Isidore, le jardinier antillais 2. Mon amant black m'offre en cadeau à ses copains.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Isidore, le jardinier antillais 2. Mon amant black m'offre en cadeau à ses copains.
D'abord, je m'excuse pour la longueur de ce texte.
Comme j'en parlais dans le premier récit de mon travail dans une ile, Isidore doit fêter son anniversaire dans 4 jours.
Ce soir là, il est revenu après le travail et le diner, pour m'emmener dans un endroit tranquille, près de l'eau, afin de discuter.
Il me parle de son anniversaire et me demande si je suis prêt à lui offrir un cadeau, en ces termes:"Tu regrettes pas d'avoir baisé avec moi?".
"Pas du tout, tu le sais, au contraire, au début, j'ai eu peur que Karim nous voit, c'est tout! Personne ne sait que je suis une salope! A part ceux qui m'ont enculé et ma femme, qui l'accepte très bien!".
"C'est bien! Donc tu peux me faire plaisir pour mon anniversaire!".
"Bien sûr, si je peux, qu'est-ce que tu veux?".
"Je le fête Samedi chez moi, mais on va faire croire à Karim que je le fête Vendredi, et que je t'invite parce qu'on est amis!".
"OK, mais c'est pas ça le cadeau?".
"Non, je veux t'emmener dans un coin, ou les hommes comme nous cherchent des salopes a baiser! Je veux te montrer à mes copains!".
"Ca veux dire que tu veux que je me fasse baiser par tes amis!".
"Oui, ça me rend fier, j'adore ça! Tu peux me faire ce cadeau?".
"Ben... ok! J'espère que je vais assurer! C'est où?".
"A un quart d'heure environ, au bord de la plage, dans un petit endroit entre les rochers et les palmiers, ils vont t'adorer, ils baisent pas souvent des culs blancs".
Il ajoute:"Maximilien va venir, il t'adore lui aussi, quand j'ai eu cette idée, il était content! Je lui ai aussi montré les photos qu'on a fait, ça l'a excité et il bandait fort! Du coup, il est allé là bas pour se faire sucer par un pédé hindou".
Il continue:"Il m'a appelé ce matin, il m'a dit que c'était pas aussi bon qu'avec toi! Il..., il... oh c'est bon ça, oui... manges moi la queue... mmmmm!".
Ma gorge est remplie de son magnifique pieu, ma main est posée sur ses couilles.
Je prend appui sur elles depuis qu'il a entamé son monologue, en faisant coulisser ma bouche écartelée par sa grosse bite.
"Ahhh, oui, je t'adore, t'es ma belle salope blanche, encore... ne t'arrêtes pas! Mon bébé".
Je me pénètre profondément à l'extrême, j'essaie de faire entrer le plus loin possible, son gland dans ma gorge.
Je suffoque en toussant de la salive, sa bite est trempée.
"Arhhh, j'adore, tu me manges bien! Encore!".
Je recommence de nombreuses fois, j'aime sa bite et ferai tout pour le plaisir d'Isidore.
Il me relève le visage et m'ôte mon Tee-Shirt, puis baisse mon short et mon slip.
"Enlèves tes sandales!".
Il se met nu, puis me soulève face et contre lui. Je passe mes mains autour de son cou, il me tient par le dessous des fesses, puis laisse redescendre mon corps, afin de m'empaler analement.
"Arhhhhhhhhhhhh, Isidore, c'est bonnnnnnnnnnn!".
Il penche son visage, je comprends qu'il attend ma bouche, je l'embrasse goulument pendant qu'il me baise profondément.
Il se déplace en me baisant, jusqu'à entrer dans la mer.
La sensation est très agréable, l'eau est à une température idéale, et j'aime recevoir ses assauts sous l'eau.
Il quitte mes lèvres.
"J'ai toujours eu envie de baiser dans la mer, je suis content de le faire avec toi!".
Il m'embrasse à nouveau, j'ai un orgasme anal en gémissant dans sa bouche.
Puis, il remonte vers le bord, en me couchant sur le sable, pour m'enculer sans précipitation.
Les vagues viennent nous caresser, ses mains se font câlines et ses assauts plus puissants.
Je profite qu'il éloigne sa bouche de la mienne pour râler mon nouvel orgasme.
"Oh, Patrick, ma petite salope! Je t'adore trop! Tu me rend fou!".
"Arhhhhhhhh, Isidore, arrêtes! tu me baises plus là, tu me fais l'amour! Arrrrrrrrhhhhhhh".
"Tu aimes pas?".
"Si, mais, arhhhhhhh, je joui, arhhhhhhhhh, oh, zut, t'as raison continue! c'est trop bon, arhhhhhh!".
"Je veux que tu saches comme je suis fou de toi! T'es mon bébé! Et je veux que tu m'appelles chéri devant les autres!".
"Arhhhhh, oui, chéri, je te demande pardon!".
"Pourquoi?".
"J'aurai du me laisser faire plus tôt, on aurai eu plus de temps pour baiser!".
"C'est pas grave, on va profiter le plus possible, ohhh, mmmmm, je vais gicler mon jus! Bébé!".
"Arhhhrrrrrr, oui viens Isidore... euh... chéri, ou tu veux! J'aime tellement ton lait chaud!".
Il se retire et vient se masturber entre mes lèvres, en râlant son plaisir.
Après un long moment d'enlacement, il me soulève par le bras et m'attire dans l'eau qui nous lave pendant qu'on s'embrasse.
"J'ai adoré, ç'était bon de te faire l'amour! Ca t'as pas plu?".
"Si, mais c'était pas le deal, je pensai qu'il y aurai pas de sentiment entre nous!".
"Fais pas attention à ça, c'est mon problème! Je gère!".
"T'es sûr? Je veux pas te faire de mal! Je suis désolé, j'arrive pas à avoir de sentiments avec un homme".
Il me ramène à la maison du client, Karim dort depuis un moment.
Je suis content de ma journée, Isidore m'a baisé à 3 reprises, et je ne m'en lasse pas.
Lorsque le Vendredi arrive, il est tout heureux dès le matin, il veut ma bouche dès la première heure, par chance Karim est allé acheter du pain pour le petit déjeuner.
Donc Isidore m'offre son sperme, alors que je lui procure sa première éjaculation matinale.
En avalant, je lui dit:"Grllppp, bon anniversaire! Isidore!".
"Merci, Bébé, t'es ma salope adorée!".
On convient que l'après-midi sera sans sexe, afin de nous réserver pour le soir.
Pendant un pause, il me parle de l'homosexualité sur l'ile qui est un tabou hypocrite, d'après lui.
Beaucoup d'hommes se marient pour masquer leurs penchants, en pratiquant une double vie cachée.
Vers 20 h, il revient me chercher avec Maximilien, qui me demande de monter derrière avec lui.
