Initiée par son professeur de guitare
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiée par son professeur de guitare
Marion en était à son deuxième cours pour apprendre à jouer de la guitare avec l’instrument qu’elle venait d’avoir pour ses 18 ans.
Marc, son professeur de guitare, se déplaçait à domicile pour enseigner. En ce mercredi après-midi, il se trouvait donc chez Marion pour poursuivre l’apprentissage commencé la semaine précédente.
- Tu me rejoues le LA mineur et le MI majeur que nous avons vu la semaine passée ? lui demanda-t-il.
Marion positionna ses doigts sur sa guitare et gratta les cordes pour jouer l’accord. Maladroitement, elle déplaça la position de ses doigts pour jouer le deuxième accord.
- Très bien. Nous allons un peu travailler l’enchaînement des 2 accords cette semaine et essayer d’ajouter le Sol majeur.
- Marion, je pars au travail. A ce soir !
- OK, à ce soir maman.
- Au revoir M. Lenoir dit la mère de Marion à l’attention du professeur de guitare.
- Au revoir.
La porte d’entrée de la maison claqua, laissant seuls Marion et son professeur. Une voiture démarra puis s’éloigna dans la rue.
Marion, qui fixait la fenêtre donnant sur l’entrée, se retourna d’un coup vers son professeur et dit sans préambule :
- Faites-moi l’amour !
- Quoi ?! bégaya Marc. Il avait bien compris mais n’en revenait pas !
- Faites-moi l’amour, répéta la jeune femme. Je veux le faire avec un vieux… enfin avec une personne d’expérience, repris-t-elle devant la moue vexée de l’homme.
Marc se demanda quel âge elle lui donnait ! Il n’avait que 38 ans mais elle devait lui en donner 50 !
- Non, je ne veux pas.
- Pourquoi ? Vous avez une copine ?
- Non.
- Je suis majeure vous savez et j’en ai envie. Juste une fois. Juste pour le sexe.
- Non... je ne sais pas…
- Personne n’en saura jamais rien, cela restera entre nous. Et cela ne se reproduira pas. Ma mère est absente tout l’après-midi si c’est ça qui vous inquiète.
Marion était une assez jolie jeune femme. Elle était plutôt mince, athlétique même car assez sportive. Ses longs chevaux blonds attachés en queue de cheval ressortaient sur son teint hâlé et ses beaux yeux bleus lumineux épousaient parfaitement son sourire charmeur.
- Pourquoi me demandes-tu ça à moi ? Tu es très jolie, gentille, intelligente et agréable, tu dois avoir tous les garçons que tu veux ?
Marion hésita quelques instants puis se justifia, sans filtre.
- J’ai un copain. Hier, nous avons passé la soirée ensemble. C’était la première fois. La première fois avec lui et la première fois tout court en fait. Ca a été horrible ! Nous étions tous les deux maladroits, ne sachant pas comment s’y prendre avec l’autre. Ca a duré même pas 10 min. Il a jouit tout de suite et moi je n’ai éprouvé aucun plaisir. Sans parler de la douleur quand il m’a pénétré. J’appréhende notre prochaine soirée ensemble.
Elle baissa le regard, un peu gênée.
Marc était décontenancé par la franchise de Marion.
- Je ressassé ça toute la nuit et puis j’ai pensé à vous. Faire l’amour avec un homme d’expérience m’apprendrait tout ce qu’il faut pour que notre prochaine soirée avec mon copain soit réussie. Je ne veux pas le tromper, juste apprendre.
Devant l’hésitation du jeune homme, Marion reprit faussement vexée :
- Je ne suis pas à votre goût, c’est ça ?
- Si, si bien sûr, s’empressa de répondre Marc, un peu désorienté.
Marion posa alors sa guitare et retira son t-shirt. Elle dévoila alors ses seins. Ils étaient petits, bien ronds avec des tétons joliment dessinés.
Marc était bouche bée. Il lui sembla que la température dans la pièce venait d’augmenter subitement de 10°c. Devant son absence de réponse, Marion lui pris une main et vint la poser sur l’un de ses seins. Ils étaient doux comme une peau de pêche.
Cela en était trop pour le jeune homme aussi accepta-t-il la proposition de sa jeune élève. Il ne faisait rien de mal pensa-t-il pour se rassurer.
- D’accord, je vais essayer de faire ton éducation, indiqua Marc qui se prenait au jeu.
