INTERNET MENE A TOUT
Récit érotique écrit par Humoureux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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INTERNET MENE A TOUT
Nous avions dialogué à plusieurs reprises sur meetic. Nous avions échangé nos photos. Son profil me convenait admirablement. Certes, elle habitait en province, près de Tours, mais sa photo était tellement séduisante que, lorsque Elisabeth me proposa de la rejoindre pour le week-end, je n’hésitais pas un seul instant. Sur l’autoroute, je revoyais la photo d'une jolie blonde, mince, élancée, au sourire timide et je me disais, qu'au pire, je passerais un week-end , dans une région touristique, au bras d'une fille de classe.
Quelle ne fut pas ma surprise, après avoir sonné à la porte d' Elisabeth, de voir m'ouvrir une fille haute d'au moins 1m80, 90 kg bien tassés, élégamment coiffée, certes et avec un grand sourire, ce qui ne gâtait rien. Mais quand même .....
Une fois les civilités échangées, et alors qu'elle ouvrait une bouteille de champagne dans son salon très cosy, elle me dit que j'avais dû être surpris de la non concordance avec la photo , mais que si elle avait mis une photo récente, je ne me serais certainement pas déplacé. Je bafouillais que non, mais cela ne l'avait point convaincue. Elle s'empressa d'ajouter que, malgré ou grâce à ses rondeurs, c'était une femme extrêmement sensuelle, qu'elle m'en ferait sans problème la démonstration et que si elle ne me plaisait toujours pas, la chambre d'amis était à ma disposition .... À moins que je ne préfère retourner à Paris
Foutu pour foutou, je me décidais de rester ! Tout en renouvelant le champagne dans ma coupe, Elisabeth profitait de me servir des canapés au foie gras et au vrai caviar pour s'approcher de moi.Au bout de quelques minutes, nous étions tous les deux sur le canapé Roche Bobois, ma foi très confortable.
Elisabeth avait revêtu un pull en mohair noir qui laissait deviner une poitrine abondante sous un soutien-gorge que j'estimais être un bon 105 D. Moi qui avais eu une maîtresse "mesurant" péniblement un 85A !!!
Une jupe écossaise prolongeait le pull et débouchait sur des jambes gainées dans des bas de soie noirs. J'espérais le porte-jarretelles en complément et ne fut point déçu. J'avais déjà estimé, au vu de son visage et de ses mains, qu'Elisabeth devait avoir une peau douce et soyeuse.
Le champagne aidant, je m'enhardis et glissais ma main droite sous son pull, dans le dos. Elisabeth me gratifia d'un sourire d'acceptation et je sentis en effet une peau chaude, sensuelle, que le contact de ma main ne laissait pas insensible.
J'étais un peu gêné que mon sexe réagisse si vite à une telle sensualité. Elisabeth s"en aperçut et approcha délicatement sa main gauche sur la bosse naissante au bas de mon pantalon
Ce fut l'électro choc. Nous nous embrassâmes d'abord avec délicatesse, puis je sentis une énorme langue pénétrer profondément ma bouche.Très rapidement, je me retrouvais chevauché sur le canapé par mon hôtesse qui, profitant de la domination, enleva subrepticement son pull. Je n'eus que le temps de découvrir un superbe soutien-gorge noir de qualité. Elle se précipita à nouveau goulûment sur ma bouche et j'en profitais pour lui dégrafer le soutien gorge. Je ne fus pas déçu de la manoeuvre car apparurent deux superbe seins, bien fermes, aux auréoles larges, au centre desquelles deux énormes tétons rouges foncés pointaient vers moi.
Elisabeth profitait de la situation pour se frotter hardiment sur mon sexe en érection. Je craignais qu'une telle excitation violente ne me fasse jouir précocement. Mon hôtesse eut alors la délicatesse de descendre du canapé, de me déchausser, m'enlever le pantalon avec élégance et estimer ce qui pointait sous mon boxer.
Profitant du blues, en musique de fond, elle poursuivit son déshabillage, dégrafant habilement sa jupe qu'elle laissa tomber au sol. Je découvris alors un corps bien proportionné, habillé de sous-vêtements noirs de classe : un porte jarretelles, un mini slip qui s’éclipsa alors que, dans un tourbillon, Elisabeth me tournait le dos.
Lorsque cette superbe créature se retourna, je vis arriver sur moi, sans coup férir, deux grandes lèvres pendantes, percées de deux anneaux en argent, que la sécrétion du sexe rendait encore plus brillants sous les lumières tamisées. Ne me laissant guère le temps de réfléchir et de reprendre mes esprits, Elisabeth me coucha sur le sofa, se mit à nouveau à cheval sur moi et vint porter ses lèvres humides sur ma bouche : elles te font envie, n'est ce pas ? hé bien , suce les…
A l’évidence, c’était une dominatrice !
