Instants de Vacances - 02
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 80 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Ninemark ont reçu un total de 340 685 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 369 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Instants de Vacances - 02
2 | APPROFONDISSEMENT DU LIEN
Depuis quelques jours maintenant, un jeu s'est installé entre Antoine et moi. Chaque instant de solitude est comblé par un baiser mais dès que nous sommes en présence d'une autre personne, le jeu est de ne rien laisser paraitre. C'est plutôt compliqué car mon regard est parfois criant de vérité et je dois faire pour m'éloigner de lui pour ne pas rester comme un con face à lui. Le problème est que les moments seuls ne sont pas si nombreux.
Tout allait bien dans ma vie jusqu'à la réception d'un message ce matin. Je viens à peine de me réveiller et la colère me monte instinctivement. C'est un pote qui me prend la tête depuis un moment et qui commence à m'incriminer pour un truc dont je ne suis pas responsable. Ça me met grave les nerfs et je pars dans la cuisine boire un jus d'orange. Mais je bouillonne à l'intérieur et doit m'aérer. Le souci c'est qu'il est en train de pleuvoir. Je pars donc sur le canapé. Les autres sont maintenant tous levés et j'ai du mal à communiquer. Julien vient bien entendu me parler et je lui parle brièvement du message sans vouloir en dire plus.
Au bout d'un certain temps, je suis toujours en ébullition et décide de partir courir même s'il pleut. Je pars donc chopper mes affaires et au même moment je croise Antoine qui sort de la douche mais pris dans mes pensées, je ne réponds pas à sa question et trace ma route. Il est étonné et Julien lui explique vite fait la situation sans rentrer dans les détails.
Je cours depuis peut-être 5min sous la pluie battante. Ça me fait du bien mais je n'arrive pas à décrocher. J'entends soudainement une voix derrière moi et me retourne pour voir que c'est Antoine qui court derrière moi. J'ai une première réaction de rejet qui me fait accélérer un peu plus mais au bout d'une centaine de mètres, je diminue ma vitesse pour le laisser me rattraper.
« C'est moi où t'accélérais pour me larguer ? » me dit-il haletant.
« Désolé je ne sais pas comment réagir. Pourquoi tu me suis ? Il pleut ! » j'essaye d'être neutre dans ma voix mais une certaine irritation est perceptible.
« Oui j'ai vu qu'il pleuvait. Mais j'ai aussi vu que tu n'étais pas bien et que je ne voulais pas que tu fasses de conneries. »
Sa phrase m'arrête net. Je reprends ma respiration deux secondes en le regardant interrogateur.
« Euuuh… Tu croyais que j'allais me suicider peut-être ? »
Il remarque que son excuse était un peu extrémiste.
« J'avoue j'extrapole. Je voulais juste être avec toi et te montrer que tu peux te confier à moi. »
Malgré la situation où la pluie ne cesse de tomber, je trouve sa remarque mignonne. Je finis par lâcher un sourire parce qu'il est vrai qu'il n'est pas responsable et qu'il ne doit donc pas recevoir toute cette colère. Je viens alors me blottir dans ses bras pour le remercier. En décollant nos corps, je plante mon regard dans le sien et lui demande pardon pour mon comportement. Il rigole en disant que je suis assez imprévisible comme gars. Je ris à mon tour et l'embrasse avant de lui demander s'il l'avait vu venir.
Pendant notre baiser, Antoine commence à me palper le matériel avant de carrément mettre sa main dans mon short. Ça m'excite grave et je ne veux pas rentrer, ni rester sous la pluie. Je me souviens alors d'une tour de chasse un peu plus loin sur le chemin. Je lui propose d'aller là-bas se mettre à l'abri. On repart alors rapidement en courant jusqu'à l'abri.
En arrivant au-dessus, on se regarde complètement trempés et on rigole. La température reste néanmoins élevée et sans trop attendre j'enlève mon tee-shirt que je peux essorer à mains nues. Antoine fait de même et il va pour enlever son short quand je pose ma main pour le stopper. Je m'approche de lui et lui demande de me laisser le faire. Un sourire malicieux apparait sur son visage et détend son bras pour me laisser toucher son short. Au lieu de l'enlever, je glisse un doigt sous l'élastique et tire pour l'amener vers moi. Nos deux corps se frôlent et nos visages sont en face à face. Je frôle ses lèvres sans les toucher pour faire monter la tension.
Je le sens palper mes fesses de ses mains avant de remonter pour les glisser sous mes vêtements. Je sens alors ses mains froides contre ma peau et je tressailli en relevant un peu la tête. Il en profite pour venir m'embrasser dans le cou. Sa langue lèche ma peau avec passion et il revient petit à petit à ma bouche. Nos langues s'unissent et un frisson me parcourt. Mes mains parcourent son corps et je sens les siennes venir devant pour masturber ma queue. Je remonte alors les miennes sur ses épaules et exerce une pression pour lui suggérer de se baisser.
Il se retrouve alors à genoux devant moi. Il lève la tête pour me fixer et je l'admire dans toute sa beauté. D'une main derrière la tête, je le presse contre mon short pour qu'il sente ma queue bien bandée. Je place ma deuxième main et me frotte contre son visage. Ses mains s'accrochent à mes cuisses puis à mes fesses en passant par le dessous du short. N'en pouvons plus, je me décolle de lui pour lui laisser l'honneur de me mettre à nu. Il ne met pas plus de 3 secondes pour que mon short et mon boxer se retrouvent à mes chevilles.
Sans plus attendre, il prend ma queue en main et dans sa bouche. Je le guide doucement car c'est nouveau pour lui. Je lui caresse la joue en l'encourageant à me sucer. Ses mains se baladent sur mon corps et l'une vient me caresser les lèvres. J'ouvre alors la bouche pour lui sucer les doigts. Il les retire ensuite pour les porter à mes fesses. Tout en continuant de me sucer, il écarte mes fesses et commence à rentrer un doigt. Cette sensation est géniale. Je me cambre un peu pour lui donner plus de profondeur.
Il retire finalement son doigt et se relève pour venir m'embrasser à pleine bouche. Il monte en excitation et me faire mettre à genoux. Il retire son short et me biffle avec sa queue. Je lui choppe un de ses pectoraux et le serre en le fixant dans les yeux. Il me met une petite baffe et reprend sa queue pour me la présenter. J'ouvre la bouche et la prend avec avidité. Je lui suce d'abord le gland par succion avant de la prendre plus en profondeur. Je l'entends gémir. J'écarte ses fesses et vient lui titiller l'anus. Il me caresse la tête pour m'inciter à continuer et cambre un peu pour accueillir mon doigt. Je finis par le retourner pour lui bouffer le cul. J'aime tellement bouffer les culs et entendre les gars gémir. Ça m'excite tellement. J'y insère un doigt et observe ce magnifique cul bombé que j'espère bien enculer un jour.
