Fantasme bi au clair de lune (1. Fantasme)
Récit érotique écrit par Bi-Tonio [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2007 dans la catégorie Plus on est
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Fantasme bi au clair de lune (1. Fantasme)
Fantasme bi au clair de lune
Prologue
J’espère que tu prendras autant ton pied à lire ce récit que j’en ai eu à l’écrire en me remémorant cette chaude nuit. Je ne l’ai pas montré à me femme, mais elle en a indirectement profité, parce que je n’ai pas débandé pendant toute la période ou je l’ai écrit et la fréquence et l’intensité de nos parties de baise en ont été démultipliées en conséquence.
1. Fantasme
La journée a été longue, comme souvent dans mes voyages d’affaires, mais je n’ai pas sommeil. Je suis étendu à poil sur le lit king-size de ma chambre d’hôtel 5 étoiles, avec la pleine lune comme seul éclairage de la chambre par la fenêtre ouverte sur la mer.
Je suis un mec bien sous tous rapports, un mètre quatre-vingt cinq, blond, les yeux bleus, pas Brad Pitt, mais avec une petite ressemblance tout de même. Je m’occupe bien de mon corps, je suis bien dans ma peau et dans mes couilles. Je m’entends super bien avec ma femme sur tous les plans, les idées, les goûts, le mode de vie, les amis, la baise. C’est une femme vraiment belle, avec ce qu’il y a de mieux là ou il faut. En plus, elle a de l’humour et elle est complètement décomplexée. J’aime ça. Nos parties de baise en sont le reflet. La nature m’a pourvu d’une longue bite de gros calibre et d’une bonne grosse paire de couilles très pendantes, qu’elle aime prendre bien à fond dans sa bouche presque à les avaler. Me faire sucer les couilles et la bite est un de mes plaisirs favoris, et elle y met une ardeur qui me comble. De son coté, elle est très vite excitable. Son clito est extrêmement érectile et sa vulve mouille dès que mes doigts et ma langue la travaille un peu. C’est donc dans les meilleures conditions que je peux ensuite l’enfiler. Mais elle sait aussi m’offrir son cul quand j’ai envie de l’enculer, ce qui me prends de temps en temps pour varier les plaisirs. Je suis donc un mec comblé, et je n’ai pas de mérite à être fidèle à ma femme.
Mais comme tout le monde, j’ai aussi mes fantasmes. Celui qui me fais bander le plus intensément est de sucer la bite d’un mec pendant que je me fais sucer la mienne. Se serait le pied géant de savoir quelle sensation et quel goût procurent les deux actions conjuguées. Mais ça ne me gène pas que ce fantasme ne reste qu’un fantasme. Je n’aurais pas envie de me faire un mec pour l’assouvir, et surtout, je ne voudrais pas que mon petit cul étroit se fasse bourrer par une bite étrangère. Ca, ce n’est pas du tout mon fantasme!
Ainsi allongé mollement sur ce lit, je me branle doucement pour me détendre, sans penser à rien. Je ne suis pas circoncis. En faisant coulisser la peau de mon membre, le va et vient de mon poignet fait apparaître et disparaître mon gland, ce qui me procure une sensation de bien-être jouissif. Mais il fait assez chaud et humide, je suis moite et il me vient une envie de boire quelque chose de frais. Je me glisse en bas du lit, enfile le peignoir de bain suspendu dans le dressing, et sors de ma chambre pour atteindre l’automate à boissons au bout du couloir.
