Isidore, le jardinier antillais 3. Mon amant black m'offre en cadeau à ses deux amis.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Isidore, le jardinier antillais 3. Mon amant black m'offre en cadeau à ses deux amis.
Karim m'appelle, il n'arrive pas à monter un meuble dans une chambre.
Je lui montre comment il doit procéder, en lui disant:"Souvient-toi, c'est le travail qui te donne la marche à suivre, sois logique!".
Isidore vient d'entrer dans la pièce, il me regarde donner des conseils à mon collègue.
J'ai encore le goût de son sperme dans la gorge, il me dit du bout des lèvres qu'il m'aime, puis retourne au jardin.
Karim lui tournait le dos.
Depuis 2 semaines, avec Karim, on a décidé de ne plus faire d'heures supplémentaires, nos salaires sont tombés et nous n'avons pas eu de supplément.
On se limite aussi au niveau des appels téléphoniques en métropole, pas gratuits à cette époque.
Je profite de ma pose pour retrouver mon amant.
L'amour qu'il me porte me gène, je lui demande:"Pourquoi tu m'aimes, Isidore?".
"Pour plein de choses, tu baises bien, même l'amour, c'est très bon, avec toi. Mais j'aime surtout ton physique et ta gentillesse, je t'admire beaucoup aussi, tu bosses bien, on a parlé de toi avec le patron, il est content de toi! Ca l'embête que tu partes, pas pour les mêmes raisons que moi, c'est sûr!".
J'ai une petite larme aux yeux.
"Pourquoi, tu fais cette tête?".
"Je suis un gros con, pourquoi, j'ai résisté à tes avances, on a perdu trois semaines! J'ai eu envie de toi dès le premier jour!".
"Moi aussi, aujourd'hui, je pense que j'ai eu un coup de foudre, mais je pensais pas que tu voudrais baiser avec moi!".
"Pourquoi, parce que tu es noir? Il y a longtemps que j'ai vaincu le racisme primaire que mon père voulait me transmettre! Bon! Parlons de ce soir! T'as prévenu Maximilien et Gerard?".
"Oui, Maximilien nous rejoindra dès qu'il peut! Hummm, j'ai hâte de faire de nouvelles photos!".
" A propos, tu fais gaffes! je te fais confiance, je veux pas que ça sorte de l'ile! T'as pas peur que ta femme tombe dessus?".
"Non, ça va, t'inquiètes pas!...Je repense à Philippe, t'as beaucoup joui avec lui!".
"Oui, j'ai adoré! Pourquoi".
"Plus qu'avec moi!".
"Isidore! C'est que du sexe! Et c'est toi qui m'a offert ce plaisir!".
"Oui, c'est vrai et j'adore ça, je comprends ce que tu ressens avec ta femme, je suis comme toi, en fait!".
"Bon, je vais bosser, à ce soir, pour baiser, à moins que tu ais envie cette après-midi aussi?".
"Tu pars dans deux jours, je veux profiter de toi le plus possible!".
"T'es insatiable, je me demande comment tu fais!".
"C'est toi qui m'excites comme ça! Ca me fait du bien, ça fait des mois que j'ai plus touché ma femme! Avant toi, je baisais des mecs sur la plage! Quand j'arrivais à trouver, mais c'était pas souvent!".
Dans l'après-midi, on profite de ma pose et que Karim se tape une sieste pour baiser dans la cabane de jardin.
Après une longue et puissante sodomie, il éjacule en moi en me disant qu'il m'aime.
Lors du diner, avec Karim, on se fait plaisir en allant manger des sandwichs au bord de mer, puis je le laisse pour rejoindre mon amant et son ami Gérard.
Karim nous voit partir en voiture, je suis seul à l'arrière.
Comme on ne veut pas être rejoint par d'autres hommes, ils m'emmènent dans un lieu retiré connu aussi de Maximilien.
Ils sortent ensemble et viennent se placer à l'arrière à mes cotés.
Isidore m'embrasse pendant que Gérard me déshabille, il baisse les vêtements qui gênent l'accès à sa large bite.
Mon amant pose sa main sur ma joue, il me dirige vers la queue de son ami.
Je retrouve la largeur du membre de Gérard avec bonheur.
J'aime le contact de son gland proéminent sur ma langue. Il commence à m'insulter:"C'est ça, manges moi-la bite salope! Tu vas bien me vider les couilles!".
Isidore ôte ses habits. On convient que l'endroit est trop exigu et nous sortons de la voiture.
