Flash à la piscine
Récit érotique écrit par Lolo-Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Flash à la piscine
Je vais vous raconter comment j'ai flashé sur un autre mec à la piscine, et comment j'ai réussi à arriver à mes fins au bout de plusieurs semaines de persévérance. Moi, c'est Alex, j'ai 25 ans, je mesure 1m85 pour 74 kilos, dont pas mal de muscles, et je suis brun aux yeux bleus. Je suis un vrai bisexuel, plutôt passif avec les mecs mais pas que, et j'ai autant d'aventures avec les filles qu'avec les garçons, je me pose là où le vent me porte…
Tous les vendredis, je vais nager à la piscine. Dans ma ville de province, j'ai la chance d'avoir un beau bassin de 50m qui reste ouvert jusqu'à tard le vendredi soir. Le complexe nautique est surtout utilisé par un cours d'aquagym fréquenté exclusivement par des femmes, et passé 21h30, le bassin de nage est vide. J'ai donc pris l'habitude de rester jusqu'à la fermeture de 22h15 pour faire mes longueurs. Un jour, j'ai été rejoint par un autre gars sur lequel j'ai carrément flashé : à peu près le même gabarit que moi, probablement 2-3 années de plus que moi, et avec une musculature de rêve. En plus, il a naturellement une peau mat et lisse, on remarque juste quelques poils éparses sur ses bras. Il a des yeux noirs et une coupe de cheveux très courts, de la même couleur. On a nagé tous les deux sur deux lignes différentes, quasiment au même rythme, et on est sorti au même moment. Direction la douche, où j'ai pu détailler son anatomie et notamment ses belles fesses rebondies, ainsi qu'un beau paquet moulé dans son boxer noir. Le règlement de la piscine interdit de se mettre nu, et on s'est donc savonné et rincé en maillot, tout en se rinçant comme on pouvait pour s'occuper de l'intérieur du maillot. On avait quasiment fini ensemble, et on s'est aussi retrouvé à la sortie, sans surprise… C'est en rentrant chez moi que je me suis dit qu'il était canon, et j'ai pensé à lui toute la semaine qui a suivi. Aussi, quand le même scénario s'est reproduit la semaine suivante, je me suis décidé à l'aborder sous la douche :
- Bonne séance de natation aujourd'hui ! Moi, c'est Alex. C'est la deuxième semaine que je te vois, avant j'étais tout seul à nager si tard, j'espère que tu comptes rester sur ce créneau ?
- Enchanté Alex, moi c'est Emmanuel. Oui, je compte essayer de persévérer. Ma femme a un cours de zumba pas très loin à la même heure, et du coup moi je peux aller à la piscine et on se retrouve à la sortie. C'est carrément agréable de nager avec aussi peu de monde, c'est toujours comme ça ?
- Ouais, passé 21h30, les nageurs repartent. Et le complexe reste ouvert pour le cours d'aquagym, qui dispose de ce créneau pour l'année, donc ça restera comme ça. C'est effectivement trop bien, on peut profiter au maximum de l'eau, et nager comme on veut sans être gêné.
Et on se quitte en se disant à la semaine prochaine. On passe encore deux semaines comme ça, pendant lesquelles on peut sympathiser. Le courant passe vraiment super bien entre nous, et je le trouve toujours autant à mon goût. Mon approche est concluant, j'ai réussi à me lier avec lui sans l'effaroucher, et la semaine suivante, je décide de me lancer dans une étape décisive :
- Je ne veux pas te gêner, mais j'aimerais me savonner un peu mieux ce soir, je dois filer à un rendez-vous ciné avec une nana, et j'ai pas envie de puer le chlore. Ça ne t'ennuie pas trop que je tombe le maillot ?
- Euh, non, tu peux y aller, j'ai fait du handball pendant toute mon adolescence et j'ai l'habitude des douches collectives des vestiaires.
- Super, ça m'arrange. Je préfère te demander, je ne veux pas passer pour un exhibitionniste, voire te transformer en voyeur d'ailleurs…
Et je baisse mon slip de bain pour commencer à me savonner consciencieusement. On est face à face, et j'ai bien vu qu'il n'avait pas pu s'empêcher de mater ma bite, c'est donc un bon début. Je décide donc d'accélérer un peu le mouvement :
- Ne te gêne pas pour moi non plus si tu veux faire pareil, moi aussi j'ai connu les vestiaires collectifs, je faisais du foot !