La sensation de moelleux du tissus éponge qui frotte agréablement mon sexe et de mes burnes qui glissent doucement sur mes cuisses quand je marche contribuent à entretenir mon érection qui pointe effrontément sous le peignoir. Juste avant que je passe devant la troisième porte après celle de ma chambre, elle s’ouvre et une femme se glisse dans le couloir dans la même direction que moi. Sa silhouette se détache dans la lumière crue du corridor au tapis épais, et me coupe le souffle. Elle ne porte qu’un léger déshabillé semi-transparent ultra court, qui laisse plus apparaître qu’il ne cache. Elle pensait probablement elle aussi atteindre l’automate à boissons sans rencontrer personne à cette heure de la nuit. De dos, elle n’a rien à envier à un mannequin. De longs cheveux noirs, des longues jambes au galbe parfait, et un cul de reine aux fesses musclées. Entendant mon pas dans son sillage, juste avant d’atteindre le distributeur elle se retourne à moitié, légèrement surprise, et je peux vérifier que son déshabillé n’est fermé sur le devant que par un seul ruban lâche. Son regard scan ma personne de haut en bas et coule un regard plus insistant à la hauteur de mon sexe. Je me rends compte que mon érection est très visible sous le peignoir, renforcée par ce que je suis en train de mater: Le coté face de cette inconnue est encore plus bandant que le coté pile. Elle a un visage à damner un saint, quasiment sosie de Jennifer Lopez. Les tétons de ses seins de bronze aux larges aréoles foncées transpercent presque la fine toile transparente de son déshabillé qui couvre à peine la toison noire de sa chatte qu’elle essaye aussi discrètement que vainement de cacher entre ses longues cuisses cuivrées. Plus vite revenue de sa surprise que moi, elle me lance: «Toi aussi la moiteur de cette nuit t’as donné des envies, mon grand? ». Comme je suis un mec cool et sans complexes, je réponds: «J’avais la gorge sèche, mais te mater me laisse langue pendante. Une bouteille d’eau ne va pas suffire à l’hydrater, pas plus que de la verser sur ma queue ne suffira à la calmer». Avec un petit sourire en coin, elle plaisante: «Moi qui croyait que tu cachais une bouteille de coca sous ton peignoir, je suis choquée». Nous tirons chacun une boisson, et je la laisse repartir en premier en direction de sa chambre, frottant la bouteille glacée le long de ma bite pour la décongestionner. Je sens un peu de sueur perler au creux de mes reins dont une goutte s’échappe et roule entre mes fesses.
J’arrive à la hauteur de sa porte qu’elle n’a qu’à moitié franchie, et elle me fait: «Comme la pleine lune a l’air de te faire autant d’effet qu’à nous, viens te payer un peu de bon temps dans notre chambre, beau morceau», sur quoi elle tend sa main libre vers moi, agrippe ma queue et mes couilles sous le peignoir et me tire dans la pénombre de la chambre. Là, j’ai comme un doute: Nous? Notre chambre ? où est ce que je mets les pieds et la queue?
Elle lâche mes burnes en feu, fait tomber mon peignoir, détache le ruban qui retient son déshabillé et se glisse dans mon dos. Elle colle son ventre, ses seins et son vagin moites contre mon dos et me pousse gentiment vers le grand lit que je commence à distinguer à la lumière blafarde diffusée par la lune. Malgré la fenêtre ouverte, l’atmosphère est torride. Je sens les poils de son pubis qui me caressent les fesses et le bout de ses seins qui suintent contre mon dos. Elle passe un bras le long de la raie de mon cul, glisse sa main entre mes cuisses et saisit à nouveau à pleine main mon manche qu’elle tire vers l’arrière. Je suis totalement en rut. Je me laisse pousser à quatre pattes en travers du lit, la main de Jennifer Lo toujours solidement arrimée à mes testicules et à mon membre prêt à exploser, son autre main m’ébouriffant les cheveux depuis l’arrière, et sa bouche collée à mon cou, juste à la racine de mon oreille. Je suis si excité que j’ai du mal à penser. Je distingue tout de même de l’autre coté du lit une forme allongée sur le dos droit devant mon nez qui dit d’une voix ensommeillée: «tu as ramené quelque chose à se mettre sous la dent?» «j’ai mieux que ça» répond Jenny d’un ton rauque et elle allume une lampe de chevet. Le jeune éphèbe qui est vautré nu sur les oreillers les cuisses légèrement écartées ouvre un œil, et après avoir apprécié la scène, sourit d’un air assez lubrique. C’est un grand latino à la peau matte, musclé en carrés de chocolat avec des cuisses et des bras de sportif accompli, une gueule à la Antonio Banderas. Il est entièrement épilé, a l’exception de sa chevelure noire en désordre et d’une toison bien taillée qui boucle au dessus de la base de la longue et grosse bite couleur café qui repose sagement sur ses cuisses, entre lesquelles pendent de copieuses burnes un peu à l’étroit dans leur enveloppe de peau bistre. «Salut Brad Bite», il me fait, «tu m’as l’air d’avoir des ressources! On vient de finir de baiser, mais si t’es partant, on peut remettre ça à trois». Là, je me dis: eh mon vieux c’est ton fantasme qui te tends les bras, et je fais: «Ca pourrait se faire, Antonio Bande Dur, tringler ta J Lo et sucer ta belle queue c’est mon fantasme, j’en salive déjà».
