Infirmiere bénévole dévouée
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Infirmiere bénévole dévouée
Ce récit n’est qu’une fiction, j’espère que les lecteurs ne m’en voudrons pas de plaisanter sur un sujet aussi grave qu’un ‘a v c’
Suite a un ‘a.v.c’ mon beau père est resté dans le coma plusieurs semaines, il se réveille avec quelques troubles de la mémoire et de l’équilibre, voire paralysie du bas du corps, le professeur a été formel lorsqu’il s’est adressé son Anthony, son fils
- Votre père est incontinent pour une durée indéterminée, je vous conseille, pour une rééducation rapide, de le mettre dans une maison spécialisée, qui sera hélas à votre charge - Nous ne pouvons pas nous permettre de dépenser une telle somme - Dans ce cas vous devrez rester constamment à son chevet et mettre tout en œuvre pour que sa rééducation se fasse dans les meilleures dispositions - Je vais me dévouer, même si c’est dur j’aime trop mon beau père pour le laisser en dehors de notre présence, il en souffrirait beaucoup, je serais aux petits soins pour lui - C’est tout a votre honneur et ça peux accélérer son rétablissement intégral - Il retrouvera donc toutes ses facultés ?
- Avec de la persévérance, totalement !
- Alors la question ne se pose pas, je vais le chouchouter !
- Alors au revoir messieurs-dame, restez un instant madame, je dois m’entretenir seul a seul avec vous - Je t’attends dehors chérie …- Bien, voilà, c’est un peu délicat …je ne voulais pas en parler devant votre mari qui pourrait être choqué, vous devrez lui faire sa toilette car il va être incontinent, pour combien de temps c’est difficile a dire, mais ce qui est primordial c’est de tester ses réactions a l’endroit le plus sensible de son corps, c'est-à-dire son sexe, n’ayez pas peur de le manipuler, le décalotter, palpez ses bourses, enfin vous savez comment fonctionne une bite !
- Ah bon ? je vais devoir faire tout ça ?
- Oui, ce ne doit pas être désagréable de jouer avec un membre d’homme, et d’après ce que j’ai vu, un très beau membre ! souhaitez de le voir en érection, vous serez surprise ! pour le reste du corps un kiné passera régulièrement, quand il bandera il sera sauvé ! bon courage, donnez moi des nouvelles !
- Promis docteur
J’étais encore un peu abasourdie lorsque mon mari m’a questionnée
- Que voulait-il Aline ?
- Bofff il m’a simplement donné des conseils pour sa toilette- Quel naze ! comme si tu n’étais pas capable de laver des fesses ! le pauvre papa est inoffensif !
- Heureusement, sinon ça m’aurais choquée de le voir en érection en lui faisant sa toilette
Au fond de moi une petite voix criait : Tu va pouvoir assouvi ton fantasme, jouer avec une queue molle à loisir sans qu’elle ne raidisse subitement ! L’observer et la toucher à loisir sans que son propriétaire ne proteste
Pour m’aider dans ma lourde tâche un lit médicalisé doté d’un palan et un fauteuil roulant ont étés mis a ma disposition, j’avoue que dés les premiers jours c’était l’horreur, a plusieurs reprises j’ai faillis renoncer et puis j’ai appris à faire mon travail, il ne me restait plus qu’a écouter les conseils du professeur …
Mon beau père est conscient mais ne manifeste aucunes réactions lorsque je m’occupe du bas …allongé sur son lit, je lui écarte les jambes qui sont encore bien musclées, son ‘paquet’ tout propre est là, une sorte d’andouillette, qui doit être monstrueusement large en érection, velue lovée sur une magnifique paire de couilles, j’en met une moitié dans ma paume et la caresse affectueusement comme un petit animal , c’est impératif, je dois la voir très vite en pleine action ! je n’oublie pas la paire de bourses et m’amuse a les faires rouler dans leur poches trop poilues a mon gout, je m‘empare d’un ciseau et taille le tout a un centimètre, ça rend le tout encore plus impressionnantJe ne peux réprimer une furieuse envie de mater son anus, chose que mon mari refuse de m’accorder, c’est le moment ou jamais, je me sers du palan pour soulever et écarter une jambe, au creux d’une touffe de poils noir il est là, serré, a peine fripé, j’enfonce mon index dans ma bouche afin de le lubrifier et sans hésiter je l’enfonce dans cette cible surement vierge de tout objets et encore plus de verges ! Aucunes réactions, je trouve la prostate, lisse, ovale, ont dit qu’un homme peut décharger en sollicitant cet organe, je caresse, masse en surveillant le bout de la queue mais rien ne se passe …soudain sa voix encore chevrotante me ramène a la réalité
- Mais que fais-tu Aline ? Tu n’as pas encore finit de me laver ?
