J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE - 12-
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 50 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Dresser ont reçu un total de 448 125 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 12 632 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE - 12-
Notre amie Linia, a obtenu l’entretien régulier de la coupe de cheveux de Fannie. Pourquoi Linia plus que mon amie Amina me direz-vous ?
Linia est disponible à souhait, elle est en phase avec ce que nous cherchons et elle se fait payer en nature. Amina reste une très bonne amie, mais elle trop occupé avec son employé qui partage sa vie. Donc ce midi, Marion et Linia viennent déjeuner à la cafétéria de notre entreprise. La présence de Fannie est bien évidement obligatoire. Avant que notre soumise nous rejoigne dans la salle de restaurant, elle a reçue l’ordre de se poser un œuf vibrant dans son intimité. Dès que cette dernière franchie la porte de la salle, Marion actionne immédiatement l’œuf pour vérifier le bon fonctionnement. Sous les vibrations, Fannie s’arrête, regarde en notre direction. La Marion ne reculant devant rien augmente un peu plus les vibrations.
-Fannie, ma chérie, nous sommes là, tu nous aimes plus ou quoi ? Allez vient t’assoir à côté de ta …..Tu as un souci, on dirai que tu te tortille pour marcher ?
Les tables proches entendent ce qui se dit, nous regardent et pointes leurs yeux sur Fannie qui arrive pour s’assoir à notre table. Quelques sourire pointes sur les lèvres de nos observateurs et observatrices. Fannie s’assoie face à Linia, Marion joue avec la puissance des vibrations de l’œuf, mettant Fannie en position par moment délicate. Elle se trémousse sur sa chaise tout en essayant de déjeuner.
-Marion et Fred, vous savez que votre petite salope dégouline de mouille, j’ai mon pied qui visite son intimité et je peux vous dire qu’elle est prête pour se faire saillir comme une chienne. Mais comment se fait-il que ce passage-là ne soit pas fermé Marion ? Tu lui as posé des anneaux pour faire quoi alors ?
-t’inquiète pas Linia, avant tout nous voulions qu’elle s’habitue à avoir ces anneaux entre les cuisses. Fred ne laissera pas bien longtemps ce passage ouvert, des fois qu’elle envisagerait de laisser son mec ou quiconque la toucher. Nous avons déjà solutionné la fermeture de ce trou, tout est déjà prêt à être posé.
-et vous avez pensé à quoi alors ?
-Nous allons lui mettre une chaine qui passera dans les anneaux, le tout fermé avec un cadenas. Pas de problème pour uriné, pas de problème d’hygiène, donc parfait et c’est Fred qui en gardera la clef.
-tu en as de la chance petite chienne, tes maitres sont précautionneux pour toi. J’espère que tu en es consciente ?
-Oui, je le sais.
Marion reprend de plus fort son jeu de « j’augmente les vibrations de l’œuf, mais tu ne jouiras pas ». Le repas se termine. Mais deux comparses nous quittent et nous retournons au bureau travailler. Fannie l’entrejambe mouillé, ayant certainement l’envie de libérer son plaisir. Fannie tout juste assise devant son écran, je lui envoie un sms.
-je t’autorise à te libérer seule dans les toilettes et de suite. Prends ton téléphone que je puisse vérifier cela et avec le son.
Fannie regarde en ma direction et va aux toilettes. Elle met son tél en marche avec visio, pour que je puisse être spectateur et acteur si je le veux. Fannie ne perd pas de temps et commence à se caresser le sexe lisse de tous poils. Je reste spectateur un certain moment, puis je décide de prendre les choses en mains à distance.
-tu es trempé salle chienne ?
-oui-montre-moi cela de plus prêt.
Fannie écarte ses lèvres et approche le téléphone.
-très bien, en plus ton bouton est gonflé, prêt à exploser, alors tu vas me mettre un, puis deux doigts et plus si tu veux, je veux que tu te baises avec ta main dans la chatte.
Fannie exécute et force de persévérance, elle entre les cinq doigts de la main dans son intimité, mais la main ne rentre pas, certainement le peur qui la stop. J’autorise Fannie à jouir. Elle ne tarda pas à libérer le plaisir en criant, telle une femme qui jouit. J’espère seulement que d’autres femmes étaient dans les toilettes au moment du plaisir de ma chiennasse. A son retour au bureau, elle me regarde et lâche un sourire malicieux.
J’échange ce moment avec Marion qui immédiatement rebondit.
-ça me donne une idée, si je lui faisais subir un petit……..
Le week-end suivant nous invitons notre couple de soumis à nous rejoindre chez nous pour passer les deux jours ensemble, sous notre autorité.
Dès leur arrivée, Fannie doit se revêtir d’une robe très courte, sous laquelle évidemment elle doit être nue, R quant à lui est travestis, une robe lui est également posé sur le corps, agrémenté d’une perruque blonde, aux cheveux coupé au carré. Nous voilà maintenant avec deux soumises à la maison. Ayant des dossiers professionnels à travailler, j’embauche bien évidement Fannie pour m’aider. Elle a pour mission de taper un rapport de 20 pages en une heure, si elle ne réalise pas ce rapport dans les temps, j’octroie le droit à Marion de travailler sérieusement Fannie. R lui, est entre les mains de Marion, ma chère Marion étant fétichiste des cheveux court, voire très court, s’occupe de raser de prêt la tête de notre soumis. Même si l’entretien de ce crâne est fait régulièrement, Marion prend un malin plaisir à rendre lisse cette petite tête de soumis. Les minutes passant, Fannie ne respecte pas le délai d’une heure pour le rapport.