Je sens la chevelure soyeuse de J Lo glisser de mes épaules vers mon torse lorsqu’elle se décolle de mon dos, libère ma queue, et se glisse sur le lit à l’envers, sa tête renversée maintenant à hauteur de la mienne. Je me laisse aller sur le côté et soude un instant sa bouche inversée à la mienne, mais elle m’échappe et commence à me lécher le cou en descendant lentement le long de ma poitrine. Comme elle a les bras passés au dessus de la tête, ses mains ont pris de l’avance et caressent déjà fermement le contour des muscles de mes fesses. Ses seins gonflés aux aréoles dilatées me passent devant les yeux. Je les happe à pleine bouche et les suce goulument. Sa langue s’arrête aussi un peu pour mouiller et titiller mes tétons durcis, puis continue de descendre insidieusement le long de mon ventre aux muscles contracté. Sa langue fouille mon nombril et le rempli de salive pendant qu’elle m’arrache quelques poils avec les dents et que ses ongles m’enserrent déjà le gland et s’enfoncent dans la peau de mes couilles. Je suis au bord de la syncope. Mes mains moites sont arrivées au niveau de son fessier généreux, les doigts des deux mains réunis dans la raie de son cul tirant pour écarter ses fesses épanouies que mes paumes malaxent. Ma bouche est à hauteur de sa vulve à l’odeur puissante de moule qui émerge des poils noirs de sa toison bouclée et dont les lèvres largement offertes se gonflent en rythme avec sa respiration haletante et suintent de façon tout à fait obscène. Enivré par les effluves de son vagin, j’y plonge le nez, la bouche, la langue, et m’y vautre sans retenue, suçant à pleine bouche et lapant le suc qui suinte de sa vulve et qui se mélange à ma salive. L’entendre gémir de plaisir me stimule encore plus, mais mon attention est détournée lorsque je sens pendant quelques secondes son haleine chaude sur ma bite avant qu’elle ne fasse doucement glisser mon gland entre ses lèvres entrouvertes, sans relâcher la prise de ses doigts autour de l’attache de mes couilles, fourrageant les poils humides de mon sac et de mon cul de son autre main. Puis elle commence à m’aspirer à l’intérieur de sa gorge avec un mouvement en spirale de sa langue qui manque me faire chavirer. Elle a plaqué une main sur mes fesses tendues et, aidée par le flot de sueur qui me mouille le dos et a coulé entre mes fesses, elle enfonce lentement son index dans le trou de mon cul qui du coup se relâche pour l’accueillir. De mon côté, j’empale ma bouche sur son clitoris qui me semble d’une taille démesurée et qui me fais soudain penser à mon fantasme. Je réalise alors que Tonio a roulé près de nous deux, sa tête presque contre la mienne, et qu’il me susurre à l’oreille: «eh, Brad Bite, laisse en pour moi, et occupe toi plutôt de mon gland orphelin». Il me prend par les épaules et me tire doucement en arrière, arrachant de la moule ouverte de J Lo ma bouche dégoulinante pour la présenter à sa verge qui maintenant présente une érection spectaculaire. Sa queue légèrement cambrée a plus que doublé de volume et doit mesurer au moins18 centimètres de long. Le gland turgescent d’un brun plus foncé est énorme et luisant. Il en a déjà suinté un peu de liquide qui forme une goutte transparente en son sommet. L’odeur épicée de son membre tendu me dilate les narines. Je saisis religieusement ce monolithe et l’approche de ma bouche haletante. Une grosse veine court sur toute sa longueur, et je la sens battre dans ma main. Je commence par promener délicatement ma langue autour de la base du gland qui réagit en gonflant encore un peu plus, puis je lèche le jus au gout acidulé qui en perle. Je sens ses fesses musclées se contracter et son bassin se tendre vers moi.
Un frisson délicieux me contracte les couilles et court le long de ma bite. J’imagine la vision que doit procurer le triangle formé par nos trois corps, Tonio Bandeur en train de branler le clito de J Lo avec sa langue, pendant qu’elle ramone mon membre aux poils blonds avec assiduité et que je suce avec avidité le monstrueux gland du métisse.
