frivole, frivole, vous avez dit frivole
Récit érotique écrit par Humoureux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2007 dans la catégorie Plus on est
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frivole, frivole, vous avez dit frivole
Cet après-midi là, j' étais resté tranquillement à l'appartement , plongé dans un passionnant polar. A son retour de
courses, je sentis ma femme Béatrice contrariée. " quelque chose ne va pas, chérie ? " "non, non tout va bien " me
répondit-elle sur un ton qui ne me convint point. Comme j'insistais , elle me confia qu'elle avait voulu me faire
une surprise en allant acheter l' ensemble seins nus que j'avais repéré en vitrine dans le magasin de frivolités voisin
et alors qu'elle était dans la cabine d'essayage, la vendeuse y pénétra pour vérifier si le modèle choisi convenait
et en profita pour lui caresser les seins !
Sur le coup je souris en lui demandant si la vendeuse était mignonne et en précisant qu'en fait c' était un hommage
rendu à sa poitrine qui me fait toujours fantasmer !
Je dois dire que nous sommes mariés depuis près de 25 ans et que ma femme a toujours eu une poitrine superbe,
ferme, malgrè deux maternités. A 46 ans, son corps est toujours aussi bien proportionné et ses soutiens-gorge sont
passés d'un bon 95 B à un excellent 95C, la taille rêvée, en tout cas pour moi.
Elle se fait un plaisir, partagé au demeurant, de porter des sous - vêtements de charme, sensuels voire érotiques :
guêpières, bodys ouverts, mini slips qu'elle se fait un plaisir de me glisser dans ma poche , après un passage aux
toilettes, quand nous allons au restaurant ou en club.
Aussi aurait-ce été dommage qu'elle n' achète point ce magnifique ensemble seins nus en dentelle blanche, avec
porte -jarretelles et string que j'avais trouvé bien élégant et très suggestif.
Je proposais donc à Béatrice de l'accompagner au magasin, afin que nous procédions à l'achat de concert. Après
hésitation, et devant mon envie, elle finit par accepter.
Quand nous entrâmes dans le magasin, la vendeuse, nouvelle au demeurant, ne montra aucune surprise. " Je
suppose que vous revenez avec votre mari pour lui montrer le modèle que vous avez essayé tout à l'heure ". Elle
nous dirigea alors vers le premier étage réservé aux vêtements de charme et érotiques, mais de bon goût. La
vendeuse semblait de notre génération. Assez bien proportionnée, plus forte que mon épouse, elle portait une robe
noire en soie, à bretelles, dont le décolleté laissait deviner une poitrîne assez généreuse. Hummmm!
Comme Béatrice était dans la cabine d'essayage, en train de se déshabiller pour essayer le fameux ensemble, je
glissais à l'oreille de la vendeuse qui ne me laissait pas indifférent : " alors, on pelote les seins de ma femme ? " . Sur
le coup, la vendeuse fut surprise et se mit à rougir, mais, à mon regard, elle comprit très vite que je ne lui en voulais
point ....
La vendeuse se dirigea vers la cabine, ouvrit discrétement le rideau et s'inquiéta si tout allait bien. Béatrice était en
train de se regarder dans la glace avec l'ensemble. La vendeuse ouvrit alors grand le rideau et se tourna vers moi : "
je suppose que votre épouse permettra que vous veniez jeter un coup d'oeil " " Tu permets, chérie ? " " Mais bien sûr"
répondit-elle
Je me mis subrepticement derrière la vendeuse afin de pouvoir regarder par dessus son épaule. Involontairement, si,
si, mon corps vint se coller contre la vendeuse, mon sexe bien excité se ficha entre ses deux fesses qui abritaient un
string . Emportée par le mouvement, la vendeuse porta les mains sur mon épouse et feignit d'ajuster les deux seins
adorés de ma chère et tendre dans le soutien - gorge au seins nus. Vu le découpage du modèle, et la forme en poire
des seins de Béatrice, cela nécessita pas mal de manoeuvres dont la vendeuse abusa , j'en étais convaincu !
