J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -14-
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -14-
Depuis le retour de vacances, Marion me tanne pour que j’accepte ces propositions concernant Fannie. Nous sommes rentrés depuis un mois et elle n’arrête pas de me prendre la tête, me reprochant d’avoir trop fait utilisé Fannie et que de se fait sa chatte ne satisfait plus.
-ok Marion, Fannie nous allons la laisser tranquille un certain temps. Nous allons nous occuper un peu plus de R. fais ce qu’il y a à faire avec elle.
Les choses ne traînent pas. Marion veux que nous amenions Fannie chez sa gynécologue, qui est la pire des garces de femme. C’est une femme sans état d’âme face à un être soumis, une vraie dominatrice.
15 jours plus tard, nous avons rendez-vous chez Annabelle la Gynéco, à une heure tardive.
Elle nous accueille les bras ouvert.
-et bien qu’est ce qu’elle a sur la tête celle-là, tu ne l’as pas encore tondue, tu m’as dit que tu allais le faire.
-non pas encore, c’est pas facile.
-Fred, tu trouves que c’est compliqué de tondre ta soumise, à écouter Marion c’est un problème.
-mais non, mais non, nous allons le faire-ah voilà un homme raisonnable. Bon que puis-je pour vous ?
Nous faisons part des éléments à Annabelle.
-avant de l’examiner, voilà déjà ce qu’il faut faire. Pas d’utilisation du conduit vaginal pendant trois mois. Vous fermez l’entrée avec une chaîne, puisqu’elle a des anneaux aux lèvres, vous serrez bien l’ensemble. Ensuite, il est important qu’elle soit libérée de tous envies de plaisir. Pour ce faire il serait bien de la branler une fois par jour, mais sans lui apporter la jouissance. Il faut lui couper l’envie de plaisir. Après trois mois de ce traitement vous la ramener ici et nous ferons un point. Bon allez installes toi ici. Annabelle inspecte le corps de Fannie, elle malaxe les seins, tirant à l’extrême les tétons, obtenant des grimaces de la part de notre soumise. Après une dizaines de minutes de ce traitement, les mains d’Annabelle glissent vers l’intimité de Fannie. Elle opère un examen gynécologique normal et minutieux, s’assurant que tout est normal. Une fois l’examen terminé, Annabelle pénètre deux doigts dans le sexe de notre soumise, puis trois, puis quatre, faisant des aller retour dans cette intimité. A un moment, la main force l’entrée du sexe, essayant de pénétrer intégralement sa main dans le sexe de Fannie. Sans grand effort, la main est engloutie.
-mes amis, je ne suis pas sûr que cette chienne ai jamais eu un vagin étroit. Regarder ma main a été avalée et je peux largement me mouvoir à l’intérieur, c’est naturelle et cela ne peut pas apparaitre du fait de coït trop fréquent, elle à un bassin très large, très élastique et il s’adapte du fait du plaisir que cette salope exprime. Oublier ce que je vous ai dit au début de la consultation, ou du moins le fait de lui fermer la chatte ne changera rien au problème de vagin trop large. Il n’y a pas de solution miracle Marion, je suis désolé. Si tout le monde s’en plaint changer d’orifice.
-Annabelle ma chérie, tout le monde s’en plaint pas, mais c’est pendant nos vacances que le constat a été fait, et puis cette chienne je veux… enfin bref, si il n’y a rien à faire, alors ce n’est pas grave.
-les filles, les filles, Fannie est à moi il me semble, alors vos conneries ça suffit. Annabelle si tu dis que c’est naturel, il n’y a donc pas de problème. Quant à toi Marion, tu exiges trop. Je sais que tu veux la réduire pour assouvir une certaine vengeance, ok, je te laisse le faire, mais ce n’est pas parce que un vieil arabe l’a trouvé trop large que c’est forcément une réalité. On ne va pas passer toute la nuit sur ce sujet. Fannie est une femme qui doit être respecté et qui a décidé de vivre cette expérience comme notre esclave, notre soumise, tout comme son homme. Alors peut-être que nous pouvons lui demander ce qu’elle en pense.