Ma main trouve ses lourdes couilles imberbes et pleines que je soupèse avant de les attirer vers ma bouche et de les lécher copieusement. De mon autre main, je commence à caresser l’espace de peau qui les sépare du trou de son cul. il écarte les cuisses, lève un peu son bassin et ouvre ses fesses dont les muscles sont maintenant relâchés. Du coin de l’œil, je vois que ses mains à lui ne sont pas inactives non plus. Il travaille les tétons de Jenny, les pinçant délicatement entre ses doigts et les étirant en tous sens, pendant qu’il continue de fouiller sa chatte et de faire vibrer son clitoris. De son coté, elle est en train de lécher ma biroute sur toute sa longueur, une main emprisonnant toujours mes burnes prêtes à exploser, l’autre bien calée dans la raie de mon cul, avec l’index qui me branle énergiquement le trou de balle en cadence. A mon tour, je fais glisser mon index fébrile jusqu’à la fleur de l’anus mouillé de sueur du beau latino et le lui enfonce sans peine bien profond en un mouvement vissé. Nous sommes tous deux dans la même enviable situation. Je fais à Tonio tout ce que Jenny me prodigue et je peux vivre avec mes doigts, ma langue, et dans ma bouche, tout ce que ma biroute congestionnée, mes testicules enflammés et mon cul dilaté ressentent sous ses caresses. Tous les trois nous laissons échapper des soupirs d’aise et d’excitation. La bouche pleine de ma bite, Jennifer me pompe le gland tout en le massant de sa langue. J’ai appuyé mon cul sur sa main si bien que son index est enfoncé à fonds et m’excite la prostate. Tout mon corps est bandé comme un arc. J’ai l’impression de n’être qu’une immense bite tellement tendue qu’elle va éclater. Ma bouche peut à peine contenir la moitié de la queue de Bande Dur, et j’ai l’impression que son gland va m’étouffer tant il est enflé. Je le sens battre au rythme de mes succions et mes coups de langue semblent l’électriser comme le mien. Nom de Dieu, je sens que je ne vais pas pouvoir supporter cet état beaucoup plus longtemps, je suis sur le point de découiller. Jennifer pousse un long gémissement, son clito et sa vulve doivent être au paroxysme de l’excitation. Une série de spasmes secouent son corps qui se cambre, et son vagin libère une vague généreuse qui inonde le visage de Tonio encore enfoui dans sa touffe. A son tour, il se raidit, je sens ses fesses se serrer autour de mon doigt et son membre se contracter entre mes lèvres. Puis son gland démesuré explose dans ma bouche, sa purée chaude me gicle dans la gorge et me remplis la bouche. J’étouffe à moitié en avalant son sperme dont je découvre le goût salé et la consistance laiteuse. C’en est trop, je sens partir de mes couilles aussi dures que du bois un flot irrépressible qui monte dans ma queue hypertrophiée jusqu’au gland dilaté à l’extrême, et avec un rugissement rauque je lâche moi aussi une copieuse giclée de foutre dans le gosier de J Lo en un feu d’artifice qui lui coupe le souffle et la force à avaler en hoquetant. Elle se laisse retomber pantelante et en sueur sur le lit, un filet de ma semence coulant de sa bouche jusqu’entre ses seins, éteint la petite lampe et ferme les yeux. Le visage et les cheveux encore mouillés du jus déchargé par Jennifer, Tonio est pourtant le seul à ne pas avoir la bouche dégoulinante de foutre. Il me saisi la queue à pleine main, l’enserre sans serrer trop et se la presse en douceur contre les lèvres pour récupérer quelques gouttes de découille sur sa langue. Ses cheveux m’humectent agréablement l’entre-jambes et quelques gouttes de sa transpiration me coulent le long des couilles. Dans la lumière blafarde de la lune, a mon tour je prends dans ma main sa queue déjà un peu moins dure d’ou suinte encore un peu de sperme épais et en caresse la peau soyeuse, puis je la remets délicatement dans ma bouche encore gluante de foutre et la suce doucement. Maintenant qu’elle est un peu calmée et a repris des proportions plus raisonnables, j’arrive juste à me l’enfourner en entier avec ses couilles, le nez pressé contre ses poils au parfum âcre. La tension retombe lentement. Lorsque nos bites sont calmées malgré nos caresses mutuelles, il regagne ses oreillers et s’y jette de tout son long sur le ventre, les fesses luisantes de sueur au clair de lune. Moi je ne bouge pas, je m’affale sur le dos au bord du lit, les jambes écartées, les pieds posés sur la moquette, les yeux clos. D’une main j’étale la sueur qui trempe mon ventre, ma poitrine et mes cuisses, et je m’en lave la queue collée de sperme séché. Malgré la fenêtre ouverte, une agréable odeur musquée de baise flotte dans la chambre retombée dans une moite pénombre.
