Fabuleux Week End avec Isidore, Le jardinier antillais et Maximilien-2
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fabuleux Week End avec Isidore, Le jardinier antillais et Maximilien-2
Le lendemain, je termine mon petit déjeuner avec Karim, il me demande ce que je veux faire de ma journée.
"Je vais chez Maximilien! le copain d'Isidore! Si ça te dit, on va ensemble, ce soir à la boite en bord de mer?".
"Ok, moi je crois que je vais aller en ville! Qui sait? Je peux trouver une gonzesse! Va savoir!".
Maximilien arrive, je le rejoins, l'esprit tranquille, la probabilité que Karim devine qu'il me baise avec Isidore est vraiment trop faible.
Dans la voiture, Maximilien attire ma main sur sa bite.
"On va bien s'amuser, ma petite salope!".
Le programme est annoncé!
Il imprime à ma main un mouvement de masturbation, je comprends que je dois le branler discrètement pendant qu'il conduit.
"Tu sais qu'Isidore t'aime vraiment beaucoup pour te laisser me baiser? Je le fais aussi pour lui faire plaisir!".
"Je sais, c'est mon ami! C'est mon frère! Et toi? Tu sais qu'il t'aime?".
"Oui! Je le mérites pas! D'ailleurs! Tu l'as connu comment?".
Il rit en racontant:"On baisait le même jeune hindou à la plage, on s'amusait avec son cul et sa bouche à tour de rôle, en déconnant! Après, à chaque fois qu'on se voyait là-bas, on se parlait, et on est devenus des frères! On partage tout maintenant!".
"Et avec ta femme, ça va?".
"Mieux qu'Isidore! Mais je préfère les garçons, moi aussi! On aime les petits culs blanc comme toi, ici!".
"Pourquoi?".
"C'est excitant de mettre notre boudin noir dans votre cul tout rose! Ouhhh, arrêtes de me branler, j'arrive plus à conduire!".
Je quitte son gros membre d'ébène, puis on se gare devant une maison simple, mais typique, entourée de plantes exotiques.
Il me fait entrer, je commence à avancer dans le couloir, il me retient par les hanches en collant mes fesses contre sa bite en érection.
"Maximilien! Déjà?".
"Oui, viens dans la cuisine!".
Il me plaque au dessus de sa cuisinière, puis baisse mon bermuda.
Il ouvre le réfrigérateur, il ressort son doigt couvert d'un morceau de beurre, qu'il m'insert dans l'anus.
"Oh, Maximilien! toi aussi! T'es dingue!".
"Ouais, et t'aime ça, non? Ma belle salope blanche!".
"Oui!".
Son énorme sexe, plus long et large que celui d'Isidore, commence sa destruction de mon cul, mon œillet s'écartèle lentement, sous ses poussées.
Il me maintient fermement par le haut des fesses, son gros pieu s'enfonce en dévastant mon anus.
"Arhhhhhhhhhhhhhhh, Maximilien! Tu es gros, arhhhhhhhhhh!".
"Oui, mais c'est ce que tu aimes? Non? Tu aimes le gros boudin Antillais!".
"Oh, putain, oui, arhhhh! C'est tellement rare pour moi, je veux en profiter, défonces-moi! Casses-moi le cul! Arhhhhhhhhhhh!".
Je n'aurai peut être pas dû dire ces mots, puisqu'il se déchaine en me soulevant à chaque assaut, je suis entre la douleur et l'orgasme anal.
Je sais que cela ne va pas durer et que mon virage anal va s'ouvrir pour le recevoir jusqu'à la base.
Ce moment est magique, il se plante bien au fond de moi en râlant très fort.
"Arrhhhh, salope, t'es le seul mec que j'encule aussi profondément! Ahh, c'est génial".
Il amplifie ses assauts, et à chaque fois qu'il bute contre mon os, il insiste pour s'enfoncer à nouveau entièrement.
"Maximilien! arrêtes! Tu vas me faire couler, arhhhh, j'ai déjà joui deux fois!".
"Vas y salope, coules! Laisse toi aller!".
Mes cuisses s'écrasent contre sa cuisinière, ma queue arrose la porte de son four à chaque assaut.
Comme Isidore, mes écoulements l'excitent, je joui en inondant le sol en essayant de me tenir contre le mur devant moi, profondément écartelé par l'énorme queue de Maximilien, qui me déchire le cul.