Satisfaite, Marion se leva et en le tenant toujours par la main l’entraîna dans sa chambre, dont la déco faisait encore un peu référence à son adolescence pas si éloignée.
Elle resta debout devant le lit, ne portant que sa petit jupe à carreaux plissée, Marc lui faisant face. Passée la gêne initiale, le jeune professeur fût envahi par l’excitation de la situation. Marion quant à elle décida de se laisser guider, un peu stressée tout de même.
Il lui décrivit alors ce qu’il faudrait faire et joignait le geste à chacune de ses paroles.
- D’abord faire monter doucement l’excitation. Il t’embrasse tendrement, savoure la douceur de tes lèvres. Il ouvre un peu plus la bouche et glisse sa langue dans ta bouche. Tu réponds à son baiser langoureux, tu te délectes de sa langue joueuse.
Il passe ses mains dans tes cheveux, frôle ta nuque, parcours doucement chaque parcelle de ton dos pour te faire frissonner. Il se perd sur ta peau douce, s’aventure, explore, découvre ton corps.
Des picotements commencèrent à envahir le bas ventre Marion. Marc reprit :
- Il descend sa main sur tes fesses, qu’il passe sous ta jupe et effleure le tissus de ton sous-vêtement avec ses doigts. Il insère sa main dans ta culotte pour que tu ressentes la pulpe de ses doigts sur ta peau. Il tire légèrement sur la culotte, la descend un peu, puis la remonte, joue avec. Il s’attarde ensuite sur tes cuisses, savoure chaque parcelle de ta peau puis remonte sur ton ventre, chatouille ton nombril. Il s’aventure ainsi sur tout ton corps, se délecte de chaque centimètre de ta peau, ses doigts ne se laçant pas d’explorer.
La main de Marc se retrouva à nouveau au contact avec sa culotte qu’il se plaisait à caresser.
- Vous commencez à vous déshabiller pour mieux profiter de l’autre.
Marc ôta sa chemise pour se retrouver torse nu. La jeune fille fît glisser sa jupe sur ses chevilles.
Le professeur l’admira. Elle avait en effet un corps magnifique, gracile pour lequel il serait aisé de se damner pour l’éternité. Il était là, devant lui, offert. Il n’en croyait pas ses yeux. Cependant il fit une moue.
- La culotte en coton….
- Quoi la culotte ?
- Il faudra quelque chose de plus sexy pour ta soirée, conseilla-t-il, même s’il admettait qu’elle était sexy quoi qu’elle porte.
Il se dirigea alors vers la commode et ouvrit les tiroirs. Il trouva ce qu’il cherchait. Il fouilla dans les sous-vêtements de la jeune femme, non sans ressentir une forte excitation devant cet acte de voyeurisme, et constata qu’elle n’avait que des culottes en coton. Il y avait bien un string ou deux en coton mais rien de très sexy.
- Quand tu envisages de passer la soirée avec lui, ce serait bien d’avoir une lingerie sexy pour faire monter la température. Les garçons aiment beaucoup ça. Et toi tu adoreras voir son regard plein de désire se poser sur toi. Ton but est qu’il n’est qu’une envie : dévorer ton abricot juteux !
Marion acquiesça et se promis d’aller faire du shopping au plus vite.
Marc retira alors son pantalon. Son boxer était fortement déformé par son membre. La jeune fille garda ses yeux plantés sur cette bosse. Elle était troublée mais maintenant très excitée et sentait son sexe s’humidifier.
Elle fit alors glisser sa culotte au sol et dévoila une toison pubienne très fournie. Le jeune professeur fronça les sourcils et lui demanda de s’allonger sur le lit. Avec délicatesse lui écarta légèrement les jambes. Tout son sexe était recouvert de poils.
- Il va falloir remédier à ça. Tous ces poils vont réduire les sensations que tu pourrais ressentir quand il te caressera. Et lui même aura plus de mal à te lécher la chatte au milieu de cette pilosité. Il faut qu’elle soit un appel aux baisers.
Marion n’y avait jamais vraiment pensé, mais approuva.
- Va me chercher de quoi raser et couper ces poils. Je vais m’en occuper.
Elle se leva et sortit de la chambre. Elle revint avec de la mousse à raser, un rasoir, une tondeuse, et une serviette.