Et j'ajoute en rigolant :
- En plus franchement, je trouve leurs règles pas du tout hygiéniques, la douche à poil devrait être obligatoire en entrée et en sortie de piscine, même s'il fallait pour ça monter des douches séparées pour préserver la pudeur des petites bites, je pourrais comprendre !
En me débrouillant pour sous-entendre que si on ne tombe pas le maillot, c'est parce qu'on a une petite bite, je l'oblige à réagir. Et ça ne loupe pas. En acquiesçant sur les règles d'hygiène et en rigolant à sont tour, il baisse son boxer, dévoilant ainsi l'objet de mes désirs. Je peux constater que comme moi, il est épilé et qu'il ne reste que des poils coupés très courts au niveau du pubis, juste au-dessus de son sexe. Je dois faire un effort de diversion énorme dans ma tête pour retenir une érection ! Et on peut continuer à se laver tout en discutant comme si de rien n'était... Je peux admirer sans me cacher sa belle musculature et ses fesse rebondies quand il est de dos. Et je mate discrètement sa belle bite quand il est de face. Je suis certain qu'il fait pareil de son côté, et d'ailleurs, je suis aux anges quand je peux remarquer que son bel engin n'est plus tout aussi au repos qu'il l'était quand on a commencé. Je fais bien attention à ne pas faire remarquer quoi que ce soit, mais je prends mon temps pour me sécher dans l'espace des douches plutôt que d'aller dans une cabine, et du coup, Emmanuel fait de même. Il engage la conversation sur mon absence de marque de bronzage :
- Je mate pas plus que quelqu'un d'autre, mais j'ai quand même remarqué que tu n'as pas de marque de maillot, tu bronzes tout nu tout le temps ?
- T'inquiète, moi aussi je mate un peu, comme tous les mecs. On aime bien se mesurer, c'est naturel. Et pour ce qui est de mon bronzage, oui, je ne fréquente que des plages naturistes, depuis mes 19 ans. J'ai commencé avec une bande de potes, garçons et filles je précise, à la fac de Bordeaux. Une fois qu'on a commencé, c'est difficile de revenir au textile. Toi tu gardes ton boxer tout le temps vu ta marque.
- Ouais, mais c'est vrai que j'aime pas trop ces grandes zones blanches. Je pensais déjà revenir au slip de bain comme quand j'étais plus jeune, ce serait déjà mieux… Mais pour le naturisme, je pense que ma femme ne voudra pas. Il faudrait que l'on commence sur une plage mixte peut-être. A réfléchir...
On repart finalement chacun de notre côté et se disant à vendredi prochain. Je prie pendant toute la semaine de le revoir le vendredi, en ayant peur d'être allé trop loin. Et je suis rassuré de le voir arriver, et même agréablement surpris de voir qu'il a changé son boxer pour un slip de bain bleu turquoise, taille basse et bien échancré. Il est superbe dedans, ses belles fesses sont bien mises en valeur, et on devine même la forme de sa bite derrière le tissus de son nouveau maillot qui ne m'a pas l'air doublé.
- Tu as changé de maillot, j'aime bien.
- Mon boxer était usé, et puis je trouve que quand on nage pas mal, c'est mieux d'être libre de ses mouvements. Mais je le trouve un peu moulant non ?
- Ça l'est forcément… Le mien l'est aussi, mais je trouve ça plus confortable pour nager aussi. Et puis quand on a la chance comme nous de pouvoir mettre en valeur son anatomie, il ne faut pas s'en priver. Je peux te dire que j'ai vu pas mal de fille de l'aquagym de détailler quand tu sortais de la douche…
- C'est ma femme qui me l'a acheté samedi dernier, et on est allé à la piscine tous les deux le dimanche. Elle m'a dit que mon maillot m'allait très bien et qu'elle était très contente de mon effet. Je sais qu'elle aime faire des jalouses…
- Elle devait donc être très contente de montrer que tu était son mari ! Les filles sont toujours joueuses entre elles je trouve !