A voir mon visage, elle avait bien compris combien j'appréciais le contexte et que je ne risquais pas de l'abandonner en si bon chemin. Elle fit une brève pause, tout en continuant de me chevaucher, s'empara des deux coupes de champagne qu'elle remplit à ras bords et nous bûmes goulûment. Elle se retourna alors, vint à nouveau s'asseoir sur ma bouche et elle entreprit de m'enlever le boxer noir, avec quelques difficultés, tant je bandais.
Afin de calmer un peu mon érection, elle prit la bouteille de champagne et m'arrosa longuement le sexe. Puis elle se redressa fortement et entreprit de boire à même la bouteille. Dans ce mouvement, elle vint à nouveau peser sur mon visage quelque peu douloureux, surtout à cause des deux anneaux en piercing sur ses lèvres. Je ne pouvais plus respirer, difficilement au demeurant, que par le nez qui voisinait avec sa petite rose. J'aurais pu craindre le pire, mais elle avait eu la délicatesse de parfumer ce charmant endroit que je voyais se dilater allègrement et grossir, virant du rose au rouge violacé. A l'évidence, je me ferais un immense plaisir d'explorer cette autre voie en son temps.
La bouteille vidée, Elisabeth relâcha la pression sur mon visage et entreprit de descendre progressivement le long de mon corps transpirant jusqu'à mon sexe. J'en profitais pour lui passer la langue sur ses lèvres, remonter sur son clitoris en pleine érection au milieu d'une toison abondante, mais soigneusement entretenue. Après avoir titillé et mordillé son clitoris je revins longuement sur ses lèvres et en profitais pour sucer les deux anneaux dans ma bouche et tirer un coup sec comme pour les avaler, ce qui lui arrachèrent un cri et un orgasme que je ne suis pas prêt d'oublier. Je pensais qu'elle devait apprécier les jeux sado maso et ce n’était pas pour me déplaire.
Mon visage couvert de sa jouissance, son corps en chaleur dégageait une odeur enivrante.
Je sentis alors sa bouche prendre mon sexe à plein jusqu'aux testicules qu'elle avait entre temps pris en mains et qu'elle serra soudain avec violence. Voulait-elle se venger de l'avoir faite jouir dans la douleur ? Toujours est-il que, très vite, je me mis à jouir dans sa bouche. Elle lapa mon sexe longuement afin de ne rien perdre de ma semence qui avait véritablement explosé. Une fois mon sexe revenu au repos, elle releva la tête et se gargarisa avec ma semence. Puis elle se retourna et vint m'embrasser goulûment, profondément ce qui nous permit d’échanger nos propres jouissances
A suivre .......
Quelle ne fut pas ma surprise, après avoir sonné à la porte d' Elisabeth, de voir m'ouvrir une fille haute d'au moins 1m80, 90 kg bien tassés, élégamment coiffée, certes et avec un grand sourire, ce qui ne gâtait rien. Mais quand même .....
Une fois les civilités échangées, et alors qu'elle ouvrait une bouteille de champagne dans son salon très cosy, elle me dit que j'avais dû être surpris de la non concordance avec la photo , mais que si elle avait mis une photo récente, je ne me serais certainement pas déplacé. Je bafouillais que non, mais cela ne l'avait point convaincue. Elle s'empressa d'ajouter que, malgré ou grâce à ses rondeurs, c'était une femme extrêmement sensuelle, qu'elle m'en ferait sans problème la démonstration et que si elle ne me plaisait toujours pas, la chambre d'amis était à ma disposition .... À moins que je ne préfère retourner à Paris
Foutu pour foutou, je me décidais de rester ! Tout en renouvelant le champagne dans ma coupe, Elisabeth profitait de me servir des canapés au foie gras et au vrai caviar pour s'approcher de moi.Au bout de quelques minutes, nous étions tous les deux sur le canapé Roche Bobois, ma foi très confortable.
Elisabeth avait revêtu un pull en mohair noir qui laissait deviner une poitrine abondante sous un soutien-gorge que j'estimais être un bon 105 D. Moi qui avais eu une maîtresse "mesurant" péniblement un 85A !!!
Une jupe écossaise prolongeait le pull et débouchait sur des jambes gainées dans des bas de soie noirs. J'espérais le porte-jarretelles en complément et ne fut point déçu. J'avais déjà estimé, au vu de son visage et de ses mains, qu'Elisabeth devait avoir une peau douce et soyeuse.
Le champagne aidant, je m'enhardis et glissais ma main droite sous son pull, dans le dos. Elisabeth me gratifia d'un sourire d'acceptation et je sentis en effet une peau chaude, sensuelle, que le contact de ma main ne laissait pas insensible.
