Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. V
Récit érotique écrit par ANDRERP95 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 31 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
- • L'ensemble des récits érotiques de ANDRERP95 ont reçu un total de 251 833 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 10 757 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. V
Avril 2003Mathieu est le meilleur ami de Kemb. Il travaille aussi à l’hôpital, aux urgences dans le service pédiatrique. Vingt-sept ans châtain clair, grand, costaud, musclé. Genre nageur et grand sportif.
Kemb et lui sont inséparables et se comprennent à demi-mots. Ils se parlent souvent à l’oreille et rigolent de trucs que seuls eux peuvent comprendre. Il y a une très grande connivence entre eux. C’est lui qui s’était aperçu que Margot n’avait plus ses bas ce fameux jour de Février. C’est lui qui a aussi prêté sa chambre le fameux WE du tatoueur.
Ce samedi soir, nous sommes quatre car Kemb a proposé à Mathieu de rester pour regarder un match de handball. Margot n’a rien dit mais elle me semblait pensive ou inquiète. Je ne sais pas trop. C’est moi qui ai fait le service. Aussi surprenant que cela puisse paraître pour ceux qui lisent, cela ne me choquait plus de servir ma femme et son amant même devant des tiers.
Nous étions dans le salon en train de picoler devant un match nul. On avait déjà pas mal bu. Moi surtout. Après le repas, Kemb s’est levé pour mettre de la musique.
- Ce match est trop nase. J’ai une envie de m’amuser. Tiens ! De danser!...
D’autorité, il a mis des slows dans le lecteur. Et a tendu son bras vers ma femme.
La musique a envahi le salon couvrant le son de la télévision. Sans un regard pour moi, Margot s’est levée pour se lover contre lui. Ils ont commencé à onduler lentement devant nous.
Mathieu regardait sans rien dire, un sourire béat barre son visage.
Très vite Margot se frotte sans pudeur contre son amant qui la serre contre lui. Je ne sais plus ou me mettre. Mathieu me lance de temps en temps de rapides coups d’œil pour juger de ma réaction. Je feins de ne pas m’en apercevoir. Très vite, il est subjugué par le spectacle des danseurs. Les mains noires sont accrochées aux fesses de ma femme. Elles caressent lentement le tissu blanc qui colle aux cuisses de Margot.
J’ai la gorge sèche. Je finis mon verre d’un trait. Mes mains tremblent. je me sers un nouveau verre bien tassé.
Margot a blottit son visage contre le torse de Kemb qui la serre encore plus contre lui.
- Baisse un peu la lumière Didou ça sera plus sympa.
J’obéis en titubant un peu. Je m’écroule sur le canapé.
- T’as envie de danser Mathieu?
- J’aimerais bien oui. Mais peut être que An....
- Viens prendre ma place je te dis. Danse avec Mathieu ma gazelle- Tu l’appelles ma gazelle?
- Oui. Alors man tu te décides??
Margot est maintenant entre les bras de Mathieu.
Kemb vient s'asseoir près de moi. Il me dévisage narquois comme s’il me mettait au défi.
- Eh Mathieu! Tu peux la serrer plus près. Elle ne va pas te manger...
Mathieu se colle. Ils tournent lentement devant nous. Margot se laisse conduire. Je vois les mains de Mathieu qui descendent lentement vers le bas de la minijupe avant de remonter sur les fesses de ma femme et recommencer à nouveau le manège.
Il presse de plus en plus fort Margot contre lui. Son regard croise celui de Kemb. Imperceptible signe de tête de ce dernier. Comme pour dire oui. Margot n’a rien vu. Ses seins sont écrasés contre le torse du danseur et les pubis sont soudés.
Les mains remontent lentement en entraînant la jupe.
Regard affolé de Margot vers son amant. Kemb sourit.
- Il est comme mon frère ma gazelle. Continue de danser avec lui.
Je veux me lever. Kemb m'agrippe la cuisse durement.
- Toi tu bouges pas...
Margot a enfoui son visage dans le pull de Mathieu. Sa docilité devant l’injonction de son amant est effrayante… La mienne aussi!
La jupe remonte doucement le long de ses jambes gainées de noir. On voit maintenant les élastiques auto-fixant brodés de dentelle. Puis la peau blanche du haut des cuisses.
J’ai du mal à respirer. Je bois sans arrêt.
La jupe est au ras des fesses de ma femme. Dans la pénombre, on devine la jointure des jambes. Margot ne dit toujours rien. On ne voit pas son visage.