On finit par faire nos longueurs. En sortant de l'eau, je peux constater que son maillot est vraiment au top ! Il n'y a plus d'air dedans, et le tissus le moule à la perfection, que ce soit devant où on voit parfaitement son bel engin, ou derrière où le tissus lui rentre légèrement entre les fesses. Super sexy ! Arrivés dans les douches, j'enlève tout de suite mon maillot pour me doucher sans rien demander, et Emmanuel me suit. On est toujours face à face, et franchement, je trouve qu'il joue le jeu du naturel avec juste ce qu'il faut d'exhibition… La semaine suivante, je décide de ne rien faire de plus, histoire de continuer à le mettre en confiance, mais celle d'après, je me décide à attaquer. Après avoir enlevé mon slip de bain, j'ouvre l'eau de la douche et je laisse couler l'eau un bon moment avant de déclarer :
- Bon sang, c'est froid ici, ils doivent avoir un problème d’alimentation d'eau chaude. C'est chaud de ton côté ?
- Oui, tout va bien, c'est comme d'habitude.
- Bon, j'arrive de ton côté alors.
Et je m'installe donc juste à côté de lui. Je fais bien attention à bien rester sous mon jet de douche, sans me décaler, et Emmanuel fait pareil, on est donc très proche l'un de l'autre. Je fais tomber mon gel douche, et je m'accroupis face à lui pour le ramasser, ce qui fait que j'ai la tête juste au niveau de sa bite. Je reste comme ça quelques secondes pour pouvoir faire exprès de remonter doucement mon regard jusqu'au sien.
- Je ne me suis pas penché en avant pour ramasser mon savon, y'a trop d’histoires qui circulent, mais j'avoue que vu comme ça, ça pourrait porter aussi à confusion…
- T'es con !
Je vois qu'il a rougi. Je remarque qu'en quelques secondes, sa bite est maintenant à moitié bandée. Ça y est, il a perdu ses moyens c'est donc le bon moment d'attaquer. Je regarde bien son engin, puis je le fixe à nouveau dans les yeux pour me lancer dans la phase finale de mon plan :
- Je suis peut-être con, mais je vois bien que tu t'imagines que ma bouche est bien près de ta bite et qu'elle pourrait la sucer !
- Non, c'est pas ça.
- Pourtant, tu bandes comme un âne maintenant. Laisse moi faire, je sais comment m'y prendre.
Et je m'approche pour enfourner son manche. Il est tétanisé, et pousse des gémissements de plaisir quand je me mets à le sucer. Je lui ai saisi les couilles dans ma main droite, tandis que ma main gauche m'aide à le sucer, et j'arrive à l'enfourner jusqu'au bout. Je l'entend qui dit :
- Oh putain c'est bon, mais c'est pas bien, il faut arrêter ça, je suis marié, non c'est pas bien…
Mais au lieu de se défaire, il commence à me maintenir la tête sur sa bite pour que je continue. Je m'applique, et je le lèche tout le long de son manche, je descends jusqu'au couilles, je remonte jusqu'au gland que je suce doucement mai fermement, tout en lui reprenant les couilles dans la main. Je ne veux pas que ça dure très longtemps, car le cour d'aquagym va bientôt finir et on pourrait nous entendre. J'ai fait un bon boulot, et Emmanuel veut subitement se dégager alors que je sens sous ses couilles une contraction qui annonce son éjaculation. Mais je résiste et m'enfile sa bite au fond de la gorge pour pouvoir avaler son jus qui est très abondant. Emmanuel en a un tremblement dans les jambes. Je me retire finalement, et je prends soin de lui redonner un dernier coup de langue avant de me remettre debout, pour commencer à me branler tellement ma bite est dure et tellement je suis excité d'avoir réussi à le sucer, et dans les douches de la piscine en plus ! Emmanuel me regarde comme fasciné par ce spectacle, il n'arrive pas à détacher son regard de ma main droite qui s'agite le long de mon sexe. Je ne tarde pas à gicler sur le mur de la douche. On reste encore quelque minutes sous la douche sans rien dire, et on se sèche en silence. Je prends finalement la parole pour couper le silence :
- Bon c'est pas tout ces conneries, mais il faut aller s'habiller maintenant.
Quand je sors de ma cabine, Emmanuel est déjà parti, et je me dis que je ne le reverrai peut-être pas, qu'il a dû avoir honte de s'être laissé sucer par un autre mec. Mais il m'attend dehors.
- Alex, t'es gay ? Je croyais que tu voyais des filles ? Moi, je ne suis pas gay, je suis marié, et j'ai pas envie que ce qu'on a fait ce soir me gâche la vie tu comprends.