-mais mon Fred tu veux donner la parole à une soumise comme elle ?
-bah ! oui, il me semble que nous ne pouvons pas faire certaines choses sans en discuter ensemble.
-mais dit donc, tu n’es quand même pas amoureux ou attaché de cette salope ?
C’est la parole de trop, je prends Fannie par le bras, lui tend ces vêtements et nous partons tous les deux, laissant Marion et Annabelle, abasourdie par ma réaction. Marion tente de me joindre à plusieurs reprise au téléphone et je décide de couper mon portable jusqu’au lendemain matin. La nuit, nous l’avons passé à discuter avec Fannie, essayant de comprendre pourquoi elle avait besoin de cet état de soumise, pourquoi son homme en était également arrivée à ce stade, comprendre ce qu’elle attend et qu’elle suite elle souhaite donner. La petite bourgeoise se libère et fait tomber les masques.
De cette évènement, une suite de fait ont changés notre entourage. Marion à obtenue une mutation immédiate avec une promotion professionnelle sur la ville de Nevers, sans hésiter, en quelques jours elle a pris la direction de sa nouvelle ville. Ce départ ne me déplait pas, pourtant j’adore cette amie, mais elle voulait trop ce venger de Fanny, ça devenait une obsession.
Du côté de Fanny, du changement également. R a décidé prendre sa vie en main, en quittant sa Fanny adoré, pour se mettre à la disposition d’un homme. La séparation a été d’un commun accord, R préfère les hommes et être dominé, ce dont il est sûr maintenant, Fanny est soumise et veut rester sous ma domination. R et Fanny resteront ami et en contact.
Garder et rester avec Fanny ???
Fanny a conservé l’appartement ou elle vivait avec R, puisqu’il appartient à ces parents. Un soir, peu de temps après le départ de R elle m’invite à dîner. A mon arrivée, j’ai constaté des changements dans son appartement, normal après un tel changement. Un repas agréable, même si la cuisine n’est absolument pas sont « dada ». Avec tous ces évènements, j’ai lâché prise sur mon emprise sur elle, pensant ou ayant envie de peut-être passer à autre chose.
En ce vendredi d’été, il faisait chaud, le repas terminé, nous allons sur le balcon prendre un café. En-là voyant, là, assise devant moi, j’ai de nouveau ressentis l’envie de la dominer, alors je teste ses envies.
-bon maintenant que tu es célibataire, tu vas faire quoi ? En plus tu as vu ta tête, ta coiffure est nul à chier, tu t’es complètement laissé aller, c’est quoi ce bazar. Approche !
Fanny se lève et s’approche de moi. Je lui lève sa robe légère, baisse sa petite culotte et découvre un sexe imberbe, comme lui avait imposé Marion.
-bon dorénavant, je veux que tu es sur le pubis des poils, mais une toison entretenu, juste un triangle, tu gardes tes lèvres imberbes, de toute façon avec tes anneaux c’est mieux. Quand je viens ici ou que tu viendras me voir, pas de culotte. C’est compris.
-Oui Fred, j’ai compris, tu me reprends en main alors?
-C’est nécessaire je pense…-oui j’en ai besoin, c’est vrai.
-et puis cette tête-là, putain c’est quoi ?
-j’irais demain voir si ma coiffeuse peut me prendre pour arranger ma tignace.
-non pas la peine. Marion voulait te voir tondue, et bien nous allons faire ça. J’ai toujours refusé, mais maintenant de toute façon vu ta tête c’est ce qu’il y a de mieux à faire. D’accord ?
-Eh ! je ne sais pas… c’est un peu radicale comme décision.
-demain je reviendrais avec ma tondeuse pour arranger tout ça.
-R à laisser la sienne ici, alors plutôt que t’attendre demain, puisque tu veux me faire cette coupe, fait la maintenant.