"Je peux un peu profiter de Patrick, Isidore?" demande Maximilien.
"Bien sûr mon frère, allez mon bébé, fais lui plaisir!".
Ce nouveau petit nom, me trouble un peu, mais je trouve que mon amant est touchant avec ses attentions affectives.
Maximilien a sorti son gros membre en baissant son short à ses pieds.
J'écartèle mes lèvres pour l'englober, puis lui offre le même traitement buccal qu'à Isidore.
"Mmmm, oh là là, elle me mange bien le boudin, ta salope, mon frère!".
"Tu l'adores toi aussi! On va le prêter aux copains de la plage! Ils vont être jaloux! Tu verras!".
Je passe tout le trajet en me défonçant la gorge et en couvrant de salive la bite de Maximilien.
Lorsque la voiture s'arrête, je redresse la tête et vois de nombreux véhicules garés.
On sort, je souri en voyant Maximilien qui a du mal à cacher son érection.
Je les suis, jusqu'à la plage, nous marchons vers une crique éloignée, puis nous passons une avancée de rochers, pour déboucher sur une petite plage de sable fin.
La lune éclaire l'endroit, quelques hommes marchent, d'autres surgissent des arbres.
Beaucoup sont nus.
J'entend des gémissements, un black se fait sucer par un autre un peu éffeminé.
Isidore et Maximilien me déshabillent entièrement, en faisant la même chose ensuite.
"Euh, Isidore!".
"Chuut Bébé, laisses toi faire, penses à mon cadeau! En plus, t'as pas chaud?".
Il m'appui sur le crâne pour me baisser sur la bite de Maximilien, puis se baisse pour me faire un anulingus appuyé et profond.
Une main me caresse le dos.
"C'est ta salope? Isidore? Quelle chance! Ou tu l'as trouvée?".
Maximilien me soulève le visage pour m'attirer vers une autre bite noire.
Alors les évènements s'enchainent, les membres d'ébènes se présentent devant ma bouche. Une queue que je pense appartenir à Isidore m'encule profondément.
Des éclairs illuminent la scène, c'est Isidore qui immortalise ma partouze avec son appareil photo.
Donc, c'est un inconnu qui me casse l'anus avec puissance, je prends mon premier orgasme anal.
"Arhhhhhhhhhhh, oui, encules-moi fort comme ça ouiiiiiiiiii! Chéri, il m'encule bien!".
"Mmmm, elle est bonne ta petite salope blanche, Isidore!".
"Je sais Martin, fais le jouir encore!".
Le groupe d'antillais, se bat pour me baiser la bouche, les queues sont toutes aussi différents que belles.
Des larges, des fines, des longues et plus courtes.
"Soulevez-le! Attrapez lui les jambes et les bras, je vais l'enculer comme ça!".
Je me retrouve à un mètre du sable, avec la tête relevée et empalée sur une bite d'ébène, cambré par mon propre poids et les cuisses écartées pendant que Martin me déchire le cul.
Après 5 minutes de ce délicieux traitement anal qui me fait jouir puissamment, Martin s'allonge sur le sable.
Les hommes m'empalent sur lui, puis m'entourent en m'offrant leurs membres à sucer.
"Martin, dépêches-toi, on veux le baiser nous aussi!".
Isidore lui réponds:"Ne sois pas pressé Joël, on a le temps!".
Je regarde les mensurations de Joël, puis demande à Isidore:"Chéri, je peux faire ce que je veux?".
"Bien sûr, mon bébé!".
"Alors dis à Joël de m'enculer en même temps que Martin! J'en ai envie".
"Ah, ouais, carrément! putain, ça m'excites, je peux Isidore?".
"Oui, je veux voir ça, moi aussi! T'es génial Bébé!".
Le gland de Joël se sert de la bite de Martin comme guide pour forcer mon œillet.
Je sens sa pression sur mon anus en même temps que ses mains s'accrochent au dessus de mes hanches.
"Arhhh, c'est gros, arhhhhhh, ne t'arrêtes pas, Joël!".
"Pour ça! tu peux compter sur moi, tu vas l'avoir dans le cul mon bâton!".
"Arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhh, ça y est, arhhhhhhhhhh, oui, jusqu'au fond! Arhhhhhhhhhh!".
Je suis délicieusement écartelé, leurs deux queues me comblent parfaitement l'anus.
Néanmoins, ils mettent un certain temps à caler leur rythmes.
C'est quand l'un s'enfonce pendant que l'autre sort que j'ai un orgasme anal sans fin. Mais je ne peux crier avec les deux membres dans ma bouche.
Il m'enculent avec soin pendant un long moment, je veux râler mais seul un bruit bizarre s'échappe de mes lèvres:"Mmmmmuhhhhhhhhhhhhhh, mmmmuhhhhhhhhhhhhhh, mmmmuhhhhhhhhhhhhhh".
"Mmmm, ça y est! arggggggggggggghhhhhhhhhhhhh!".
Je reconnais la voix de Martin qui éjacule, il ne résiste pas à la pression de mon anus combinée à la masturbation de Joël sur sa bite.
Il me saisi par le bas du corps, pour se vider entièrement, j'aime entendre ses gémissements qui deviennent peu à peu des respirations très sonores.
"Ne bouges plus Martin, je vais juter moi aussi! Oh merde! Qu'est-ce que c'est bon!".
Il s'active énergiquement, puis deux minutes après:"Tiens salope! Ahhhh! Ahhhh! Ahhhh! ! Ahhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!".
Je l'accompagne dans son orgasme en râlant comme je peux.
Joël prend un petit moment pour retrouver sa lucidité, puis se retire prudemment, il aide Martin à se dégager de mon corps.
Isidore passe son appareil à Martin et il s'allonge sous moi pour me pénétrer.
En s'enfonçant, il me dit:"Je t'aime mon bébé!".
"Grlllpp, mmmm, grlllp, ahhhh, Merci (j'hésite, puis décide de jouer son jeu du couple uni en lui répondant:) mon amour!".
Un autre antillais que je suçais, décide de l'accompagner dans mon cul.
"Ouuhhhhhhhhhhhhhh, putain, vous me cassez le cul! Arhhhhhhhhh!".
Son sexe est plus court que celui de Joël, mais il est plus dur et plus large.
Isidore profite d'un moment ou je respire pour m'attirer vers sa bouche pour m'embrasser.
Son complice me défonce comme une pute en me claquant les fesses et en m'insultant de salope, pute blanche etc...
Nos lèvres se séparent, je râle mon plaisir un court instant, puis je suis de nouveau comblé par la bite de Maximilien.
Il me baise en gorge profonde, un long moment, puis laisse ma gorge aux quatre autres antillais.
Isidore émet un souhait:"Donner lui votre jus aussi, il adore boire le foutre!".
