Florian

- Par l'auteur HDS Gay30a18 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Florian Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Florian
Il y a un peu plus d’un an, j’élevais encore mon petit frère puisque je suis l’aîné de la fratrie et qu’il est normal que je m’occupe de lui puisque ma mère est incapable de le faire. De ce fait, mon appartement était souvent rempli d’adolescents et comme j’ai un esprit plutôt jeune, je m’entendais très bien avec ces derniers. Ensuite, mon frère est parti chez ma tante car ma famille estimait qu’à bientôt trente ans, il était plus que temps que je fasse ma vie. Du coup, je me suis retrouvé très vite seul mais je continuais à voir certains amis de mon petit frère, en particulier Florian qui vivait dans mon quartier. Je ne compte plus le nombre de fois où je le croisais dans le secteur et à chaque fois, on se plaisait à perdre de précieuses secondes, juste pour discuter.

Florian a fêté ses dix-huit ans il n’y a pas longtemps et il est toujours aussi beau que le premier jour où j’ai fait sa connaissance grâce à mon petit frère. D’ailleurs, je ne le remercierais jamais assez car hier soir, vendredi 26 janvier 2013, il s’est passé quelque chose d’incroyable et j’ai toujours du mal à m’en remettre. Je vous rassure, ce n’est pas un moment pénible que nous avons passé ensemble, bien au contraire. Florian est un jeune homme qui a poussé très vite lorsqu’il était adolescent. Il ne fait pas loin du mètre quatre-vingt-quinze, est svelte, a la peau blanche mais surtout, ses cheveux sont bruns et courts tandis que ses yeux sont marrons.

Ce gosse vit seul avec sa mère et il en est très proche. Tout comme moi, son père l’a abandonné assez tôt et cela explique le fait qu’il soit souvent triste et que je me suis pris d’affection pour lui. D’ailleurs, je le considère comme un second petit frère et il en est de même de son côté. Combien de fois, au moment de le quitter, je l’entendais me dire « à bientôt grand frère » ? Au début de notre amitié, je le voyais souvent dans le quartier avec l’une de ses petites amies.

Néanmoins, au lieu de marcher à ses côtés comme le ferait un véritable amoureux transi, il se tenait à plusieurs centimètres devant cette dernière. Vu le visage grave qu’il affichait dans ces moments, j’avais plutôt l’impression qu’il avait honte de s’afficher avec cette demoiselle alors qu’elle était vraiment charmante. A cette vision, je me suis mis à me poser des questions à son sujet mais je ne voulais pas lui demander directement. Après tout, c’est sa vie et il est libre de la mener comme bon lui semble. De plus, il sait que je suis gay donc, s’il se posait des interrogations, Florian sait qu’il peut venir frapper à la porte quand il veut.

Hier soir, alors que je me posais sur mon canapé, m’apprêtant à regarder une émission à la télévision, j’entendis mon téléphone sonner. La sonnerie était courte et donc, je compris que je venais de recevoir un sms. Son envoyeur n’était autre que Florian qui me disait bonsoir, avant de me demander s’il pouvait passer me voir. Naturellement, je lui répondis par le positif tout en lui précisant que j’étais en petite tenue puisque je sortais de la douche. Ce détail n’avait aucune importance pour lui et à la fin de cette conversation, j’attendais sa venue.

Au bout de plusieurs secondes, la sonnette retentit à l’intérieur de mon appartement. En me levant de mon canapé, j’attrapai mon peignoir bleu clair qui reposait sur le dossier d’une chaise et l’enfila très vite. Lorsque j’arrivai devant la porte d’entrée, je fis un nœud à la ceinture et ouvris. Face à moi se tenait Florian, revêtu d’un pantalon noir, d’un sweat de la même couleur et dont la capuche recouvrait sa tête. Vu le froid qu’il régnait dehors à ce moment, il était normal que Florian se présente dans une telle tenue.

Rapidement, je le fis entrer chez moi et une fois la porte fermée, je lui proposai de me suivre jusqu’au salon. Une fois dans la pièce, je lui demandai s’il voulait boire quelque chose et sa réponse fut négative. Comme mon émission était sur le point de commencer, je l’invitai à s’installer avec moi sur le canapé, ce qu’il accepta. Ma jambe gauche pliée sur le canapé tandis que la seconde était au sol, j’étais assis de telle sorte que j’étais tourné vers lui, au cas où Florian voudrait faire la conversation. De toute façon, comme il était venu me voir, je savais bien que tôt ou tard, nous bavarderons.

