Fred, l'amant de Lisa : De candauliste à cocu. Ma drôle de réaction! - histoire érotique

Cette anecdote est difficile à classer, elle traite à la fois d'homosexualité et de cocufiage hétéro.
Je viens de surprendre Lisa avec Fred, je pensais qu'elle avait mis un terme à leur relation, mais Fred a insisté patiemment et il a réussi à la baiser à nouveau, mais en faisant toutefois des concessions.
Le pire, c'est que je me fous qu'elle baise encore avec lui, mais j'accepte pas son mensonge!
Je viens de quitter l'appart, et je sais qu'il va venir, une heure après mon départ.
J'imagine aisément leur baise sauvage, mais à présent, ça m'excite plus!
J'ai du mal à ne pas penser à cette trahison, tout au long de la journée.
Dans le bus du retour, j'ai clairement pas envie de rentrer!
Je descend du car, puis passe devant le jardin ou je fais souvent une fellation à l'homme au gout de miel.
Je tourne pour m'y rendre, il m'attend.
Plus que d'habitude, ma fellation est tendre et passionnée.
"Oh, là là, c'est encore meilleur ce soir! Arhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il éjacule abondamment pour mon plus grand bonheur, j'ai eu ma dose de dessert au miel.
Je quitte le jardin, en suivant l'homme sur quelque mètres, puis il tourne sur la gauche quand je dois aller tout droit.
Je passe devant le Sex-Shop ou je baise avec beaucoup d'hommes.
Sur un coup de tête, j'entre rapidement pour ne pas être vu, même si la rue est déserte.
Je donne le numéro de film en payant l'entrée.
Le caissier me dit bonsoir, et me dit qu'il va passer me voir dans ma cabine.
Après une longue fellation en gorge profonde, il m'encule comme d'habitude, comme une salope soumise, et éjacule dans mon cul profondément.
Ce premier orgasme anal m'a déjà apaisé.
Mais, en sortant, je remarque que le Sex-Shop est peu fréquenté.
Je m'en moque, puisque je ne compte pas rentrer tout de suite.
Dans ma cabine, j'ai encore le plaisir de sucer une belle queue en Glory Hole.
Puis je déambule pour la seconde fois, et recroise l'inconnu monté comme un âne qui me rend dingue (le fameux Gérard! ex mari d'une amie de ma femme).
Je ne connais pas son prénom à cette époque. Le simple fait de le croiser met le feu dans mon ventre, je mouille de l'anus.
Il me fixe en me croisant, je pense que j'ai peut-être la chance d'avoir ses faveurs.
Je vais dans la salle hétéro, en m'asseyant sur la chaise destinée aux suceurs de bites.
C'est compliqué à expliquer, elle est dans un coin de la salle, à coté d'une ouverture de porte qu'on a enlevé, qui donne accès à une autre pièce sombre destinée à la baise, sans pour autant bloquer le passage, puisqu'il y a un autre accès.
Lorsque vous êtes assis là, c'est le signe que vous êtes ouvert à une rencontre.
Souvent, les hommes vous repèrent et passent par l'autre accès pour s'approcher de vous, en se masturbant.
Certains vous attrapent la nuque pour que les suciez jusqu'à éjaculation.
Mais cette fois, l'homme se recule en se masturbant, je me lève et me place entre ses jambes pour le sucer avec passion, excité par ses mensurations.
Qu'est-ce j'aime sucer un homme! c'est un plaisir si unique et jouissif, je ne sais pas, si je l'ai déjà écrit, mais je préfère sucer un homme, plutôt qu'une femme.
Pourtant, je me sens plus hétéro qu'homo, le corps des femmes me passionne.
L'homme s'en rend compte et gémit en disant:"Oh, putain, humm, qu'est-ce que t'es doué, ahhhhhhhh, on voit que t'aimes ça!".
Un peu moins de dix minutes après, il me demande:"Oh là là, c'est bon, je vais bientôt jouir, tu avales?".