La main de Mathieu passe lentement sous la jupe. Kemb me serre toujours la cuisse pour que je ne bouge pas. J’en suis incapable. Tout tourne autour de moi.
Margot sursaute et tourne un visage suppliant vers son amant.
- Laisse-le faire ma gazelle. Il te veut que du bien.
Il ajoute d’une voix pleine de sous-entendus:- Si tu veux on peut partir.
- Non... Non....
Margot à la voix d’une gamine apeurée.
A nouveau son visage se cache dans le pull de Mathieu.
La main a disparu entre les cuisses. Le tissu de la jupe se tend. Margot se cambre pour s’éloigner de cette main mais écarte aussi légèrement les jambes. Elle se laisse caresser en dansant. Mathieu se tourne vers moi.
- Elle porte jamais de culotte ta femme?
C’est Kemb qui répond.
- Rarement. J’aime pas trop ça, c’est plus pratique...
Margot se laisse fouiller l’entrecuisse. Elle soupire doucement. Les sons qui sortent de sa gorge sont un mélange de sanglots et de râles. On ne voit toujours pas son visage.
- Elle est chaude. Très chaude. La voix de Mathieu est rauque... Elle mouille grave.
- Fais nous profiter man.
Mathieu me désigne d’un mouvement de tête:- Et lui?
- Il bougera pas, tu peux y aller.
Mathieu veut remonter la jupe autour de la taille. Margot tente de l’empêcher. Mais Kemb intervient d’une voix un peu agacée: - Laisse le ma gazelle.
Elle n’a plus rien tenté. La jupe remonte lentement vers sa taille. J’ai envie de hurler. Comme un lâche, je me réfugie dans l’alcool.
Ma femme est nue. Fesses à l’air au milieu du salon. Devant son amant et son mari. De temps en temps on distingue son sexe. Ses poils pubiens ont un peu repoussé. On voit à peine les initiales de son amant au-dessus de sa fente.
Ils dansent toujours mais les mains du jeune homme découvrent devant nous l’intimité de Margot. Son sexe, ses fesses sa raie. Il lui embrasse le cou. Kemb intervient:- Pas la bouche Mathieu.
- O.K. Y a pas de lézard Kemb. C’est toi qui décide. Elle est à toi.
Margot ne dis rien. Pas un soupçon de révolte. Kemb se lève et va se joindre à eux.
- Profite bien du spectacle le cocu. Tu peux même t’astiquer si t’as envie. Mais tu regardes c’est tout. Tu ne participes pas.
Il se colle contre le dos de Margot.
Ils la serrent entre eux, la caressent, l’embrassent, lui ouvrent le chemisier, baissent le soutien-gorge. Elle ne porte plus que sa jupe roulée autour de son ventre, ses bas et ses chaussures. Margot se laisse déshabiller de ses derniers vêtements.
Ils dansent toujours. Je suis ivre mort. Je n’arrive plus à garder les yeux ouverts.
Elle est nue entre les deux jeunes hommes. Ses yeux brillent. Comme si elle allait pleurer ou jouir. Ils lui lèvent une jambe. Je vois les doigts noirs et blancs lui fouiller le sexe, entrer dans son intimité, parcourir la raie des fesses. Les mains noires palpent le derrière. Les mains blanches pincent doucement les seins. Margot renverse sa tête contre le torse de Kemb en gémissant.
Complètement effondré par le spectacle, mon impuissance à réagir, et l’alcool, j’ai assisté à leur débauche sans rien dire ni faire. Incapable même de bander devant le spectacle.
Des images flashs qui s’incrustent dans mon cerveau et dans mon coeur:Des vêtements qui jonchent le tapis du salon… La banquette lit du salon est dépliée… Le même slow qui passe en boucle et que personne n’entend.. Mathieu et Kemb nus… Leurs sexes qui pointent fièrement pour se coller contre le corps de ma femme… Des doigts noirs ou blancs qui s’insinuent entre ses fesses ou son vagin… Les baisers profonds de son amant noir… Margot qui les branle en cadence… Margot à genoux se laissant caresser le visage par les glands… Margot qui les suce à tour de rôle.
- Elle suce vachement bien !
- Oui elle adore prendre un bon biberon. Hein ma Gazelle que tu adores téter ma grosse teub? Montre à mon pote tes talents de suceuse. Oui comme ça, vas bien à fonds. C’est bien bébé... Aspire bien mon pote....
- Ohhhhhhhhh oui comme ça. Lèche-moi les couilles. Qu’elle salope !
- Ne la traite pas comme ça Mathieu. Respecte-la.