-Marion, tu vas pouvoir t’amuser avec Fannie, elle a ratée sa mission.
-j’arrive, je termine la lopette, elle avait besoin de se faire nettoyer ce qui lui sert pour pisser, tu sais bien que dans une cage il faut de temps en temps bien récurer l’ensemble.
Je me déplace pour aller voir. R est debout la tête entièrement lisse, Marion lui repose sa perruque.
-regarde, j’ai récuré au skotch brite, comme ça au moins c’est propre.
Marion à effectivement fait endurer un nettoyage de la queue de R à l’éponge qui gratte, le membre est rouge par le grattage. Pour finir, elle passe une lingette sur la partie et renferme le tout dans la cage de chasteté.
-voilà, il est propre, alors tu disais ?
-Fannie va subir ton plan, elle a ratée son boulot.
Marion arrive dans la pièce ou est Fannie.
-Toi ma chérie, je vais m’occuper de toi et crois-moi tu vas adorer.
La sonnerie retentie. C’est le gardien. Joan le gardien est portugais. Il a réalisé chez moi, des petits travaux et il vient se faire payer.
-alors Joan, tu viens pour la paye ?
-oui monsieur Fréderic, comme convenu.
-très bien, voilà ce qui était prévu.
Je vais chercher R et le présente à Joan.
-voilà ton argent, ça te va ?
-il me parait pas mal, en plus comme ça il est mieux que sur les photos monsieur Frédéric. J’ai des potes qui doivent venir, je vous le rapporte dans la soirée ?
-tu le ramène quand tu n’en auras plus besoin, il est ici pour le week. Par contre tu connais les conditions, on ne l’abime pas, c’est une lope, mais il est à respecter quand même.
-oui monsieur Frédéric, ne vous inquiétez pas.
R part avec Joan pour servir de vide couille. Joan assumant pleinement sa bisexualité, il assume pleinement d’être vu avec un travestis, même si il essais de rester discret.
Nous sortons déjeuner rapidement tous les trois. Dans la rue Fannie est regardé, par des hommes, mais aussi par des femmes. Certains sont médusé, d’autre agréablement surpris et d’autres la fusille du regard. Nous nous arrêtons dans un petit resto gay/lesbien que nous connaissons très bien. Durant le repas, deux femmes viennent nous demander qui est cette jolie soumise, pour échanger sur son état de femme docile, pourquoi elle aime cela, etc… l’une d’elle nous demandes si nous voulons bien la prêter. Marion refuse. Nous terminons le déjeuner, puis retour chez moi.
Marion regarde Fannie longuement, réfléchissant.
-Fred, je peux faire ce que je veux avec elle ?
-oui Marion, chose promise !
-ok alors je l’emmène avec moi, je la ramène dans quelques heures.
-pas de soucis, tu fais ce que tu veux d’elle.
Marion quitte l’appartement trainant notre soumise par la main. Je ne me fais pas de soucis pour ce que Fannie va vivre. Il est prêt de 21 heures Marion rentre avec la soumise et me raconte ce qui s’est passé.
En sortant de l’appartement, elles sont allez direction le quartier chaud de la ville en prenant les transports. Durant le déplacement elles ont rencontré différentes personnes, notamment un groupe de jeunes qui ont apprécié Fannie. Durant un trajet, ils en ont profité pour toucher Fannie avec l’approbation de sa maitresse. Fannie a été tâtée des seins, ses fesses ont été malaxées, des doigts ont pénétré sont intimité découvrant un lieu bien humide. Des paroles humiliantes ont été prononcées. Le groupe de jeune à stopper le jeu en voyant la police entrer dans le transport, le groupe est parti, restant sur une faim évidente. Ensuite, elles sont allez dans un sexe shop, petite visite des articles, Marion faisant bien remarquer aux hommes présents dans le magasin que Fannie était une salope soumise. Elle lui parlait à haute voix, afin que tout le monde entende bien. Continuant dans ce lieu, elles descendent en direction des cabines vidéo. Là Marion prend la seule cabine disponible et y fait entrer Fannie. Le premier homme qui arrive, Marion le dirige dans la cabine et offre les mains de la soumise pour le soulager et uniquement cela. Dans la cabine, il ne passe pas moins de 6 hommes que notre chienne à purgée avec ses mains, pendant que ces hommes visionnaient une vidéo. En sortant de cette cabine, Fannie avait les mains poisseuses de jus de mec. Marion ne s’arrête pas là, direction un lieu Hamann/sauna pour lesbienne. Là Fannie a fait des émules. En la voyant nue, parce Marion l’a obligé à se présenter nue devant toutes ces femmes, bon nombre sont venue s’attrouper autour de la soumise. Marion a été spectatrice. Des femmes de toutes origines se sont agglutinées et ont utilisé Fannie pour leur plaisir personnel. La soumise a été maltraité des seins, humilié, elle a dû lécher le sexe de ces femmes une à une pour leur procurer du plaisir. Certaine on introduite des doigts dans le sexe de Fannie, la fouillant et la traitant de salope. A l’issue de ce moment d’échange féminin, à la sortie une femme a interpellé Marion. Une femme d’origine magrébine, portant un