Elle s’assit cette fois dans un fauteuil et écarta les jambes quand il le lui demanda. Même si elle était déterminée à aller au bout elle était un peu gênée par ce qu’il se passait. Elle était à l’origine de cette situation, elle ne pouvait pas renoncer.
Marc appliqua de la mousse sur ton sexe et commença à raser avec délicatesse. Lorsque la vulve fût toute lisse, il dégagea les côtés du pubis. Enfin, il passa la tondeuse sur le reste des poils de son mont de Venus pour en réduire le volume.
Marion le regardait faire. Elle ne l’aurait pas cru, mais observer cet homme s’occuper de son intimité l’excitait profondément. Elle sentait que son sexe était trempé. Son professeur l’essuya avec la serviette et elle se cambra sous le contact du tissus sur sa vulve.
- C’est bien mieux ainsi. Tu profiteras complètement de chaque caresse, dit Marc en approchant son visage du sexe de la jeune fille.
Il décrivit à nouveau ce que pourrait faire son copain en l’appliquant lentement à Marion :
- Il pose sa langue sur ton clitoris et joue avec en faisant un mouvement circulaire. Il tire sur la peau pour le décalotter afin que tu aies encore plus de sensations. Il pince ensuite tes lèvres pour mettre ton clitoris dans une prison de chair. Il relâche et recommence.
Marion ondule à présent du bassin répondant à chaque stimulation effectuée par son amant. Marc poursuivit :
- Il lèche tes lèvres de bas en haut, les gobe toutes entières dans sa bouche. Il descend sa langue le long de ta fente humide. Il place sa bouche à l’entrée de ton vagin, sort et rentre sa langue dans ton intimité et se délecte de tout le jus qui en coule. Enfin, il reprend ton clitoris en bouche pour l’aspirer et en même temps insère un doigt dans ta chatte et entame un délicieux mouvement de va-et-vient.
Marion n’en pouvait plus. La chaleur et les frissons n’avaient cessés de grandir dans son ventre. Elle était au bord de l’extase. Elle jouit alors en gémissant fortement, ondulant du bassin se laissant envahir par des spasmes dans tout le ventre, jusqu’à la pointe de ses seins. Son orgasme était puissant et interminable. Marc sentait son vagin se contracter sur ses doigts et trouva la sensation d’avoir provoqué la jouissance de cette jeune femme exquise.
Marion était haletante, jamais elle n’avait éprouvé pareil sensation. Elle n’avait qu’une envie : recommencer.
Marc se releva alors, enleva son boxer et présenta son sexe tendu devant la jeune femme. Elle avait du mal à se remettre de ses émotions mais finit par se redresser et prendre en main la belle queue qui se présentait à elle.
- Branle-là. Fais des va-et-vient avec ta main et ta bouche.
Marion s’appliqua à faire ce qu’il lui disait. Marc poursuivit :
- Lèche-la sur toute la longueur. Mets le gland dans ta bouche et titille-le avec ta langue. Fais un anneau avec ton pouce et ton index et fais des aller-retour sur ma queue. En même temps caresse-moi les couilles. Aspire. Enfonce la queue au plus profond de ta gorge. Lèche mes couilles. Mets-en une dans ta bouche. Caresse-moi entre les jambes.
Au bout de plusieurs minutes, Marc recula, ne voulant pas jouir trop vite sous ces intenses caresses. Il s’allongea sur le lit et lui dit :
- Viens t’asseoir sur ma queue.
La jeune femme grimpa sur le lit, à califourchon sur l’homme. Elle passa la main entre ses jambes pour attraper le sexe tendu et le guider vers son intimité. Son sexe était inondée de mouille aussi la queue du jeune homme s’enfonça tout seul dedans.
- A toi de décider du rythme.
Marion s’appliqua à faire des mouvements de bassin pour sentir ce membre de chair s’enfoncer au plus profond d’elle. La sensation était merveilleuse, le plaisir était intense. Rien de comparable avec ce qu’elle avait vécu la veille.
Elle ronronnait à chaque ondulation de son bassin et savourait de mener le rythme à sa guise.
Son professeur lui proposa alors une autre position. Elle s’allongea, un coussin sous le ventre, et lui vint se mettre à califourchon sur elle. Il commença à l’embrasser dans le cou, les épaules, lui mordiller le lobe d’oreille tout en ondulant du bassin pour frotter son membre sur ses fesses. Il descendit le long du dos pour y appliquer des baisers un peu partout. Il continua à descendre et embrassa goulûment ses fesses. Il refît la même chose en remontant vers son visage.