- Excuse-moi Kemb.
Des mains dans les cheveux de ma femme pour imprimer les rythmes ou obliger à prendre un maximum de longueur en bouche.
- Tu sais qu’elle m’a fait un super cadeau. Elle porte mes initiales.
- Tu déconnes Mec!?
- Je te jure. Elle a accepté de se faire tatouer.
- Où?.
- Tu vas voir.
Margot que l’on porte comme une poupée inerte sur le canapé… Margot que l’on couche… Les mains noires de Kemb qui se saisissent ses chevilles et écartent les jambes.
- Regarde sous les poils de sa chatte.
- Non Kemb pas ça. S’il te plaît- Tais-toi ma Gazelle.
- Putain ! C’est pas vrai ! J’y crois pas ! Et son mec dit rien ?
- Arrêtes de causer Mathieu et à toi l’honneur mon pote.
Mathieu à genoux sur le canapé entre les cuisses de Margot. Il me regarde un bref instant avant de s’affaler sur Margot. Margot qui crie quand la bitte l’enfile d’un coup jusqu’à la garde.
- Elle est trempée. T’as trouvé une sacrée salope mon pote!
- Ne l’insulte pas! Plus jamais Mathieu. Même si t’es comme un frère.
- Excuse.... Putain ! Qu’est- ce qu’elle est bonne!
Les fesses blanches de Mathieu qui s’agitent de plus en plus vite.
- Elle est bien serrée malgré ses grossesses.
Kemb qui tient lune des jambes de ma femme relevé. Margot est couchée sur le dos jambes légèrement repliées et largement ouvertes. Mathieu la pilonne lentement. Poussant son bassin au maximum à grands coups de reins. On entend les chairs qui claquent. Kemb, à côté, attend son tour. Il me regarde de temps en temps d’un air narquois. Comme pour me dire: ...”Tu attends quoi pour venir défendre ton bien”...
Margot qui brusquement jouit en gémissant.
- C’est bon.... Oooooh.... OuiiiiiiiJe ferme les yeux. Je me sens mal. Des paroles perforent mon cerveau: - Alors elle est chouette hein?
- Super. Une vraie de vraie. Superbe.
- T’as encore rien vu mec. A mon tour. Mets-toi en levrette ma Gazelle. Cambre toi bien ma puce. Oui comme ça.
Ma femme en levrette, jambes écartées, reins cambrés. Les mains noires qui la forcent à mieux s’ouvrir, puis qui appuis sur le creux de ses reins pour mieux la cambrer et ainsi offrir à notre vu. Les fesses sont légèrement ouvertes et on devine l’anus. On voit parfaitement le pubis. Position impudique qui rend fou Mathieu.
- Elle a un de ces culs !
- Celui-là tu y touches pas Mathieu. Il est à moi. Tu l’embrasses pas sur la bouche et tu l’encules pas. Le reste tu fais ce que tu veux.
- C’est déjà super man... Merci.
- Tu as compris ma Gazelle tu seras très gentille avec Mathieu.
- ..........
- Parle plus fort je n’ai pas entendu mon cœur....
- Oui… Oui Kemb comme tu veux.
- Je t’adore ma Gazelle. Tends bien tes fesses. J’ai envie par derrière.
Mathieu qui intervient:- Regarde son mec. Il est complètement pété. Il ne dit rien? Rien du tout ? C’est sa meuf quand même. Ils sont marié et ils ont deux enfants ensemble.
- Non c’est une couille molle. Et de toute manière il n’a pas voix au chapitre. Ouvre la bouche ma gazelle et nettoie mon pote pendant que je te nique.
Et les cris de ma femme: mélange de souffrance et de jouissance.
Je sombre dans un coma éthylique.
Le lendemain je me réveille sur la banquette ouverte. Uniquement vêtu de mon caleçon. Gueule de bois d’enfer. J’ai du mal à réaliser ou je suis.
Petit à petit les événements de la veille me reviennent en mémoire.
Sentiments de douleurs, de honte, d’impuissance, d’humiliation.
Je vais dans la chambre en titubant. Ma tête va exploser.
Mathieu a pris ma place dans notre lit !
Ils dorment les trois. Margot au milieu des deux hommes.
Je repars dans la cuisine préparer le petit déjeuner.
Kemb à raison je ne suis qu’une couille molle....
oooOOOoooMai 2003Mathieu passe de temps en temps pour partager le lit de ma femme. Et Kemb le laisse faire sans problème. Je n’ai plus rien à dire non plus. Il vient juste pour se soulager, quand il n’a pas de petite amie ou qu’il est stressé par son boulot. Il ne me parle pas, ne me salue pas et après avoir échangé quelques mots avec son pote, file directement dans la chambre.