Béatrice ne réagissait pas, semblant apprécier les "manipulations". Je profitais de sa concentration sur ses seins
pour palper ceux de la vendeuse. Mes mains baladeuses sentirent deux généreux seins bien fermes surmontés de
deux tétons qui me semblaient assez conquérants et excités par les évènements. Continuant profiter de la situation,
je m'aperçus que la vendeuse ne portait pas de soutien-gorge. " Tu te rends compte, chérie, cette dame est vendeuse
dans un magasin de soutiens gorges, entre autres, et elle n'en porte pas, un comble " Et sans mesurer ce que j 'étais
en train de faire, je pris les bretelles de la robe noire, les fit glisser sur les épaules et fit tomber au sol la superbe robe
noire en soie. La vendeuse se retrouvait nue, entre nous deux, seulement revêtue d'un string. Ma femme se retourna
, éclata de rire devant le comique de la situation, j'en fis autant , cependant que la vendeuse appréciait moins la
plaisanterie. Afin de la mettre à l'aise, je la complimentais sur la plastique de son corps, sur ces seins appêtissants,
dotés de superbes aréoles ovales brunes sur lesquelles trônaient des tétons gorgés de sang sous l'excitation. Et
joignant le geste à la parole, je commençais à les caresser avec plein de volupté. " Hé bien , il ne faut pas te gêner"
réagit Béatrice . " Mais tu sais que je n'aime que toi, ma chérie, je me contente de te montrer ce que tu peux faire s'ils
te plaisent"
Béatrice ma tapa sur les doigts, comme on fait à un enfant pris les mains dans le pot de confiture et s'empressa de
prendre le relais et de caresser goulement les seins de la vendeuse, laquelle le lui rendit bien. De caresses
réciproques, en bisous de plus en plus acharnés, Béatrice et la vendeuse partirent dans un rodeo de feu, oubliant ma
présence. Vous vous doutez bien que je ne perdais rien de leurs échanges qui se coninuaient à même le sol et
quand les fesses de la vendeuse, dans un mouvement voluptueux, se pointérent vers moi, je ne pus m' empêcher de
lui arracher le string tout imbibé de sa jouissance dans l'instant , de le humer avec plaisir et de partir à la découverte
de sa chatte coulant de bonheur. A la différence de Béatrice, la vendeuse ne s'épilait guère et ses poils étaient tout
humidifiés également, que ce soit la toison de son sexe ou la couronne poilue autour de sa petite rose . Profitant de
ma présence dans cette région, j'en profitais pour enfoncer délicatement mon index droit dans son anus, de le titiller,
de le humer, puis de le lécher, chose que Béatrice n'aimait guère. A l' évidence, la vendeuse appréciait à sa juste
valeur, elle . Et elle se permit d 'explorer à son tour, la petite rose de Béatrice. A ma grande surprise, ma femme y
trouva du plaisir , j'en pris bonne note et me promis de récidiver à mon tour lors de notre prochaine intimité .
A suivre .....
courses, je sentis ma femme Béatrice contrariée. " quelque chose ne va pas, chérie ? " "non, non tout va bien " me
répondit-elle sur un ton qui ne me convint point. Comme j'insistais , elle me confia qu'elle avait voulu me faire
une surprise en allant acheter l' ensemble seins nus que j'avais repéré en vitrine dans le magasin de frivolités voisin
et alors qu'elle était dans la cabine d'essayage, la vendeuse y pénétra pour vérifier si le modèle choisi convenait
et en profita pour lui caresser les seins !
Sur le coup je souris en lui demandant si la vendeuse était mignonne et en précisant qu'en fait c' était un hommage
rendu à sa poitrine qui me fait toujours fantasmer !
Je dois dire que nous sommes mariés depuis près de 25 ans et que ma femme a toujours eu une poitrine superbe,
ferme, malgrè deux maternités. A 46 ans, son corps est toujours aussi bien proportionné et ses soutiens-gorge sont
passés d'un bon 95 B à un excellent 95C, la taille rêvée, en tout cas pour moi.
Elle se fait un plaisir, partagé au demeurant, de porter des sous - vêtements de charme, sensuels voire érotiques :
guêpières, bodys ouverts, mini slips qu'elle se fait un plaisir de me glisser dans ma poche , après un passage aux
toilettes, quand nous allons au restaurant ou en club.
Aussi aurait-ce été dommage qu'elle n' achète point ce magnifique ensemble seins nus en dentelle blanche, avec
porte -jarretelles et string que j'avais trouvé bien élégant et très suggestif.
Je proposais donc à Béatrice de l'accompagner au magasin, afin que nous procédions à l'achat de concert. Après
hésitation, et devant mon envie, elle finit par accepter.
Quand nous entrâmes dans le magasin, la vendeuse, nouvelle au demeurant, ne montra aucune surprise. " Je
suppose que vous revenez avec votre mari pour lui montrer le modèle que vous avez essayé tout à l'heure ". Elle
nous dirigea alors vers le premier étage réservé aux vêtements de charme et érotiques, mais de bon goût. La
vendeuse semblait de notre génération. Assez bien proportionnée, plus forte que mon épouse, elle portait une robe
noire en soie, à bretelles, dont le décolleté laissait deviner une poitrîne assez généreuse. Hummmm!