- Si-si Charles j’ai terminé, je peux vous poser une question ?
- Que veux-tu savoir ?
- Ça ne vous manque pas l’absence de désir ?
- Boff non, pourquoi ?
- Il faut vous entrainer à avoir du désir, je vais vous prêter des revues ‘cochonnes’ qui appartenaient à Anthony - Si tu veux mais ça n’a jamais été mon fort ce genre de littérature, mais je veux bien essayer
Le lendemain les revues sont toujours sur sa tablette, il sourie dans sa barbe
- Comment les avez-vous trouvées ?
- C’est de la merde ! les seuls endroits intéressants sont floutés ! elles ne datent pas d’aujourd’hui ! et puis c’est du statique, moi j’aime quand ça bouge- Il fallait le dire ! je vais mettre un DVD porno sur le lecteur - Si tu veux, amène-moi sur le canapé, tu regarde avec moi ?
- Non-non ! j’ai du travail !
- Dommage …
Il devient vicieux ? C’est bon signe, soudain j‘entend un bruit sourd, je me précipite dans le salon, mon beau père est allongé sur la moquette essayant vainement de se relever, sans réfléchir je me précipite pour le prendre sous les épaules… essayez de soulever un poids mort de quatre vingt dix kilos ! mais si ce n’était que ça …
- Ne bouge plus Aline, je vois le paradis !
- Que dites-vous ?
- Je vois des choses très intéressantes ! il est violet aujourd’hui ?
- Qui ?
- Ton slip pardi ! dommage qu’il soit trop large- Charles ! vous êtes un vilain garnement ! fermez les yeux, ne regardez plus entre mes cuisses je dois vous relever coûte que coûte
Après avoir bataillé pendant une demi-heure je réussis enfin à l’assoir et à le remettre au lit, la gêne passé je suis heureuse qu’il se soit intéressé à mon entre cuisses, car malgré mon interdiction cet obsédé a gardé les yeux ouverts !
- Avez-vous regardé le film ?
- Oui, juste un petit moment- Il vous a plut ?
- Ça ne m’a rien fait, je préfère le naturel j’te dis !
- Bien sûr, rien ne remplace une vraie femme, mais ce n’est pas possible pour le moment Charles, je vais vous remettre au lit et faire votre toilette
Le cœur battant je me précipite sur son membre espérant le trouver ‘gros’, hélas c’est encore une limace qui pendouille…l’intermède du canapé m’a troublée, une chaleur indescriptible envahie mon corps, j’attrape sa queue a pleine main et la décalotte a fond, pour faire écran je lui tourne le dos...quelque chose effleure mes fesses, je ne bouge pas …ça recommence
- Aline ?
- Oui Charles ?
- Tu me tripote la bite n’est-ce pas ?
- Hé bien oui, mais c’est uniquement dans un but thérapeutique- Je vais te dire quelque chose … les revues bidons et des nanas qui se font troncher par Rocco je m’en tape, il me faut du concret !
- Du concret ? quel genre ?
- Par exemple, voir ton cul comme tout a l’heure mais sans rien pour le cacher …relève ta jupe Aline - Si ça devait apporter de l’amélioration à votre cas je serais prête à le faire - Si tu ne le fait pas tu ne le sauras jamais !
- Surtout pas un mot à Anthony
Lentement je fais remonter le bas de ma jupe jusqu’à ma taille
- Le reste aussi ….
- Ma culotte ?
- Oui baisse la…et remet toi de dos ainsi tu ne verras pas où mes yeux se posent
Je fais semblant d’être naïve, pleine d’espoir j’accepte… il me semble qu’une goutte translucide perle au méat du gland
- Écarte les cuisses …recule toi un peu vers moi et penche toi…- Charles ce que vous me demandez est choquant - Je sens des frémissements entre mes jambes en voyant ton abricot- Vous ‘mouillez’ beau père une goutte se forme a votre méat- Si je t’enfile un doigt dans la chatte je suis certain que tu mouille aussi et peut être ça me fera bander- Alors faites le … Haaaaaaaaaaaoooouuuuui, c’est boooooooooooonnnnnnnnnnnn ! elle durcit Charles ! continuez ! mon dieu qu’elle devient grosse !