"Arhhhh, Putain! Maximilien! tu me vides! arhhhhhhhhhhhhh!".
Je ne l'ai jamais vu aussi déchainé, il profite de l'absence de son ami pour abuser de moi comme il a envie.
Mon orgasme retombe, je me fais de la place pour me poser, mon torse s'étale sur la cuisinière, mon cul est toujours assailli par Maximilien!
"Maximilien! Tu m'as vidé! J'ai trop joui! Arrêtes!".
"Non, j'ai pas fini!".
Je subis ses assauts incessants, il m'arrache plusieurs orgasmes malgré moi.
Sa grosse queue fait des bruits de claquements dans mon cul qui se mêlent aux tintements des casseroles qui s'entrechoquent.
Je suis épuisé de jouissance anale, il a réussi à me faire gicler encore quelques petits jets, tout au long de sa très longue défonce de mon cul.
C'est une délivrance pour moi quand il annonce enfin son éjaculation, ses assauts sont plus courts et profonds, il se déverse en moi longuement.
J'encaisse son plaisir comme une poupée morte.
Il recule en me laissant un trou béant et poisseux, sa longue bite pend entre ses jambes, couverte de beurre fondu et le gland dégoulinant de foutre.
"Ouah, je t'ai bien éclaté ton petit cul de salope blanche!".
Il est fier de lui, et de sa destruction anale, il prend une serviette pour s'essuyer la bite comme pour effacer son méfait.
J'arrive toujours pas à me relever, il m'a réellement détruit le cul, j'essaie de serrer mon muscle anal, mais le seul résultat est faire couler son foutre hors de mon anus qui reprend son écartèlement.
Je parviens à lui demander à bout de force:"Maximilien! Comment, je vais faire pour tout à l'heure? Tu m'as tout pris!".
"Mais non, salope! Tu verras que tu vas quand même encaisser!".
Je me redresse très lentement, le sperme s'écoule d'un trait sur mon bermuda entre mes pieds.
"Eh, merde! Il manquait plus que ça!".
Maximilien s'esclaffe de rire! Fier de son acte. Il me tend sa serviette, je m'essuie l'anus comme je peux, la présence du gras du beurre est désagréable.
"Je peux me laver? s'il te plait?".
"Bien sur, mon petit Patrick, Viens, je vais me doucher avec toi!".
Il me lave les fesses avec douceur, puis me laisse lui laver la bite longuement, je le suce ensuite par gourmandise.
Puis il m'annonce:"Allez! On retourne dans la cuisine!".
"Encore! Tu vas m'enculer?".
"Ah ah, mais non! Je vais préparer à manger!".
J'ai un soupir de soulagement.
Je lui sers de commis, je lui fais part de mon gout modéré pour les épices.
"Ah, oui, c'est vrai! T'es Métropolitain! Je vais en mettre un peu moins! Ca, ça me déranges pas! Ce qui compte, c'est que je puisse tout te mettre dans le cul! Ah ah ah!".
En me posant une main aux fesses.
Je souris, c'est vrai qu'il m'a mis la dose, le bougre!
On déguste ensemble son délicieux repas, avec Isidore qui nous a rejoint avec un peu de retard.
"Alors, ça s'est bien passé, vous deux?".
"Ah, si tu savais ce que je lui ai mis! Mon frère! Oh là là, Il encaisse bien ton petit pédé blanc!".
"Ca va? Bébé?".
"Je sens plus mon cul! Il m'a tout pris! Il faut que je mange, là!".
Il m'attrape la bouche pour m'embrasser et me dit tendrement:"Je suis fier de toi, mon amour! Manges autant que tu veux!".
Je trouve la situation étrange, mais je dévore volontiers le plat que Maximilien a cuisiné.
On déguste ensuite un délicieux ananas et une banane, ils s'excitent en me regardant la manger.
Puis ils me proposent un verre de rhum que je refuse, n'appréciant pas les alcools puissants, mais j'accepte un café.
ils m'emmènent ensuite dans la chambre de Maximilien.
Je me retrouve au centre des deux, à genoux, avec deux grosses queues entre mes doigts.
Ils me laissent les sucer pendant très longtemps, je ne suis pas pressé qu'ils m'enculent.
C'est Isidore qui me redresse en premier, il m'embrasse tendrement pendant que Maximilien cherche mon anus en y déposant de la salive.
Il m'investit de son gros membre en me faisant gémir dans la bouche de son ami, que j'enlace de mes bras.