"Gllllllrpp, oui, laisses toi aller, mmmmmmmmmmm, gllllllllp".
"Arhhhhhhhhhhhh, ça y est, ça vient att... attention! Arrrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Gllllllrpp, .......... gllllllrpp,........... gllllllrpp, gllllllrpp!...........".
C'est toujours un moment délicieux pour moi de recevoir le sperme, donc le plaisir suprême d'un homme, dans la bouche.
J'avales son nectar avec passion.
Je redresse la tête, en regardant l'homme qui baisse la sienne.
Notre échange de regards est tendre et complice, il me dit:"Merci, mec c'était grandiose! j'ai beaucoup aimé!".
"Merci à toi, aussi!".
Il range sa queue et me quitte en me disant qu'il espère me revoir pour une autre fellation dans le même endroit.
Je me remet sur la chaise, et réitère l'expérience à deux reprises, puis un troisième m'attire dans la salle pour me défoncer le cul mais, il n'est pas assez endurant pour me faire jouir.
Je pense à l'homme que j'ai croisé au début, et je commence à croire qu'il a quitté le Sex-Shop.
Je remonte mon pantalon quand je le vois débarquer dans la salle sombre.
Il m'empoigne directement, il est très directif, il sort son énorme queue, très très longue et dure.
Il me pénètre la bouche avec force, je subis une longue gorge profonde, qui me fait évidemment saliver abondamment.
Je connais déjà cet inconnu (Gérard, qui deviendra un amant occasionnel, plus tard), je sais qu'il est légèrement violent, mais il me fait toujours jouir énormément.
Je sais aussi, qu'il est très très endurant, c'est génial en sodomie, mais moins en gorge profonde!
Il me défonce la bouche en me tenant par les cheveux, par les joues, entres ses mains, puis en me coinçant le visage contre un mur, pendant plus de vingt minutes.
Ma salive me couvre le menton et coule sur mon torse.
Puis enfin, il me tourne, en me plaquant au mur, il baisse mon pantalon avec le slip, et me colle sa très longue queue contre l'anus.
J'ai la chance d'avoir encore du gel de la précédente pénétration, à l'intérieur de l'anus.
Il appuie fortement, son gros et très long sexe, va s'écraser au fond de mon cul.
Il attaque aussitôt une destruction anale énergique, Je me met à gueuler comme une pute qu'on défonce.
Le plaisir est puissant, il me fait mal et me donne aussi un orgasme anal énorme.
Comme c'est un géant à coté de moi, il me soulève les fesses en me cassant le cul.
"Arrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhh, tu me casses le c... arhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Mon plaisir retombe, mais Gérard continue de me détruire analement, je gueule encore de douleur, mais je sais qu'un autre orgasme va couvrir cette sensation causée par ses à-coup au fond de mon cul.
Sa bite est trop longue, mon anus n'est pas encore prêt à le recevoir en entier.
Mon deuxième orgasme anal me fait perdre connaissance une seconde, puis, je sens une troisième vague m'envahir.
J'ai l'impression de n'être qu'un masturbateur dans lequel Gérard essaie de se vider.
Mais, je ne veux en aucun cas qu'il en teste un autre!
Putain, que ce type est endurant, je me fais démonter encore et encore à des rythmes différents, pendant très longtemps.
Cela fait quasiment 45 minutes qu'il me besogne le cul, je suis vidé d'orgasmes anaux.
Sous ses assauts incessants, j'ai éjaculé sur le sol sans me toucher la queue, .
J'ai hâte qu'il jouisse enfin pour m'assoir, afin de récupérer.
Un moment plus tard, il sort de mon anus éclaté, pour me plonger sa bite dans la gorge.
Ses effluves de foutre chaud sont énormes, comme chaque fois.
Il me tient par les cheveux en ordonnant:"Allez, fais ça bien, avales tout salope!".
Ses gémissements accompagnent ses éjections de sperme.
Lorsque j'ai tout avalé, il ajoute:"Voilà, t'es une bonne pute, comme d'habitude! t'as bien travaillé!".