Je m'accroupi devant eux pour les sucer avidement.
A chaque fois que je m'occupe de Gérard, il m'attrape le visage pour me défoncer la gorge, il me fait saliver abondamment.
"Hummm, j'adore ta bouche de pute blanche, t'es un bon vide couilles!".
Isidore me regarde avec un air inquiet, je le rassure en lui disant:"Ca va, mon amour, j'aime ça aussi!".
Je retourne sur la queue de mon amant préféré, pendant que Gérard décide de s'occuper de mon cul.
Il écarte mes fesses et me crache vulgairement sur l'anus. Il se dresse et appuie fortement contre mon œillet.
Je pousse plusieurs fois sur mon muscle anal pour m'ouvrir, Il m'écartèle enfin en me faisant presque mordre la bite d'Isidore dans ma bouche.
Il me défonce tout de suite, mais comme son sexe est très épais, mais moins long, il ne cogne pas au fond de mon cul.
Sa défonce est très agréable, mon plaisir monte inexorablement.
Je remonte ma bouche pour dire à mon amant:"Mon amour, il me défonces bien, je ...je... arhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Vas y mon bébé, lâches-toi, joui, c'est pour toi!".
J'orgasme en serrant fermement sa queue.
J'attend la retombée de mon plaisir pour reprendre ma fellation avec amour.
On entends une voiture qui s'approche.
"C'est Maximilien! Il arrive bien!".
Lorsqu'il arrive près de nous, je vois qu'il est déjà nu. Isidore me dit:"Occupes-toi de mon frère! Je reviens!".
Maximilien tape sur l'épaule de Gérard, en disant:"Ca va mon frère, tu te régales encore? Tu le défonces comme il faut?".
"Ca va bien! Il va me manquer cette pute zoreille! Je vais en profiter, on va lui casser le cul encore comme l'autre jour, c'est sûr!".
"Et toi salope? tu vas bien?".
"Arhh, oui, je m'éclate aussi, comme tu vois, arhhhhhhhh!".
"Bon, alors manges-moi le boudin! Il est pas en forme là!".
Son énorme queue encore semi dure, est devant moi, je la saisis à la base, puis la couvre de ma bouche humide et chaude.
Mes lèvres glissent autour de son gland.
"Oh là, là, c'est bon ça!".
Il durcit fermement dans ma gorge, Gérard s'énerve dans mon cul et par mégarde, avec ses mains qui se cramponnent à mes hanches, il m'empale profondément sur la bite de Maximilien, qui s'écrase contre ma glotte.
Je suffoque en subissant cette pénétration buccale forcée.
Maximilien est aux anges.
"Ahhh, j'adore ça!".
Isidore revient, il nous prend en photo et étale deux petits tapis de plage en paille, au sol.
Il s'allonge dessus.
"Donnez le moi un peu!".
Gérard arrête de me défoncer, puis je m'empale sur lui, en lui faisant face.
Maximilien replaces sa grosse bite entre mes lèvres, mais Gérard veux tout de suite me faire une double anale.
Il me penche un peu pour se placer derrière moi.
Mes sécrétions l'aident à se placer idéalement. Il appuie avec fermeté sur mon œillet.
Isidore me dit:"Tu vas bien jouir mon bébé!".
"Oui, arhhhhhhh, je sais, mais là, c'est le plus dur! Arrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhhhh".
"Voilà, salope! t'as deux boudins noirs dans le cul, maintenant!".
C'est toujours la même sensation d'écartèlement extrême, mais c'est tellement jouissif.
"Arrrrrrrrrhhhhhh, bougez, vite, je veux jouir! Arhhhhhhhhhh!".
Isidore, du fait de son position, bouge assez lentement, mais il est profondément en moi, alors que Gérard, m'encule frénétiquement.
Il dérape quelques fois, mais reprends aussitôt le chemin de mon anus, en me faisant gueuler.
Leur différence de rythme me fait orgasmer sans fin.
Après dix longues minutes, Gerard annonce qu'il va stopper sa défonce, parce qu'il est au bord de l'éjaculation.
"Prends la suite Maximilien, sinon je lui gicle dans le cul!".
Maximilien vient derrière moi, il pousse contre le haut de mon œillet anal.
Je suis étonné de sentir mon anus s'écarteler encore plus, pour le laisser entrer en moi, dans une pénétration qui me détruit les parois anales.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Ouais mon frère, tu l'éclates comme il faut là, je te sens bien au fond de son trou!, il adore ça! Hein bébé?".