Celui qui m'encule avec Isidore, sort alors en se serrant fermement la queue pour venir entre les autres devant moi.
Ils s'écartent et l'homme m'empale le visage sur son membre, pour éjaculer.
Je sens les secousses dans son conduit urinaire, son sperme est délicieux, j'aime son gout salé et épais.
En même temps que j'avale avec bonheur, un autre le remplace dans mon anus.
Il est plus fin mais plus long que le précédent, Isidore le laisse s'affairer en moi. Il dit aux autres:"Branlez vous avec son cul, vous allez lui jutez sur la gueule en même temps! Bébé mets toi dans l'autre sens!".
Ils se retirent tous les deux, puis je m'empale à nouveau en tournant le dos à mon amant.
L'autre antillais revient m'enculer à fond, son bas ventre secoue mes couilles en me défonçant.
Je me soulève sur mes mains pour offrir ma bouche aux autres qui se masturbent.
Isidore me soutient pour m'aider.
"Arhhhhhhhhh, arhhhhhhhhh, chéri, il va me faire gicler, je... suis... désolé...".
J'inonde mon ventre comme une femme fontaine au rythme des à-coups dans mon cul.
L'homme se retire et laisse sa place. Les antillais se succèdent en me faisant m'inonder moi-même et gueuler d'orgasme anal.
Le sperme du premier commence à me couvrir le visage, un autre se vide au dessus de ma gorge ouverte.
Je suis rempli d'excitation, les hommes gémissent de plaisir en se vidant de leurs jus.
Le suivant me baise un peu la bouche, puis s'éloigne pour m'arroser à son tour.
Il râle longuement, son foutre est épais et chaud, le vicieux me couvre les yeux entièrement.
Puis celui qui m'encule en même temps qu'Isidore vient ajouter son sperme aux autres.
Il gémit en se terminant entre mes lèvres.
Maximilien, se calle contre la queue d'Isidore.
"Maximilien! Non, tu es trop gros, c'est trop avec Isidore! Arhhhhhhhhhhh".
Contre toute attente, il parvient à s'introduire en moi.
J'ai un sentiment d'écartèlement extrême.
"Arrrrrrrrrrrrrhhhhhh, vous me déchirez le cul, salauds! Ahhrrrrrrrrrrrr".
"Arrêtes salope, t'adore ça!".
Isidore ajoute:"Il a raison mon bébé, tu adores ça et c'est toi qui l'a voulu!".
Maximilien me casse l'anus sans vergogne, il se déchaine comme une brute.
Son gland qui appuie fortement sur ma prostate me fait bander fermement.
Leur défonce anale simultanée me fait orgasmer, puis sentant monter mon éjaculation, je râle en disant:"Ahhhhhhhh, mon amour vous me faites trop jouir, arhhhhhhhhhhhhhhh!".
J'éjacule sur mon ventre en jets abondants.
Maximilien s'excite en voyant mon foutre couler au rythme de ses assauts, il s'enfonce d'un grand coup en moi et m'accompagne dans l'orgasme. Je lance alors:"Ohhhhhhh, je vous aime, c'est trop bon! Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
"J'adore te baiser!" me dit Maximilien.
Il reste un petit instant puis, quitte mon anus. Il aide Isidore à se dégager, me laissant couché sur le sable.
Isidore revient entre mes cuisses pour m'enculer encore.
Il voit mon visage couvert de sperme, il sort de mon anus, et m'enfonce sa bite dans la gorge.
Un flash immortalise le moment, puis mon amant m'essuie avec sa bite pour m'obliger à le laver du foutre qu'il a récupéré.
Quand il estime que je suis présentable, il m'encule à nouveau et m'embrasse fougueusement.
Il me dit ensuite:"Je t'adore, t'as été génial, mon bébé!".
"Merci, mon amour, pour moi aussi, c'était un cadeau! maintenant, c'est à tour de jouir!".
Il me fait l'amour comme la veille, avec passion, les scènes qu'on vient de vivre lui reviennent et il explose dans mon cul sans discontinuer.
Il me serre fortement en jouissant profondément en moi, il me murmure à l'oreille.
"Je t'aime, mon bébé, ne m'en veux pas!".
Il me regarde tendrement en me caressant les cheveux.
Le contraste est surprenant entre le moment pervers qu'on a vécu et la tendresse qu'il me manifeste.
"Ne t'inquiètes pas, j'aime te donner ces moments, tu vas me manquer! tu le sais, je pense!".
On se lève un long moment après, pour aller plonger dans l'océan.
Il me frotte le visage pour me nettoyer du sperme qui a séché, puis passe sa main entre mes fesses pour faire de même avec mon anus.
Il me fait sourire, et je lui dis:"T'es adorable! Complètement dingue, mais adorable! Tu me fais déchirer le cul, tu m'offres en vide-couilles, et après tu me traites comme une poupée fragile, c'est fou!".
Maximilien s'impatiente sur la plage, on le rejoint, puis on se retire un peu pour discuter nus sur la plage.
La moitié des antillais qui ont usé de moi sont partis en nous remerciantPlus particulièrement Isidore pour m'avoir "prêté". Il est fier comme un coq.
Les arrivées de nouveaux hommes nous poussent à nous éloigner, on voit un jeune black se faire enculer par un autre antillais contre un arbre.
Il encaisse sans dire un mot, seul celui qui le baise gémit en éjaculant dans son cul. Je m'étonne, Isidore me réponds:"C'est pour ça aussi qu'on t'adore, t'es sensible du cul, c'est excitant de t'entendre jouir!".
Le temps passe à parler de l'homosexualité sur l'ile et de leurs expériences avec des hommes passifs.
Je leur raconte les miennes et ajoute celles que j'ai vécu avec ma femme en leur avouant mon penchant candauliste.
"Donc ta femme se fait peut-être baiser en ce moment!".
"J'espère, elle aurait tord de se priver! je fais pareil non?".
Un antillais imposant passe près de nous, nu comme nous, il exhibe une bite impressionnante en me fixant.
Isidore voit mon regard envieux.
"Tu la veux, mon bébé? Elle te plait?".
"Tu... euh... je... sais pas..., j'ai déjà bien joui, mais...c'est vrai qu'elle me donne envie! Je peux?".
Il interpelle l'homme qui revient vers nous.
Isidore lui dit:"Tu t'appelles comment?""Philippe!".
"Il te plait mon copain zoreilles?".
Il me regarde avec envie et réponds:"Beaucoup!""Il a envie de toi lui aussi, tu peux le baiser, si tu veux!".
"Hummm, c'est gentil ça! Ca fait longtemps que j'ai pas défoncé un petit cul de zoreilles!".
Maximilien fait signe à deux autres antillais, puis il leur demande s'il veulent se faire sucer.
Philippe me colle à lui, puis me tourne.