- T'inquiète pas, ce qui se fait dans les vestiaires reste dans les vestiaires. Et non, je ne suis pas gay, je suis bisexuel, j'aime autant bouffer des minous que sucer des bites. Je n'avais rien programmé avec toi, mais la promiscuité sous la douche, et ta bite à moitié bandée m'ont fait envie. Je ne regrette pas, j'ai adoré te sucer, et je sais que tu as pris ton pied aussi. Mais c'est arrivé comme ça, et on n'est pas obligé d'en reparler si tu veux. On se revoit la semaine prochaine ?
- J'ai jamais eu de copain gay ou bisex, ça fait bizarre quand-même. Oui, j'ai pris mon pied, tu l'as bien vu, et j'ai jamais joui comme ça avec une pipe c'est sûr, mais le mieux c'est de dire qu'on en reste là. Dans ces conditions, okay pour la semaine prochaine !
La semaine d'après il est au rendez-vous, donc on enchaîne longueurs, douche à poil face à face (je fais remarquer qu'ils ont réparé l'eau chaude), discussion, RAS. Mais je vois bien qu'Emmanuel me mate et que sa bite n'est pas complètement au repos. Aussi le vendredi suivant, je lui donne à mater mon cul plus que de coutume. Je me mets de dos et je me baisse un peu en me mettant en équilibre sur une jambe pour me savonner le pied de la jambe opposée, ce qui fait que je suis certain qu'il a une super vue sur mon trou du cul et mon service trois pièces qui pend entre les jambes. Je prends mon temps pour faire le deux pieds et dandiner du cul juste ce qu'il faut. Quand je me retourne, je le vois de dos, et son mouvement de bras ne fait pas de doute quant à ce qu'il fait : il se branle ! Ça ne fait maintenant aucun doute, mon cul l'a excité et il n'a pas pu se contrôler. Je décide de m'approcher de lui par le côté. Il me voit et continue à s'astiquer. Je me rapproche encore, nos corps se touchent, ma bite est collée à sa cuisse et je lui saisis les couilles doucement. Il me regarde sans rien dire, l'air vaincu, et enlève sa main de son engin pour que je puisse y mettre la mienne. Je me colle encore un peu plus à lui de face, et je descends tout doucement le long de son corps pour enfourner sa queue dans ma bouche et lui prodiguer la fellation qu'il attend. J'y mets toute mon expérience et toute la douceur que je peux, et j'en profite pour lui malaxer les fesses et même passer un doigt sur sa rosette pendant que ma langue s'occupe de son gland. Il gémit, mais je comprends bien que c'est du plaisir, et effectivement, il ne tarde pas à jouir dans ma bouche assez rapidement. Je me remets debout et tente un baiser, qu'il accepte avec fougue, et nos langues peuvent se mélanger et échanger un peu de son foutre. Pendant ce temps, je me branle pour évacuer mon excitation qui est à son comble, quand je sens sa main qui veut remplacer la mienne. C'est dire si je le laisse m'astiquer. Je le positionne collé derrière moi, je sens sa bite entre mes fesses tandis que sa main droite va et vient sur mon sexe, et que sa main gauche me caresse le ventre et les cuisses. Je ne tarde pas à jouir dans un râle de soulagement. Comme la dernière fois, on finit par se sécher en silence puis par rejoindre nos cabines pour nous habiller. A la sortie, Emmanuel me dit :
- Tu serais libre mercredi soir prochain pour venir prendre un verre chez moi ? Ma femme sera à Paris pour deux jours pour son boulot, et je me demandais si on pouvait passer à la piscine. Il y aura un peu plus de monde, mais ça met en condition, et puis si tu veux passer sous la douche à la maison pour ne pas sentir le chlore, y'a tout ce qu'il faut, j'ai une salle de bain avec une grande douche à l'italienne.
- Ça c'est une invitation qui ne se refuse pas ! On se retrouve ici à 19h00 ?
L'affaire est dans le sac ! Cela va même carrément au-delà de toutes mes espérances. Je suis sûr que mon cul va devoir se préparer à bien encaisser, mais je sens aussi qu'en m'y prenant bien et avec un peu de temps, je pourrai peut-être renverser la situation...
