Fabuleux Week End avec Isidore, Le jardinier antillais et Maximilien-1
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fabuleux Week End avec Isidore, Le jardinier antillais et Maximilien-1
En ces moments de doutes à propos de mon couple, je repense à mes histoires d'amours passées, dont Isidore.
Il est le seul homme qui a su briser, mes barrières d'hétérosexuel, je l'aimais inconsciemment.
Il a réussi à me faire sentir bien dans la peau de la femelle amoureuse, prête à tout pour son homme.
C'est étrange pour moi d'écrire cette phrase! Mais il m'apportait tellement!
Nous en étions au milieu de notre relation, je ne me rendais pas compte que j'avais déjà besoin de ses attentions.
Il avait commencé par me baiser comme une vulgaire pute mâle, puis il a changé de comportement en insérant de la tendresse dans nos rapports.
Je me rassurai en me disant que s'il me partageait avec Maximilien, c'est qu'il n'avait pas de sentiment!
Moi aussi, j'avais changé, sans m'en rendre compte, je me laissais aller à lui faire des fellations longues! Je reportai mon besoin de tendresse sur lui.
Nos baises oscillaient entre défonces anales à plusieurs et moments magiques passionnels, c'était perturbant!
Nous sommes Vendredi, Karim est en ballade, seul en voiture, je n'ai pas voulu sortir avec lui.
J'ai de plus en plus besoin d'Isidore! Il a terminé sa journée et vient me rejoindre.
Lorsqu'il entre dans ma chambre, je suis en train de me dévêtir en le regardant avec envie.
Il admire mon corps nu, puis il baisse son short pour m'offrir sa longue verge.
Je m'agenouille devant lui, mes deux mains entourent sa magnifique queue, si je n'avais pas son membre enfoncé dans la gorge, on pourrait croire que je prie nu devant lui.
"Oh, mon bébé, c'est bon! oui, manges moi le boudin!".
J'aimerai pouvoir le prendre en entier jusqu'aux testicules dans ma bouche, mais bien sur, je n'ai pas cette capacité.
Mes ablutions sur sa grosse bite sont passionnées, instinctivement, je fais l'amour à sa longue queue noire.
J'ai un moment de lucidité, et je réalise ce que je fait, mais j'en ai besoin, tant pis! Après tout, ce n'est que du plaisir!
"Oh, mon bébé! Ta bouche me fait craquer, ahhhh! Encore! Oh, je vais te faire jouir comme une petite femme, tu sais!".
Il saisit mon visage et fait glisser sa longue verge entre mes lèvres en appuyant au fond de ma gorge, en de nombreux allers retours, lents et amples.
Il me relève et m'embrasse longuement, il est le premier homme à me faire frissonner en me donnant un baiser.
Il me fait pivoter et me fait m'appuyer sur le lit, je monte sur le matelas et je me cambre pour lui offrir mes fesses.
Il salive sur son gland puis dépose son lubrifiant naturel contre mon anus.
Son gros membre force doucement, je place mes mains de chaque coté de mes fesses, je le désire plus que tout, et je les écarte en espérant étirer mon anus.
A force de petits mouvements d'assauts, il parvient à m'investir de son gland turgescent. Il ressort, crache sur mon anus et revient pour s'enfoncer d'une traite jusqu'au fond de mes entrailles.
Je râle de plaisir.
"Ahrhhhhhhhhhhhh! Isidore! chaque fois c'est encore meilleur! arhhhhhhhhhh!".
"Tu l'aimes mon boudin noir, mon bébé?".
"Oui, ohhhh, comment je vais faire pour me passer de ça? arhhhhhhhhhhhh!".
Il m'encule sauvagement pour me provoquer un orgasme puissant pendant cinq délicieuses minutes.
Puis il calme ses assauts, il sort délicatement sa grosse verge qui coulisse en moi avec facilité et volupté.
Il écarte mon anus avec ses doigts, puis fait glisser son énorme gland en jouant de l'épaisseur de son anatomie pour me faire jouir avec ses mini pénétrations anales, j'aime sentir la largeur de sa protubérance écarteler mon œillet à chaque retour.
Il amplifie ses mouvements, en m'emmenant dans une autre dimension de plaisir.
"Isidore! Tu me rends dingue! Arhhhhhhhhhhhhh!".
"Tu sens comme tu me plais? Bébé, t'es à moi! Là! Hein bébé?".
"Oui! Oui! Oui! Ahhhhhhhhhhh!".