Il se place derrière moi, son gros gland touche mon œillet, il demande:"Tu la veux ma grosse bite?".
"Oui, défonces-moi!".
Il fait quelques mouvements qui stimule mon anus, en faisant sortir un afflux de muqueuses anales.
D'un coup, grâce à mon lubrifiant naturel, son énorme pieu me pénètre en m'écartelant l'anus.
"Arhhhhhhhhhhhhhh, Isidore, c'est... oh putain, c'est bon!"Isidore et Maximilien se masturbent en nous regardant baiser.
Les deux autres s'approchent j'attrape leurs queues d'ébènes en les masturbant doucement.
La pénétration de Philippe est trop forte pour que je puisse m'occuper d'eux avec ma bouche.
L'hypersensibilité causée par les assauts, il y a moins d'une heure avant, par les autres antillais me fait très vite monter à l'orgasme.
Je me plie pour sucer les queues devant moi, secoué par Philippe.
"Je peux?" demande Isidore.
"Pas le visage!".
Mon amant immortalise en gros plan, ma défonce anale, puis ma double fellation.
Au bout d'une bonne dizaine de minutes, Philippe me pénètre de plus en plus fort.
Je me remet à inonder le sable de mon liquide clair comme une femme fontaine à chaque enfoncement.
"Elle est bonne ta salope, man!".
"Continues Philippe, il a l'air d'aimer ça!".
"Arhhhhhhhhh, oui, j'adore! déchires-moi, oui! Merci mon amour!".
Mes écoulements de cyprine masculine ne cessent de couler à chaque assauts.
Un premier antillais me tient le visage droit devant sa queue, puis éjacule son foutre dans ma bouche ouverte.
"Ahhhhhhhhh, qu'elle pute! Man!".
Il gémit aussi longtemps qu'il se déverse dans ma gorge.
Il me regarde dans les yeux, j'avale son lait chaud, il me fait un grand sourire.
"J'adore cette pute!". dit il à Isidore.
L'autre revient dans ma bouche et l'imite quelques minutes plus tard.
Je me régale encore de son plaisir chaud et salé.
Notre baise, avec Philippe dure encore presque une demi heure, dans une position de chienne avec le visage enfoui dans le sable et le cul cambré.
Il reprend un rythme éfréné, je n'ai plus la force de parler en jouissant, seul un râle infini sort de mes lèvres.
"Aaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh..................".
L'homme au sexe énorme sent venir son plaisir, il se couche sur moi en me collant, ventre au sol.
Puis il s'affole dans mon cul en râlant, il me rempli l'anus de son jus brulant sous le regard fier d'Isidore.
Je ne cesse de râler sous ses derniers assauts, nos gémissements se mêlent.
Il dépose un baiser sur ma joue droite, puis il me murmure:"Hummm, j'ai adoré! On peux se revoir?".
"Arhhhhh, demande à mon homme!".
"Ok, pas de souci, dommage, je t'aurai bien gardé pour moi!".
"Eh, euh...Philippe! Je vous entends! c'est ma salope, désolé man! Tu l'as baisé, c'est bien, non?".
"Oui, je plaisante! Vous venez souvent? Je l'ai jamais vu! ton petit zoreilles!".
"Il va partir! Tu as eu de la chance d'en profiter!".
"Ok, alors merci à vous, dommage quand même!".
L'homme se retire de mon cul en me laissant un énorme vide anal, puis il retrouve ses vêtements et se rhabille pour quitter la plage.
Isidore et Maximilien m'aident à me relever.
je retourne dans l'eau pour me nettoyer du sable sur mon ventre et mes jambes.
On se rhabille nous aussi, de nos Tee-Shirts et shorts, puis nous retournons à la voiture.
Maximilien demande à Isidore:"Mon frère, il faut que je me fasse sucer là, il m'a trop excité Patrick!".
"Ben, montez à l'arrière ensemble!".
Isidore ne démarre pas et nous laisse nous amuser encore tous les deux, je me met à bander, tant je prend du plaisir à sucer le gros boudin noir de Maximilien.
Il me faut plus de dix minutes pour l'entendre gémir et annoncer:"Ahhhh, mon frère, je lui donne mon lait là, arhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Au lieu de lui répondre, il pense à mon plaisir en me demandant:"Tu te régales, mon bébé?".
"Mmmmmmmmmm, glllpppppp, glllpppppp, glllpppppp, ahhh...glllpppppp, glllpppppp, mmmmoui mon amou...r, glllpppppp!".
Puis je reprend ma respiration et réponds plus clairement.
"Mmm, j'adore, je vous aime tous les deux, vous allez me manquer!".
On ramène Maximilien chez lui, Isidore se gare dans une allée sombre, puis passe à l'arrière.
Nous discutons de la soirée, de sa vie qu'il a de plus en plus de mal à vivre en hétéro basique.
"Mon bébé, je te remercie d'avoir joué le jeu devant mes amis, de m'appeler chéri et mon amour!""De rien, je te dois bien ça, je peux pas te donner plus, je suis désolé chéri!".
Il saisit mon visage et m'embrasse amoureusement, je sens son sexe en érection sous ma main.
Son téléphone sonne.
C'est le fameux Gérard qui lui demande s'il peut m'enculer encore une fois.
Je ne résiste pas de profiter qu'il est occupé pour m'empaler la bouche sur sa magnifique queue.
A sa dureté, je devine qu'il est surexcité, avant la fin de son appel, je reçois son éjaculation au fond de la gorge.
Je suis heureux qu'il jouisse aussi vite et aussi fort.
"Ahhhhhhhhhhhhhh, mon bébé, je t'aime, j'oublierai jamais ce que tu as fait pour moi!".
Je prend ses dernières effluves de sperme, puis remonte vers lui en lui disant:"Moi, non plus, j'oublierai jamais la nuit que tu m'as offert!, Tu as réalisé un fantasme pour moi!".
"Ah bon!".
"Bien sûr, en métropole, les blacks homos sont pas facile à trouver! J'espère que je leur ai plu!".
"Ils t'ont adoré! tu peux être sûr! Ils vont m'en reparler longtemps, mais j'ai les photos c'est déjà ça!".
"Bon, je tombe de sommeil, je vais aller me coucher, bon anniversaire pour demain, tu me ramènes et on se voit Lundi!".
"D'accord, mais si je peux me libérer Dimanche soir, ça te dit qu'on fasse l'amour sur la plage, comme hier?".
"Si tu veux chéri, euh... mon amour!".
Je veux le rendre heureux le plus longtemps possible, il m'a donné tant de bonheur sexuel, je lui doit bien ça!
Habituellement, je fuis les hommes qui s'attachent à moi, mais notre relation est trop entamée, et je sais qu'il n'y aura pas d'issue, autre que mon départ pour la France.
J'espère simplement qu'il ne soufrera pas trop de mon absence.