Marion gémissait de plaisir, savourant la douceur de ces lèvres se perdant sur sa peau devenue hypersensible par l’excitation. Elle sentait ses tétons se durcirent.
Le sexe du jeune homme vint alors s’insérer entre les jambes de la jeune fille et se mit à frotter sa vulve. Les mouvements de bassins qu’il appliquait conjugués aux baiser dans la nuque rendait Marion folle de plaisir et désir. A cet instant, elle se dit qu’il aurait pu lui faire tout ce qu’il voulait. Il la pénétra et ondula lentement du bassin. Pour savourer l’instant un peu plus, elle ferma les yeux et se concentra sur ce membre qui coulissait en elle.
Marc fit se positionner Marion sur le côté, et vint se mettre dans son dos, dans la position de la cuillère. Il la pénétra, entoura son bras droit autour de son épaule, lui caressa les seins.
- C’est une position très intime, dans laquelle on est proche émotionnellement de son partenaire expliqua Marc.
Marion ressentait en effet beaucoup de plaisir dans cette position, sentant son amant dans son dos épouser les courbes de son corps qu’il caressait avec douceur et savourant les tendres mouvements de bassin qu’il pratiquait. A cet instant, elle ressentit une douce sensation de bien être, comme flottant dans l’air, ainsi lové contre lui.
A son grand regret, ce moment en dehors du temps cessa quand son professeur proposa de la prendre en levrette. Dans cette position, Marc appliqua des mouvements plus bestiaux. Ses va-et-vient étaient plus puissants, son bassin claquant contre les fesses de la jeune fille à chaque profonde pénétration. Elle apprécia toutefois cette sensation de domination, ce rapport plus animal. Elle était un peu sa chose qu’il besognait pour son plus grand plaisir à elle.
Enfin, il fit allonger Marion sur le dos. Il prit en main sa queue et frotta son gland sur le clitoris sensible de son élève. Il la pénétra ensuite, enfonçant son sexe au plus profond du sien. Il ressortit complètement de son vagin, puis recommença ainsi plusieurs fois. Il retourna enfin en elle pour appliquer un rythme tantôt lent, tantôt rapide. Il admirait Marion, les bras relevés au dessus de sa tête, les yeux clos, savourant chaque mouvement en elle. Il se pencha sur elle pour lécher ses seins et mordiller ses petits tétons. Ces attentions provoquèrent un nouvel orgasme à la jeune femme. Elle se contracta, ouvrit grand la bouche comme pour capter l’air qu’il lui manquait et poussa des gémissements de plaisir. La voir à nouveau jouir amena Marc aux bords de l’extase.
- Je vais bientôt jouir aussi dit Marc.
Ne sachant pas si elle utilisait un moyen de contraception, il renonça à jouir en elle, bien qu’il en avait très envie.
Il vint se positionner au dessus du ventre de la jeune fille.
- Branle-moi et caresse mes couilles. Tu es la maîtresse de ma jouissance.
Marion fît de lents va-et-vient sur le membre tendu de son professeur, en malaxant ses testicules. Elle accéléra doucement le rythme. Elle sentit alors le membre se contracter puis expulser plusieurs jets de sperme. Les premiers atterrirent sur sa joue, son cou et les derniers retombèrent entre ses seins.
De son index, Marc pris du sperme entre sa poitrine et l’appliqua sur ses tétons qu’il massa du bout des doigts avec douceur. La jeune fille sembla apprécier cette divine caresse, ses tétons se dressant instantanément. Toujours de l’index, il attrapa le sperme qui était sur la joue de Marion et le présenta devant sa bouche. La jeune femme sorti sa langue, lécha le doigt et l’introduisit dans sa bouche pour mimer une fellation. Quand elle eût finit, Marc conclu, ne réalisant pas trop ce qu’il venait de se passer :
- Te voilà initiée !
Quand ils furent rhabillés, devant la porte d’entrée, et que le professeur s’apprêtait à partir, Marion déposa un baiser sur sa joue et dit simplement avec un sourire de satisfaction :
- Merci !
Marc, son professeur de guitare, se déplaçait à domicile pour enseigner. En ce mercredi après-midi, il se trouvait donc chez Marion pour poursuivre l’apprentissage commencé la semaine précédente.
