J'ai bien pécho ! - histoire érotique

Bredouille
Il est quatorze heures, assis à l’ombre sur le bord de la rivière, en pleine campagne au bout d’un chemin poussiéreux où il ne passe jamais personne, a moitié somnolent je surveille mes deux lignes, , depuis trois heures de temps que je suis là je n’ai pris que deux perches que j’ai rejetées a l’eau, il fait tellement chaud que j’ai ôté teeshirt et short j’attends, c’est en slip que j’attends que le soleil tombe un peu pour reprendre la route et retrouver la routine de mon couple vieillissant
- Bonjour monsieur
- Hein ? quoi ? ha ! bonjour les jeunes
- Ça mord ?
- Boff je suis là surtout pour passer le temps, il fait chaud hein ?
- Je vois ça, nous aussi cherchons la fraicheur
- Vous avez raison, bon après-midi vous deux !
- Merci, bonne pêche !
Ces jeunes amoureux m’ont surpris arrivant à pieds sans bruits de je ne sais où, le garçon qui doit avoir maxi dix-huit a un plaid sous le bras, tout en tenant la jeune fille serrée par la taille… la jupe en jean moitié déboutonnée, le corsage qui ne tient que par deux boutons sorti de la jupe je me doute qu’ils cherchent un endroit propice à des galipettes
S’ils continuent dans cette direction ils ne pourront aller bien loin, c’est en cul de sac mais apparemment ils connaissent les lieux car à trente mètres ils passent sous une barrière qui mène dans un pré ombragé … je ne peux m’empêcher d’imaginer la suite … aaaahhhhhhhhhhhh, ça me rappelle ma jeunesse, ils vont se déshabiller et … surveille donc tes lignes vieux vicieux !
N’empêche que les éclats de rire ponctués de silences me font imaginer leur emploi du temps, du coup ça remue dans mon slip, et si je me dégourdissais les jambes ? je pars d’abord dans le sens inverse pour combattre l’envie de ‘voir’… mais la curiosité est la plus forte, je reviens sur mes pas et passe devant cette fameuse barrière, de grands arbres et une herbe assez haute peuvent aisément cacher des ébats amoureux, je continue... voici une autre et dernière barrière que je décide d’emprunter, des gémissements me guident, mon short se tend sous l’érection qui nait, je fais pipi tout en tendant l’oreille
- Attend avant de retirer ma culotte Coco, ne soit pas si pressé !
- Ça fait une demi-heure que je bande Mamour ! j’ai vachement envie de te baiser
- Sois patient je vais te sucer avant
Ces paroles suffisent à bloquer mon envie de pisser, je laisse ma trique sortie du slip pour avancer sans bruit vers où proviennent ces énigmatiques mots hachés, je fais les vingt dernier mètres qui me sépare de la haie artificielle à genoux, la végétation fraiche caresse agréablement mon gland, ils sont là au pied de ce grand saule, mais si je veux voir quelque chose je dois reprendre la station debout… ah voilà le garçon, il est nu, à genoux près du visage de ‘Mamour’ elle aussi entièrement nue allongée sur le plaid, poitrine blanche et menue, toison d’ébène elle tient dans sa main fine une verge longue et mince qu’elle décalotte et recalotte vicieusement
- Décide-toi sinon je vais gicler dans l’herbe
- Ça m’amuse de voir ton bout tout rose ! il n’est pas bien gros !
- Ahahahah ! évidement celui du pécheur doit être plus imposant ? c’est ça que tu penses ?
- Grand bêta ! … tu crois qu’il l’a plus grosse ?
- Fallait lui demander, aller suce !
- Touche mon bonbon en même temps …Mmmmuuuuuummmmm ….
- Tu mouille, c’est le pécheur qui te fait cet effet ?
- Tu le fais exprès ? tu sais bien que je suis attirée par les hommes mûrs
- C’est depuis que tu as vue celle de ton oncle ?
- Peut-être... qu’est-ce qu’elle était grosse, il se touchait les testicules en manipulant sa verge zébrée d’une grosse veine bleue, j’en rêve tous les jours
- Alors pourquoi tape toi en un et qu’on en parle plus !
- Si tu crois que c’est facile de dire à un vieux ‘monsieur j’ai envie de votre bite’ ?
- Et si je t’arrangeais le coup ?
- Toi ? et tu ne serais pas jaloux ?
- Ma queue se développera encore, je n’ai pas fini ma croissance, alors ? tu veux vraiment en voir une bien grosse ?
- Quand ça ?
Le garçon se penche à l’oreille de la fille qui lâche la verge, s’assied et se cache immédiatement les seins de ses avants bras
- Ou ça ?
- Chuuuuuuuuut, il est tout près, derrière nous …
- Quoi ?
- Inutile de te cacher il a tout vu, montre lui ta poitrine, écarte davantage les jambes
- Coco pas ça …
- Tu veux la voir ou non ?
- Oui …
- Monsieur ? vous pouvez approcher …
- Je ne veux pas vous importuner...