voile sur les cheveux qui lui demande si elles veulent bien venir prendre le café chez elle. Marion surprise, hésite, puis accepte. Arrivée chez Mabia, cette dernière les mets tout de suite à l’aise, leur indiquant qu’elle a regardé ce qui s’est passé dans le Hamann, que cela l’a intriguée, elle a également clarifié que le fait de porter un voile est nullement religieux, mais plus pour tenir à distance les hommes. Mabia est semble-t-il une très belle femme aux cheveux très brun, ce qui peut lui poser des soucis avec les hommes. Elle sert le café à ces invités habillé en djellaba qu’elle a revêtue dès son arrivé chez elle. Nos trois femmes échangent, et Fannie est questionnée par Mabia. Cette dernière appartient à un riche couple libanais qui se partage entre la France et le Liban. Elle est leur esclave, leur esclave sexuelle SM depuis trois ans ce qui ne l’empêche pas de travailler, même si elle est en partie entretenue par le couple. Mabia aime les femmes, mais également les hommes. Durant l’absence de ces maitres, elle n’a droit qu’aux relations sexuelle avec des femmes et seulement cela, les hommes sont proscrit, d’où la tenue qu’elle s’impose pour les faire fuirent. En plus de cela, elle doit se faire connaitre comme esclave soumise à des personnes qu’elle peut rencontrer au gré du vent et avec qui elle aimerait partager ses expériences. Sur ces paroles, Mabia se découvre à Marion et Fannie, elle retire sa tenue et se retrouve nue fasse à elle. C’est alors que Marion me raconte ce qu’elle a découvert, une femme, une belle femme avec de petits seins. Ces seins sont percés pour accueillir deux anneaux chacun, un petit et un plus grand. Mabia est déjà largement percés aux oreilles, quatre anneaux ornent chaque oreille. De ces piercings, apparait un tatouage sur le pubis lisse, un mot arabe qui signifie esclave. Mabia se tourne et au-dessus de ses fesses deux mots Aïda et Rady sont tatoué. Elle explique que ce sont les prénoms de ces maitres, que depuis ces tatouages elle est leur propriété fidèle. Marion m’a dit avoir été subjugué par cette femme, à la fois pour sa beauté, mais aussi pour sa docilité et son dévouement total à ce couple qui la possède. Mabia échange avec Fannie, expliquant qu’elle doit être fière de ce qu’elle est et qu’elle doit être fidèle à qui la possède. Les échangent dures un certain temps ce qui permet à Mabia de bien comprendre la situation. A un moment Mabia prend Fannie par la main avec l’approbation de Marion, elle déshabille Fannie et la regarde, la contemple et apporte ces critiques. Ces paroles me sont rapportés par Marion : « tu ne plairais pas à mes maitres, ma maitresse te prendrait pour le petit déjeuner et te mettrait dans les mains de Abdoul, qui est leur jardinier et qui raffole de chienne comme toi. Tu serais juste bonne à lui servir de vidangeuse à lui et à ses amis. Tu n’as pas de classe, tu n’es pas tatoué, pas de piercings aux seins, tu es basique, sans intérêt pour mes maitres. » Mabia échange maintenant avec Marion : « elle n’est pas assez bien pour mes maitres, mais je ne suis pas contre de l’utiliser pour moi, pour qu’elle me satisfasse avec sa langue, ses mains. S’est-elle donner du plaisir au moins ? j’aimerais que vous soyez là si vous m’autorisez à l’utiliser ». Sans perdre un instant Maron lui donne la possibilité de l’utiliser sur le champ. Marché conclus. Mabia prend les choses en mains. Fannie prend une douche, à sa sortie Mabia la prend par la nuque et la pose sur le sol et vient poser son sexe sur la bouche de Fannie. « maintenant montre ce que tu sais faire ». Fannie est semble-t-il étouffé par Mabia, qui se pose sur son visage, insultant la soumise d’incapable, de mauvaise lécheuse. Elle tire les seins en même temps qu’elle l’insulte de pauvre fille qui ne ressemble à rien. A force Fannie trouve la bonne façon de donner du plaisir à Mabia qui commence à respirer vite et encore plus vite. Mabia se retourne, faisant face au sexe de Fannie qu’elle commence à titiller, puis elle entre un, puis deux doigts. Mabia, prend un pot de gel dans lequel elle plonge sa main et la présente dans le trou intime de Fannie. Mabia est très excité, mais force de persévérance sa main à pénétrés le sexe de notre soumise qui est baisée par Mabia. Fannie est prise avec violence par cette main qui le pénètre toute entière, le clapotis du gel et e la mouille sont présent dans la pièce. Mabia s’arrête en disant que Fannie ne jouira pas, seuls ces maitres la feront jouir. En revanche, Mabia ne tarde pas à jouir son plaisir dans un hurlement retentissant dans l’appartement, mais elle ne s’arrête pas là, elle termine en soulageant sa vessie sur le visage de Fannie qui découvre cette pratique. Cette dernière surprise, c’est presque étouffé avec cette urine odorante de Mabia qui se lâche complètement. Mabia remercie Marion ignorant Fannie.
