Il venait d'avoir 18 ans.
Récit érotique écrit par Seitan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Il venait d'avoir 18 ans.
Cela fait longtemps que je n’aie pas écrit, il faut dire que je manque un peu d’histoires. Le temps passe et mes souvenirs s’estompent un peu. Mais, alors que ne m’y attendais pas, une histoire bien chaude m’est arrivée.
Le titre en dit long, mais voici mon histoire :
Un Vendredi soir dans le seul bar gay de ma ville, avec mon ami d’enfance D, gay lui aussi, nous discutons, en buvant du whisky cola tout en matant les mecs qui nous plaisent. Mais le temps passe et arrive l’heure de la fermeture et rien, pas une touche, ni même un regard. Un peu déçu je rentre chez moi, mais sur le chemin, mon ami me rattrape et me demande si je veux l’accompagner dans une discothèque.
- juste pour un dernier verre !
La discothèque est située dans la rue où j’habite, il insiste, et sans grand enthousiasme, j’accepte. Au bar de cette grande boite, je sirote un verre ne tenant pas compte de ce qui se passe autour de moi. D m’interpelle pour me présenter deux de ses nouveaux amis qu’il vient de rencontrer. Je dis bonjour en serrant des grosses mains bien viriles, sans vraiment regarder les deux mecs. Puis mon ami s’en va fumer dans le fumoir. Moi, non fumeur, je reste face au bar et continu à boire mon verre pour le finir et rentrer chez moi. Je commence sérieusement à m’ennuyer. Mais, quelqu'un me tape sur l’épaule, je me retourne, et devant moi un des deux mecs que D vient de me présenter me dit :
- à la tienne !
Je trinque, et regarde plus sérieusement le mec.
Il est grand, près de deux mètres. Hyper baraqué, des gros bras et un torse musclés. Tout cela, moulé dans un t-shirt qui semble trop petit pour corps aussi massif. Deux jambes robustes serrées dans un jean. Des cheveux blonds vénitiens, deux yeux bleus, un petit nez, les joues rosées, deux lèvres fines et un visage tout rond. Une vraie tête de poupons sur un corps d’homme puissant. Il me parle, je comprends vite qu’il est rugbyman. Hummm, si vous avez lu mes autres histoires, vous savez que je les aime beaucoup. Mais bon, il faut faire attention, je ne sais pas ce qu’il est. Mais lui a vite compris ce que je suis :
- toi t’es homo, mais ça ne me gêne pas.
Ça se voit tant que ça ? Pourtant je ne suis pas folle et mon look est assez classique. Puis il continue à me parler mais, la musique forte, le brouhaha et l’alcool embrument mes pensées. Je ne comprends pas ce qu’il me raconte. Excédé, (non par lui) je me rapproche et tout prés, lui dit :
- désolé, je suis fatigué et je rentre chez moi.
Lui- je peux te raccompagner et rester avec toi ?
Whaou ! Mon corps se réveil, ma bite frémit. Je réponds bien vite par l’affirmative.
On s’en va discrètement et on arrive chez moi. En montant l’escalier qui mène mon appartement, je me retrouve derrière lui. Je vois son petit cul enserré dans son jean, et quel beau cul, je fantasme déjà. Je lui propose un verre et lui demande ce qu’il veut. Il me dit qu’il est hétéro, mais attiré par les mecs. Et depuis qu’il est majeur recherche a avoir ça première expérience et m’explique que je correspond à ses goûts. Ravi, je lui dis que je veux bien être son premier mec. Je lui demande :
- ça fait longtemps que tu cherches ?
- non je viens d’avoir 18 ans.
Je suis hyper gêné, je lui dis :
- moi j’ai deux fois ton age plus deux.
- ça ne me gêne pas.
Ouf.
Mais il est très nerveux, je le rassure en lui disant que je ne forcerais à rien. Bien vite, je défait le clic clac, et nous voila couché l’un à coté de l’autre. Encore habillé, je commence à le caresser. Mon dieu, quel corps ! Il est superbe. Lui n’ose pas trop.
Je l’embrasse, mais il est très intimidé et n’ouvre pas la bouche. On va juste se faire de petits baisers. Je bande dur et je n’en peux plus, je veux plus. Je me couche sur lui.