Tous les vendredis, je vais nager à la piscine. Dans ma ville de province, j'ai la chance d'avoir un beau bassin de 50m qui reste ouvert jusqu'à tard le vendredi soir. Le complexe nautique est surtout utilisé par un cours d'aquagym fréquenté exclusivement par des femmes, et passé 21h30, le bassin de nage est vide. J'ai donc pris l'habitude de rester jusqu'à la fermeture de 22h15 pour faire mes longueurs. Un jour, j'ai été rejoint par un autre gars sur lequel j'ai carrément flashé : à peu près le même gabarit que moi, probablement 2-3 années de plus que moi, et avec une musculature de rêve. En plus, il a naturellement une peau mat et lisse, on remarque juste quelques poils éparses sur ses bras. Il a des yeux noirs et une coupe de cheveux très courts, de la même couleur. On a nagé tous les deux sur deux lignes différentes, quasiment au même rythme, et on est sorti au même moment. Direction la douche, où j'ai pu détailler son anatomie et notamment ses belles fesses rebondies, ainsi qu'un beau paquet moulé dans son boxer noir. Le règlement de la piscine interdit de se mettre nu, et on s'est donc savonné et rincé en maillot, tout en se rinçant comme on pouvait pour s'occuper de l'intérieur du maillot. On avait quasiment fini ensemble, et on s'est aussi retrouvé à la sortie, sans surprise… C'est en rentrant chez moi que je me suis dit qu'il était canon, et j'ai pensé à lui toute la semaine qui a suivi. Aussi, quand le même scénario s'est reproduit la semaine suivante, je me suis décidé à l'aborder sous la douche :
- Bonne séance de natation aujourd'hui ! Moi, c'est Alex. C'est la deuxième semaine que je te vois, avant j'étais tout seul à nager si tard, j'espère que tu comptes rester sur ce créneau ?
- Enchanté Alex, moi c'est Emmanuel. Oui, je compte essayer de persévérer. Ma femme a un cours de zumba pas très loin à la même heure, et du coup moi je peux aller à la piscine et on se retrouve à la sortie. C'est carrément agréable de nager avec aussi peu de monde, c'est toujours comme ça ?
- Ouais, passé 21h30, les nageurs repartent. Et le complexe reste ouvert pour le cours d'aquagym, qui dispose de ce créneau pour l'année, donc ça restera comme ça. C'est effectivement trop bien, on peut profiter au maximum de l'eau, et nager comme on veut sans être gêné.
Et on se quitte en se disant à la semaine prochaine. On passe encore deux semaines comme ça, pendant lesquelles on peut sympathiser. Le courant passe vraiment super bien entre nous, et je le trouve toujours autant à mon goût. Mon approche est concluant, j'ai réussi à me lier avec lui sans l'effaroucher, et la semaine suivante, je décide de me lancer dans une étape décisive :
- Je ne veux pas te gêner, mais j'aimerais me savonner un peu mieux ce soir, je dois filer à un rendez-vous ciné avec une nana, et j'ai pas envie de puer le chlore. Ça ne t'ennuie pas trop que je tombe le maillot ?
- Euh, non, tu peux y aller, j'ai fait du handball pendant toute mon adolescence et j'ai l'habitude des douches collectives des vestiaires.
- Super, ça m'arrange. Je préfère te demander, je ne veux pas passer pour un exhibitionniste, voire te transformer en voyeur d'ailleurs…
Et je baisse mon slip de bain pour commencer à me savonner consciencieusement. On est face à face, et j'ai bien vu qu'il n'avait pas pu s'empêcher de mater ma bite, c'est donc un bon début. Je décide donc d'accélérer un peu le mouvement :
- Ne te gêne pas pour moi non plus si tu veux faire pareil, moi aussi j'ai connu les vestiaires collectifs, je faisais du foot !
Et j'ajoute en rigolant :
- En plus franchement, je trouve leurs règles pas du tout hygiéniques, la douche à poil devrait être obligatoire en entrée et en sortie de piscine, même s'il fallait pour ça monter des douches séparées pour préserver la pudeur des petites bites, je pourrais comprendre !
En me débrouillant pour sous-entendre que si on ne tombe pas le maillot, c'est parce qu'on a une petite bite, je l'oblige à réagir. Et ça ne loupe pas. En acquiesçant sur les règles d'hygiène et en rigolant à sont tour, il baisse son boxer, dévoilant ainsi l'objet de mes désirs. Je peux constater que comme moi, il est épilé et qu'il ne reste que des poils coupés très courts au niveau du pubis, juste au-dessus de son sexe. Je dois faire un effort de diversion énorme dans ma tête pour retenir une érection ! Et on peut continuer à se laver tout en discutant comme si de rien n'était... Je peux admirer sans me cacher sa belle musculature et ses fesse rebondies quand il est de dos. Et je mate discrètement sa belle bite quand il est de face. Je suis certain qu'il fait pareil de son côté, et d'ailleurs, je suis aux anges quand je peux remarquer que son bel engin n'est plus tout aussi au repos qu'il l'était quand on a commencé. Je fais bien attention à ne pas faire remarquer quoi que ce soit, mais je prends mon temps pour me sécher dans l'espace des douches plutôt que d'aller dans une cabine, et du coup, Emmanuel fait de même. Il engage la conversation sur mon absence de marque de bronzage :
- Je mate pas plus que quelqu'un d'autre, mais j'ai quand même remarqué que tu n'as pas de marque de maillot, tu bronzes tout nu tout le temps ?