Prologue
J’espère que tu prendras autant ton pied à lire ce récit que j’en ai eu à l’écrire en me remémorant cette chaude nuit. Je ne l’ai pas montré à me femme, mais elle en a indirectement profité, parce que je n’ai pas débandé pendant toute la période ou je l’ai écrit et la fréquence et l’intensité de nos parties de baise en ont été démultipliées en conséquence.
1. Fantasme
La journée a été longue, comme souvent dans mes voyages d’affaires, mais je n’ai pas sommeil. Je suis étendu à poil sur le lit king-size de ma chambre d’hôtel 5 étoiles, avec la pleine lune comme seul éclairage de la chambre par la fenêtre ouverte sur la mer.
Je suis un mec bien sous tous rapports, un mètre quatre-vingt cinq, blond, les yeux bleus, pas Brad Pitt, mais avec une petite ressemblance tout de même. Je m’occupe bien de mon corps, je suis bien dans ma peau et dans mes couilles. Je m’entends super bien avec ma femme sur tous les plans, les idées, les goûts, le mode de vie, les amis, la baise. C’est une femme vraiment belle, avec ce qu’il y a de mieux là ou il faut. En plus, elle a de l’humour et elle est complètement décomplexée. J’aime ça. Nos parties de baise en sont le reflet. La nature m’a pourvu d’une longue bite de gros calibre et d’une bonne grosse paire de couilles très pendantes, qu’elle aime prendre bien à fond dans sa bouche presque à les avaler. Me faire sucer les couilles et la bite est un de mes plaisirs favoris, et elle y met une ardeur qui me comble. De son coté, elle est très vite excitable. Son clito est extrêmement érectile et sa vulve mouille dès que mes doigts et ma langue la travaille un peu. C’est donc dans les meilleures conditions que je peux ensuite l’enfiler. Mais elle sait aussi m’offrir son cul quand j’ai envie de l’enculer, ce qui me prends de temps en temps pour varier les plaisirs. Je suis donc un mec comblé, et je n’ai pas de mérite à être fidèle à ma femme.
Mais comme tout le monde, j’ai aussi mes fantasmes. Celui qui me fais bander le plus intensément est de sucer la bite d’un mec pendant que je me fais sucer la mienne. Se serait le pied géant de savoir quelle sensation et quel goût procurent les deux actions conjuguées. Mais ça ne me gène pas que ce fantasme ne reste qu’un fantasme. Je n’aurais pas envie de me faire un mec pour l’assouvir, et surtout, je ne voudrais pas que mon petit cul étroit se fasse bourrer par une bite étrangère. Ca, ce n’est pas du tout mon fantasme!
Ainsi allongé mollement sur ce lit, je me branle doucement pour me détendre, sans penser à rien. Je ne suis pas circoncis. En faisant coulisser la peau de mon membre, le va et vient de mon poignet fait apparaître et disparaître mon gland, ce qui me procure une sensation de bien-être jouissif. Mais il fait assez chaud et humide, je suis moite et il me vient une envie de boire quelque chose de frais. Je me glisse en bas du lit, enfile le peignoir de bain suspendu dans le dressing, et sors de ma chambre pour atteindre l’automate à boissons au bout du couloir.