"Oh... je ...je ... putain.. vous êtes gros tous les deux! Allez-y ne restez pas sans bouger!".
Ils se calent l'un sur l'autre plus parfaitement qu'avec Gérard. Leurs longues bites, les aident à rester bien ancrées dans mon cul.
Les deux gros glands viennent s'écraser chacun leur tour contre le fond de mon cul.
Je gueule mon plaisir, malheureusement, je ne peux pas sucer Gérard, qui attend sur le coté. Je dit à Isidore:"Mon amour, je suis désolé!".
Je gicle sur son ventre comme une femme fontaine encore une fois.
"Arrêtes de dire ça! J'adore quand tu gicles comme ça!".
Je n'en finis plus de lui inonder le ventre, sous leurs assauts simultanés, pendant de longues minutes qui me vident de plaisir.
Maximilien annonce à Isidore:"Mon frère, je vais lâcher mon lait là!".
"Moi aussi, on va tout lui mettre sur sa gueule de salope!".
Ils se retirent en catimini, Gérard m'encule frénétiquement, pendant que les deux autres s'approchent de mon visage.
Isidore me penche légèrement la tête en arrière, en plaçant son gland au dessus de ma bouche ouverte.
Un jet s'écrase au fond de mon palais, il rate sa deuxième éjection qui s'écrase dans mon œil en me remplissant la narine au passage.
Il retrouve ma gorge pour les autres jets, Maximilien l'accompagne en éjaculant aussi dans ma gorge, puis il prend plaisir à me maculer le visage.
Les deux hommes se masturbent pour se vider sur moi, Gérard stoppe enfin sa défonce anale et se place entre eux pour s'enfoncer dans ma gorge.
Je sens ses spasmes dans son conduit urinaire, posé sur ma lèvre inférieure, l'afflux de sperme m'excite, je devine que le niveau de liquide chaud va dépasser le bas de la commissure de ma bouche.
Gérard a presque terminé son éjaculation, son dernier écoulement fait déborder le foutre qui coule sur mon coté gauche.
Isidore prend plusieurs clichés, cela complètera sa collection personnelle de photos pornographiques.
Sous les flash de l'appareil, Maximilien m'enfonce son gros pieu dans la gorge, le sperme déborde abondamment et vient me souiller le torse.
Il me baise en gorge profonde, le foutre recouvre le bas de mon visage.
Gérard est excité comme un dingue.
"A moi! Je veux aussi lui baiser la bouche comme ça!".
Il me défonce la gorge lui aussi.
"J'adore ta pute Isidore!".
Il s'amuse à faire claquer sa bite sur le sperme encore présent contre mon visage.
Les deux autres se frottent le gland sans cesse sur le reste de ma face.
C'est Gérard qui se recule en premier.
"Man, c'était géant!".
Maximilien, s'assoit contre la voiture.
"Là, je crois qu'on en a bien profité de ta salope, mon frère!".
Isidore me fixe, couvert de sperme.
"Ca va mon bébé?".
Le foutre sur ma lèvre inférieure déforme mes syllabes, et forme des fils quand j'ouvre la bouche.
"Boui, (j'avale) j'en ai jamais eu autant sur moi, mais ça va! Par contre, tu vas m'emmener dans l'eau pour que je me lave!".
Maximilien nous quitte en me disant adieu, puis nous montons dans la voiture pour nous rendre au bord de mer.
Je reste à l'arrière nu, on dépose Gérard au passage.
Isidore trouve une plage déserte et il m'ouvre la porte, puis avec ses bras puissants, il me porte jusqu'à l'eau, en me lâchant d'un coup.
Je me relève en riant.
"Ah ah, salaud!".
"Salope!".
"Ca te plait bien! Ca!".
"Oui, et ça va me manquer!".
On retourne nous allonger sur le sable.
Au bout d'un long moment de discussion, les souvenirs de leurs éjaculations me reviennent.
"Isidore, je repense à tout à l'heure, je vais avoir besoin de me branler!".
"Si tu veux, je t'emmène au lieu de rencontre, comme ça, tu te branles en te faisant baiser!".
"Ah, j'y avais pas pensé!... Attends... je réfléchi!... pourquoi pas!".
On retourne dans l'eau pour enlever le sable, puis il m'emmène à la plage homo.
En arrivant, on enlève nos vêtements, puis on s'appuie sur un rocher, les hommes passent en me fixant de la tête aux pieds.