Soudain, Florian me demanda d’écarter un peu mes jambes pour qu’il puisse s’installer confortablement au milieu. Cette proposition m’étonna un peu mais bon, du fait qu’on se considère comme des frères, je vis cela comme un comportement fraternel et rien de plus. Du coup, il fit basculer sa capuche derrière sa tête et vint coller son bassin contre le mien. Rapidement, je me retrouvai avec sa chevelure brune sous le nez et je n’ai pas hésité une seule seconde à humer le parfum qui s’en dégageait. Une chose est sûre, c’est qu’il avait dû prendre une douche avant de venir car ses cheveux dégageaient une légère odeur de pomme verte.

«Tu sens très bon.» lui dis-je.»

Et il me répondit après un rire.

«Merci mais toi aussi puisque tu sors de la douche.»

Et tout naturellement, je lui fis un bisou sur la joue. Là, il m’imita mais ne se limita pas qu’un à seul baiser. Allait-il mal ? Avait-il besoin d’être réconforté ? Je voulais lui poser la question lorsqu’il me fit un autre bisou mais dans le cou cette fois. Ensuite, Florian me demanda la chose suivante :

«Je peux poser ma tête sur ton torse pour regarder la télévision avec toi ? »

Bien sûr qu’il pouvait et c’est avec plaisir que j’acceptai. Du coup, il s’installa tout à son aise et posa sa tête sur mon torse, comme il me l’avait demandé. Je me sentais bien avec lui et il ne broncha pas lorsque j’entourai sa taille avec mes bras. Là, j’avais vraiment l’impression qu’on était frangins et que ce lien invisible qu’était l’amitié avait disparu depuis quelques secondes. On commença à regarder la télévision et on commenta dès qu’on vit une personne qu’on ne pouvait pas apprécier.

Tout à coup, Florian me dit qu’il aimait mon ventre car ce jeune homme avait la sensation d’être installé contre un coussin géant. J’étais parti pour le prendre plutôt mal car je sais me montrer susceptible par moment, surtout lorsqu’il s’agit de mon physique que je n’aime pas du tout et voilà qu’il se tourna vers sa droite. Ensuite, l’ami de mon frère écarta les deux pans de mon peignoir et commença à me caresser le ventre. J’ignorai la façon dont je devais me comporter mais à force de recevoir ses flatteries, je sentis mon entrejambe exprimer sa joie en s’érigeant dans mon caleçon. C’est alors que je mis à lui caresser le visage à mon tour.

Il me fit comprendre une seconde fois qu’il adorait mon ventre et mon torse en rajoutant que j’étais le plus beau. Cette remarque me fit rire et je lui ai répondu que c’était lui, le plus adorable de nous deux. Suite à cela, il me dit :

«Merci, c’est gentil. Je t’aime, chou. »

J’ouvris les yeux en grands car c’était bien la première fois qu’il me disait je t’aime. Là encore, j’ignorai quoi comprendre mais le fait d’être blond de naissance ne devait pas aider je pense. Alors que je lui rappelai que j’étais en couple avec un garçon que j’aimais réellement, il ne fut pas déçu pour autant. Au contraire, il me dit que je ne devais pas m’inquiéter car il m’aimait par amitié. Sur ce coup-là, j’avais du mal à le croire mais bon, je jugeai bon de ne rien ajouter.

On recommença à regarder la télévision et pendant ce temps, je ne l’avais pas vu mettre sur lui la couette qui reposait à l’autre bout de mon canapé. Tandis que l’émission en était déjà à son premier jeu, Florian tourna sa tête pour me regarder et m’indiqua qu’il avait chaud. Je lui demande de se retirer pour aller éteindre un radiateur et là, le jeune homme s’empressa de me répondre qu’il se sentirait bien mieux s’il pouvait retirer son pantalon, son sweat et son maillot. Pour cela, le garçon avait juste besoin de mon accord. Naïvement, je répondis oui car je n’avais toujours pas compris que son comportement était tout sauf innocent.

