut dire : alors ça t’iras comme ça ?
Le lendemain même boulot que les autres jours, harassée a midi
- Dis Vanessa si on mangeait nus ? Il fait chaud …sans répondre j’ôte mes vêtements, il en fait autant, moi qui m’attendais a voir un corps de presque vieillard je découvre un homme musclé par le travail fournit a faire pâlir un jeune homme ne serais-ce que son fils ….
Sa queue vient très vite à l’horizontale, une goute translucide perle au bout du champignon, je me traine vers ce pieux la bouche ouverte, il rugit quand je décalotte et gobe son gland qui sent le propre, sa queue est secoué de spasmes, quelques allers retours sur la hampe et de formidables giclées fouette ma luette, heureusement que nous somment isolés car il beugle tel un bœuf en saisissant ma tète entre ses mains pour m’enfoncer sa verge a me faire vomir
- HAAAaaaaaa ça soulage …..Tu suce mieux qu’une pute ma parole !
- Merci pour la comparaison ! Bon on mange maintenant ?
- J’n’ai pas faim ou plutôt si, je vais te bouffer la cramouille avant de te sauter, tu peux grignoter un morceau en même temps
- Ça c’est de la poésie ! Mais avant de me sauter il faut que nous parlions affaire
- Qu’est ce que tu veux encore ?
- Un voiture, personne ne peux se déplacer, madeleine ne peut pas aller faire de courses, avec une voiture je pourrais l’emmener a la ville, ce n’est pas négociable ou bien je remets mes fringues
- Putain tu exagère mais j’ai trop envie de ta chatte, bon je vais te donner un cheque le concessionnaire le rempliras, je vais te dérouiller le minou croit moi !
- J’espère, regarde ma chatte elle baille d’impatience ….ça vaut bien un petit cabriolet non ?
Dans une position indécente, les genoux sous les épaules je lui offre mon entre jambes, il se jette sur mon vagin ouvert, sa bouche aspire littéralement mon utérus tandis que ses doigts tirent exagérément mes grandes lèvres vers l’extérieur, par contre il n’est pas doué pour les cuni ! il me plus de mal que de bien
- Je vous en prie prenez moi j’ai envie de votre grosse queue
- Haaa ! Ça va te changer de la quéquette de mon fils, ne perdons pas de temps j’en veux pour mon argent ! Reste comme tu es ta craquette est à point
L’homme en appuis sur ses genoux et ses mains vise mon trou béant, l’épée de chair le précède je la prends en main pour la guider, un puissant coup de rein et me voilà embrochée jusqu'à la garde
- Voilà comme on embroche une salope de ton genre, TIENT !!!!!
J’en ai le souffle coupé, mais que c’est bon de se faire ramoner la chatte par un nœud puissant, je noue mes talons autour de sa taille pour le sentir encore plus profondément en moi, j’ai de la peine a suivre le rythme qu’il m’impose, il me ramone comme un dieu ma cyprine coule entre mes fesses, orgasmes sur orgasmes je vais tourner de l’œil
- Tu prends la pilule au moins ?
Mon dieu, j’ai oublié ça … je viens d’arrêter il y a cinq jours …Boff ça doit faire encore effet !
- Oui, oui ! Allez y donner moi tout je veux sentir votre purée dans mon ventre de salope
- Alors prend Càààààààààààà ! HAAAAAAAAAAAAA !!!
Le soir au diner sa bonne humeur ne passe pas inaperçue, moi c’est mes yeux cernés qui me trahissent, mais personne n’ose parler
Tard dans la nuit je me lève en nuisette pour aller à la cuisine boire, je suis penchée dans le frigo quand une main audacieuse me pelote le cul
- Chuuut, ça t’a donné soif nos galipettes ?
- Oufff vous m’avez fait une de ces peurs !
- Regarde comme je bande … assied toi sur le coin de la table les pieds sur le banc je vais t’en mettre une troussée, avec ce que j’ai laissé en fric tu me dois bien ça !