"Attends, je vais m'écarter, ils vont venir plus facilement".
Il s'éloigne sans me quitter des yeux, un antillais s'approche, il est moyennement membré, mais je m'en contenterai.
"Mmmm, tu es là, toi!".
Je reconnais Philippe, l'homme au sexe surdimensionné.
Je regarde Isidore pour avoir son accord, il me sourit.
Je commence à faire une fellation au premier, afin de laisser mon cul libre pour Philippe.
Je suce frénétiquement le premier inconnu qui gémit assez vite et fort.
Le gros sexe de Philippe trouve directement mon œillet.
Il me caresse le dos en me pénétrant petit à petit.
"Hé, je suis pas encore le premier à ce que je vois!". dit-il en regardant Isidore.
Il m'écartèle l'anus sous mes gémissements étouffés.
Il me procure un orgasme anal énorme, qui excite celui que je suce au point de le faire éjaculer dans ma gorge.
Deux autres inconnus veulent s'approcher, mais je leur fait signe que j'arrête là.
Je veux me concentrer sur le plaisir que me donne Philippe, en voulant éjaculer en même temps que lui.
Je me redresse, Philippe me serre contre lui en me soulevant avec ses à-coups.
"Arhhhhhhhh, arhhhhhhhh, arhhhhhhhh, c'est bon Philippe! Oui, j'adore! Encules-moi, tu me détruit le cul! Encore!".
"Elle te plait ma grosse queue salope!".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, Arrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhh".
Il se retire et s'allonge au sol, sur le sable. Je monte sur sa queue, en lui tournant le dos.
Isidore a une vue sur sa queue qui m'écartèle l'anus.
"Regardes mon amour, c'est pour toi aussi ça! Arhhhhhhhhhhhh".
Je m'enfonce à chaque aller retour plus profondément et plus puissamment.
Philippe gémit de plaisir, je commence à toucher mon sexe en m'empalant.
Philippe est très endurant, je veux l'attendre, et subit avec bonheur deux orgasmes anaux en presque 20 minutes.
"Ahhhhh, salope tu vas m'avoir!".
Ma bite est toujours en érection, il m'en faut peu pour éjaculer.
Je crache de la salive dans le creux de ma main et m'astique énergiquement.
J'éjacule en râlant avec le visage en arrière.
Mes jets s'expulsent au rythme des pénétrations que je m'inflige, sur le gros pieu, dans mon cul.
"Arhhhhhhhhhhhh, ça y est, arhhhhhhhhhhhhhhh, je joui avec toi! Arhhhhhhhhhhhhhhhh, ne t'arrêtes pas, jusqu'au bout, ahhhhh, je veux tout te mettre!".
Je regarde Isidore, en continuant mes mouvements de défonce anale, il sourit.
Ca me rassure sur une jalousie qui serait malvenue.
"Ohhh, arrêtes! Tu m'as vidé, c'est bon!".
Je me soulève, j'ai enfin eu mon double plaisir.
"Merci, Philippe! c'était génial comme l'autre fois!".
"Merci à toi aussi, dommage que tu t'en ailles, on aurait pu recommencer autant de fois que tu voulais! avec l'accord de ton mec bien sûr!".
"Je sais, c'est comme ça, j'y peux rien!".
Je plonge dans l'eau, puis me rhabille avec mon amant.
On rentre doucement, je le remercie pour cet extra. On a du mal a se quitter, on sait qu'il ne nous reste qu'une journée.
Il m'embrasse sans arrêt.
Nos mains se caressent sans fin, puis il me fait toucher sa bite en érection.
On se regarde, il me dit:"Encore! Mon amour!".
Je le prend à nouveau dans ma bouche, ma fellation sera longue et tendre, il jouira en renouvelant la déclaration de ses sentiments.
Il me dépose à la maison du client, on sait que demain, nous allons faire l'amour uniquement, tous les deux.
En m'endormant, je fais le point sur notre histoire, c'est énorme, mais je réalise seulement ce soir là, que je vis une relation homosexuelle exclusive pour la première fois, depuis plusieurs semaines.
Au lieu de me faire peur, ça m'excite au point de me masturber dans mon lit, je joui en repensant aux orgasmes qu'Isidore me procurent, puis m'écroule aussitôt après avec mon sexe à la main, souillée de sperme, comme souvent.
J'avais pris l'habitude de me branler presque tous les soirs, en repensant à nos séances de sexe.
Le lendemain, je n'ai qu'une envie, c'est Isidore! je veux qu'il m'aime encore et encore.
