Il ne manquait que le tapis volant ! - histoire érotique

Il est minuit, dans notre chambre d’hôtel d’Istanbul le silence est retombé, seul le ronronnement de la clim et la respiration encore haletante d’Annie ponctuée par le soulèvement régulier de sa poitrine se font entendre, ses cheveux mouillés, collés sur sa bouche, je la maintiens par les poignets, les bras en croix, dans une attitude de soumission
Sous ses fesses une mare liquide inonde le drap, par deux fois sa chatte a expulsé des jets brulants, ajouté a cela mon éjaculation puissante, nous allons dormir ce soir comme des animaux vautrés dans notre cocktail résultant de notre partie de baise, tout ça parce que dans l’après midi au grand bazar ma femme s’est fait passé des mains au cul par trois fois ,sans compter ce petit jeune qui s’est collé a elle alors qu’elle choisissait un souvenir penchée a un étal, çà a duré une poignée de seconde mais elle a eu le temps d’apprécier un belle érection…..çà nous a excités !
Je la lime doucement, mon sexe encore bandé enfoncé très loin dans sa chatte, je propulse les derniers centimètres violement faisant claquer mes couilles sur son petit trou fripé
- Il te tient bien ce fantasme de te livrer à une poignée de mâles excités hein ??
_ … Oui….mais je ne veux pas voir leurs visage, cet après midi quand ces inconnus m’on touchée je dégoulinais littéralement….
- Raconte-moi ce que tu aurais aimé qu’ils te fassent …..
- Il faudrait que tu sois là, que ce soit toi qui ‘m’oblige’ à me faire baiser ….
- Ce n’est pas un problème ; mais va y dis moi ….
- Je les exciterais, tu me demanderais de leurs dévoiler petit à petit mon corps, mes seins, ma chatte, et tu finirais par leurs offrir mes trous ….
- Tous tes trous ?? Vraiment ??
- Oui ! Tous mes trous remplis de leur foutre gluant !
- Demain c’est notre dernier jour ici ….personne ne nous connait c’est l’endroit idéal, on ‘le fait’ si tu veux ??
- Ouiiiiiiiiii ! Je m’abandonne entièrement à toi chéri !
Me dit elle dans un souffle et c’est a ce moment là que je décharge a nouveau …..Épuisés nous nous laissons tomber sur le coté
Le lendemain matin je cogite …. Le petit bistro un peu louche ou nous prenons l’apéro tous les soirs me parait approprié, le patron déshabille Annie du regard a chaque fois, ma petite blonde le fait baver ……
- Cet après midi chérie nous irons nous balader en ville … ne met pas de short ….
- Ha bon ? ……
- Oui, une jupe ira très bien …..Tu mets quand même des dessous …
Vers dix sept heures, après la grosse chaleur passée nous nous dirigeons vers ce fameux bistro, je commande deux boissons rafraîchissantes, puis prenant mon courage a deux mains je vais voir l’homme … je lui désigne ma femme, et a force de gestes je lui fait comprendre ce que j’attend de lui , avec mes doigts, je lui en montre cinq, et entourant mon poignet d’une façon que tout étranger peut comprendre, son œil s’illumine, il me montre une porte au fond de la salle, me faisant comprendre de nous y diriger et d’attendre quelques instants… c’est partit !!
On dirait une petite salle de spectacle, une scène, au milieu un large pouf en rotin recouvert d’un matelassage rouge, des spots éclairent le tout, au plafond deux énormes ventilateurs pulsent l’air moite, Annie tremble de tous ses membres ! Mais courageusement me demande :
- Que dois-je faire ???
- Tu vas t’assoir sur le siège mon amour, tient, tu mets çà sur tes yeux et tu ne l’enlève sous aucuns prétextes ! et tu obéis a tout ce que je te demanderais de faire d’accord ? Çà va aller !!
Je lui tends un bandeau récupéré dans l’avion pour ceux qui veulent se protéger de la lumière pour dormir
Annie une fois assise attend docilement, la porte s’ouvre, cinq hommes dans la force de l’âge entrent, on ne peu pas dire que ce soit des canons de beauté !je soupçonne le patron de les avoirs fait payer... Mais après tout çà ne me regarde pas !
Ils se regroupent autour de moi fixant avec des yeux rond la belle blonde qui est assise sous la lumière crue des projecteurs
- Chérie, tu déboutonne lentement ton corsage …. Une fois ôté tu malaxe lentement les bonnets de ton soutient gorge …..