- Justement en parlant de fric vous avez vus dans quoi travaille madeleine ? Cette cuisine pourrie ?
- Elle ne s’en plaint pas ça fait un bail qu’elle cuisine avec ça !
- Hé bien c’est finit, demain vous convoquez l’artisan pour prendre les mesures d’une installation moderne, maintenant allez y j’ai les cuisses ouvertes …..
- Cette garce veut ma mort ….HUUUUUUMMMMM tu mouille salope
Pendant qu’il me lime j’ai aperçu une ombre dans le couloir…
- Arrêtez j’ai vus bouger …
- Boff surement un chat y’en a pleins ici …merde tu me déconcentre
Cette réflexion m’en rappelle une autre dans la paille …..Je repars me coucher la chatte remplie de sécrétions, tant pis pour les draps, dans le lit Alain est allongé sur le dos, il dort ? Une barre significative zèbre le drap il est en érection …..Je me couche en lui tournant le dos, sa main vient fouiller entre mes cuisses, il va découvrir ma chatte baveuse, je feint de ronfler et le laisse jouer avec le foutre de son père
Deux jours plus tard la cuisine est en travaux, madeleine me prend a part …..
- Je sais que c’est à toi que je dois cette cuisine moderne, et tout ce qui a changé dans cette maison, je sais aussi qu’Eugene ne lâche rien sans rien …. Quoique tu fasses avec lui cela ne m’enlève rien, aussi je te dis merci profite en ma fille je t’aime bien ….
Comme une coïncidence Alain tient a me parler lui aussi …..
- Vanessa je vous ai vus dans la cuisine, ne craint rien ça ne me fait ni chaud ni froid, au contraire ça m’excite de te voir prise par mon père, je ne peux pas rivaliser avec sa queue, mais je te demande une chose : c’est d’assister quelquefois a vos saillies ne lui dit rien bien sur
- Je suis touchée par tes paroles Alain, c’est oui et pardon pour tout mais je vais changer votre vie ici
Depuis nous baisons presque sans nous cacher, je me fais ramoner dans l’écurie, dans le pailler, dans la cuisine la nuit, je vois souvent mon mari se masturber en me voyant prendre mon pied, alors je laisse partir mon amant de beau père et dés qu’i a tournés les talons Alain vient déguster ma moule farcie du foutre paternel auquel il ajoute le sien en trente secondes
Nous voici fin juillet les moissons sont terminées le travail a la ferme se calme, mes rapports avec mon beau père sont familiaux
- Eugene, je trouve qu’Alain est fatigué ces temps ci aussi nous allons partir huit jours aux Baléares tous les deux, le pauvre mérite bien ça et puis il n’a jamais quitté son clocher, tu me donneras du liquide ?
- Bondieu de bondieu comment je vais faire ? Huit jours sans te baiser ça va faire long !
- Alors qu’attends-tu pour me défoncer ? Regarde je ne porte plus de culotte !
A notre retour le beau père a l’air distant
- Alors tu t’es bien faite sauter cette semaine ?
- Muuuuumm un vrai bonheur, un petit peu par Alain mais le petit serveur de l’hôtel huuuuuummmmm quel étalon, d’ailleurs il a eu mon petit cul !!!
Il es passé par toutes les couleurs, c’est quand il est devenu violet que j’ai paniquée, tombé a terre il est secoué de spasmes, les secours sont arrivés très vite, mais depuis mon beau père a perdu la parole et un peu de ses capacités a se mouvoir, il communique en écrivant sur une ardoise, mais coté queue ça marche toujours alors de temps a autre je vais le ‘ soigner ‘ comme il ne peut plus hurler Alain vient assister et aussi a son tour me baiser devant lui , il devient rouge écarlate tant que je me fait brancher
Depuis je dirige la propriété, je viens de faire l’acquisition des trois chevaux, je cherche un palefrenier a la hauteur … dont je compte bien profiter dés que j’aurais accouché … qui est le père ?????????
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