Au bout d'un certain temps, Antoine vient me retourner au sol pour me bouffer le cul. Je cambre un max et gémis comme un fou. Cette sensation de mouille et sa langue qui fouille mon entrée me font perdre contrôle. Il y insère bien rapidement un premier doigt suivit d'un deuxième. Il me doigte le cul et je gémis librement dans cette forêt où la pluie tombe encore fortement. Je me redresse à quatre pattes pour ensuite m'enculer sur ses doigts.
« J'ai trop envie de t'enculer putain. »
Moi aussi j'avais envie. Mais je ne pouvais lui donner qu'une réponse négative car nous n'avions pas de capotes. Puis soudainement, un éclair me revient. Je crois avoir mis une capote dans mon short le jour passé au cas où et je ne crois pas l'avoir enlevé. Je ne suis pas sûr et je ne veux pas lui faire de faux espoirs alors je lui prétexte vouloir me libérer de mon short toujours à mes chevilles. En l'enlevant je sens une chose carrée. Bingo. Je sors alors la capote triomphant avant d'ajouter :
« Tu avais envie de quoi ? »
Mon sourire malicieux l'excite au possible et il me retourne en deux secondes pour me bouffer à nouveau le cul. Il me remet un nouveau doigt et m'excite en me disant ce qu'il va me faire. Il me rend dingue et je lui dis d'y aller. Il met rapidement la capote en gardant l'excitation intacte puis d'un mouvement ample et régulier il entre en moi. La douleur est plus vive que la dernière fois parce que nous n'avons pas de lubrifiant mais je me retiens de lui dire d'arrêter jusqu'à ce qu'il soit entièrement en moi.
Après quelques secondes d'acclimatation, il commence des vas et viens qui me font gémir sans retenue. Il compte bien se rattraper de la dernière fois et ne perd pas de temps à y aller en douceur. Et de toute manière notre excitation du moment veut de la baise. Il installe un premier rythme modéré où je l'encourage à m'enculer. Il me claque une fois la fesse me faisant cambrer un peu plus. Une main vient se placer dans mes cheveux et les tirer en arrière. Il annonce qu'il va me péter le cul et c'est en tout honnêteté qu'il lâche mes cheveux pour prendre mes hanches et accélérer le rythme.
Je suis au milieu d'un forêt ardéchoise en train de me faire pilonner le cul par mon crush du moment. La pluie tombe en trombe et étouffe mes gémissements. Je suis allongé au sol les jambes écartées au sol pour qu'il puisse m'enculer de tout son poids. Il finit par me retourner sur le dos et à relever mes jambes pour me prendre de face. J'aime le regarder en plein effort. Il y met tout son cœur et se penche pour m'embrasser. Il se retire à un certain moment pour que je puisse basculer sur lui.
On se retrouve les deux assis à la différence que moi je suis assis sur son membre généreux. La position nous permet de nous embrasser avec fougue et nos mains se baladent partout. Je les pose alors derrière moi pour prendre appui et commence à m'enculer plus profondément. Je regarde Antoine qui gémit les yeux fermés. Mais il annonce qu'il va bientôt juter et me demande de m'enlever. Je m'enlève donc et il se relève et retire la capote.
Il approche sa queue et me demande de bien vouloir le resucer avec avidité. Je prends alors les devant et empoigne sa queue pour la sucer. Il me caresse et s'amuse à me biffler avec sa queue pleine de salive. Il vient aussi me mettre un doigt pour bien me faire cambrer. Je bande à fond et sens que je ne tiendrai pas encore longtemps. C'est là qu'il me dit :
« Je vais te juter dessus comme une chienne et après tu feras pareil avec moi ok ?! »
Comme simple réponse, je lui offre une petite claque sur sa joue. Il prend ça pour un oui et m'en retourne une avant de me biffler à nouveau. Il commence alors à me parler de manière salace et me prend les cheveux par la main pour me fixer face à sa queue. Il se branle frénétiquement en me disant qu'il va me gicler son lait sur ma petite gueule de chienne. Puis plusieurs jets viennent s'éclater sur mon visage et mon torse. Il joui sans retenu et sa voix me transcende. Je le laisse reprendre ses esprits en lui suçant sa queue puis je me relève et le faire mettre à genoux. Tout comme lui, je le prends par ses cheveux et lui décroche une claque. Je frotte ma queue contre sa gueule avant de le faire sucer bien profond. J'en oublie limite qu'il est encore novice mais il semble bien se débrouiller. Puis je me retire et commence à me branler car ça ne devrait pas tarder. Je lui demande d'ouvrir la bouche et je lui crache dessus en lui demandant si c'est ça qu'il voulait. Je recommence vu qu'il ne répond pas et lorsqu'enfin il me dit que c'est mon jus qu'il veut, je lui gicle à la gueule sans aucune retenue.
C'est une décompression totale et le sentiment est planant. J'ouvre à nouveau les yeux et il me tient la queue pour enlever les restes. Je m'assieds près de lui et viens l'embrasser. Il se blottit contre moi tout aussi fatigué. On reprend notre souffle et je m'excuse si j'ai été un peu brutal à la fin. Il rigole en disant que c'est lui qui devrait s'excuser de m'avoir baisé comme ça. Je lui dis avoir kiffé et que si c'est de manière épisodique pour le kiff il n'y a pas de problèmes. Il est vrai que je préfère faire l'amour mais une grosse baise n'est pas forcément désagréable.
On change alors de sujet et, toujours dans mes bras, je lui raconte l'histoire avec mon pote et lui me conseille. J'aime parler avec lui et j'aime le sentir contre moi. Au bout d'un certain temps, la pluie semble s'arrêter et je lui propose de rentrer avant que les autres ne s'inquiètent trop. Il accepte mais avant on repasse un petit moment à s'embrasser et à se câliner.
Le retour se fait avec un peu de discrétion. Notre absence n'est pas passée inaperçue et la pluie est désignée comme la fautive. On ne nous pose pas plus de questions et de toute manière personne ne se doute de rien. On reprend alors nos vies et pour terminer cette journée pluvieuse, on décide de préparer la soirée d'anniversaire de Julien qui aura lieu demain.
***
La soirée bat son plein et je pense que personne de nous n'est sobre. La musique résonne dans la villa qui a retrouvé sa chaleur estivale. Le soleil a tapé toute la journée et la piscine a retrouvé sa température. On passe donc pas mal de temps à picoler et à faire les cons dans la piscine. Soudain, l'un de la bande propose un jeu pour se réunir. On accepte tous et chacun semble d'accord pour un action ou vérité. Je ne suis pas fan de ce jeu et tente de les dissuader mais une majorité veut y jouer. On trouve un compromis en instaurant le jeu qu'une personne propose un défi ou une question à une personne et que les autres approuvent ou pas.