- Tu me rejoues le LA mineur et le MI majeur que nous avons vu la semaine passée ? lui demanda-t-il.
Marion positionna ses doigts sur sa guitare et gratta les cordes pour jouer l’accord. Maladroitement, elle déplaça la position de ses doigts pour jouer le deuxième accord.
- Très bien. Nous allons un peu travailler l’enchaînement des 2 accords cette semaine et essayer d’ajouter le Sol majeur.
- Marion, je pars au travail. A ce soir !
- OK, à ce soir maman.
- Au revoir M. Lenoir dit la mère de Marion à l’attention du professeur de guitare.
- Au revoir.
La porte d’entrée de la maison claqua, laissant seuls Marion et son professeur. Une voiture démarra puis s’éloigna dans la rue.
Marion, qui fixait la fenêtre donnant sur l’entrée, se retourna d’un coup vers son professeur et dit sans préambule :
- Faites-moi l’amour !
- Quoi ?! bégaya Marc. Il avait bien compris mais n’en revenait pas !
- Faites-moi l’amour, répéta la jeune femme. Je veux le faire avec un vieux… enfin avec une personne d’expérience, repris-t-elle devant la moue vexée de l’homme.
Marc se demanda quel âge elle lui donnait ! Il n’avait que 38 ans mais elle devait lui en donner 50 !
- Non, je ne veux pas.
- Pourquoi ? Vous avez une copine ?
- Non.
- Je suis majeure vous savez et j’en ai envie. Juste une fois. Juste pour le sexe.
- Non... je ne sais pas…
- Personne n’en saura jamais rien, cela restera entre nous. Et cela ne se reproduira pas. Ma mère est absente tout l’après-midi si c’est ça qui vous inquiète.
Marion était une assez jolie jeune femme. Elle était plutôt mince, athlétique même car assez sportive. Ses longs chevaux blonds attachés en queue de cheval ressortaient sur son teint hâlé et ses beaux yeux bleus lumineux épousaient parfaitement son sourire charmeur.
- Pourquoi me demandes-tu ça à moi ? Tu es très jolie, gentille, intelligente et agréable, tu dois avoir tous les garçons que tu veux ?
Marion hésita quelques instants puis se justifia, sans filtre.
- J’ai un copain. Hier, nous avons passé la soirée ensemble. C’était la première fois. La première fois avec lui et la première fois tout court en fait. Ca a été horrible ! Nous étions tous les deux maladroits, ne sachant pas comment s’y prendre avec l’autre. Ca a duré même pas 10 min. Il a jouit tout de suite et moi je n’ai éprouvé aucun plaisir. Sans parler de la douleur quand il m’a pénétré. J’appréhende notre prochaine soirée ensemble.
Elle baissa le regard, un peu gênée.
Marc était décontenancé par la franchise de Marion.
- Je ressassé ça toute la nuit et puis j’ai pensé à vous. Faire l’amour avec un homme d’expérience m’apprendrait tout ce qu’il faut pour que notre prochaine soirée avec mon copain soit réussie. Je ne veux pas le tromper, juste apprendre.
Devant l’hésitation du jeune homme, Marion reprit faussement vexée :
- Je ne suis pas à votre goût, c’est ça ?
- Si, si bien sûr, s’empressa de répondre Marc, un peu désorienté.
Marion posa alors sa guitare et retira son t-shirt. Elle dévoila alors ses seins. Ils étaient petits, bien ronds avec des tétons joliment dessinés.
Marc était bouche bée. Il lui sembla que la température dans la pièce venait d’augmenter subitement de 10°c. Devant son absence de réponse, Marion lui pris une main et vint la poser sur l’un de ses seins. Ils étaient doux comme une peau de pêche.
Cela en était trop pour le jeune homme aussi accepta-t-il la proposition de sa jeune élève. Il ne faisait rien de mal pensa-t-il pour se rassurer.
- D’accord, je vais essayer de faire ton éducation, indiqua Marc qui se prenait au jeu.
Satisfaite, Marion se leva et en le tenant toujours par la main l’entraîna dans sa chambre, dont la déco faisait encore un peu référence à son adolescence pas si éloignée.
Elle resta debout devant le lit, ne portant que sa petit jupe à carreaux plissée, Marc lui faisant face. Passée la gêne initiale, le jeune professeur fût envahi par l’excitation de la situation. Marion quant à elle décida de se laisser guider, un peu stressée tout de même.