Après que Marion m’ait raconté l’après-midi, nous avons ensemble murement réfléchis au devenir de Fannie. Marion a été marqué par la connaissance de Mabia dont elle a apprécié le style, le dévouement et bien d’autres choses encore. Marion m’a convaincu de faire évoluer notre soumise vers plus de respects et de dévouement. Pour cela nous allons devoir modifier certaines règles et transformer un peu plus Fannie. Acceptera-t-elle ?
Sans attendre nous décidons de descendre Fannie chez le gardien Joan.
-oui Monsieur Frédéric ?
-je te propose de ta donner en prime la femme de la lope pour quelques heures, est-ce que cela ta va ?
-c’est elle ? Belle prime. Mes potes vont adorer. Mais entrer donc, je vais vous présenter mes amis.
Nous découvrons les quatre amis de Joan et faisons leur connaissance devant un verre. R lui est attaché sur une table, le cul remplit par un gode de taille honorable. Nous échangeons sur divers sujets. Nous sommes invités à rester pour assister à l’utilisation de la prime.
Fannie est mise nue, les quatre compères observent leur cadeau. Elle est agenouillée et les queues se présentent à elle. Elle suce des queues de bonne taille, très poilues, elle lèche, suce avale une à une ces membres qui durcies au fur et à mesure que notre soumise s’occupe de ces hommes. La cadence des pupes est parfois soutenues, les hommes donnant la vitesse du vas et vient. Un des hommes détache R et le positionne à 4 pattes à côté de sa chère et tendre, le gode ancré dans son fondement est retiré, laissant un orifice très ouvert.
-regarder cette lope, elle à la chatte super ouverte, il va avoir le loisir de voir sa gonzesse se faire baiser par de vrais mecs. Regarde pétasse, ta nana suce comme une reine.
Le gode est replacé dans le trou, R est allongé sur le sol. Fannie est positionnée au-dessus de lui.
-pendant qu’on va tirer ta pouffe, tu vas nous lécher les couilles et la queue avec ta langue.
Un des hommes se place face à l’intimité de Fannie et le pénètre d’un coup, la remplissant de son membre et il commence à labourer cette chatte déjà bien lubrifiée. Nous voyons ce que nos deux esclaves sont devenus. R est une lope pure et simple, un mec à bite. Fannie est devenue une esclave qui subit sans plus rien dire, la petite bourgeoise est sous notre jouc et là je sais que nous allons pouvoir passer à un autre stade de sa condition de soumise.
Pendant que Fannie est prise par nos 4 compères, R à chaque passage lèche de sa langue le membre qui pénètre la soumise. Notre chienne est prise sans grande considération pour elle, elle est utilisé, maltraité, humilié, tout ce qu’une esclave doit accepter. Elle est maintenant utilisée depuis un long moment. Un de ses baiseurs se vide en elle.
-tient salope, prend mon jus d’homme, ça te changera de celui ta lope, garde bien tout mon jus au fond, tient prend, oui, oui ahhhhh !!!
Au passage, avant de se retirer complètement, R doit nettoyer le nœud de l’homme qui à jouis. Un deuxième prend la relève et ramone le sexe de Fannie, la prenant profondément, soutirant des râles de plaisir de la chienne qui adore être prise de cette façon, telle une chienne que l’on engrosse. Ce dernier est endurant et finit pas jouir dans le sexe de Fannie. Là encore, il est remplacé par le troisième qui lui laboure Fannie rapidement et se libère également en elle. Reste Joan. Il appui sur les fesses de Fannie.
-pose ton cul sur la gueule de ton mec, voilà, je veux qu’il sente bien la queue qui va sauter sa chienne de nana, il va pouvoir récolter en même temps tout le jus et bien bouffer tout ça. Oh ! Mais c’est bien large tout ça…putain c’est à peine si je sens que je suis dans une chatte. Tu es tellement pleine de jus que sa ballotte là-dedans.
Joan, laboure notre chienne avec sa chatte béante, dégoulinante de jus.
-ah, ça commence à se refermer ce trou, il suffisait de vider le trop plein les gars, ça sert d’avoir un aspirateur à jus.
R reçoit le jus des 3 précédents donneurs qu’il doit nettoyer. Joan décide de pénétrer de ces doigts le trou de la chienne.
-tient salope, ça va t’aider à me faire jouir. Mais ça marche en plus, elle se contracte au moins je suis plus serré dans cette chatte. Oh mais attends, je vais faire mieux salope.
Joan crache sur la rondelle de Fannie et tente de la pénétrer avec trois puis quatre doigts. Le quatrième entre difficilement mais parvient tout de même à prendre le cul de cette chienne. Les quatre doigts baisent la rondelle de Fannie, ce qui a pour effet de la mettre dans une excitation très forte.
-oui.. oui.. encore, ahhh ouiiiiii, j’en veux encore, c’est booonnn….
-c’est pour moi que c’est bon salope, toi je m’en fou, aller resserre moi encore cette chatte que je puisse te remplir au jus.
Joan continu de lui baiser la rondelle tout en lui labourant la chatte. Il est sans restriction, il accélère encore et encore.
-ooohhhhh je sens que ja viens sale pute, vas-y contracte toi encore, oui comme …. Aaahhhhhhhh !putain je te gave au jus, tient prend bien tout mon jus.
-ouiii jouis, donne-moi ce jus, j’en veux encore, encore, vas-y.
Joan se retire, laissant R nettoyer tout ce jus. Fannie est affalée sur le sol se laissant laper la chatte.
Marion au vu de cette séance me regarde avec des yeux malicieux.