Comme Béatrice était dans la cabine d'essayage, en train de se déshabiller pour essayer le fameux ensemble, je
glissais à l'oreille de la vendeuse qui ne me laissait pas indifférent : " alors, on pelote les seins de ma femme ? " . Sur
le coup, la vendeuse fut surprise et se mit à rougir, mais, à mon regard, elle comprit très vite que je ne lui en voulais
point ....
La vendeuse se dirigea vers la cabine, ouvrit discrétement le rideau et s'inquiéta si tout allait bien. Béatrice était en
train de se regarder dans la glace avec l'ensemble. La vendeuse ouvrit alors grand le rideau et se tourna vers moi : "
je suppose que votre épouse permettra que vous veniez jeter un coup d'oeil " " Tu permets, chérie ? " " Mais bien sûr"
répondit-elle
Je me mis subrepticement derrière la vendeuse afin de pouvoir regarder par dessus son épaule. Involontairement, si,
si, mon corps vint se coller contre la vendeuse, mon sexe bien excité se ficha entre ses deux fesses qui abritaient un
string . Emportée par le mouvement, la vendeuse porta les mains sur mon épouse et feignit d'ajuster les deux seins
adorés de ma chère et tendre dans le soutien - gorge au seins nus. Vu le découpage du modèle, et la forme en poire
des seins de Béatrice, cela nécessita pas mal de manoeuvres dont la vendeuse abusa , j'en étais convaincu !
Béatrice ne réagissait pas, semblant apprécier les "manipulations". Je profitais de sa concentration sur ses seins
pour palper ceux de la vendeuse. Mes mains baladeuses sentirent deux généreux seins bien fermes surmontés de
deux tétons qui me semblaient assez conquérants et excités par les évènements. Continuant profiter de la situation,
je m'aperçus que la vendeuse ne portait pas de soutien-gorge. " Tu te rends compte, chérie, cette dame est vendeuse
dans un magasin de soutiens gorges, entre autres, et elle n'en porte pas, un comble " Et sans mesurer ce que j 'étais
en train de faire, je pris les bretelles de la robe noire, les fit glisser sur les épaules et fit tomber au sol la superbe robe
noire en soie. La vendeuse se retrouvait nue, entre nous deux, seulement revêtue d'un string. Ma femme se retourna
, éclata de rire devant le comique de la situation, j'en fis autant , cependant que la vendeuse appréciait moins la
plaisanterie. Afin de la mettre à l'aise, je la complimentais sur la plastique de son corps, sur ces seins appêtissants,
dotés de superbes aréoles ovales brunes sur lesquelles trônaient des tétons gorgés de sang sous l'excitation. Et
joignant le geste à la parole, je commençais à les caresser avec plein de volupté. " Hé bien , il ne faut pas te gêner"
réagit Béatrice . " Mais tu sais que je n'aime que toi, ma chérie, je me contente de te montrer ce que tu peux faire s'ils
te plaisent"
Béatrice ma tapa sur les doigts, comme on fait à un enfant pris les mains dans le pot de confiture et s'empressa de
prendre le relais et de caresser goulement les seins de la vendeuse, laquelle le lui rendit bien. De caresses
réciproques, en bisous de plus en plus acharnés, Béatrice et la vendeuse partirent dans un rodeo de feu, oubliant ma
présence. Vous vous doutez bien que je ne perdais rien de leurs échanges qui se coninuaient à même le sol et
quand les fesses de la vendeuse, dans un mouvement voluptueux, se pointérent vers moi, je ne pus m' empêcher de
lui arracher le string tout imbibé de sa jouissance dans l'instant , de le humer avec plaisir et de partir à la découverte
de sa chatte coulant de bonheur. A la différence de Béatrice, la vendeuse ne s'épilait guère et ses poils étaient tout
humidifiés également, que ce soit la toison de son sexe ou la couronne poilue autour de sa petite rose . Profitant de
ma présence dans cette région, j'en profitais pour enfoncer délicatement mon index droit dans son anus, de le titiller,
de le humer, puis de le lécher, chose que Béatrice n'aimait guère. A l' évidence, la vendeuse appréciait à sa juste
valeur, elle . Et elle se permit d 'explorer à son tour, la petite rose de Béatrice. A ma grande surprise, ma femme y
trouva du plaisir , j'en pris bonne note et me promis de récidiver à mon tour lors de notre prochaine intimité .
A suivre .....
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