A présent son gland vient toucher puissamment mon passage étroit au fond de mon cul. après quelques tentatives, et mes ondulations de bassin, il s'enfonce entièrement jusqu'à la naissance de sa très longue verge en moi.
J'ai un râle d'orgasme anal continu. il me connait et me fait reculer sans quitter cette profondeur en moi, mon corps est plié au dessus du sol, appuyé avec mes mains sur le matelas.
Il reprend ses lentes pénétrations profondes, la sollicitation de cet endroit magique a chaque passage de son gland me fait éjecter abondamment ce liquide mystérieux que je nomme cyprine mâle.
Il a la confirmation qu'il peut à présent m'enculer profondément sans problème et augmente son rythme.
"Ahhhhhhhhhh! Isidore! C'est trop, ahhhhhh, arrêtes! je joui trop fort, je... je... je... con.. trô...le plus rien, arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!""Vas y mon bébé d'amour! Gicles! j'aime te faire couler comme ça!".
Pendant plusieurs minutes, il me vide de tout ce liquide étrange.
Quand il cesse ses assauts, je m'affale sur le lit en travers.
"Oh, Isidore! Qu'est ce que tu as aujourd'hui? Tu m'as vidé! Dans tous les sens du terme! Et t'as pas joui encore! Tu dois pas rentrer chez toi?".
"Non, c'est pas grave, ça te dit de passer la soirée avec moi?".
"Mais! Et ta femme?".
"Je m'en fous! Elle a l'habitude, je sors souvent pour chercher des jeunes à baiser le soir, elle ne me demande plus ou je vais! Plus besoin d'excuses!".
"Alors, on s'en va ailleurs, j'ai peur que Karim rentre sans prévenir!".
Je nettoie le sol et vérifie si on a pas laissé de traces de nos ébats, puis je monte avec lui pour aller baiser ailleurs.
Dans la voiture, je lui demande:"Isidore! Tu sais que je prend de plus en plus de plaisir avec toi? J'ai l'impression que tu me connais mieux que moi-même!".
"Ca me fait plaisir ce que tu me dis, mon bébé! Moi aussi, je prend de plus en plus de plaisir! Je voudrais que tu viennes vivre ici! Ce serai super! T'aimerai pas toi?".
"Je sais pas, Isidore! Notre relation me fait peur, tu me troubles! J'aime les filles, normalement, mais avec toi! Ca me manque pas! Et pourtant, je suis marié, j'aime ma femme!".
"Moi, je sais ce que je ressens pour toi, j'ai pas de problème avec ça! Bébé!".
"Donc ce soir, je suis pas ta petite salope blanche!".
"Non, t'es plus que ça! Mais,... t'es quand même une belle salope blanche! ah ah!".
"Ah ah, salaud!".
Il gare sa voiture près d'une crique isolée, nous sortons pour marcher, on s'assoit dans le sable.
Il m'allonge sur le coté face à lui, sa main caresse mon visage, il me dit:"Bébé! Arrêtes de réfléchir, on a pas beaucoup de temps, on est bien tous les deux! Laisses toi aller!".
Je réponds à son baiser, avec étonnement sur mon acceptation de sa tendresse, puis je jette à la poubelle toute mes réticences et je l'entoure de mes bras avec une fougue passionnelle.
Nos corps s'étreignent longuement, il est sur moi quand je devine qu'il veut me posséder, il se redresse pour ôter son seul vêtement, un short.
Je passe mes mains sous mes fesses pour ôter le mien, mes cuisses s'ouvrent pour l'accueillir.
Il pousse plusieurs fois sur mon œillet avec son long membre dur, mon anus produit très vite des sécrétions gluantes qui l'aident à me pénétrer d'une traite.
Il commence a vouloir parler, mais j'ai peur de ses mots.
Je lui bloque la bouche.
"Chht! Isidore! Je suis pas prêt! Montres moi! C'est tout!".
J'enlève ma main.
"Tu vas comprendre quand même, mon bébé!".
Il m'embrasse dans le coup, je frissonne sous ses baisers en ressentant les premiers signes de plaisir anal.
Je m'offre entièrement à lui, mes jambes et mes bras entourent son dos pendant qu'il s'agite en moi.
Nous terminons notre union en mêlant nos bouches.
Le moment est puissant et magique, j'entre dans un orgasme qui me submerge de bonheur anal, comme un idiot, je ne réalise même pas que mon plaisir est décuplé par mes sentiments refoulés, si je jouis aussi fort, c'est parce que je l'aime déjà sans me l'avouer.