Il soupire, je frotte ma grosse bosse contre la sienne, il a l’air d’être bien monté. Et, avec beaucoup tendresse je lui dis :
- ça va, tu veux aller plus loin ?
Il répond un petit oui à peine audible.
Je me décale et lui enlève son t-shirt et retire le mien. A ma grande surprise il enlève rapidement son pantalon. J’en fais de même. Là, totale admiration. Son corps est parfait, c’est un vrai apollon. Un corps bien bâti et des grosses cuisses fermes à damner un saint. Je reste un instant à le contempler tellement il est beau, c’est irréel et ce mec veut coucher avec moi.
Vêtu seulement de nos slips, moi de belle marque lui d’un tout petit blanc déformé par une admirable érection. Je me recouche sur lui et frotte à nouveau mon sexe dur comme de la pierre contre le sien dans le même état.
Je continu à l’embrasser sur les lèvres, il me dit pas avec la langue, je respecte. Je caresse son corps ferme et imberbe et descend petit à petit, suce délicatement ses tétons, il aime. J’arrive à la partie la plus exquise. J’embrasse à travers le tissu la grosse bite qui n’attend plus que d’être libérée. Il respire fort. Je délivre enfin sa queue de son carcan, elle est magnifique pointe vers son nombril, couchée sur des poils blonds (c’est un vrai blond vénitien). Elle est assez longue, 18 cm environ mais très épaisse et non circoncise. Puis, avec la plus grande délicatesse, je la prends en main, le branle doucement en tirant sur le prépuce pour découvrir un gros gland tout rouge. Excité je commence à lécher le bout puis la hampe entière. J’ouvre grand la bouche, la gobe et entame un va et viens de mes lèvres sur son engin. Ma main gauche la tien bien droite dans ma bouche et la gauche caresse ses grosses couilles et quand je pousse vers l’anus il frémit de bien être. Il gémit de plaisir. Encouragé, je continu de plus belle. Il me caresse la tête et sans forcer et accompagne le mouvement. Il s’exclame :
- putain ! Tu suces mieux qu’une femme ! On dit que les mecs le font mieux, je confirme. Haaaaaaaa !
Je met toute mon expérience dans ma fellation, jusqu’à ce qu'il me dise d’arrêter de peur de jouir de suite. Je remonte, l’embrasse partout, il me fait comprendre qu’il ne souhaite pas me rendre la politesse. Tant pis.
Puis, enfin, je retire mon slip devenu un vrai étau, je m’assoie sur son bassin. Un peu de salive et je commence à faire des mouvements d’arrière en avant et fait glisser sa queue entre mes fesses sans vouloir me faire pénétrer. Ça nous excite terriblement, il place ses mains sur mes hanches pour accentuer le mouvement et la cadence. Sa queue glisse et cogne mes couilles, je passe une main entre mes cuisses et agace de mes doigts son gland. Il me regarde fiévreux. Ma queue droite comme un i bouge devant ses yeux. Je remarque qu’il la regarde avec attention. Je pense que c’est la première fois qu’il en voit une en vraie en érection (car dans les vestiaires…).
Je lui prends une main pour la placer sur ma bite. D’un coup, ça le rend fou, il l’enserre très fort et commence à me masturber vivement.
Nos mouvements deviennent fougueux on respire et souffle très fort. Je sens que mon anus s’ouvre. Il me dit fébrile :
- tu as des préservatifs ?
Je vais très vite en chercher et prends aussi du gel, il me demande :
- c’est quoi ça ?
Je lui dis amusé :
- c’est du gel lubrifiant pour que ça glisse mieux, tu as déjà sodomisé une fille ?
Lui - oui mais elle a eu très mal.
Moi - tu n’avais pas mis de gel.
Lui - non.
Moi - voila il faut lubrifier bite et cul pour que ça rentre bien.
Je lui met un préservatif, je lubrifie son gourdin et mon entre fesses. Je le chevauche place son sexe sur mon anus brûlant et pousse vers le bas. Houlà, elle est grosse, mais aidé par le gel et par mon excitation, elle finit par rentrer. On geint de plaisir en cœur.
Je commence à coulisser sur son chibre doucement, puis de plus en plus vite. C’est terriblement bon.
Je fatigue, je veux qu’il fasse le travail. On change de position, je me couche sur le ventre, il se glisse entre mes jambes j’écarte mes fesses, il y place sa queue. Je lui dis :
- doucement !