Isidore me tient par les hanches pour que j'encaisse mieux les assauts lents mais puissants de son frère de sexe.
Mon anus hyper sensibilisé produit son effet, mon cul est submergé de plaisir.
Je joui déjà entre les lèvres de mon amant préféré. Ce moment est doux et pervers.
Isidore quitte mes lèvres et m'offre à son ami qui sort de mon cul pour m'embrasser, Isidore le remplace et me fait l'amour analement.
Je joui comme jamais, les deux complices m'offrent un long moment de tendresse et de perversité, me passant de l'un à l'autre continuellement, je multiplie les orgasmes.
Puis, les assauts deviennent plus sauvages, c'est Isidore qui me plie en deux le premier, en me reculant pour que je suce son ami.
Cela ne dure que peu de temps, il me colle contre le lit de Maximilien en m'enculant comme une salope.
J'hurle mon plaisir, et reprend mes hurlements quand Maximilien me défonce à son tour!
Ils usent de mon cul comme d'un défouloir sexuel.
Ils m'amènent jusqu'à l'extase anal, c'est Isidore qui éjacule en premier en s'agrippant à mes épaules, cambré en arrière.
Maximilien prend la suite et l'imite plus de cinq minutes plus tard.
Isidore qui s'est assis sur le tapis de sol en regardant la défonce de son ami sur moi, est excité par la vue de mon anus éclaté et béant.
Maximilien qui s'assied lui aussi, à bout de force, lui dit:"On lui a encore bien éclaté le cul à ta salope!".
Je ne bouge plus et peu à peu, je ne les entends plus qui commentent leur défonce anale.
Je ne sens pas non plus, leurs spermes me couler le long des jambes.
"Mais? Il dort! Ma parole!".
Maximilien dit à Isidore:"On va le laisser, avec ce qu'il a encaissé, il l'a mérité!".
Ils vont dans le salon, et passe le temps à discuter et manger des fruits.
Une heure après, j'émerge, je mets du temps à reconnaitre l'endroit, puis la sensation d'écartèlement de mon anus, me ramène au moment présent.
Ca y est, je me souviens, je viens de me faire casser l'anus, mais ou sont mes bourreaux? je les entends alors plaisanter sur mon cul.
Je les rejoins, nu comme un ver, avec les jambes souillées par leurs foutres.
"Ca va? Bébé?".
"Ca va! Et vous? Vous êtes contents de vous?".
Maximilien réponds: "C'est toujours meilleur à chaque fois avec toi! On s'est régalés!".
Isidore arbore un sourire heureux et complice, il est fier de sa salope!
"Bon, Maximilien! je vais effacer vos dégâts dans mon cul, a tout à l'heure! Aïe! Ouhhhh!".
Ils rient en me voyant aller à la douche en me tenant les fesses.
De retour, ils me proposent de m'emmener visiter une plage qu'ils adorent.
J'empreinte un short à Maximilien et nous terminons l'après-midi en nous baignant, le sel de l'océan me provoquera des petites brulures à l'anus, ils y sont allés vraiment fort!
Avant de me ramener, ils veulent savoir ce que je vais faire pendant la soirée, je leur explique que je me rend en boite, près de la plage, avec Karim.
"On passera, on aime bien aussi cet endroit! Et on s'amusera encore un peu!".
"Mais, vous en avez jamais assez?".
Isidore ajoute:"Ce sera plus gentil! Tu verras!".
"Ok, mais soyez discrets!".
Mon bermuda étant propre et sec, je me change avant de rentrer.
Karim et moi entrons dans la boite, qui ressemble beaucoup à un bar de plage, à cause de son accès sur l'océan.
On commande nos boissons, personnellement, je ne suis pas fan de la musique antillaise et n'apprécie que les moments Reggae.
Karim cherche une proie féminine potentielle, mais peu d'occasion de conclure jusqu'à ce que je croise le regard d'une jolie antillaise qui me dévisage.
Elle est accompagnée d'une copine, mignonne elle aussi, mais pas à mon gout.
Leur table est assaillie de prétendants qui se font refouler les uns après les autres.
Karim s'en amuse, et me dit:"T'oseras pas y aller! Tu va te faire refouler comme eux!".
Je me lève, et relève le défi, puis vais vers leur table en essayant de rester simple quand je vais les aborder.