C'est ainsi que l'on commence et comme à chaque fois, tout commence de manière soft en sachant d'avance qu'au bout de 10 min les délires sexuelles et débiles débarqueront. C'est ainsi qu'à l'aide d'une bouteille nous élisons la personne qui proposera quelque chose. Les premières questions et actions s'établissent et Antoine parvient à faire un coup de maitre. Il propose à Julien de permuter les chambres pour faire moitié moitié et changer de coloc. Les autres trouvent ça débile mais ne savent pas toute l'importance que ça a pour moi. Tout en faisant cela, il ne me lâche pas un seul regard et je l'en remercie car on nous aurait grillé. La proposition est acceptée à une unique condition posée par l'un des potes. Julien et Antoine doivent sceller cet échange en se roulant une pelle maintenant. Bien entendu, tout le monde approuve en criant d'excitation et les propositions indécentes peuvent commencer. Du côté de Julien et Antoine, il y a une brève hésitation vite comblée par leur amitié et ils acceptent en rigolant. Ils se lèvent donc et s'embrassent. Mais ça ne suffit pas et ils demandent de se rouler vraiment une pelle. Julien prend les devants et y insère sa langue et je vois Antoine lui mettre la main au cul. Je sais que c'est insignifiant et pourtant je ressens une pointe de jalousie. Allez comprendre pourquoi alors que le mec vient de négocier une semaine avec moi dans la même chambre.
Le jeu continue et on a le droit à toutes les conneries possibles. L'exhibitionnisme et autres conneries en tout genre sont bien entendus mise en avant et c'est comme ça que je me retrouve à courir nu autour de la piscine. On finit néanmoins par arrêter le jeu pour un autre jeu d'alcool qui nous mettra bien par terre.
Il doit être 3h du mat et une partie est toujours à fond. L'autre représente les potes qui soit sont déjà partis se coucher soit sont ivres mort à vomir. Je remarque soudainement qu'Antoine n'est pas là et en y réfléchissant cela fait déjà un moment. Je n'avais pas forcément fait attention avant car je m'amuse avec Julien depuis un sacré moment. Je questionne alors les autres qui me disent qu'il est parti il y a un moment je ne sais où. Ça m'intrigue et, alors que j'allais le chercher, il apparait dans le salon. Il semble visiblement moins bourré que moi ce qui montre qu'il ne boit plus depuis une certaine période. Je lui demande alors où il était et il prétexte être parti s'occuper des bourrés. Sauf que je capte direct et je lui demande la vérité. Il est un peu gêné et me dit :
« Euh… Bon c'est vraiment pas très charmeur comme approche mais… j'ai emprunté ta poire pour me faire un lavement pour essayer… enfin oublie »
Il allait parti le bougre alors que sans s'en rendre compte son motif m'excitait quelque peu. Je le rattrape par la manche en lui disant que certes j'aurais du ne pas demander la vérité au final mais que j'espérais bien qu'il s'est préparé pour moi. Il me regarde avec un air qui me prend pour un débile :
« Tu veux que ce soit pour qui d'autres ? »
« Bah je sais pas… Pour Julien vu comme t'as aimé lui toucher le cul et l'embrasser »
Je lui réponds sans aucune pointe d'énervement. Au contraire je la joue plus sur l'humour. Il esquisse un sourire et me dit :
« Avoue ça t'a fait kiffer !? »
« Sur le moment pas du tout car je voulais tout simplement être à sa place et pouvoir t'embrasser devant tout le monde sans problème… »
Il me regarde et je sens qu'il ne souhaite que me prendre dans ses bras et m'embrasser mais il se retient car il y a des gens. Il me demande juste de partir dans ma chambre et qu'il y arrive dans quelques minutes. Je lui dis que c'est trop criant et que nous allons retourner voir les autres et partir dans 15-20 min en différé. Il approuve et on se retrouve rapidement avec les autres. Je note juste qu'Antoine a totalement stoppé de boire de l'alcool et j'en fais autant pour ne pas être une catastrophe.
Les minutes passent tellement lentement c'est frustrant. Je lui jette des petits regards et je sens qu'il n'attend que ça. Je finis par décréter mon retrait au profit de mon lit. Personne n'y voit d'objection et je vais faire un dernier câlin d'anniversaire à Julien. Ce dernier est bien trop bourré pour être calme et dit que je suis son meilleur ami et que pour ça il mérite aussi des bisous de sa part. Il vient alors m'embrasser et les potes restants crient d'excitation comme tout à l'heure. Après la surprise passée, la situation me fait rire et je lui mets la main au cul comme Antoine l'avait fait. Puis sans plus attendre je pars me coucher en rappelant qu'il n'est plus dans ma chambre.
J'arrive dans ma chambre et je vais brièvement me préparer pour être plus propre et convenable. Je refais aussi le lit histoire que ce soit plus agréable. C'est alors qu'Antoine fait son entrée. Il referme la porte et me rejoins sur le lit. Son regard parle pour sa bouche et je sais qu'il a passé tout son temps à penser ce qu'il me dira pour le roulage de pelle avec Julien. Je rigole :
« Avoue t'as kiffé !? »
Il oscille la tête avec un rictus comme pour dire que je suis vraiment con et s'approche de moi pour m'embrasser. C'est clair que je préfère largement sa bouche à celle de mon meilleur pote. Après quelques secondes de baisers un peu stoïques, il me renverse sur le lit pour venir se placer au-dessus de moi et continuer de m'embrasser fougueusement. L'excitation monte d'un cran et je sens son bas ventre se frotter contre le mien alors que sa langue s'unit à la mienne avec passion. Il bloque mes mains avec les siennes contre le lit. Je me laisse faire par sa dextérité. Il n'a beau jamais rien avoir fait avec un gars, je sens que son expérience avec les meufs lui est bien utile.
Son odeur m'enivre. Je soupire en me rappelant que cette fois-ci il y a des gens vers nous. Il fait chaud bordel. Je retire son tee-shirt pour qu'il retire le mien. Puis Antoine revient sur moi pour m'embrasser et descend pour aller mordiller mes tétons. Quel kiff. Il descend plus bas et encore plus bas jusqu'à venir sentir mon short et le déboutonner. Je relève le bassin pour qu'il le retire et, d'une pierre deux coups, le caleçon part aussi. Sans plus attendre, il prend ma queue en bouche. Elle n'est pas encore tout à fait bandée à cause de l'étroitesse de mon short mais elle ne tarde pas à prendre forme dans sa bouche. Je lui caresse les cheveux tendrement et l'encourage à continuer.
Je le ramène vers moi pour qu'il m'embrasse à nouveau car ses lèvres me manquaient. J'aime prendre le temps de l'observer alors que nos visages sont à quelques centimètres. Il a un léger strabisme à ce moment là qui me fait totalement bander. Je reprends alors le dessus sur lui et pars le sucer à mon tour. Je prends sa belle queue veinée en bouche et fait mon maximum pour lui donner du plaisir. Mais je sais que ce n'est pas ce qu'il veut ce soir et commence doucement à aller plus bas jusqu'à relever ses jambes pour atteindre ses fesses. Je lui lèche alors sa raie en le regardant.