Il rentre assez lentement, puis me lime de plus en plus rapidement. Je me retrouve la tête dans le vide au bout du clic clac. C’est divin je commence à crier à chaque coup de rein de mon étalon. Je tape du point sur le sol tellement c’est bon. Il me fait mettre sur le coté et me baise comme un dieu, puis je passe sur le dos et là il continu ses mouvements impétueux, il va profondément en moi, je perds la tête. Il me remet sur le ventre, je me cambre et il me pénètre à nouveaux. Quel baiseur !!!
Mais d’un coup sa bite sort et il me pénètre à nouveau très vite et fort, beaucoup trop fort. Il m’a fait mal, je dois le stopper. Il sort de mon cul, mais je lui dis de se branler et de jouir sur mon dos. Moi, une main passe sous mon ventre pour branler ma queue. Je sens qu’il vient, il cri en jouissant, je sent une grosse dose de sperme brûlant sur mon dos. La sensation de sa semence chaude sur mon dos me fait de l’effet et je jouis à mon tour en maculant mes doigts et le clic clac de mon sperme. Il s’écroule sur moi. On restera comme ça je ne sais combien de temps.
On se relève et je l’accompagne à la salle de bains pour se nettoyer. Revenu dans le salon assis dans un fauteuil il me dit :
- je crois que je ne suis pas pédé.
Moi - non tu es homo.
Lui - non je veux dire que je ne le suis pas.
Moi - tu n’as pas aimé ?
Lui - si si.
Moi - souvent après la première fois ça fait cet effet la !
Lui- je ne sais pas, je sais plus.
Attendri, je le prend et le serre très fort dans mes bras. Il se laisse aller.
Il s’est rhabillé et il est partit en me disant :
- j’aimerais bien vous revoir toi et ton ami pour sortir.
- ok si tu veux nous voir on est souvent au T le bar gay.
Lui- je ne sais pas si j’oserais y aller !Moi - il faut.
Pour l’instant, je ne l’ai pas revu et ce samedi soir j’aimerais bien aller dans la discothèque pour le retrouver et lui proposer de recommencer.
Seithan
Le titre en dit long, mais voici mon histoire :
Un Vendredi soir dans le seul bar gay de ma ville, avec mon ami d’enfance D, gay lui aussi, nous discutons, en buvant du whisky cola tout en matant les mecs qui nous plaisent. Mais le temps passe et arrive l’heure de la fermeture et rien, pas une touche, ni même un regard. Un peu déçu je rentre chez moi, mais sur le chemin, mon ami me rattrape et me demande si je veux l’accompagner dans une discothèque.
- juste pour un dernier verre !
La discothèque est située dans la rue où j’habite, il insiste, et sans grand enthousiasme, j’accepte. Au bar de cette grande boite, je sirote un verre ne tenant pas compte de ce qui se passe autour de moi. D m’interpelle pour me présenter deux de ses nouveaux amis qu’il vient de rencontrer. Je dis bonjour en serrant des grosses mains bien viriles, sans vraiment regarder les deux mecs. Puis mon ami s’en va fumer dans le fumoir. Moi, non fumeur, je reste face au bar et continu à boire mon verre pour le finir et rentrer chez moi. Je commence sérieusement à m’ennuyer. Mais, quelqu'un me tape sur l’épaule, je me retourne, et devant moi un des deux mecs que D vient de me présenter me dit :
- à la tienne !
Je trinque, et regarde plus sérieusement le mec.
Il est grand, près de deux mètres. Hyper baraqué, des gros bras et un torse musclés. Tout cela, moulé dans un t-shirt qui semble trop petit pour corps aussi massif. Deux jambes robustes serrées dans un jean. Des cheveux blonds vénitiens, deux yeux bleus, un petit nez, les joues rosées, deux lèvres fines et un visage tout rond. Une vraie tête de poupons sur un corps d’homme puissant. Il me parle, je comprends vite qu’il est rugbyman. Hummm, si vous avez lu mes autres histoires, vous savez que je les aime beaucoup. Mais bon, il faut faire attention, je ne sais pas ce qu’il est. Mais lui a vite compris ce que je suis :
- toi t’es homo, mais ça ne me gêne pas.
