Gérard, le mari de la collègue de travail de ma femme. - histoire érotique

Depuis quelques jours, ma femme Lisa, me parlait d'une amie, collègue de travail à la maison de retraite ou elle bossait.
Son ordinateur ne s'allumait plus, depuis un déplacement d'une pièce à une autre.
"Tu peux regarder ce que tu peux faire? Elle est seule, depuis qu'elle a divorcé et ne veut rien demander à son mari".
Malgré que cela m'énerve un peu qu'elle propose toujours mes services sans me demander, je lui dit que je verrai ça dès qu'on aura un moment de libre.
Elle ajoute:
"On parle souvent de cul ensemble, ne t'inquiètes pas elle sait pas pour le libertinage, elle m'a raconté qu'elle avait du mal à baiser avec lui, d'après ce qu'elle m'a dit, il ne pense qu'a ça et il a une grosse queue qui lui fait mal! Et elle pense qu'il la trompait parce qu'il ne la baisait plus du tout à la fin".
Deux jours plus tard, elle m'emmène chez son amie qui vit dans une villa à l'extérieur de la ville.
Elle nous offre à boire, puis je m'occupe de démonter l'ordinateur en lui faisant un nettoyage de poussière, puis démonte sa carte 3D pour nettoyer aussi les fiches de connections, puis je relance l'appareil qui s'allume, c'était simplement une oxydation des branchements de sa carte 3D.
J'en profite pour vider son cache internet et défragmenter son disque dur, pour plus de stabilité.
Tout cela prend une petite heure, quand j'ai enfin terminé, on sonne à la porte du jardin.
L'amie de Lisa regarde par la fenêtre et dit:
"Oh, c'est mon ex! Eh ben comme ça, je vais vous le présenter!".
Lorsque l'homme arrive dans le salon, je suis surpris de le voir, on a du mal à cacher le fait que l'on se connait.
Cet homme m'a enculé à de nombreuses reprises au Sex-Shop du centre ville, et je comprend sa femme quand elle dit qu'il a une grosse queue.
Il est doté d'un engin exceptionnel d'au moins 25 cm par 4,5 cm de diamètre et d'une dureté sans pareille.
Cela fait plus de 2 ans que je ne le croise plus, il me rendait dingue, je ne comprenais pas ses réactions, parfois il me baisait pendant plus d'une heure et d'autre fois, il m'ignorait complètement, il me parlait toujours très peu.
Je pense à lui très souvent, surtout depuis que j'ai acquis la possibilité de pratiquer les profondes sodomies grâce à l'élargissement du passage au fond de mon anus.
Je rêve de lui donner ce plaisir.
On arrive à se reprendre sans éveiller les soupçons des filles.
L'amie de Lisa nous présente:
Lisa et Patrick, voilà Gérard, mon ex-mari !".
Il me regarde et dit:
"Enchanté!".
Son ex-femme ajoute:
"Il a réparé mon ordinateur, c'est super! Mais dites-moi, si on allait prendre l'apéritif sur la terrasse de l'autre coté! Lisa tu m'aides? Et vous les hommes, vous nous rejoignez?".
"Ok!".
Quand il est sûr qu'elles ne nous voient plus, il m'attire dans les toilettes à l'opposé de la terrasse.
Dès qu'il a fermé la porte, il déballe sa longue bite en érection, pour me l'enfourner dans la gorge.
La situation m'excite, mais je sais que cela ne pas pouvoir aller jusqu'au bout, il est trop endurant pour éjaculer aussi vite.
Je prend énormément de plaisir à le laisser me défoncer la gorge avec son pieu de 25 cm.
"Les hommes! Vous faites quoi?".
Gérard arrête de me baiser la bouche, range son outil et me dit:
"Restes un peu, je vais leur dire que tu m'as demandé ou était les toilettes!".
Je fais ce qu'il m'a demandé, puis les rejoins, il m'a mis le feu au ventre.
45 minutes après, pendant que les filles débarrassent, il me dit:
"Je te ferai passer un message pour qu'on se voit chez moi, je trouverai bien une excuse! Ca te dit?".
"Bien sûr! Tu sais bien que tu peux me baiser quand tu veux! En plus, tu m'as donné une grosse envie!".
Peu de temps après, il nous laisse partir et reste pour parler de choses personnelles avec son ex femme.