« C'est ça que tu veux ? »
« Ouais… Je veux que tu sois mon premier. »
Cette remarque me touche et m'excite en même temps. Je sais qu'il a confiance en moi pour y aller en douceur et j'aime ça. Je le retourne sur le ventre pour avoir plus de facilité à lui bouffer le cul. Je lui relève un peu le bassin pour qu'il se cambre et m'offre son cul. J'écarte ses fesses et après avoir embrassé tous les alentours, je titille son anus du bout de ma langue. Il soupire une première fois et je commence alors à lui bouffer le cul sans ménagement. Je l'entends kiffer et il n'imagine pas le pied que je prends à avoir ma tête dans son cul. Depuis le temps que j'attendais ça. Je vais pouvoir l'enculer.
Au bout d'un certain temps, je commence à insérer un premier doigt suivi d'un deuxième. Il kiffe totalement et gémit dans un coussin. On le fait tout en douceur et je le sens déjà faire des mouvements pour s'enculer sur mes doigts. Le plus excitant c'est que je n'ai pas encore eu besoin de mettre du lubrifiant et que je peux de temps à autre lui bouffer le cul à nouveau. J'arrive enfin à mettre trois doigts quand je lui dis que j'y irai quand il se sentira prêt. Il attendra 2 nouvelles minutes de bouffage de cul avant de me dire « Je te veux en moi ».
Sans plus attendre, je choppe le lubrifiant et la capote placée au préalable. Je me place sur le dos et lui dis que pour sa première fois il est préférable qu'il me chevauche pour pouvoir contrôler le rythme. Je place alors la capote et vient l'embrasser un peu pour nous exciter à nouveau. Par son appréhension, il avait presque débandé alors je prends le temps de lui redonne son envie. C'est une fois que je tiens sa queue bien dressée en main que je prends le lubrifiant et en enduis la capote tout en y portant une noix sur son anus. Je le laisse alors gérer le rythme en maintenant le contact charnel. Il s'enfonce alors avec hésitation et je l'encourage oralement et tactilement à s'ouvrir et continuer à se faire pénétrer. A mi-chemin, il se redresse après avoir senti la première douleur. Je le rassure en lui disant que c'est normal et qu'une fois dépassée, elle disparait rapidement. Je lui dis de ne pas se fixer sur la douleur mais sur la recherche du plaisir. Se faire pénétrer n'est pas forcément banal et c'est après tout un corps étranger qui entre en nous. Je lui indique que c'est plus une sensation inconnue que notre cerveau assimile initialement à la douleur car il n'a pas d'autres comparatifs. Il y retourne alors et passe ce cap jusqu'à ce que je sois entièrement en lui.
Je patiente le temps qu'il faut pour qu'il s'habitue et il me confirme que ce n'est pas forcément douloureux mais juste bizarre. Je souris et l'invite à venir m'embrasser. Il se penche alors pour toucher mes lèvres ce qui le fait déculer partiellement. Je relève alors mon bassin pour m'enfoncer à nouveau et il laisse échapper un gémissement. Je commence alors à faire des vas et viens doucement et le regarde sans arrêt pour voir s'il apprécie. Il me semble que oui car il a les yeux fermés et gémit faiblement sans me demander d'arrêter. Je sens d'ailleurs qu'il commence à s'activer sur ma queue de lui-même. J'arrête alors mes mouvements et il prend appui sur mes pectoraux pour s'enculer de lui-même sur ma queue. Il remue son boule qui me procure des sensations exaltantes. Si je suis bien faible sur une chose c'est quand je laisse l'autre s'enculer sur moi car je n'arrive pas à contrôler et en quelques secondes bien placées, tout peut se terminer. Je reprends donc plus ou moins le contrôle pour ne pas me finir de suite. Je décide de changer de position maintenant qu'il s'est habitué.
Je me redresse et l'embrasse passionnément. Il commence à se mettre à quatre pattes mais je viens retrouver sa bouche et son visage avec un certain sérieux dans mon ivresse. Je souris en lui disant que jamais je coucherai avec un mec qui fait sa première fois dans cette position. Elle représente pour moi une position sexuelle assez animale et je ne veux pas regarder dans la même direction que lui. Je veux qu'il me regarde lui faire l'amour tout comme je veux le regarder gémir lorsque je suis en lui. Je le place alors sur le dos et place un coussin sous son bassin. J'écarte ses jambes et vient d'abord l'embrasser à nouveau avant de lui présenter ma queue. Je lui parle en lui susurrant à l'oreille que je vais lui faire l'amour comme jamais et il m'encourage à me pénétrer. Je pousse alors pour me replacer bien au fond de lui et prend un rythme lent et profond. Nos bouches ne se quittent pas et dans un mouvement passionné, je viens prendre ses mains pour les placer au-dessus de lui. Je contrôle à la force de mon bassin et alors que j'ai ma tête enfouie dans son cou, je l'entends me dire qu'il adore ça.
Je me redresse pour plus d'amplitude et lève ses jambes tout en accélérant un peu le rythme. Je l'encule à coups rapides et je le vois perdre le contrôle. Il laisse échapper un gémissement un peu trop fort et dans la surprise, je me laisse tomber sur lui pour mettre ma main sur sa bouche. Sauf que tout ça m'a grave excité en même temps. Je sens que je vais venir d'une seconde à l'autre et je décide d'y mettre tout ce que j'avais et je lui bourre le cul à coup de rein jusqu'aux spasmes de l'orgasme. Je l'entends gémir dans ma main et lorsque le premier jet sort, je lui assène un coup bien profond en écrasant ma tête dans son cou pour gémir sourdement. C'est tellement bon. Je lui retire ma main et je l'entends reprendre sa respiration. Je continue en mode automatique deux trois allers retours avant de me reposer sur lui complètement, toujours en lui.
Une bonne trentaine de secondes me sont nécessaires pour m'en remettre et je finis par me retirer. Ma queue est en demie-molle et je retire la capote pour la mettre dans la poubelle au pied du lit. Je me replace contre Antoine qui est toujours dans ses états. Je prends sa queue en main qui est en demie-molle et la masturbe jusqu'à ce qu'elle retrouve sa dureté. Je m'approche de sa bouche pour l'embrasser et continue de le branler jusqu'à ce que des spasmes s'emparent de lui et dispersent son jus sur tout son corps. Il repart en extase et redescendra après un petit temps. On s'embrasse alors et je le remercie pour ce moment. Il sourit en me disant que c'est lui me remercie pour lui avoir fait l'amour de cette manière. Il dit avoir rarement kiffé de coucher avec quelqu'un comme ça.
Après avoir récupérer un peu d'énergie, je le laisse partir se doucher avant d'y aller à mon tour. Lorsque je sors de la salle de bain, il est dans mon lit sous la couverture sur le ventre. Je le rejoins en me glissant dans les draps et en venant l'enlacer par derrière. Il montre sa réceptivité en frottant ses fesses contre moi. Je sens que je vais bander toute la nuit si je dors à poil avec lui dans cette position. Mais ce n'est pas grave car je kiffe trop et de toute façon le jour se lève dans quelques heures. Il se retourne au bout de quelques minutes et vient placer son visage contre le mien et me dit :
« Sérieusement, merci pour ce moment. C'était génial… »
Ma bouche vient rejoindre la sienne comme réponse et après des câlins et des bisous, on s'endort l'un contre l'autre dans ce lit une place qui nous oblige à être collés à mon plus grand bonheur.