Il range sa longue bite et me laisse épuisé de plaisir.
Cet homme que j'adore, m'a détruit le cul, mais c'est ce que je voulais.
Je sors moi aussi du Sex-Shop, après un long temps de récupération et je rentre chez moi.
J'ai du mal à oublier la douleur anale, tout au fond de mon cul.
En poussant la porte de mon appart, j'entend Lisa qui gémit, je vais dans la chambre et la trouve empalée sur le corps de Fred.
"Oh, bébé, t'es là? ou t'étais passé, arhhh, arrêtes Fred!".
"Ca te regarde pas! Continuez, vous occupez pas de moi!".
Elle me demande sans quitter la queue de son amant.
"C'est sûr? Je peux continuer! Tu m'en veux pas?".
"Pas du tout!". (En pensant: Je m'en fous!)Je vais sur le canapé, en remarquant une tâche énorme de cyprine au sol et d'autres beaucoup plus petites, qui doivent être du sperme liquéfié depuis quelques heures.
Puis je m'endors dans le salon, en entendant ma femme crier de plaisir en se faisant baiser et enculer encore et encore.
Etant réglé au niveau de sommeil, je me lève le matin et vais travailler, en regardant Fred qui dort à ma place, dans mon lit, avec ma femme!
Il fait chaud et ils sont nus, c'est vrai qu'il a une bite magnifique, je comprends ma femme, mais ça me rend jaloux et j'ai horreur de ce sentiment.
Des tâches de sperme séché sont visibles sur les draps, je ne veux pas en voir plus et vais bosser, content de ma soirée de la veille, après tout moi aussi, j'ai droit au plaisir de l'adultère!
Mais cette situation détruit notre couple encore, je sais que nos sentiments peuvent surmonter tout ça, mais jusqu'à quel point? est-ce le non retour?
Quand je rentre le soir, elle est seule.
"Fred n'est pas là?".
"Non, pourquoi tu demandes ça, comme ça?".
"Pour rien!".
On passe la soirée, sans trop se parler, j'ai du mal à engager une conversation.
Je rentre le lendemain, et les trouve sur le lit, il la baise en levrette, elle jouit comme une folle.
Je regarde la scène, je n'arrive pas a empêcher une grosse érection de ma part.
Elle redescend de son orgasme, puis me dit:"Bonsoir, mon amour! Eh, mais tu bandes!".
Fred lui dit:"Tu vas pas le laisser comme ça!".
Elle m'attire devant sa bouche et commence à me sucer, pendant que Fred continue de la besogner.
Puis, excitée, elle me demande:Déshabilles-toi! j'ai envie que tu me suces le clito pendant que je te suces et qu'il me baise!".
J'accède à sa demande, je me place sous elle et lui dévore le clitoris.
Inévitablement, je suis obligé de lécher la queue de Fred, en sentant ses couilles, frotter mon front et mon nez.
Mais cela ne dure que peu de temps, il sort sa grosse bite et la déplace contre son anus.
J'en profite pour agrémenter mon cunnilingus en léchant la chatte de Lisa.
Je suis impressionné par la facilité avec laquelle, il la pénètre.
"Oh, oui, j'adore! Ca m'excite, encules-moi pendant qu'il me suces!".
Nous pratiquons cette vicieuse position, pendant plus de dix minutes, je suis au bord de l'éjaculation.
Lisa a déjà connu deux orgasmes anaux.
Je me crispe en serrant les cuisses de ma salope, j'explose dans sa bouche, elle me pompe encore plus goulument, pour tout avaler.
Je me relâche enfin, les couilles de Fred vont et viennent sur mon front et mon nez.
Je vois sa grosse bite, écarteler l'anus de Lisa, en disparaissant complètement à l'intérieur.
Je dois rester dans cette posture en attendant qu'il éjacule.
Ces assauts sont interminables, il est beaucoup plus endurant que moi, pour le sexe hard!
C'est au bout de vingt minutes, que Lisa commence a crier plus fort que d'habitude.