Notre union est parfaite, sa pénétration est puissante et appuyée, sans être énergique, au rythme de nos caresses tendres et langoureuses.
"Ahhh, bébé, tu le sens là?".
"Oui, Isidore! ahhh, oui, tu me rends dingue de toi! C'est trop de plaisir!".
On se tourne ensemble, c'est moi qui suis dessus, je ne change rien a notre rythme et je cherche à m'enfoncer sur lui plus profondément encore".
"Oui, comme ça bébé! A toi de me montrer!".
Mon bassin ondule sur son long sexe dans un mouvement incessant, je prend un nouvel orgasme, mon sexe commence à gonfler.
Comme je contrôle mon plaisir anal, je fait le lien avec l'endroit dans mon anus qui m'apporte du plaisir pénien.
Je cherche à accentuer cette sensation, je vois mon merveilleux amant qui commence à grimacer de plaisir.
Je prend appui sur mes pieds pour mieux m'empaler, son gland vient au plus profond de mon cul à chaque enfoncement.
"Ahhhhhhhhhhh! Patrick mon amour! Je joui, arhhhhhhhhhhhhh!".
"Moi aussi! bébé! Arrrrrrrrrrrhhh! Tu me fais éjaculer, sans me toucher! Arhhhhhhhhhhhhhhh!
Je m'applique à ce qu'il éjacule dans un orgasme parfait jusqu'au bout en m'empalant encore et encore tendrement.
Je me colle le visage de coté, sur son torse.
"T'avais pas le droit, Isidore! Tu devais rien dire!".
"C'est ce que je ressens depuis le début, dès que je t'ai vu, j'ai su! J'ai aussi compris que tu aimais le sexe et je m'en suis servi pour t'avoir!".
"Je fais quoi, moi maintenant que tu m'as dis ça? J'ai déjà fait du mal à un autre homme, j'en pas envie de le revivre!".
"Ne t'occupes pas de ça, je gère! Mais je veux profiter de tout ce que tu peux me donner!".
"T'es sur?".
"Oui, mon bébé! Bon, demain après midi, on est invité chez Maximilien! Sa famille sera de l'autre coté de l'ile dans la famille de sa femme! Ca te dis un bon cassage de ton petit cul de salope blanche?".
"Humm, avec plaisir! Vous allez me tuer encore! Mais j'aime tellement ça!""Je me disais aussi!".
"Tu m'en veux d'être aussi salope?".
"Au contraire, j'adore partager ça avec toi!".
Il n'est que 21 h, nous marchons sur la plage en nous éloignant de la voiture, je sens sa main qui cherche la mienne.
Ce geste si simple me gêne, mais il est trop adorable pour que je lui fasse l'affront de refuser.
Contre toute attente, malgré mon appréhension, et peut être parce que je sais que je suis un inconnu sur l'ile, je trouve ça agréable et naturel.
"Isidore! Tu sais que je brise beaucoup de mes tabous avec toi! Je sais plus ou j'en suis!".
"Chhtt, réfléchis pas, bébé! on est pas bien tous les deux?".
"Si! Mais habituellement, je ressens ça avec une fille!".
Il sourit en restant silencieux et en regardant le coucher de soleil sur l'océan, il a l'air heureux.
Notre balade est agrémentée de gestes tendres et de baisers doux, passionnés.
Je lutte contre ses mots d'amour, je pense y être insensible, mais il a déjà gagné, je l'aime malgré moi!
Lorsque, je suis entré dans son jeu du couple parfait deux semaines plus tard, en baisant aves ses complices de la plage, je pensais ce que je lui disais, en croyant mentir.
Je ne regrette pas, tout ces mots d'amour que je lui ai dis, je sais qu'il les a entendu! J'ai cette satisfaction.
Nous retournons comme deux jeunes amoureux, à la voiture.
il ouvre son coffre arrière et sort une fine couverture.
"Viens! On va s'allonger dans un coin discret!".
On reprend notre chemin et nous trouvons une enfoncée sous les palmiers à trente mètres de l'océan. je l'aide à étendre le grand morceau de tissu, puis je l'imite quand il se met complètement nu.
Il s'étend en me tendant les bras, je m'y engouffre.
J'analyse le moment, comment puis-résister à cette magie, les palmiers, la plage, le bruit doux des vagues, la lune qui commence à nous éclairer, et la tendresse d'Isidore! Putain! Aujourd'hui, je réalise que j'étais heureux avec un homme! Ca va à l'encontre de tout mes principes!
