FICTION PARTIELLE - Je me fais plaisir...

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : FICTION PARTIELLE - Je me fais plaisir... Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2016 dans la catégorie En solitaire
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(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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FICTION PARTIELLE - Je me fais plaisir...
(écrit en 12.2010 grâce aux confidences d’une amie rencontrée en club).

Je m’appelle Cassandra. Je suis divorcée depuis quelques années après une erreur de jeunesse qui (poussée par mes parents) m’avait fait épouser un homme de quinze ans mon ainé.
Je viens de fêter mes 30 ans, je suis une blonde naturelle (origines scandinaves et normandes), grande avec des seins ronds et de bonne taille dont je suis très fière. J’en prends grand soin, ne les laissant jamais sans soutien.

Sous ma taille fine s’évasent mes hanches un peu larges à mon goût. Mes cheveux sont relativement courts car je n’ai guère le temps d’aller chez le coiffeur. Un coup de brosse ou de peigne suffit à les discipliner. Je prends soin de mon corps en faisant du fitness dans la salle de l’entresol de l’immeuble où se trouvent les bureaux de la société pour laquelle je travaille. Cela est très pratique et je peux y aller après le travail car elle ferme à 22 heures.

Ma vie professionnelle très enrichissante ne m’a pas permis d’avoir un enfant à l’époque de mon mariage. Qu’en aurais-je fait quand je passe mon temps à sauter d’un avion à l’autre ou dans un train pour parcourir l’Europe.
Désormais, je m’offre de temps en temps une séance de baise hygiénique sans lendemain quand je me laisse draguer au bar des hôtels où je descends ou en allant dans un club libertin de l’avenue Foch. Avec toutes les précautions d’usage de notre époque je suis tranquille. Je ne suis pas frustrée, au contraire, je pense être très équilibrée.
Lorsque je suis dans mon appartement au dernier étage d’une tour résidentielle du sud de Paris, je contemple avec bonheur mon petit nid douillet. Rares sont les hommes qui y sont entrés en dehors de mes deux frères lorsqu’ils viennent à Paris.

Il y a deux ans, je me suis laissé draguer par une femme de mon âge à la salle de fitness. Notre aventure a duré quelques mois. Je me laissais faire, retrouvant les habitudes de mes années d’internat où je me livrais aux délices du saphisme avec ma copine de chambre qui m’a initiée mais je n’ai jamais été autre chose qu’une passive…
Lorsque l’appel des sens devient trop intense, j’ai tout ce qu’il faut pour me satisfaire. Même quand j’étais mariée, j’avais déjà quelques beaux godes pour remplacer mon mari trop souvent absent ou défaillant. Déjà avant de découvrir le saphisme, j’avais pris l’habitude de me caresser jusqu’à la jouissance au moins une fois par semaine et je n’ai jamais cessé. Généralement je me caresse quand je prends mon bain. La salle de bain est décorée de gravures licencieuses où l’on voit des naïades se livrer aux assauts de pâtres à la virilité triomphante. Elles existaient déjà lorsque j’ai acheté l’appartement et je les ai conservées car elles ont été merveilleusement réalisées par un artiste de talent. Noyée jusqu’au menton dans une abondante mousse odorante, je laisse courir mes mains le long de mon corps. Je masse mes seins en pinçant les tétons pour les faire saillir. Ensuite, je descends vers mon pubis dont j’ai fait éliminer les poils disgracieux il y a bien longtemps.

Suivant mon humeur j’utilise le canard vibrant que tout le monde connait ou mes doigts. Je place le canard sur mon clitoris et je le bloque quelques minutes. C’est très excitant de sentir ses vibrations qui se répercutent dans tout mon bassin. Ensuite, j’ouvre mes lèvres vaginales avec deux doigts et je me pénètre le plus profondément possible pour faire des va-et-vient pendant de longues minutes jusqu’à ce que ma jouissance éclate. Parfois aussi, je prolonge la séance sur mon grand lit. Séchée au sortir du bain, je m’allonge nue, le buste calé par des oreillers, les jambes repliées et ouvertes. J’ai a ma disposition plusieurs godes en silicone souple de tailles diverses et d’autres plus rigides et plus « techniques » car pourvus d’un mécanisme vibrant ou d’ergots et autres protubérances censées améliorer les sensations. J’injecte du gel lubrifiant dans les orifices et je commence (ou prolonge) ma séance de masturbation. En premier, je glisse un petit Plug souple dans mon anus et je me caresse la chatte avec un des godes souples. J’utilise d’abord le plus fin pour passer successivement aux deux tailles supérieures.

Le plus gros de couleur noire fait 5,5 cm de diamètre, le gland, bien marqué, en forme de champignon et le corps avec des veines dessinées en relief. Généralement, je le fixe avec la ventouse sur l’angle de la baignoire ou sur la table basse du salon. En montant et en descendant sur ce phallus artificiel je me conduis rapidement à la jouissance. C’est plus long quand je me sers d’un gode motorisé car je n’ai pas les mêmes sensations. Je préfère nettement la souplesse des godes en silicone. Il m’arrive ainsi d’utiliser deux godes souples, un pour chaque orifice. Là, suivant mon excitation du moment, il m’arrive d’obtenir des orgasmes qui me laissent complètement tétanisée pendant de longues minutes après avoir expulsé de ma chatte quelques jets de liquide. C’est comme cela que j’ai découvert que j’étais une « femme fontaine ».