-allez go la soumise, va chercher le matos, prends une paire de ciseau au passage.
Fanny veut reprendre sa dépendance avec moi. Moi tant que je m’amuse et que je prends plaisir, pourquoi pas. Humilier un peu plus cette petite bourgeoise.
J’installe Fanny sur le balcon au vu de qui veut regarder. Sur ce point, elle a difficilement acceptée, mais force de persuasion elle est assise sur une chaise. Finalement, je coupe tout à la tondeuse, réalisant plusieurs passes pour obtenir le rendu souhaité. La nuit commence à arriver, alors je me presse pour terminer la nouvelle coupe, que je vais imposer à ma soumise renaissante. J’accompagne Fanny dans sa salle de bain pour qu’elle puisse voir sa coupe de cheveux. En se voyant, ces yeux on doublés de volume pour finalement s’entendre dire.
-ca surprend la première fois…mais ce n’ai pas si moche que ça, je trouve que je porte bien cette coupe finalement.
-même si ça ne te conviens pas, ce sera ta coupe pour les six prochains mois. Après soit nous raccourcirons, soit tu resteras comme cela, enfin nous verrons bien….
Elle s’empresse de nettoyer le balcon des tous ces cheveux qui jonche le sol. La nuit est tombée, mais la lumière des rues nous évite d’être dans la pénombre.
-bon, maintenant que je me suis occupé de toi, à toi de t’occuper de moi.
Je sors ma queue déjà bien dure.
-mais pas ici…-tu es ma soumise, alors c’est ou et quand je veux.
J’appuis sur ces épaules et la fait mettre à genoux sans vraiment beaucoup de réticence. Fanny gobe ma queue et commence une fellation. Je la sens pas très tranquille, puisque on peut nous voir, il y a d’autres balcons, il fait chaud, ce qui incite les gens à rester dehors l’été. Je lui maintiens bien la tête, caressant ces cheveux fraichement coupés au sabot de 1cm et lui donne le rythme pour la pipe. La voir avec cette coupe m’excite au plus haut point, j’en suis moi-même surpris. Fanny me réalise une fellation digne d’une soumise qui honore son Maître, ce qui me satisfait. Les leçons des épisodes précédents ont portées leurs fruits. Je relève ma chienne suceuse et la penche ses bras posés sur le bord du balcon. Je relève sa robe, introduit un, puis deux doigts dans son intimité pour constater une lubrification très abondante.
-tu mouilles comme une chienne, petite salope.
-oui, prend moi, je le veux, je suis ta soumise. D’une voix basse, de peur que des gens l’entende.
Je pénètre Fanny d’un coup pour lui faire sentir que je dirige, qu’elle est ma soumise et je coulisse dans son intimité. Elle lubrifie tellement que des clapotis se font entendre, je claque ses fesses pour l’encourager. Mes mains se dirigent vers le haut de sa robe, j’extirpe un sein, puis le deuxième, je les malaxe, tire sur ces tétons tout en labourant profondément son sexe. Fanny émet quelques couinements qui commencent à s’intensifier et à être de plus en plus rapprochés.
-j’espère que les gens se rincent l’œil en te voyant te faire prendre comme une chienne. Ils sauront que dans leur quartier une salope soumise habite dans cette résidence. Parce que tu aimes ça te faire voir Fanny, tu aimes ça subir, être traité comme une soumise, être une suceuse de queue avec une chatte à saillir. Un ! tu aimes ça ?
-hum !hum !hum :ah ah… oui….. je……….. prends ….aahhhh !!
J’accélère mes vas et viens, j’ai envie de lâcher mon jus au plus profond de cette soumise, la remplir.
Je me vide en elle avec intensité et plaisir, oui je prends plaisir à jouir dans Fanny, cette soumise, cette bourgeoise qui me révolte ou qui me révoltait, je ne sais plus vraiment sur le moment de mon plaisir comment je perçois cette femme soumise.