-je crois que cette fois elle est prête pour le reste.
Fannie acceptera-t-elle de nous suivre……
Linia est disponible à souhait, elle est en phase avec ce que nous cherchons et elle se fait payer en nature. Amina reste une très bonne amie, mais elle trop occupé avec son employé qui partage sa vie. Donc ce midi, Marion et Linia viennent déjeuner à la cafétéria de notre entreprise. La présence de Fannie est bien évidement obligatoire. Avant que notre soumise nous rejoigne dans la salle de restaurant, elle a reçue l’ordre de se poser un œuf vibrant dans son intimité. Dès que cette dernière franchie la porte de la salle, Marion actionne immédiatement l’œuf pour vérifier le bon fonctionnement. Sous les vibrations, Fannie s’arrête, regarde en notre direction. La Marion ne reculant devant rien augmente un peu plus les vibrations.
-Fannie, ma chérie, nous sommes là, tu nous aimes plus ou quoi ? Allez vient t’assoir à côté de ta …..Tu as un souci, on dirai que tu te tortille pour marcher ?
Les tables proches entendent ce qui se dit, nous regardent et pointes leurs yeux sur Fannie qui arrive pour s’assoir à notre table. Quelques sourire pointes sur les lèvres de nos observateurs et observatrices. Fannie s’assoie face à Linia, Marion joue avec la puissance des vibrations de l’œuf, mettant Fannie en position par moment délicate. Elle se trémousse sur sa chaise tout en essayant de déjeuner.
-Marion et Fred, vous savez que votre petite salope dégouline de mouille, j’ai mon pied qui visite son intimité et je peux vous dire qu’elle est prête pour se faire saillir comme une chienne. Mais comment se fait-il que ce passage-là ne soit pas fermé Marion ? Tu lui as posé des anneaux pour faire quoi alors ?
-t’inquiète pas Linia, avant tout nous voulions qu’elle s’habitue à avoir ces anneaux entre les cuisses. Fred ne laissera pas bien longtemps ce passage ouvert, des fois qu’elle envisagerait de laisser son mec ou quiconque la toucher. Nous avons déjà solutionné la fermeture de ce trou, tout est déjà prêt à être posé.
-et vous avez pensé à quoi alors ?
-Nous allons lui mettre une chaine qui passera dans les anneaux, le tout fermé avec un cadenas. Pas de problème pour uriné, pas de problème d’hygiène, donc parfait et c’est Fred qui en gardera la clef.
-tu en as de la chance petite chienne, tes maitres sont précautionneux pour toi. J’espère que tu en es consciente ?
-Oui, je le sais.
Marion reprend de plus fort son jeu de « j’augmente les vibrations de l’œuf, mais tu ne jouiras pas ». Le repas se termine. Mais deux comparses nous quittent et nous retournons au bureau travailler. Fannie l’entrejambe mouillé, ayant certainement l’envie de libérer son plaisir. Fannie tout juste assise devant son écran, je lui envoie un sms.
-je t’autorise à te libérer seule dans les toilettes et de suite. Prends ton téléphone que je puisse vérifier cela et avec le son.
Fannie regarde en ma direction et va aux toilettes. Elle met son tél en marche avec visio, pour que je puisse être spectateur et acteur si je le veux. Fannie ne perd pas de temps et commence à se caresser le sexe lisse de tous poils. Je reste spectateur un certain moment, puis je décide de prendre les choses en mains à distance.
-tu es trempé salle chienne ?
-oui-montre-moi cela de plus prêt.
Fannie écarte ses lèvres et approche le téléphone.
-très bien, en plus ton bouton est gonflé, prêt à exploser, alors tu vas me mettre un, puis deux doigts et plus si tu veux, je veux que tu te baises avec ta main dans la chatte.
Fannie exécute et force de persévérance, elle entre les cinq doigts de la main dans son intimité, mais la main ne rentre pas, certainement le peur qui la stop. J’autorise Fannie à jouir. Elle ne tarda pas à libérer le plaisir en criant, telle une femme qui jouit. J’espère seulement que d’autres femmes étaient dans les toilettes au moment du plaisir de ma chiennasse. A son retour au bureau, elle me regarde et lâche un sourire malicieux.
J’échange ce moment avec Marion qui immédiatement rebondit.
-ça me donne une idée, si je lui faisais subir un petit……..
Le week-end suivant nous invitons notre couple de soumis à nous rejoindre chez nous pour passer les deux jours ensemble, sous notre autorité.
Dès leur arrivée, Fannie doit se revêtir d’une robe très courte, sous laquelle évidemment elle doit être nue, R quant à lui est travestis, une robe lui est également posé sur le corps, agrémenté d’une perruque blonde, aux cheveux coupé au carré. Nous voilà maintenant avec deux soumises à la maison. Ayant des dossiers professionnels à travailler, j’embauche bien évidement Fannie pour m’aider. Elle a pour mission de taper un rapport de 20 pages en une heure, si elle ne réalise pas ce rapport dans les temps, j’octroie le droit à Marion de travailler sérieusement Fannie. R lui, est entre les mains de Marion, ma chère Marion étant fétichiste des cheveux court, voire très court, s’occupe de raser de prêt la tête de notre soumis. Même si l’entretien de ce crâne est fait régulièrement, Marion prend un malin plaisir à rendre lisse cette petite tête de soumis. Les minutes passant, Fannie ne respecte pas le délai d’une heure pour le rapport.