Il ne va pas tarder, mais la suite est pour un autre texte, plus tendre cette fois.
Je lui montre comment il doit procéder, en lui disant:"Souvient-toi, c'est le travail qui te donne la marche à suivre, sois logique!".
Isidore vient d'entrer dans la pièce, il me regarde donner des conseils à mon collègue.
J'ai encore le goût de son sperme dans la gorge, il me dit du bout des lèvres qu'il m'aime, puis retourne au jardin.
Karim lui tournait le dos.
Depuis 2 semaines, avec Karim, on a décidé de ne plus faire d'heures supplémentaires, nos salaires sont tombés et nous n'avons pas eu de supplément.
On se limite aussi au niveau des appels téléphoniques en métropole, pas gratuits à cette époque.
Je profite de ma pose pour retrouver mon amant.
L'amour qu'il me porte me gène, je lui demande:"Pourquoi tu m'aimes, Isidore?".
"Pour plein de choses, tu baises bien, même l'amour, c'est très bon, avec toi. Mais j'aime surtout ton physique et ta gentillesse, je t'admire beaucoup aussi, tu bosses bien, on a parlé de toi avec le patron, il est content de toi! Ca l'embête que tu partes, pas pour les mêmes raisons que moi, c'est sûr!".
J'ai une petite larme aux yeux.
"Pourquoi, tu fais cette tête?".
"Je suis un gros con, pourquoi, j'ai résisté à tes avances, on a perdu trois semaines! J'ai eu envie de toi dès le premier jour!".
"Moi aussi, aujourd'hui, je pense que j'ai eu un coup de foudre, mais je pensais pas que tu voudrais baiser avec moi!".
"Pourquoi, parce que tu es noir? Il y a longtemps que j'ai vaincu le racisme primaire que mon père voulait me transmettre! Bon! Parlons de ce soir! T'as prévenu Maximilien et Gerard?".
"Oui, Maximilien nous rejoindra dès qu'il peut! Hummm, j'ai hâte de faire de nouvelles photos!".
" A propos, tu fais gaffes! je te fais confiance, je veux pas que ça sorte de l'ile! T'as pas peur que ta femme tombe dessus?".
"Non, ça va, t'inquiètes pas!...Je repense à Philippe, t'as beaucoup joui avec lui!".
"Oui, j'ai adoré! Pourquoi".
"Plus qu'avec moi!".
"Isidore! C'est que du sexe! Et c'est toi qui m'a offert ce plaisir!".
"Oui, c'est vrai et j'adore ça, je comprends ce que tu ressens avec ta femme, je suis comme toi, en fait!".
"Bon, je vais bosser, à ce soir, pour baiser, à moins que tu ais envie cette après-midi aussi?".
"Tu pars dans deux jours, je veux profiter de toi le plus possible!".
"T'es insatiable, je me demande comment tu fais!".
"C'est toi qui m'excites comme ça! Ca me fait du bien, ça fait des mois que j'ai plus touché ma femme! Avant toi, je baisais des mecs sur la plage! Quand j'arrivais à trouver, mais c'était pas souvent!".
Dans l'après-midi, on profite de ma pose et que Karim se tape une sieste pour baiser dans la cabane de jardin.
Après une longue et puissante sodomie, il éjacule en moi en me disant qu'il m'aime.
Lors du diner, avec Karim, on se fait plaisir en allant manger des sandwichs au bord de mer, puis je le laisse pour rejoindre mon amant et son ami Gérard.
Karim nous voit partir en voiture, je suis seul à l'arrière.
Comme on ne veut pas être rejoint par d'autres hommes, ils m'emmènent dans un lieu retiré connu aussi de Maximilien.
Ils sortent ensemble et viennent se placer à l'arrière à mes cotés.
Isidore m'embrasse pendant que Gérard me déshabille, il baisse les vêtements qui gênent l'accès à sa large bite.
Mon amant pose sa main sur ma joue, il me dirige vers la queue de son ami.
Je retrouve la largeur du membre de Gérard avec bonheur.
J'aime le contact de son gland proéminent sur ma langue. Il commence à m'insulter:"C'est ça, manges moi-la bite salope! Tu vas bien me vider les couilles!".
Isidore ôte ses habits. On convient que l'endroit est trop exigu et nous sortons de la voiture.
Je m'accroupi devant eux pour les sucer avidement.
A chaque fois que je m'occupe de Gérard, il m'attrape le visage pour me défoncer la gorge, il me fait saliver abondamment.