- Je n’ai pas beaucoup de temps, j’enchaine deux gardes. Elle est où Margot ?
- Au pieu.
- Je peux y aller ?
- Bien sûr mon pote.
- Super, merci Kemb. Je prends une bonne douche et je vais faire une petite sieste avec elle avant de reprendre.
C’est comme si je n’étais pas là.
- Te gêne pas mec. André vas te donner une serviette. Moi je vais courir un peu.
Souvent Kemb part se balader quand il sait que Mathieu ne reste pas.
Et moi, je les entends crier soupirer ou rire. Quelques fois la porte reste ouverte et je peux voir Margot se faire sucer les seins ou le sexe par un Mathieu au mieux de sa forme.
Je la regarde se délecter du sexe dressé devant son visage pendant que Mathieu lui lèche les fesses dans un 69 effréné. Il aime aussi s'asseoir jambes écartées au bord du lit et empaler ma femme sur son gourdin. C’est elle qui ondule du bassin, yeux fermés, lèvres pincées dans un soupire de satisfaction.
Quand il me voit sur le pas de la porte, il me regarde d’un air goguenard:- Tu sais qu’elle est bonne ta femme. Elle est super, dommage qu’elle veut plus baiser avec toi. Je suis sûr que ça te fait bander de la voir avec moi. Regarde comme je vais profond dans sa chatte. Approche le cocu. Aller approche.
- Oui Didou viens... Entre... Viens mon Chéri.
Alors dans un état second, j’obéis à ma femme.
- Oui mon chéri.... Mets-toi devant moi... Baisse ton pantalon.
- Tu vois que ça le fait bander de voir sa femme se faire prendre.
- Baisse ton slip chéri. Branle-toi mon amour. Branle-toi devant mes seins. Vas-y.
Complètement sous son emprise, je me branle devant Margot empalée sur le sexe de Mathieu et mon sperme ne tarde pas à inonder ses tétons érigés.
- Ma parole il avait de la réserve ton mari.
- Reste Didou. Reste près de moi, je sens que je viens.
Je lui tiens la main ou lui caresse les cheveux pendant qu’elle accélère ces ondulations en se cambrant pour sentir le sexe de son amant de passage. Leurs gémissements de jouissance me font frissonner. Après, Mathieu ne reste pas souvent. Quand il part Margot toujours couchée. Des fois elle me rappelle:- Qu’est ce qui m’a mis ce cochon, je suis toute trempée. Regarde dans quel état je suis. Elle me montre alors son sexe encore béant et coulant avec un regard trouble.
- Viens... Viens me nettoyer mon chéri, je suis sure que tu as encore envie.
Oui j’ai envie. De toute façon j’ai toujours envie d’elle. Alors, je nettoie avec ma langue en me branlant à nouveau. Le sperme de Mathieu n’a pas le même goût que celui de Kemb. Je ne savais pas que les spermes ont des goûts différents.
Un jour de semaine, on a sonné. C’est moi qui ai ouvert. Mathieu était sur le seuil de la porte. Cela m’a surpris parce qu’il enfreignait la règle sacro-sainte de ne jamais venir quand les enfants sont là. J’allais l’engueuler quand j’ai vu son visage.
Il était livide:- J’ai perdu un gamin.
Il avait les larmes aux yeux. Je ne comprenais rien. Il pleuvait à verse. Il était trempé.
- Il a eu un accident avec une voiture. On me l’a amené. J’ai rien pu faire....
Il parlait de son boulot. J’ai pensé à mes gamins. Frisson d’horreur. Il était sur le seuil, complètement paumé. Il m’a fait de la peine.
- Rentre et attends dans la cuisine.
Il pleurait silencieusement. Des grosses gouttes roulaient sur ses joues.
J’ai proposé à mes gamins de les emmener au centre commercial le plus proche pour faire des tours de manège et acheter des bonbons. Ravis de l’aubaine il sautaient de joie. Ils n’ont pas vu Mathieu.
Je l’ai laissé seul avec ma femme. Margot saurait le consoler.
De mon plein grès. Je lui ai donné ma femme.
Mathieu ne venait pas souvent ou en tout cas ne restait pas. Par contre, j’ai compris plus tard qu’il était toujours présent quand Kemb en avait besoin. Surtout pour l’aider à me prendre en main. Kemb souhaitait qu’en plus d’être un cocu consentant, je sois un mari soumis et dévirilisé.