Depuis quelques jours maintenant, un jeu s'est installé entre Antoine et moi. Chaque instant de solitude est comblé par un baiser mais dès que nous sommes en présence d'une autre personne, le jeu est de ne rien laisser paraitre. C'est plutôt compliqué car mon regard est parfois criant de vérité et je dois faire pour m'éloigner de lui pour ne pas rester comme un con face à lui. Le problème est que les moments seuls ne sont pas si nombreux.
Tout allait bien dans ma vie jusqu'à la réception d'un message ce matin. Je viens à peine de me réveiller et la colère me monte instinctivement. C'est un pote qui me prend la tête depuis un moment et qui commence à m'incriminer pour un truc dont je ne suis pas responsable. Ça me met grave les nerfs et je pars dans la cuisine boire un jus d'orange. Mais je bouillonne à l'intérieur et doit m'aérer. Le souci c'est qu'il est en train de pleuvoir. Je pars donc sur le canapé. Les autres sont maintenant tous levés et j'ai du mal à communiquer. Julien vient bien entendu me parler et je lui parle brièvement du message sans vouloir en dire plus.
Au bout d'un certain temps, je suis toujours en ébullition et décide de partir courir même s'il pleut. Je pars donc chopper mes affaires et au même moment je croise Antoine qui sort de la douche mais pris dans mes pensées, je ne réponds pas à sa question et trace ma route. Il est étonné et Julien lui explique vite fait la situation sans rentrer dans les détails.
Je cours depuis peut-être 5min sous la pluie battante. Ça me fait du bien mais je n'arrive pas à décrocher. J'entends soudainement une voix derrière moi et me retourne pour voir que c'est Antoine qui court derrière moi. J'ai une première réaction de rejet qui me fait accélérer un peu plus mais au bout d'une centaine de mètres, je diminue ma vitesse pour le laisser me rattraper.
« C'est moi où t'accélérais pour me larguer ? » me dit-il haletant.
« Désolé je ne sais pas comment réagir. Pourquoi tu me suis ? Il pleut ! » j'essaye d'être neutre dans ma voix mais une certaine irritation est perceptible.
« Oui j'ai vu qu'il pleuvait. Mais j'ai aussi vu que tu n'étais pas bien et que je ne voulais pas que tu fasses de conneries. »
Sa phrase m'arrête net. Je reprends ma respiration deux secondes en le regardant interrogateur.
« Euuuh… Tu croyais que j'allais me suicider peut-être ? »
Il remarque que son excuse était un peu extrémiste.
« J'avoue j'extrapole. Je voulais juste être avec toi et te montrer que tu peux te confier à moi. »
Malgré la situation où la pluie ne cesse de tomber, je trouve sa remarque mignonne. Je finis par lâcher un sourire parce qu'il est vrai qu'il n'est pas responsable et qu'il ne doit donc pas recevoir toute cette colère. Je viens alors me blottir dans ses bras pour le remercier. En décollant nos corps, je plante mon regard dans le sien et lui demande pardon pour mon comportement. Il rigole en disant que je suis assez imprévisible comme gars. Je ris à mon tour et l'embrasse avant de lui demander s'il l'avait vu venir.
Pendant notre baiser, Antoine commence à me palper le matériel avant de carrément mettre sa main dans mon short. Ça m'excite grave et je ne veux pas rentrer, ni rester sous la pluie. Je me souviens alors d'une tour de chasse un peu plus loin sur le chemin. Je lui propose d'aller là-bas se mettre à l'abri. On repart alors rapidement en courant jusqu'à l'abri.
En arrivant au-dessus, on se regarde complètement trempés et on rigole. La température reste néanmoins élevée et sans trop attendre j'enlève mon tee-shirt que je peux essorer à mains nues. Antoine fait de même et il va pour enlever son short quand je pose ma main pour le stopper. Je m'approche de lui et lui demande de me laisser le faire. Un sourire malicieux apparait sur son visage et détend son bras pour me laisser toucher son short. Au lieu de l'enlever, je glisse un doigt sous l'élastique et tire pour l'amener vers moi. Nos deux corps se frôlent et nos visages sont en face à face. Je frôle ses lèvres sans les toucher pour faire monter la tension.
Je le sens palper mes fesses de ses mains avant de remonter pour les glisser sous mes vêtements. Je sens alors ses mains froides contre ma peau et je tressailli en relevant un peu la tête. Il en profite pour venir m'embrasser dans le cou. Sa langue lèche ma peau avec passion et il revient petit à petit à ma bouche. Nos langues s'unissent et un frisson me parcourt. Mes mains parcourent son corps et je sens les siennes venir devant pour masturber ma queue. Je remonte alors les miennes sur ses épaules et exerce une pression pour lui suggérer de se baisser.
Il se retrouve alors à genoux devant moi. Il lève la tête pour me fixer et je l'admire dans toute sa beauté. D'une main derrière la tête, je le presse contre mon short pour qu'il sente ma queue bien bandée. Je place ma deuxième main et me frotte contre son visage. Ses mains s'accrochent à mes cuisses puis à mes fesses en passant par le dessous du short. N'en pouvons plus, je me décolle de lui pour lui laisser l'honneur de me mettre à nu. Il ne met pas plus de 3 secondes pour que mon short et mon boxer se retrouvent à mes chevilles.
Sans plus attendre, il prend ma queue en main et dans sa bouche. Je le guide doucement car c'est nouveau pour lui. Je lui caresse la joue en l'encourageant à me sucer. Ses mains se baladent sur mon corps et l'une vient me caresser les lèvres. J'ouvre alors la bouche pour lui sucer les doigts. Il les retire ensuite pour les porter à mes fesses. Tout en continuant de me sucer, il écarte mes fesses et commence à rentrer un doigt. Cette sensation est géniale. Je me cambre un peu pour lui donner plus de profondeur.
Il retire finalement son doigt et se relève pour venir m'embrasser à pleine bouche. Il monte en excitation et me faire mettre à genoux. Il retire son short et me biffle avec sa queue. Je lui choppe un de ses pectoraux et le serre en le fixant dans les yeux. Il me met une petite baffe et reprend sa queue pour me la présenter. J'ouvre la bouche et la prend avec avidité. Je lui suce d'abord le gland par succion avant de la prendre plus en profondeur. Je l'entends gémir. J'écarte ses fesses et vient lui titiller l'anus. Il me caresse la tête pour m'inciter à continuer et cambre un peu pour accueillir mon doigt. Je finis par le retourner pour lui bouffer le cul. J'aime tellement bouffer les culs et entendre les gars gémir. Ça m'excite tellement. J'y insère un doigt et observe ce magnifique cul bombé que j'espère bien enculer un jour.
Au bout d'un certain temps, Antoine vient me retourner au sol pour me bouffer le cul. Je cambre un max et gémis comme un fou. Cette sensation de mouille et sa langue qui fouille mon entrée me font perdre contrôle. Il y insère bien rapidement un premier doigt suivit d'un deuxième. Il me doigte le cul et je gémis librement dans cette forêt où la pluie tombe encore fortement. Je me redresse à quatre pattes pour ensuite m'enculer sur ses doigts.