Nous sommes restés là à nous caresser longuement, à converser sur nos vies, sur les endroits de l'ile qu'il voulait me montrer et dans lesquels, nous baiseront comme des dingues.
Vers 23h passé, il prend ma main pour la porter à son sexe, il est en début d'érection.
Je l'embrasse amoureusement en lui caressant la queue, puis j'entame une série de baisers sur son torse qui se dirigent indéniablement vers sa magnifique bite.
Je le couvre de coups de langue humide sur toute la surface de son gros membre qui est en érection complète, à présent.
"Ahhh, bébé, j'aime ta bouche!".
"J'aime ta queue!".
"Elle est à toi!".
"Hummm!".
Ma tendre fellation est délicieusement interminable, on a pas envie que cela cesse, notre plaisir buccal est commun.
Mon désir devient trop fort, je me décide avec difficulté à quitter sa grosse verge pour me placer au dessus de lui.
Il place ses grosses mains autour de ma taille.
"Fais moi encore jouir! Isidore!".
Il me regarde plein de bonheur et m'enfonce sur son énorme membre.
La pénétration est de plus en plus facile, le sperme encore présent sert de lubrifiant.
Sa possession est encore tendre, puissante et profonde.
le plaisir anal me gagne très lentement, j'ai des picotements dans la tête.
Cela commence par des mini orgasmes, qui s'additionnent en gagnant en intensité, puis j'explose au bout d'un quart d'heure d'amour anal, cambré à l'extrême sur lui.
"Oh, Isidore! Je... je... je...".
"T'arrives pas à le dire? C'est ça!".
"Non, s'il te plais, n'insistes pas!".
"D'accord, mon bébé!".
J'apprécie cet état magique d'après orgasme parfait, collé contre son torse comme une femme amoureuse et heureuse, Je suis bien!
"Bon, mon bébé, on va retourner dans la voiture! Le temps de rentrer et tout le reste! Surtout que Maximilien passe te prendre demain à 9 heures!".
"9 Heures? Pourquoi aussi tôt?".
"Euh, sa famille sera déjà plus là, et il m'a demandé si il pouvait s'amuser avec toi! T'es pas d'accord?".
"Mais, ça te gênes pas?".
"C'est mon ami! Vous allez baiser, c'est tout!".
Je réalise qu'il est comme moi, avec ma femme, avec en plus le désir de faire plaisir aussi à son ami.
"D'accord alors! Mais j'espère qu'il va pas m'épuiser! Il me faut des forces pour continuer à trois, l'après-midi!".
"il va te préparer un bon plat de chez nous, tu aimes le carry poulet?".
"J'adore! Mais pas trop épicé!".
"Tu lui diras!".
On retourne à la voiture, puis, on se gare, proches de la maison du client, toujours dans un endroit discret.
"Viens derrière, on sera mieux!".
On arrive pas à s'empêcher de nous coller l'un à l'autre, après quelques minutes de caresses et de baisers fougueux, il me demande:"Tu aimes la glace au réglisse?".
Etonné, je lui réponds:"Oui, j'adore pourquoi?".
"J'ai un gros cornet, deux boules pour toi! Regardes!". En baissant son short et exhibant sa grosse bite tendue à l'extrême.
"Hummmm, merci, Isidore!".
Je recommence ma fellation tendre, pendant de longues minutes, puis, je me lance dans une série de mouvements frénétiques.
Il pose sa main sur mon crâne pour accompagner ma bouche sur sa bite.
Il se cambre en arrière de plaisir.
"Oh, arhhh bébé, oui! Tu vas avoir mon lait, mon amour! Arhhhhhhhhhhhhhh!".
Son premier jet, me surprend par sa puissance, je me décale en ne gardant que son gros gland dans la bouche.
Son sperme rempli ainsi l'espace que je lui offre.
J'avale avec envie son plaisir, qui se renouvelle sans cesse sous ses râles si jouissifs.
"Ahhhhh! Bébé, je t'aiiiimmmmmmmmmmme!".
En avalant, j'ai envie de lui demander de se taire, mais après tout, c'est de ma faute, tout ça, c'est moi qui lui donne tout ce plaisir, je dois l'assumer!
Il m'éloigne de son sexe encore humide, puis colle mes lèvres aux siennes, j'ai encore du sperme dans la bouche.
Nos langues se caressent avec volupté, ce baiser au gout de lait de bite noire est magique.
Il me conduit à nouveau sur sa queue que je lèche encore avec délice pendant de longues secondes.
Un silence s'est installé, seuls nos yeux s'expriment, je sais qu'il m'aime, mais je lutte toujours contre mes sentiments.