La sensation de moelleux du tissus éponge qui frotte agréablement mon sexe et de mes burnes qui glissent doucement sur mes cuisses quand je marche contribuent à entretenir mon érection qui pointe effrontément sous le peignoir. Juste avant que je passe devant la troisième porte après celle de ma chambre, elle s’ouvre et une femme se glisse dans le couloir dans la même direction que moi. Sa silhouette se détache dans la lumière crue du corridor au tapis épais, et me coupe le souffle. Elle ne porte qu’un léger déshabillé semi-transparent ultra court, qui laisse plus apparaître qu’il ne cache. Elle pensait probablement elle aussi atteindre l’automate à boissons sans rencontrer personne à cette heure de la nuit. De dos, elle n’a rien à envier à un mannequin. De longs cheveux noirs, des longues jambes au galbe parfait, et un cul de reine aux fesses musclées. Entendant mon pas dans son sillage, juste avant d’atteindre le distributeur elle se retourne à moitié, légèrement surprise, et je peux vérifier que son déshabillé n’est fermé sur le devant que par un seul ruban lâche. Son regard scan ma personne de haut en bas et coule un regard plus insistant à la hauteur de mon sexe. Je me rends compte que mon érection est très visible sous le peignoir, renforcée par ce que je suis en train de mater: Le coté face de cette inconnue est encore plus bandant que le coté pile. Elle a un visage à damner un saint, quasiment sosie de Jennifer Lopez. Les tétons de ses seins de bronze aux larges aréoles foncées transpercent presque la fine toile transparente de son déshabillé qui couvre à peine la toison noire de sa chatte qu’elle essaye aussi discrètement que vainement de cacher entre ses longues cuisses cuivrées. Plus vite revenue de sa surprise que moi, elle me lance: «Toi aussi la moiteur de cette nuit t’as donné des envies, mon grand? ». Comme je suis un mec cool et sans complexes, je réponds: «J’avais la gorge sèche, mais te mater me laisse langue pendante. Une bouteille d’eau ne va pas suffire à l’hydrater, pas plus que de la verser sur ma queue ne suffira à la calmer». Avec un petit sourire en coin, elle plaisante: «Moi qui croyait que tu cachais une bouteille de coca sous ton peignoir, je suis choquée». Nous tirons chacun une boisson, et je la laisse repartir en premier en direction de sa chambre, frottant la bouteille glacée le long de ma bite pour la décongestionner. Je sens un peu de sueur perler au creux de mes reins dont une goutte s’échappe et roule entre mes fesses.
J’arrive à la hauteur de sa porte qu’elle n’a qu’à moitié franchie, et elle me fait: «Comme la pleine lune a l’air de te faire autant d’effet qu’à nous, viens te payer un peu de bon temps dans notre chambre, beau morceau», sur quoi elle tend sa main libre vers moi, agrippe ma queue et mes couilles sous le peignoir et me tire dans la pénombre de la chambre. Là, j’ai comme un doute: Nous? Notre chambre ? où est ce que je mets les pieds et la queue?
Elle lâche mes burnes en feu, fait tomber mon peignoir, détache le ruban qui retient son déshabillé et se glisse dans mon dos. Elle colle son ventre, ses seins et son vagin moites contre mon dos et me pousse gentiment vers le grand lit que je commence à distinguer à la lumière blafarde diffusée par la lune. Malgré la fenêtre ouverte, l’atmosphère est torride. Je sens les poils de son pubis qui me caressent les fesses et le bout de ses seins qui suintent contre mon dos. Elle passe un bras le long de la raie de mon cul, glisse sa main entre mes cuisses et saisit à nouveau à pleine main mon manche qu’elle tire vers l’arrière. Je suis totalement en rut. Je me laisse pousser à quatre pattes en travers du lit, la main de Jennifer Lo toujours solidement arrimée à mes testicules et à mon membre prêt à exploser, son autre main m’ébouriffant les cheveux depuis l’arrière, et sa bouche collée à mon cou, juste à la racine de mon oreille. Je suis si excité que j’ai du mal à penser. Je distingue tout de même de l’autre coté du lit une forme allongée sur le dos droit devant mon nez qui dit d’une voix ensommeillée: «tu as ramené quelque chose à se mettre sous la dent?» «j’ai mieux que ça» répond Jenny d’un ton rauque et elle allume une lampe de chevet. Le jeune éphèbe qui est vautré nu sur les oreillers les cuisses légèrement écartées ouvre un œil, et après avoir apprécié la scène, sourit d’un air assez lubrique. C’est un grand latino à la peau matte, musclé en carrés de chocolat avec des cuisses et des bras de sportif accompli, une gueule à la Antonio Banderas. Il est entièrement épilé, a l’exception de sa chevelure noire en désordre et d’une toison bien taillée qui boucle au dessus de la base de la longue et grosse bite couleur café qui repose sagement sur ses cuisses, entre lesquelles pendent de copieuses burnes un peu à l’étroit dans leur enveloppe de peau bistre. «Salut Brad Bite», il me fait, «tu m’as l’air d’avoir des ressources! On vient de finir de baiser, mais si t’es partant, on peut remettre ça à trois». Là, je me dis: eh mon vieux c’est ton fantasme qui te tends les bras, et je fais: «Ca pourrait se faire, Antonio Bande Dur, tringler ta J Lo et sucer ta belle queue c’est mon fantasme, j’en salive déjà».
