J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -15-

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -15- Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -15-
Fanny a souhaité organisé un goûter avec une de ses supers meilleurs amis. Je ne suis pas forcément enthousiaste pour rencontrer cette personne qui ne me semble pas primordiale pour poursuivre cette expérience avec ma soumise. Vu l’insistance, je valide cette rencontre un après-midi de septembre en contrepartie je lui demande de porter un œuf vibrant dans son intimité pour ce moment-là.
A mon arrivée, son amie est déjà présente. Elle nous présente et Mélanie se réjouit de faire enfin ma connaissance. Pourquoi ???
Très vite nous discutons de choses et d’autres et Mélanie entame un échange auquel je ne m’attendais pas.
-Fanny m’a dit que tu étais quelqu’un qui comptais pour elle. Dans le travail tu l’aides beaucoup et puis apparemment tu es présent aussi dans sa vie de tous les jours. C’est bien qu’elle ait trouvé une personne comme toi. Depuis le départ de R, elle a changée, ce n’est pas que R la bloquait, du tout, mais je trouve qu’elle est encore plus rayonnante, libre. R je l’appréciais beaucoup, il était gentil, agréable, mais j’avais bien compris qu’il manquait quelques chose à ma Fanny.
-Ah bon !!!!!!!!
J’actionne l’œuf puissance 1, Fanny sursaute.
-oui, je sais que vous êtes presque comme des amis et ça l’aide beaucoup. Il était temps qu’elle trouve une personne qui puisse la comprendre et partager des choses communes. Au moins maintenant elle est libre.
J’actionne l’œuf puissance 2. Fanny couine.
-bah que se passe-t-il ma Fanny ?
-non rien Méla, un frisson qui vient de me parcourir.
-Hum Hum, oui mais nous ne sommes pas ensemble Mélanie.
-non je sais, mais elle trouve un équilibre en partageant des choses avec toi, je trouve ça génial, tu l’as comprends. Bon sa coupe de cheveux, moi je n’aurais pas os je demande ça à mon mec, il se fou de moi et c’est non. Elle s’est lâché et est allé voir la coiffeuse, il faut le faire quand même.
-Mélanie, je t’arrête, il n’y a pas eu de coiffeuse, c’est moi qui l’ai tondue.
-ah bonnn ! mais tu m’as caché cela Fanny, pourquoi ??? Enfin Fred tu ne l’as pas tondue non plus, juste couper court pour qu’elle se débarrasse de cette coupe qui était particulière et puis ça va repousser de toute façon. J’ai besoin d’aller au petit coin.
-tu connais l’appart Méla, je vais préparer le gâteau.
Fanny va dans la cuisine, je la suis. Sans perdre de temps je plaque Fanny contre le mur.
-Tu vas de suite me retirer ta petite culotte et libérer tes seins, en ma présence pas de culotte, tu as oublié ?
-non, mais il y a Mélanie.
-Retire de suite.
Fanny retire l’ensemble. Je passe ma main dans son entre-jambe, c’est lubrifié. J’entends Mélanie arriver.
-Alors ma Fanny, quoi de bon au goûter ?
De retour dans le salon.
-tu sais Mélanie, je ne pense pas que Fanny va laisser pousser ses cheveux, elle semble apprécier cette coupe.
-ah carrément ma Fanny, tu vas rester avec cette coupe, ah bon. Ecoute si ça te plait, moi je trouve que cela te va bien, c’est juste bizarre, toi qui était fière de ta chevelure.
-Méla, je verrais … Fred à peut-être raison, tu sais c’est agréable aussi d’avoir ce genre de coiffure, c’est simple le matin, plus de séchage…. Enfin non verrons.
J’actionne l’œuf puissance 2, le laissant vibrer plusieurs minutes. Fanny se mord les lèvres pour ne pas émettre de son, tortillant discrètement des fesses. Sa copine Mélanie est un vrai moulin à paroles, à avis. Elle ne se rend même pas compte que Fanny est instable sur elle-même. Le téléphone de Mélanie sonne. Elle s’isole sur le balcon pour prendre la communication.