- T'inquiète, moi aussi je mate un peu, comme tous les mecs. On aime bien se mesurer, c'est naturel. Et pour ce qui est de mon bronzage, oui, je ne fréquente que des plages naturistes, depuis mes 19 ans. J'ai commencé avec une bande de potes, garçons et filles je précise, à la fac de Bordeaux. Une fois qu'on a commencé, c'est difficile de revenir au textile. Toi tu gardes ton boxer tout le temps vu ta marque.
- Ouais, mais c'est vrai que j'aime pas trop ces grandes zones blanches. Je pensais déjà revenir au slip de bain comme quand j'étais plus jeune, ce serait déjà mieux… Mais pour le naturisme, je pense que ma femme ne voudra pas. Il faudrait que l'on commence sur une plage mixte peut-être. A réfléchir...
On repart finalement chacun de notre côté et se disant à vendredi prochain. Je prie pendant toute la semaine de le revoir le vendredi, en ayant peur d'être allé trop loin. Et je suis rassuré de le voir arriver, et même agréablement surpris de voir qu'il a changé son boxer pour un slip de bain bleu turquoise, taille basse et bien échancré. Il est superbe dedans, ses belles fesses sont bien mises en valeur, et on devine même la forme de sa bite derrière le tissus de son nouveau maillot qui ne m'a pas l'air doublé.
- Tu as changé de maillot, j'aime bien.
- Mon boxer était usé, et puis je trouve que quand on nage pas mal, c'est mieux d'être libre de ses mouvements. Mais je le trouve un peu moulant non ?
- Ça l'est forcément… Le mien l'est aussi, mais je trouve ça plus confortable pour nager aussi. Et puis quand on a la chance comme nous de pouvoir mettre en valeur son anatomie, il ne faut pas s'en priver. Je peux te dire que j'ai vu pas mal de fille de l'aquagym de détailler quand tu sortais de la douche…
- C'est ma femme qui me l'a acheté samedi dernier, et on est allé à la piscine tous les deux le dimanche. Elle m'a dit que mon maillot m'allait très bien et qu'elle était très contente de mon effet. Je sais qu'elle aime faire des jalouses…
- Elle devait donc être très contente de montrer que tu était son mari ! Les filles sont toujours joueuses entre elles je trouve !
On finit par faire nos longueurs. En sortant de l'eau, je peux constater que son maillot est vraiment au top ! Il n'y a plus d'air dedans, et le tissus le moule à la perfection, que ce soit devant où on voit parfaitement son bel engin, ou derrière où le tissus lui rentre légèrement entre les fesses. Super sexy ! Arrivés dans les douches, j'enlève tout de suite mon maillot pour me doucher sans rien demander, et Emmanuel me suit. On est toujours face à face, et franchement, je trouve qu'il joue le jeu du naturel avec juste ce qu'il faut d'exhibition… La semaine suivante, je décide de ne rien faire de plus, histoire de continuer à le mettre en confiance, mais celle d'après, je me décide à attaquer. Après avoir enlevé mon slip de bain, j'ouvre l'eau de la douche et je laisse couler l'eau un bon moment avant de déclarer :
- Bon sang, c'est froid ici, ils doivent avoir un problème d’alimentation d'eau chaude. C'est chaud de ton côté ?
- Oui, tout va bien, c'est comme d'habitude.
- Bon, j'arrive de ton côté alors.
Et je m'installe donc juste à côté de lui. Je fais bien attention à bien rester sous mon jet de douche, sans me décaler, et Emmanuel fait pareil, on est donc très proche l'un de l'autre. Je fais tomber mon gel douche, et je m'accroupis face à lui pour le ramasser, ce qui fait que j'ai la tête juste au niveau de sa bite. Je reste comme ça quelques secondes pour pouvoir faire exprès de remonter doucement mon regard jusqu'au sien.