-Marion, tu vas pouvoir t’amuser avec Fannie, elle a ratée sa mission.
-j’arrive, je termine la lopette, elle avait besoin de se faire nettoyer ce qui lui sert pour pisser, tu sais bien que dans une cage il faut de temps en temps bien récurer l’ensemble.
Je me déplace pour aller voir. R est debout la tête entièrement lisse, Marion lui repose sa perruque.
-regarde, j’ai récuré au skotch brite, comme ça au moins c’est propre.
Marion à effectivement fait endurer un nettoyage de la queue de R à l’éponge qui gratte, le membre est rouge par le grattage. Pour finir, elle passe une lingette sur la partie et renferme le tout dans la cage de chasteté.
-voilà, il est propre, alors tu disais ?
-Fannie va subir ton plan, elle a ratée son boulot.
Marion arrive dans la pièce ou est Fannie.
-Toi ma chérie, je vais m’occuper de toi et crois-moi tu vas adorer.
La sonnerie retentie. C’est le gardien. Joan le gardien est portugais. Il a réalisé chez moi, des petits travaux et il vient se faire payer.
-alors Joan, tu viens pour la paye ?
-oui monsieur Fréderic, comme convenu.
-très bien, voilà ce qui était prévu.
Je vais chercher R et le présente à Joan.
-voilà ton argent, ça te va ?
-il me parait pas mal, en plus comme ça il est mieux que sur les photos monsieur Frédéric. J’ai des potes qui doivent venir, je vous le rapporte dans la soirée ?
-tu le ramène quand tu n’en auras plus besoin, il est ici pour le week. Par contre tu connais les conditions, on ne l’abime pas, c’est une lope, mais il est à respecter quand même.
-oui monsieur Frédéric, ne vous inquiétez pas.
R part avec Joan pour servir de vide couille. Joan assumant pleinement sa bisexualité, il assume pleinement d’être vu avec un travestis, même si il essais de rester discret.
Nous sortons déjeuner rapidement tous les trois. Dans la rue Fannie est regardé, par des hommes, mais aussi par des femmes. Certains sont médusé, d’autre agréablement surpris et d’autres la fusille du regard. Nous nous arrêtons dans un petit resto gay/lesbien que nous connaissons très bien. Durant le repas, deux femmes viennent nous demander qui est cette jolie soumise, pour échanger sur son état de femme docile, pourquoi elle aime cela, etc… l’une d’elle nous demandes si nous voulons bien la prêter. Marion refuse. Nous terminons le déjeuner, puis retour chez moi.
Marion regarde Fannie longuement, réfléchissant.
-Fred, je peux faire ce que je veux avec elle ?
-oui Marion, chose promise !
-ok alors je l’emmène avec moi, je la ramène dans quelques heures.
-pas de soucis, tu fais ce que tu veux d’elle.
Marion quitte l’appartement trainant notre soumise par la main. Je ne me fais pas de soucis pour ce que Fannie va vivre. Il est prêt de 21 heures Marion rentre avec la soumise et me raconte ce qui s’est passé.
En sortant de l’appartement, elles sont allez direction le quartier chaud de la ville en prenant les transports. Durant le déplacement elles ont rencontré différentes personnes, notamment un groupe de jeunes qui ont apprécié Fannie. Durant un trajet, ils en ont profité pour toucher Fannie avec l’approbation de sa maitresse. Fannie a été tâtée des seins, ses fesses ont été malaxées, des doigts ont pénétré sont intimité découvrant un lieu bien humide. Des paroles humiliantes ont été prononcées. Le groupe de jeune à stopper le jeu en voyant la police entrer dans le transport, le groupe est parti, restant sur une faim évidente. Ensuite, elles sont allez dans un sexe shop, petite visite des articles, Marion faisant bien remarquer aux hommes présents dans le magasin que Fannie était une salope soumise. Elle lui parlait à haute voix, afin que tout le monde entende bien. Continuant dans ce lieu, elles descendent en direction des cabines vidéo. Là Marion prend la seule cabine disponible et y fait entrer Fannie. Le premier homme qui arrive, Marion le dirige dans la cabine et offre les mains de la soumise pour le soulager et uniquement cela. Dans la cabine, il ne passe pas moins de 6 hommes que notre chienne à purgée avec ses mains, pendant que ces hommes visionnaient une vidéo. En sortant de cette cabine, Fannie avait les mains poisseuses de jus de mec. Marion ne s’arrête pas là, direction un lieu Hamann/sauna pour lesbienne. Là Fannie a fait des émules. En la voyant nue, parce Marion l’a obligé à se présenter nue devant toutes ces femmes, bon nombre sont venue s’attrouper autour de la soumise. Marion a été spectatrice. Des femmes de toutes origines se sont agglutinées et ont utilisé Fannie pour leur plaisir personnel. La soumise a été maltraité des seins, humilié, elle a dû lécher le sexe de ces femmes une à une pour leur procurer du plaisir. Certaine on introduite des doigts dans le sexe de Fannie, la fouillant et la traitant de salope. A l’issue de ce moment d’échange féminin, à la sortie une femme a interpellé Marion. Une femme d’origine magrébine, portant un voile sur les cheveux qui lui demande si elles veulent bien venir prendre le café chez elle. Marion surprise, hésite, puis accepte. Arrivée chez Mabia, cette dernière les mets tout de suite à l’aise, leur indiquant