C'est seulement 6 jours après que Lisa me parle de lui:
"Au fait, ma copine Corinne, m'a demandé si son mari pouvait passer te prendre pour l'aider avec son ordinateur, il rame beaucoup apparemment!".
"Ok, quand?".
"Demain, à 14 heures, il te ramènera, par contre!".
"D'accord!".
"Mais, tu sais, l'autre fois, quand vous nous avez rejoint, j'ai honte de te dire ça, mais j'ai regardé sa queue à travers sa braguette, ben après les commentaires de Corinne, j'étais curieuse! Il bandait! Il a l'air d'avoir une bite énorme! Euh... ça m'a fait mouiller! J'étais gênée vis à vis de ma copine, tu m'en veux pas?".
Je souris.
"Non, j'ai vu moi aussi qu'il bandait! C'est difficile pour lui de le cacher, sauf si, comme sa femme, on est pas en face de lui. Alors comme ça t'as mouillé!".
"Carrément, si vous aviez pas été là, je lui aurai fait comprendre qu'il fallait qu'il me baise! Il est peu engageant mais sa bite fait envie! Ca te fait pas cet effet?".
"Si j'avoue, c'est pas sympa pour son ex!".
Le lendemain, il est à l'heure au RDV, comme d'habitude à l'insu de Lisa, j'ai pris des dispositions pour que tout se passe au mieux en pratiquant un lavement anal.
Il m'attend dans sa voiture, je monte à ses cotés, il pose aussitôt une main sur ma cuisse, et dit:
"On va bien s'amuser, tu vas prendre cher!".
"Et ton ordinateur?".
"Il marche très bien! C'est ma queue qui va mal! Mais ça aussi tu sais faire!".
"Ca promet!".
"J'espère que tu es prêt, ça fait un moment que j'ai pas baisé un mec!".
"Je suis prêt, plus que tu ne le penses!".
"On verra ça! Si tu reprenais là ou tu en étais l'autre jour, en me suçant la bite pendant que je conduis".
"Gérard, je sais pas, c'est risqué!".
"Allez, sors ma queue et suces-la, on voit rien avec mes vitres teintées! En plus on sort de la ville!".
Je me baisse doucement, ouvre sa braguette, son sexe dépasse du haut de sa ceinture.
Je défais la boucle de son ceinturon et fait glisser le dernier bouton qui libère enfin son gros engin de plaisir.
Je ferme les yeux en m'enfonçant sur sa bite, je suis rempli de bonheur.
J'adore sucer sa longue et large queue, je sais qu'il n'éjaculera pas, mais qu'il veut avoir ma bouche chaude et humide sur sa bite.
Je le pompe amoureusement, avec avidité.
Il m'enfonce profondément son gland contre la glotte.
"Ouais, comme ça, salope! Pompe-moi bien, ça m'excite que tu me bouffes la bite, je pense à ta femme, elle sais pas que t'es une salope! Pas vrai?".
Je ne veux pas lui raconter ma vie, je lui réponds:
"Non, grlllpppp! Elle sait pas!".
"Humm, j'adore, tu sais qu'elle est bonne! Pas comme mon ex-femme! Si elle savait que je t'ai défoncé le cul des tas de fois! Elle aussi, je la baiserai bien! Elle a l'air d'aimer la bite! J'ai tort?".
"Grlllpppp! Non!".
"Tu l'encules?".
"Mmmmmm, grlllpppp! Oui!".
"Je suis sûr qu'elle adore ça! Elle a un œil vicieux!".
Peu de temps après, le véhicule s'arrête, je découvre une maison assez simple.
Je le suis étonné, il n'a pas rangé sa queue, c'est vrai qu'il est vite entré dans sa cour de jardin.
On passe la porte, il me dit en me montrant le salon:
"Fous toi à poil, j'arrive tout de suite, et mets toi en position, je t'encule dès que je reviens!".
"Déjà?".
"Poses pas de question, allez!".
J'entre dans la pièce et défait tous mes vêtements. Puis, je pose mes genoux sur le canapé en prenant appui sur mes coudes sur le dossier.
Mon cul est tendu vers l'extérieur, j'attend qu'il vienne me saillir avec son merveilleux engin, qui m'a tellement manqué.
Il revient et se met nu lui aussi, il ouvre un tube de gel lubrifiant, mets un film porno gay dans un lecteur DVD.