Il lui décrivit alors ce qu’il faudrait faire et joignait le geste à chacune de ses paroles.
- D’abord faire monter doucement l’excitation. Il t’embrasse tendrement, savoure la douceur de tes lèvres. Il ouvre un peu plus la bouche et glisse sa langue dans ta bouche. Tu réponds à son baiser langoureux, tu te délectes de sa langue joueuse.
Il passe ses mains dans tes cheveux, frôle ta nuque, parcours doucement chaque parcelle de ton dos pour te faire frissonner. Il se perd sur ta peau douce, s’aventure, explore, découvre ton corps.
Des picotements commencèrent à envahir le bas ventre Marion. Marc reprit :
- Il descend sa main sur tes fesses, qu’il passe sous ta jupe et effleure le tissus de ton sous-vêtement avec ses doigts. Il insère sa main dans ta culotte pour que tu ressentes la pulpe de ses doigts sur ta peau. Il tire légèrement sur la culotte, la descend un peu, puis la remonte, joue avec. Il s’attarde ensuite sur tes cuisses, savoure chaque parcelle de ta peau puis remonte sur ton ventre, chatouille ton nombril. Il s’aventure ainsi sur tout ton corps, se délecte de chaque centimètre de ta peau, ses doigts ne se laçant pas d’explorer.
La main de Marc se retrouva à nouveau au contact avec sa culotte qu’il se plaisait à caresser.
- Vous commencez à vous déshabiller pour mieux profiter de l’autre.
Marc ôta sa chemise pour se retrouver torse nu. La jeune fille fît glisser sa jupe sur ses chevilles.
Le professeur l’admira. Elle avait en effet un corps magnifique, gracile pour lequel il serait aisé de se damner pour l’éternité. Il était là, devant lui, offert. Il n’en croyait pas ses yeux. Cependant il fit une moue.
- La culotte en coton….
- Quoi la culotte ?
- Il faudra quelque chose de plus sexy pour ta soirée, conseilla-t-il, même s’il admettait qu’elle était sexy quoi qu’elle porte.
Il se dirigea alors vers la commode et ouvrit les tiroirs. Il trouva ce qu’il cherchait. Il fouilla dans les sous-vêtements de la jeune femme, non sans ressentir une forte excitation devant cet acte de voyeurisme, et constata qu’elle n’avait que des culottes en coton. Il y avait bien un string ou deux en coton mais rien de très sexy.
- Quand tu envisages de passer la soirée avec lui, ce serait bien d’avoir une lingerie sexy pour faire monter la température. Les garçons aiment beaucoup ça. Et toi tu adoreras voir son regard plein de désire se poser sur toi. Ton but est qu’il n’est qu’une envie : dévorer ton abricot juteux !
Marion acquiesça et se promis d’aller faire du shopping au plus vite.
Marc retira alors son pantalon. Son boxer était fortement déformé par son membre. La jeune fille garda ses yeux plantés sur cette bosse. Elle était troublée mais maintenant très excitée et sentait son sexe s’humidifier.
Elle fit alors glisser sa culotte au sol et dévoila une toison pubienne très fournie. Le jeune professeur fronça les sourcils et lui demanda de s’allonger sur le lit. Avec délicatesse lui écarta légèrement les jambes. Tout son sexe était recouvert de poils.
- Il va falloir remédier à ça. Tous ces poils vont réduire les sensations que tu pourrais ressentir quand il te caressera. Et lui même aura plus de mal à te lécher la chatte au milieu de cette pilosité. Il faut qu’elle soit un appel aux baisers.
Marion n’y avait jamais vraiment pensé, mais approuva.
- Va me chercher de quoi raser et couper ces poils. Je vais m’en occuper.
Elle se leva et sortit de la chambre. Elle revint avec de la mousse à raser, un rasoir, une tondeuse, et une serviette.
Elle s’assit cette fois dans un fauteuil et écarta les jambes quand il le lui demanda. Même si elle était déterminée à aller au bout elle était un peu gênée par ce qu’il se passait. Elle était à l’origine de cette situation, elle ne pouvait pas renoncer.
Marc appliqua de la mousse sur ton sexe et commença à raser avec délicatesse. Lorsque la vulve fût toute lisse, il dégagea les côtés du pubis. Enfin, il passa la tondeuse sur le reste des poils de son mont de Venus pour en réduire le volume.