Mais cela à l’époque, ni Margot ni moi ne le savions.
A suivre binetôt
Kemb et lui sont inséparables et se comprennent à demi-mots. Ils se parlent souvent à l’oreille et rigolent de trucs que seuls eux peuvent comprendre. Il y a une très grande connivence entre eux. C’est lui qui s’était aperçu que Margot n’avait plus ses bas ce fameux jour de Février. C’est lui qui a aussi prêté sa chambre le fameux WE du tatoueur.
Ce samedi soir, nous sommes quatre car Kemb a proposé à Mathieu de rester pour regarder un match de handball. Margot n’a rien dit mais elle me semblait pensive ou inquiète. Je ne sais pas trop. C’est moi qui ai fait le service. Aussi surprenant que cela puisse paraître pour ceux qui lisent, cela ne me choquait plus de servir ma femme et son amant même devant des tiers.
Nous étions dans le salon en train de picoler devant un match nul. On avait déjà pas mal bu. Moi surtout. Après le repas, Kemb s’est levé pour mettre de la musique.
- Ce match est trop nase. J’ai une envie de m’amuser. Tiens ! De danser!...
D’autorité, il a mis des slows dans le lecteur. Et a tendu son bras vers ma femme.
La musique a envahi le salon couvrant le son de la télévision. Sans un regard pour moi, Margot s’est levée pour se lover contre lui. Ils ont commencé à onduler lentement devant nous.
Mathieu regardait sans rien dire, un sourire béat barre son visage.
Très vite Margot se frotte sans pudeur contre son amant qui la serre contre lui. Je ne sais plus ou me mettre. Mathieu me lance de temps en temps de rapides coups d’œil pour juger de ma réaction. Je feins de ne pas m’en apercevoir. Très vite, il est subjugué par le spectacle des danseurs. Les mains noires sont accrochées aux fesses de ma femme. Elles caressent lentement le tissu blanc qui colle aux cuisses de Margot.
J’ai la gorge sèche. Je finis mon verre d’un trait. Mes mains tremblent. je me sers un nouveau verre bien tassé.
Margot a blottit son visage contre le torse de Kemb qui la serre encore plus contre lui.
- Baisse un peu la lumière Didou ça sera plus sympa.
J’obéis en titubant un peu. Je m’écroule sur le canapé.
- T’as envie de danser Mathieu?
- J’aimerais bien oui. Mais peut être que An....
- Viens prendre ma place je te dis. Danse avec Mathieu ma gazelle- Tu l’appelles ma gazelle?
- Oui. Alors man tu te décides??
Margot est maintenant entre les bras de Mathieu.
Kemb vient s'asseoir près de moi. Il me dévisage narquois comme s’il me mettait au défi.
- Eh Mathieu! Tu peux la serrer plus près. Elle ne va pas te manger...
Mathieu se colle. Ils tournent lentement devant nous. Margot se laisse conduire. Je vois les mains de Mathieu qui descendent lentement vers le bas de la minijupe avant de remonter sur les fesses de ma femme et recommencer à nouveau le manège.
Il presse de plus en plus fort Margot contre lui. Son regard croise celui de Kemb. Imperceptible signe de tête de ce dernier. Comme pour dire oui. Margot n’a rien vu. Ses seins sont écrasés contre le torse du danseur et les pubis sont soudés.
Les mains remontent lentement en entraînant la jupe.
Regard affolé de Margot vers son amant. Kemb sourit.
- Il est comme mon frère ma gazelle. Continue de danser avec lui.
Je veux me lever. Kemb m'agrippe la cuisse durement.
- Toi tu bouges pas...
Margot a enfoui son visage dans le pull de Mathieu. Sa docilité devant l’injonction de son amant est effrayante… La mienne aussi!
La jupe remonte doucement le long de ses jambes gainées de noir. On voit maintenant les élastiques auto-fixant brodés de dentelle. Puis la peau blanche du haut des cuisses.
J’ai du mal à respirer. Je bois sans arrêt.
La jupe est au ras des fesses de ma femme. Dans la pénombre, on devine la jointure des jambes. Margot ne dit toujours rien. On ne voit pas son visage.
La main de Mathieu passe lentement sous la jupe. Kemb me serre toujours la cuisse pour que je ne bouge pas. J’en suis incapable. Tout tourne autour de moi.
Margot sursaute et tourne un visage suppliant vers son amant.