Je sais que nous avons été regardé, je ne sais pas par qui, mais des yeux nous ont observés. C’est ce que je voulais.
J’ordonne à Fanny de nettoyer ma queue avant que je ne parte.
-ok Marion, Fannie nous allons la laisser tranquille un certain temps. Nous allons nous occuper un peu plus de R. fais ce qu’il y a à faire avec elle.
Les choses ne traînent pas. Marion veux que nous amenions Fannie chez sa gynécologue, qui est la pire des garces de femme. C’est une femme sans état d’âme face à un être soumis, une vraie dominatrice.
15 jours plus tard, nous avons rendez-vous chez Annabelle la Gynéco, à une heure tardive.
Elle nous accueille les bras ouvert.
-et bien qu’est ce qu’elle a sur la tête celle-là, tu ne l’as pas encore tondue, tu m’as dit que tu allais le faire.
-non pas encore, c’est pas facile.
-Fred, tu trouves que c’est compliqué de tondre ta soumise, à écouter Marion c’est un problème.
-mais non, mais non, nous allons le faire-ah voilà un homme raisonnable. Bon que puis-je pour vous ?
Nous faisons part des éléments à Annabelle.
-avant de l’examiner, voilà déjà ce qu’il faut faire. Pas d’utilisation du conduit vaginal pendant trois mois. Vous fermez l’entrée avec une chaîne, puisqu’elle a des anneaux aux lèvres, vous serrez bien l’ensemble. Ensuite, il est important qu’elle soit libérée de tous envies de plaisir. Pour ce faire il serait bien de la branler une fois par jour, mais sans lui apporter la jouissance. Il faut lui couper l’envie de plaisir. Après trois mois de ce traitement vous la ramener ici et nous ferons un point. Bon allez installes toi ici. Annabelle inspecte le corps de Fannie, elle malaxe les seins, tirant à l’extrême les tétons, obtenant des grimaces de la part de notre soumise. Après une dizaines de minutes de ce traitement, les mains d’Annabelle glissent vers l’intimité de Fannie. Elle opère un examen gynécologique normal et minutieux, s’assurant que tout est normal. Une fois l’examen terminé, Annabelle pénètre deux doigts dans le sexe de notre soumise, puis trois, puis quatre, faisant des aller retour dans cette intimité. A un moment, la main force l’entrée du sexe, essayant de pénétrer intégralement sa main dans le sexe de Fannie. Sans grand effort, la main est engloutie.
-mes amis, je ne suis pas sûr que cette chienne ai jamais eu un vagin étroit. Regarder ma main a été avalée et je peux largement me mouvoir à l’intérieur, c’est naturelle et cela ne peut pas apparaitre du fait de coït trop fréquent, elle à un bassin très large, très élastique et il s’adapte du fait du plaisir que cette salope exprime. Oublier ce que je vous ai dit au début de la consultation, ou du moins le fait de lui fermer la chatte ne changera rien au problème de vagin trop large. Il n’y a pas de solution miracle Marion, je suis désolé. Si tout le monde s’en plaint changer d’orifice.
-Annabelle ma chérie, tout le monde s’en plaint pas, mais c’est pendant nos vacances que le constat a été fait, et puis cette chienne je veux… enfin bref, si il n’y a rien à faire, alors ce n’est pas grave.
-les filles, les filles, Fannie est à moi il me semble, alors vos conneries ça suffit. Annabelle si tu dis que c’est naturel, il n’y a donc pas de problème. Quant à toi Marion, tu exiges trop. Je sais que tu veux la réduire pour assouvir une certaine vengeance, ok, je te laisse le faire, mais ce n’est pas parce que un vieil arabe l’a trouvé trop large que c’est forcément une réalité. On ne va pas passer toute la nuit sur ce sujet. Fannie est une femme qui doit être respecté et qui a décidé de vivre cette expérience comme notre esclave, notre soumise, tout comme son homme. Alors peut-être que nous pouvons lui demander ce qu’elle en pense.