"Hummm, j'adore ta bouche de pute blanche, t'es un bon vide couilles!".
Isidore me regarde avec un air inquiet, je le rassure en lui disant:"Ca va, mon amour, j'aime ça aussi!".
Je retourne sur la queue de mon amant préféré, pendant que Gérard décide de s'occuper de mon cul.
Il écarte mes fesses et me crache vulgairement sur l'anus. Il se dresse et appuie fortement contre mon œillet.
Je pousse plusieurs fois sur mon muscle anal pour m'ouvrir, Il m'écartèle enfin en me faisant presque mordre la bite d'Isidore dans ma bouche.
Il me défonce tout de suite, mais comme son sexe est très épais, mais moins long, il ne cogne pas au fond de mon cul.
Sa défonce est très agréable, mon plaisir monte inexorablement.
Je remonte ma bouche pour dire à mon amant:"Mon amour, il me défonces bien, je ...je... arhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Vas y mon bébé, lâches-toi, joui, c'est pour toi!".
J'orgasme en serrant fermement sa queue.
J'attend la retombée de mon plaisir pour reprendre ma fellation avec amour.
On entends une voiture qui s'approche.
"C'est Maximilien! Il arrive bien!".
Lorsqu'il arrive près de nous, je vois qu'il est déjà nu. Isidore me dit:"Occupes-toi de mon frère! Je reviens!".
Maximilien tape sur l'épaule de Gérard, en disant:"Ca va mon frère, tu te régales encore? Tu le défonces comme il faut?".
"Ca va bien! Il va me manquer cette pute zoreille! Je vais en profiter, on va lui casser le cul encore comme l'autre jour, c'est sûr!".
"Et toi salope? tu vas bien?".
"Arhh, oui, je m'éclate aussi, comme tu vois, arhhhhhhhh!".
"Bon, alors manges-moi le boudin! Il est pas en forme là!".
Son énorme queue encore semi dure, est devant moi, je la saisis à la base, puis la couvre de ma bouche humide et chaude.
Mes lèvres glissent autour de son gland.
"Oh là, là, c'est bon ça!".
Il durcit fermement dans ma gorge, Gérard s'énerve dans mon cul et par mégarde, avec ses mains qui se cramponnent à mes hanches, il m'empale profondément sur la bite de Maximilien, qui s'écrase contre ma glotte.
Je suffoque en subissant cette pénétration buccale forcée.
Maximilien est aux anges.
"Ahhh, j'adore ça!".
Isidore revient, il nous prend en photo et étale deux petits tapis de plage en paille, au sol.
Il s'allonge dessus.
"Donnez le moi un peu!".
Gérard arrête de me défoncer, puis je m'empale sur lui, en lui faisant face.
Maximilien replaces sa grosse bite entre mes lèvres, mais Gérard veux tout de suite me faire une double anale.
Il me penche un peu pour se placer derrière moi.
Mes sécrétions l'aident à se placer idéalement. Il appuie avec fermeté sur mon œillet.
Isidore me dit:"Tu vas bien jouir mon bébé!".
"Oui, arhhhhhhh, je sais, mais là, c'est le plus dur! Arrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhhhh".
"Voilà, salope! t'as deux boudins noirs dans le cul, maintenant!".
C'est toujours la même sensation d'écartèlement extrême, mais c'est tellement jouissif.
"Arrrrrrrrrhhhhhh, bougez, vite, je veux jouir! Arhhhhhhhhhh!".
Isidore, du fait de son position, bouge assez lentement, mais il est profondément en moi, alors que Gérard, m'encule frénétiquement.
Il dérape quelques fois, mais reprends aussitôt le chemin de mon anus, en me faisant gueuler.
Leur différence de rythme me fait orgasmer sans fin.
Après dix longues minutes, Gerard annonce qu'il va stopper sa défonce, parce qu'il est au bord de l'éjaculation.
"Prends la suite Maximilien, sinon je lui gicle dans le cul!".
Maximilien vient derrière moi, il pousse contre le haut de mon œillet anal.
Je suis étonné de sentir mon anus s'écarteler encore plus, pour le laisser entrer en moi, dans une pénétration qui me détruit les parois anales.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Ouais mon frère, tu l'éclates comme il faut là, je te sens bien au fond de son trou!, il adore ça! Hein bébé?".
"Oh... je ...je ... putain.. vous êtes gros tous les deux! Allez-y ne restez pas sans bouger!".
