Fantasme bi au clair de lune (4. Soupçon)
Récit érotique écrit par Bi-Tonio [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2007 dans la catégorie Plus on est
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Fantasme bi au clair de lune (4. Soupçon)
Les rayons du soleil qui pénètrent par la fenêtre m’ont à peine réveillé en me caressant les fesses que mon téléphone portable se met à vibrer sur la table de nuit. Je vois que c’est ma femme qui appelle et je décroche, toujours enfoncé dans les oreillers. Je suis content d’entendre sa voix enjouée: «Bonjour mon chou, bien dormi? Comment s’est passée ta soirée?» «Très calme, je suis resté dans ma chambre à me branler en regardant un DVD porno où une belle plante se faisait mettre par deux gars à la fois (assez bandant je dois dire), et puis j’ai dormi comme un bébé jusqu’il y a deux minutes». Je n’allais tout de même pas lui avouer que j’avais passé la nuit avec un couple inconnu à téter un braquemart, baiser couilles rabattues à deux bites dans le même trou et me faire bourrer le cul! «Et toi, passé une bonne journée ma puce?» «Pas mal, mais puisque tu me parle de porno, il faut que je t’avoue quelque chose: Hier matin, je suis allé à la mer. Je voulais bronzer nue dans la petite crique où nous allons des fois baiser à l’abri des regards, mais elle était déjà occupée. Tu sais, le jeune maître nageur sénégalais grand format dont tu dis toujours qu’avec les fesses qu’il a, il aurait meilleur temps de porter un string que son mini-slip rouge Ferrari qui les lui couvre à moitié. Eh bien c’était lui qui était étendu à poil sur notre sable, mais il était pas seul. Il y avait aussi un blond aussi bien foutu que lui, et les deux balèzes se suçaient la bite avec ardeur. J’en suis restée bouche bée, tu peux me croire. Je me suis retirée sans être vue et je me suis installée en maillot sur la grande plage où je me suis assoupie. Mais il faut croire que le spectacle de ces deux mecs en train de se bouffer la queue m’a travaillé, parce que je suis partie dans un rêve cochon que j’ose à peine te raconter: J’étais de nouveau à la crique, cette fois avec les deux mecs, à califourchon sur les cuisses athlétiques du jeune blond qui s’était couché sur le sable. J’avais sa grosse bite bien emmanchée dans mon sexe, mais c’est pas tout, j’avais la bouche pleine de la monstrueuse queue du négro, debout les jambes de part et d’autre de son copain, et je le suçais avec délice. Le grand black m’a ensuite contournée pour venir s’agenouiller derrière moi et me planter son engin démesuré dans le cul. Dans mon rêve, les coups de bélier des deux bites me décollaient du sol, et je jouissais en quasi lévitation. Quand je me suis réveillée, la culotte de mon maillot était trempée, et j’ai couru à la mer pour en cacher la raison et me rafraîchir. Alors, tu vois, heureusement que tu rentre demain, parce que j’ai énormément envie de baiser et de sentir ta queue en moi». Je l’assure que je serai à la hauteur de son attente et qu’elle ne perd rien pour attendre, je l’embrasse partout à distance et je raccroche. Je reste songeur. Je me dis que son rêve que je visualise très clairement était un peu trop détaillé pour être honnête, et me prends à soupçonner que sa rencontre avec ces deux mecs montés comme des ânes s’est en fait réellement passée et qu’elle se les est vraiment envoyés par tous les orifices. Je dois admettre que cette idée m’excite au plus au point et je me prends à souhaiter que la crique revive ces instants en ma présence. Les images de son récit se mêlent à celles de ma nuit mouvementée et me foutent une trique monumentale. Je me dis que d’ici à ce soir je serai mûr pour une séance du style de celle d’hier avant de rentrer demain, mais peut-être que cette fois ce sera mon tour de décider quel culs se feront défoncer.
Sur le coin du bureau, je griffonne une petite note: Je laisserais bien ma biroute et mon cul défloré traîner encore à votre portée ce soir…Brad Bite, et la glisse dans une enveloppe de l’hôtel. Je jugule mon érection dans un slip propre et me sape en homme d’affaires dans mon costume Armani pour descendre prendre mon petit déjeuner. Comme je passe devant la chambre 369, je vois que la porte en est entrouverte. Je la pousse discrètement du pied pour guigner à l’intérieur, et constate avec surprise qu’elle est vide, les lits faits, sans aucune trace d’effets personnels. Je me précipite jusqu’à la réception et demande quand le couple qui occupait la chambre 368 est parti. La réceptionniste consulte son registre et me dit d’une voix surprise: «Mais Monsieur, je suis désolée, cette chambre n’a pas été louée ces deux dernières nuits». Perplexe et songeur (je ne peux pas avoir rêvé tout ça), je me dirige vers la salle à manger, passant devant un jeune type sanglé dans un costard bien coupé et dont le badge doré proclame fièrement qu’il dirige ce palace. Il me lance avec un sourire narquois: «Bonjour Monsieur, j’espère que votre séjour dans notre établissement comble vos attentes», c’est à ce moment que reconnais avec surprise Bande Dur. Je lui rend son sourire et lui fais un clin d’œil appuyé mais je continue mon chemin sans répondre. L’hôtesse du restau m’accueille elle aussi avec le sourire et me demande mon numéro de chambre que je lui donne d’autant plus volontiers que c’est la J Lo de la nuit dernière.
…A suivre.
Vous pouvez adresser vos commentaires sur mon mail.
Sur le coin du bureau, je griffonne une petite note: Je laisserais bien ma biroute et mon cul défloré traîner encore à votre portée ce soir…Brad Bite, et la glisse dans une enveloppe de l’hôtel. Je jugule mon érection dans un slip propre et me sape en homme d’affaires dans mon costume Armani pour descendre prendre mon petit déjeuner. Comme je passe devant la chambre 369, je vois que la porte en est entrouverte. Je la pousse discrètement du pied pour guigner à l’intérieur, et constate avec surprise qu’elle est vide, les lits faits, sans aucune trace d’effets personnels. Je me précipite jusqu’à la réception et demande quand le couple qui occupait la chambre 368 est parti. La réceptionniste consulte son registre et me dit d’une voix surprise: «Mais Monsieur, je suis désolée, cette chambre n’a pas été louée ces deux dernières nuits». Perplexe et songeur (je ne peux pas avoir rêvé tout ça), je me dirige vers la salle à manger, passant devant un jeune type sanglé dans un costard bien coupé et dont le badge doré proclame fièrement qu’il dirige ce palace. Il me lance avec un sourire narquois: «Bonjour Monsieur, j’espère que votre séjour dans notre établissement comble vos attentes», c’est à ce moment que reconnais avec surprise Bande Dur. Je lui rend son sourire et lui fais un clin d’œil appuyé mais je continue mon chemin sans répondre. L’hôtesse du restau m’accueille elle aussi avec le sourire et me demande mon numéro de chambre que je lui donne d’autant plus volontiers que c’est la J Lo de la nuit dernière.
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