Je regarde la plus jolie, en la charmant avec mon sourire:"Bonsoir! Ca vous déranges, si mon ami vient s'assoir ici avec moi?".
Elle me renvoie mon sourire.
"Non, au contraire!".
Karim, comprend qu'il peut me rejoindre quand il me voit m'assoir près de la plus jolie antillaise.
Quand il s'approche, il me tape dans la main discrètement.
Les filles sont très gentilles, mais je les trouvent trop jeunes à mon gout et assez inintéressantes.
Je reste avec Karim et elles, pour qu'il puisse enfin trouver quelqu'un pour occuper son temps et se défouler sexuellement, qui sait!
Je suis conscient que la plus jolie est attirée par moi, mais je ne veux pas entamer une autre relation,A cause de ma maturité, la probabilité qu'elle tombe amoureuse est trop forte.
Lorsqu'elle me touche la main et me fixe du regard en attendant un baiser, je lui glisse dans l'oreille:"J'aurais adoré t'embrasser, tu es tellement jolie, mais j'ai une famille déjà! Merci de t'intéresser à moi! tu me plais beaucoup! je veux pas te faire de mal".
"Merci, tu es franc! C'est dommage pour moi!".
Je remarque les regards des jeunes antillais mâles qui nous détestent déjà, puis je vois arriver Isidore et Maximilien.
Je dépose un baiser sur la joue de la fille et ajoute:"Karim, je vous laisse! Je vais faire un tour sur la plage!".
Je rejoins d'abord mes deux amants au bar, sous le regard charmeur de la belle antillaise.
Isidore me demande:"T'as l'air d'avoir un bon ticket avec elle, pourquoi tu restes pas?".
"Elle est trop jeune! je vais lui faire l'amour comme d'habitude et elle va tomber amoureuse, je veux plus faire de mal aux filles comme ça!".
"Ben, baises la! Ne lui fais pas l'amour! C'est simple!".
"J'y arrive pas avec une inconnue! C'est mon problème!".
"T'es bizarre! C'est la première fois que j'entends ça!".
"Je sais, au début, j'ai fait craquer trois filles à la suite qui ont tenté de se suicider quand je leur ai dit que j'étais avec Lisa, ma femme. Quelques fois, il vaut mieux ne pas trop donner!".
"Ah, ouais, mais, moi aussi, alors! Je suis une de tes victimes!".
Je souris.
"Idiot, moins fort!".
Il s'approche de mon oreille:"Si tu me montrais comme tu aimes ma queue en me suçant quelque part?".
"Ou?".
"On va sur la plage, on verra!".
On s'éloigne pour trouver un coin boisé loin des regards, en croisant des prétendants des deux filles.
Ils m'insultent en antillais, Isidore me traduit qu'il ont pas aimé que les filles me préfère a eux!
Derrière un arbre, enfoncé dans le petit bois, il déballe sa longue bite, que je suce avec amour de longues minutes, pour le faire éjaculer dans ma gorge.
Il me dit qu'il m'aime et comprend mes "victimes".
J'avale son sperme avec gourmandise, puis une fois terminé, il me dit:"Restes là, je t'envoie Maximilien!".
J'attend presque dix minutes avant de voir arriver Maximilien, mais il est accompagné d'un inconnu métis et trapu.
"Qu'est ce que...!".
"Chht, on se connait! Allez suces moi!".
L'inconnu se débarrasse de son bermuda coloré et me caresse le cul pendant que Maximilien me baise la bouche.
Le métis me lèche l'anus, puis se relève pour m'enculer. Très vite, il se déchaine en moi.
Je pense à la jolie antillaise, si elle me voyait dans cette position, elle ne m'apprécierai plus autant.
Je joui analement sans cesse encore de longues minutes jusqu'à l'explosion du métis dans mon cul.
Il reste en moi, jusqu'à ce que Maximilien m'offre son foutre à avaler.
J'espère alors que mes cris d'orgasme anal et les gémissements de mes amants n'ont attiré personne.
Nous nous remettons en ordre tous les trois, Maximilien dit à son copain:"Tu vois que t'allais bien t'éclater, il est super, cette salope!".
"Ouais, je confirme! c'était super bon! Merci! tu t'appelles comment?".
"Patrick!".
"Merci alors, Patrick!".
On retourne au bar dancing, je vois Maximilien et Isidore, parler de nos ébats avec le métis.
Puis, en début de matinée, je rentre avec Karim, qui est content d'avoir enfin accroché avec l'autre fille.