- Laisse-le faire ma gazelle. Il te veut que du bien.
Il ajoute d’une voix pleine de sous-entendus:- Si tu veux on peut partir.
- Non... Non....
Margot à la voix d’une gamine apeurée.
A nouveau son visage se cache dans le pull de Mathieu.
La main a disparu entre les cuisses. Le tissu de la jupe se tend. Margot se cambre pour s’éloigner de cette main mais écarte aussi légèrement les jambes. Elle se laisse caresser en dansant. Mathieu se tourne vers moi.
- Elle porte jamais de culotte ta femme?
C’est Kemb qui répond.
- Rarement. J’aime pas trop ça, c’est plus pratique...
Margot se laisse fouiller l’entrecuisse. Elle soupire doucement. Les sons qui sortent de sa gorge sont un mélange de sanglots et de râles. On ne voit toujours pas son visage.
- Elle est chaude. Très chaude. La voix de Mathieu est rauque... Elle mouille grave.
- Fais nous profiter man.
Mathieu me désigne d’un mouvement de tête:- Et lui?
- Il bougera pas, tu peux y aller.
Mathieu veut remonter la jupe autour de la taille. Margot tente de l’empêcher. Mais Kemb intervient d’une voix un peu agacée: - Laisse le ma gazelle.
Elle n’a plus rien tenté. La jupe remonte lentement vers sa taille. J’ai envie de hurler. Comme un lâche, je me réfugie dans l’alcool.
Ma femme est nue. Fesses à l’air au milieu du salon. Devant son amant et son mari. De temps en temps on distingue son sexe. Ses poils pubiens ont un peu repoussé. On voit à peine les initiales de son amant au-dessus de sa fente.
Ils dansent toujours mais les mains du jeune homme découvrent devant nous l’intimité de Margot. Son sexe, ses fesses sa raie. Il lui embrasse le cou. Kemb intervient:- Pas la bouche Mathieu.
- O.K. Y a pas de lézard Kemb. C’est toi qui décide. Elle est à toi.
Margot ne dis rien. Pas un soupçon de révolte. Kemb se lève et va se joindre à eux.
- Profite bien du spectacle le cocu. Tu peux même t’astiquer si t’as envie. Mais tu regardes c’est tout. Tu ne participes pas.
Il se colle contre le dos de Margot.
Ils la serrent entre eux, la caressent, l’embrassent, lui ouvrent le chemisier, baissent le soutien-gorge. Elle ne porte plus que sa jupe roulée autour de son ventre, ses bas et ses chaussures. Margot se laisse déshabiller de ses derniers vêtements.
Ils dansent toujours. Je suis ivre mort. Je n’arrive plus à garder les yeux ouverts.
Elle est nue entre les deux jeunes hommes. Ses yeux brillent. Comme si elle allait pleurer ou jouir. Ils lui lèvent une jambe. Je vois les doigts noirs et blancs lui fouiller le sexe, entrer dans son intimité, parcourir la raie des fesses. Les mains noires palpent le derrière. Les mains blanches pincent doucement les seins. Margot renverse sa tête contre le torse de Kemb en gémissant.
Complètement effondré par le spectacle, mon impuissance à réagir, et l’alcool, j’ai assisté à leur débauche sans rien dire ni faire. Incapable même de bander devant le spectacle.
Des images flashs qui s’incrustent dans mon cerveau et dans mon coeur:Des vêtements qui jonchent le tapis du salon… La banquette lit du salon est dépliée… Le même slow qui passe en boucle et que personne n’entend.. Mathieu et Kemb nus… Leurs sexes qui pointent fièrement pour se coller contre le corps de ma femme… Des doigts noirs ou blancs qui s’insinuent entre ses fesses ou son vagin… Les baisers profonds de son amant noir… Margot qui les branle en cadence… Margot à genoux se laissant caresser le visage par les glands… Margot qui les suce à tour de rôle.
- Elle suce vachement bien !
- Oui elle adore prendre un bon biberon. Hein ma Gazelle que tu adores téter ma grosse teub? Montre à mon pote tes talents de suceuse. Oui comme ça, vas bien à fonds. C’est bien bébé... Aspire bien mon pote....
- Ohhhhhhhhh oui comme ça. Lèche-moi les couilles. Qu’elle salope !
- Ne la traite pas comme ça Mathieu. Respecte-la.
- Excuse-moi Kemb.
Des mains dans les cheveux de ma femme pour imprimer les rythmes ou obliger à prendre un maximum de longueur en bouche.