J'avoue, cependant, que je ressentais beaucoup de tendresse pour Isidore, mon merveilleux amant antillais.
Comme j'en parlais dans le premier récit de mon travail dans une ile, Isidore doit fêter son anniversaire dans 4 jours.
Ce soir là, il est revenu après le travail et le diner, pour m'emmener dans un endroit tranquille, près de l'eau, afin de discuter.
Il me parle de son anniversaire et me demande si je suis prêt à lui offrir un cadeau, en ces termes:"Tu regrettes pas d'avoir baisé avec moi?".
"Pas du tout, tu le sais, au contraire, au début, j'ai eu peur que Karim nous voit, c'est tout! Personne ne sait que je suis une salope! A part ceux qui m'ont enculé et ma femme, qui l'accepte très bien!".
"C'est bien! Donc tu peux me faire plaisir pour mon anniversaire!".
"Bien sûr, si je peux, qu'est-ce que tu veux?".
"Je le fête Samedi chez moi, mais on va faire croire à Karim que je le fête Vendredi, et que je t'invite parce qu'on est amis!".
"OK, mais c'est pas ça le cadeau?".
"Non, je veux t'emmener dans un coin, ou les hommes comme nous cherchent des salopes a baiser! Je veux te montrer à mes copains!".
"Ca veux dire que tu veux que je me fasse baiser par tes amis!".
"Oui, ça me rend fier, j'adore ça! Tu peux me faire ce cadeau?".
"Ben... ok! J'espère que je vais assurer! C'est où?".
"A un quart d'heure environ, au bord de la plage, dans un petit endroit entre les rochers et les palmiers, ils vont t'adorer, ils baisent pas souvent des culs blancs".
Il ajoute:"Maximilien va venir, il t'adore lui aussi, quand j'ai eu cette idée, il était content! Je lui ai aussi montré les photos qu'on a fait, ça l'a excité et il bandait fort! Du coup, il est allé là bas pour se faire sucer par un pédé hindou".
Il continue:"Il m'a appelé ce matin, il m'a dit que c'était pas aussi bon qu'avec toi! Il..., il... oh c'est bon ça, oui... manges moi la queue... mmmmm!".
Ma gorge est remplie de son magnifique pieu, ma main est posée sur ses couilles.
Je prend appui sur elles depuis qu'il a entamé son monologue, en faisant coulisser ma bouche écartelée par sa grosse bite.
"Ahhh, oui, je t'adore, t'es ma belle salope blanche, encore... ne t'arrêtes pas! Mon bébé".
Je me pénètre profondément à l'extrême, j'essaie de faire entrer le plus loin possible, son gland dans ma gorge.
Je suffoque en toussant de la salive, sa bite est trempée.
"Arhhh, j'adore, tu me manges bien! Encore!".
Je recommence de nombreuses fois, j'aime sa bite et ferai tout pour le plaisir d'Isidore.
Il me relève le visage et m'ôte mon Tee-Shirt, puis baisse mon short et mon slip.
"Enlèves tes sandales!".
Il se met nu, puis me soulève face et contre lui. Je passe mes mains autour de son cou, il me tient par le dessous des fesses, puis laisse redescendre mon corps, afin de m'empaler analement.
"Arhhhhhhhhhhhh, Isidore, c'est bonnnnnnnnnnn!".
Il penche son visage, je comprends qu'il attend ma bouche, je l'embrasse goulument pendant qu'il me baise profondément.
Il se déplace en me baisant, jusqu'à entrer dans la mer.
La sensation est très agréable, l'eau est à une température idéale, et j'aime recevoir ses assauts sous l'eau.
Il quitte mes lèvres.
"J'ai toujours eu envie de baiser dans la mer, je suis content de le faire avec toi!".
Il m'embrasse à nouveau, j'ai un orgasme anal en gémissant dans sa bouche.
Puis, il remonte vers le bord, en me couchant sur le sable, pour m'enculer sans précipitation.
Les vagues viennent nous caresser, ses mains se font câlines et ses assauts plus puissants.
Je profite qu'il éloigne sa bouche de la mienne pour râler mon nouvel orgasme.
"Oh, Patrick, ma petite salope! Je t'adore trop! Tu me rend fou!".
"Arhhhhhhhh, Isidore, arrêtes! tu me baises plus là, tu me fais l'amour! Arrrrrrrrhhhhhhh".
"Tu aimes pas?".
"Si, mais, arhhhhhhh, je joui, arhhhhhhhhh, oh, zut, t'as raison continue! c'est trop bon, arhhhhhh!".
"Je veux que tu saches comme je suis fou de toi! T'es mon bébé! Et je veux que tu m'appelles chéri devant les autres!".
"Arhhhhh, oui, chéri, je te demande pardon!".
"Pourquoi?".
"J'aurai du me laisser faire plus tôt, on aurai eu plus de temps pour baiser!".
"C'est pas grave, on va profiter le plus possible, ohhh, mmmmm, je vais gicler mon jus! Bébé!".
"Arhhhrrrrrr, oui viens Isidore... euh... chéri, ou tu veux! J'aime tellement ton lait chaud!".
Il se retire et vient se masturber entre mes lèvres, en râlant son plaisir.
Après un long moment d'enlacement, il me soulève par le bras et m'attire dans l'eau qui nous lave pendant qu'on s'embrasse.
"J'ai adoré, ç'était bon de te faire l'amour! Ca t'as pas plu?".
"Si, mais c'était pas le deal, je pensai qu'il y aurai pas de sentiment entre nous!".
"Fais pas attention à ça, c'est mon problème! Je gère!".
"T'es sûr? Je veux pas te faire de mal! Je suis désolé, j'arrive pas à avoir de sentiments avec un homme".
Il me ramène à la maison du client, Karim dort depuis un moment.
Je suis content de ma journée, Isidore m'a baisé à 3 reprises, et je ne m'en lasse pas.
Lorsque le Vendredi arrive, il est tout heureux dès le matin, il veut ma bouche dès la première heure, par chance Karim est allé acheter du pain pour le petit déjeuner.
Donc Isidore m'offre son sperme, alors que je lui procure sa première éjaculation matinale.
En avalant, je lui dit:"Grllppp, bon anniversaire! Isidore!".
"Merci, Bébé, t'es ma salope adorée!".
On convient que l'après-midi sera sans sexe, afin de nous réserver pour le soir.
Pendant un pause, il me parle de l'homosexualité sur l'ile qui est un tabou hypocrite, d'après lui.
Beaucoup d'hommes se marient pour masquer leurs penchants, en pratiquant une double vie cachée.
Vers 20 h, il revient me chercher avec Maximilien, qui me demande de monter derrière avec lui.
"Je peux un peu profiter de Patrick, Isidore?" demande Maximilien.
"Bien sûr mon frère, allez mon bébé, fais lui plaisir!".