Il concrétisera avec elle, ce qui lui sera utile pour la suite quand je rentrerai en France.
"Je vais chez Maximilien! le copain d'Isidore! Si ça te dit, on va ensemble, ce soir à la boite en bord de mer?".
"Ok, moi je crois que je vais aller en ville! Qui sait? Je peux trouver une gonzesse! Va savoir!".
Maximilien arrive, je le rejoins, l'esprit tranquille, la probabilité que Karim devine qu'il me baise avec Isidore est vraiment trop faible.
Dans la voiture, Maximilien attire ma main sur sa bite.
"On va bien s'amuser, ma petite salope!".
Le programme est annoncé!
Il imprime à ma main un mouvement de masturbation, je comprends que je dois le branler discrètement pendant qu'il conduit.
"Tu sais qu'Isidore t'aime vraiment beaucoup pour te laisser me baiser? Je le fais aussi pour lui faire plaisir!".
"Je sais, c'est mon ami! C'est mon frère! Et toi? Tu sais qu'il t'aime?".
"Oui! Je le mérites pas! D'ailleurs! Tu l'as connu comment?".
Il rit en racontant:"On baisait le même jeune hindou à la plage, on s'amusait avec son cul et sa bouche à tour de rôle, en déconnant! Après, à chaque fois qu'on se voyait là-bas, on se parlait, et on est devenus des frères! On partage tout maintenant!".
"Et avec ta femme, ça va?".
"Mieux qu'Isidore! Mais je préfère les garçons, moi aussi! On aime les petits culs blanc comme toi, ici!".
"Pourquoi?".
"C'est excitant de mettre notre boudin noir dans votre cul tout rose! Ouhhh, arrêtes de me branler, j'arrive plus à conduire!".
Je quitte son gros membre d'ébène, puis on se gare devant une maison simple, mais typique, entourée de plantes exotiques.
Il me fait entrer, je commence à avancer dans le couloir, il me retient par les hanches en collant mes fesses contre sa bite en érection.
"Maximilien! Déjà?".
"Oui, viens dans la cuisine!".
Il me plaque au dessus de sa cuisinière, puis baisse mon bermuda.
Il ouvre le réfrigérateur, il ressort son doigt couvert d'un morceau de beurre, qu'il m'insert dans l'anus.
"Oh, Maximilien! toi aussi! T'es dingue!".
"Ouais, et t'aime ça, non? Ma belle salope blanche!".
"Oui!".
Son énorme sexe, plus long et large que celui d'Isidore, commence sa destruction de mon cul, mon œillet s'écartèle lentement, sous ses poussées.
Il me maintient fermement par le haut des fesses, son gros pieu s'enfonce en dévastant mon anus.
"Arhhhhhhhhhhhhhhh, Maximilien! Tu es gros, arhhhhhhhhhh!".
"Oui, mais c'est ce que tu aimes? Non? Tu aimes le gros boudin Antillais!".
"Oh, putain, oui, arhhhh! C'est tellement rare pour moi, je veux en profiter, défonces-moi! Casses-moi le cul! Arhhhhhhhhhhh!".
Je n'aurai peut être pas dû dire ces mots, puisqu'il se déchaine en me soulevant à chaque assaut, je suis entre la douleur et l'orgasme anal.
Je sais que cela ne va pas durer et que mon virage anal va s'ouvrir pour le recevoir jusqu'à la base.
Ce moment est magique, il se plante bien au fond de moi en râlant très fort.
"Arrhhhh, salope, t'es le seul mec que j'encule aussi profondément! Ahh, c'est génial".
Il amplifie ses assauts, et à chaque fois qu'il bute contre mon os, il insiste pour s'enfoncer à nouveau entièrement.
"Maximilien! arrêtes! Tu vas me faire couler, arhhhh, j'ai déjà joui deux fois!".
"Vas y salope, coules! Laisse toi aller!".
Mes cuisses s'écrasent contre sa cuisinière, ma queue arrose la porte de son four à chaque assaut.
Comme Isidore, mes écoulements l'excitent, je joui en inondant le sol en essayant de me tenir contre le mur devant moi, profondément écartelé par l'énorme queue de Maximilien, qui me déchire le cul.
"Arhhhh, Putain! Maximilien! tu me vides! arhhhhhhhhhhhhh!".