- Tu sais qu’elle m’a fait un super cadeau. Elle porte mes initiales.
- Tu déconnes Mec!?
- Je te jure. Elle a accepté de se faire tatouer.
- Où?.
- Tu vas voir.
Margot que l’on porte comme une poupée inerte sur le canapé… Margot que l’on couche… Les mains noires de Kemb qui se saisissent ses chevilles et écartent les jambes.
- Regarde sous les poils de sa chatte.
- Non Kemb pas ça. S’il te plaît- Tais-toi ma Gazelle.
- Putain ! C’est pas vrai ! J’y crois pas ! Et son mec dit rien ?
- Arrêtes de causer Mathieu et à toi l’honneur mon pote.
Mathieu à genoux sur le canapé entre les cuisses de Margot. Il me regarde un bref instant avant de s’affaler sur Margot. Margot qui crie quand la bitte l’enfile d’un coup jusqu’à la garde.
- Elle est trempée. T’as trouvé une sacrée salope mon pote!
- Ne l’insulte pas! Plus jamais Mathieu. Même si t’es comme un frère.
- Excuse.... Putain ! Qu’est- ce qu’elle est bonne!
Les fesses blanches de Mathieu qui s’agitent de plus en plus vite.
- Elle est bien serrée malgré ses grossesses.
Kemb qui tient lune des jambes de ma femme relevé. Margot est couchée sur le dos jambes légèrement repliées et largement ouvertes. Mathieu la pilonne lentement. Poussant son bassin au maximum à grands coups de reins. On entend les chairs qui claquent. Kemb, à côté, attend son tour. Il me regarde de temps en temps d’un air narquois. Comme pour me dire: ...”Tu attends quoi pour venir défendre ton bien”...
Margot qui brusquement jouit en gémissant.
- C’est bon.... Oooooh.... OuiiiiiiiJe ferme les yeux. Je me sens mal. Des paroles perforent mon cerveau: - Alors elle est chouette hein?
- Super. Une vraie de vraie. Superbe.
- T’as encore rien vu mec. A mon tour. Mets-toi en levrette ma Gazelle. Cambre toi bien ma puce. Oui comme ça.
Ma femme en levrette, jambes écartées, reins cambrés. Les mains noires qui la forcent à mieux s’ouvrir, puis qui appuis sur le creux de ses reins pour mieux la cambrer et ainsi offrir à notre vu. Les fesses sont légèrement ouvertes et on devine l’anus. On voit parfaitement le pubis. Position impudique qui rend fou Mathieu.
- Elle a un de ces culs !
- Celui-là tu y touches pas Mathieu. Il est à moi. Tu l’embrasses pas sur la bouche et tu l’encules pas. Le reste tu fais ce que tu veux.
- C’est déjà super man... Merci.
- Tu as compris ma Gazelle tu seras très gentille avec Mathieu.
- ..........
- Parle plus fort je n’ai pas entendu mon cœur....
- Oui… Oui Kemb comme tu veux.
- Je t’adore ma Gazelle. Tends bien tes fesses. J’ai envie par derrière.
Mathieu qui intervient:- Regarde son mec. Il est complètement pété. Il ne dit rien? Rien du tout ? C’est sa meuf quand même. Ils sont marié et ils ont deux enfants ensemble.
- Non c’est une couille molle. Et de toute manière il n’a pas voix au chapitre. Ouvre la bouche ma gazelle et nettoie mon pote pendant que je te nique.
Et les cris de ma femme: mélange de souffrance et de jouissance.
Je sombre dans un coma éthylique.
Le lendemain je me réveille sur la banquette ouverte. Uniquement vêtu de mon caleçon. Gueule de bois d’enfer. J’ai du mal à réaliser ou je suis.
Petit à petit les événements de la veille me reviennent en mémoire.
Sentiments de douleurs, de honte, d’impuissance, d’humiliation.
Je vais dans la chambre en titubant. Ma tête va exploser.
Mathieu a pris ma place dans notre lit !
Ils dorment les trois. Margot au milieu des deux hommes.
Je repars dans la cuisine préparer le petit déjeuner.
Kemb à raison je ne suis qu’une couille molle....
oooOOOoooMai 2003Mathieu passe de temps en temps pour partager le lit de ma femme. Et Kemb le laisse faire sans problème. Je n’ai plus rien à dire non plus. Il vient juste pour se soulager, quand il n’a pas de petite amie ou qu’il est stressé par son boulot. Il ne me parle pas, ne me salue pas et après avoir échangé quelques mots avec son pote, file directement dans la chambre.