Ils se calent l'un sur l'autre plus parfaitement qu'avec Gérard. Leurs longues bites, les aident à rester bien ancrées dans mon cul.
Les deux gros glands viennent s'écraser chacun leur tour contre le fond de mon cul.
Je gueule mon plaisir, malheureusement, je ne peux pas sucer Gérard, qui attend sur le coté. Je dit à Isidore:"Mon amour, je suis désolé!".
Je gicle sur son ventre comme une femme fontaine encore une fois.
"Arrêtes de dire ça! J'adore quand tu gicles comme ça!".
Je n'en finis plus de lui inonder le ventre, sous leurs assauts simultanés, pendant de longues minutes qui me vident de plaisir.
Maximilien annonce à Isidore:"Mon frère, je vais lâcher mon lait là!".
"Moi aussi, on va tout lui mettre sur sa gueule de salope!".
Ils se retirent en catimini, Gérard m'encule frénétiquement, pendant que les deux autres s'approchent de mon visage.
Isidore me penche légèrement la tête en arrière, en plaçant son gland au dessus de ma bouche ouverte.
Un jet s'écrase au fond de mon palais, il rate sa deuxième éjection qui s'écrase dans mon œil en me remplissant la narine au passage.
Il retrouve ma gorge pour les autres jets, Maximilien l'accompagne en éjaculant aussi dans ma gorge, puis il prend plaisir à me maculer le visage.
Les deux hommes se masturbent pour se vider sur moi, Gérard stoppe enfin sa défonce anale et se place entre eux pour s'enfoncer dans ma gorge.
Je sens ses spasmes dans son conduit urinaire, posé sur ma lèvre inférieure, l'afflux de sperme m'excite, je devine que le niveau de liquide chaud va dépasser le bas de la commissure de ma bouche.
Gérard a presque terminé son éjaculation, son dernier écoulement fait déborder le foutre qui coule sur mon coté gauche.
Isidore prend plusieurs clichés, cela complètera sa collection personnelle de photos pornographiques.
Sous les flash de l'appareil, Maximilien m'enfonce son gros pieu dans la gorge, le sperme déborde abondamment et vient me souiller le torse.
Il me baise en gorge profonde, le foutre recouvre le bas de mon visage.
Gérard est excité comme un dingue.
"A moi! Je veux aussi lui baiser la bouche comme ça!".
Il me défonce la gorge lui aussi.
"J'adore ta pute Isidore!".
Il s'amuse à faire claquer sa bite sur le sperme encore présent contre mon visage.
Les deux autres se frottent le gland sans cesse sur le reste de ma face.
C'est Gérard qui se recule en premier.
"Man, c'était géant!".
Maximilien, s'assoit contre la voiture.
"Là, je crois qu'on en a bien profité de ta salope, mon frère!".
Isidore me fixe, couvert de sperme.
"Ca va mon bébé?".
Le foutre sur ma lèvre inférieure déforme mes syllabes, et forme des fils quand j'ouvre la bouche.
"Boui, (j'avale) j'en ai jamais eu autant sur moi, mais ça va! Par contre, tu vas m'emmener dans l'eau pour que je me lave!".
Maximilien nous quitte en me disant adieu, puis nous montons dans la voiture pour nous rendre au bord de mer.
Je reste à l'arrière nu, on dépose Gérard au passage.
Isidore trouve une plage déserte et il m'ouvre la porte, puis avec ses bras puissants, il me porte jusqu'à l'eau, en me lâchant d'un coup.
Je me relève en riant.
"Ah ah, salaud!".
"Salope!".
"Ca te plait bien! Ca!".
"Oui, et ça va me manquer!".
On retourne nous allonger sur le sable.
Au bout d'un long moment de discussion, les souvenirs de leurs éjaculations me reviennent.
"Isidore, je repense à tout à l'heure, je vais avoir besoin de me branler!".
"Si tu veux, je t'emmène au lieu de rencontre, comme ça, tu te branles en te faisant baiser!".
"Ah, j'y avais pas pensé!... Attends... je réfléchi!... pourquoi pas!".
On retourne dans l'eau pour enlever le sable, puis il m'emmène à la plage homo.
En arrivant, on enlève nos vêtements, puis on s'appuie sur un rocher, les hommes passent en me fixant de la tête aux pieds.
"Attends, je vais m'écarter, ils vont venir plus facilement".
Il s'éloigne sans me quitter des yeux, un antillais s'approche, il est moyennement membré, mais je m'en contenterai.