Marion le regardait faire. Elle ne l’aurait pas cru, mais observer cet homme s’occuper de son intimité l’excitait profondément. Elle sentait que son sexe était trempé. Son professeur l’essuya avec la serviette et elle se cambra sous le contact du tissus sur sa vulve.
- C’est bien mieux ainsi. Tu profiteras complètement de chaque caresse, dit Marc en approchant son visage du sexe de la jeune fille.
Il décrivit à nouveau ce que pourrait faire son copain en l’appliquant lentement à Marion :
- Il pose sa langue sur ton clitoris et joue avec en faisant un mouvement circulaire. Il tire sur la peau pour le décalotter afin que tu aies encore plus de sensations. Il pince ensuite tes lèvres pour mettre ton clitoris dans une prison de chair. Il relâche et recommence.
Marion ondule à présent du bassin répondant à chaque stimulation effectuée par son amant. Marc poursuivit :
- Il lèche tes lèvres de bas en haut, les gobe toutes entières dans sa bouche. Il descend sa langue le long de ta fente humide. Il place sa bouche à l’entrée de ton vagin, sort et rentre sa langue dans ton intimité et se délecte de tout le jus qui en coule. Enfin, il reprend ton clitoris en bouche pour l’aspirer et en même temps insère un doigt dans ta chatte et entame un délicieux mouvement de va-et-vient.
Marion n’en pouvait plus. La chaleur et les frissons n’avaient cessés de grandir dans son ventre. Elle était au bord de l’extase. Elle jouit alors en gémissant fortement, ondulant du bassin se laissant envahir par des spasmes dans tout le ventre, jusqu’à la pointe de ses seins. Son orgasme était puissant et interminable. Marc sentait son vagin se contracter sur ses doigts et trouva la sensation d’avoir provoqué la jouissance de cette jeune femme exquise.
Marion était haletante, jamais elle n’avait éprouvé pareil sensation. Elle n’avait qu’une envie : recommencer.
Marc se releva alors, enleva son boxer et présenta son sexe tendu devant la jeune femme. Elle avait du mal à se remettre de ses émotions mais finit par se redresser et prendre en main la belle queue qui se présentait à elle.
- Branle-là. Fais des va-et-vient avec ta main et ta bouche.
Marion s’appliqua à faire ce qu’il lui disait. Marc poursuivit :
- Lèche-la sur toute la longueur. Mets le gland dans ta bouche et titille-le avec ta langue. Fais un anneau avec ton pouce et ton index et fais des aller-retour sur ma queue. En même temps caresse-moi les couilles. Aspire. Enfonce la queue au plus profond de ta gorge. Lèche mes couilles. Mets-en une dans ta bouche. Caresse-moi entre les jambes.
Au bout de plusieurs minutes, Marc recula, ne voulant pas jouir trop vite sous ces intenses caresses. Il s’allongea sur le lit et lui dit :
- Viens t’asseoir sur ma queue.
La jeune femme grimpa sur le lit, à califourchon sur l’homme. Elle passa la main entre ses jambes pour attraper le sexe tendu et le guider vers son intimité. Son sexe était inondée de mouille aussi la queue du jeune homme s’enfonça tout seul dedans.
- A toi de décider du rythme.
Marion s’appliqua à faire des mouvements de bassin pour sentir ce membre de chair s’enfoncer au plus profond d’elle. La sensation était merveilleuse, le plaisir était intense. Rien de comparable avec ce qu’elle avait vécu la veille.
Elle ronronnait à chaque ondulation de son bassin et savourait de mener le rythme à sa guise.
Son professeur lui proposa alors une autre position. Elle s’allongea, un coussin sous le ventre, et lui vint se mettre à califourchon sur elle. Il commença à l’embrasser dans le cou, les épaules, lui mordiller le lobe d’oreille tout en ondulant du bassin pour frotter son membre sur ses fesses. Il descendit le long du dos pour y appliquer des baisers un peu partout. Il continua à descendre et embrassa goulûment ses fesses. Il refît la même chose en remontant vers son visage.
Marion gémissait de plaisir, savourant la douceur de ces lèvres se perdant sur sa peau devenue hypersensible par l’excitation. Elle sentait ses tétons se durcirent.