- Suce là moi !
- J’allais le faire ! mettez autant de doigts que vous pourrez dans mon vagin
Je prends le bout de son membre en bouche tout en lui pelotant les couilles, ses doigts qui barattent ma chatte provoquent un bruit indécent, sa queue est assez dure pour me pénétrer, j’en ai trop envie aussi j’arrête ma sucette
- Baisez-moi Charles, célébrons cet instant capital- Monte sur moi car mes jambes sont encore défaillantes, met un oreiller sous ma tête que je puisse voir ma queue baiser ta chatte, enlève tout, je veux te voir a poil, je n’en ai jamais eu l’occasion - Oui Charles si vous saviez ce que je suis heureuse de vous voir guéri, j’en ai les larmes aux yeux - Demain tu en auras aussi lorsque je te sodomiserais, inutile de dire a mon fils que je vais mieux !
- Vous avez raison, prenons tout le temps qu’il faut pour parfaire votre rééducation
Accroupie face à lui je le laisse admirer la vue de ma moule qui baille, sa queue bat la mesure sur son ventre, je fais glisser mes lèvres transpirantes de mouille sur ce membre d’une largeur peu commune qui va investir mon ventreLes yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, il attend impatiemment que je veuille bien m’empaler sur son pic
- Va-y chérie, j’ai trop attendu …- Tout de suite Charles …
Je relève un genou, m’empare de la grosse andouillette dont je ne fais pas le tour, je me sers du gland pour séparer mes lèvres, au passage j’agace mon clito rendu très sensible par les caresses de mon beau- père, je ne devrais pas tarder à jouir lorsqu’il va investir mon vagin
Charles père essaie en vain de soulever son bassin pour introduire au plus vite sa bite en moi, je m’abaisse d’un cran, le champignon disparait en moi mon col est étiré à l’extrême, et le plus gros diamètre reste à venir - Saute sur moi que diable, tu n’es plus pucelle, ça va finir par rentrer - A part votre petit fils lors de l’accouchement où j’ai eu une épisiotomie et deux points de sutures, rien ne m’a autant ouvert le vagin - Ta mouille coule sur ma verge, ça la lubrifie automatiquement, laisse toi tomber d’un coup, pose tes mains sur mon torse et remue ton cul de feignasse - Vous me faites du bien, soyez patient, nous avons tout notre temps - Tu as raison, penche toi sur moi que je prenne ta paire de loches entre mes mains - Embrasse-moi Charles …je m’ouvre naturellement, ta bite entre toute seule - Je vais t’en mettre plein le con - Engrosse-moi, mon utérus est réceptif en ce moment - Tu veux que je te fasse un p’tit Charles ?
- OUI ! Un gars qui fera grimper les femmes aux rideaux plus savamment que ton fils…Je crois que tu viens de jouir beau-papa, ma chatte recrache ton sperme - Ah bon ? Tu vois, je n’ai pas encore récupéré toutes mes sensations - Tu veux continuer à me baiser ?
- Vient plutôt t’assoir sur mon visage, j’ai envie de te lécher, ensuite je dormirais car cette séance m’a crevé - Demain je viendrais te retrouver au lit dés le départ d’Anthony, tu me toucheras la chatte pendant que je sucerais la pine - Dés que je j’aurais la queue raide je te défoncerais ton p’tit trou
Il n’a même pas eu le temps de finir de me nettoyer le vagin, le pauvre homme s’est endormis comme une masse, un sourire béat sur les lèvres, comme tous les soirs Anthony lui rend visite, il est étonné de le voir dans un profond sommeil
- Papa va plus mal ?
- Non pourquoi ?
- Il à l’air fatigué, d’habitude il ne dort jamais à cette heure ci ? je vais téléphoner au docteur- J’ai peut-être exagéré sur la rééducation, regarde son air réjouit, a mon avis il est sur la bonne voie - Toi aussi tu as une petite mine, ce n’est pas le moment de tomber malade - Je me ‘défonce’ a essayer de sortir ton père de ce mauvais pas - Merci pour tout ce que tu fais chérie- Ce n’est que du bonheur pour moi rassure-toi…. Et si nous envisagions de faire un fils !
- Tu aimerais que je te fasse un môme ?
- Pourquoi pas ?
- Alors il va falloir que nous couchions ensemble plus souvent - Oh, tu sais il suffit d’une fois …
Mon beau père est resté alité sur son lit durant encore un mois alors qu’il se levait pour me baiser en l’absence de son fils … qu’est-ce que j’ai pris dans tous mes trous ! Mon ventre s’arrondit pour le plus grand plaisir de mon mari….