Fanny va dans la cuisine pour prendre le café, je la suis de nouveau. Je passe ma main sous sa robe, retire l’œuf que je viens d’éteindre, c’est très mouillé. Cette situation m’a bien excité je dois l’avouer. Je sors ma queue, relève Fanny et la pénètre.
-arrrrrête Méla va arriver.
Je ne tiens pas compte de ces paroles. Je coulisse dans cette intimité toujours autant mouillée. Après plusieurs va et viens bien profond pour bien stimuler ma soumise au plaisir, je me retire, range ma queue et repose l’œuf dans le sexe. Fanny est désabusée.
-mais…-tu croyais quoi ? j’apprends que tu racontes des choses sur moi sans que tu me le dise et que sais-je encore de ce que tu as pu dire. Aller retournons dans le salon.
Nous continuons à échanger tous ensemble. Mélanie la pipelette, oui on peut le dire, déblatère encore et encore et enfin se rend compte qu’il est l’heure pour elle de partir. Je me joins à Fanny pour raccompagné Mélanie à la porte, mais c’est sans compter sur l’œuf que je mets en route jusqu’au départ de l’invité. Fanny marche, mais je sais que l’œuf la perturbe.
-ca va ma Fanny, tu es toute bizarre ?? Ça va tu es sûr ??
-mais oui, mais oui, t’inquiètes pas, peut-être un peu fatigué et puis je suppose que Fred va rester encore un peu avec moi.
-c’est un super copain, tu as de la chance qu’il soit aussi présent sans te demander de coucher, les copains mecs c’est souvent le cas.
-oh non Méla, il n’est pas comme ça.
Mélanie nous quitte et la porte de l’appartement se referme.
-tu as raison Fanny je ne suis pas comme ça, je suis pire même, aha ah aha ha aha ha …Tu as raison je vais rester avec toi, déjà je retire l’œuf pour aujourd’hui ca suffit. Ensuite pour nettoyer et ranger tu vas retirer ta robe, je veux te voir mouver nue.
Fanny se met nue. Je découvre une petite toison qui commence à prendre sa place sur le pubis.
-ça c’est bien Fanny, encore quelques semaines et j’aurais ce que je veux. Par contre quand tu parles de moi à tes amis, je veux le savoir, c’est la règle, c’est ma règle. A qui as tu encore parlé de moi ?
-A part Mélanie, euh, je crois qu’il y a Maële, une amie d’enfance et seulement elle.
-tu lui as dit quoi ?
-un peu comme Méla.
-Bon ça c’est une punition, direction la salle de bain soumise Fanny, allez hop, le rangement après. Je vais te raccourcir un peu tes cheveux, si tu veux éviter de te retrouver à te justifier avec tes deux amie sur ta coupe, tu me dis ce qu’elles savent à partir de nowwwww.
Dans la salle de bain, j’installe Fanny à genoux dans la douche, je prends la tondeuse et commence à raccourcir, mais très peu, ses cheveux, histoire de lui faire comprendre les choses.
-sort ma queue pendant que je te tond et suce-moi en même temps.
Fanny me suce durant les passages de la tondeuse sur son crâne. La fellation est tellement appliquée que je comprends qu’elle adore cette situation, que cela la stimule encore plus. De ce fait je prends le temps pour parfaire la coupe. La tondeuse s’arrête.
-non, continu, c’est agréable, j’adore….
-pour cette fois c’est suffisant pour la tondeuse.
Je prends ma queue et me branle, Fanny ouvre la bouche, sort sa langue pour récolter mon nectar. La situation de cette après-midi et de la salle de bain m’a tellement excité, que je ne tarde pas à gicler sur le visage de Fanny.