"Mmmm, tu es là, toi!".
Je reconnais Philippe, l'homme au sexe surdimensionné.
Je regarde Isidore pour avoir son accord, il me sourit.
Je commence à faire une fellation au premier, afin de laisser mon cul libre pour Philippe.
Je suce frénétiquement le premier inconnu qui gémit assez vite et fort.
Le gros sexe de Philippe trouve directement mon œillet.
Il me caresse le dos en me pénétrant petit à petit.
"Hé, je suis pas encore le premier à ce que je vois!". dit-il en regardant Isidore.
Il m'écartèle l'anus sous mes gémissements étouffés.
Il me procure un orgasme anal énorme, qui excite celui que je suce au point de le faire éjaculer dans ma gorge.
Deux autres inconnus veulent s'approcher, mais je leur fait signe que j'arrête là.
Je veux me concentrer sur le plaisir que me donne Philippe, en voulant éjaculer en même temps que lui.
Je me redresse, Philippe me serre contre lui en me soulevant avec ses à-coups.
"Arhhhhhhhh, arhhhhhhhh, arhhhhhhhh, c'est bon Philippe! Oui, j'adore! Encules-moi, tu me détruit le cul! Encore!".
"Elle te plait ma grosse queue salope!".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, Arrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhh".
Il se retire et s'allonge au sol, sur le sable. Je monte sur sa queue, en lui tournant le dos.
Isidore a une vue sur sa queue qui m'écartèle l'anus.
"Regardes mon amour, c'est pour toi aussi ça! Arhhhhhhhhhhhh".
Je m'enfonce à chaque aller retour plus profondément et plus puissamment.
Philippe gémit de plaisir, je commence à toucher mon sexe en m'empalant.
Philippe est très endurant, je veux l'attendre, et subit avec bonheur deux orgasmes anaux en presque 20 minutes.
"Ahhhhh, salope tu vas m'avoir!".
Ma bite est toujours en érection, il m'en faut peu pour éjaculer.
Je crache de la salive dans le creux de ma main et m'astique énergiquement.
J'éjacule en râlant avec le visage en arrière.
Mes jets s'expulsent au rythme des pénétrations que je m'inflige, sur le gros pieu, dans mon cul.
"Arhhhhhhhhhhhh, ça y est, arhhhhhhhhhhhhhhh, je joui avec toi! Arhhhhhhhhhhhhhhhh, ne t'arrêtes pas, jusqu'au bout, ahhhhh, je veux tout te mettre!".
Je regarde Isidore, en continuant mes mouvements de défonce anale, il sourit.
Ca me rassure sur une jalousie qui serait malvenue.
"Ohhh, arrêtes! Tu m'as vidé, c'est bon!".
Je me soulève, j'ai enfin eu mon double plaisir.
"Merci, Philippe! c'était génial comme l'autre fois!".
"Merci à toi aussi, dommage que tu t'en ailles, on aurait pu recommencer autant de fois que tu voulais! avec l'accord de ton mec bien sûr!".
"Je sais, c'est comme ça, j'y peux rien!".
Je plonge dans l'eau, puis me rhabille avec mon amant.
On rentre doucement, je le remercie pour cet extra. On a du mal a se quitter, on sait qu'il ne nous reste qu'une journée.
Il m'embrasse sans arrêt.
Nos mains se caressent sans fin, puis il me fait toucher sa bite en érection.
On se regarde, il me dit:"Encore! Mon amour!".
Je le prend à nouveau dans ma bouche, ma fellation sera longue et tendre, il jouira en renouvelant la déclaration de ses sentiments.
Il me dépose à la maison du client, on sait que demain, nous allons faire l'amour uniquement, tous les deux.
En m'endormant, je fais le point sur notre histoire, c'est énorme, mais je réalise seulement ce soir là, que je vis une relation homosexuelle exclusive pour la première fois, depuis plusieurs semaines.
Au lieu de me faire peur, ça m'excite au point de me masturber dans mon lit, je joui en repensant aux orgasmes qu'Isidore me procurent, puis m'écroule aussitôt après avec mon sexe à la main, souillée de sperme, comme souvent.
J'avais pris l'habitude de me branler presque tous les soirs, en repensant à nos séances de sexe.
Le lendemain, je n'ai qu'une envie, c'est Isidore! je veux qu'il m'aime encore et encore.
Il ne va pas tarder, mais la suite est pour un autre texte, plus tendre cette fois.
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