- Venez …non, non, inutile de ranger votre verge, ma chérie veut la voir de plus prés
- Rebonjour les enfants, désolé de vous avoir dérangés vous êtes tellement beaux tous les deux
- Inutile de chercher à dissimuler votre érection, nous somment nus, soyons à égalité
- Ça me gêne, elle est majeure ?
- Dix-huit à quelques mois près, regarde chérie, est-elle aussi grosse que celle de ton oncle ?
- Je pouvais tout juste joindre mon pouce et mon index
- Mais alors tu l’as touchée ??
- Ahhhh … ben oui ….
- Tu n’as fait que la toucher ?
- Joker …
- Nous règlerons ça après, empoigne celle-ci pour voir
- Wwwwwwwoooouuuaaaah elle est plus veinée, … et plus grosse regarde, je ne fais pas le tour !
- Bon, tu peux la lâcher à présent ?
- Marina aimerais vous caresser …
- Je risque de décharger sur le plaid …
- Pas grave, décalotte le chérie
- Quel calibre… il est très gros à la base
- De quoi t’ouvrir le minou hein ?
- Le déchirer oui !
- Suce-le …
- Quoi ?
- Suce le, je te regarde, vous pouvez caresser aussi sa poitrine
- Je n’osais pas lui demander … qu’ils sont fermes ses petits nénés
Marina a empoigné ma queue a deux mains et s’amuse à faire glisser la peau sur mes deux veines bleues , elle ouvre la bouche a s’en décrocher la mâchoire sans pouvoir avaler plus que le gland , désireuse de me montrer son savoir-faire elle s’applique a téter ma bite, je malaxe ses seins pour en faire allonger les bouts, Coco se masturbe les yeux écarquillés de joie, si jeunes et déjà libertins …
- Lâche ma verge Marina je vais jouir …
- Mmuuummm, Mmuuummm !!!
- N’y comptez pas, elle adore trop le sperme pour le recracher
- Rhhhhhaaaaaaaaaaaa c’est trop bbboooooooonnnnn !!
Mes jets drus n’en finissent pas d’emplir la bouche de la jeune fille qui fait des efforts surhumains afin de tout avaler, malgré cela des coulées atterrissent sur sa poitrine pour glisser vers sa toison, son copain s’est joint à moi pour arroser les cheveux de Marine, satisfaite elle se laisse tomber sur le plaid cuisses ouvertes en s’essuyant les lèvres de ses doigts
- Coco ? prend moi ça m’a excitée…
- Hélas chérie, j’aimerais bien mais tus sais qu’après avoir joui il me faut un temps de récupération
- Tu veux que je te suce aussi ? ?
- Si tu veux
- Je vais vous laisser
- NON ! léchez sa chatte pendant ce temps, regardez comme elle suinte
- Effectivement, ce serait dommage de tacher votre couverture avec ces sécrétions difficile à faire partir
C’est ainsi que je me suis retrouvé bouche contre chatte, langue contre clitoris, doigts fureteurs dans le vagin et sur l’anus plissé, la fille les sens affolés, se contorsionne en tous sens ne sait plus faire une pipe convenable a son compagnon, mais de voir l’orgasme continu de sa copine il rebande de plus belle
- Putain comme il te fouille le minou ! jamais je ne t’ai vue aussi partie
- C’est trop bon ! c’est trop bon ! je vais mourir ! aaaaaaahhhhhhhhhhhhhhooooooooooouuuuuuuuuiiiiiii !!!
Conscient de son état d’extrême satisfaction je cesse mes manipulations afin qu’elle reprenne son souffle, moi-même très excité m’allonge a son coté, je récupère un moment les yeux fermés avant repartir lever mes gaules, mais un corps fluet rampe sur moi, une joue sur mon torse, les genoux de part et d’autre de mes hanches elle attrape ma queue pour s’en frotter la moule
- Que fais-tu petite ?
- Du cheval, comme sur tonton ! muuuummmm il m’ouvre vachement les babines avec son gros truc !
- Assied toi dessus Mamour, ça rentrera mieux
- Aaaaaahhhhhhhhh, il va me fendre en deux !
- Alors relève toi si je te fais mal
- Surtout pas, le moindre centimètre qui me pénètre m’irradie d’ondes formidables
- Tu la sens sa ce point ?
- Enfonce un doigt dans mon anus tu vas mieux t’en rendre compte
- Je vais faire mieux que t’enfoncer mon doigt Mamour
- Tu veux me sodomiser ?
- Courbe-toi sur son torse, je vais te tartiner le p’tit trou
- Tu vas être initiée très jeune aux plaisirs de l’amour ma petite
- Plus tard je veux faire des partouzes avec tous les copains de Coco
- Et aussi des hommes plus âgés non ?
- Aussi, ils sont plus attentifs à mes envies
- Ne bougez plus je m’enfonce …
- Houlàlà ! ça va déchirer … AIIIIEEEE ….. AIIIIIIIIEEEEEE !!
- Et voilà j’y suis !
- Bouge quand tu le voudras Marina
- Allez-y défoncez moi, qu’attendez-vous ?
- La grosse bite que tu as dans la chatte branle trop la mienne, je crois que je vais décharger très rapidement
- Tu comprends pourquoi j’aime me faire sauter par d’autres ?
- Parce que je suis un éjaculateur précoce ?