Il se badigeonne le sexe, puis s'approche de mon anus.
Je me souviens alors de sa dernière sodomie au Sex-Shop, il m'a enculé sans me préparer, son membre cognait au fond de mon cul en me faisant mal, mais j'adorai ça! Son désir fou m'excitai.
"Prends ton temps, s'il te plait, ça va être différent des autres fois, tu verras!".
"Différent, pourquoi?".
"Encules-moi, tu verras!".
Il pousse fermement, comme depuis, j'ai exploré mes limites anales avec Fabrice et ses amis, il me pénètre plus facilement.
Son gland vient toucher l'angle fermé au fond de mon cul, au bout de quelques mouvements.
"Ah, c'est bon, tu m'as manqué salope! Je vais te défoncer maintenant! Je vais te faire jouir du cul!".
Il se déchaine alors en cognant comme la dernière fois, à chaque assaut, il a raison, je joui du cul assez rapidement.
Il me défonce ainsi pendant 10 longues minutes, je suis pris de deux orgasmes.
Il s'arrête et m'ordonne de lui laver la bite de mes sécrétions de muqueuses anales, en s'asseyant sur le canapé.
Sur l'écran télé, un jeune blanc se fait défoncer par plusieurs blacks.
Il me prend le visage entre ses mains pour me baiser en gorge profonde.
Il s'amuse à m'étouffer avec son gland profondément enfoncé au fond de la gorge, tout en regardant le film.
Je salive énormément, sa queue est trempée.
"Baises-moi maintenant! Allez plus vite! Défonces toi le cul!".
Je lui tourne le dos et m'empale sur son énorme longue queue.
Quand il touche mon fondement, il me saisit par les hanches et commence a bouger.
"Non, arrêtes, c'est moi qui te baises!".
Je me baise frénétiquement, pendant 5 bonnes minutes, puis je lui dis:
"Gerard, tu m'encules trop bien, j'ai encore bien joui, mais cette fois ça va être encore plus fort!".
"Mmm, quoi? De quoi tu parles?".
Je me redresse sur son membre droit enfoncé en moi, je cherche le moment précis ou sa queue va trouver le chemin pour aller encore plus profondément dans mon anus.
Le passage est ouvert comme je l'imaginais, c'était une question d'inclinaison et mon corps s'enfonce sur lui jusqu'à ses couilles.
"Arrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhh, Gérard, j'en ai rêvé, arhhhhhhhhhhhhhhh".
"Ahrrrrrrrrrrrr, putain, c'est bon, j'ai déjà connu ça, il y a longtemps, ohhhhhh, qu'est ce que c'est bon!".
Je me défonce en prenant soin de ne pas sortir de mes profondeurs, mon orgasme est continu.
Le film ajoute à l'ambiance très sexe avec les râles du jeune qui se fait enculer en recevant le sperme de deux blacks sur son visage.
Je comprends que je n'avais prévu que Gerard est très endurant, il va m'épuiser d'un plaisir énorme qui ne retombe pas.
Par moment, je m'arrête de le baiser, pour reprendre de la lucidité, mon cerveau est envahi d'orgasmes.
Mais il prend la suite et me fait hurler.
"C'est ça gueule salope! C'est toi qui l'a voulue entière dans le cul, alors assumes!".
Il voit que je n'ai plus la force de me soulever.
Il me dégage de sa bite, puis me place en bout de canapé, son gros et long pieu me transperce et retrouve mes profondeurs.
"Je vais te casser le cul comme personne! Tu peux gueuler! On t'entend pas! je t'aimai beaucoup avant, mais là tu m'excites encore plus, j'adore les petites putes comme toi, regardes le film, toi aussi, t'aimes te faire défoncer par plusieurs grosses queues, pas vrai?".
"Oui, arhhhhhh, j'adore ça! Arhhhhhhhhhh".
"Je sais, je t'ai vu quelques fois au Sex-Shop! Une vraie pute!".
Son gros sexe me pistonne sans relâche, je crie encore et encore.
"Arrrhhhhhhhhhhhhhhhhhh, Gérard, j'en peux plus de jouir, arhhhhhhhhhhhhhh!".
Il continue jusqu'aux signes qui annonce une retombée de plaisir.
"Bon, on va s'arrêter un peu! Je vais te laisser tranquille un moment".
"Mais tu jouis jamais? Tu m'a démonté, je suis mort!".