Je ne l'ai jamais vu aussi déchainé, il profite de l'absence de son ami pour abuser de moi comme il a envie.
Mon orgasme retombe, je me fais de la place pour me poser, mon torse s'étale sur la cuisinière, mon cul est toujours assailli par Maximilien!
"Maximilien! Tu m'as vidé! J'ai trop joui! Arrêtes!".
"Non, j'ai pas fini!".
Je subis ses assauts incessants, il m'arrache plusieurs orgasmes malgré moi.
Sa grosse queue fait des bruits de claquements dans mon cul qui se mêlent aux tintements des casseroles qui s'entrechoquent.
Je suis épuisé de jouissance anale, il a réussi à me faire gicler encore quelques petits jets, tout au long de sa très longue défonce de mon cul.
C'est une délivrance pour moi quand il annonce enfin son éjaculation, ses assauts sont plus courts et profonds, il se déverse en moi longuement.
J'encaisse son plaisir comme une poupée morte.
Il recule en me laissant un trou béant et poisseux, sa longue bite pend entre ses jambes, couverte de beurre fondu et le gland dégoulinant de foutre.
"Ouah, je t'ai bien éclaté ton petit cul de salope blanche!".
Il est fier de lui, et de sa destruction anale, il prend une serviette pour s'essuyer la bite comme pour effacer son méfait.
J'arrive toujours pas à me relever, il m'a réellement détruit le cul, j'essaie de serrer mon muscle anal, mais le seul résultat est faire couler son foutre hors de mon anus qui reprend son écartèlement.
Je parviens à lui demander à bout de force:"Maximilien! Comment, je vais faire pour tout à l'heure? Tu m'as tout pris!".
"Mais non, salope! Tu verras que tu vas quand même encaisser!".
Je me redresse très lentement, le sperme s'écoule d'un trait sur mon bermuda entre mes pieds.
"Eh, merde! Il manquait plus que ça!".
Maximilien s'esclaffe de rire! Fier de son acte. Il me tend sa serviette, je m'essuie l'anus comme je peux, la présence du gras du beurre est désagréable.
"Je peux me laver? s'il te plait?".
"Bien sur, mon petit Patrick, Viens, je vais me doucher avec toi!".
Il me lave les fesses avec douceur, puis me laisse lui laver la bite longuement, je le suce ensuite par gourmandise.
Puis il m'annonce:"Allez! On retourne dans la cuisine!".
"Encore! Tu vas m'enculer?".
"Ah ah, mais non! Je vais préparer à manger!".
J'ai un soupir de soulagement.
Je lui sers de commis, je lui fais part de mon gout modéré pour les épices.
"Ah, oui, c'est vrai! T'es Métropolitain! Je vais en mettre un peu moins! Ca, ça me déranges pas! Ce qui compte, c'est que je puisse tout te mettre dans le cul! Ah ah ah!".
En me posant une main aux fesses.
Je souris, c'est vrai qu'il m'a mis la dose, le bougre!
On déguste ensemble son délicieux repas, avec Isidore qui nous a rejoint avec un peu de retard.
"Alors, ça s'est bien passé, vous deux?".
"Ah, si tu savais ce que je lui ai mis! Mon frère! Oh là là, Il encaisse bien ton petit pédé blanc!".
"Ca va? Bébé?".
"Je sens plus mon cul! Il m'a tout pris! Il faut que je mange, là!".
Il m'attrape la bouche pour m'embrasser et me dit tendrement:"Je suis fier de toi, mon amour! Manges autant que tu veux!".
Je trouve la situation étrange, mais je dévore volontiers le plat que Maximilien a cuisiné.
On déguste ensuite un délicieux ananas et une banane, ils s'excitent en me regardant la manger.
Puis ils me proposent un verre de rhum que je refuse, n'appréciant pas les alcools puissants, mais j'accepte un café.
ils m'emmènent ensuite dans la chambre de Maximilien.
Je me retrouve au centre des deux, à genoux, avec deux grosses queues entre mes doigts.
Ils me laissent les sucer pendant très longtemps, je ne suis pas pressé qu'ils m'enculent.
C'est Isidore qui me redresse en premier, il m'embrasse tendrement pendant que Maximilien cherche mon anus en y déposant de la salive.
Il m'investit de son gros membre en me faisant gémir dans la bouche de son ami, que j'enlace de mes bras.
Isidore me tient par les hanches pour que j'encaisse mieux les assauts lents mais puissants de son frère de sexe.