Ce nouveau petit nom, me trouble un peu, mais je trouve que mon amant est touchant avec ses attentions affectives.
Maximilien a sorti son gros membre en baissant son short à ses pieds.
J'écartèle mes lèvres pour l'englober, puis lui offre le même traitement buccal qu'à Isidore.
"Mmmm, oh là là, elle me mange bien le boudin, ta salope, mon frère!".
"Tu l'adores toi aussi! On va le prêter aux copains de la plage! Ils vont être jaloux! Tu verras!".
Je passe tout le trajet en me défonçant la gorge et en couvrant de salive la bite de Maximilien.
Lorsque la voiture s'arrête, je redresse la tête et vois de nombreux véhicules garés.
On sort, je souri en voyant Maximilien qui a du mal à cacher son érection.
Je les suis, jusqu'à la plage, nous marchons vers une crique éloignée, puis nous passons une avancée de rochers, pour déboucher sur une petite plage de sable fin.
La lune éclaire l'endroit, quelques hommes marchent, d'autres surgissent des arbres.
Beaucoup sont nus.
J'entend des gémissements, un black se fait sucer par un autre un peu éffeminé.
Isidore et Maximilien me déshabillent entièrement, en faisant la même chose ensuite.
"Euh, Isidore!".
"Chuut Bébé, laisses toi faire, penses à mon cadeau! En plus, t'as pas chaud?".
Il m'appui sur le crâne pour me baisser sur la bite de Maximilien, puis se baisse pour me faire un anulingus appuyé et profond.
Une main me caresse le dos.
"C'est ta salope? Isidore? Quelle chance! Ou tu l'as trouvée?".
Maximilien me soulève le visage pour m'attirer vers une autre bite noire.
Alors les évènements s'enchainent, les membres d'ébènes se présentent devant ma bouche. Une queue que je pense appartenir à Isidore m'encule profondément.
Des éclairs illuminent la scène, c'est Isidore qui immortalise ma partouze avec son appareil photo.
Donc, c'est un inconnu qui me casse l'anus avec puissance, je prends mon premier orgasme anal.
"Arhhhhhhhhhhh, oui, encules-moi fort comme ça ouiiiiiiiiii! Chéri, il m'encule bien!".
"Mmmm, elle est bonne ta petite salope blanche, Isidore!".
"Je sais Martin, fais le jouir encore!".
Le groupe d'antillais, se bat pour me baiser la bouche, les queues sont toutes aussi différents que belles.
Des larges, des fines, des longues et plus courtes.
"Soulevez-le! Attrapez lui les jambes et les bras, je vais l'enculer comme ça!".
Je me retrouve à un mètre du sable, avec la tête relevée et empalée sur une bite d'ébène, cambré par mon propre poids et les cuisses écartées pendant que Martin me déchire le cul.
Après 5 minutes de ce délicieux traitement anal qui me fait jouir puissamment, Martin s'allonge sur le sable.
Les hommes m'empalent sur lui, puis m'entourent en m'offrant leurs membres à sucer.
"Martin, dépêches-toi, on veux le baiser nous aussi!".
Isidore lui réponds:"Ne sois pas pressé Joël, on a le temps!".
Je regarde les mensurations de Joël, puis demande à Isidore:"Chéri, je peux faire ce que je veux?".
"Bien sûr, mon bébé!".
"Alors dis à Joël de m'enculer en même temps que Martin! J'en ai envie".
"Ah, ouais, carrément! putain, ça m'excites, je peux Isidore?".
"Oui, je veux voir ça, moi aussi! T'es génial Bébé!".
Le gland de Joël se sert de la bite de Martin comme guide pour forcer mon œillet.
Je sens sa pression sur mon anus en même temps que ses mains s'accrochent au dessus de mes hanches.
"Arhhh, c'est gros, arhhhhhh, ne t'arrêtes pas, Joël!".
"Pour ça! tu peux compter sur moi, tu vas l'avoir dans le cul mon bâton!".
"Arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhh, ça y est, arhhhhhhhhhh, oui, jusqu'au fond! Arhhhhhhhhhh!".
Je suis délicieusement écartelé, leurs deux queues me comblent parfaitement l'anus.
Néanmoins, ils mettent un certain temps à caler leur rythmes.
C'est quand l'un s'enfonce pendant que l'autre sort que j'ai un orgasme anal sans fin. Mais je ne peux crier avec les deux membres dans ma bouche.
Il m'enculent avec soin pendant un long moment, je veux râler mais seul un bruit bizarre s'échappe de mes lèvres:"Mmmmmuhhhhhhhhhhhhhh, mmmmuhhhhhhhhhhhhhh, mmmmuhhhhhhhhhhhhhh".
"Mmmm, ça y est! arggggggggggggghhhhhhhhhhhhh!".
Je reconnais la voix de Martin qui éjacule, il ne résiste pas à la pression de mon anus combinée à la masturbation de Joël sur sa bite.
Il me saisi par le bas du corps, pour se vider entièrement, j'aime entendre ses gémissements qui deviennent peu à peu des respirations très sonores.
"Ne bouges plus Martin, je vais juter moi aussi! Oh merde! Qu'est-ce que c'est bon!".
Il s'active énergiquement, puis deux minutes après:"Tiens salope! Ahhhh! Ahhhh! Ahhhh! ! Ahhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!".
Je l'accompagne dans son orgasme en râlant comme je peux.
Joël prend un petit moment pour retrouver sa lucidité, puis se retire prudemment, il aide Martin à se dégager de mon corps.
Isidore passe son appareil à Martin et il s'allonge sous moi pour me pénétrer.
En s'enfonçant, il me dit:"Je t'aime mon bébé!".
"Grlllpp, mmmm, grlllp, ahhhh, Merci (j'hésite, puis décide de jouer son jeu du couple uni en lui répondant:) mon amour!".
Un autre antillais que je suçais, décide de l'accompagner dans mon cul.
"Ouuhhhhhhhhhhhhhh, putain, vous me cassez le cul! Arhhhhhhhhh!".
Son sexe est plus court que celui de Joël, mais il est plus dur et plus large.
Isidore profite d'un moment ou je respire pour m'attirer vers sa bouche pour m'embrasser.
Son complice me défonce comme une pute en me claquant les fesses et en m'insultant de salope, pute blanche etc...
Nos lèvres se séparent, je râle mon plaisir un court instant, puis je suis de nouveau comblé par la bite de Maximilien.
Il me baise en gorge profonde, un long moment, puis laisse ma gorge aux quatre autres antillais.
Isidore émet un souhait:"Donner lui votre jus aussi, il adore boire le foutre!".
Celui qui m'encule avec Isidore, sort alors en se serrant fermement la queue pour venir entre les autres devant moi.