Je sens la chevelure soyeuse de J Lo glisser de mes épaules vers mon torse lorsqu’elle se décolle de mon dos, libère ma queue, et se glisse sur le lit à l’envers, sa tête renversée maintenant à hauteur de la mienne. Je me laisse aller sur le côté et soude un instant sa bouche inversée à la mienne, mais elle m’échappe et commence à me lécher le cou en descendant lentement le long de ma poitrine. Comme elle a les bras passés au dessus de la tête, ses mains ont pris de l’avance et caressent déjà fermement le contour des muscles de mes fesses. Ses seins gonflés aux aréoles dilatées me passent devant les yeux. Je les happe à pleine bouche et les suce goulument. Sa langue s’arrête aussi un peu pour mouiller et titiller mes tétons durcis, puis continue de descendre insidieusement le long de mon ventre aux muscles contracté. Sa langue fouille mon nombril et le rempli de salive pendant qu’elle m’arrache quelques poils avec les dents et que ses ongles m’enserrent déjà le gland et s’enfoncent dans la peau de mes couilles. Je suis au bord de la syncope. Mes mains moites sont arrivées au niveau de son fessier généreux, les doigts des deux mains réunis dans la raie de son cul tirant pour écarter ses fesses épanouies que mes paumes malaxent. Ma bouche est à hauteur de sa vulve à l’odeur puissante de moule qui émerge des poils noirs de sa toison bouclée et dont les lèvres largement offertes se gonflent en rythme avec sa respiration haletante et suintent de façon tout à fait obscène. Enivré par les effluves de son vagin, j’y plonge le nez, la bouche, la langue, et m’y vautre sans retenue, suçant à pleine bouche et lapant le suc qui suinte de sa vulve et qui se mélange à ma salive. L’entendre gémir de plaisir me stimule encore plus, mais mon attention est détournée lorsque je sens pendant quelques secondes son haleine chaude sur ma bite avant qu’elle ne fasse doucement glisser mon gland entre ses lèvres entrouvertes, sans relâcher la prise de ses doigts autour de l’attache de mes couilles, fourrageant les poils humides de mon sac et de mon cul de son autre main. Puis elle commence à m’aspirer à l’intérieur de sa gorge avec un mouvement en spirale de sa langue qui manque me faire chavirer. Elle a plaqué une main sur mes fesses tendues et, aidée par le flot de sueur qui me mouille le dos et a coulé entre mes fesses, elle enfonce lentement son index dans le trou de mon cul qui du coup se relâche pour l’accueillir. De mon côté, j’empale ma bouche sur son clitoris qui me semble d’une taille démesurée et qui me fais soudain penser à mon fantasme. Je réalise alors que Tonio a roulé près de nous deux, sa tête presque contre la mienne, et qu’il me susurre à l’oreille: «eh, Brad Bite, laisse en pour moi, et occupe toi plutôt de mon gland orphelin». Il me prend par les épaules et me tire doucement en arrière, arrachant de la moule ouverte de J Lo ma bouche dégoulinante pour la présenter à sa verge qui maintenant présente une érection spectaculaire. Sa queue légèrement cambrée a plus que doublé de volume et doit mesurer au moins18 centimètres de long. Le gland turgescent d’un brun plus foncé est énorme et luisant. Il en a déjà suinté un peu de liquide qui forme une goutte transparente en son sommet. L’odeur épicée de son membre tendu me dilate les narines. Je saisis religieusement ce monolithe et l’approche de ma bouche haletante. Une grosse veine court sur toute sa longueur, et je la sens battre dans ma main. Je commence par promener délicatement ma langue autour de la base du gland qui réagit en gonflant encore un peu plus, puis je lèche le jus au gout acidulé qui en perle. Je sens ses fesses musclées se contracter et son bassin se tendre vers moi.
Un frisson délicieux me contracte les couilles et court le long de ma bite. J’imagine la vision que doit procurer le triangle formé par nos trois corps, Tonio Bandeur en train de branler le clito de J Lo avec sa langue, pendant qu’elle ramone mon membre aux poils blonds avec assiduité et que je suce avec avidité le monstrueux gland du métisse.