Déjà prés de moi, des murmurent approbateurs, dans une langue que je ne comprends pas montent …
- Très bien mon amour, aller vire le maintenant !et recommence les mêmes gestes
D’une main habile Annie se débarrasse du sou vêtement, c’est à peine si les seins changent de position, ses tétons sont raidis
Un silence pesant règne ….les mains malaxent les braguettes, moi aussi je bande ! Annie se pelote allégrement les seins, les tétons dardés sont pincés entre ses doigts, elle passe une langue gourmande sur ses lèvres !
- Ouvre furtivement tes cuisses, juste pour qu’ils aperçoivent ta petite culotte ….voilà pas plus
A nouveau les murmures fusent !!Les braguettes s’ouvrent, cinq queues circoncises, impressionnantes à l’horizontale, le patron m’a bien compris !! Elle veut offrir tous ses trous ?? Houlà !houlà !
- Lâche tes seins, pose tes mains sur tes genoux, ouvre les …..Remonte tes mains sur tes cuisses, fait remonter ta robe …..Très bien ! Très joli !!Tu mouille ma salope, ta culotte est tachée !!
Un murmure d’impatience sort de sa bouche
- On y vient chérie, ôte ta jupe si tu veux …..Ils enlèvent leurs pantalon ces salauds !!Tu verrais comme ils bandent …moi aussi tu sais !!Tu va passer un sacré bon moment !!
- Chéri ….
- Chuuuuutt !!Écarte ton string sur le coté montre leurs tes poils, ils adorent les blondes !! Houaaaaa !!......Bon, tu peux t’allonger ce seras plus facile, vire moi ce maudit string ! Passe tes doigts sur tes lèvres, ouvre les … Ouiiiii, comme çà ….ouvre bien tes cuisses, maintenant enfonce deux doigts, montre nous l’intérieur de ton con, il brille sous la lumière chérie !! Tu es prête ??Toi je ne sais pas, mais ta chatte ne ment pas !!
- J’ai envie !! J’ai envie !! Qu’ils viennent !!
- Du calme ! Pas tous a la fois !! J’en envoie trois
Je passe ma langue sur mes lèvres en regardant les turcs, je suis surpris en entendant l’un d’eux me dire :
- Lécher ??
Je lui fais signe de la tête que c’est bien çà !
Il se rue littéralement vers sa proie, je fais signe a deux autres d’aller a hauteur de ses seins, ceux qui restent rechignent un peu, je leurs fait comprendre d’attendre quelques minutes, alors en désespoir de cause ils se branlent !! … tout comme moi !!
Annie est aux anges, une bite dans chaque main elle se laisse manger la chatte remuant du postérieur pour qu’il positionne bien sa bouche !!je vois ses doigts et sa tête bouger efficacement
Ma salope attire à sa bouche les bites qui suintent leur liquide lubrifiant, Annie pompe les glands des deux mecs à tour de rôle
Ses seins sont triturés par les mains calleuses, ma femme s’agite sur le pouf, elle à envie de queue en elle, alors je donne le feu vert aux deux autres
A partir de là c’est la curée ! C’est a qui auras accès a son entre cuisses le premier, elle est subitement retournée en levrette comme une crêpe, aussitôt enfilée par une queue qui la ramone sans ménagements tandis qu’un autre la bâillonne en lui baisant la bouche, tout en maintenant sa tête dans la bonne direction, des mains tirent sur les seins, des doigts ouvrent son petit trou ….
Chacun trouve une occupation ! Moi je me masturbe devant un tel spectacle cherchant le meilleur angle de vue
Entre ses cuisses la fontaine entre en action, le véritable ruisseau de mouille vient tacher les coussins rouge pourpre, Annie beugle sa jouissance, les premières éjaculations arrivent, le jouisseur est aussitôt remplacé !c’est un véritable travail a la chaine !la nouvelle bitte expulse le trop plein de foutre du vagin
Soudain une main vient me toucher l’épaule … une jeune fille seulement habillée d’un voile transparent me sourie, un voile de perles sur le nez, des grands yeux de biche, elle est magnifique, une peau couleur ambrée … a la porte le patron me fait comprendre qu’elle est pour moi ….sans doute un remerciement sur le pactole qu’il s’est fait avec les mecs !un coup d’œil vers Annie qui vient de chevaucher un mâle laissant libre son petit trou palpitant qui ne va surement pas tarder a être investit ! cela me laisse du temps libre ,alors je me tourne vers la fille et lui pose une main sur mon membre, sans hésiter elle ôte le voile de son visage et s’agenouille pour me prendre en bouche , mais je suis trop impatient de gouter a son fruit exotique , un tapis a coté de ma femme va nous servir de couche
La parure transparente virée je découvre une chatte dépourvue de poils, des aréoles très larges aux seins, une taille minuscule, cambrée comme un arc, faite pour baiser ! Au risque de passer pour un goujat, je m’agenouille entre les cuisses écartées, sa moule baille comme une invite a la baise, d’une main je me guide vers cet antre qui me semble peu large,
- Haaaaaaaa….. Tu es booonnne….. Huuuummmm ouiiiiiiiiiiiiiii !!!! Prend çà dans ta chatte !