Ils s'écartent et l'homme m'empale le visage sur son membre, pour éjaculer.
Je sens les secousses dans son conduit urinaire, son sperme est délicieux, j'aime son gout salé et épais.
En même temps que j'avale avec bonheur, un autre le remplace dans mon anus.
Il est plus fin mais plus long que le précédent, Isidore le laisse s'affairer en moi. Il dit aux autres:"Branlez vous avec son cul, vous allez lui jutez sur la gueule en même temps! Bébé mets toi dans l'autre sens!".
Ils se retirent tous les deux, puis je m'empale à nouveau en tournant le dos à mon amant.
L'autre antillais revient m'enculer à fond, son bas ventre secoue mes couilles en me défonçant.
Je me soulève sur mes mains pour offrir ma bouche aux autres qui se masturbent.
Isidore me soutient pour m'aider.
"Arhhhhhhhhh, arhhhhhhhhh, chéri, il va me faire gicler, je... suis... désolé...".
J'inonde mon ventre comme une femme fontaine au rythme des à-coups dans mon cul.
L'homme se retire et laisse sa place. Les antillais se succèdent en me faisant m'inonder moi-même et gueuler d'orgasme anal.
Le sperme du premier commence à me couvrir le visage, un autre se vide au dessus de ma gorge ouverte.
Je suis rempli d'excitation, les hommes gémissent de plaisir en se vidant de leurs jus.
Le suivant me baise un peu la bouche, puis s'éloigne pour m'arroser à son tour.
Il râle longuement, son foutre est épais et chaud, le vicieux me couvre les yeux entièrement.
Puis celui qui m'encule en même temps qu'Isidore vient ajouter son sperme aux autres.
Il gémit en se terminant entre mes lèvres.
Maximilien, se calle contre la queue d'Isidore.
"Maximilien! Non, tu es trop gros, c'est trop avec Isidore! Arhhhhhhhhhhh".
Contre toute attente, il parvient à s'introduire en moi.
J'ai un sentiment d'écartèlement extrême.
"Arrrrrrrrrrrrrhhhhhh, vous me déchirez le cul, salauds! Ahhrrrrrrrrrrrr".
"Arrêtes salope, t'adore ça!".
Isidore ajoute:"Il a raison mon bébé, tu adores ça et c'est toi qui l'a voulu!".
Maximilien me casse l'anus sans vergogne, il se déchaine comme une brute.
Son gland qui appuie fortement sur ma prostate me fait bander fermement.
Leur défonce anale simultanée me fait orgasmer, puis sentant monter mon éjaculation, je râle en disant:"Ahhhhhhhh, mon amour vous me faites trop jouir, arhhhhhhhhhhhhhhh!".
J'éjacule sur mon ventre en jets abondants.
Maximilien s'excite en voyant mon foutre couler au rythme de ses assauts, il s'enfonce d'un grand coup en moi et m'accompagne dans l'orgasme. Je lance alors:"Ohhhhhhh, je vous aime, c'est trop bon! Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
"J'adore te baiser!" me dit Maximilien.
Il reste un petit instant puis, quitte mon anus. Il aide Isidore à se dégager, me laissant couché sur le sable.
Isidore revient entre mes cuisses pour m'enculer encore.
Il voit mon visage couvert de sperme, il sort de mon anus, et m'enfonce sa bite dans la gorge.
Un flash immortalise le moment, puis mon amant m'essuie avec sa bite pour m'obliger à le laver du foutre qu'il a récupéré.
Quand il estime que je suis présentable, il m'encule à nouveau et m'embrasse fougueusement.
Il me dit ensuite:"Je t'adore, t'as été génial, mon bébé!".
"Merci, mon amour, pour moi aussi, c'était un cadeau! maintenant, c'est à tour de jouir!".
Il me fait l'amour comme la veille, avec passion, les scènes qu'on vient de vivre lui reviennent et il explose dans mon cul sans discontinuer.
Il me serre fortement en jouissant profondément en moi, il me murmure à l'oreille.
"Je t'aime, mon bébé, ne m'en veux pas!".
Il me regarde tendrement en me caressant les cheveux.
Le contraste est surprenant entre le moment pervers qu'on a vécu et la tendresse qu'il me manifeste.
"Ne t'inquiètes pas, j'aime te donner ces moments, tu vas me manquer! tu le sais, je pense!".
On se lève un long moment après, pour aller plonger dans l'océan.
Il me frotte le visage pour me nettoyer du sperme qui a séché, puis passe sa main entre mes fesses pour faire de même avec mon anus.
Il me fait sourire, et je lui dis:"T'es adorable! Complètement dingue, mais adorable! Tu me fais déchirer le cul, tu m'offres en vide-couilles, et après tu me traites comme une poupée fragile, c'est fou!".
Maximilien s'impatiente sur la plage, on le rejoint, puis on se retire un peu pour discuter nus sur la plage.
La moitié des antillais qui ont usé de moi sont partis en nous remerciantPlus particulièrement Isidore pour m'avoir "prêté". Il est fier comme un coq.
Les arrivées de nouveaux hommes nous poussent à nous éloigner, on voit un jeune black se faire enculer par un autre antillais contre un arbre.
Il encaisse sans dire un mot, seul celui qui le baise gémit en éjaculant dans son cul. Je m'étonne, Isidore me réponds:"C'est pour ça aussi qu'on t'adore, t'es sensible du cul, c'est excitant de t'entendre jouir!".
Le temps passe à parler de l'homosexualité sur l'ile et de leurs expériences avec des hommes passifs.
Je leur raconte les miennes et ajoute celles que j'ai vécu avec ma femme en leur avouant mon penchant candauliste.
"Donc ta femme se fait peut-être baiser en ce moment!".
"J'espère, elle aurait tord de se priver! je fais pareil non?".
Un antillais imposant passe près de nous, nu comme nous, il exhibe une bite impressionnante en me fixant.
Isidore voit mon regard envieux.
"Tu la veux, mon bébé? Elle te plait?".
"Tu... euh... je... sais pas..., j'ai déjà bien joui, mais...c'est vrai qu'elle me donne envie! Je peux?".
Il interpelle l'homme qui revient vers nous.
Isidore lui dit:"Tu t'appelles comment?""Philippe!".
"Il te plait mon copain zoreilles?".
Il me regarde avec envie et réponds:"Beaucoup!""Il a envie de toi lui aussi, tu peux le baiser, si tu veux!".
"Hummm, c'est gentil ça! Ca fait longtemps que j'ai pas défoncé un petit cul de zoreilles!".
Maximilien fait signe à deux autres antillais, puis il leur demande s'il veulent se faire sucer.
Philippe me colle à lui, puis me tourne.
Il se place derrière moi, son gros gland touche mon œillet, il demande:"Tu la veux ma grosse bite?".
"Oui, défonces-moi!".