On se quitte avec difficulté, et je vais m'endormir comme un bébé, son bébé!
Il est le seul homme qui a su briser, mes barrières d'hétérosexuel, je l'aimais inconsciemment.
Il a réussi à me faire sentir bien dans la peau de la femelle amoureuse, prête à tout pour son homme.
C'est étrange pour moi d'écrire cette phrase! Mais il m'apportait tellement!
Nous en étions au milieu de notre relation, je ne me rendais pas compte que j'avais déjà besoin de ses attentions.
Il avait commencé par me baiser comme une vulgaire pute mâle, puis il a changé de comportement en insérant de la tendresse dans nos rapports.
Je me rassurai en me disant que s'il me partageait avec Maximilien, c'est qu'il n'avait pas de sentiment!
Moi aussi, j'avais changé, sans m'en rendre compte, je me laissais aller à lui faire des fellations longues! Je reportai mon besoin de tendresse sur lui.
Nos baises oscillaient entre défonces anales à plusieurs et moments magiques passionnels, c'était perturbant!
Nous sommes Vendredi, Karim est en ballade, seul en voiture, je n'ai pas voulu sortir avec lui.
J'ai de plus en plus besoin d'Isidore! Il a terminé sa journée et vient me rejoindre.
Lorsqu'il entre dans ma chambre, je suis en train de me dévêtir en le regardant avec envie.
Il admire mon corps nu, puis il baisse son short pour m'offrir sa longue verge.
Je m'agenouille devant lui, mes deux mains entourent sa magnifique queue, si je n'avais pas son membre enfoncé dans la gorge, on pourrait croire que je prie nu devant lui.
"Oh, mon bébé, c'est bon! oui, manges moi le boudin!".
J'aimerai pouvoir le prendre en entier jusqu'aux testicules dans ma bouche, mais bien sur, je n'ai pas cette capacité.
Mes ablutions sur sa grosse bite sont passionnées, instinctivement, je fais l'amour à sa longue queue noire.
J'ai un moment de lucidité, et je réalise ce que je fait, mais j'en ai besoin, tant pis! Après tout, ce n'est que du plaisir!
"Oh, mon bébé! Ta bouche me fait craquer, ahhhh! Encore! Oh, je vais te faire jouir comme une petite femme, tu sais!".
Il saisit mon visage et fait glisser sa longue verge entre mes lèvres en appuyant au fond de ma gorge, en de nombreux allers retours, lents et amples.
Il me relève et m'embrasse longuement, il est le premier homme à me faire frissonner en me donnant un baiser.
Il me fait pivoter et me fait m'appuyer sur le lit, je monte sur le matelas et je me cambre pour lui offrir mes fesses.
Il salive sur son gland puis dépose son lubrifiant naturel contre mon anus.
Son gros membre force doucement, je place mes mains de chaque coté de mes fesses, je le désire plus que tout, et je les écarte en espérant étirer mon anus.
A force de petits mouvements d'assauts, il parvient à m'investir de son gland turgescent. Il ressort, crache sur mon anus et revient pour s'enfoncer d'une traite jusqu'au fond de mes entrailles.
Je râle de plaisir.
"Ahrhhhhhhhhhhhh! Isidore! chaque fois c'est encore meilleur! arhhhhhhhhhh!".
"Tu l'aimes mon boudin noir, mon bébé?".
"Oui, ohhhh, comment je vais faire pour me passer de ça? arhhhhhhhhhhhh!".
Il m'encule sauvagement pour me provoquer un orgasme puissant pendant cinq délicieuses minutes.
Puis il calme ses assauts, il sort délicatement sa grosse verge qui coulisse en moi avec facilité et volupté.
Il écarte mon anus avec ses doigts, puis fait glisser son énorme gland en jouant de l'épaisseur de son anatomie pour me faire jouir avec ses mini pénétrations anales, j'aime sentir la largeur de sa protubérance écarteler mon œillet à chaque retour.
Il amplifie ses mouvements, en m'emmenant dans une autre dimension de plaisir.
"Isidore! Tu me rends dingue! Arhhhhhhhhhhhhh!".
"Tu sens comme tu me plais? Bébé, t'es à moi! Là! Hein bébé?".
"Oui! Oui! Oui! Ahhhhhhhhhhh!".
A présent son gland vient toucher puissamment mon passage étroit au fond de mon cul. après quelques tentatives, et mes ondulations de bassin, il s'enfonce entièrement jusqu'à la naissance de sa très longue verge en moi.