Ses bras passent autour de mon cou, ses jambes s’entourent autour de ma taille comme deux lianes, je reste soudé un moment pubis contre pubis avant d’entreprendre une danse folle dans son ventre, elle couine comme si je l’égorgeais ! En échos les cris de bonheur de ma femme qui doit se faire défoncer elle aussi !
Soudain la fille me dit des choses dans sa langue, je stoppe… elle se dégage, je pense que j’ai dus être trop brutal ? Mais non ! Tout simplement elle se positionne en levrette, une merveille ce petit cul ! Sa moule suintante reste ouverte, son œillet boursouflé semble me dire : c’est a mon tour !
Après tout qu’est ce que je risque ? Je frotte ma hampe raidie au maximum sur toute la raie et je m’arrête sur son cul ….mon gland cramoisis force le passage interdit qui s’ouvre lentement, je la saisie aux hanches, la fille pousse son cul vers moi, centimètres par centimètres ma queue disparait entre ses reins, elle griffe le tapis de ses doigts…
Juste un instant un sentiment de remord m’effleure, Annie ne sait pas qu’en ce moment j’encule une fille de rêve, à moins que son bandeau ne soit tombé !!Mais a priori elle n’a pas le temps de se préoccuper de moi !! Je pense que le premier qui a déchargé en elle a repris de la vigueur pour l’honorer une seconde fois, j’ai tout mon temps avant que les cinq ne soient épuisés ! !!
Je regarde ma queue emprisonnée dans cet étroit fourreau glisser lentement je savoure l’instant, deux de mes doigts titillent le clitoris décalotté, elle murmure des mots que je ne comprends pas mais qui semblent approuver ma technique
Annie est retournée sur le dos des flaques de sperme tapissent ses seins, son visage est aussi maculé, cela reflète l’état dans lequel se trouve sa moule, d’ailleurs l’un d’eux a abdiqué, il se rhabille et quitte la pièce, suivit de prés par un autre
Ma gentille pouliche vient de jouir, ma tension monte pour moi aussi !alors elle fait un mouvement en avant pour se dégager ma queue se retrouve fouettant l’air, mais elle se retourne pour la prendre en main, la bouche béante elle me masturbe, je vais décharger au fond de sa gorge …….je ferme les yeux tout le temps que gicle ma purée, la fille essore bien mon membre puis me fixant avale tout d’un air malicieux et gourmand ….aussitôt elle aussi disparait
Ils ne sont plus que deux aux prises avec ma femme, je m’approche et retire son bandeau taché de foutre turc
- Ça va mon amour ?? Comment te sens-tu ?
- Ouuuuuu … je ne sens plus rien mes trous sont anesthésiés ! Ils m’ont pilonnée au marteau piqueur les salauds !je ne sais pas quelle quantité de leur jus j’ai avalée par en haut et par en bas …. Laissez moi maintenant çà va bien !
Très obéissants les deux hommes se retirent, aux deux sens du terme !je pose mes mains sur les seins gluants et les masse avec cet onguent improvisé ? L’intérieur de ses cuisses n’est qu’une croute de sperme séché, les poils collés a la peau, le clitoris hors de son capuchon, les lèvres gonflées, difformes, encore entrebâillées laissent s’échapper un trop plein immonde !
Annie cherche d’une main ma bitte encore suintante…
- Tu viens de jouir chéri … elle était bonne cette petite ??
- Euuuuuuh … tu as vus alors ??
- Tu sais bien que rien ne m’échappe !
- Je vais tout t’expliquer, tant pis pour la douche de toute façon il n’y en a pas ici ! Rentrons a l’hôtel tel que tu es, qu’est ce qu’ils t’on mit ! Je vais constater les ‘dégâts’ ! tu m’as fait bander salope !!
A la sortie le patron nous attend un grand sourire aux lèvres, peu être s’est il rincé l’œil, je m’en fous ! Mais surtout il me fait comprendre que si je veux ce soir nous pouvons revenir …….