- Je ne me suis pas penché en avant pour ramasser mon savon, y'a trop d’histoires qui circulent, mais j'avoue que vu comme ça, ça pourrait porter aussi à confusion…
- T'es con !
Je vois qu'il a rougi. Je remarque qu'en quelques secondes, sa bite est maintenant à moitié bandée. Ça y est, il a perdu ses moyens c'est donc le bon moment d'attaquer. Je regarde bien son engin, puis je le fixe à nouveau dans les yeux pour me lancer dans la phase finale de mon plan :
- Je suis peut-être con, mais je vois bien que tu t'imagines que ma bouche est bien près de ta bite et qu'elle pourrait la sucer !
- Non, c'est pas ça.
- Pourtant, tu bandes comme un âne maintenant. Laisse moi faire, je sais comment m'y prendre.
Et je m'approche pour enfourner son manche. Il est tétanisé, et pousse des gémissements de plaisir quand je me mets à le sucer. Je lui ai saisi les couilles dans ma main droite, tandis que ma main gauche m'aide à le sucer, et j'arrive à l'enfourner jusqu'au bout. Je l'entend qui dit :
- Oh putain c'est bon, mais c'est pas bien, il faut arrêter ça, je suis marié, non c'est pas bien…
Mais au lieu de se défaire, il commence à me maintenir la tête sur sa bite pour que je continue. Je m'applique, et je le lèche tout le long de son manche, je descends jusqu'au couilles, je remonte jusqu'au gland que je suce doucement mai fermement, tout en lui reprenant les couilles dans la main. Je ne veux pas que ça dure très longtemps, car le cour d'aquagym va bientôt finir et on pourrait nous entendre. J'ai fait un bon boulot, et Emmanuel veut subitement se dégager alors que je sens sous ses couilles une contraction qui annonce son éjaculation. Mais je résiste et m'enfile sa bite au fond de la gorge pour pouvoir avaler son jus qui est très abondant. Emmanuel en a un tremblement dans les jambes. Je me retire finalement, et je prends soin de lui redonner un dernier coup de langue avant de me remettre debout, pour commencer à me branler tellement ma bite est dure et tellement je suis excité d'avoir réussi à le sucer, et dans les douches de la piscine en plus ! Emmanuel me regarde comme fasciné par ce spectacle, il n'arrive pas à détacher son regard de ma main droite qui s'agite le long de mon sexe. Je ne tarde pas à gicler sur le mur de la douche. On reste encore quelque minutes sous la douche sans rien dire, et on se sèche en silence. Je prends finalement la parole pour couper le silence :
- Bon c'est pas tout ces conneries, mais il faut aller s'habiller maintenant.
Quand je sors de ma cabine, Emmanuel est déjà parti, et je me dis que je ne le reverrai peut-être pas, qu'il a dû avoir honte de s'être laissé sucer par un autre mec. Mais il m'attend dehors.
- Alex, t'es gay ? Je croyais que tu voyais des filles ? Moi, je ne suis pas gay, je suis marié, et j'ai pas envie que ce qu'on a fait ce soir me gâche la vie tu comprends.
- T'inquiète pas, ce qui se fait dans les vestiaires reste dans les vestiaires. Et non, je ne suis pas gay, je suis bisexuel, j'aime autant bouffer des minous que sucer des bites. Je n'avais rien programmé avec toi, mais la promiscuité sous la douche, et ta bite à moitié bandée m'ont fait envie. Je ne regrette pas, j'ai adoré te sucer, et je sais que tu as pris ton pied aussi. Mais c'est arrivé comme ça, et on n'est pas obligé d'en reparler si tu veux. On se revoit la semaine prochaine ?
- J'ai jamais eu de copain gay ou bisex, ça fait bizarre quand-même. Oui, j'ai pris mon pied, tu l'as bien vu, et j'ai jamais joui comme ça avec une pipe c'est sûr, mais le mieux c'est de dire qu'on en reste là. Dans ces conditions, okay pour la semaine prochaine !