J'ai un râle d'orgasme anal continu. il me connait et me fait reculer sans quitter cette profondeur en moi, mon corps est plié au dessus du sol, appuyé avec mes mains sur le matelas.
Il reprend ses lentes pénétrations profondes, la sollicitation de cet endroit magique a chaque passage de son gland me fait éjecter abondamment ce liquide mystérieux que je nomme cyprine mâle.
Il a la confirmation qu'il peut à présent m'enculer profondément sans problème et augmente son rythme.
"Ahhhhhhhhhh! Isidore! C'est trop, ahhhhhh, arrêtes! je joui trop fort, je... je... je... con.. trô...le plus rien, arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!""Vas y mon bébé d'amour! Gicles! j'aime te faire couler comme ça!".
Pendant plusieurs minutes, il me vide de tout ce liquide étrange.
Quand il cesse ses assauts, je m'affale sur le lit en travers.
"Oh, Isidore! Qu'est ce que tu as aujourd'hui? Tu m'as vidé! Dans tous les sens du terme! Et t'as pas joui encore! Tu dois pas rentrer chez toi?".
"Non, c'est pas grave, ça te dit de passer la soirée avec moi?".
"Mais! Et ta femme?".
"Je m'en fous! Elle a l'habitude, je sors souvent pour chercher des jeunes à baiser le soir, elle ne me demande plus ou je vais! Plus besoin d'excuses!".
"Alors, on s'en va ailleurs, j'ai peur que Karim rentre sans prévenir!".
Je nettoie le sol et vérifie si on a pas laissé de traces de nos ébats, puis je monte avec lui pour aller baiser ailleurs.
Dans la voiture, je lui demande:"Isidore! Tu sais que je prend de plus en plus de plaisir avec toi? J'ai l'impression que tu me connais mieux que moi-même!".
"Ca me fait plaisir ce que tu me dis, mon bébé! Moi aussi, je prend de plus en plus de plaisir! Je voudrais que tu viennes vivre ici! Ce serai super! T'aimerai pas toi?".
"Je sais pas, Isidore! Notre relation me fait peur, tu me troubles! J'aime les filles, normalement, mais avec toi! Ca me manque pas! Et pourtant, je suis marié, j'aime ma femme!".
"Moi, je sais ce que je ressens pour toi, j'ai pas de problème avec ça! Bébé!".
"Donc ce soir, je suis pas ta petite salope blanche!".
"Non, t'es plus que ça! Mais,... t'es quand même une belle salope blanche! ah ah!".
"Ah ah, salaud!".
Il gare sa voiture près d'une crique isolée, nous sortons pour marcher, on s'assoit dans le sable.
Il m'allonge sur le coté face à lui, sa main caresse mon visage, il me dit:"Bébé! Arrêtes de réfléchir, on a pas beaucoup de temps, on est bien tous les deux! Laisses toi aller!".
Je réponds à son baiser, avec étonnement sur mon acceptation de sa tendresse, puis je jette à la poubelle toute mes réticences et je l'entoure de mes bras avec une fougue passionnelle.
Nos corps s'étreignent longuement, il est sur moi quand je devine qu'il veut me posséder, il se redresse pour ôter son seul vêtement, un short.
Je passe mes mains sous mes fesses pour ôter le mien, mes cuisses s'ouvrent pour l'accueillir.
Il pousse plusieurs fois sur mon œillet avec son long membre dur, mon anus produit très vite des sécrétions gluantes qui l'aident à me pénétrer d'une traite.
Il commence a vouloir parler, mais j'ai peur de ses mots.
Je lui bloque la bouche.
"Chht! Isidore! Je suis pas prêt! Montres moi! C'est tout!".
J'enlève ma main.
"Tu vas comprendre quand même, mon bébé!".
Il m'embrasse dans le coup, je frissonne sous ses baisers en ressentant les premiers signes de plaisir anal.
Je m'offre entièrement à lui, mes jambes et mes bras entourent son dos pendant qu'il s'agite en moi.
Nous terminons notre union en mêlant nos bouches.
Le moment est puissant et magique, j'entre dans un orgasme qui me submerge de bonheur anal, comme un idiot, je ne réalise même pas que mon plaisir est décuplé par mes sentiments refoulés, si je jouis aussi fort, c'est parce que je l'aime déjà sans me l'avouer.
Notre union est parfaite, sa pénétration est puissante et appuyée, sans être énergique, au rythme de nos caresses tendres et langoureuses.
"Ahhh, bébé, tu le sens là?".