"Quand je suis excité, je viens moins vite, mais je t'avais prévenu que t'allais prendre cher!".
Je passe ma main entre mes fesses, mes doigts sont couverts de sécrétions lubrifiantes anales.
Mon anus est béant, j'entre mes 4 phalanges sans souci.
"Putain, tu m'as détruit l'anus!".
"Ah, ah, ah, bon je te sers à boire? avant que tu avales mon foutre?".
Cette phrase au lieu de me choquer, m'excite au contraire, il sait qu'il peut m'utiliser comme il veut.
"Je sais pas, une bière peut-être!".
Il revient avec 2 grandes bières servies dans des énormes verres.
On sirote un peu en parlant de mon cul et de nos rencontres au Sex-Shop.
"Dis-moi Gérard, je peux te poser une question?".
"Bien sûr!".
"Tu sais que tu me rendais dingue? Dès fois, tu te jetais sur moi pour m'enculer comme un fou, et d'autres fois tu m'ignorais, je comprenais pas!".
"Oh, je t'ai pas ignoré souvent, des fois j'allais au Sex-Shop pour oublier mes soucis de divorce, mais j'avais pas vraiment d'envie.
Mais je me souviens que la dernière fois, je t'ai évité un moment et puis j'ai craqué, je t'ai défoncé dans la salle sombre à coté du film homo, c'était bon d'ailleurs! Ca m'a fait du bien".
"Oui, je m'en souviens aussi, c'était génial! Et ta femme! pourquoi tu la baisais plus?".
"Ah, donc elle raconte notre vie à la tienne! Ben elle sait pas, mais je m'éclate plus avec les mecs! Et mes sentiments ont disparu avec le temps, à la fin, je la supportai plus, mais depuis notre séparation, nous retrouvons un certain respect".
Le temps passe et nos grands verres se sont vidés, je commence à être sous l'effet de l'alcool.
Je remarque que sa longue queue commence à pendre entre ses cuisses.
"Ah non, je veux qu'elle revienne, tu vas encore me casser le cul!".
Je me jette entre ses cuisses pour le pomper comme une salope avide et en manque.
"Ouais, bouffes-moi bien la bite salope! Et n'oublies pas mes couilles!".
Oh, non, je ne les oublie pas, ma bouche se fait vicieuse et se délecte de chaque cm de son membre.
En peu de temps, il reprend une vigueur très ferme.
Je me place comme une salope en bout de canapé, et lui demande:
"S'il te plait, encore! Défonces-moi!".
Il me transperce d'un coup, jusqu'à la base de sa bite.
"Arhhhhhhhhhhhhh, Gérard! Oui, oh putain ce que c'est fort!".
Il ne réponds pas et se déchaine en me faisant hurler bruyamment.
Le phénomène d'orgasme anal constant reprend.
Le frottement continu de son gros sexe dans ce passage étroit me fait orgasmer sans fin.
D'un coup, je reconnais une sensation qui me gagne.
"Gérard! Arrêtes sinon, je vais tacher ton canapé, arrêtes s'il te plait!".
Il me déplace le corps de manière à ce que je m'appuie sur la table de salon, mais continue de me pistonner comme une brute.
"Vas-y, lâches toi!".
"Arhhhhhhhhhhhh, arhhhhhhhhhhhh,arhhhhhhhhhhhh,arhhhhhhhhhhhh!".
Des flots de liquide très clairs, coulent de mon sexe au rythme de ses à-coups dans mon cul, pour inonder le sol.
"Arhhhhhhhhhhhh, Gérard, c'est trop fort, je joui, arhhhhhhhhhhhh, arhhhhhhhhhhhh, arhhhhhhhhhhhh!".
"Putain, c'est excitant, tu coules comme une femme fontaine, salope!".
Il continue de me faire gicler sans fin.
Mes pieds sont mouillés par mes propres éjections, mes sécrétions anales coulent entre mes fesses, malgré ces effets pervers, mon plaisir est absolu, je voudrais qu'il ne s'arrête jamais de m'enculer ainsi.
Je suis étourdi par mes orgasmes, c'est un gémissement plus fort que les miens qui me fait réaliser qu'il éjacule dans mes profondeurs.
"Arhhhhhhhhhhhh, je joui, arhhhhhhhhhhhh, oh putain, ce que j'aime ton cul salope! Arhhhhhhhhhhhh".