J'étais un peu gêné que mon sexe réagisse si vite à une telle sensualité. Elisabeth s"en aperçut et approcha délicatement sa main gauche sur la bosse naissante au bas de mon pantalon
Ce fut l'électro choc. Nous nous embrassâmes d'abord avec délicatesse, puis je sentis une énorme langue pénétrer profondément ma bouche.Très rapidement, je me retrouvais chevauché sur le canapé par mon hôtesse qui, profitant de la domination, enleva subrepticement son pull. Je n'eus que le temps de découvrir un superbe soutien-gorge noir de qualité. Elle se précipita à nouveau goulûment sur ma bouche et j'en profitais pour lui dégrafer le soutien gorge. Je ne fus pas déçu de la manoeuvre car apparurent deux superbe seins, bien fermes, aux auréoles larges, au centre desquelles deux énormes tétons rouges foncés pointaient vers moi.
Elisabeth profitait de la situation pour se frotter hardiment sur mon sexe en érection. Je craignais qu'une telle excitation violente ne me fasse jouir précocement. Mon hôtesse eut alors la délicatesse de descendre du canapé, de me déchausser, m'enlever le pantalon avec élégance et estimer ce qui pointait sous mon boxer.
Profitant du blues, en musique de fond, elle poursuivit son déshabillage, dégrafant habilement sa jupe qu'elle laissa tomber au sol. Je découvris alors un corps bien proportionné, habillé de sous-vêtements noirs de classe : un porte jarretelles, un mini slip qui s’éclipsa alors que, dans un tourbillon, Elisabeth me tournait le dos.
Lorsque cette superbe créature se retourna, je vis arriver sur moi, sans coup férir, deux grandes lèvres pendantes, percées de deux anneaux en argent, que la sécrétion du sexe rendait encore plus brillants sous les lumières tamisées. Ne me laissant guère le temps de réfléchir et de reprendre mes esprits, Elisabeth me coucha sur le sofa, se mit à nouveau à cheval sur moi et vint porter ses lèvres humides sur ma bouche : elles te font envie, n'est ce pas ? hé bien , suce les…
A l’évidence, c’était une dominatrice !
A voir mon visage, elle avait bien compris combien j'appréciais le contexte et que je ne risquais pas de l'abandonner en si bon chemin. Elle fit une brève pause, tout en continuant de me chevaucher, s'empara des deux coupes de champagne qu'elle remplit à ras bords et nous bûmes goulûment. Elle se retourna alors, vint à nouveau s'asseoir sur ma bouche et elle entreprit de m'enlever le boxer noir, avec quelques difficultés, tant je bandais.
Afin de calmer un peu mon érection, elle prit la bouteille de champagne et m'arrosa longuement le sexe. Puis elle se redressa fortement et entreprit de boire à même la bouteille. Dans ce mouvement, elle vint à nouveau peser sur mon visage quelque peu douloureux, surtout à cause des deux anneaux en piercing sur ses lèvres. Je ne pouvais plus respirer, difficilement au demeurant, que par le nez qui voisinait avec sa petite rose. J'aurais pu craindre le pire, mais elle avait eu la délicatesse de parfumer ce charmant endroit que je voyais se dilater allègrement et grossir, virant du rose au rouge violacé. A l'évidence, je me ferais un immense plaisir d'explorer cette autre voie en son temps.
La bouteille vidée, Elisabeth relâcha la pression sur mon visage et entreprit de descendre progressivement le long de mon corps transpirant jusqu'à mon sexe. J'en profitais pour lui passer la langue sur ses lèvres, remonter sur son clitoris en pleine érection au milieu d'une toison abondante, mais soigneusement entretenue. Après avoir titillé et mordillé son clitoris je revins longuement sur ses lèvres et en profitais pour sucer les deux anneaux dans ma bouche et tirer un coup sec comme pour les avaler, ce qui lui arrachèrent un cri et un orgasme que je ne suis pas prêt d'oublier. Je pensais qu'elle devait apprécier les jeux sado maso et ce n’était pas pour me déplaire.
Mon visage couvert de sa jouissance, son corps en chaleur dégageait une odeur enivrante.
Je sentis alors sa bouche prendre mon sexe à plein jusqu'aux testicules qu'elle avait entre temps pris en mains et qu'elle serra soudain avec violence. Voulait-elle se venger de l'avoir faite jouir dans la douleur ? Toujours est-il que, très vite, je me mis à jouir dans sa bouche. Elle lapa mon sexe longuement afin de ne rien perdre de ma semence qui avait véritablement explosé. Une fois mon sexe revenu au repos, elle releva la tête et se gargarisa avec ma semence. Puis elle se retourna et vint m'embrasser goulûment, profondément ce qui nous permit d’échanger nos propres jouissances
A suivre .......
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