Le sexe du jeune homme vint alors s’insérer entre les jambes de la jeune fille et se mit à frotter sa vulve. Les mouvements de bassins qu’il appliquait conjugués aux baiser dans la nuque rendait Marion folle de plaisir et désir. A cet instant, elle se dit qu’il aurait pu lui faire tout ce qu’il voulait. Il la pénétra et ondula lentement du bassin. Pour savourer l’instant un peu plus, elle ferma les yeux et se concentra sur ce membre qui coulissait en elle.
Marc fit se positionner Marion sur le côté, et vint se mettre dans son dos, dans la position de la cuillère. Il la pénétra, entoura son bras droit autour de son épaule, lui caressa les seins.
- C’est une position très intime, dans laquelle on est proche émotionnellement de son partenaire expliqua Marc.
Marion ressentait en effet beaucoup de plaisir dans cette position, sentant son amant dans son dos épouser les courbes de son corps qu’il caressait avec douceur et savourant les tendres mouvements de bassin qu’il pratiquait. A cet instant, elle ressentit une douce sensation de bien être, comme flottant dans l’air, ainsi lové contre lui.
A son grand regret, ce moment en dehors du temps cessa quand son professeur proposa de la prendre en levrette. Dans cette position, Marc appliqua des mouvements plus bestiaux. Ses va-et-vient étaient plus puissants, son bassin claquant contre les fesses de la jeune fille à chaque profonde pénétration. Elle apprécia toutefois cette sensation de domination, ce rapport plus animal. Elle était un peu sa chose qu’il besognait pour son plus grand plaisir à elle.
Enfin, il fit allonger Marion sur le dos. Il prit en main sa queue et frotta son gland sur le clitoris sensible de son élève. Il la pénétra ensuite, enfonçant son sexe au plus profond du sien. Il ressortit complètement de son vagin, puis recommença ainsi plusieurs fois. Il retourna enfin en elle pour appliquer un rythme tantôt lent, tantôt rapide. Il admirait Marion, les bras relevés au dessus de sa tête, les yeux clos, savourant chaque mouvement en elle. Il se pencha sur elle pour lécher ses seins et mordiller ses petits tétons. Ces attentions provoquèrent un nouvel orgasme à la jeune femme. Elle se contracta, ouvrit grand la bouche comme pour capter l’air qu’il lui manquait et poussa des gémissements de plaisir. La voir à nouveau jouir amena Marc aux bords de l’extase.
- Je vais bientôt jouir aussi dit Marc.
Ne sachant pas si elle utilisait un moyen de contraception, il renonça à jouir en elle, bien qu’il en avait très envie.
Il vint se positionner au dessus du ventre de la jeune fille.
- Branle-moi et caresse mes couilles. Tu es la maîtresse de ma jouissance.
Marion fît de lents va-et-vient sur le membre tendu de son professeur, en malaxant ses testicules. Elle accéléra doucement le rythme. Elle sentit alors le membre se contracter puis expulser plusieurs jets de sperme. Les premiers atterrirent sur sa joue, son cou et les derniers retombèrent entre ses seins.
De son index, Marc pris du sperme entre sa poitrine et l’appliqua sur ses tétons qu’il massa du bout des doigts avec douceur. La jeune fille sembla apprécier cette divine caresse, ses tétons se dressant instantanément. Toujours de l’index, il attrapa le sperme qui était sur la joue de Marion et le présenta devant sa bouche. La jeune femme sorti sa langue, lécha le doigt et l’introduisit dans sa bouche pour mimer une fellation. Quand elle eût finit, Marc conclu, ne réalisant pas trop ce qu’il venait de se passer :
- Te voilà initiée !
Quand ils furent rhabillés, devant la porte d’entrée, et que le professeur s’apprêtait à partir, Marion déposa un baiser sur sa joue et dit simplement avec un sourire de satisfaction :
- Merci !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ET CETTE HISTOIRE EST TRES BELLE,L'envie de cette jeune ayant comme la musique envie de connaitre l'extasse de faire l'amour avec son prof de musique pour que par la suite avec son copain elle puisse profité au maximum des bienfait que celui ci lui a fait connaitre en lui faisant connaitre son corps et puis ces partie génitale son sexe a lui et ausi sa douce chatte dans diverse position et pénétration de sa bite dans son orifice lui faire connaitre les joussances a plusieurs reprise jusqu'a l'explosion de son spreme sur son ventre et le lui faire goute cette liqueur qu'eele a apprécié pour ensuite en consomer par a la suite a vec son copain
Excellente histoire, et très bien écrite, bravo!