Mon anus hyper sensibilisé produit son effet, mon cul est submergé de plaisir.
Je joui déjà entre les lèvres de mon amant préféré. Ce moment est doux et pervers.
Isidore quitte mes lèvres et m'offre à son ami qui sort de mon cul pour m'embrasser, Isidore le remplace et me fait l'amour analement.
Je joui comme jamais, les deux complices m'offrent un long moment de tendresse et de perversité, me passant de l'un à l'autre continuellement, je multiplie les orgasmes.
Puis, les assauts deviennent plus sauvages, c'est Isidore qui me plie en deux le premier, en me reculant pour que je suce son ami.
Cela ne dure que peu de temps, il me colle contre le lit de Maximilien en m'enculant comme une salope.
J'hurle mon plaisir, et reprend mes hurlements quand Maximilien me défonce à son tour!
Ils usent de mon cul comme d'un défouloir sexuel.
Ils m'amènent jusqu'à l'extase anal, c'est Isidore qui éjacule en premier en s'agrippant à mes épaules, cambré en arrière.
Maximilien prend la suite et l'imite plus de cinq minutes plus tard.
Isidore qui s'est assis sur le tapis de sol en regardant la défonce de son ami sur moi, est excité par la vue de mon anus éclaté et béant.
Maximilien qui s'assied lui aussi, à bout de force, lui dit:"On lui a encore bien éclaté le cul à ta salope!".
Je ne bouge plus et peu à peu, je ne les entends plus qui commentent leur défonce anale.
Je ne sens pas non plus, leurs spermes me couler le long des jambes.
"Mais? Il dort! Ma parole!".
Maximilien dit à Isidore:"On va le laisser, avec ce qu'il a encaissé, il l'a mérité!".
Ils vont dans le salon, et passe le temps à discuter et manger des fruits.
Une heure après, j'émerge, je mets du temps à reconnaitre l'endroit, puis la sensation d'écartèlement de mon anus, me ramène au moment présent.
Ca y est, je me souviens, je viens de me faire casser l'anus, mais ou sont mes bourreaux? je les entends alors plaisanter sur mon cul.
Je les rejoins, nu comme un ver, avec les jambes souillées par leurs foutres.
"Ca va? Bébé?".
"Ca va! Et vous? Vous êtes contents de vous?".
Maximilien réponds: "C'est toujours meilleur à chaque fois avec toi! On s'est régalés!".
Isidore arbore un sourire heureux et complice, il est fier de sa salope!
"Bon, Maximilien! je vais effacer vos dégâts dans mon cul, a tout à l'heure! Aïe! Ouhhhh!".
Ils rient en me voyant aller à la douche en me tenant les fesses.
De retour, ils me proposent de m'emmener visiter une plage qu'ils adorent.
J'empreinte un short à Maximilien et nous terminons l'après-midi en nous baignant, le sel de l'océan me provoquera des petites brulures à l'anus, ils y sont allés vraiment fort!
Avant de me ramener, ils veulent savoir ce que je vais faire pendant la soirée, je leur explique que je me rend en boite, près de la plage, avec Karim.
"On passera, on aime bien aussi cet endroit! Et on s'amusera encore un peu!".
"Mais, vous en avez jamais assez?".
Isidore ajoute:"Ce sera plus gentil! Tu verras!".
"Ok, mais soyez discrets!".
Mon bermuda étant propre et sec, je me change avant de rentrer.
Karim et moi entrons dans la boite, qui ressemble beaucoup à un bar de plage, à cause de son accès sur l'océan.
On commande nos boissons, personnellement, je ne suis pas fan de la musique antillaise et n'apprécie que les moments Reggae.
Karim cherche une proie féminine potentielle, mais peu d'occasion de conclure jusqu'à ce que je croise le regard d'une jolie antillaise qui me dévisage.
Elle est accompagnée d'une copine, mignonne elle aussi, mais pas à mon gout.
Leur table est assaillie de prétendants qui se font refouler les uns après les autres.
Karim s'en amuse, et me dit:"T'oseras pas y aller! Tu va te faire refouler comme eux!".
Je me lève, et relève le défi, puis vais vers leur table en essayant de rester simple quand je vais les aborder.
Je regarde la plus jolie, en la charmant avec mon sourire:"Bonsoir! Ca vous déranges, si mon ami vient s'assoir ici avec moi?".
Elle me renvoie mon sourire.