"Oui, Isidore! ahhh, oui, tu me rends dingue de toi! C'est trop de plaisir!".
On se tourne ensemble, c'est moi qui suis dessus, je ne change rien a notre rythme et je cherche à m'enfoncer sur lui plus profondément encore".
"Oui, comme ça bébé! A toi de me montrer!".
Mon bassin ondule sur son long sexe dans un mouvement incessant, je prend un nouvel orgasme, mon sexe commence à gonfler.
Comme je contrôle mon plaisir anal, je fait le lien avec l'endroit dans mon anus qui m'apporte du plaisir pénien.
Je cherche à accentuer cette sensation, je vois mon merveilleux amant qui commence à grimacer de plaisir.
Je prend appui sur mes pieds pour mieux m'empaler, son gland vient au plus profond de mon cul à chaque enfoncement.
"Ahhhhhhhhhhh! Patrick mon amour! Je joui, arhhhhhhhhhhhhh!".
"Moi aussi! bébé! Arrrrrrrrrrrhhh! Tu me fais éjaculer, sans me toucher! Arhhhhhhhhhhhhhhh!
Je m'applique à ce qu'il éjacule dans un orgasme parfait jusqu'au bout en m'empalant encore et encore tendrement.
Je me colle le visage de coté, sur son torse.
"T'avais pas le droit, Isidore! Tu devais rien dire!".
"C'est ce que je ressens depuis le début, dès que je t'ai vu, j'ai su! J'ai aussi compris que tu aimais le sexe et je m'en suis servi pour t'avoir!".
"Je fais quoi, moi maintenant que tu m'as dis ça? J'ai déjà fait du mal à un autre homme, j'en pas envie de le revivre!".
"Ne t'occupes pas de ça, je gère! Mais je veux profiter de tout ce que tu peux me donner!".
"T'es sur?".
"Oui, mon bébé! Bon, demain après midi, on est invité chez Maximilien! Sa famille sera de l'autre coté de l'ile dans la famille de sa femme! Ca te dis un bon cassage de ton petit cul de salope blanche?".
"Humm, avec plaisir! Vous allez me tuer encore! Mais j'aime tellement ça!""Je me disais aussi!".
"Tu m'en veux d'être aussi salope?".
"Au contraire, j'adore partager ça avec toi!".
Il n'est que 21 h, nous marchons sur la plage en nous éloignant de la voiture, je sens sa main qui cherche la mienne.
Ce geste si simple me gêne, mais il est trop adorable pour que je lui fasse l'affront de refuser.
Contre toute attente, malgré mon appréhension, et peut être parce que je sais que je suis un inconnu sur l'ile, je trouve ça agréable et naturel.
"Isidore! Tu sais que je brise beaucoup de mes tabous avec toi! Je sais plus ou j'en suis!".
"Chhtt, réfléchis pas, bébé! on est pas bien tous les deux?".
"Si! Mais habituellement, je ressens ça avec une fille!".
Il sourit en restant silencieux et en regardant le coucher de soleil sur l'océan, il a l'air heureux.
Notre balade est agrémentée de gestes tendres et de baisers doux, passionnés.
Je lutte contre ses mots d'amour, je pense y être insensible, mais il a déjà gagné, je l'aime malgré moi!
Lorsque, je suis entré dans son jeu du couple parfait deux semaines plus tard, en baisant aves ses complices de la plage, je pensais ce que je lui disais, en croyant mentir.
Je ne regrette pas, tout ces mots d'amour que je lui ai dis, je sais qu'il les a entendu! J'ai cette satisfaction.
Nous retournons comme deux jeunes amoureux, à la voiture.
il ouvre son coffre arrière et sort une fine couverture.
"Viens! On va s'allonger dans un coin discret!".
On reprend notre chemin et nous trouvons une enfoncée sous les palmiers à trente mètres de l'océan. je l'aide à étendre le grand morceau de tissu, puis je l'imite quand il se met complètement nu.
Il s'étend en me tendant les bras, je m'y engouffre.
J'analyse le moment, comment puis-résister à cette magie, les palmiers, la plage, le bruit doux des vagues, la lune qui commence à nous éclairer, et la tendresse d'Isidore! Putain! Aujourd'hui, je réalise que j'étais heureux avec un homme! Ca va à l'encontre de tout mes principes!
Nous sommes restés là à nous caresser longuement, à converser sur nos vies, sur les endroits de l'ile qu'il voulait me montrer et dans lesquels, nous baiseront comme des dingues.