qu’elle a regardé ce qui s’est passé dans le Hamann, que cela l’a intriguée, elle a également clarifié que le fait de porter un voile est nullement religieux, mais plus pour tenir à distance les hommes. Mabia est semble-t-il une très belle femme aux cheveux très brun, ce qui peut lui poser des soucis avec les hommes. Elle sert le café à ces invités habillé en djellaba qu’elle a revêtue dès son arrivé chez elle. Nos trois femmes échangent, et Fannie est questionnée par Mabia. Cette dernière appartient à un riche couple libanais qui se partage entre la France et le Liban. Elle est leur esclave, leur esclave sexuelle SM depuis trois ans ce qui ne l’empêche pas de travailler, même si elle est en partie entretenue par le couple. Mabia aime les femmes, mais également les hommes. Durant l’absence de ces maitres, elle n’a droit qu’aux relations sexuelle avec des femmes et seulement cela, les hommes sont proscrit, d’où la tenue qu’elle s’impose pour les faire fuirent. En plus de cela, elle doit se faire connaitre comme esclave soumise à des personnes qu’elle peut rencontrer au gré du vent et avec qui elle aimerait partager ses expériences. Sur ces paroles, Mabia se découvre à Marion et Fannie, elle retire sa tenue et se retrouve nue fasse à elle. C’est alors que Marion me raconte ce qu’elle a découvert, une femme, une belle femme avec de petits seins. Ces seins sont percés pour accueillir deux anneaux chacun, un petit et un plus grand. Mabia est déjà largement percés aux oreilles, quatre anneaux ornent chaque oreille. De ces piercings, apparait un tatouage sur le pubis lisse, un mot arabe qui signifie esclave. Mabia se tourne et au-dessus de ses fesses deux mots Aïda et Rady sont tatoué. Elle explique que ce sont les prénoms de ces maitres, que depuis ces tatouages elle est leur propriété fidèle. Marion m’a dit avoir été subjugué par cette femme, à la fois pour sa beauté, mais aussi pour sa docilité et son dévouement total à ce couple qui la possède. Mabia échange avec Fannie, expliquant qu’elle doit être fière de ce qu’elle est et qu’elle doit être fidèle à qui la possède. Les échangent dures un certain temps ce qui permet à Mabia de bien comprendre la situation. A un moment Mabia prend Fannie par la main avec l’approbation de Marion, elle déshabille Fannie et la regarde, la contemple et apporte ces critiques. Ces paroles me sont rapportés par Marion : « tu ne plairais pas à mes maitres, ma maitresse te prendrait pour le petit déjeuner et te mettrait dans les mains de Abdoul, qui est leur jardinier et qui raffole de chienne comme toi. Tu serais juste bonne à lui servir de vidangeuse à lui et à ses amis. Tu n’as pas de classe, tu n’es pas tatoué, pas de piercings aux seins, tu es basique, sans intérêt pour mes maitres. » Mabia échange maintenant avec Marion : « elle n’est pas assez bien pour mes maitres, mais je ne suis pas contre de l’utiliser pour moi, pour qu’elle me satisfasse avec sa langue, ses mains. S’est-elle donner du plaisir au moins ? j’aimerais que vous soyez là si vous m’autorisez à l’utiliser ». Sans perdre un instant Maron lui donne la possibilité de l’utiliser sur le champ. Marché conclus. Mabia prend les choses en mains. Fannie prend une douche, à sa sortie Mabia la prend par la nuque et la pose sur le sol et vient poser son sexe sur la bouche de Fannie. « maintenant montre ce que tu sais faire ». Fannie est semble-t-il étouffé par Mabia, qui se pose sur son visage, insultant la soumise d’incapable, de mauvaise lécheuse. Elle tire les seins en même temps qu’elle l’insulte de pauvre fille qui ne ressemble à rien. A force Fannie trouve la bonne façon de donner du plaisir à Mabia qui commence à respirer vite et encore plus vite. Mabia se retourne, faisant face au sexe de Fannie qu’elle commence à titiller, puis elle entre un, puis deux doigts. Mabia, prend un pot de gel dans lequel elle plonge sa main et la présente dans le trou intime de Fannie. Mabia est très excité, mais force de persévérance sa main à pénétrés le sexe de notre soumise qui est baisée par Mabia. Fannie est prise avec violence par cette main qui le pénètre toute entière, le clapotis du gel et e la mouille sont présent dans la pièce. Mabia s’arrête en disant que Fannie ne jouira pas, seuls ces maitres la feront jouir. En revanche, Mabia ne tarde pas à jouir son plaisir dans un hurlement retentissant dans l’appartement, mais elle ne s’arrête pas là, elle termine en soulageant sa vessie sur le visage de Fannie qui découvre cette pratique. Cette dernière surprise, c’est presque étouffé avec cette urine odorante de Mabia qui se lâche complètement. Mabia remercie Marion ignorant Fannie.
Après que Marion m’ait raconté l’après-midi, nous avons ensemble murement réfléchis au devenir de Fannie. Marion a été marqué par la connaissance de Mabia dont elle a apprécié le style, le dévouement et bien d’autres choses encore. Marion m’a convaincu de faire évoluer notre soumise vers plus de respects et de dévouement. Pour cela nous allons devoir modifier certaines règles et transformer un peu plus Fannie. Acceptera-t-elle ?