« J'ai trop envie de t'enculer putain. »
Moi aussi j'avais envie. Mais je ne pouvais lui donner qu'une réponse négative car nous n'avions pas de capotes. Puis soudainement, un éclair me revient. Je crois avoir mis une capote dans mon short le jour passé au cas où et je ne crois pas l'avoir enlevé. Je ne suis pas sûr et je ne veux pas lui faire de faux espoirs alors je lui prétexte vouloir me libérer de mon short toujours à mes chevilles. En l'enlevant je sens une chose carrée. Bingo. Je sors alors la capote triomphant avant d'ajouter :
« Tu avais envie de quoi ? »
Mon sourire malicieux l'excite au possible et il me retourne en deux secondes pour me bouffer à nouveau le cul. Il me remet un nouveau doigt et m'excite en me disant ce qu'il va me faire. Il me rend dingue et je lui dis d'y aller. Il met rapidement la capote en gardant l'excitation intacte puis d'un mouvement ample et régulier il entre en moi. La douleur est plus vive que la dernière fois parce que nous n'avons pas de lubrifiant mais je me retiens de lui dire d'arrêter jusqu'à ce qu'il soit entièrement en moi.
Après quelques secondes d'acclimatation, il commence des vas et viens qui me font gémir sans retenue. Il compte bien se rattraper de la dernière fois et ne perd pas de temps à y aller en douceur. Et de toute manière notre excitation du moment veut de la baise. Il installe un premier rythme modéré où je l'encourage à m'enculer. Il me claque une fois la fesse me faisant cambrer un peu plus. Une main vient se placer dans mes cheveux et les tirer en arrière. Il annonce qu'il va me péter le cul et c'est en tout honnêteté qu'il lâche mes cheveux pour prendre mes hanches et accélérer le rythme.
Je suis au milieu d'un forêt ardéchoise en train de me faire pilonner le cul par mon crush du moment. La pluie tombe en trombe et étouffe mes gémissements. Je suis allongé au sol les jambes écartées au sol pour qu'il puisse m'enculer de tout son poids. Il finit par me retourner sur le dos et à relever mes jambes pour me prendre de face. J'aime le regarder en plein effort. Il y met tout son cœur et se penche pour m'embrasser. Il se retire à un certain moment pour que je puisse basculer sur lui.
On se retrouve les deux assis à la différence que moi je suis assis sur son membre généreux. La position nous permet de nous embrasser avec fougue et nos mains se baladent partout. Je les pose alors derrière moi pour prendre appui et commence à m'enculer plus profondément. Je regarde Antoine qui gémit les yeux fermés. Mais il annonce qu'il va bientôt juter et me demande de m'enlever. Je m'enlève donc et il se relève et retire la capote.
Il approche sa queue et me demande de bien vouloir le resucer avec avidité. Je prends alors les devant et empoigne sa queue pour la sucer. Il me caresse et s'amuse à me biffler avec sa queue pleine de salive. Il vient aussi me mettre un doigt pour bien me faire cambrer. Je bande à fond et sens que je ne tiendrai pas encore longtemps. C'est là qu'il me dit :
« Je vais te juter dessus comme une chienne et après tu feras pareil avec moi ok ?! »
Comme simple réponse, je lui offre une petite claque sur sa joue. Il prend ça pour un oui et m'en retourne une avant de me biffler à nouveau. Il commence alors à me parler de manière salace et me prend les cheveux par la main pour me fixer face à sa queue. Il se branle frénétiquement en me disant qu'il va me gicler son lait sur ma petite gueule de chienne. Puis plusieurs jets viennent s'éclater sur mon visage et mon torse. Il joui sans retenu et sa voix me transcende. Je le laisse reprendre ses esprits en lui suçant sa queue puis je me relève et le faire mettre à genoux. Tout comme lui, je le prends par ses cheveux et lui décroche une claque. Je frotte ma queue contre sa gueule avant de le faire sucer bien profond. J'en oublie limite qu'il est encore novice mais il semble bien se débrouiller. Puis je me retire et commence à me branler car ça ne devrait pas tarder. Je lui demande d'ouvrir la bouche et je lui crache dessus en lui demandant si c'est ça qu'il voulait. Je recommence vu qu'il ne répond pas et lorsqu'enfin il me dit que c'est mon jus qu'il veut, je lui gicle à la gueule sans aucune retenue.
C'est une décompression totale et le sentiment est planant. J'ouvre à nouveau les yeux et il me tient la queue pour enlever les restes. Je m'assieds près de lui et viens l'embrasser. Il se blottit contre moi tout aussi fatigué. On reprend notre souffle et je m'excuse si j'ai été un peu brutal à la fin. Il rigole en disant que c'est lui qui devrait s'excuser de m'avoir baisé comme ça. Je lui dis avoir kiffé et que si c'est de manière épisodique pour le kiff il n'y a pas de problèmes. Il est vrai que je préfère faire l'amour mais une grosse baise n'est pas forcément désagréable.
On change alors de sujet et, toujours dans mes bras, je lui raconte l'histoire avec mon pote et lui me conseille. J'aime parler avec lui et j'aime le sentir contre moi. Au bout d'un certain temps, la pluie semble s'arrêter et je lui propose de rentrer avant que les autres ne s'inquiètent trop. Il accepte mais avant on repasse un petit moment à s'embrasser et à se câliner.
Le retour se fait avec un peu de discrétion. Notre absence n'est pas passée inaperçue et la pluie est désignée comme la fautive. On ne nous pose pas plus de questions et de toute manière personne ne se doute de rien. On reprend alors nos vies et pour terminer cette journée pluvieuse, on décide de préparer la soirée d'anniversaire de Julien qui aura lieu demain.
***
La soirée bat son plein et je pense que personne de nous n'est sobre. La musique résonne dans la villa qui a retrouvé sa chaleur estivale. Le soleil a tapé toute la journée et la piscine a retrouvé sa température. On passe donc pas mal de temps à picoler et à faire les cons dans la piscine. Soudain, l'un de la bande propose un jeu pour se réunir. On accepte tous et chacun semble d'accord pour un action ou vérité. Je ne suis pas fan de ce jeu et tente de les dissuader mais une majorité veut y jouer. On trouve un compromis en instaurant le jeu qu'une personne propose un défi ou une question à une personne et que les autres approuvent ou pas.