-mais mon Fred tu veux donner la parole à une soumise comme elle ?
-bah ! oui, il me semble que nous ne pouvons pas faire certaines choses sans en discuter ensemble.
-mais dit donc, tu n’es quand même pas amoureux ou attaché de cette salope ?
C’est la parole de trop, je prends Fannie par le bras, lui tend ces vêtements et nous partons tous les deux, laissant Marion et Annabelle, abasourdie par ma réaction. Marion tente de me joindre à plusieurs reprise au téléphone et je décide de couper mon portable jusqu’au lendemain matin. La nuit, nous l’avons passé à discuter avec Fannie, essayant de comprendre pourquoi elle avait besoin de cet état de soumise, pourquoi son homme en était également arrivée à ce stade, comprendre ce qu’elle attend et qu’elle suite elle souhaite donner. La petite bourgeoise se libère et fait tomber les masques.
De cette évènement, une suite de fait ont changés notre entourage. Marion à obtenue une mutation immédiate avec une promotion professionnelle sur la ville de Nevers, sans hésiter, en quelques jours elle a pris la direction de sa nouvelle ville. Ce départ ne me déplait pas, pourtant j’adore cette amie, mais elle voulait trop ce venger de Fanny, ça devenait une obsession.
Du côté de Fanny, du changement également. R a décidé prendre sa vie en main, en quittant sa Fanny adoré, pour se mettre à la disposition d’un homme. La séparation a été d’un commun accord, R préfère les hommes et être dominé, ce dont il est sûr maintenant, Fanny est soumise et veut rester sous ma domination. R et Fanny resteront ami et en contact.
Garder et rester avec Fanny ???
Fanny a conservé l’appartement ou elle vivait avec R, puisqu’il appartient à ces parents. Un soir, peu de temps après le départ de R elle m’invite à dîner. A mon arrivée, j’ai constaté des changements dans son appartement, normal après un tel changement. Un repas agréable, même si la cuisine n’est absolument pas sont « dada ». Avec tous ces évènements, j’ai lâché prise sur mon emprise sur elle, pensant ou ayant envie de peut-être passer à autre chose.
En ce vendredi d’été, il faisait chaud, le repas terminé, nous allons sur le balcon prendre un café. En-là voyant, là, assise devant moi, j’ai de nouveau ressentis l’envie de la dominer, alors je teste ses envies.
-bon maintenant que tu es célibataire, tu vas faire quoi ? En plus tu as vu ta tête, ta coiffure est nul à chier, tu t’es complètement laissé aller, c’est quoi ce bazar. Approche !
Fanny se lève et s’approche de moi. Je lui lève sa robe légère, baisse sa petite culotte et découvre un sexe imberbe, comme lui avait imposé Marion.
-bon dorénavant, je veux que tu es sur le pubis des poils, mais une toison entretenu, juste un triangle, tu gardes tes lèvres imberbes, de toute façon avec tes anneaux c’est mieux. Quand je viens ici ou que tu viendras me voir, pas de culotte. C’est compris.
-Oui Fred, j’ai compris, tu me reprends en main alors?
-C’est nécessaire je pense…-oui j’en ai besoin, c’est vrai.
-et puis cette tête-là, putain c’est quoi ?
-j’irais demain voir si ma coiffeuse peut me prendre pour arranger ma tignace.
-non pas la peine. Marion voulait te voir tondue, et bien nous allons faire ça. J’ai toujours refusé, mais maintenant de toute façon vu ta tête c’est ce qu’il y a de mieux à faire. D’accord ?
-Eh ! je ne sais pas… c’est un peu radicale comme décision.
-demain je reviendrais avec ma tondeuse pour arranger tout ça.
-R à laisser la sienne ici, alors plutôt que t’attendre demain, puisque tu veux me faire cette coupe, fait la maintenant.
-allez go la soumise, va chercher le matos, prends une paire de ciseau au passage.