Suite a un ‘a.v.c’ mon beau père est resté dans le coma plusieurs semaines, il se réveille avec quelques troubles de la mémoire et de l’équilibre, voire paralysie du bas du corps, le professeur a été formel lorsqu’il s’est adressé son Anthony, son fils
- Votre père est incontinent pour une durée indéterminée, je vous conseille, pour une rééducation rapide, de le mettre dans une maison spécialisée, qui sera hélas à votre charge - Nous ne pouvons pas nous permettre de dépenser une telle somme - Dans ce cas vous devrez rester constamment à son chevet et mettre tout en œuvre pour que sa rééducation se fasse dans les meilleures dispositions - Je vais me dévouer, même si c’est dur j’aime trop mon beau père pour le laisser en dehors de notre présence, il en souffrirait beaucoup, je serais aux petits soins pour lui - C’est tout a votre honneur et ça peux accélérer son rétablissement intégral - Il retrouvera donc toutes ses facultés ?
- Avec de la persévérance, totalement !
- Alors la question ne se pose pas, je vais le chouchouter !
- Alors au revoir messieurs-dame, restez un instant madame, je dois m’entretenir seul a seul avec vous - Je t’attends dehors chérie …- Bien, voilà, c’est un peu délicat …je ne voulais pas en parler devant votre mari qui pourrait être choqué, vous devrez lui faire sa toilette car il va être incontinent, pour combien de temps c’est difficile a dire, mais ce qui est primordial c’est de tester ses réactions a l’endroit le plus sensible de son corps, c'est-à-dire son sexe, n’ayez pas peur de le manipuler, le décalotter, palpez ses bourses, enfin vous savez comment fonctionne une bite !
- Ah bon ? je vais devoir faire tout ça ?
- Oui, ce ne doit pas être désagréable de jouer avec un membre d’homme, et d’après ce que j’ai vu, un très beau membre ! souhaitez de le voir en érection, vous serez surprise ! pour le reste du corps un kiné passera régulièrement, quand il bandera il sera sauvé ! bon courage, donnez moi des nouvelles !
- Promis docteur
J’étais encore un peu abasourdie lorsque mon mari m’a questionnée
- Que voulait-il Aline ?
- Bofff il m’a simplement donné des conseils pour sa toilette- Quel naze ! comme si tu n’étais pas capable de laver des fesses ! le pauvre papa est inoffensif !
- Heureusement, sinon ça m’aurais choquée de le voir en érection en lui faisant sa toilette
Au fond de moi une petite voix criait : Tu va pouvoir assouvi ton fantasme, jouer avec une queue molle à loisir sans qu’elle ne raidisse subitement ! L’observer et la toucher à loisir sans que son propriétaire ne proteste
Pour m’aider dans ma lourde tâche un lit médicalisé doté d’un palan et un fauteuil roulant ont étés mis a ma disposition, j’avoue que dés les premiers jours c’était l’horreur, a plusieurs reprises j’ai faillis renoncer et puis j’ai appris à faire mon travail, il ne me restait plus qu’a écouter les conseils du professeur …
Mon beau père est conscient mais ne manifeste aucunes réactions lorsque je m’occupe du bas …allongé sur son lit, je lui écarte les jambes qui sont encore bien musclées, son ‘paquet’ tout propre est là, une sorte d’andouillette, qui doit être monstrueusement large en érection, velue lovée sur une magnifique paire de couilles, j’en met une moitié dans ma paume et la caresse affectueusement comme un petit animal , c’est impératif, je dois la voir très vite en pleine action ! je n’oublie pas la paire de bourses et m’amuse a les faires rouler dans leur poches trop poilues a mon gout, je m‘empare d’un ciseau et taille le tout a un centimètre, ça rend le tout encore plus impressionnantJe ne peux réprimer une furieuse envie de mater son anus, chose que mon mari refuse de m’accorder, c’est le moment ou jamais, je me sers du palan pour soulever et écarter une jambe, au creux d’une touffe de poils noir il est là, serré, a peine fripé, j’enfonce mon index dans ma bouche afin de le lubrifier et sans hésiter je l’enfonce dans cette cible surement vierge de tout objets et encore plus de verges ! Aucunes réactions, je trouve la prostate, lisse, ovale, ont dit qu’un homme peut décharger en sollicitant cet organe, je caresse, masse en surveillant le bout de la queue mais rien ne se passe …soudain sa voix encore chevrotante me ramène a la réalité
- Mais que fais-tu Aline ? Tu n’as pas encore finit de me laver ?