Sans attendre nous décidons de descendre Fannie chez le gardien Joan.
-oui Monsieur Frédéric ?
-je te propose de ta donner en prime la femme de la lope pour quelques heures, est-ce que cela ta va ?
-c’est elle ? Belle prime. Mes potes vont adorer. Mais entrer donc, je vais vous présenter mes amis.
Nous découvrons les quatre amis de Joan et faisons leur connaissance devant un verre. R lui est attaché sur une table, le cul remplit par un gode de taille honorable. Nous échangeons sur divers sujets. Nous sommes invités à rester pour assister à l’utilisation de la prime.
Fannie est mise nue, les quatre compères observent leur cadeau. Elle est agenouillée et les queues se présentent à elle. Elle suce des queues de bonne taille, très poilues, elle lèche, suce avale une à une ces membres qui durcies au fur et à mesure que notre soumise s’occupe de ces hommes. La cadence des pupes est parfois soutenues, les hommes donnant la vitesse du vas et vient. Un des hommes détache R et le positionne à 4 pattes à côté de sa chère et tendre, le gode ancré dans son fondement est retiré, laissant un orifice très ouvert.
-regarder cette lope, elle à la chatte super ouverte, il va avoir le loisir de voir sa gonzesse se faire baiser par de vrais mecs. Regarde pétasse, ta nana suce comme une reine.
Le gode est replacé dans le trou, R est allongé sur le sol. Fannie est positionnée au-dessus de lui.
-pendant qu’on va tirer ta pouffe, tu vas nous lécher les couilles et la queue avec ta langue.
Un des hommes se place face à l’intimité de Fannie et le pénètre d’un coup, la remplissant de son membre et il commence à labourer cette chatte déjà bien lubrifiée. Nous voyons ce que nos deux esclaves sont devenus. R est une lope pure et simple, un mec à bite. Fannie est devenue une esclave qui subit sans plus rien dire, la petite bourgeoise est sous notre jouc et là je sais que nous allons pouvoir passer à un autre stade de sa condition de soumise.
Pendant que Fannie est prise par nos 4 compères, R à chaque passage lèche de sa langue le membre qui pénètre la soumise. Notre chienne est prise sans grande considération pour elle, elle est utilisé, maltraité, humilié, tout ce qu’une esclave doit accepter. Elle est maintenant utilisée depuis un long moment. Un de ses baiseurs se vide en elle.
-tient salope, prend mon jus d’homme, ça te changera de celui ta lope, garde bien tout mon jus au fond, tient prend, oui, oui ahhhhh !!!
Au passage, avant de se retirer complètement, R doit nettoyer le nœud de l’homme qui à jouis. Un deuxième prend la relève et ramone le sexe de Fannie, la prenant profondément, soutirant des râles de plaisir de la chienne qui adore être prise de cette façon, telle une chienne que l’on engrosse. Ce dernier est endurant et finit pas jouir dans le sexe de Fannie. Là encore, il est remplacé par le troisième qui lui laboure Fannie rapidement et se libère également en elle. Reste Joan. Il appui sur les fesses de Fannie.
-pose ton cul sur la gueule de ton mec, voilà, je veux qu’il sente bien la queue qui va sauter sa chienne de nana, il va pouvoir récolter en même temps tout le jus et bien bouffer tout ça. Oh ! Mais c’est bien large tout ça…putain c’est à peine si je sens que je suis dans une chatte. Tu es tellement pleine de jus que sa ballotte là-dedans.
Joan, laboure notre chienne avec sa chatte béante, dégoulinante de jus.
-ah, ça commence à se refermer ce trou, il suffisait de vider le trop plein les gars, ça sert d’avoir un aspirateur à jus.
R reçoit le jus des 3 précédents donneurs qu’il doit nettoyer. Joan décide de pénétrer de ces doigts le trou de la chienne.
-tient salope, ça va t’aider à me faire jouir. Mais ça marche en plus, elle se contracte au moins je suis plus serré dans cette chatte. Oh mais attends, je vais faire mieux salope.
Joan crache sur la rondelle de Fannie et tente de la pénétrer avec trois puis quatre doigts. Le quatrième entre difficilement mais parvient tout de même à prendre le cul de cette chienne. Les quatre doigts baisent la rondelle de Fannie, ce qui a pour effet de la mettre dans une excitation très forte.
-oui.. oui.. encore, ahhh ouiiiiii, j’en veux encore, c’est booonnn….
-c’est pour moi que c’est bon salope, toi je m’en fou, aller resserre moi encore cette chatte que je puisse te remplir au jus.
Joan continu de lui baiser la rondelle tout en lui labourant la chatte. Il est sans restriction, il accélère encore et encore.
-ooohhhhh je sens que ja viens sale pute, vas-y contracte toi encore, oui comme …. Aaahhhhhhhh !putain je te gave au jus, tient prend bien tout mon jus.
-ouiii jouis, donne-moi ce jus, j’en veux encore, encore, vas-y.
Joan se retire, laissant R nettoyer tout ce jus. Fannie est affalée sur le sol se laissant laper la chatte.
Marion au vu de cette séance me regarde avec des yeux malicieux.
-je crois que cette fois elle est prête pour le reste.
Fannie acceptera-t-elle de nous suivre……
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Dresser
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Fâché avec l'accord du participe passé ?