Vers 23h passé, il prend ma main pour la porter à son sexe, il est en début d'érection.
Je l'embrasse amoureusement en lui caressant la queue, puis j'entame une série de baisers sur son torse qui se dirigent indéniablement vers sa magnifique bite.
Je le couvre de coups de langue humide sur toute la surface de son gros membre qui est en érection complète, à présent.
"Ahhh, bébé, j'aime ta bouche!".
"J'aime ta queue!".
"Elle est à toi!".
"Hummm!".
Ma tendre fellation est délicieusement interminable, on a pas envie que cela cesse, notre plaisir buccal est commun.
Mon désir devient trop fort, je me décide avec difficulté à quitter sa grosse verge pour me placer au dessus de lui.
Il place ses grosses mains autour de ma taille.
"Fais moi encore jouir! Isidore!".
Il me regarde plein de bonheur et m'enfonce sur son énorme membre.
La pénétration est de plus en plus facile, le sperme encore présent sert de lubrifiant.
Sa possession est encore tendre, puissante et profonde.
le plaisir anal me gagne très lentement, j'ai des picotements dans la tête.
Cela commence par des mini orgasmes, qui s'additionnent en gagnant en intensité, puis j'explose au bout d'un quart d'heure d'amour anal, cambré à l'extrême sur lui.
"Oh, Isidore! Je... je... je...".
"T'arrives pas à le dire? C'est ça!".
"Non, s'il te plais, n'insistes pas!".
"D'accord, mon bébé!".
J'apprécie cet état magique d'après orgasme parfait, collé contre son torse comme une femme amoureuse et heureuse, Je suis bien!
"Bon, mon bébé, on va retourner dans la voiture! Le temps de rentrer et tout le reste! Surtout que Maximilien passe te prendre demain à 9 heures!".
"9 Heures? Pourquoi aussi tôt?".
"Euh, sa famille sera déjà plus là, et il m'a demandé si il pouvait s'amuser avec toi! T'es pas d'accord?".
"Mais, ça te gênes pas?".
"C'est mon ami! Vous allez baiser, c'est tout!".
Je réalise qu'il est comme moi, avec ma femme, avec en plus le désir de faire plaisir aussi à son ami.
"D'accord alors! Mais j'espère qu'il va pas m'épuiser! Il me faut des forces pour continuer à trois, l'après-midi!".
"il va te préparer un bon plat de chez nous, tu aimes le carry poulet?".
"J'adore! Mais pas trop épicé!".
"Tu lui diras!".
On retourne à la voiture, puis, on se gare, proches de la maison du client, toujours dans un endroit discret.
"Viens derrière, on sera mieux!".
On arrive pas à s'empêcher de nous coller l'un à l'autre, après quelques minutes de caresses et de baisers fougueux, il me demande:"Tu aimes la glace au réglisse?".
Etonné, je lui réponds:"Oui, j'adore pourquoi?".
"J'ai un gros cornet, deux boules pour toi! Regardes!". En baissant son short et exhibant sa grosse bite tendue à l'extrême.
"Hummmm, merci, Isidore!".
Je recommence ma fellation tendre, pendant de longues minutes, puis, je me lance dans une série de mouvements frénétiques.
Il pose sa main sur mon crâne pour accompagner ma bouche sur sa bite.
Il se cambre en arrière de plaisir.
"Oh, arhhh bébé, oui! Tu vas avoir mon lait, mon amour! Arhhhhhhhhhhhhhh!".
Son premier jet, me surprend par sa puissance, je me décale en ne gardant que son gros gland dans la bouche.
Son sperme rempli ainsi l'espace que je lui offre.
J'avale avec envie son plaisir, qui se renouvelle sans cesse sous ses râles si jouissifs.
"Ahhhhh! Bébé, je t'aiiiimmmmmmmmmmme!".
En avalant, j'ai envie de lui demander de se taire, mais après tout, c'est de ma faute, tout ça, c'est moi qui lui donne tout ce plaisir, je dois l'assumer!
Il m'éloigne de son sexe encore humide, puis colle mes lèvres aux siennes, j'ai encore du sperme dans la bouche.
Nos langues se caressent avec volupté, ce baiser au gout de lait de bite noire est magique.
Il me conduit à nouveau sur sa queue que je lèche encore avec délice pendant de longues secondes.
Un silence s'est installé, seuls nos yeux s'expriment, je sais qu'il m'aime, mais je lutte toujours contre mes sentiments.
On se quitte avec difficulté, et je vais m'endormir comme un bébé, son bébé!
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