- Si-si Charles j’ai terminé, je peux vous poser une question ?
- Que veux-tu savoir ?
- Ça ne vous manque pas l’absence de désir ?
- Boff non, pourquoi ?
- Il faut vous entrainer à avoir du désir, je vais vous prêter des revues ‘cochonnes’ qui appartenaient à Anthony - Si tu veux mais ça n’a jamais été mon fort ce genre de littérature, mais je veux bien essayer
Le lendemain les revues sont toujours sur sa tablette, il sourie dans sa barbe
- Comment les avez-vous trouvées ?
- C’est de la merde ! les seuls endroits intéressants sont floutés ! elles ne datent pas d’aujourd’hui ! et puis c’est du statique, moi j’aime quand ça bouge- Il fallait le dire ! je vais mettre un DVD porno sur le lecteur - Si tu veux, amène-moi sur le canapé, tu regarde avec moi ?
- Non-non ! j’ai du travail !
- Dommage …
Il devient vicieux ? C’est bon signe, soudain j‘entend un bruit sourd, je me précipite dans le salon, mon beau père est allongé sur la moquette essayant vainement de se relever, sans réfléchir je me précipite pour le prendre sous les épaules… essayez de soulever un poids mort de quatre vingt dix kilos ! mais si ce n’était que ça …
- Ne bouge plus Aline, je vois le paradis !
- Que dites-vous ?
- Je vois des choses très intéressantes ! il est violet aujourd’hui ?
- Qui ?
- Ton slip pardi ! dommage qu’il soit trop large- Charles ! vous êtes un vilain garnement ! fermez les yeux, ne regardez plus entre mes cuisses je dois vous relever coûte que coûte
Après avoir bataillé pendant une demi-heure je réussis enfin à l’assoir et à le remettre au lit, la gêne passé je suis heureuse qu’il se soit intéressé à mon entre cuisses, car malgré mon interdiction cet obsédé a gardé les yeux ouverts !
- Avez-vous regardé le film ?
- Oui, juste un petit moment- Il vous a plut ?
- Ça ne m’a rien fait, je préfère le naturel j’te dis !
- Bien sûr, rien ne remplace une vraie femme, mais ce n’est pas possible pour le moment Charles, je vais vous remettre au lit et faire votre toilette
Le cœur battant je me précipite sur son membre espérant le trouver ‘gros’, hélas c’est encore une limace qui pendouille…l’intermède du canapé m’a troublée, une chaleur indescriptible envahie mon corps, j’attrape sa queue a pleine main et la décalotte a fond, pour faire écran je lui tourne le dos...quelque chose effleure mes fesses, je ne bouge pas …ça recommence
- Aline ?
- Oui Charles ?
- Tu me tripote la bite n’est-ce pas ?
- Hé bien oui, mais c’est uniquement dans un but thérapeutique- Je vais te dire quelque chose … les revues bidons et des nanas qui se font troncher par Rocco je m’en tape, il me faut du concret !
- Du concret ? quel genre ?
- Par exemple, voir ton cul comme tout a l’heure mais sans rien pour le cacher …relève ta jupe Aline - Si ça devait apporter de l’amélioration à votre cas je serais prête à le faire - Si tu ne le fait pas tu ne le sauras jamais !
- Surtout pas un mot à Anthony
Lentement je fais remonter le bas de ma jupe jusqu’à ma taille
- Le reste aussi ….
- Ma culotte ?
- Oui baisse la…et remet toi de dos ainsi tu ne verras pas où mes yeux se posent
Je fais semblant d’être naïve, pleine d’espoir j’accepte… il me semble qu’une goutte translucide perle au méat du gland
- Écarte les cuisses …recule toi un peu vers moi et penche toi…- Charles ce que vous me demandez est choquant - Je sens des frémissements entre mes jambes en voyant ton abricot- Vous ‘mouillez’ beau père une goutte se forme a votre méat- Si je t’enfile un doigt dans la chatte je suis certain que tu mouille aussi et peut être ça me fera bander- Alors faites le … Haaaaaaaaaaaoooouuuuui, c’est boooooooooooonnnnnnnnnnnn ! elle durcit Charles ! continuez ! mon dieu qu’elle devient grosse !
- Suce là moi !