Je le saurai bientôt d’ailleurs. Peu après, il se repositionna contre moi et reprit ses caresses en me faisant un nouveau compliment :

«J’aime ta peau, elle est toute douce.»

Et comme je lui caressai à nouveau sa joue, je rétorquai que la sienne aussi était un délice à cajoler. Il me regarda avec un sourire sur ses lèvres et j’hésitai à me montrer un peu coquin. Même si on était frères, j’avais peur qu’il le prenne mal et ainsi, le perdre par la même occasion. Tant pis, je me lançai à l’eau et je débutai innocemment :

- Dis-moi Florian ?
- Oui.
- Ta peau est toute douce partout ou c’est uniquement au niveau de tes joues.
- Non, c’est partout. Tu peux le vérifier si tu veux.
- D’accord.

Et voilà que je commençai à éloigner ma main de sa joue pour la promener sur son torse. Là, je caressai son ventre du bout du doigt, en m’attardant par moments sur son nombril et ensuite, je remontai ma main pour dessiner des cercles autour de ses tétons. Par gourmandise, je m’amusai aussi à les pincer légèrement et je sentis des frissons lui parcourir le corps. Visiblement, Florian appréciait ce que je lui faisais lorsqu’il se mit en mouvement. Je cessai mes manigances manuelles pour savoir ce qu’il s’apprêtait à faire.

Et là encore, grande surprise de ma part. Cette fois, le garçon écarta les pans de mon peignoir à hauteur de mes tétons et commença à m’en lécher un tandis que le second était caressé par l’une de ses mains. Mon érection déformait de plus en plus mon caleçon et il devait le sentir puisque son bassin était posé contre le mien. D’ailleurs, je me concentrai pour savoir s’il était dans le même état que moi et j’étais très heureux de constater qu’il était autant excité. Maintenant, je voulais savoir jusqu’où il voulait aller.

«Mais tu penses que ta peau est vraiment toute douce. Je veux dire, aux autres endroits ?»

Et il me questionna sur l’endroit où je voulais risquer mes mains.

«A ton avis ?» Répondis-je.

Il a dû saisir mon allusion car Florian m’informa qu’il aimait qu’on lui caresse l’arrière du caleçon. Rapidement, je glissai ma main sous le tissu de son sous-vêtement et me voilà en train de lui caresser les fesses. A cet endroit aussi, sa peau se montre douce et j’étais vraiment aux anges de pouvoir lui administrer ce plaisir sur cette zone. Pendant ce temps, il arrêta de me lécher le téton pour promener sa langue un peu plus bas, jusqu’à s’arrêter à hauteur de mon nombril. Bien sûr, ma cicatrice ombilicale reçut un bon nombre de baisers et à mon tour, je fus parcouru d’agréables frissons.

Doucement, je lui demandai si je pouvais promener l’un de mes doigts entre ses fesses et il m’indiqua que je pouvais même lui enfoncer si cela pouvait me faire plaisir. En clair, on était parti sur un plan cul et cette idée ne me déplaisait pas du tout. Rapidement, je glissai mon index sur sa raie et celui-ci alla très vite lui titiller l’entrée de son intimité. Là encore, je ressentis le besoin de lui dire que je trouvais son fondement très chaleureux et confortable. Tout en rigolant, il me dit que l’intérieur de son anus l’était et voilà qu’il se frotta à mon caleçon.

Après quelques caresses, Florian se releva et se mit en mouvement pour retirer son sous-vêtement. Il me dévoilait sa verge qui était en érection et au premier coup d’œil, je compris qu’elle était plus longue et plus grosse que la mienne. Le jeune homme s’allongea dans l’autre sens afin que je me retrouve nez-à-nez avec son joli petit trou tout rose. J’aime faire des anulingus et en voyant les plis de son intimité, je réalisai enfin à quel point j’allais me montrer gourmand. De son coté, Florian m’attrapa le sexe dans l’une de ses mains et me masturba tout doucement.

Alors que ma langue se promenait une première fois sur son anus, le jeune homme ferma sa bouche sur mon gland lorsque de premiers gémissements se manifestèrent. Visiblement, mon jeune amant était très sensible de l’arrière-train et plus je passais mon organe à l’intérieur et moins il se montrait discret. De plus, Florian avait du mal à se concentrer sur la fellation qu’il était en train de me faire tellement je me régalais à lui flatter l’intérieur de son petit trou. Plusieurs secondes s’écoulèrent lorsqu’il me proposa de lui enfoncer des doigts. Inutile de me le répéter deux fois.