C'est ainsi que l'on commence et comme à chaque fois, tout commence de manière soft en sachant d'avance qu'au bout de 10 min les délires sexuelles et débiles débarqueront. C'est ainsi qu'à l'aide d'une bouteille nous élisons la personne qui proposera quelque chose. Les premières questions et actions s'établissent et Antoine parvient à faire un coup de maitre. Il propose à Julien de permuter les chambres pour faire moitié moitié et changer de coloc. Les autres trouvent ça débile mais ne savent pas toute l'importance que ça a pour moi. Tout en faisant cela, il ne me lâche pas un seul regard et je l'en remercie car on nous aurait grillé. La proposition est acceptée à une unique condition posée par l'un des potes. Julien et Antoine doivent sceller cet échange en se roulant une pelle maintenant. Bien entendu, tout le monde approuve en criant d'excitation et les propositions indécentes peuvent commencer. Du côté de Julien et Antoine, il y a une brève hésitation vite comblée par leur amitié et ils acceptent en rigolant. Ils se lèvent donc et s'embrassent. Mais ça ne suffit pas et ils demandent de se rouler vraiment une pelle. Julien prend les devants et y insère sa langue et je vois Antoine lui mettre la main au cul. Je sais que c'est insignifiant et pourtant je ressens une pointe de jalousie. Allez comprendre pourquoi alors que le mec vient de négocier une semaine avec moi dans la même chambre.
Le jeu continue et on a le droit à toutes les conneries possibles. L'exhibitionnisme et autres conneries en tout genre sont bien entendus mise en avant et c'est comme ça que je me retrouve à courir nu autour de la piscine. On finit néanmoins par arrêter le jeu pour un autre jeu d'alcool qui nous mettra bien par terre.
Il doit être 3h du mat et une partie est toujours à fond. L'autre représente les potes qui soit sont déjà partis se coucher soit sont ivres mort à vomir. Je remarque soudainement qu'Antoine n'est pas là et en y réfléchissant cela fait déjà un moment. Je n'avais pas forcément fait attention avant car je m'amuse avec Julien depuis un sacré moment. Je questionne alors les autres qui me disent qu'il est parti il y a un moment je ne sais où. Ça m'intrigue et, alors que j'allais le chercher, il apparait dans le salon. Il semble visiblement moins bourré que moi ce qui montre qu'il ne boit plus depuis une certaine période. Je lui demande alors où il était et il prétexte être parti s'occuper des bourrés. Sauf que je capte direct et je lui demande la vérité. Il est un peu gêné et me dit :
« Euh… Bon c'est vraiment pas très charmeur comme approche mais… j'ai emprunté ta poire pour me faire un lavement pour essayer… enfin oublie »
Il allait parti le bougre alors que sans s'en rendre compte son motif m'excitait quelque peu. Je le rattrape par la manche en lui disant que certes j'aurais du ne pas demander la vérité au final mais que j'espérais bien qu'il s'est préparé pour moi. Il me regarde avec un air qui me prend pour un débile :
« Tu veux que ce soit pour qui d'autres ? »
« Bah je sais pas… Pour Julien vu comme t'as aimé lui toucher le cul et l'embrasser »
Je lui réponds sans aucune pointe d'énervement. Au contraire je la joue plus sur l'humour. Il esquisse un sourire et me dit :
« Avoue ça t'a fait kiffer !? »
« Sur le moment pas du tout car je voulais tout simplement être à sa place et pouvoir t'embrasser devant tout le monde sans problème… »
Il me regarde et je sens qu'il ne souhaite que me prendre dans ses bras et m'embrasser mais il se retient car il y a des gens. Il me demande juste de partir dans ma chambre et qu'il y arrive dans quelques minutes. Je lui dis que c'est trop criant et que nous allons retourner voir les autres et partir dans 15-20 min en différé. Il approuve et on se retrouve rapidement avec les autres. Je note juste qu'Antoine a totalement stoppé de boire de l'alcool et j'en fais autant pour ne pas être une catastrophe.
Les minutes passent tellement lentement c'est frustrant. Je lui jette des petits regards et je sens qu'il n'attend que ça. Je finis par décréter mon retrait au profit de mon lit. Personne n'y voit d'objection et je vais faire un dernier câlin d'anniversaire à Julien. Ce dernier est bien trop bourré pour être calme et dit que je suis son meilleur ami et que pour ça il mérite aussi des bisous de sa part. Il vient alors m'embrasser et les potes restants crient d'excitation comme tout à l'heure. Après la surprise passée, la situation me fait rire et je lui mets la main au cul comme Antoine l'avait fait. Puis sans plus attendre je pars me coucher en rappelant qu'il n'est plus dans ma chambre.
J'arrive dans ma chambre et je vais brièvement me préparer pour être plus propre et convenable. Je refais aussi le lit histoire que ce soit plus agréable. C'est alors qu'Antoine fait son entrée. Il referme la porte et me rejoins sur le lit. Son regard parle pour sa bouche et je sais qu'il a passé tout son temps à penser ce qu'il me dira pour le roulage de pelle avec Julien. Je rigole :
« Avoue t'as kiffé !? »
Il oscille la tête avec un rictus comme pour dire que je suis vraiment con et s'approche de moi pour m'embrasser. C'est clair que je préfère largement sa bouche à celle de mon meilleur pote. Après quelques secondes de baisers un peu stoïques, il me renverse sur le lit pour venir se placer au-dessus de moi et continuer de m'embrasser fougueusement. L'excitation monte d'un cran et je sens son bas ventre se frotter contre le mien alors que sa langue s'unit à la mienne avec passion. Il bloque mes mains avec les siennes contre le lit. Je me laisse faire par sa dextérité. Il n'a beau jamais rien avoir fait avec un gars, je sens que son expérience avec les meufs lui est bien utile.
Son odeur m'enivre. Je soupire en me rappelant que cette fois-ci il y a des gens vers nous. Il fait chaud bordel. Je retire son tee-shirt pour qu'il retire le mien. Puis Antoine revient sur moi pour m'embrasser et descend pour aller mordiller mes tétons. Quel kiff. Il descend plus bas et encore plus bas jusqu'à venir sentir mon short et le déboutonner. Je relève le bassin pour qu'il le retire et, d'une pierre deux coups, le caleçon part aussi. Sans plus attendre, il prend ma queue en bouche. Elle n'est pas encore tout à fait bandée à cause de l'étroitesse de mon short mais elle ne tarde pas à prendre forme dans sa bouche. Je lui caresse les cheveux tendrement et l'encourage à continuer.
Je le ramène vers moi pour qu'il m'embrasse à nouveau car ses lèvres me manquaient. J'aime prendre le temps de l'observer alors que nos visages sont à quelques centimètres. Il a un léger strabisme à ce moment là qui me fait totalement bander. Je reprends alors le dessus sur lui et pars le sucer à mon tour. Je prends sa belle queue veinée en bouche et fait mon maximum pour lui donner du plaisir. Mais je sais que ce n'est pas ce qu'il veut ce soir et commence doucement à aller plus bas jusqu'à relever ses jambes pour atteindre ses fesses. Je lui lèche alors sa raie en le regardant.
« C'est ça que tu veux ? »
« Ouais… Je veux que tu sois mon premier. »
Cette remarque me touche et m'excite en même temps. Je sais qu'il a confiance en moi pour y aller en douceur et j'aime ça. Je le retourne sur le ventre pour avoir plus de facilité à lui bouffer le cul. Je lui relève un peu le bassin pour qu'il se cambre et m'offre son cul. J'écarte ses fesses et après avoir embrassé tous les alentours, je titille son anus du bout de ma langue. Il soupire une première fois et je commence alors à lui bouffer le cul sans ménagement. Je l'entends kiffer et il n'imagine pas le pied que je prends à avoir ma tête dans son cul. Depuis le temps que j'attendais ça. Je vais pouvoir l'enculer.