- J’allais le faire ! mettez autant de doigts que vous pourrez dans mon vagin
Je prends le bout de son membre en bouche tout en lui pelotant les couilles, ses doigts qui barattent ma chatte provoquent un bruit indécent, sa queue est assez dure pour me pénétrer, j’en ai trop envie aussi j’arrête ma sucette
- Baisez-moi Charles, célébrons cet instant capital- Monte sur moi car mes jambes sont encore défaillantes, met un oreiller sous ma tête que je puisse voir ma queue baiser ta chatte, enlève tout, je veux te voir a poil, je n’en ai jamais eu l’occasion - Oui Charles si vous saviez ce que je suis heureuse de vous voir guéri, j’en ai les larmes aux yeux - Demain tu en auras aussi lorsque je te sodomiserais, inutile de dire a mon fils que je vais mieux !
- Vous avez raison, prenons tout le temps qu’il faut pour parfaire votre rééducation
Accroupie face à lui je le laisse admirer la vue de ma moule qui baille, sa queue bat la mesure sur son ventre, je fais glisser mes lèvres transpirantes de mouille sur ce membre d’une largeur peu commune qui va investir mon ventreLes yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, il attend impatiemment que je veuille bien m’empaler sur son pic
- Va-y chérie, j’ai trop attendu …- Tout de suite Charles …
Je relève un genou, m’empare de la grosse andouillette dont je ne fais pas le tour, je me sers du gland pour séparer mes lèvres, au passage j’agace mon clito rendu très sensible par les caresses de mon beau- père, je ne devrais pas tarder à jouir lorsqu’il va investir mon vagin
Charles père essaie en vain de soulever son bassin pour introduire au plus vite sa bite en moi, je m’abaisse d’un cran, le champignon disparait en moi mon col est étiré à l’extrême, et le plus gros diamètre reste à venir - Saute sur moi que diable, tu n’es plus pucelle, ça va finir par rentrer - A part votre petit fils lors de l’accouchement où j’ai eu une épisiotomie et deux points de sutures, rien ne m’a autant ouvert le vagin - Ta mouille coule sur ma verge, ça la lubrifie automatiquement, laisse toi tomber d’un coup, pose tes mains sur mon torse et remue ton cul de feignasse - Vous me faites du bien, soyez patient, nous avons tout notre temps - Tu as raison, penche toi sur moi que je prenne ta paire de loches entre mes mains - Embrasse-moi Charles …je m’ouvre naturellement, ta bite entre toute seule - Je vais t’en mettre plein le con - Engrosse-moi, mon utérus est réceptif en ce moment - Tu veux que je te fasse un p’tit Charles ?
- OUI ! Un gars qui fera grimper les femmes aux rideaux plus savamment que ton fils…Je crois que tu viens de jouir beau-papa, ma chatte recrache ton sperme - Ah bon ? Tu vois, je n’ai pas encore récupéré toutes mes sensations - Tu veux continuer à me baiser ?
- Vient plutôt t’assoir sur mon visage, j’ai envie de te lécher, ensuite je dormirais car cette séance m’a crevé - Demain je viendrais te retrouver au lit dés le départ d’Anthony, tu me toucheras la chatte pendant que je sucerais la pine - Dés que je j’aurais la queue raide je te défoncerais ton p’tit trou
Il n’a même pas eu le temps de finir de me nettoyer le vagin, le pauvre homme s’est endormis comme une masse, un sourire béat sur les lèvres, comme tous les soirs Anthony lui rend visite, il est étonné de le voir dans un profond sommeil
- Papa va plus mal ?
- Non pourquoi ?
- Il à l’air fatigué, d’habitude il ne dort jamais à cette heure ci ? je vais téléphoner au docteur- J’ai peut-être exagéré sur la rééducation, regarde son air réjouit, a mon avis il est sur la bonne voie - Toi aussi tu as une petite mine, ce n’est pas le moment de tomber malade - Je me ‘défonce’ a essayer de sortir ton père de ce mauvais pas - Merci pour tout ce que tu fais chérie- Ce n’est que du bonheur pour moi rassure-toi…. Et si nous envisagions de faire un fils !
- Tu aimerais que je te fasse un môme ?
- Pourquoi pas ?
- Alors il va falloir que nous couchions ensemble plus souvent - Oh, tu sais il suffit d’une fois …
Mon beau père est resté alité sur son lit durant encore un mois alors qu’il se levait pour me baiser en l’absence de son fils … qu’est-ce que j’ai pris dans tous mes trous ! Mon ventre s’arrondit pour le plus grand plaisir de mon mari….
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