J’éloignai ma bouche de son anus pour remplacer ma langue par un premier doigt. Je fus très étonné de voir mon index disparaitre aussi facilement en lui et je le soupçonnai d’avoir déjà eu des rapports avec des garçons. A ce moment, je commençai aussi à songer que l’un de ces hommes aurait pu être mon petit frère. Je lui poserai la question lorsque nous aurons terminé car je ne voudrais pas tout gâcher à cause de cette interrogation. De plus, je m’en voudrai car j’ai toujours trouvé Florian très beau et j’ai la chance de l’avoir rien que pour moi ce soir, m’offrant une merveilleuse opportunité par la même occasion.

Tandis qu’on se faisait du bien, je voulais pousser davantage l’expérience en lui enfonçant deux doigts. Là encore, aucun problème d’intromission et désormais, j’étais persuadé que ma queue allait pouvoir s’y glisser sans trop de difficultés. Faut encore qu’il accepte d’être passif pour ce soir. D’ailleurs, je me sentais le besoin de lui poser la question et c’est ce que je fis aussitôt.

- Dis-moi Flo ?
- Ouais.
- Tu veux que je te pénètre après ?
- Bien sûr. Tu me fais tout ce que tu veux, je suis à toi, chou.

Ce garçon est vraiment un amour mais j’ai vraiment du mal avec ce « chou ». Ben ouais, il a dix-huit ans et moi vingt-neuf, je ne suis plus en âge d’être nommé ainsi ou alors, j’ai du retard sur les nouvelles relations. Alors que j’imprimai un mouvement de va-et-vient avec mes doigts, Florian reprit sa fellation lorsqu’il enfonça ma queue entièrement dans sa bouche, m’arrachant un râle par la même occasion. Ce garçon est vraiment génial et je tiens à lui prouver que moi aussi, je suis très doué à ce petit jeu. Je soulève ma tête et ouvrit la bouche.

Je pus ainsi me saisir de sa tige et je commençai à lui sucer en la masturbant à sa base avec ma seconde main qui, pour le moment, était toujours inoccupée. Désormais, Florian se retrouva avec son gros sexe jusqu’au fond de ma gorge et deux de mes doigts dans son petit cul. Désormais, les rôles étaient inversés puisque c’était lui qui se mettait à gémir et pas très discrètement. Vu le regard que m’a jeté ma vieille voisine ce matin, je pense qu’on l’a un peu dérangé mais bon, je m’en branle totalement. Je suis chez moi, je suis libre d’accueillir qui je veux, coucher avec qui je veux et si elle n’est pas contente, elle peut toujours déménager.

L’envie était désormais trop forte et je voulais mettre ma verge ailleurs que dans sa bouche.

- Florian, je peux te prendre ?
- Bien sûr que oui mon chéri, mon anus peut tout accueillir tu sais.

Et je voulais absolument le vérifier. On cessa de se caresser et on discuta de la position à prendre. Lui n’en avait pas de favorite et moi non plus. Cette petite conversation dura quelques secondes lorsqu’il vint s’assoir sur mon bassin. Très vite, j’érigeai ma verge à son maximum et Florian s’empala dessus.

Il descendit lentement afin de s’habituer à ses dimensions et une fois que ma queue était entièrement dans son cul, le jeune homme se mit en mouvement. Pendant que Florian se faisait masser l’intérieur de son fondement par ma queue bien raide, il se pencha sur moi afin de m’embrasser fougueusement. Pour être sûr que je ne m’éloigne pas de ses lèvres, il ressentit le besoin de glisser sa main derrière son cou pour le ménager. Le jeune majeur était vraiment excité et je dois avouer qu’il n’était pas le seul à être dans cet état. Soudain, il s’inquiéta d’un sujet et se figea.