Ça se voit tant que ça ? Pourtant je ne suis pas folle et mon look est assez classique. Puis il continue à me parler mais, la musique forte, le brouhaha et l’alcool embrument mes pensées. Je ne comprends pas ce qu’il me raconte. Excédé, (non par lui) je me rapproche et tout prés, lui dit :
- désolé, je suis fatigué et je rentre chez moi.
Lui- je peux te raccompagner et rester avec toi ?
Whaou ! Mon corps se réveil, ma bite frémit. Je réponds bien vite par l’affirmative.
On s’en va discrètement et on arrive chez moi. En montant l’escalier qui mène mon appartement, je me retrouve derrière lui. Je vois son petit cul enserré dans son jean, et quel beau cul, je fantasme déjà. Je lui propose un verre et lui demande ce qu’il veut. Il me dit qu’il est hétéro, mais attiré par les mecs. Et depuis qu’il est majeur recherche a avoir ça première expérience et m’explique que je correspond à ses goûts. Ravi, je lui dis que je veux bien être son premier mec. Je lui demande :
- ça fait longtemps que tu cherches ?
- non je viens d’avoir 18 ans.
Je suis hyper gêné, je lui dis :
- moi j’ai deux fois ton age plus deux.
- ça ne me gêne pas.
Ouf.
Mais il est très nerveux, je le rassure en lui disant que je ne forcerais à rien. Bien vite, je défait le clic clac, et nous voila couché l’un à coté de l’autre. Encore habillé, je commence à le caresser. Mon dieu, quel corps ! Il est superbe. Lui n’ose pas trop.
Je l’embrasse, mais il est très intimidé et n’ouvre pas la bouche. On va juste se faire de petits baisers. Je bande dur et je n’en peux plus, je veux plus. Je me couche sur lui.
Il soupire, je frotte ma grosse bosse contre la sienne, il a l’air d’être bien monté. Et, avec beaucoup tendresse je lui dis :
- ça va, tu veux aller plus loin ?
Il répond un petit oui à peine audible.
Je me décale et lui enlève son t-shirt et retire le mien. A ma grande surprise il enlève rapidement son pantalon. J’en fais de même. Là, totale admiration. Son corps est parfait, c’est un vrai apollon. Un corps bien bâti et des grosses cuisses fermes à damner un saint. Je reste un instant à le contempler tellement il est beau, c’est irréel et ce mec veut coucher avec moi.
Vêtu seulement de nos slips, moi de belle marque lui d’un tout petit blanc déformé par une admirable érection. Je me recouche sur lui et frotte à nouveau mon sexe dur comme de la pierre contre le sien dans le même état.
Je continu à l’embrasser sur les lèvres, il me dit pas avec la langue, je respecte. Je caresse son corps ferme et imberbe et descend petit à petit, suce délicatement ses tétons, il aime. J’arrive à la partie la plus exquise. J’embrasse à travers le tissu la grosse bite qui n’attend plus que d’être libérée. Il respire fort. Je délivre enfin sa queue de son carcan, elle est magnifique pointe vers son nombril, couchée sur des poils blonds (c’est un vrai blond vénitien). Elle est assez longue, 18 cm environ mais très épaisse et non circoncise. Puis, avec la plus grande délicatesse, je la prends en main, le branle doucement en tirant sur le prépuce pour découvrir un gros gland tout rouge. Excité je commence à lécher le bout puis la hampe entière. J’ouvre grand la bouche, la gobe et entame un va et viens de mes lèvres sur son engin. Ma main gauche la tien bien droite dans ma bouche et la gauche caresse ses grosses couilles et quand je pousse vers l’anus il frémit de bien être. Il gémit de plaisir. Encouragé, je continu de plus belle. Il me caresse la tête et sans forcer et accompagne le mouvement. Il s’exclame :
- putain ! Tu suces mieux qu’une femme ! On dit que les mecs le font mieux, je confirme. Haaaaaaaa !
Je met toute mon expérience dans ma fellation, jusqu’à ce qu'il me dise d’arrêter de peur de jouir de suite. Je remonte, l’embrasse partout, il me fait comprendre qu’il ne souhaite pas me rendre la politesse. Tant pis.