Dernièrement alors que j’étais à Berlin pendant une semaine pour mon travail, je suis passée par un des quartiers chauds et je suis entrée dans un sex-shop avant de regagner mon hôtel. J’étais à la recherche d’éventuelles nouveautés et surtout d’un œuf vibrant dont j’avais vu la promotion dans une revue féminine qui signalait qu’il n’était pas encore vendu en France. Je l’ai effectivement trouvé et acheté. Mais ce qui m’a le plus intéressé ce sont trois « machines à baiser » qui m’ont été présentées par une hôtesse. La première ressemblait à un cheval d’arçon très bas ou si on veut, un demi cylindre sur lequel on pouvait s’asseoir de différentes façons. Au centre de l’assise, un dispositif permettait de fixer des sexes factices de différents formats actionnés par un mécanisme interne imitant la pénétration. Il y avait même un e sorte de languette munie de picots en caoutchouc…
La profondeur et le rythme de cette dernière pouvaient se régler grâce à une commande reliée à l’appareil. On pouvait également l’utiliser comme sellette pour attacher sur le ventre une femme ou un homme, soit pour le fouetter ou prendre à la bonne hauteur grâce à des pieds réglables. Les deux autres étaient plus sommaires mais le principe était le même. Le premier ne pouvait être utilisé que dans la position allongée, le moteur se fixant par une grosse ventouse au pied de lit, le gode situé à l’extrémité d’une tige était mu par un mécanisme à excentrique. L’autre pouvait s’utiliser aussi en position allongée, mais là, il était présenté fixé sous un siège réglable en hauteur et le sexe factice sortait par un orifice placé au centre.

Devant mon intérêt pour cet appareil, l’hôtesse me précisa qu’il pouvait servir à la pénétration vaginale ou anale, que l’on pouvait aussi choisir la taille du sexe car l’appareil était vendu avec trois accessoires dont un gode articulé à tête rotative et un stimulateur clitoridien. Elle m’offrit même de l’essayer… Elle me guida vers une grande cabine d’essayage du rayon lingerie où était installé un appareil de démonstration. Elle m’installa. Elle mit un préservatif sur le gode simple le plus fin et elle m’aida à m’asseoir. Pendant toutes ses explications, je m’étais bien excitée et ma chatte était lubrifiée. Tenant la commande dans sa main, elle fit monter le sexe lentement pour que je le sente et me laisse pénétrer. Puis elle accéléra les mouvements.

Oulla ! Que c’était bon ! Alternant les pénétrations rapides ou lentes, plus ou moins profondes, elle me conduisait à la jouissance. Pour voir le fonctionnement j’avais remonté ma jupe et j’étais prise par cette machine, les cuisses grandes ouvertes. Pendant tout ce temps la vendeuse caressait sa chatte d’une main par-dessus son pantalon très ajusté sous lequel, visiblement elle ne portait rien tellement les lèvres et son mont de Vénus étaient visibles. De l’autre elle caressait mon pubis. C’était chaud. Heureusement les rideaux de la cabine étaient bien fermés car je ne suis pas trop exhibitionniste.

Lorsque je me suis relevée, j’ai pris la vendeuse dans mes bras pour l’embrasser et la remercier. Elle m’avait bien fait jouir avec la machine, je lui devais bien çà ! D’un même geste, nous avons porté une main sur la chatte de l’autre. N’ayant pas encore remis mon string, j’avais toujours la vulve à l’air. Elle a glissé deux doigts dans ma chatte et les a fait coulisser. Je massais son mont de Vénus par-dessus le pantalon. Je sentais la chaleur de son sexe au travers du tissu. Je ne résistai pas à faire glisser son pantalon et là, j’ai caressé une chatte douce et chaude, ornée d’un fin duvet, jusqu’à ce que la vendeuse jouisse discrètement.

Cet appareil était tellement merveilleux que je passai commande d’un exemplaire à livrer à Paris. J’ai ensuite regagné mon hôtel où, avec délices, je me suis plongée dans un bain chaud pour me caresser deux fois jusqu’à l’orgasme.




Deux semaines ont passé. On sonne à ma porte ! Oui c’est bien çà ! C’est le livreur ! J’ai été prévenue par mail du jour et de l’heure de la livraison de mon achat berlinois et en prévision, j’ai pris une journée de repos...
Dès que la porte est refermée, je n’empresse de déballer ma machine et je l’inaugure aussitôt avec le gros gode. Lorsque j’aurai bien joui de la chatte, je changerai et je me sodomiserai avec le plus fin, celui essayé à Berlin. Je sens déjà que je vais m’offrir de belles séances de plaisir avec cette machine.

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