-allez avale ce jus, ah oui putain c’est bon que gicler sur ma chienne, aarrrrrhhhhh. Nettoie moi le nœud bien propre, oui comme ça.
Ma soumise prend une douche et se met au rangement du salon. La soirée ne fait que commencer.
Pour le dîner, Fanny décide d’aller faire quelques petites courses à la supérette situé en bas de chez elle. Je la suis dans sa chambre et je choisis ce qu’elle va mettre pour sortir.
-tiens, tu mets ça et ça, pas de soutif, pas de culotte, il ne fait pas froid. Mets le haut que je puisse voir ce que cela donne.
Ma soumise sans broncher passe le haut choisit.
-je ne peux pas mettre ça, on voit mes seins qui pointe, c’est trop collant en plus.
-et alors, ils vont tous s’habituer à te voir habillé comme ça, alors go, met ta jupe et va faire ta petite salope dans les rayons du magasin, je veux que tout le monde te remarque.
Elle s’absente une trentaine de minutes et revient avec ses emplettes.
-beaucoup d’homme mon regardé, que ce soit dans la rue ou au magasin. J’étais par moment gênée, certain m’ont fixés d’un regard insistant, me souriant. J’ai même une femme qui m’a dit que j’étais somptueuse avec ce haut.
-bien, très bien, c’est parfait. Et alors je suis sûr que cela ta fait mouillé.
Je passe ma main sous sa jupe et je constate un entre-jambe encore bien mouillé. Mon doigt se met à caresser son bouton de soumise, appuyant suffisamment pour lui faire monter le plaisir. Elle s’abandonne sous mon malaxage, commençant à émettre des sons de plaisir. Son sexe coule, ses cuisses sont humide de cette mouille qui coule depuis certainement trop longtemps. Je stoppe après plusieurs minutes de trituration du clito.
-bon si tu allais préparer le repas de ce soir, je commence à avoir faim, par contre change toi, ne reste pas avec ces vêtements, il faut les garder propre pour une prochaine fois. Tu as toujours ta djellaba de notre dernier voyage, alors enfile là.
Fanny, vêtue de la djellaba prépare le repas, bon un repas de plats préparé, puisque c’est une piètre cuisinière. Au moment de se mettre à table je lui demande du vin.
-j’en ai pas et la superette est fermé maintenant.
-bon tu sais ce qui te reste à faire, il y a un magasin magrébin dans une rue adjacente, alors tu remets tes fringues de tout à l’heure et tu me ramènes une bonne bouteille de rouge, tiens voilà un billet.
La voilà de nouveau sortie pour parcourir une petite distance dans une tenue plus ou moins provocante, les seins pointant toujours. Je m’amuse bien. 40 minutes plus tard, ma soumise revient.
-alors ça a été ?
-Euh ! oui, oui oui.
-c’est quoi cette réponse ? Tu as eu un problème ?
-enfin, non, mais le gars qui tient la boutique m’a vu entrer et comme il n’y avait personne, il m’a suivi dans le rayon du vin pour me conseiller. Il n’a regardé que mes seins à travers mon haut, souriant en même temps. Une fois le vin choisis, il m’a suivi au comptoir pour payer et pour m’encaisser, la place étant limité, il s’est collé à moi, contre mes fesses et j’ai senti un sexe bien dur à travers son pantalon et il a insisté se frottant. Heureusement qu’un couple est entré.
-tant qu’il n’a rien fait de mal ça va, tu as dû encore mouiller. Repasse ta djellaba que nous dînions.
Le repas se passe agréablement. Nous parlons de ce moment dans la boutique qui bien évidemment lui a fait bander le clito et ce qui va avec. Le repas terminé et bien arrosé, oui nous avons bu tous les deux la bouteille de vin, Fanny se charge de ranger, avec mon aide quand même. Je propose d’aller sur le balcon pour se poser un peu avec un café. Fanny se place face à moi, alors je lui demande de me rejoindre sur le banc, je la veux à côté de moi.