Fanny veut reprendre sa dépendance avec moi. Moi tant que je m’amuse et que je prends plaisir, pourquoi pas. Humilier un peu plus cette petite bourgeoise.
J’installe Fanny sur le balcon au vu de qui veut regarder. Sur ce point, elle a difficilement acceptée, mais force de persuasion elle est assise sur une chaise. Finalement, je coupe tout à la tondeuse, réalisant plusieurs passes pour obtenir le rendu souhaité. La nuit commence à arriver, alors je me presse pour terminer la nouvelle coupe, que je vais imposer à ma soumise renaissante. J’accompagne Fanny dans sa salle de bain pour qu’elle puisse voir sa coupe de cheveux. En se voyant, ces yeux on doublés de volume pour finalement s’entendre dire.
-ca surprend la première fois…mais ce n’ai pas si moche que ça, je trouve que je porte bien cette coupe finalement.
-même si ça ne te conviens pas, ce sera ta coupe pour les six prochains mois. Après soit nous raccourcirons, soit tu resteras comme cela, enfin nous verrons bien….
Elle s’empresse de nettoyer le balcon des tous ces cheveux qui jonche le sol. La nuit est tombée, mais la lumière des rues nous évite d’être dans la pénombre.
-bon, maintenant que je me suis occupé de toi, à toi de t’occuper de moi.
Je sors ma queue déjà bien dure.
-mais pas ici…-tu es ma soumise, alors c’est ou et quand je veux.
J’appuis sur ces épaules et la fait mettre à genoux sans vraiment beaucoup de réticence. Fanny gobe ma queue et commence une fellation. Je la sens pas très tranquille, puisque on peut nous voir, il y a d’autres balcons, il fait chaud, ce qui incite les gens à rester dehors l’été. Je lui maintiens bien la tête, caressant ces cheveux fraichement coupés au sabot de 1cm et lui donne le rythme pour la pipe. La voir avec cette coupe m’excite au plus haut point, j’en suis moi-même surpris. Fanny me réalise une fellation digne d’une soumise qui honore son Maître, ce qui me satisfait. Les leçons des épisodes précédents ont portées leurs fruits. Je relève ma chienne suceuse et la penche ses bras posés sur le bord du balcon. Je relève sa robe, introduit un, puis deux doigts dans son intimité pour constater une lubrification très abondante.
-tu mouilles comme une chienne, petite salope.
-oui, prend moi, je le veux, je suis ta soumise. D’une voix basse, de peur que des gens l’entende.
Je pénètre Fanny d’un coup pour lui faire sentir que je dirige, qu’elle est ma soumise et je coulisse dans son intimité. Elle lubrifie tellement que des clapotis se font entendre, je claque ses fesses pour l’encourager. Mes mains se dirigent vers le haut de sa robe, j’extirpe un sein, puis le deuxième, je les malaxe, tire sur ces tétons tout en labourant profondément son sexe. Fanny émet quelques couinements qui commencent à s’intensifier et à être de plus en plus rapprochés.
-j’espère que les gens se rincent l’œil en te voyant te faire prendre comme une chienne. Ils sauront que dans leur quartier une salope soumise habite dans cette résidence. Parce que tu aimes ça te faire voir Fanny, tu aimes ça subir, être traité comme une soumise, être une suceuse de queue avec une chatte à saillir. Un ! tu aimes ça ?
-hum !hum !hum :ah ah… oui….. je……….. prends ….aahhhh !!
J’accélère mes vas et viens, j’ai envie de lâcher mon jus au plus profond de cette soumise, la remplir.
Je me vide en elle avec intensité et plaisir, oui je prends plaisir à jouir dans Fanny, cette soumise, cette bourgeoise qui me révolte ou qui me révoltait, je ne sais plus vraiment sur le moment de mon plaisir comment je perçois cette femme soumise.
Je sais que nous avons été regardé, je ne sais pas par qui, mais des yeux nous ont observés. C’est ce que je voulais.
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