"Non, au contraire!".
Karim, comprend qu'il peut me rejoindre quand il me voit m'assoir près de la plus jolie antillaise.
Quand il s'approche, il me tape dans la main discrètement.
Les filles sont très gentilles, mais je les trouvent trop jeunes à mon gout et assez inintéressantes.
Je reste avec Karim et elles, pour qu'il puisse enfin trouver quelqu'un pour occuper son temps et se défouler sexuellement, qui sait!
Je suis conscient que la plus jolie est attirée par moi, mais je ne veux pas entamer une autre relation,A cause de ma maturité, la probabilité qu'elle tombe amoureuse est trop forte.
Lorsqu'elle me touche la main et me fixe du regard en attendant un baiser, je lui glisse dans l'oreille:"J'aurais adoré t'embrasser, tu es tellement jolie, mais j'ai une famille déjà! Merci de t'intéresser à moi! tu me plais beaucoup! je veux pas te faire de mal".
"Merci, tu es franc! C'est dommage pour moi!".
Je remarque les regards des jeunes antillais mâles qui nous détestent déjà, puis je vois arriver Isidore et Maximilien.
Je dépose un baiser sur la joue de la fille et ajoute:"Karim, je vous laisse! Je vais faire un tour sur la plage!".
Je rejoins d'abord mes deux amants au bar, sous le regard charmeur de la belle antillaise.
Isidore me demande:"T'as l'air d'avoir un bon ticket avec elle, pourquoi tu restes pas?".
"Elle est trop jeune! je vais lui faire l'amour comme d'habitude et elle va tomber amoureuse, je veux plus faire de mal aux filles comme ça!".
"Ben, baises la! Ne lui fais pas l'amour! C'est simple!".
"J'y arrive pas avec une inconnue! C'est mon problème!".
"T'es bizarre! C'est la première fois que j'entends ça!".
"Je sais, au début, j'ai fait craquer trois filles à la suite qui ont tenté de se suicider quand je leur ai dit que j'étais avec Lisa, ma femme. Quelques fois, il vaut mieux ne pas trop donner!".
"Ah, ouais, mais, moi aussi, alors! Je suis une de tes victimes!".
Je souris.
"Idiot, moins fort!".
Il s'approche de mon oreille:"Si tu me montrais comme tu aimes ma queue en me suçant quelque part?".
"Ou?".
"On va sur la plage, on verra!".
On s'éloigne pour trouver un coin boisé loin des regards, en croisant des prétendants des deux filles.
Ils m'insultent en antillais, Isidore me traduit qu'il ont pas aimé que les filles me préfère a eux!
Derrière un arbre, enfoncé dans le petit bois, il déballe sa longue bite, que je suce avec amour de longues minutes, pour le faire éjaculer dans ma gorge.
Il me dit qu'il m'aime et comprend mes "victimes".
J'avale son sperme avec gourmandise, puis une fois terminé, il me dit:"Restes là, je t'envoie Maximilien!".
J'attend presque dix minutes avant de voir arriver Maximilien, mais il est accompagné d'un inconnu métis et trapu.
"Qu'est ce que...!".
"Chht, on se connait! Allez suces moi!".
L'inconnu se débarrasse de son bermuda coloré et me caresse le cul pendant que Maximilien me baise la bouche.
Le métis me lèche l'anus, puis se relève pour m'enculer. Très vite, il se déchaine en moi.
Je pense à la jolie antillaise, si elle me voyait dans cette position, elle ne m'apprécierai plus autant.
Je joui analement sans cesse encore de longues minutes jusqu'à l'explosion du métis dans mon cul.
Il reste en moi, jusqu'à ce que Maximilien m'offre son foutre à avaler.
J'espère alors que mes cris d'orgasme anal et les gémissements de mes amants n'ont attiré personne.
Nous nous remettons en ordre tous les trois, Maximilien dit à son copain:"Tu vois que t'allais bien t'éclater, il est super, cette salope!".
"Ouais, je confirme! c'était super bon! Merci! tu t'appelles comment?".
"Patrick!".
"Merci alors, Patrick!".
On retourne au bar dancing, je vois Maximilien et Isidore, parler de nos ébats avec le métis.
Puis, en début de matinée, je rentre avec Karim, qui est content d'avoir enfin accroché avec l'autre fille.
Il concrétisera avec elle, ce qui lui sera utile pour la suite quand je rentrerai en France.
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