Il fait quelques mouvements qui stimule mon anus, en faisant sortir un afflux de muqueuses anales.
D'un coup, grâce à mon lubrifiant naturel, son énorme pieu me pénètre en m'écartelant l'anus.
"Arhhhhhhhhhhhhhh, Isidore, c'est... oh putain, c'est bon!"Isidore et Maximilien se masturbent en nous regardant baiser.
Les deux autres s'approchent j'attrape leurs queues d'ébènes en les masturbant doucement.
La pénétration de Philippe est trop forte pour que je puisse m'occuper d'eux avec ma bouche.
L'hypersensibilité causée par les assauts, il y a moins d'une heure avant, par les autres antillais me fait très vite monter à l'orgasme.
Je me plie pour sucer les queues devant moi, secoué par Philippe.
"Je peux?" demande Isidore.
"Pas le visage!".
Mon amant immortalise en gros plan, ma défonce anale, puis ma double fellation.
Au bout d'une bonne dizaine de minutes, Philippe me pénètre de plus en plus fort.
Je me remet à inonder le sable de mon liquide clair comme une femme fontaine à chaque enfoncement.
"Elle est bonne ta salope, man!".
"Continues Philippe, il a l'air d'aimer ça!".
"Arhhhhhhhhh, oui, j'adore! déchires-moi, oui! Merci mon amour!".
Mes écoulements de cyprine masculine ne cessent de couler à chaque assauts.
Un premier antillais me tient le visage droit devant sa queue, puis éjacule son foutre dans ma bouche ouverte.
"Ahhhhhhhhh, qu'elle pute! Man!".
Il gémit aussi longtemps qu'il se déverse dans ma gorge.
Il me regarde dans les yeux, j'avale son lait chaud, il me fait un grand sourire.
"J'adore cette pute!". dit il à Isidore.
L'autre revient dans ma bouche et l'imite quelques minutes plus tard.
Je me régale encore de son plaisir chaud et salé.
Notre baise, avec Philippe dure encore presque une demi heure, dans une position de chienne avec le visage enfoui dans le sable et le cul cambré.
Il reprend un rythme éfréné, je n'ai plus la force de parler en jouissant, seul un râle infini sort de mes lèvres.
"Aaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh..................".
L'homme au sexe énorme sent venir son plaisir, il se couche sur moi en me collant, ventre au sol.
Puis il s'affole dans mon cul en râlant, il me rempli l'anus de son jus brulant sous le regard fier d'Isidore.
Je ne cesse de râler sous ses derniers assauts, nos gémissements se mêlent.
Il dépose un baiser sur ma joue droite, puis il me murmure:"Hummm, j'ai adoré! On peux se revoir?".
"Arhhhhh, demande à mon homme!".
"Ok, pas de souci, dommage, je t'aurai bien gardé pour moi!".
"Eh, euh...Philippe! Je vous entends! c'est ma salope, désolé man! Tu l'as baisé, c'est bien, non?".
"Oui, je plaisante! Vous venez souvent? Je l'ai jamais vu! ton petit zoreilles!".
"Il va partir! Tu as eu de la chance d'en profiter!".
"Ok, alors merci à vous, dommage quand même!".
L'homme se retire de mon cul en me laissant un énorme vide anal, puis il retrouve ses vêtements et se rhabille pour quitter la plage.
Isidore et Maximilien m'aident à me relever.
je retourne dans l'eau pour me nettoyer du sable sur mon ventre et mes jambes.
On se rhabille nous aussi, de nos Tee-Shirts et shorts, puis nous retournons à la voiture.
Maximilien demande à Isidore:"Mon frère, il faut que je me fasse sucer là, il m'a trop excité Patrick!".
"Ben, montez à l'arrière ensemble!".
Isidore ne démarre pas et nous laisse nous amuser encore tous les deux, je me met à bander, tant je prend du plaisir à sucer le gros boudin noir de Maximilien.
Il me faut plus de dix minutes pour l'entendre gémir et annoncer:"Ahhhh, mon frère, je lui donne mon lait là, arhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Au lieu de lui répondre, il pense à mon plaisir en me demandant:"Tu te régales, mon bébé?".
"Mmmmmmmmmm, glllpppppp, glllpppppp, glllpppppp, ahhh...glllpppppp, glllpppppp, mmmmoui mon amou...r, glllpppppp!".
Puis je reprend ma respiration et réponds plus clairement.
"Mmm, j'adore, je vous aime tous les deux, vous allez me manquer!".
On ramène Maximilien chez lui, Isidore se gare dans une allée sombre, puis passe à l'arrière.
Nous discutons de la soirée, de sa vie qu'il a de plus en plus de mal à vivre en hétéro basique.
"Mon bébé, je te remercie d'avoir joué le jeu devant mes amis, de m'appeler chéri et mon amour!""De rien, je te dois bien ça, je peux pas te donner plus, je suis désolé chéri!".
Il saisit mon visage et m'embrasse amoureusement, je sens son sexe en érection sous ma main.
Son téléphone sonne.
C'est le fameux Gérard qui lui demande s'il peut m'enculer encore une fois.
Je ne résiste pas de profiter qu'il est occupé pour m'empaler la bouche sur sa magnifique queue.
A sa dureté, je devine qu'il est surexcité, avant la fin de son appel, je reçois son éjaculation au fond de la gorge.
Je suis heureux qu'il jouisse aussi vite et aussi fort.
"Ahhhhhhhhhhhhhh, mon bébé, je t'aime, j'oublierai jamais ce que tu as fait pour moi!".
Je prend ses dernières effluves de sperme, puis remonte vers lui en lui disant:"Moi, non plus, j'oublierai jamais la nuit que tu m'as offert!, Tu as réalisé un fantasme pour moi!".
"Ah bon!".
"Bien sûr, en métropole, les blacks homos sont pas facile à trouver! J'espère que je leur ai plu!".
"Ils t'ont adoré! tu peux être sûr! Ils vont m'en reparler longtemps, mais j'ai les photos c'est déjà ça!".
"Bon, je tombe de sommeil, je vais aller me coucher, bon anniversaire pour demain, tu me ramènes et on se voit Lundi!".
"D'accord, mais si je peux me libérer Dimanche soir, ça te dit qu'on fasse l'amour sur la plage, comme hier?".
"Si tu veux chéri, euh... mon amour!".
Je veux le rendre heureux le plus longtemps possible, il m'a donné tant de bonheur sexuel, je lui doit bien ça!
Habituellement, je fuis les hommes qui s'attachent à moi, mais notre relation est trop entamée, et je sais qu'il n'y aura pas d'issue, autre que mon départ pour la France.
J'espère simplement qu'il ne soufrera pas trop de mon absence.
J'avoue, cependant, que je ressentais beaucoup de tendresse pour Isidore, mon merveilleux amant antillais.
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