"Arrrrrrrrrhhhhhhhhhhhh, je joui, arrrrrrhhhhhhhhhh!".
Je reçoit des jets énormes de cyprine, que j'avale pour limiter les effets dévastateurs sur le lit, le gout est légèrement salé.
Bien sûr, malgré toute ma bonne volonté, mon visage et le lit sont inondés.
Fred s'active de plus belle et éjacule contre son anus, puis il place son gland quelques centimètres à l'intérieur, pour terminer son éjaculation.
Il se retire, après un petit moment de récupération, Lisa se redresse en me disant:"Humm, laves-moi mon amour!"Elle me colle le visage contre son anus.
Je lèche son trou béant, je ne sais pas comment prendre cette situation, elle m'étonne par sa perversité.
Fred et elle, viennent de finir de me transformer en cocu soumis.
Son amant se rhabille.
"Bon, les amoureux, je dois aller bosser, je suis en retard!".
Au cours de la soirée, Lisa sent que je ne suis pas bien et crève enfin l'abcès.
"Ca va pas! Qu'est-ce qu'il y a? Ca t'as pas plu?".
"Pas trop!".
"Pourquoi? Moi j'ai adoré,! C'était bon, non? Sur les sites échangistes, y a beaucoup d'hommes caudaulistes qui disent adorer ça!"".
"Je me sens piégé! Je contrôle plus rien!".
"Tu crois?".
"Ben, il a reprit ses habitudes, on dirait!".
"Pourquoi tu dis ça?".
"Tu lui laisses trop de place, je sais pas, si tu t'en rend compte, c'est pourtant évident!".
"Oui, peut-être, c'est venu progressivement! mais il a toujours envie de baiser! Et je pensais que ça t'excitais!".
"C'est normal! Il t'aime, c'est l'amour qui motive le désir! Et ça m'excites, c'est vrai, mais je crois que c'est trop!".
"Ah, oui, c'est vrai qu'il m'aime! J'avais pas pensé à ça!".
"Tu dois reprendre le contrôle de votre relation, parce que ça va trop loin!".
"Je sais, mais tu me touches plus, je pense qu'il n'y a pas que la fatigue du travail!".
Je me tais, je ne sais pas quoi répondre, je fais le bilan des dernières semaines.
Mes fellations au jardin, ma soirée de la veille, et cette sodomie violente qui m'a tellement donné de plaisir.
"Je crois que je réagis mal au tout ça!".
"C'est à dire?".
"Je me sens plus du tout candauliste à cause de Fred, il me met dans la peau du cocu soumis, malgré moi! Et au lieu de me battre, je m'autodétruit en arrêtant de te baiser, parce que je ne me sens plus à la hauteur! Pour tout te dire, je suis allé me faire enculer hier soir! Pour me sentir encore plus soumis! Mais je suis mal dans ce rôle, s'il dure trop longtemps!".
Elle me prend dans ses bras en me réconfortant.
"C'est toi que j'aime! J'ai besoin de toi! De ta tendresse, lui, je l'aime pas! Même si je baise avec lui, plus souvent qu'avec toi! C'est vrai que nous allons très loin ensemble, je vais faire plus attention à toi!".
"Ce que j'ai vu hier, ne doit plus se reproduire!".
"C'est quoi?".
"Il a dormi dans mon lit, à ma place et avec ma femme, et moi sur le canapé!".
"Excuses-moi!".
"Et essaie de ne plus laisser aussi longtemps, vos tâches de foutre et de cyprine partout! Et je veux plus recommencer à avaler son sperme, même si j'adore le faire quand je suce un homme, c'est pas le même délire".
"D'accord!".
"Tu le revois quand?".
"Demain soir! Tu veux que j'annule?".
"Non, je demande c'est tout! Bon, continue votre relation en faisant plus attention à moi, je vais aller en outremer et on verra au retour".
"D'accord, t'es sur que tu veux pas que je le quitte?".
"Non, il va t'être utile quand je serai parti!".
"Merci!".