Ma main trouve ses lourdes couilles imberbes et pleines que je soupèse avant de les attirer vers ma bouche et de les lécher copieusement. De mon autre main, je commence à caresser l’espace de peau qui les sépare du trou de son cul. il écarte les cuisses, lève un peu son bassin et ouvre ses fesses dont les muscles sont maintenant relâchés. Du coin de l’œil, je vois que ses mains à lui ne sont pas inactives non plus. Il travaille les tétons de Jenny, les pinçant délicatement entre ses doigts et les étirant en tous sens, pendant qu’il continue de fouiller sa chatte et de faire vibrer son clitoris. De son coté, elle est en train de lécher ma biroute sur toute sa longueur, une main emprisonnant toujours mes burnes prêtes à exploser, l’autre bien calée dans la raie de mon cul, avec l’index qui me branle énergiquement le trou de balle en cadence. A mon tour, je fais glisser mon index fébrile jusqu’à la fleur de l’anus mouillé de sueur du beau latino et le lui enfonce sans peine bien profond en un mouvement vissé. Nous sommes tous deux dans la même enviable situation. Je fais à Tonio tout ce que Jenny me prodigue et je peux vivre avec mes doigts, ma langue, et dans ma bouche, tout ce que ma biroute congestionnée, mes testicules enflammés et mon cul dilaté ressentent sous ses caresses. Tous les trois nous laissons échapper des soupirs d’aise et d’excitation. La bouche pleine de ma bite, Jennifer me pompe le gland tout en le massant de sa langue. J’ai appuyé mon cul sur sa main si bien que son index est enfoncé à fonds et m’excite la prostate. Tout mon corps est bandé comme un arc. J’ai l’impression de n’être qu’une immense bite tellement tendue qu’elle va éclater. Ma bouche peut à peine contenir la moitié de la queue de Bande Dur, et j’ai l’impression que son gland va m’étouffer tant il est enflé. Je le sens battre au rythme de mes succions et mes coups de langue semblent l’électriser comme le mien. Nom de Dieu, je sens que je ne vais pas pouvoir supporter cet état beaucoup plus longtemps, je suis sur le point de découiller. Jennifer pousse un long gémissement, son clito et sa vulve doivent être au paroxysme de l’excitation. Une série de spasmes secouent son corps qui se cambre, et son vagin libère une vague généreuse qui inonde le visage de Tonio encore enfoui dans sa touffe. A son tour, il se raidit, je sens ses fesses se serrer autour de mon doigt et son membre se contracter entre mes lèvres. Puis son gland démesuré explose dans ma bouche, sa purée chaude me gicle dans la gorge et me remplis la bouche. J’étouffe à moitié en avalant son sperme dont je découvre le goût salé et la consistance laiteuse. C’en est trop, je sens partir de mes couilles aussi dures que du bois un flot irrépressible qui monte dans ma queue hypertrophiée jusqu’au gland dilaté à l’extrême, et avec un rugissement rauque je lâche moi aussi une copieuse giclée de foutre dans le gosier de J Lo en un feu d’artifice qui lui coupe le souffle et la force à avaler en hoquetant. Elle se laisse retomber pantelante et en sueur sur le lit, un filet de ma semence coulant de sa bouche jusqu’entre ses seins, éteint la petite lampe et ferme les yeux. Le visage et les cheveux encore mouillés du jus déchargé par Jennifer, Tonio est pourtant le seul à ne pas avoir la bouche dégoulinante de foutre. Il me saisi la queue à pleine main, l’enserre sans serrer trop et se la presse en douceur contre les lèvres pour récupérer quelques gouttes de découille sur sa langue. Ses cheveux m’humectent agréablement l’entre-jambes et quelques gouttes de sa transpiration me coulent le long des couilles. Dans la lumière blafarde de la lune, a mon tour je prends dans ma main sa queue déjà un peu moins dure d’ou suinte encore un peu de sperme épais et en caresse la peau soyeuse, puis je la remets délicatement dans ma bouche encore gluante de foutre et la suce doucement. Maintenant qu’elle est un peu calmée et a repris des proportions plus raisonnables, j’arrive juste à me l’enfourner en entier avec ses couilles, le nez pressé contre ses poils au parfum âcre. La tension retombe lentement. Lorsque nos bites sont calmées malgré nos caresses mutuelles, il regagne ses oreillers et s’y jette de tout son long sur le ventre, les fesses luisantes de sueur au clair de lune. Moi je ne bouge pas, je m’affale sur le dos au bord du lit, les jambes écartées, les pieds posés sur la moquette, les yeux clos. D’une main j’étale la sueur qui trempe mon ventre, ma poitrine et mes cuisses, et je m’en lave la queue collée de sperme séché. Malgré la fenêtre ouverte, une agréable odeur musquée de baise flotte dans la chambre retombée dans une moite pénombre.
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