Au bout d'un certain temps, je commence à insérer un premier doigt suivi d'un deuxième. Il kiffe totalement et gémit dans un coussin. On le fait tout en douceur et je le sens déjà faire des mouvements pour s'enculer sur mes doigts. Le plus excitant c'est que je n'ai pas encore eu besoin de mettre du lubrifiant et que je peux de temps à autre lui bouffer le cul à nouveau. J'arrive enfin à mettre trois doigts quand je lui dis que j'y irai quand il se sentira prêt. Il attendra 2 nouvelles minutes de bouffage de cul avant de me dire « Je te veux en moi ».
Sans plus attendre, je choppe le lubrifiant et la capote placée au préalable. Je me place sur le dos et lui dis que pour sa première fois il est préférable qu'il me chevauche pour pouvoir contrôler le rythme. Je place alors la capote et vient l'embrasser un peu pour nous exciter à nouveau. Par son appréhension, il avait presque débandé alors je prends le temps de lui redonne son envie. C'est une fois que je tiens sa queue bien dressée en main que je prends le lubrifiant et en enduis la capote tout en y portant une noix sur son anus. Je le laisse alors gérer le rythme en maintenant le contact charnel. Il s'enfonce alors avec hésitation et je l'encourage oralement et tactilement à s'ouvrir et continuer à se faire pénétrer. A mi-chemin, il se redresse après avoir senti la première douleur. Je le rassure en lui disant que c'est normal et qu'une fois dépassée, elle disparait rapidement. Je lui dis de ne pas se fixer sur la douleur mais sur la recherche du plaisir. Se faire pénétrer n'est pas forcément banal et c'est après tout un corps étranger qui entre en nous. Je lui indique que c'est plus une sensation inconnue que notre cerveau assimile initialement à la douleur car il n'a pas d'autres comparatifs. Il y retourne alors et passe ce cap jusqu'à ce que je sois entièrement en lui.
Je patiente le temps qu'il faut pour qu'il s'habitue et il me confirme que ce n'est pas forcément douloureux mais juste bizarre. Je souris et l'invite à venir m'embrasser. Il se penche alors pour toucher mes lèvres ce qui le fait déculer partiellement. Je relève alors mon bassin pour m'enfoncer à nouveau et il laisse échapper un gémissement. Je commence alors à faire des vas et viens doucement et le regarde sans arrêt pour voir s'il apprécie. Il me semble que oui car il a les yeux fermés et gémit faiblement sans me demander d'arrêter. Je sens d'ailleurs qu'il commence à s'activer sur ma queue de lui-même. J'arrête alors mes mouvements et il prend appui sur mes pectoraux pour s'enculer de lui-même sur ma queue. Il remue son boule qui me procure des sensations exaltantes. Si je suis bien faible sur une chose c'est quand je laisse l'autre s'enculer sur moi car je n'arrive pas à contrôler et en quelques secondes bien placées, tout peut se terminer. Je reprends donc plus ou moins le contrôle pour ne pas me finir de suite. Je décide de changer de position maintenant qu'il s'est habitué.
Je me redresse et l'embrasse passionnément. Il commence à se mettre à quatre pattes mais je viens retrouver sa bouche et son visage avec un certain sérieux dans mon ivresse. Je souris en lui disant que jamais je coucherai avec un mec qui fait sa première fois dans cette position. Elle représente pour moi une position sexuelle assez animale et je ne veux pas regarder dans la même direction que lui. Je veux qu'il me regarde lui faire l'amour tout comme je veux le regarder gémir lorsque je suis en lui. Je le place alors sur le dos et place un coussin sous son bassin. J'écarte ses jambes et vient d'abord l'embrasser à nouveau avant de lui présenter ma queue. Je lui parle en lui susurrant à l'oreille que je vais lui faire l'amour comme jamais et il m'encourage à me pénétrer. Je pousse alors pour me replacer bien au fond de lui et prend un rythme lent et profond. Nos bouches ne se quittent pas et dans un mouvement passionné, je viens prendre ses mains pour les placer au-dessus de lui. Je contrôle à la force de mon bassin et alors que j'ai ma tête enfouie dans son cou, je l'entends me dire qu'il adore ça.
Je me redresse pour plus d'amplitude et lève ses jambes tout en accélérant un peu le rythme. Je l'encule à coups rapides et je le vois perdre le contrôle. Il laisse échapper un gémissement un peu trop fort et dans la surprise, je me laisse tomber sur lui pour mettre ma main sur sa bouche. Sauf que tout ça m'a grave excité en même temps. Je sens que je vais venir d'une seconde à l'autre et je décide d'y mettre tout ce que j'avais et je lui bourre le cul à coup de rein jusqu'aux spasmes de l'orgasme. Je l'entends gémir dans ma main et lorsque le premier jet sort, je lui assène un coup bien profond en écrasant ma tête dans son cou pour gémir sourdement. C'est tellement bon. Je lui retire ma main et je l'entends reprendre sa respiration. Je continue en mode automatique deux trois allers retours avant de me reposer sur lui complètement, toujours en lui.
Une bonne trentaine de secondes me sont nécessaires pour m'en remettre et je finis par me retirer. Ma queue est en demie-molle et je retire la capote pour la mettre dans la poubelle au pied du lit. Je me replace contre Antoine qui est toujours dans ses états. Je prends sa queue en main qui est en demie-molle et la masturbe jusqu'à ce qu'elle retrouve sa dureté. Je m'approche de sa bouche pour l'embrasser et continue de le branler jusqu'à ce que des spasmes s'emparent de lui et dispersent son jus sur tout son corps. Il repart en extase et redescendra après un petit temps. On s'embrasse alors et je le remercie pour ce moment. Il sourit en me disant que c'est lui me remercie pour lui avoir fait l'amour de cette manière. Il dit avoir rarement kiffé de coucher avec quelqu'un comme ça.
Après avoir récupérer un peu d'énergie, je le laisse partir se doucher avant d'y aller à mon tour. Lorsque je sors de la salle de bain, il est dans mon lit sous la couverture sur le ventre. Je le rejoins en me glissant dans les draps et en venant l'enlacer par derrière. Il montre sa réceptivité en frottant ses fesses contre moi. Je sens que je vais bander toute la nuit si je dors à poil avec lui dans cette position. Mais ce n'est pas grave car je kiffe trop et de toute façon le jour se lève dans quelques heures. Il se retourne au bout de quelques minutes et vient placer son visage contre le mien et me dit :
« Sérieusement, merci pour ce moment. C'était génial… »
Ma bouche vient rejoindre la sienne comme réponse et après des câlins et des bisous, on s'endort l'un contre l'autre dans ce lit une place qui nous oblige à être collés à mon plus grand bonheur.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ninemark
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...