-tu as été excellente aujourd’hui Fanny, je suis très heureux que tu sois de nouveau dans ton rôle de femme soumise, comme je te l’avais demandé, tu as bien assuré.
Fanny à éclairée son visage d’un large sourire, venant se blottir dans le creux de mon épaule. Oups ! ce n’était pas prévu comme ça. Je lui laisse un peu de temps et la remet sur les bon rails.
-eh oh, ne nous attendrissons pas, tu restes ma chienne soumise, aller il commence à faire frais, viens et suis moi.
Je l’amène dans la chambre, cette pièce revisité depuis le départ de R. je lui ordonne de se mettre nue et lui présente ma queue, qui durant cette journée a été, elle aussi, mise en tension plus d’une fois. Fanny avale mon membre pour prodiguer une bonne suce, comme j’aime, elle a bien apprit durant tout ce temps et ces expériences. Elle se déchaîne sur mon membre, l’aspirant de plus en plus pour faire monter le jus. Je l’arrête. Je me place derrière son sexe qui dégouline de mouille et la prend sur toute ma longueur, je me défoule, j’ai envie de lâcher mon jus mais sans qu’elle puisque encore prendre son plaisir.
-interdiction de jouir, tu entends, pas de plaisir pour l’instant.
J’accélère mes mouvements en elle, mon plaisir monte de plus en plus. Pour lui éviter de jouir, je pince ses seins fortement, pour lui administrer une petite douleur afin de libérer son esprit du plaisir qu’elle a besoin de prendre après ces moments d’excitation. Je finis par me libérer en elle en prenant un plaisir du tonnerre, remplissant ce trou de mon jus. Ma soumise, elle reste sur l’envie du plaisir. Je libère se sexe crémeux de mon jus et me présente devant sa rondelle. Mon sexe étant maculé de mouille et de mon jus, je me glisse sans difficulté dans le fondement de Fanny. Ma queue, qui a tout juste à peine débandé commence à coulisser dans ce trou. Avec un peu de temps, mon membre bande de nouveau. Sous mes assaut cette soumise couine encore et encore.
-cette fois tu as le droit de prendre ton plaisir….
Je continus mes allers retours dans ce trou si chaud qui donne un plaisir à chaque fois que Fanny est prise par cet endroit, elle qui n’aimait pas vraiment cet acte, que dire, si ce n’est qu’elle a découvert le plaisir anal, la sodo. Je rentre entièrement et la reprend, je la baise avec force, mon plaisir est plus long à venir, normal, mais ma soumise, elle arrive au point de non-retour. Elle n’en peut plus, elle va jouir. La chose ne tarda pas très longtemps.
-oui, ouiiiiii, oooohhhh je jou……..
Fanny explose son plaisir, sa voix, ces cris fond prendre conscience qu’elle libère son plaisir si longtemps retenu. Mais moi je continu mes mouvements, le plaisir monte progressivement. Après sa jouissance, ma queue continu à la lui labourer son fondement, je sens sa rondelle se refermer sur ma queue à chaque aller-retour, elle n’arrête pas de beugler, de râler.
-encore un peu petite chienne, tu aimes ça, te faire écarter la rondelle.
-raaahhhhhh, aahhhh, jjjj’eeeeeennnn pppeu plllll……Encore 5 bonnes minutes de ce traitement, et je remplis son fondement de mon jus. Ma jouissance est rapide et intense. Fanny pousse un cri, un seul et s’effondre sur le lit, vidé de toute force. Je me retire et me délecte de la voir ainsi, vide, mon jus dégoulinant de sa chatte et un filet de jus pointant à sa rondelle. Je crois que je viens de trouver un nouveau jeu, l’amener à la jouissance en la travaillant toute une journée. Je décide de rester dormir, chez elle, avec elle dans son lit. Est-ce raisonnable ???????

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