- Je n’ai pas beaucoup de temps, j’enchaine deux gardes. Elle est où Margot ?
- Au pieu.
- Je peux y aller ?
- Bien sûr mon pote.
- Super, merci Kemb. Je prends une bonne douche et je vais faire une petite sieste avec elle avant de reprendre.
C’est comme si je n’étais pas là.
- Te gêne pas mec. André vas te donner une serviette. Moi je vais courir un peu.
Souvent Kemb part se balader quand il sait que Mathieu ne reste pas.
Et moi, je les entends crier soupirer ou rire. Quelques fois la porte reste ouverte et je peux voir Margot se faire sucer les seins ou le sexe par un Mathieu au mieux de sa forme.
Je la regarde se délecter du sexe dressé devant son visage pendant que Mathieu lui lèche les fesses dans un 69 effréné. Il aime aussi s'asseoir jambes écartées au bord du lit et empaler ma femme sur son gourdin. C’est elle qui ondule du bassin, yeux fermés, lèvres pincées dans un soupire de satisfaction.
Quand il me voit sur le pas de la porte, il me regarde d’un air goguenard:- Tu sais qu’elle est bonne ta femme. Elle est super, dommage qu’elle veut plus baiser avec toi. Je suis sûr que ça te fait bander de la voir avec moi. Regarde comme je vais profond dans sa chatte. Approche le cocu. Aller approche.
- Oui Didou viens... Entre... Viens mon Chéri.
Alors dans un état second, j’obéis à ma femme.
- Oui mon chéri.... Mets-toi devant moi... Baisse ton pantalon.
- Tu vois que ça le fait bander de voir sa femme se faire prendre.
- Baisse ton slip chéri. Branle-toi mon amour. Branle-toi devant mes seins. Vas-y.
Complètement sous son emprise, je me branle devant Margot empalée sur le sexe de Mathieu et mon sperme ne tarde pas à inonder ses tétons érigés.
- Ma parole il avait de la réserve ton mari.
- Reste Didou. Reste près de moi, je sens que je viens.
Je lui tiens la main ou lui caresse les cheveux pendant qu’elle accélère ces ondulations en se cambrant pour sentir le sexe de son amant de passage. Leurs gémissements de jouissance me font frissonner. Après, Mathieu ne reste pas souvent. Quand il part Margot toujours couchée. Des fois elle me rappelle:- Qu’est ce qui m’a mis ce cochon, je suis toute trempée. Regarde dans quel état je suis. Elle me montre alors son sexe encore béant et coulant avec un regard trouble.
- Viens... Viens me nettoyer mon chéri, je suis sure que tu as encore envie.
Oui j’ai envie. De toute façon j’ai toujours envie d’elle. Alors, je nettoie avec ma langue en me branlant à nouveau. Le sperme de Mathieu n’a pas le même goût que celui de Kemb. Je ne savais pas que les spermes ont des goûts différents.
Un jour de semaine, on a sonné. C’est moi qui ai ouvert. Mathieu était sur le seuil de la porte. Cela m’a surpris parce qu’il enfreignait la règle sacro-sainte de ne jamais venir quand les enfants sont là. J’allais l’engueuler quand j’ai vu son visage.
Il était livide:- J’ai perdu un gamin.
Il avait les larmes aux yeux. Je ne comprenais rien. Il pleuvait à verse. Il était trempé.
- Il a eu un accident avec une voiture. On me l’a amené. J’ai rien pu faire....
Il parlait de son boulot. J’ai pensé à mes gamins. Frisson d’horreur. Il était sur le seuil, complètement paumé. Il m’a fait de la peine.
- Rentre et attends dans la cuisine.
Il pleurait silencieusement. Des grosses gouttes roulaient sur ses joues.
J’ai proposé à mes gamins de les emmener au centre commercial le plus proche pour faire des tours de manège et acheter des bonbons. Ravis de l’aubaine il sautaient de joie. Ils n’ont pas vu Mathieu.
Je l’ai laissé seul avec ma femme. Margot saurait le consoler.
De mon plein grès. Je lui ai donné ma femme.
Mathieu ne venait pas souvent ou en tout cas ne restait pas. Par contre, j’ai compris plus tard qu’il était toujours présent quand Kemb en avait besoin. Surtout pour l’aider à me prendre en main. Kemb souhaitait qu’en plus d’être un cocu consentant, je sois un mari soumis et dévirilisé.
Mais cela à l’époque, ni Margot ni moi ne le savions.
A suivre binetôt
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par ANDRERP95
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...