Il est immobilisé par son orgasme, ses flots de sperme que je sais abondants, me remplissent profondément.
Comme il ne peut plus bouger, je reprend ses mouvements ou il s'était arrêté.
"Oh, oui, comme ça, oui, arhhhhhhhhhhhh, oh tu baises toujours aussi bien! Arhhhhhhhhhhhh!".
Il recule en me gardant empalé sur lui, puis il nous couche sur le canapé en disant:
"Reste comme ça, on est bien là!".
Il me dit qu'il a bien joui, qu'il en avait eu besoin, et qu'il a eu de la chance de me revoir chez son ex-femme.
Petit à petit, je sens sa grosse queue débander dans mon cul.
On se décident à se quitter sexuellement, puis il se lève pour prendre du papier essuie-tout.
"Laisses Gérard, je vais le faire, c'est moi qui ai fait ça, c'est normal que je nettoie!".
Après le nettoyage, j'en profite pour m'essuyer les fesses et l'intérieur des cuisses.
Puis il me propose un café, je m'attend à partir un peu après, il en profite pour mettre un autre film montrant une défonce anale d'un jeune qui me ressemble beaucoup par une douzaine hommes.
On parle encore de sexe et du film, il me pose des questions sur ce que j'ai déjà pratiqué.
Puis, il approche mon visage de sa queue, je me laisse faire et lui fait une très longue fellation pendant qu'il visionne le film.
C'est vers la fin, au moment du bukkake sur le visage de la salope mâle du film qu'il éjacule dans ma bouche en accompagnant ses jets de commentaires:
"Oui, prends sa salope, avales tout, t'aimes ça le foutre, arhhhhhhhhhhhh, arhhhhhhhhhhhh, arhhhhhhhhhhhh".
Je me met à regretter qu'il ai déjà éjaculé dans mon cul, j'aurai tellement aimé avaler ses premiers jets, plus abondants.
Il attrape la télécommande, éteint l'écran et me remercie du plaisir qu'il a pris avec ma bouche.
Puis lentement, on se prépare pour le retour, il est presque 18h30.
"Putain, ça fait plus de 4 heures qu'on baise! J'ai adoré Gérard, j'ai pris un plaisir énorme!".
"Moi aussi, on essaie de remettre ça!".
"Quand tu veux, pas trop souvent, je bosse, et ma femme va se poser des questions!".
"Ecoutes, fais moi confiance!, On verra et puis tu sais que je suis un homme comme tous les autres, j'aime bien changer de cul aussi!".
"Je sais, j'en suis conscient! Mais c'est quand tu veux!".
Il me ramène chez moi. En passant la porte, Lisa me demande:
"Eh ben, c'était long, je m'inquiétai, il avait quoi son ordi?".
Je décide de ne pas mentir et réponds:
"L'ordi, rien!".
"Quoi? Tu m'expliques?".
"C'est sa queue qui avait besoin de moi! De mon cul en fait! On se connait depuis des années, c'est un de mes amants du Sex-Shop!".
"Tu... tu... tu t'es fait enculer pendant tout ce temps?".
"Oui, il est long à jouir, mais j'adore baiser avec lui! Ca m'a fait rire quand tu disais que tu mouillais en regardant sa queue, t'as raison, elle est excellente! Mais je le sais depuis longtemps et s'il a quitté sa femme, c'est parce qu'il préfère baiser des mecs maintenant! Enfin, en partie!".
"T'as du te régaler avec sa grosse queue!".
"Je sens plus mon cul, mais c'est pas grave, j'ai rarement joui aussi fort avec un mec seul! il m'a dit qu'il te trouvait bandante!".
"Humm, ça m'excites! Il te reste pas un peu de force pour moi? Allez, viens encules-moi, j'en ai envie!".
Elle sait comment me prendre et je l'encule comme une chienne pendant un bon quart d'heure, puis après son 3eme orgasme anal augmenté par l'idée que Gérard l'encule, j'éjacule en grognant dans son cul, mon plaisir étant décuplé par la sollicitation de ma prostate par Gérard dans mon cul.
"Eh ben, t'as joui très fort!" me dit Lisa.
"Ca m'arrive à chaque fois qu'on m'encule longtemps, c'est normal! Mais c'est très bon!".
Elle se rhabille pour récupérer notre fille, pendant que je sombre dans un petit sommeil récupérateur.