- Au fait, tu m’as enculé à sec ou avec une capote ? Me demanda-t-il.
- Ben à sec puisque tu t’es empalé dessus direct.
- Mince. Et tu as une capote ?
- Ouais mais elles sont loin du canapé, là. A la limite, lorsque je sentirai que je vais éjaculer, je te le dis et tu te retires.
- Pas de souci. De toute façon, je veux ton sperme dans la bouche.
- Ca marche.

Et après cette petite conversation, on reprit là où on s’était arrêté. Il se repencha sur moi une nouvelle fois et nos lèvres se scellèrent. Cette fois, nos langues franchirent cette barrière et jouèrent ensemble, mélangeant nos salives par la même occasion. Florian éloigna ensuite son visage pour plonger son regard dans le mien.

«J’adore ta bouche.»

Et il recommença à m’embrasser presqu’aussitôt. Pendant ce temps, je posai mes mains sur chaque côté de son bassin et je pris le commandement des choses concernant les coups de reins que je lui administrais depuis quelques minutes. A ce moment, il gémissait de plus en plus et je n’hésitai plus à l’enculer franchement. Son visage se posa sur mon torse et il put se prononcer entre deux râles.

«J’adore sentir ta queue dans mon cul, chou. Mon anus est tout dilaté mais c’est ça qui est bon.»

Après avoir prononcé ces quelques mots, le voilà qui déposa de nouveaux baisers sur mon cou. Peu après, je sentis que je n’allais pas tarder à éjaculer. Je ralentis le rythme et dis à mon compagnon que j’allais venir. De suite, il sortit ma verge hors de son cul et se déplaça un peu sur le canapé pour placer son visage au-dessus de ma queue. Très vite, il me la masturba et lorsque je sentis que j’allai cracher, je lui fis savoir.

Ce fut un enchantement de sentir mon membre se libérer dans sa bouche humide mais chaleureuse. Comme il me l’avait dit plus tôt, Florian se montra très gourmand en avalant chacun de mes jets. Il vérifia par la même occasion si mes couilles étaient bien vides et me suça à fond pour récupérer les dernières gouttes qui tardaient à sortir. Une fois l’appareil bien vidangé, il lâcha mon sexe pour s’allonger sur moi. De nouveaux baisers furent échangés mais un détail me préoccupait.

- Tu n’as pas éjaculé toi ? Lui dis-je.
- Non et ce n’est pas grave.
- Tu vas voir si ce n’est pas grave. Allez, viens me la mettre dans la bouche qu’on continue à bien s’amuser.

Et c’est ce qu’il fit. Cette fellation ne dura pas très longtemps car Florian était encore très excité par ce qui venait de se passer entre nous deux. Son sperme se répandit dans ma bouche très rapidement et tout comme lui, je pris soin de l’avaler afin de m’en régaler l’estomac. Une fois ses testicules entièrement soulagées, il retira sa verge pour s’allonger confortablement. On s’embrassa de longues minutes, comme pour conclure ce magnifique moment sur une touche agréable.

Maintenant, je pouvais lui poser cette question qui me taraudait depuis plusieurs minutes et je souhaite qu’il se montre franc.

- Dis-moi Florian, ce n’est pas la première fois que tu couches avec un mec n’est-ce pas ?
- Pourquoi me demandes-tu ça ?
- A cause de la facilité que j’ai eu à glisser mes doigts dans ton joli petit cul.
- Tu as parfaitement deviné.
- J’en étais sûr. Mon petit frère fait partie de ces chanceux ?
- Ouais et j’ai l’impression que vous êtes tous très doués dans ce domaine.

Il m’embrassa une dernière fois avant de poser sa tête sur mon torse. Là, je lui caressai les cheveux et je ne fus pas du tout choqué de savoir que mon frère était passé avant moi. Au contraire, cela me fit sourire lorsque Florian me demanda un truc :

- Tu ne regrettes pas ce qu’on a fait ?
- Bien sûr que non. Et toi ?
- Non, depuis le temps que je voulais le faire. »

Un silence s’installa avant qu’il reprenne.

- Je pourrais revenir ?
- Oui, tu sais très bien que tu n’as pas besoin de me le demander.
- Et on pourra recommencer ?
- Aussi vite que possible.

Et suite à ce délicieux moment que nous avons passé ensemble, je décidai de le garder à la maison pour qu’on puisse dormir ensemble.

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Texte coquin : Florian
Histoire sexe : Une rose rouge
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