Puis, enfin, je retire mon slip devenu un vrai étau, je m’assoie sur son bassin. Un peu de salive et je commence à faire des mouvements d’arrière en avant et fait glisser sa queue entre mes fesses sans vouloir me faire pénétrer. Ça nous excite terriblement, il place ses mains sur mes hanches pour accentuer le mouvement et la cadence. Sa queue glisse et cogne mes couilles, je passe une main entre mes cuisses et agace de mes doigts son gland. Il me regarde fiévreux. Ma queue droite comme un i bouge devant ses yeux. Je remarque qu’il la regarde avec attention. Je pense que c’est la première fois qu’il en voit une en vraie en érection (car dans les vestiaires…).
Je lui prends une main pour la placer sur ma bite. D’un coup, ça le rend fou, il l’enserre très fort et commence à me masturber vivement.
Nos mouvements deviennent fougueux on respire et souffle très fort. Je sens que mon anus s’ouvre. Il me dit fébrile :
- tu as des préservatifs ?
Je vais très vite en chercher et prends aussi du gel, il me demande :
- c’est quoi ça ?
Je lui dis amusé :
- c’est du gel lubrifiant pour que ça glisse mieux, tu as déjà sodomisé une fille ?
Lui - oui mais elle a eu très mal.
Moi - tu n’avais pas mis de gel.
Lui - non.
Moi - voila il faut lubrifier bite et cul pour que ça rentre bien.
Je lui met un préservatif, je lubrifie son gourdin et mon entre fesses. Je le chevauche place son sexe sur mon anus brûlant et pousse vers le bas. Houlà, elle est grosse, mais aidé par le gel et par mon excitation, elle finit par rentrer. On geint de plaisir en cœur.
Je commence à coulisser sur son chibre doucement, puis de plus en plus vite. C’est terriblement bon.
Je fatigue, je veux qu’il fasse le travail. On change de position, je me couche sur le ventre, il se glisse entre mes jambes j’écarte mes fesses, il y place sa queue. Je lui dis :
- doucement !
Il rentre assez lentement, puis me lime de plus en plus rapidement. Je me retrouve la tête dans le vide au bout du clic clac. C’est divin je commence à crier à chaque coup de rein de mon étalon. Je tape du point sur le sol tellement c’est bon. Il me fait mettre sur le coté et me baise comme un dieu, puis je passe sur le dos et là il continu ses mouvements impétueux, il va profondément en moi, je perds la tête. Il me remet sur le ventre, je me cambre et il me pénètre à nouveaux. Quel baiseur !!!
Mais d’un coup sa bite sort et il me pénètre à nouveau très vite et fort, beaucoup trop fort. Il m’a fait mal, je dois le stopper. Il sort de mon cul, mais je lui dis de se branler et de jouir sur mon dos. Moi, une main passe sous mon ventre pour branler ma queue. Je sens qu’il vient, il cri en jouissant, je sent une grosse dose de sperme brûlant sur mon dos. La sensation de sa semence chaude sur mon dos me fait de l’effet et je jouis à mon tour en maculant mes doigts et le clic clac de mon sperme. Il s’écroule sur moi. On restera comme ça je ne sais combien de temps.
On se relève et je l’accompagne à la salle de bains pour se nettoyer. Revenu dans le salon assis dans un fauteuil il me dit :
- je crois que je ne suis pas pédé.
Moi - non tu es homo.
Lui - non je veux dire que je ne le suis pas.
Moi - tu n’as pas aimé ?
Lui - si si.
Moi - souvent après la première fois ça fait cet effet la !
Lui- je ne sais pas, je sais plus.
Attendri, je le prend et le serre très fort dans mes bras. Il se laisse aller.
Il s’est rhabillé et il est partit en me disant :
- j’aimerais bien vous revoir toi et ton ami pour sortir.
- ok si tu veux nous voir on est souvent au T le bar gay.
Lui- je ne sais pas si j’oserais y aller !Moi - il faut.
Pour l’instant, je ne l’ai pas revu et ce samedi soir j’aimerais bien aller dans la discothèque pour le retrouver et lui proposer de recommencer.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
excellente histoire!!!!!!
ci tu ne la pas revu c'est que c etai volontaire de sa part de ne pas fréquenté les bar gay conclusion il n'as pas aimé
ci tu ne la pas revu c'est que c etai volontaire de sa part de ne pas fréquenté les bar gay conclusion il n'as pas aimé
Trop cool !