La semaine d'après il est au rendez-vous, donc on enchaîne longueurs, douche à poil face à face (je fais remarquer qu'ils ont réparé l'eau chaude), discussion, RAS. Mais je vois bien qu'Emmanuel me mate et que sa bite n'est pas complètement au repos. Aussi le vendredi suivant, je lui donne à mater mon cul plus que de coutume. Je me mets de dos et je me baisse un peu en me mettant en équilibre sur une jambe pour me savonner le pied de la jambe opposée, ce qui fait que je suis certain qu'il a une super vue sur mon trou du cul et mon service trois pièces qui pend entre les jambes. Je prends mon temps pour faire le deux pieds et dandiner du cul juste ce qu'il faut. Quand je me retourne, je le vois de dos, et son mouvement de bras ne fait pas de doute quant à ce qu'il fait : il se branle ! Ça ne fait maintenant aucun doute, mon cul l'a excité et il n'a pas pu se contrôler. Je décide de m'approcher de lui par le côté. Il me voit et continue à s'astiquer. Je me rapproche encore, nos corps se touchent, ma bite est collée à sa cuisse et je lui saisis les couilles doucement. Il me regarde sans rien dire, l'air vaincu, et enlève sa main de son engin pour que je puisse y mettre la mienne. Je me colle encore un peu plus à lui de face, et je descends tout doucement le long de son corps pour enfourner sa queue dans ma bouche et lui prodiguer la fellation qu'il attend. J'y mets toute mon expérience et toute la douceur que je peux, et j'en profite pour lui malaxer les fesses et même passer un doigt sur sa rosette pendant que ma langue s'occupe de son gland. Il gémit, mais je comprends bien que c'est du plaisir, et effectivement, il ne tarde pas à jouir dans ma bouche assez rapidement. Je me remets debout et tente un baiser, qu'il accepte avec fougue, et nos langues peuvent se mélanger et échanger un peu de son foutre. Pendant ce temps, je me branle pour évacuer mon excitation qui est à son comble, quand je sens sa main qui veut remplacer la mienne. C'est dire si je le laisse m'astiquer. Je le positionne collé derrière moi, je sens sa bite entre mes fesses tandis que sa main droite va et vient sur mon sexe, et que sa main gauche me caresse le ventre et les cuisses. Je ne tarde pas à jouir dans un râle de soulagement. Comme la dernière fois, on finit par se sécher en silence puis par rejoindre nos cabines pour nous habiller. A la sortie, Emmanuel me dit :
- Tu serais libre mercredi soir prochain pour venir prendre un verre chez moi ? Ma femme sera à Paris pour deux jours pour son boulot, et je me demandais si on pouvait passer à la piscine. Il y aura un peu plus de monde, mais ça met en condition, et puis si tu veux passer sous la douche à la maison pour ne pas sentir le chlore, y'a tout ce qu'il faut, j'ai une salle de bain avec une grande douche à l'italienne.
- Ça c'est une invitation qui ne se refuse pas ! On se retrouve ici à 19h00 ?
L'affaire est dans le sac ! Cela va même carrément au-delà de toutes mes espérances. Je suis sûr que mon cul va devoir se préparer à bien encaisser, mais je sens aussi qu'en m'y prenant bien et avec un peu de temps, je pourrai peut-être renverser la situation...
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire
Juste suffisamment de teasing pour une suite qu'on attend avec impatience.
C'est chaud la piscine avec toi
Juste suffisamment de teasing pour une suite qu'on attend avec impatience.
C'est chaud la piscine avec toi
Super, cette histoire de mecs bi...C'est tout ce que j'aime: moi, marié, je baise avec un mec marié qui adore ma bite dans son cul, et un peu exhib, en plus...Peut-être je raconterai nos meilleurs moments, un jour ?
Il m'est arrivé à peu près la même histoire, avec Ali ( voir "Ali") en 2014. On a conclu plus vite, on s'est revu de nombreuses fois, à 2, à 3. Ca a toujours été le superpied ! ( Akileditu)
Ca m'a excité grave....J'ai joui dans mon slip... (akileditu)
salut tres belle histoire ca donne envie hâte de lire la suite a bientot
Superbe histoire. Ca fait rêver....
Belle histoire , c'est en étant patient que l'ont arrive aussi à de bons résultats pas seulement avec de la violence mentale ou autre . Vivement la suite
Très belle histoire, tu as mis le temps pour ne pas le brusquer et tu as réussi, tu es patient c est cool.
J espère pouvoir lire la suite ^^
J espère pouvoir lire la suite ^^
Suberbe histoire, vivement la suite!
et oui les mecs, vous êtes tous identiques ou quasiment, la bite vous excite autant que les femmes, vivement la suite!!
hummm belle histoire, vivement la suite (^^)